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Dimanche 22 septembre 7 22 /09 /Sep 08:40

 

 

 

 

Ambassade  du Filékistan au Cameroun.  

Ce matin là, matin, alors que je rentrais en Jeep, j'aperçois un jeune homme blanc courir à perdre haleine. C'était dans un terrain vague situé entre l'université et le quartier des ambassades. Je quitte la route pour aller à sa rencontre. L'ayant rejoint, j'ouvre la portière droite. Tout en continuant à rouler, je lui crie de monter. Complètement essoufflé ce dernier plonge dans la voiture en marche. Il était temps, un groupe de guérilleros Béfouls débouche de l'université. Le temps de regarder aux alentours s'il n'y a pas d'éventuels témoins, ils se mettent à nous canarder. Ma vieille Land Rover fonce à toute allure dans le terrain vague pour retrouver le chemin de terre, l'ambassade n'est qu'à quelques centaines de mètres. Je klaxonne pour qu'on m'ouvre le portail. Les Béfouls je le sais n'attaqueront pas l'ambassade. Le monde entier en serait averti.

L'ambassade est une maison entourée d'un grand jardin, ceinturée par un haut mur qui offre une protection réelle en cas de trouble. Je ne sais pas qui est ce jeune homme, mais il devra bénéficier de la protection de la l'ambassadeur. Visiblement les émeutiers souhaitent l'avoir entre leurs mains. Je l'interroge, c'est un photographe comme l'atteste son appareil qu'il tient précieusement dans ses mains.

— Je suis Grand Reporter, me dit-il, je travaille pour l'agence Delta à Paris.

— Quel âge avez-vous?

— Vingt trois ans.

— Je vois que la valeur n'attend pas le nombre des années. Vous avez raison de commencer jeune, on se sait jamais à quel âge on est forcé d'arrêter un métier comme le vôtre. Qu'avez-vous fait pour déclencher la fureur des béfouls?

— Devinez, je leur ai piqué une de leur foutues bouteilles, ils n'ont pas apprécié. Merci pour votre ironie concernant mon âge.

Son sourire est sarcastique. Je ne suis pas dupe. Je ne dis rien et attends qu'il veuille bien me dire la vérité.

— J'ai photographié des scènes dont les foulbés n'ont pas à se vanter, le ils violent les femmes et empalent les hommes.

L 'affaire est beaucoup plus grave que je ne le pensais. Si photographier des morts peut faire partie d'un jeu macabre accepté par les africains, les scènes de tueries ou de cannibalisme sont tabou car trop dangereuses pour n'importe quelle communauté.

Je téléphone à quelques uns de mes amis pour les avertir de cette nouvelle situation explosive. IL faut faire savoir aux foulbés que toute la communauté étrangère sait ce qu'ils ont fait, mais que rien ne sera divulgué sur le plan international. C'est pour ce photographe et pour moi notre seule chance de salut : sinon nous n'atteindrions pas l'aéroport. Un coup de téléphone à la Présidence m'assure que la situation est sous contrôle.

Me retournant devant mon hôte, je lui dis sur un ton un peu amer.

— Le Président est furieux, il estime ne pas avoir besoin de ce problème. Il ne veut pas entendre parler de vous pour l'instant. Vous êtes sous la protection du Filékistan. Cette information sur les viols et les massacres peut étendre les tueries jusqu'au fin fond de la brousse au lieu de les cantonner ici. Cette affaire est bien plus grave que le manque de nourriture qui peut se résoudre en une ou deux semaines.  

— Ecoutez, je n'ai tué personne que je sache, je suis simplement témoin, ce n'est pas un crime?

— Ce qui est un crime est d'être la cause d'une guerre civile. Vous. Vous êtes arrivés au  Cameroun depuis combien de temps, il ne me semble pas vous avoir vu ici auparavant?

— Depuis hier matin.

— Vous êtes particulièrement doué pour dénicher l'information.

La fureur me gagne, ce jeune con arrive droit de son pays pour foutre le bordel dans un pays qui n'a pas besoin de lui pour ça.

— Ecoutez, il est tard, onze heures du matin, il commence à faire chaud,allez-vous coucher dans ma chambre, moi j'attends les soldats, de toute façon les foulbés ne feront plus rien avant ce soir, il fait déjà trop chaud.

Assommé de fatigue par son voyage, le changement de climat et par ses émotions de la nuit, le jeune homme préfère obéir. Je ne souhaite pas créer entre nous une tension qui serait mal ressentie entre les murs  de l'ambassade.

J'attends de mon côté allongé sur le transatlantique du salon que les militaires veuillent bien venir jusque chez moi. Je tombe de sommeil et maudis ma générosité d'avoir laissé mon lit au jeune reporter. Outre la moustiquaire qui le protège des attaques incessantes des mouches, il a un énorme ventilateur qui accroché au plafond brasse lentement l'air surchauffé.

Au milieu de l'après-midi, ne tenant plus d'attendre, je décide d'aller voir dans ma chambre comment se porte mon pensionnaire. Je suis en eau et me lever me demande un courage que je remets à trois reprises l'instant d'après.

Je le retrouve avec surprise nu, les fesses à l'air. Une légère transpiration coule de ses tempes, ses cheveux sont mouillés, mais le reste de son corps reste sec. L'air lourd que le ventilateur fait lentement glisser sur son corps balaie à grand peine sa sueur. Sa position sur mon lit est sensuelle. Afin de mieux faire profiter sa peau du contact de l'air, ce dernier a largement écarté ses cuisses. En me penchant au dessus de lui, je peux aussi bien voir une partie de ses testicules que le trou de son cul. Il y a longtemps que je n'ai pas eu l'occasion de voir le trou d'un homme, je le regarde attentivement. Niché au fond de la crevasse, il n'est pas facile à voir. Le seul fait de l'apercevoir entouré de quelques poils me fait immédiatement bander. J'examine les plis de son anus et m'étonne qu'ils aient la même couleur que le reste de sa chair. Je les aurais pensé roses ou plus foncés. Mon regard passe de ses fesses relativement plates au trou de son cul. A chaque fois que mes yeux accrochent ce dernier, mes pulsions sexuelles augmentent.

Ce jeune homme a la peau mate, bronzée partout sauf sur les fesses. Ses cheveux son collés sur son visage. Sa respiration est lourde et régulière. Il dort terrassé de fatigue. Je souris en pensant que je ne connais même pas son prénom. C'est mon premier apaisement depuis notre arrivée...  

mrbiggest:

 

 

 

menbeingbeautiful: Jimmy Sandoval sleeping nude. — Men Being Beautiful

 

 

 

Je ne tiens plus debout, je décide de m'endormir sur mon lit puisque celui-ci est double. C'est presque le cas de le dire, à la guerre comme à la guerre. Si son corps occupe la partie droite de son lit, il n'en va pas de même pour ses jambes largement écartées. Je lui prends le pied gauche et tout doucement le ramène sur le côté. Ce mouvement ne le réveille pas, mais le fait se retourner...à suivre 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 20 septembre 5 20 /09 /Sep 05:49

 

— Tu veux arrêter là? C'est trop dur? C'est encore possible!

— Non je veux ma moto et pour ça j'ai besoin des euros.

 

 "tu prendras ton pied en te concentrant uniquement sur ton plaisir du cul..."

Porte Dauphine, vendredi 24 août, 1h00

Dom glisse un doigt dans le cul de Benoît et lui caresse sa rondelle chaude et dilatée par le fist récent. Benoît se laisse flatter la croupe et tend bien son cul aux doigts qui le travaillent. Il a bien changé en quelques heures le petit lycéen hétéro de banlieue.

— Les mecs vont se régaler, tu es prêt, ton trou est doux, chaud et accueillant. Aurélien et Yann, en chasse! Ramenez nous du gros calibre.

À peine à bon port, Yann et moi sortons et trouvons un jeune black bien habillé, nous lui proposons de se servir d’un petit mec à l’abattage tout de suite. Je le conduis à la camionnette. Le jeune black sort sa queue énorme et veut se faire sucer, la bite noire n'en finit pas de gonfler. Dom force Benoît à s'agenouiller et lui bloque la tête. Le black enfile sa queue dans la belle bouche grande ouverte. Benoît a du mal à l’avaler. Le black pilonne et essaie de s'enfoncer le plus loin possible. Benoît doit faire des efforts pour ne pas la rejeter. Le black finit par jouir, un peu trop vite, au fond de la gorge.

— Dommage, il faut en trouver un autre!

Yann, très actif pour trouver des clients, me signale un grand blond genre bonne famille d'une trentaine d'années. Il est facile à convaincre et quand il voit Benoît, il lui fait signe de s'accrocher à une barre sous le toit, il veut le baiser debout. La queue du blond est fine mais il est violent et il défonce littéralement notre petit lycéen. La queue rentre et sort à toute vitesse, puis le blond demande à Benoît de branler son cul sur sa queue, il s'exécute et son cul va au devant de la bite. Pour bien montrer au petit sa condition de pute le mec lui glisse deux billets dans son collier. Nous repartons en chasse mais il se fait tard et nous rentrons bredouille. Dom décide alors d'appeler le chef sur son portable. Je comprends que des mecs, clients habituels du «Groupe» sont intéressés par Benoît pour pimenter leur fin de soirée. Dom explique:

— Pour ce plan tu auras les yeux bandés, ça va être un peu dur mais tu verras que tu prendras ton pied en te concentrant uniquement sur ton plaisir du cul. Prépare toi pour une dizaine de queues minimum.

— Je commence à être fatigué et à ne plus sentir grand-chose quand on me baise.

— C'est ta dernière épreuve! après tu seras déclaré apte pour le service.

Enghien, vendredi 24 août, 2h45

La camionnette repart vers le Nord Ouest et une banlieue très chic. Une grande villa de grand style toute illuminée. Dans le jardin, beaucoup de voitures stationnent sur une sorte de parking. Nous sommes accueillis par un grand mec d’une trentaine d’années, au crâne rasé, tout harnaché en cuir et à l’accent américain prononcé.

— Je m’appelle Bruce et j’ai passé commande d’un petit lycéen, il est là?

— Oui mais peu habillé.

— Il est prêt à être consommé alors ! Il est attendu très impatiemment car les minets de ce soir commencent à fatiguer. Je peux le voir pour constater qu’il fait l’affaire? Même si comme d’habitude avec le «Groupe» il doit être parfait et bien soumis.

J’aide Benoît à sortir de la voiture et avec sa petite tenue de soumis il fait de l'effet, Bruce lui passe une laisse à son collier, lui enfile un masque de cuir pour qu'il ne voie rien et l'entraîne vers l'intérieur. Il nous fait signe de suivre. Il faut monter au deuxième étage et nous entrons dans une sorte de donjon pour «maître» cuir, le tout est très bien équipé pour une orgie.

Dans la pièce aménagée il y a là déjà huit mecs en tenue sexe et trois minets assez typés, totalement nus et visiblement sous l'effet de divers produits. Le premier un petit mec de type asiatique très lycéen bien sage à la peau mate et lisse, il est attaché le dos contre un mur, les mains attachées très haut. Un mec en look cuir total, chaps, harnais, casquette, lui travaille durement ses petites couilles lisses, étirées, malaxées, frappées. La petite bite est à peine gonflée, en revanche ses pointes de tétons, très brunes, le sont et montrent des signes d'un travail assez vif et récent. Il se fait frapper durement les couilles et commence à hurler mais son dominateur n'arrête pas, un autre mec vient lui mordre les pointes des seins. C’est violent mais le lycéen bande maintenant très dur et s’offre aux deux mecs. Le mec en cuir le détache et lui prend le cul d’un coup pendant que l’autre continue à s’acharner sur ses couilles.

Le deuxième minet, un petit beur assez trapu aux cheveux noirs rasés qui semble dans un état second. il est en train de jouer avec trois mecs, il suce un baraqué totalement nu très bien monté et au physique de rugbyman, se fait défoncer le cul par un petit mec nerveux revêtu de latex et un autre agenouillé lui suce sa belle queue. Le minet semble prêt à tout. Je m'aperçois à ma grande surprise, que parmi les invités il a des gens connus du showbiz. C'est pour cela qu'il faut que Benoît ne voie rien au moins pour le démarrage, cela pourrait le bloquer, il faut qu’il assure. Le petit mec nerveux en latex s'allonge sur le sol, il fait signe au jeune beur de venir s'empaler. Ce qu’il fait sans problème. Les autres mecs viennent ajouter chacun un doigt. Le beur réagit un peu mais se laisse travailler le cul.

Le troisième jeune mec est un grand blond très clair de type scandinave avec une peau lisse et rose, il est en train de se faire lécher par trois mecs qui explorent tous les recoins de son corps. Benoît est dirigé par notre hôte vers un sling et attaché.

— Ils vont me défoncer le cul?

— Bien sûr, au moins ça, mais je veille à ce que ça ne dérape pas trop.

Il comprend clairement ce qui l’attend, être offert à tous les mecs présents, mis à l’abattage. Sa tête pend renversée en arrière dans le vide. Bruce approche un siège et vient lécher puis bouffer le cul lisse et offert, il mâchonne les lèvres du cul du futur lycéen de terminale. Un mec qui vient de laisser le petit asiatique vient se faire sucer, posant avec soin ses couilles sur le masque. Bruce enfonçant un doigt puis un autre dans le jeune cul dit:

— Très beau cul! Ouvert, lisse et musclé. On va tous lui bouffer! Il est très bien travaillé, ouvert et chaud avec des lèvres épaisses. Je vous l'offre à tous pour la fin de soirée! Cadeau! À utiliser sans limite.

Je frémis en entendant cela, car Benoît n’a vraiment pas beaucoup d’expérience. Il va d'abord se faire bouffer la chatte par tous les mecs présents y compris les trois minets. Je vois ses lèvres anales gonflées, rougies, dilatées, mordues. Cela dure bien quelques dizaines de minutes. Après une petite pause avec quelques remontants, Benoît va prendre dans le cul ou dans la bouche tous les participants à la soirée y compris le chanteur connu et le présentateur de télé. Ça lui fait plus que les dix bites promises. Et même le jeune beur vient le sauter aussi se défoulant ainsi de toutes les bites prises dans la soirée. Le petit asiatique nettement plus vicieux et visiblement expérimenté malgré son âge vient le fister et le jeune blond se fait sucer par la même occasion. Benoît l’avale avec un râle de plaisir, ce n’est pourtant pas la première queue dans sa bouche de la soirée mais là il a l'impression de choisir le partenaire. Le fist n’est pas trop difficile car le mec a une petite main, le passage se fait sans problème puis il explore assez profondément le cul de Benoît jusqu’à mi-bras. J’en profite pour aller enculer le blond qui s’est bien fait ouvrir le cul à la langue. Je rentre d’un seul coup et je ne sens chez lui aucune résistance, il a été bien dressé. Benoît semble au bout de l' utilisation qu'on peut faire de lui, pour un garçon puceau il y a deux jours on peut dire qu’il a fait le grand jeu. Au moment du départ, le maître de céans retire le masque de Benoît et introduit une enveloppe dans son collier:

— C'est pour toi ma pute! Tu peux revenir quand tu veux, on te fera le grand jeu.

Benoît a besoin d'être soutenu pour rejoindre notre camionnette. C'est fini. Nous repassons par le garage, je récupère la voiture et Benoît m’embrasse, il vient dormir chez moi.

Levallois, vendredi 24 août, 6h00

À peine arrivé, il s'effondre, les yeux pleins de larmes. D’un doigt il caresse les bords de son trou béant, franchement surpris par son évolution. Je le prends dans mes bras pour le consoler:

— Tu veux arrêter là? C'est trop dur? C'est encore possible!

— Non je veux ma moto et pour cela j'ai besoin des euros. Et puis j'ai tout de même bien joui! 

la livraison est prévue pour le lendemain à Fribourg.

 

— Tu en as assez ou tu veux qu'on fasse une baise cool avant de s'endormir?

— Je veux bien baiser très doucement avec toi, te baiser.

— Je te prendrai après.

Il veut me baiser pour retrouver son statut de petit mec. Je le laisse faire. Il m’allonge sur le dos, m’écarte les cuisses, se couche sur moi puis il me prend tranquillement et jouit assez vite. Puis je le fais s'allonger sur le ventre avec les jambes musclées écartées. Ainsi son cul ressort très bien. J'approche les lèvres de son trou très ouvert, rougi, ourlé, gonflé. Je m'allonge sur lui et le pénètre lentement mais fermement, à sec. En même temps je lui saisis sa bite et le branle. Il m'inonde la main de sperme, la soirée avait constitué des réserves, et je jouis en lui, au plus profond.

Ivry, vendredi 24 août, 14h30

L'après-midi, Benoît et moi repassons par le garage, Yann nous attend avec le 4x4, la livraison est prévue pour le lendemain à Fribourg. Yann nous précise clairement le plan. C'est un groupe S.M. qui cherche un lycéen blond à larver mais qui ne soit pas une pute expérimentée. Il faut qu’il soit surpris et qu’il résiste, enfin un peu seulement ! Le chef me passe un coup de fil pour préciser les conditions de la livraison de Benoît et l’adresse. Il me dit aussi que Ryan fera une petite visite au garage pour être rendu à son mec en fin d’après-midi.

Yann a préparé des fringues superbes en cuir qui attendent Benoît.

— C'est pour toi, habille-toi, c'est du sur mesure et tu pourras les garder pour ta moto, c'est un cadeau du chef qui t'a beaucoup apprécié pour tes efforts pour bien faire hier soir. Et Fabien a beaucoup apprécié d'être ton premier fisteur.

— Merci! je vais essayer tout de suite. Vous pouvez me dire ce qui m'attend car je suis un peu tendu tout de même.

— Ce n'est pas le moment de te crisper! J'ai fait ce plan avant toi il y a un an juste pour mes 18 ans. Tu vas en prendre par tous les trous pendant deux jours sans arrêt ou presque ! Ils veulent rentabiliser l'investissement. Quand ton cul sera fatigué ils auront de l'imagination : poids aux seins et aux couilles, cire, fessée, martinet, coups subtils et puis ils t'ouvriront aux godes, au spéculum, au plug, aux boules... rien de trop dur ni de nouveau pour toi !

Benoît s'habille et commence par le jockstrap en cuir, les bottes, le pantalon, le harnais, le blouson. Il y a aussi des chaps qu'il met dans un sac. Yann et moi lui posons des bracelets de cuir et un collier. On se recule: superbe ! à consommer sur place ! Mais ce n'est pas le moment d’abuser de lui!

— On se fait quelques cassettes?

— Pourquoi pas? On a ce qu’il faut?

— Oui, bien sûr, quelques plans récents.

Nous nous mettons tous les trois face à un écran et le spectacle démarre.

Ivry, vendredi 24 août, 17h

Quelques coups à la porte du garage et Seb arrive avec une fille superbe, brune et élancée.

— Voilà Ryan, prête pour son premier bal! Vous pouvez voir que Ludovic a bien du talent!

— Ce n’est pas vrai ? C’est Ryan cette nana?

Benoît est très étonné de la transformation:

— Ryan, t’es super, je te baiserai bien sur place

— Benoît, une belle fille comme cela ça se mérite ! Tu me donnes ton cul et tu pourras utiliser le sien!

— D’accord comme tu veux!

Comme Benoît est directement accessible dans sa tenue de cuir, Seb se met derrière lui sans préparation et l’encule brusquement. Vue l’épaisseur de la queue de Seb ça passe plutôt bien, les travaux effectués sur le cul de Benoît sont visiblement efficaces. Ryan s’approche et caresse les couilles de Benoît à demi plié. Il l’encourage par quelques mots doux à se donner totalement. Après quelques enculages rapides, le cul de Benoît s’assouplit et notre lycéen intrigué soulève la robe de Ryan. Dessous Ryan porte un string de dentelle rose, sa queue a été attachée entre ses cuisses, si bien qu’on croirait vraiment une fille. Seb jouit bruyamment et Benoît se redresse la queue droite, il fait signe à Ryan de montrer ses fesses, il(elle) a été superbement épilé(e). Benoît s’agenouille pour voir l’anus de prês, le trou est rose et gonflé du travail effectué la nuit dernière, Benoît y pose sa langue et déguste le bouton de rose.

— Baise la vite, son mec va arriver.

Benoît ne se le fait pas répéter et il place son gland sur la rondelle épanouie. Il pénètre d’un coup ce cul de minet qui en a vu d’autres. Quelques allers et retours et Benoît selon son habitude jouit assez vite. On sonne à nouveau, c’est le mec de Ryan, plus âgé que je croyais, trente-cinq ans, beur aussi et culturiste avec des muscles impressionnants. Il nous salue tous et embrasse goulûment Ryan.

— Vous avez fait du bon travail comme d’habitude! Elle est parfaite! Tu viens ma chérie...

Le mec prend Ryan par les fesses et sort avec un grand sourire.

— Seb, Qu’est-ce qui lui arriver maintenant?

— Ils vont aller dans une boîte à partouze hétéro et bi, c’est ce qu’il aime et Ryan va en prendre dans tous les trous. En fait ce n’est qu’un début, ce mec fournit en travestis quelques établissements parisiens... et Ryan est d’accord pour se faire traiter pour avoir des seins rien que pour lui faire plaisir.

Mais un coup de fil de Dom, interrompt cette conversation.

— Il y a un programme imprévu pour ce soir, une commande très spéciale d’un membre du «Groupe» qu’il est impossible de refuser. Je passe au garage en début de soirée et après j’ai besoin de Yann et de toi pour la nuit.

— Mais on doit partir demain pour l’est ! Et que fait-on de Benoît?

— Pas de problème, vous serez libre vers 2h du matin et Benoît peut vous suivre, il a des choses à apprendre sur la réalité du «Groupe» ce petit.

à suivre si vous voulez  dans (5) échappée impromptue en banlieue parisienne avant l'ALLEMAGNE il est temps de dormir un peu avant la route qui nous attend....

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 19 septembre 4 19 /09 /Sep 23:37

Benoît est-il prêt à subir la loi d'une vingtaine de mecs qu'il ne choisit pas ?

   

 

Le Vésinet, jeudi 23 août, 20h30

La camionnette se gare près de l'entrée de la discrète villa. Nous sortons avec Benoît, toujours presque à poil. Un dîner nous attend et il est le bienvenu. Fabien est là, en jockstrap lui aussi, toujours aussi excitant. Le chef dévore Benoît des yeux, à la fin du repas il s'adresse à lui:

— Benoît, tu as fait de très gros progrès aujourd'hui mais je veux voir, ce soir, si tu confirmes ces qualités dans un dernier entraînement. C'est nécessaire pour t'envoyer en Allemagne où ce n'est pas qu’à ton cul qu'ils en voudront. Je ne veux pas que tes clients soient déçus.

— Oui! Je veux bien continuer l’entraînement, j'ai le cul encore très chaud mais ça doit aller, Dom m’a super bien ouvert.

— J’ai vu, mais cela ne suffit pas. Suis moi! Fabien aussi.

Benoît a compris qu'il devait, à nouveau, y passer et sans doute plus durement. Le chef le fait passer devant lui, lui caresse le cul en le pressant vers une porte. Fabien les suit et pose lui aussi une main sur les fesses du lycéen blond avec deux doigts pressant sur la rondelle en feu. La porte se referme. Sans moi.  Je suis un peu jaloux car le chef ne s'est pas occupé personnellement de moi. Voyant ma déconvenue de ne pouvoir voir ce qui se passe dans la pièce, Dom me dit:

— Il ne touche jamais aux plus de 18, et même, là, Benoît est un peu trop mâle pour lui. Mais le fait qu'il soit un peu hétéro et dépucelé depuis 24 heures l'excite. Il a envie de le posséder, tant mieux s’il se révolte un peu, Fabien est là pour entretenir son érection car il préfère que le mec bande quand il s’occupe de lui.

Du bruit arrive de la pièce voisine, notre petit Benoît semble se rebeller, nous l'entendons dire non. Puis plus rien. On entend des coups mats. Nous écoutons les bruits qui viennent de la pièce voisine tout en regardant un film porno. Ce sont maintenant des cris de jouissance prolongés, forts. Nous reprenons nos discussions autour de la table:

— Ce n'est pas un peu dur pour lui? Il n’a pas beaucoup d’expérience.

— Non! Il a montré qu'il prenait bien par le cul et la bouche, il a aussi les tétons bien sensibles, maintenant il découvre des choses nouvelles, doucement, il est jeune mais déborde de l'envie d'apprendre. On n'est pas à fond et il faut qu'il se prépare à connaître des sensations nouvelles et à vouloir se faire baiser en série, à subir la loi d'une vingtaine de mecs qu'il ne choisit pas. Avec son allure il aura beaucoup de succès, surtout qu’il est réversible. Il a un mental de soumission aux mâles intéressant.

— Vingt mecs! On ne lui en avait pas dit autant.

— Oui, pas vingt ensemble rassure-toi. De toute façon la soirée ne fait que commencer. Et on le testera là aussi sur ce point.

Au bout d'une heure où les bruits mats et les cris de jouissance se sont succédés, le chef nous appelle et je découvre Benoît totalement attaché sur un sling avec une cagoule de cuir aux yeux obturés, d'énormes pinces aux seins, les couilles bleuies tirées vers le haut grâce à un système de poulie et de poids, la bite couverte de cire. Benoît résiste bien à ce plan hard, il a le cul bien dégagé et je vois la base d'un gros plug enfoncé. À côté du décontractant et la série de godes qui viennent de servir: du «4» au «7». À côté du «7», le «8», qui est gonflable n'a pas encore servi. Il y a aussi un écarteur de cul qui a visiblement servi et des bouteilles de poppers.

Le chef se charge de l'ouverture finale, il retire le plug et travaille à nouveau le cul avec ses doigts. Il enfile le gode gonflable légèrement rigidifié et commence à pomper. Le gode grossit et ouvre peu à peu le cul. Benoît gémit mais le gode reste bien en place, de plus en plus gros. Le chef dégonfle alors le gode et l'extrait du cul totalement ouvert. Je pourrai le baiser sans toucher les parois de son cul. Fabien s’approche et se graisse la main droite

Je sais qu'il va passer au fist car le cul est assez ouvert y compris en profondeur par le gode gonflable. Fabien tourne et retourne ses doigts, il les enfonce et met la pression sur l'anus dilaté. Yann passe le poppers sous le nez de Benoît. Fabien réunit ses cinq doigts, la main passe jusqu’au poignet, notre lycéen souffle de plus en plus. Fabien semble adorer fister et prend son pied. La main se retire et rentre lentement une deuxième fois. Le cul semble avaler la main. Benoît jouit lentement, son jus s'écoule doucement hors de sa bite grosse et molle. Le fist se poursuit, lent et puissant, Fabien est un vrai spécialiste. Benoît plane très loin au-dessus du sling! Après quelques minutes de pause, Dom détache un Benoît chancelant qu'il faut soutenir pour qu'il aille s'allonger par terre un peu plus loin. Le chef s'adresse à Benoît:

— Tu as deux heures devant toi pour récupérer avant de passer à l’étape suivante. Que dirais-tu d'une petite vidéo spéciale?

— J'en ai déjà vu une super chez Aurélien.

— Oui, justement celle là est très bien aussi et elle est consacrée à Aurélien!

Le Vésinet, jeudi 23 août, 23h00

Dom insère la cassette qui je m'en aperçois vite m'est entièrement consacrée: c'est une petite partie, montée, de tout ce que j'ai fait au garage, dans la camionnette et après. Benoît me regarde étonné, il devait penser que j'étais un actif, une queue et là il me voit en prendre par les deux bouts, il regarde le forçage de mon cul lors du fist. Il voit aussi des plans de baise forcée. Il ne réagit pas particulièrement, il est vrai que le petit Fabien continue des caresses insistantes sur sa queue pour maintenir l’excitation. La vidéo me fait rougir un maximum mais les compliments du chef atténuent la situation:

— Aurélien tu es un très bon coup, vicieux à souhait, ton film est déjà beaucoup téléchargé sur internet. Et, à voir Benoît, tu as aussi beaucoup de goût.

Vers une heure du matin, Fred et Seb arrivent à la villa, avec un jeune beur fin et souriant. Immédiatement il est mis nu. Il a un beau corps bien dessiné et très poilu, une belle bite fine et longue. Fred joue tout de suite avec ses tétons assez bien marqués. Le chef présente Benoît à Fred et à Seb puis il nous dit:

— Il est temps de passer à la phase finale pour Benoît. Il va nous prouver qu’il est un mec qui en veut et qui aime la bite. Dom, Yann et Aurélien vous allez le conduire dans Paris.

— À l’endroit habituel?

— Oui! Vous irez d'abord porte Dauphine avec la camionnette. Alors Benoît tu es d’accord et prêt à accepter ce qu'ils te diront de faire.

— Oui, si ce n’est pas dangereux.

— Pas d’inquiétude! Si tout va bien, si tu résistes bien à cette dernière série d’actions tu partiras pour l'Allemagne parce que tu seras prêt. Je reste avec Seb et Fred nous allons nous occuper de Ryan. On va t'habiller pour ta soirée.

— D'accord mais de quel plan s'agit-il?

— Tu vas t’offrir à des mecs qu’on va te choisir: Je veux que tu t’approches le plus possible de 10 mecs.

— Mais j’ai mal à mon cul qui me chauffe beaucoup.

— On va te le refroidir un peu, cela n'en sera que meilleur.

Dom nous entraîne Benoît et moi dans la salle de bain pour rafraîchir le cul et le bout des seins allongés et durcis du lycéen. Puis il enfile à Benoît de belles pompes de marque "Caterpillar" noires, un jockstrap blanc et un harnais. Le collier de cuir et des bracelets de cuir munis d’anneaux complètent la panoplie.

— Tu as bien compris le plan? C'est pour t'endurcir. Yann et Aurélien vont à la pêche aux mecs. Quand ils en ramènent un à la camionnette tu fais ce qu'il veut sans discuter!

— OK mais si c'est trop dur...

— On avisera alors! Yann et Aurélien en route! Mais avant Seb tu n’as pas envie de vérifier la largeur?

— Non je le ferai au retour! Cela sera meilleur!

On emballe Benoît dans une couverture pour ne pas qu'il ait froid en raison de l’heure tardive et direction Paris Ouest dans le véhicule habituel. Quand il émerge de sa couverture Benoît demande:

— Et Ryan, il est là pourquoi?

— Son mec veut le féminiser, tu as dû remarquer qu’il est assez fin même s’il fait très mec. Il nous est confié pour le transformer en vraie petite salope prête à tout.

— Ça veut dire quoi?

— Il faut le former à sucer et à prendre toutes les queues dans la bouche et le cul. Il faut aussi lui élargir le cul aussi car il est étroit.

— Comme pour moi?

— Non, toi on te veut bien large mais en mec, Ryan lui va, après une bonne séance d’ouverture, être habillé en fille, avec bas et porte-jarretelles, soutien-gorge et perruque. Le «Groupe» prend parfois en charge ce genre de transformation avec l’aide de spécialistes, nous avons un maquilleur extraordinaire, il s’appelle Ludovic tu le verras tôt ou tard! Demain soir Ryan sera prêt à être rendu à son mec et sera une jeune fille, une jeune salope plutôt, tout à fait crédible. Si j’ai bien compris son mec veut la conduire dans un boîte à partouze et la faire sauter par tous les mecs qui voudront sans la prévenir auparavant...

— Je l’aurais bien enculé avant!

— Maintenant, tu oublies ta bite, tu n’es pas là pour cela!

 

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 19 septembre 4 19 /09 /Sep 14:48

2. la fiction en grande largeur...comme une histoire de vampires...vous allez m'en vouloir... 

Aurélien : - je suis un recruteur pour mon Groupe...Benoît pue le sexe et il a un cul fait pour le désir des mecs même s’il ne le sait pas encore! Finalement ça fait un certain temps que je ne me suis pas fait un petit cul bien serré... Il est temps de repasser à l’attaque car avec le «Groupe», je suis essentiellement à leur disposition ! ..  Le "Groupe" a reçu une commande pour un jeune mâle sportif 18++, K++, Q++, blond très clair, lisse, à dresser en esclave de la bite pour samedi ." Mission impossible, non ?

tu devras tout accepter...de tous les participants quelles que soient leurs exigences  

Levallois, jeudi 23 août, 9h30

Mais vais-je faire cela à Benoît? 

Le lendemain matin, je profite du sommeil de Benoît pour appeler Dom. Il m'a dit à notre dernière rencontre que si j'étais avec un petit mec homo assez chaud il fallait l'appeler pour le cas où... Le «Groupe» a apparemment de gros besoins en jeunes mecs volontaires. Je ne sais pas le plan que Dom mijote exactement mais cela vaut le coup d'essayer, j’ai envie de voir Benoît devenir un accro du cul.

— Salut Dom!

— Tu récupères de l’autre soir?

— Je commence à être endurant, la preuve je suis avec un petit minou charmant, bi, actif et passif, 18 ans tout juste. Il a un cul d'enfer et est bien foutu. Je lui ai fait les trois dépucelages hier soir: bite, cul, bouche et il en voulait encore. Mais pour l'instant, crevé, il dort toujours.

— Si je résume c'est une vraie belle petite salope à peine dépucelée! Tu sais que tu m'intéresses. Le "Groupe" a reçu une commande pour un jeune mâle sportif 18++, K++, Q++, blond très clair, lisse, à dresser en esclave de la bite pour samedi en Allemagne pour deux soirs. Ce n'est pas facile, parce que trouver un mâle de cet âge qui accepte d'être larvé et pour en faire un soumis aussi vite, ça craint ! Par un plan 18 on n'y arrivera pas, le minet ne sera pas assez docile. On risque de perdre la commande et des clients réguliers.

— Je le défends: c'est encore presque un puceau, sans aucune expérience du hard et il n'est pas blond clair.

— Ce n'est pas grave la couleur ça se change! Et puis il semble accro à la bite! À préciser qu'il y a un paquet considérable d’euros par jour pour lui, ce n'est qu'un plan de deux jours, ils veulent un vrai jeune mec, très mâle, volontaire et bien pute car il doit accepter sans rechigner son statut de larve sans limite. Tu lui en parles, s'il ne veut pas en passer par-là, ça ne fait rien, mais essaie de le convaincre.

— C’est vrai qu’il est assez vicieux, tu veux que je t’envoie des photos? j’en ai fait quelques-unes.

— Oui, ça me fera une idée.

— Et si j’arrive à le convaincre de participer au plan?

— Je le prépare cet après-midi et ce soir, surtout en dilatation et soumission. Puis livraison presque immédiate en Allemagne. Tu pourrais y aller avec Yann et le 4x4. S'il est OK tu l'amènes au garage en blond clair et épilé sur tout le corps, cela sera toujours cela de fait.

— Je t’envoie tout de suite les photos par courriel, tu verras il est craquant.

La double perspective d'une nouvelle expédition en 4x4 avec Yann pendant quelques jours m'excite assez, ça me ferait quelques jours de vacances gratuites et pour Benoît ça lui ferait sa moto. Mais vais-je faire cela à Benoît? Il voulait se faire dépuceler mais veut-il plus? Veut-il plonger dans la dépravation et la soumission aux mecs? Quand Benoît se réveille, je lui caresse la bite déjà dressée, je le suce sur toute sa longueur et il jouit assez vite. Décidément c'est un rapide qui est à contrôler! C'est à ce moment que je décide de lui parler de ma rencontre avec le "Groupe", je retire le plus hard pour lui parler seulement de garçons préparés pour des livraisons à des mecs et des cassettes vidéo. Je lui précise bien la situation:

— Les mecs doivent donner leur cul, leur bouche et leur queue sans condition à tous les mecs qui le demandent.

— C’est très excitant!

— C’est une sorte d’entreprise qui travaille aussi sur le Net, il m’arrive de faire des choses pour eux.

— Qu’est ce que tu fais?

— Je suis déjà, par exemple, allé chez un mec qui m’attendait. Il m’a fait faire un plan Internet en webcam. Ça rapporte pas mal.

— Tu fais la pute?

— Non, c’est pour le fun et tu sais, le fun, il y en a beaucoup au «Groupe». Ceci dit il y a quand même des petits cadeaux. J’ai parlé de toi au téléphone avec un responsable tout à l’heure. Il te propose, puisque tu es libre en ce moment, un plan plus qu’intéressant.

— Il faudrait que je fasse quoi?

— Deux jours de plan baise très hard en Allemagne pour un gros paquet d’euros.

— Les euros m'intéressent pour ma moto, c'est un plan baise? Avec qui?

— Oui, baise sans limites mais il y aura des fantaisies en plus, il faudra aussi que tu acceptes volontairement tous les mecs dans la bouche et le cul, et il y en a qui seront montés beaucoup plus gros et longs que moi et qui voudront jouer longtemps avec tout ton corps, ton cul, ta bouche ou ta bite surtout.

— Ça peut être sympa mais je n’ai pas du tout d’expérience et je ne sais si je peux vraiment faire ça sans craquer.

— C’est pour cela que Dom, le mec en question, propose de t’essayer cet aprèm’, il est gentil, bien foutu, très bon baiseur et très bien pourvu. Si cela ne va pas, si ce plan te semble trop raide ce n'est pas grave, on rentre ici. 

 Tu verras que tu n'auras pas envie de jouer avec ton cul ni avant ni après

— C'est pour quand?

— Dans deux jours en Allemagne, puis retour deux jours plus tard. J'irais avec toi dans un superbe 4x4 et un copain, Yann, mignon comme tout.

— Il est baiseur?

— Tu verras que tu n'auras pas envie de jouer avec ton cul ni avant ni après. Mais pour l'instant Yann est un Q, comme moi, et tu as vu que je sais aussi baiser! Yann a vraiment un très beau cul mais il aime bien sauter des mecs aussi, comme moi. Alors tu passes aux actes cet après-midi? Pour tester?

— Allez! On essaie, cela peut être bon, tu veux me baiser maintenant pour commencer?

— Pas tout de suite! Il faut te préparer pour cet aprem' et garder tes forces. Je vais commencer par te faire une beauté, te décolorer en blond clair, et t'épiler tout le corps. C'est nécessaire, c'est ce que veulent les utilisateurs de ton petit corps d'athlète!

Il rit et je l'entraîne vers la salle de bain, un peu de barbe lui obscurcit, en ce petit matin, le visage. Heureusement que Yann m'a laissé son spray dépilatoire car il y a du travail sur les jambes, ailleurs son duvet léger part très vite. Je lui soigne particulièrement le cul puis m'attaque aux ciseaux aux poils du pubis, le spray lui fait vite une peau douce, il reste à lui raser les couilles. Tout se passe bien et Benoît se laisse faire très docilement. Il est maintenant tout lisse, et ses muscles sont bien dessinés. Je lui masse le corps avec une huile adoucissante. Je sors quelques instants acheter un colorant car je n’utilise pas ce genre de produit. Quand je rentre je le trouve en train de se branler lentement. Je m'attaque à la décoloration. Une heure après il est transformé: blond les cheveux dressés sur la tête, épilé en totalité. Je lui passe du gel extrême pour les cheveux pour les lui mettre en pétard. Craquant le minet!

Benoît est très docile et a envie de connaître de nouvelles choses. Je lui lave le cul à fond, il se laisse toujours faire, il bande dur mais je dois plusieurs fois l'empêcher de se branler, visiblement il aime ça! Il remet le petit slip bleu difficilement car sa queue déborde! Le 501 noir, le t-shirt en lycra et le sweat blanc suivent. Il est vraiment à croquer sur place et je dois me retenir pour ne pas le sauter tout de suite. Après un passage au Mac'Do, je le conduis au garage. Benoît est très excité à l'idée de baiser avec un mec inconnu. 

 

Benoît tu es très mignon et tu as un très beau cul,

 

Ivry, jeudi 23 août, 15h

Yann et Dom nous attendent et pour patienter Dom est en train d'épiler Yann totalement nu; Yann est un blond poilu à pousse rapide! Je leur présente Benoît. Après un sifflement admiratif, Dom lui caresse les fesses aussitôt, envoie une main dans la ceinture et glisse un doigt vérifier la docilité de son cul. Benoît se laisse faire en souriant. Yann vient aussi constater de l’index l’état du trou de Benoît.

— Superbe, Benoît tu es très mignon et tu as un très beau cul, un trou bien souple et maintenant que tu sais t'en servir, puisque Aurélien te l'a ouvert. Il ne faut pas le laisser se refroidir!

— Merci du compliment, mais je n'ai qu'une expérience récente, hier soir, rien de plus. J’étais puceau du cul hier midi!

— Tu crois que tu pourras supporter un plan un peu plus hard? Je vais te baiser sans scrupule, profiter de toi et de tes fesses.

— Je ne sais pas si je peux tout supporter mais je veux bien essayer et puis Aurélien est là, j'ai confiance.

— Je vais y aller en douceur, on n'est pas pressé, le but est que tu aimes te faire baiser de plus en plus hard. Aurélien va commencer par te baiser et je me contente de regarder, après je passerai aux choses sérieuses. Mais, il faut t’élargir le cul, regarde ce qui t’attend.

Je repère que les caméras tournent, l’initiation au hard de Benoît va être vue en direct. Dom baisse son boxer et tend son énorme queue vers Benoît qui s’approche et tâte admiratif le paquet. Il se met à genou pour le sucer. Il a du mal à avaler le gland mais y parvient tout de même et s’essaie à sucer le mieux possible les 25 ou 26 centimètres de Dom. Au bout de cinq minutes, Dom lui fait signe d’arrêter et de passer aux choses sérieuses. Benoît et moi nous mettons totalement à poil. Yann pousse un petit cri en voyant le corps de Benoît: musclé, les tétons pointant sous le t-shirt en lycra blanc et la queue raide soulevant la ceinture de l’«Aréna» bleu . Dom arrache le slip plus qu’il ne le baisse et vient lui soupeser l'outil trois pièces. Il installe l'ado nu sur un palan, Benoît s'allonge, le palan remonte Yann lui attache des bracelets aux chevilles et aux poignets pour qu'il reste bien en place, les bracelets sont reliés aux chaînes de suspension. Benoît bande toujours. Je m'agenouille et me place en face au trou qui s'est refermé depuis hier soir. Nous allons voir si Benoît a retenu la leçon.

Je lui bouffe le cul et très vite Benoît s'ouvre à la langue, il pousse bien. Yann lui pose un collier de cuir et lui travaille les pointes des tétons avec les doigts, je sens le cul de Benoît s'ouvrir encore. Il s’offre à nous peu à peu. Yann lui passe du poppers sous le nez. Je me redresse, verse un peu de gel chauffant et d'un coup sec ma queue raidie le transperce. Il retient mal un cri. C'est Dom désormais qui travaille les pointes de sein de Benoît et c'est moins doux qu'avec Yann, il lui met de petites pinces et travaille les petits tétons en force. Il y va très dur. Les futurs utilisateurs des pointes de tétons de Benoît seront sans doute encore plus hards. Je ne me retiens pas, sachant qu'en présence de Dom, je ne suis pas une queue crédible. Je jouis sans retenue et sors vite du cul de Benoît.

— Ne te refermes pas Benoît, reste ouvert au maximum, pousse sur ton cul.

Dom place un spéculum sur le trou du jeune homme. Il le chauffe un peu et l’enfonce avec délicatesse

— Détends toi totalement et je vais ouvrir ton petit cul au maximum avec un ouvre-cul, tu verras c’est très bon.

Dom écarte peu à peu les branches du spéculum, le trou s’ouvre docilement. Benoît pousse des petits cris mais son cul s’ouvre peu à peu donnant plusieurs centimètres de diamètre à sa rondelle. Dom referme le spéculum et le retire puis il présente son énorme queue de 26 cm devant le trou. Le bout du gland très épais pénètre, la crème silicone fait son apparition, elle est la meilleure pour la glisse intense parce qu’elle ne chauffe pas le trou. La fente de Benoît est tartinée abondamment, ça va glisser presque tout seul si notre jeune ami se décontracte. Je vais parler à Benoît, doucement, à son oreille. Je lui caresse doucement le visage puis je m’écarte pour laisser Benoît à son plaisir. L'énorme queue de Dom se positionne face au trou. Benoît fait du mieux qu’il peut pour se dilater, poppers aidant, Dom s'enfonce un peu du bout du gland. Benoît pousse un cri déchirant quand la partie la plus épaisse du gland le pénètre. Dom le pénètre progressivement par petites vibrations successives. Il ne peut toutefois pas aller au fond du cul.

— Non, je ne peux pas, c’est trop gros!

 Il faut absolument qu’il me prenne en entier

— C’est déjà rentré, le plus difficile est fait, respire lentement et calme toi, je ne vais pas te baiser tout de suite.

— C’est vraiment dur! Tu me fais mal!

— Tu vas bientôt y prendre plaisir, sois patient, respire à fond.

Je tends une bouteille de poppers sous le nez de Benoît, en même temps Yann en jouant sur les chaînes, lui baisse la tête qui tombe en arrière. Yann approche sa belle queue de la bouche ainsi offerte, et son morceau pour ne pas servir souvent n'est pas pour autant de petite taille, aussi long que moi et un peu plus épais. Benoît ouvre la bouche et avale la queue de Yann qui, très vite lui pilonne la bouche en essayant d'aller le plus profond possible, la position le permet. Les couilles de Yann frappent les yeux du petit mec. Peu habitué à être une queue, Yann lui décharge assez rapidement dans la bouche, le sperme s'écoule entre les lèvres de Benoît qui bande toujours, belle nature ! Dom ne parvient toujours pas à placer tout son engin, il insiste pour que toute la longueur y soit, en vain.

— Il faut absolument qu’il me prenne en entier, Aurélien, passe moi les «3», «4» et «5». Je vais goder Benoît.

— Tiens, voilà le trois, je l’ai bien graissé jusqu’à la base.

— Ça va être ton premier godage mais je veux que tu y trouves beaucoup de plaisir. Ce n’est pas tous les jours que j’ai à baiser un jeune mâle superbe et viril qui veut se faire mettre à fond. Je veux te placer toute ma queue et la seule solution est un godage en règle en largeur et en profondeur. Tu veux bien?

Benoît ne répond pas mais le «3» rentre tout seul, il fait 14 de tour il est plus petit que la taille de la queue de Dom. Mais il faut habituer peu à peu Benoît au godage car il s'agit maintenant de le dilater et de le travailler en profondeur. Le garçon prend le gode jusqu’à la racine, Dom appuie pour que le dernier centimètre rentre. Il commence les va-et-vient et peu à peu défonce Benoît qui gémit sous les coups de boutoir. Toutefois il bande dur, je lui caresse les couilles, sans aller plus loin car sa bite est dure et je le sens au bord de jouir. Puis Dom, tout en laissant le gode «3» enfoncé, montre le «4» à Benoît. Cela va être dur, car Benoît était encore puceau il y 24 heures et le «4» est très impressionnant: 18 de tour et 25 de long. Comme la queue de Dom mais sans la souplesse! Benoît est en confiance et ça passe sans problème dans un premier temps. Un limage intense du cul commence qui fait délirer le blondinet. Ses muscles se tendent et se détendent. Benoît se fait bien ouvrir en largeur comme en profondeur mais pour la suite ce n’est à l’évidence pas assez.

Dom prend le «5» et là c'est une autre histoire, 20 de tour et 30 de long. Le bout du gode est posé sur le trou mais Benoît n'arrive pas à le prendre davantage. La dilatation est insuffisante. Il faut utiliser la xylo anesthésiante et le J-lube mais finalement Benoît pousse bien, ses lèvres du cul se dilatent, s’affinent et entourent le gros gode noir qui finit par passer à son tour. Il en veut le petit! Le «5» ne va pas au bout mais il l'a bien ouvert, Dom replace sa bite face au trou, cette fois-ci il atteint le fond du cul du premier coup, une baise rapide suit. Benoît est littéralement transpercé. Il gémit et secoue sa tête dans tous les sens. Je suis rassuré sur ce qu’il ressent en voyant sa bite toujours dressée qui soudain décharge une épaisse purée blanche. On le laisse souffler.

— Ça va petit mec? Tu as un cul fait pour ça!

— C’est génial comme sensation, je crois que tu as été au plus gros que je puisse prendre.

— C’est vraiment très bon de posséder totalement un jeune mec viril et bien foutu comme toi, Benoît! mais pour ce qui t'attend, il faut aller plus loin et t’élargir encore, Aurélien prend les «6» et «7»! Tu veux qu’on attende un peu petit?

— Oui, mais je ne sens plus mon cul! Je sens seulement de la chaleur. Je peux voir?

— Il ne vaut mieux pas, cela va te bloquer et t'interdire d'avancer. Yann, mets-lui le harnais de tête. Je préfère que tu ne vois pas la suite et que tu te laisses porter par ton plaisir anal. Si tu veux passer cette étape il faut une petite préparation spéciale. D'accord?

comme une opération chirurgicale...

je connais ce sourire : il ne me trompe pas à moi : c'est tout simplement du courage

Benoît ne répond pas comme à chaque fois qu’il doit passer une nouvelle étape mais il sourit. Yann prend une série de courroies reliées entre elles et les pose sur le beau visage volontaire de Benoît. Il relie les lanières entre elles: la tête est totalement enserrée et Yann lui ajoute un bandeau sur les yeux. Je tends à Dom les «6» et «7», le «6» fait 23 avec des aspérités, le «7» fait plus de 24 et est totalement lisse en forme d'obus. Dom met un anesthésique puissant sur la rondelle. Yann maintient la bouteille de poppers sous le nez. Dom recouvre le «6» de J-lube et je vais travailler les seins de Benoît. Au bout de quelques instants les lèvres du cul s'ouvrent, se dilatent, C'est le moment, le «6» est présenté puis collé contre le cul. Dom force le passage en mettant tout son poids sur l'opération, le bout du gode entre, Dom l'enfonce peu à peu puis le retire, du bout des doigts il caresse l'entrée du cul et rentre quelques doigts des deux mains. Benoît est totalement parti et son cul reste béant. Le gode rentre à nouveau, glisse, Dom maintenant le lime fort et lui travaille le cul sur un rythme élevé. Le trou est presque plus ouvert en dimension que la taille de son petit cul. Benoît gémit de plaisir.

Dom saisit le «7» mais il y a visiblement disproportion entre le gode et le cul. Le petit cul ne pourra jamais prendre cet engin de guerre. Dom fait signe à Yann de venir, celui-ci enduit sa main de J-lube et enfonce d'un coup 4 doigts dans le cul de Benoît. Il fait un travail du cul en douceur et en force. Le petit mec gémit mais se laisse faire sans resserrer son cul. Yann est au bord du fist. Il prend le «7», s'écarte, le met à la hauteur de sa bite comme si l'énorme engin était sa queue et force.

— Ça ne passe pas! Il faut éviter tout nouveau limage pour ne pas l’abîmer, le cul est dilaté au maximum de ses possibilités actuelles.

— Aurélien, suce Benoît pour maintenir une érection pas trop forte. Il ne faut pas qu'il jouisse si on veut continuer la préparation.

— Je crois qu’il faut faire une pause, on n’est pas pressé.

— OK pour une pause! C'est très bien Benoît, pour un ex-puceau tu as vraiment beaucoup de capacité anale. Tu peux prendre toutes les grosseurs de queue et te faire fister à fond très bientôt. Tu es au point pour l’Allemagne au niveau largeur du cul. Tu es toujours partant?

— Plus que jamais!

 

ah, mon petit !

-Je ne savais pas que je pouvais autant jouir du cul sans jouir de la bite!

Ivry, jeudi 23 août, 17h30

Yann, détache Benoît pour qu'il se redresse et l'aide à se remettre debout. Benoît essaie de marcher mais ne peut maintenir ses cuisses serrées, il tente de sa main de se toucher le cul pour voir où il en est.

— Non laisse, ton cul c'est nous qui nous en occupons et nous faisons tout pour que tu puisses être prêt à la livraison sans dégât. Devenir une petite pute amateur, c'est du travail. Va t'allonger un moment. Après nous allons passer à autre chose que tu subiras aussi. Tu verras c'est bon!

— Je ne savais pas que je pouvais autant jouir du cul sans jouir de la bite!

Je vais le caresser et lui explique une nouvelle fois qu’il est ce que les mecs recherchent le plus, c'est-à-dire un jeune bien mâle bien foutu mais capable de tout prendre dans le cul sans effort car il ne faut pas qu’il craque. Pendant ce temps Dom prépare la suite. Il sort d'un coffre toute une série d'objets en cuir.

— Benoît nous allons d'abord t'habiller un peu, tu vas mettre ces bottes qui doivent t'aller, ce jockstrap en cuir clouté, puis ce harnais de torse et cette casquette.

Au bout d'un quart d'heure, je l'aide à s'habiller, lui enfile la paire de bottes qui monte jusque sous ses genoux, Yann lui passe le jockstrap puis attache le harnais de torse. Dom lui place la casquette noire sur la tête:

— Tu es super mignon comme cela, nous allons maintenant vérifier ta capacité à être transformé en lope, ne t'inquiète cela va être doux.

— Soyez sympa, faites tout doucement.

Il regarde le martinet que Dom a attaché à sa ceinture. Dom lui saisit les bras et les attache sur des bracelets qui sont placés sur la croix en X très écartés puis c'est le tour des chevilles, il est plaqué contre la croix et Dom lui tire la queue et les couilles sur l'arrière, il bande encore le petit salaud. Dom le caresse du bout du fouet, Benoît se détend, Dom commence à le frapper très doucement, il ne faut pas le marquer. Le fouettage est lent, doux, régulier. Benoît tient bien quand les coups deviennent plus durs. Benoît est détaché puis rattaché dans l'autre sens, sa queue se dresse fièrement. Dom lui caresse le paquet avec son martinet, et donne quelques coups légers sur la bite et les couilles. Benoît bande toujours.

— Bon, ça va. On va maintenant s'occuper de ton paquet, on va te faire grossir la queue. En quelques séances tu peux progresser d’un ou deux centimètres.

— Génial! Ma copine en profitera!

Dom sort une pompe Boston, huile l'embout et l'applique sur la queue et les couilles. Il commence à pomper, la bite s'allonge dans un premier temps de deux centimètres, puis gonfle dans le tube. La pompe est détachée et le tube reste en place. Après quelques minutes, le tube est enlevé et Dom accroche un parachute en cuir aux couilles de Benoît. Il y met un petit poids, les couilles s'allongent de deux centimètres. Yann passe du poppers sous le nez de l’ado. Le travail des couilles commence. Je commence à être inquiet d'avoir emmené Benoît dans ce plan. Il est sonné et maintenant accepte tout. Yann lui frappe assez durement les couilles bleuies. Benoît gémit sous les coups.

— Comme il est bien parti, Yann passe moi la presse.

— Tu crois qu’il va supporter?

— Ils vont lui faire là-bas, autant l’y préparer avant.

Dom saisit les couilles de Benoît et les coince dans une sorte de pince plate métallique, puis il serre des vis pour tenir les couilles en place. Dom serre la pince avec les vis et peu à peu les couilles sont serrées. Benoît commence à se débattre. Les couilles de Benoît s’aplatissent dans la pince.

— On arrête là, c’est très bien, Benoît!

Une sonnerie retentit sur le portable de Dom, c’est un coup de fil du chef qui a tout vu en webcam. Il est satisfait de Benoît. Dom lui dit qu’il est une excellente recrue dont le corps plaira beaucoup et qui a une grosse capacité anale et sexuelle malgré son inexpérience. Je comprends que le chef veut qu'on vienne tous chez lui pour la suite. On nettoie un peu le garage, Benoît se repose sur le lit, je le rejoins et lui caresse les couilles du bout des doigts, on s'embrasse à pleine bouche. Il en veut décidément et semble aimer ce qui lui arrive. Finalement il a une vraie mentalité de pute, je l’avais sous-estimé et je ne regrette pas de l’avoir conduit ici. Je lui explique ce qui va lui arriver:

— Tu vas maintenant être testé avec des mecs plus âgés et plus hard encore. Et après tu seras prêt pour l’Allemagne, encore un peu innocent mais très salope!

— J’aime vraiment ce que vous faites même si je ne sens plus mon cul, tu crois que je peux prendre plus gros?

— Tu vas bientôt le savoir.

Nous prenons la camionnette, mettons des treillis, mais Benoît reste nu avec seulement ses botes, son jockstrap et son harnais. Pendant le parcours, il me suce. Il est en progrès.

 

 Tu vas bientôt le savoir...à suivre .

 

   

 

 

 

 

 

 

     

 

 

 

 

 

 

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Samedi 14 septembre 6 14 /09 /Sep 06:15

DIFFICILE D'IMAGINER PLUS DE TENDRESSE !   

Récit dédié, je ne sais pourquoi ? à mon ami Fabien qui sait se faire désirer lui-aussi..

Matthieu et Sébastien Jacquier ?  les gens les prenaient souvent pour des jumeaux (fake)

 

— Les garçons, au lit, il est l'heure... !

— Oh Papa, non... !

— Au lit, j'ai dit. Il y a école demain, non...?

Tous les soirs, se déroulait le même rituel, presque immuable. C'était comme s'ils eussent joué une scène, toujours la même, mais sans jamais s'en lasser. Ils semblaient tous trois, bien au contraire, y prendre un plaisir chaque soir plus intense, plus profond, lié précisément à la répétition. Loin de générer une quelconque lassitude, les gestes refaits encore et encore, les paroles cent fois redites, acquéraient une espèce de perfection formelle, qui se suffisait presque à elle-même et ancraient en eux leur sentiment d'appartenance réciproque. Leur amour. Le sens même des mots, des phrases, ne comptait pas. Seul importaient les regards, les frôlements, les attitudes. Leurs corps, leurs yeux, leurs mains tenaient pour eux le langage que, tous trois, ils aimaient tant à s'entendre parler.

Sébastien, assis sur la moquette et adossé au canapé entre les jambes paternelles, se leva le premier, dépliant avec lenteur son jeune corps souple et délié. L'activité physique intense de l'adolescence, skate-board, basket et autre VTT, avait déjà modelé le relief naissant de son torse et ses jambes, longues et fuselées, s'épanouissaient en de petites fesses serrées, rondes et haut perchées. Désirables.

Debout, il se retourna, souriant, vers son père toujours enfoncé dans le canapé, un bras passé autour des épaules de son frère Mathieu. Celui-ci, à regret, sentit le poids rassurant, la chaleur du bras de son père se retirer de ses épaules, alors que se défaisait l'étreinte dans laquelle il l'avait tenu la soirée durant, devant le film à présent terminé. Mathieu se leva à son tour, prenant appui sur les cuisses paternelles. Tout comme son frère, l'adolescent au corps bien formé, aux traits réguliers, était visiblement l'heureux dépositaire des mêmes gênes qui semblaient assurer aux spécimen mâles de la famille cet exceptionnelle vitalité et cette éclatante vigueur qui faisaient dire autour d'eux...

Les deux fils Jacquier, ils sont aussi réussis de leur personne que leur père... !

A quoi il se trouvait toujours quelqu'un pour rétorquer...

Pas étonnant, dites... Arnaud Jacquier, il en a quand même remporté quelques uns, des championnats de culturisme, hein !

Arnaud Jacquier, détournant les yeux de l'écran où défilait le générique du film qu'ils avaient regardé tous trois blottis l'un contre l'autre, se sentit, comme à chaque fois qu'il posait le regard sur ses deux fils, rempli d'orgueil, de fierté et d'amour paternels. Mathieu n'était le cadet de Sébastien que de dix mois et les gens les prenaient souvent pour des jumeaux. Il sourit aux deux adolescents si beaux.

Le rituel pouvait commencer.

Sébastien fit le tour du canapé et, dans le dos de son père, noua ses deux bras autour du cou puissant de celui-ci. Se penchant sur son visage, il déposa un baiser sur les lèvres épaisses d'Arnaud Jacquier qui avait renversé la tête en arrière pour le recevoir et, sans retirer ses lèvres, murmura, presque dans la bouche de son père :

Tu viendras nous dire bonsoir, Papa ?

— Quand est-ce que je suis déjà allé au lit sans vous dire bonsoir ? dit son père.

L'haleine paternelle, faite d'un léger parfum de tabac brun, de dentifrice mentholé et du goût familier de sa salive agissait comme un aphrodisiaque sur l'adolescent.

Mathieu, quant à lui, de deux doigts hardis, avait ouvert un bouton supplémentaire à la chemise de son père. Glissant la main dans l'échancrure, il s'attarda un peu sur les pectoraux épais d'Arnaud Jacquier, flattant d'un doigt léger un des gros mamelons d'homme. Comme à chaque fois, il se réjouit intérieurement que son père eut arrêté la compétition de culturisme, à présent. Ainsi, il pouvait conserver toute la superbe toison brune qui était la sienne, recouvrant son torse, son ventre, ses cuisses, ses avant-bras... et qui mettait si bien en valeur son corps puissant à la musculature plus lourde à présent, moins écorchée, comme disent les culturistes, mais si sensuelle, si mâle.

— Tu ne tarderas pas trop, dis Papa... ?

C'était une autre des phrases de leur rituel du soir. La réponse habituelle vint, soufflée plus que dite par la voix basse, chaude et virile de leur père.

— Montez dans votre chambre, les garçons. Je viens vous dire bonsoir tout de suite.

Sébastien avait rejoint Mathieu et les deux adolescents serrés l'un contre l'autre, chacun un bras passé autour de la taille de son frère, n'eurent pas besoin de se concerter. Leurs yeux ardemment plantés dans ceux de leur père qui les fixait tout aussi intensément, la réponse de chaque soir vint à leurs lèvres en un accord parfait.

— On t'attends. Viens vite, Papa.

.../...

Depuis leur plus tendre enfance, Sébastien et Mathieu partageait la même chambre. Ayant un peu grandi, leur père leur proposa tout naturellement d'avoir à présent chacun leur chambre. Les deux adolescents s'y refusèrent aussitôt d'une seule voix. Arnaud Jacquier n'insista pas et accéda de bonne grâce à la requête des garçons qui avaient souhaité occuper également le même lit. Dans la semaine, il avait fait livrer un immense lit bas, le plus grand qu'il avait pu trouver. Sébastien et Mathieu y dormaient, y jouaient, y étudiaient, y luttaient et d'une manière générale, l'utilisaient comme le terrain favori de tous leurs jeux.

Repensant à ce jour pas si lointain où, se jetant dans les bras l'un de l'autre, effrayés à l'idée que leur père voulût les séparer, les deux gamins s'étaient écrié ...

— Papa, oh non Papa... Sébastien et moi, on veut dormir ensemble... toujours !

— Oui Papa... avait ajouté Mathieu... moi, je ne peux pas dormir si je ne suis pas tout près de Sébastien, alors...

... Arnaud Jacquier, ayant éteint la télévision, puis toutes les lumières du rez-de-chaussée sauf la cuisine - ils avaient toujours soif et faim, après - gravissait lentement les marches qui menaient au premier étage. Il n'aurait pu être plus entièrement, plus totalement conscient du bonheur, de la chance qui était les siens. Il se sentait déborder d'amour pour les deux adolescents. La suite du merveilleux rituel de chaque soir l'attendait là-haut.

Dans la chambre dont il avait poussé la porte sans bruit, ne subsistait que la faible lueur des lampes de chevet de part et d'autre de l'immense lit bas des deux garçons. Silencieusement, il gagna sa place habituelle, un grand et confortable fauteuil dans un angle de la pièce plongé pour l'heure dans l'obscurité et d'où il pouvait jouir du spectacle qui s'offrait à lui sur le lit baigné d'ombres et de lumière douce et chaude.

Sur le lit, comme s'ils n'avaient pas remarqué la discrète entrée de leur père, vêtu chacun d'un slip et de chaussettes d'un blanc immaculé, Sébastien et Mathieu se faisaient face, assis sur leurs talons. Rapidement, presque furtivement, ils échangeaient de petits baisers sur les épaules, dans le cou, dans les cheveux, sur le visage. Leurs mains qui se cherchaient s'étaient rejointes et chacun déposait sur leurs doigts entre-mêlés d'autres baisers empressés. Bientôt, leurs bouches cessèrent leur exploration et leurs lèvres, graduellement, ne ciblèrent plus que leur visage, se concentrant sur leur front, leurs yeux clos, leur nez, leur menton. Leurs doigts se défirent et, chacun tenant le visage de l'autre entre ses mains, leur langue dardée hors de leur bouche s'effleurèrent d'abord, se touchant, se cherchant, se perdant pour mieux se retrouver, jouant une parade dont eux seuls connaissaient le scénario et qu'ils n'interrompaient brièvement que pour murmurer...

— Je t'aime, Mathieu...

— Je t'aime aussi, Sébastien...

Longtemps il s'embrassèrent ainsi, la langue hors de leur bouche. C'était leurs façon adolescente à eux de s'embrasser, les baisers appuyés, profonds, mouillés et passionnés étaient réservés à leur père. Celui-ci, tapi dans l'ombre de la chambre tel un grand fauve guettant ses proies, sentait son sexe se dresser dans son boxer qu'il avait gardé.

Les caresses des deux garçons, bien vite gagnèrent leurs bras, leur torse, leur dos. De temps à autre, tandis que l'un goûtait d'une langue avide le jeune torse lisse de son frère, s'attardant sur l'un des petits seins dressés par l'excitation grandissante, l'autre rejetait la tête en arrière et glissait alors un regard vers ce coin sombre de la chambre où ils savaient tous deux que leur père, même s'ils ne pouvaient le voir, se délectaient de leurs ébats, de chacune de leurs caresses. Les soupirs d'aise, alors, étaient destinés à leur géniteur.

Il y avait peu, Sébastien et Mathieu avaient découvert que leur père, même s'il n'en avait rien dit, mais les deux adolescents sentaient si bien ces réactions paternelles, aimait particulièrement à les voir se déshabiller. Aussi, lorsqu'ils l'attendaient ainsi au lit, n'étaient-ils jamais entièrement nus. Ce qu'Arnaud Jacquier aimaient particulièrement, c'était de voir ses deux fils se déshabiller, certes, mais plus encore de les voir se déshabiller... mutuellement. Il voyait là, à raison, une telle marque d'intimité incestueuse, de confiance fraternelle, d'amour adolescent... qu'il en était bouleversé et excité au plus haut point.

Les deux jeunes garçons, en un ballet d'un incroyable érotisme que l'on aurait pu croire chorégraphié à l'avance, sans cesser de se caresser, de s'embrasser, dépliaient à présent leurs membres souples. Sébastien, d'abord, fit lentement glisser le petit slip blanc de Mathieu le long de ses hanches étroites, le passant sous les fesses rebondies du garçon, le faisant glisser avec sensualité le long des cuisses lisses, puis des mollets de son frère cadet. Mathieu, à son tour, fit de même pour son frère, prenant grand soin de le placer en un angle où son père jouirait pleinement du spectacle des fesses du garçon se découvrant sous les doigts agiles de son frère.

En un même mouvement, les deux petits slips, adroitement lancés, atterrirent sur la moquette aux pieds d'Arnaud Jacquier. Les deux adolescents ne pouvaient toujours apercevoir leur père dans l'ombre. Ils adressèrent pourtant un sourire ravi et gourmand à leur invisible géniteur quand ils virent le fort avant-bras velu de celui-ci sortir de l'ombre et sa grande main se saisir des sous-vêtements de garçons qui, à leur tour, disparurent dans l'ombre. Il avaient pris soin de garder tous deux leurs courtes chaussettes blanches et c'était si beau, leurs longues jambes galbées à la peau lisses,douce et bronzées, leur corps entièrement imberbe - ni Sébastien ni Mathieu ne montraient encore le moindre signe d'une pilosité naissante en aucun endroit de leur peau sans défaut - vêtus seulement de ces chaussettes.

Sébastien et Mathieu roulèrent ensemble sur le lit, étroitement enlacés, reprenant leurs caresses et leurs baisers en des endroits nouveaux à présent révélés par leur effeuillage réciproque. Leurs doigts glissaient légèrement le long de leur raie à la peau si douce, effleurant leur anus. Leur langue lapait à petits coups rapides, au passage, leur jeune sexe dressé au dessus des petites bourses lisses encore. Il leur arrivait parfois, refermant leurs lèvres sur un gland happé à la faveur d'une roulade, de se sucer légèrement, mais très peu, comme subrepticement. Tout comme il arrivait à une langue dardée de se glisser un instant dans un anus se retrouvant soudain offert devant le visage. Mais rien de plus. Tous comme les vrais baisers mouillés, ces caresses profondes, appuyées, étaient réservées à leur père et les deux garçon le savaient fort bien, n'empiétant jamais lors de leurs jeux érotiques sur le terrain de chasse de leur père, le mâle dominant.

Non, c'était plutôt comme les jeux lubriques de deux jeunes chiots en chaleur, de deux petits faunes dans la nature, attendant le satyre qui, lui, saurait les satisfaire. Car les deux garçons savaient bien qu'ils ne pouvaient se donner mutuellement satisfaction. Nul ne possédait ce qu'il fallait pour cela, ce dont tous deux avaient tant besoin, ce qu'ils appelaient ainsi de tous leurs vœux, de toute leur parade amoureuse chaque soir pour les combler... le sexe majestueux que leur père, ce mâle lourd, puissant et si brun de poil portait entre ses cuisses épaisses. Il pouvait, lui, leur arracher des cris de bonheur rien qu'en les pénétrant avec sa langue ou l'un de ses doigts. Combien de fois ne les avait-il pas fait atteindre l'orgasme ainsi, simultanément, rien qu'avec un doigt dans leur anus, y compris en des endroits publics ?

Alors, pour l'heure, ils ne pouvaient que s'agacer ainsi mutuellement, prenant et faisant prendre à l'autre les poses les plus propices à exhiber aux yeux de leur père, là-bas dans l'ombre, les endroits les plus secrets de leur intimité qu'il caressaient ou se faisaient caresser complaisamment, s'accompagnant de rires excités et de soupirs d'aise qui étaient une musique aux oreilles d'Arnaud Jacquier.

Celui-ci, toujours carré dans le grand fauteuil, ne perdait rien du spectacle qui lui était si gracieusement offert. Humant de temps à autre les deux petit slips blancs de ses fils qu'il tenait sous ses narines et dont le parfum chaud et propre lui était un aphrodisiaque puissant, il jouissait de la beauté de ses deux jeunes fils qui, nus, se caressaient et s'embrassaient aussi effrontément sous les yeux de leur père.

Arnaud Jacquier n'avait jamais vraiment compris ce fantasme si répandu chez les hétérosexuels, qui consistait à assister aux ébats de deux lesbiennes. Le désir, le plaisir de ces femmes, lui semblait-il, l'excluait totalement, lui le mâle. Elles n'avaient aucun besoin de lui. Tandis que ses fils, ces deux adolescents... tout, absolument tout en eux lui criait leur désir, leur besoin de lui

Ce soir, comme c'était souvent le cas, Sébastien et Mathieu étaient toute tendresse, tout amour, tout érotisme adolescent l'un pour l'autre, si visiblement désireux d'attirer leur père qui viendrait bien vite les combler tous deux. Chacun de leurs gestes, chacune de leurs attitudes, chaque baiser, chaque caresse était une invitation à l'accouplement en direction du mâle dont les deux adolescents attendaient le bon plaisir. Mais cela n'était pas tous les soirs ainsi. Certains soirs de grande chaleur, Arnaud Jacquier avaient vu ses deux jeunes fils comme fous de désir, la bave aux lèvres, feulant comme des femelles en chaleur, ramper littéralement à ses genoux, leur croupe nue et offerte en l'air, appelant le mâle, cherchant, provoquant un accouplement contre-nature qu'ils souhaitaient sauvage, sans retenue. Comme il aimait ses deux fils pour cela aussi... comme il retrouvait bien en eux le tempérament si sexuel qui avait toujours été le sien.

La voix enamourée de Mathieu, son cadet, le sortit de sa rêverie. Le dos arc-bouté, les cuisses ouvertes, il ouvrait son petit anus à la caresse des doigts de son frère. Celui-ci, de temps à autre mouillait son index de sa salive et le replaçait à l'entrée du jeune garçon.

— Oui, oh oui Sébastien... oui, s'il te plait... je ne peux plus attendre !

Sébastien, plus raisonnable, déposait de petits baisers sur les lèvres de son frère, cherchant à l'apaiser tout en continuant de caresser doucement son petit trou.

— Chut, chut chéri... là, doucement... non, tu sais bien, c'est pour Papa, c'est seulement pour Papa...

Arnaud Jacquier sut alors qu'il était temps. Il se leva, quitta son boxer et, entièrement nu, sortit de l'ombre.

— Voilà Papa... souffla Mathieu. Les deux adolescents, une fois de plus, restaient sans voix au spectacle majestueux de leur père. Nu, lourdement musclé et si poilu. Sur le torse, les pectoraux, le ventre, le bas-ventre, les cuisses, les avant-bras... si dense était sa toison qu'on voyait à peine sa peau brune. Arnaud Jacquier, maintenant qu'il ne s'astreignait plus aussi sévèrement à un régime alimentaire de compétition, atteignait les 120 kg sur la balance. Ses énormes pectoraux retombaient sur son torse, les seins pointant vers le bas. Ses épaules, ses bras, ses cuisses... tout en lui ne montrait que puissance, épaisseur, force masculine. Son sexe ne faisait pas exception. Les deux frères, comme à chaque fois, en avaient le souffle coupé d'envie d'admiration, de désir. Le membre, raide et palpitant, au gland luisant et mouillé, se dressait à la verticale, veineux et agressif. Leur père flatta la bête de la main, lui faisant lâcher un peu plus de jus clair encore. Il s'avança vers le grand lit, tandis que les deux frères, leurs préliminaires si merveilleusement accomplis, chauds et prêts maintenant, se mettaient en position de recevoir leur père en eux.

Oui, décidément, il était temps, à présent.¤

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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