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Classé dans RECITS FICTIONS (82)
sur une trame tracée par Pedro, voici une nouvelle signée Claudio
Illustration pleine de FUN pour La belle histoire de marceau bouchard et jorel leblanc
« Le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit » Oscar Wilde |
Les pieds de l'homme s'enfonçaient profondément. Les pas étaient hésitants, souvent chancelants, les mouvements étaient mécaniques, mais le rythme rapide. Lorsque le genou, mal assuré, s'effondrait dans la neige et entraînait le corps dans sa chute, l'homme se relevait aussitôt et reprenait sa pénible marche.
Une volonté nouvelle poussait cet homme torturé de faim et de fatigue. L'arrivée était proche, il venait de reconnaître en la foulant la rivière Apachapak. Elle était gelée et recouverte de neige. Dans cette vallée, elle disparaissait au regard, mais les tourbillons créés par l'eau dans son chemin d'obstacle se sont gelés en de multiples dômes de glace sur lesquels les pieds se heurtaient et glissaient continuellement. L'homme avait retrouvé le méandre que sa carte indiquait. Il s'était perdu en préférant couper court plutôt que de suivre ce cours d'eau aventureux. La prochaine habitation n'était plus loin et c'était là qu'il se rendait.
Derrière un bosquet d'immenses sapins de Kellermann, il vit de la fumée, puis en contrebas d'un talus, une petite baraque de rondins de bois. Juste à ce moment une tempête de neige commença. Ses derniers cent pas se firent contre le blizzard et l'homme bénit le ciel qu'il n'eût pas soufflé plus tôt car il aurait pu signifier sa perte.
Arrivé à la porte, l'homme déposa sur le seuil la couverture qui l'enveloppait, retendit en tirant dessus sa vareuse rouge et redressa son chapeau de feutre qu'il avait enfoncé. Il frappa à la porte au même rythme que son coeur qui venait subitement de s'emballer. Ne sachant pas si ses coups s'étaient perdus dans les hurlements du vent, il décida d'ouvrir la porte. La pièce qu'elle découvrit était sombre, il ne voyait rien à l'intérieur et cela le décontenançait.
— Jorel Leblanc , vous êtes là?
Finit-il par dire sans franchir la porte.
— Je suis Jorel Leblanc, répondit une voix.
L'homme à la vareuse rouge attendit quelques instants pour voir si la voix allait continuer afin qu'il puisse mieux en apprécier les intonations, mais l'homme à l'intérieur se tut.
— Je suis ici pour vous arrêter!
— Vous êtes seul ? Interrogea la voix.
L'homme, dont la vareuse rouge indiquait clairement qu'il appartenait à la police montée canadienne, prit soudain peur, ne répondit pas mais sortit l'arme qu'il tenait contre sa hanche gauche.
— Calmez-vous, je me rends. Le ton tranquille rassura à moitié le policier. Il s'avança vers le milieu de la pièce et vit un homme attablé qui lui faisait face. Le policier contourna la table, sortit une paire de menottes et les passa rapidement aux poignets de celui qui s'était déclaré être Jorel Leblanc.
Lorsque le policier se réveilla, il était allongé près du feu entre deux couvertures faites de peaux de caribou. La chaleur était agréable, avant même d'ouvrir les yeux, il étira son corps de façon à ce que chaque pouce de sa peau puisse profiter de cette douceur qui lui avait tant manqué ces derniers jours.
— Vingt-cinq heures de sommeil bravo, vous deviez être épuisé? Lui demanda Jorel Leblanc.
Le policier se redressa brusquement, rejeta les couvertures, se leva et demanda:
— Qu'est ce que je fais là?
— Je n'en sais rien. Vous vouliez m'arrêter, mais j'attendais quelques explications.
— Je veux dire qu'est ce que je fais là nu, entre deux couvertures?
— Vous vous êtes évanoui, je n'allais pas vous laisser dans vos vêtements trempés, répondit Jorel Leblanc sur un ton légèrement moqueur.
Les deux hommes profitèrent de ces quelques échanges pour s'étudier.
Jorel Leblanc dévisagea le policier de haut en bas et le trouva très jeune, à peine vingt-deux ans. Les muscles saillants de son corps montraient un entraînement intensif fréquent. Il voyait que le jeune homme venait de terminer une école de la police dans le sud du Canada, et certainement dans une métropole. Il n'avait pas encore acquis la force de caractère de ceux qui doivent quotidiennement lutter avec la nature pour vivre d'elle. Toutefois il apprécia ce corps large, bien dessiné, aux muscles ronds que surmontait une tête aux traits fins et aux courts cheveux blonds. Les yeux, bleus comme il se devait, pétillaient de candeur juvénile. John pensa que la vie avait épargné à ces yeux certains spectacles qui marquent la vie d'un homme. En continuant à dévisager le jeune homme, son regard s'arrêta sur son sexe. Deux belles grosses boules bien rondes et solidement accrochées étaient surplombées d'un sexe en forme de bouton de rose. Sexe pas long, exactement comme celui des grands sportifs mais sa tendre couleur montrait qu'il était frais, en parfaite santé, et qu'il devait avoir très peu servi.
Jorel Leblanc lui, devait avoir une trentaine d'années. Son visage souriant paraissait sympathique au jeune policier, mais celui-ci se demandait quel degré de confiance on pouvait avoir en un homme qu'on venait arrêter. La supériorité de Jorel était évidente, il avait vécu toute sa vie dans ces régions. Sa musculature, bien que légèrement relâchée, indiquait que ce garçon brun était physiquement bien plus fort.
Nu, le policier se sentait désarmé. Il était choqué et mal à l' aise, cette situation n'étant pas très réglementaire pour l'arrestation d'un bandit.
— Où sont mes vêtements? Il chercha des yeux les insignes de sa dignité, et les trouva sur une chaise non loin de lui près de la cheminée.
— Ils ne sont pas secs, je les ai lavés, venez plutôt déjeuner, je viens de faire du bon café.
— De quel droit avez-vous lavé mes vêtements? Demande le jeune garçon dans un effort d'autorité.
— Du droit que je reste ici chez moi, que vos vêtements sentaient particulièrement fort et que ma maison n'est pas très grande. Je vous ai même lavé et rasé. Si cette information peut avoir un quelconque intérêt pour vous. La voix était calme mais assurée.
Le policier grogna, après sa dignité, sa pudeur venait de subir un rude coup. Comment cet inconnu pouvait-il l'avoir lavé comme un enfant? On lui avait enseigné qu'il lui fallait toujours dominer son adversaire. Il se sentait moralement affaibli, et il aurait du mal maintenant à imposer sa loi au bandit qui lui faisait face. Ne sachant quel comportement adopter, il se décida pour une mesure neutre d'attente, en s'asseyant à la table pour y avaler son bol de café. Sa faim venait brutalement de se réveiller et de douloureuses crampes réapparaissaient à la vue d'énormes tranches de lard frit.
— Quel est votre nom? Demanda Jorel Leblanc.
— Je suis le sergent Marceau Bouchard de la police montée, répondit le policier occupé à inspecter tout ce qui pouvait se manger sur la table.
— C'est votre première arrestation. Le ton était plus affirmatif qu'interrogatif.
— À quoi le voyez-vous? Réussit à articuler Marceau Bouchard entre deux bouchées de lard gras.
— Vous avez perdu vos chiens et un policier qui se respecte ne perd pas ses chiens.
Marceau Bouchard grimaça, cette histoire de chiens allait lui attirer des ennuis.
— Ils se sont sauvés, il y a quatre jours. Je les avais nourris quand l'un d'entre eux s'est mis à pleurer, puis à hurler. Il est mort en quelques minutes. Les autres ont cherché à se venger, ils se sont mis à grogner et à vouloir m'attaquer. Je voulais les disperser, j'ai réussi, ils se sont tous sauvés, impossible de les faire revenir.
— Les huskies ne doivent jamais être trop nourris, ils n'y sont pas habitués. Ça leur retourne le ventre et ça les tue ne un quart d'heure. Ces chiens ne sont pas faits pour être ni trop aimés, ni trop gâtés. Vous n'avez pas réussi à vous imposer à eux, ils vous en ont voulu, puis ont décidé de vous laisser tomber. Ce sont des chiens idiots. Ils ne retourneront vers l'Homme que la faim au ventre, mais ils ont plus de chance de finir dans la gueule d'un loup auparavant. Vous ne les retrouverez pas. Ça vous coûtera quelques mois de paye, mais c'est le métier qui rentre.
Marceau Bouchard grimaça de nouveau, le grand Nord ne fait décidément pas de cadeau à ceux qui n'en connaissent pas toutes les règles. Il ne lui restait qu'à s'accrocher.
— Vous vous laisserez faire? Demanda-t-il naïvement, soucieux d'éviter de nouveaux ennuis.
Jorel regarda Marceau pendant toute la discussion, le torse était peu poilu et ses poils blonds laissaient voir une peau douce et sans défaut. C'est de plus en plus troublé qu'il répondit:
— Ce n'est pas une question d'actualité, il va neiger encore une semaine. Cette baraque sera bientôt recouverte jusqu'au toit, il sera alors pratiquement impossible de sortir.
Jorel semblait particulièrement heureux d'avoir à dire cela. Il allait avoir de la compagnie et quelle compagnie !
— Ça durera combien de temps? Demanda Marceau avec inquiétude.
— Trois semaines environ, le temps que la neige se tasse.
Le temps s'arrêta net pour Marceau, il considéra l'éternité qu'il aurait à partager avec son prisonnier, dans une pièce pas plus grande qu'une cellule. Les deux hommes se regardaient droit dans les yeux.
Marceau s'imaginait vivre un long bras de fer où, jour après jour, il devrait réaffirmer une supériorité que seule la certitude de son bon droit lui donnait actuellement. Il se jurait d'utiliser ces longues semaines pour ramener Jorel dans le droit chemin. À défaut de force physique, il utiliserait la psychologie. Il avait appris de longs discours évidents sur les règles fondamentales de la vie en société. Il saurait les reprendre avec une fervente conviction. S'il échouait, il jouerait de la seule vue de son uniforme ou, en dernier recours, sur la force de son arme. Celle-ci aujourd'hui complètement inutile, était restée à son ceinturon. Jorel n'avait même pas cru bon de vider la cartouchière de ses balles. Marceau ne se sentait pas pris au sérieux.
Pendant que son air se faisait de plus en plus sévère et que ses yeux viraient au gris, Jorel dans le silence de ce face à face, laissait, lui aussi, ses pensées s'envoler. Il rêvait de voir Marceau dans la forêt abattre du bois de coupe à la hache. Il oubliait la tempête qui les entourait et l'imaginait, à la belle saison, le torse nu faisant travailler ses muscles avec une attention soutenue. La sueur de son front se perdrait dans ses sourcils, coulerait en minces rigoles sur ses tempes et de là se perdait sur ses larges épaules brillantes de transpiration. De temps en temps, Marceau, fier de ses prouesses, se retournerait et regarderait John qui simplement l'admirerait.
Le décalage de ses pensées faisait monter une tension qu'amplifiait le silence.
Jorel crut de son devoir de détendre l'atmosphère en plaisantant sur le stage pratique de survie qu'il offrirait gracieusement à l'homme qui était venu l'arrêter.
Marceau Bouchard passa le reste de la journée à attendre et à entretenir le feu, allongé par terre sur une peau d'ours. Jorel était sorti ramasser ses pièges avant que la tempête ou les loups ne les arrachent. Marceau laissa son corps se réchauffer, la peau de ses testicules se détendit à la chaleur. Son esprit s'emplit d'images vagues où de nombreux corps nus s'entrelaçaient devant des flammes vives. Elles lui cachaient leurs sexes. Son esprit n'arrivait pas vraiment à visualiser ce corps. Étaient-ce ceux d'hommes, de femmes ou encore de couples ? Il ne voyait pas clairement dans ces images où ses envies se portaient. Il cachait dans des visions puissantes mais floues, son absence de désir pour les femmes. Il ne voyait que des peaux se frôler, se toucher ou encore glisser les unes sur les autres dans une fête sensuelle sans retenue. Marceau n'avait que rarement eu de rêves sensuels aussi forts.
Il commença à frotter tout doucement son sexe sur la peau d'ours blanc. La tête posée sur celle de l'animal, la mordillant comme il s'imaginait le faire avec l'une de ses conquêtes. Il contorsionna son corps sur la fourrure dans des mouvements de plus en plus frénétiques. Alors qu'il se sentait proche de l'extase, il se pencha pour voir son sexe, et le regarda attentivement comme il ne l'avait jamais vu. Son sexe était gorgé, le gland brillait d'être trop gonflé. Il le trouva beau. Cette émotion lui tourna la tête. Dans un ultime frottement, il explosa sans même se toucher, comme il avait toujours l'habitude de le faire dans ces rares moments de pulsions sexuelles. Une pensée lui vint : ce lieu était-il si propice à l'érotisme ? Il n'avait pas craint dêtre surpris à se masturber.
Tout compte fait ça ressemblait à la cabane du"touche-pipi" quand il était gamin : ce qui s'y passait restait un secret par rapport au monde des adultes. Un secret entre les participants... un risque à courir.
Au retour de Jorel, ils dînèrent et discutèrent librement de l'école que venait de terminer Marceau Bouchard. Au grand étonnement du jeune policier, Jorel semblait bien la connaître. Marceau s'était enfin rhabillé et se sentait plus fort, plus sûr de lui. L'homme qui était en face de lui l'impressionnait déjà moins.
À l'heure du coucher, Jorel avertit Marceau qu'ils allaient devoir partager le même lit car le feu devait être mis en veilleuse pour économiser la réserve de bois et il n'y avait pas assez de couvertures de peaux pour les partager. Marceau accepta de bon coeur, son apprentissage commençait et il lui fallait bien accepter quelques dispositions qui en d'autres temps lui auraient paru singulières. Après tout la situation était extrême, de même que cette satanée mission d'arrêter son...hôte !
La pièce dont le feu n'était plus entretenu se refroidit très vite et la lumière diminuait d'intensité. Redevenu pudique, Marceau ôta rapidement ses vêtements et se glissa dans ce lit qui l'avait accueilli pendant 25 heures. Jorel se déshabilla lentement devant Marceau, mais de côté de façon que les lueurs des flammes jouent avec les formes de son corps. Marceau ne manqua pas ce spectacle. Le sexe de Jorel était d'une telle longueur que jamais il n'aurait cru que cela puisse exister. Jorel se massa légèrement l'entrejambe afin de bien faire ressortir son sexe avant de le rejoindre lui aussi le lit.
— Je vais te réchauffer.
Marceau n'eut pas le temps de s'étonner de la proposition de Jorel car il sentit aussitôt la main de celui-ci lui caresser le sexe. Marceau voulut se dégager violemment mais déjà Jorel allongeait son corps sur le sien et le bloquait. Marceau essaya de résister, mais il n'avait pas assez de force. Il abandonna, tint son corps raide et pleura sans faire de bruit. Jorel caressa le corps de Marceau très tendrement en lui parlant à voix basse pour le calmer. Il laissait courir ses doigts sur ses pectoraux saillants et apprécia les abdominaux qui ressortaient. Il commença à frotter tout doucement son sexe contre celui de Marceau et sentit que celui-ci se durcissait aussi. Jorel lécha les dernières larmes du jeune homme et reprit ses caresses directement sur le sexe de Marceau. Cette jeune chair excitait de plus en plus Jorel. Cela atteignit son paroxysme lorsqu'il porta sa main à ses narines pour sentir la mâle odeur du jeune homme. Marceau restait pour ainsi dire inerte et ne se débattait pas. Jorel en profita pour plonger sous les couvertures et suça profondément le sexe maintenant bien dressé. Marceau éjacula rapidement dans des râles qui ne pouvaient qu'exprimer le plaisir.
Jorel demanda à Marceau de se retourner. Aidé par les pognes puissantes de Jorel, il se laissa faire. Jorel explora quelques instants les fessiers bien rebondis du jeune garçon. Puis, il porta sa main à sa bouche et recracha le sperme que Marceau venait de lui offrir. Il l'utilisa pour enduire un trou qui de toute évidence ne se laisserait pas pénétrer facilement. Jorel glissa difficilement un doigt dans le corps gémissant du garçon. Chair contre chair, il ressentit la chaleur interne du gosse. aidé de sa langue, il appuya ses lèvres sur son anus et recracha le reste mêlé de salive en le pulsant de son souffle pour le faire pénétrer. Ceux qui nous lisent sauront évaluer combien le plaisir qui en résulte inhibe toute protestation ou résistance. Jorel se disait qu'il fallait que le "gosse" eût des dispositions pour qu'il se laissât faire ainsi. D'ailleurs Marceau s'employait à les protéger du froid en maintenant sur eux les couvertures qui tombaient sans arrêt...
L'anus était bien fermé. Pour s'aider, Jorel fit agenouiller Marceau, lui releva les fesses et lui écarta les cuisses. Jorel était fou d'un désir aveugle de le pénétrer. Il s'en foutait que ce soit un viol aggravé sur un agent de police de l'Etat. Il décida de le prendre d'un coup pour ne pas allonger un supplice qu'il savait inévitable. Le hurlement de Marceau se perdit dans le vent qui soufflait furieusement sur le chapeau de la cheminée. Jorel s'activait et sentait monter en lui une agréable sensation qui lui entourait le sexe. Il éjacula au moment où Marceau n'en pouvait plus de douleur. Ils s'effondrèrent tous les deux et restèrent l'un sur l'autre, l'un dans l'autre à goûter à la joie d'une chaleur qu'ils estimaient idéale alors que la température de la pièce devenait négative.
Le lendemain, Jorel se leva le premier pour réactiver les braises et faire crépiter le feu qui permettrait à Marceau de se lever sans trop sentir cruellement le froid. Lorsque la pièce fut à nouveau chaude Marceau fit ses premiers pas, les jambes arquées, mais un semblant de sourire courait sur ses lèvres.
— Hou! quelle nuit, bon sang jamais je n'aurais cru qu'elle soit si chaude.
Il s'assit sur le banc auprès de la table et prit un air qu'il souhaitait naturel.
Jorel ne répondit pas et ce silence le gênait, il ne savait plus quelle contenance se donner. Que pensait Jorel de cette nuit? Il lui fallait le savoir, mais ce dernier restait impassiblement silencieux. Le regard sérieux qu'il portait à ses travaux domestiques ne trahissait pas ses pensées. Marceau, lui qui, après tout, avait été forcé, étonnamment se mit à se sentir coupable et chercha une phrase qui puisse forcer Jorel à s'exprimer. Il lui sembla la trouver en demandant sur le ton d'un enfant quémandeur.
— On n'a pas tellement de distractions ici ! Moi aussi, j'aurais aimé goûter ton sexe... et te prendre aussi...
Jorel le fixa, s'approcha de lui et dégrafa ses braies de trappeur, laissant entrevoir un sexe que Marceau trouva formidable. Celui-ci fut immédiatement rassuré sur les conséquences de ses actes de la nuit et sa honte s'évanouit, faire l'amour avec un homme était naturel.
— Regarde-le, mais ne le touche pas. Tu l'auras entièrement ce soir.
Marceau, fou de bonheur, ne put s'empêcher de déposer un petit baiser respectueux sur le gland de Jorel.
Et ce fut le premier jour de ces semaines d'enfouissement sous la neige qui passèrent comme un souffle...un souffle de passion qui retardait la mission de Marceau.
La perte de son traîneau et de ses chiens, la neige qui rabotait tout relief et effaçait les repères, Marceau pouvait se demander si c'était une chance d'atterrir là ou si c'eût été mieux de ne pas trouver son "prisonnier" car les rôles étaient bel et bien inversés c'est Marceau qui était dans la geole de Jorel aidé par la Nature.
A condition d'aimer le gibier d'hiver de toute sorte, on ne manquait de rien.
Jorel était un surdoué de la survie. Le repos, à part les nuits d'amour, équilibrait les moments de veille ou de travail. Oui, Jorel disposait de bûches et de troncs dans l'appentis et il fallait débiter chaque jour la provision de bois pour le lendemain. Plumer écorcher le gibier, apprendre à cuisiner... Se laver mutuellement avec un peu de neige fondue...admirer le corps de l'Autre et ses splendeurs...
A part ça, rien à désirer. Marceau eût bien aimé faire un peu l'amour les après-midis devant la cheminée, et voir Jorel dans ses oeuvres mais ses caresses -même serviles- ne parvenaient pas à décider un Jorel inflexible. Le sexe (et quel sexe !) c'était quand on se mettait au lit pour la nuit après la mise au ralenti du feu et il faisait très noir.
Cela dit, les nuits de Marceau étaient devenues lumineuses par les trips que son soi disant prisonnier lui faisait vivre. Marceau se demandait bien qui était le prisonnier de l'autre et s'aperçut peu à peu qu'il ne souhaitait plus que la neige fonde trop vite, jusqu'à penser qu'elle devienne éternelle.
Marceau était devenu expert en fellations et son partenaire lui avait appris à se positionner pour recevoir son sexe jusqu'au tréfonds de sa gorge et à se délecter de ses décharges vibrantes et juteuses. Certes Jorel s'était prêté à la sodomie. Instinctivement il accordait cette réciprocité à son compagnon, car il fallait lui conserver sa fonction de mâle. Mais son vrai plaisir était de le pénétrer longuement, lui Marceau, à fond et "sans pitié". Le policier, sans s'avouer homosexuel, aima ça, qu'on s'occupe activement de lui. Ici personne ne pouvait entendre ses gémissements, ses supplications et ses hurlements quand l'ardeur de Jorel le submergeait d'amour masculin. Ce gland exigeant, épais et lisse, velouté, était attendu, accueilli, entouré par son anus qui maintenant, loin d'en souffrir comme les premières fois, jouissait depuis son arrivée dure et bandée au regret de sa sortie et de sa déturgescence. Il 'y avait aucune gêne entre eux Marceau gardait précieusement en lui la semence nacrée jusqu'au matin. Ils aimaient pisser et déféquer côte à côte. Toutes ces joies insouciantes, les rires et les baisers profonds et envoûtants dont ils ne se privaient pas.
Quelquefois Marceau voyait cela comme la prise passagère d'une drogue apaisante et exaltante...et dicté par la solitude partagée entre deux hommes...d'une grande générosité.
Marceau avait complètement oublié sa mission quand John lui apprit qu'il avait appartenu lui aussi à la Police Montée du Canada. Puis, parce qu'il avait été trappeur, on lui avait confié cette tâche d'initiateur des jeunes recrues au Grand Nord canadien. La première recherche d'une jeune recrue s'effectuait toujours ainsi. Loin de reprocher à Marceau son insuccès avec ses traîneaux et ses chiens, il le mit à l'aise en lui disant que cet échec faisait partie de sa formation pratique. Il est important dans ces régions où la nature est particulièrement hostile à l'homme que ces derniers resserrent leurs liens afin de créer des amitiés indéfectibles. Jorel assura Marceau qu'il se chargerait de lui donner tous les enseignements dont il aurait besoin pour mener à bien ses difficiles missions pendant les hivers les plus rigoureux.
Une chose restait à préciser et plusieurs par la même occasion.
Jorel, qui n'était plus désormais le convict à capturer, avouait sans peine sa bisexualité. Marceau était pour lui un compagnon idéal, à l'égal d'une femme.
0 peu près toutes les recrues qu'il avait reçues n'avaient fait qu'adapter leur conduite au viol qu'il leur faisait subir et très vite les relations devenaient normales. Avec Marceau, sans que ce dernier y prît garde, cela avait été plus passionnel, fusionnel même. Jorel affirma qu'il verrait Marceau partir avec regret, lui-même, son rôle auprès de Marceau achevé allait rejoindre pour un temps épouse et enfants à Montréal, avant de retourner à la cabane pour accueillir un nouveau stagiaire.
Cela ne pouvait que plonger Marceau dans le doute et la perplexité et ... la honte fit son entrée en son âme.
Jorel fin psychologue s'y attendait. Il but les larmes de son amant. Ce dernier lui demanda de rester et d'attendre ici son retour. Accueillir à deux le prochain stagiaire lui paraissait l'idéal et permettait des remplacements pour favoriser les visites de Jorel à sa famille...et ajoutait Marceau en plaisantant,
de faire encore des petits québécois à sa compagne...
Tout en faveur de cette proposition Jorel la présenta à leurs supérieurs qui l'acceptèrent car elle sécurisait au mieux ce poste de formateurs.
Ils vécurent heureux et partagèrent leur affection avec d'autres jeunes policiers de la Police bien montés.¤
classé dans RECITS FICTIONS (81)
Ci-dessous : Un mec "cho".
Je suis comme vous, dans un rôle ou dans l'autre, je m'y vois en toute autodérision...Mais quand même, lui c'est lui, et moi c'est moi !
(Mais l'huile, c'était de l'huile d'olive au moins ? )
Salut, c'est moi Julien. Vous allez me trouver impudique. Tant pis. Je vais vous raconter une de mes merveilleuses expériences homo.
Je suis gay et j'aime le sexe sous toutes ses formes, surtout les grosses. Mon aventure s'est deroulée l'été dernier il y a à peine 3 mois dans le grand sud. A 25 ans j'aime les hommes plus âgés complètement rasés, c'est plus agréable pour sucer.
J'étais sur la plage et j'ai aperçu un homme de 40 ans qui m'avait l'air seul et bien rasé, en tout cas à l'extérieur de son maillot de bain. J'avais hâte de voir ce que ce bout de tissu pouvait cacher. Je pressentais quelque chose de bien car on pouvait voir la forme d'un long pénis sous ce maillot. Je suis allé vers cet homme et j'ai commencé à lui parler de choses banales, le soleil, les vacances, etc... Je l'ai ensuite dragué un peu et j'ai été super heureux quand j'ai senti qu'il accrochait bien, C'était du pot qu'il soit PD lui aussi. On a été dans l'eau, et là on en a profité pour se toucher. Hummmhhh J'ai plongé sous l'eau et je lui ai baissé son maillot. J'ai alors pu voir son sexe qui était bien long, je l'ai mis dans ma bouche mais j'ai dû le retirer de suite car j'avais avalé de l'eau salée. Je toussais. (rires )
On a alors decidé d'aller chez lui, j'étais terriblement excité et lui aussi. On a dû attendre un peu pour sortir de l'eau afin de débander. Une fois chez lui, je lui ai dit à quel point j'aime les beaux sexes longs et dur comme le siens, il m'a dit que, normalement, j'allais pas être déçu par sa bite. On s'est vite déshabillés et en moins de dix secondes on s'est retrouvés à poil tous les deux pensant à une seule chose : bien s'éclater à fond. J'ai alors repris là où je m'étais arrêté dans l'eau, j'ai pris sa pine et je l'ai sucée, j'ai d'abord bien léché son beau gland tout rose, j'ai mis ma langue toute excitée sur le trou de son gland, ça l'a fait frissonner de plaisir, ensuite j'ai pris tout son sexe, enfin tant que j'en pouvais car il devait faire au moins 22 cm. Je l'ai sucé à fond, faisant des va-et-vient avec son sexe dans ma bouche, j'ai pompé, pompé sa teub jusqu'à sentir sa semence monter. Je lui ai dit de m'asperger tout le visage de son sperme gluant car j'aime avoir le visage recouvert de foutre pendant que je me fais prendre. Ça me donne un air de chien en chaleur qui peut tout accepter pour jouir. J'avais donc tout son sperme sur ma gueule qui coulait le long de mes joues et de mon cou.
Avec ce visage d'homme en chaleur, je me suis mis à quattre pattes, le cul bien dressé en l'air, n'attendant plus qu'une bonne sodomie pour enfin jouir. Il est allé chercher une bouteille d'huile, et il m'a juste dit: "Toi alors, t'es vraiment un bon coup, t'avais envie de te faire un mec plus expérimenté que toi hein, t'aimes ça le sexe d'un beau mec hein t'aimes ça, alors tu vas l'avoir ma queue de 40 balais.
" Il en a pas dit plus, il m'a pris par les fesses, il me les a bien écartées, puis il m'a aspergé l'anus d'huile, il en a mis aussi sur toute sa queue. J'avais le cul qui dégoulinait d'huile, ça coulait de partout. Enfin il a approché sa grosse et longue queue de mon anus tout rose. Et hop, d'un coup, d'un seul, il me l'a enfoncée dans mon trou du cul. Sous le choc, j'ai crié, mais je me suis laissé aller à un râle de plaisir tellement c'était bon d'avoir enfin mon cul rempli par cette grosse bite. Il l'a retirée et a encore mis de l'huile, avant de la rentrer encore plus profondément. Il a commencé son mouvement de sodomie.
Au début, il me bourrait le cul doucement puis il a vite accéléré la manoeuvre jusqu'à aller à une vitesse folle. Jamais, me faire enculer ne m'avait donné autant de plaisir, c'était bon, il avait beau être violent, ça ne me faisait pas mal du tout, c'était que du plaisir. Sa bite glissait sans aucun problème dans mon cul grâce à toute l'huile, il avait même pas besoin de forcer, pourtant elle était grosse sa queue et longue en plus mais elle rentrait en entier. J'avais le cul plein et ça glissait entre mes fesses comme dans du beurre mou. J'avais la bouche ouverte avec la langue pendante et je soufflais tant que je pouvais pour reprendre mon souffle, pendant qu'il me défonçait à grands coups. Il allait tellement vite et profond avec sa bite dans mon cul que ça me chauffait terriblement. Il était très fort ce mec car ça a duré comme ça pendant vingt minutes, et je croyais qu'après ça, jamais mon anus allait arriver à se refermer. Juste au bon moment, quand il s'est retiré pour m'éjaculer encore en pleine figure, je me suis écroulé de fatigue, j'en pouvais plus d'être à quatre pattes à recevoir durant vingt minutes le cul dressé. Je me suis allongé comme une masse, les yeux fermés, et il m'a éjaculé sur tout mon corps qui venait de jouir grâce à lui. J'étais plein de sperme mais il s'est quand même allongé sur moi et m'a tendrement embrassé sur la bouche, je dirais même à pleine bouche, nos langues se mêlaient pendant que je lui enfonçais un doigt dans son petit cul. Il aimait ça, donc comme moi il aimait se faire fourrer le cul. Mais malheureusement il était déjà tard et j'étais obligé de partir.
Je l'ai embrassé une dernière fois une fois sur sa bouche saliveuse et une fois sur sa bite qui m'avait donné tant de plaisir en me pénétrant. J'ai pris une douche et je suis reparti, à une soirée où m'attendaient des amis mâles, on allait encore se payer une bonne orgie à dix ou douze. Mais ça je vous le raconterai dans une autre histoire. ¤
il avait beau être violent, ça ne me faisait pas mal du tout, c'était que du plaisir
DU FUN
j'ai pris tout son sexe, enfin tant que j'en pouvais car il devait faire au moins 22 cm.
Vidéo illustration qui suit : sexy blond boy takes a big dick in his ass
Booba, après son voyage à Paris (récit de l'autre jour ) "vous aimerez la conversation de Booba"...
Salut les gars! Me voilà de retour de Paris , mes "exploits "
vous ont plu ?
je n’ai pas l’intention de m’arrêter en si bon
chemin... voici ce qui m'arrive sur mon île : la Guadeloupe!
Moi je m’appelle Booba, j’ai 18 ans et je suis black. J’habite une belle île des Antilles très très chaude, avec des mecs hyper canons. Franchement, rien que de les voir se pavaner en jogging légers, ça me fout une trique d’enfer et ça, pendant toute la journée... Je fréquente la section BTS de mon lycée.
Et putain dans mon bahut c’est fou ce que je peux en voir comme super mâles! Super machos, et beaux avec ça. Évidement, je ne peux pas passer mon temps à les dévisager, je dévoilerais vite ma vraie nature, et dans les douches, putain que c’est dur de se contrôler pour ne pas jeter un coup d’oeil sur ces corps musclés et, hummmmm, mouillés! Chuis sûr que tu sais de quoi je parle...
Bref, un jour que je m’étais levé un peu plus tôt que prévu, je décide de prendre mon temps pour choisir ma tenue du jour et en fouillant un peu, j’ai trouvé un 501 bleu pâle que j’avais complètement oublié. Il est sans doute trop petit pour moi pensais-je, mais je l’essaie quand même! Et miracle, après quelques péripéties, j’arrive à l’enfiler... Wouah! C’est mon cul qui est là-dedans!? Putain j’peux sortir comme ça? Oh et puis merde... oui!
Mon cul était serré par ce tissu et aucun recoin de mon anatomie n’était épargnée et surtout pas ma craque! Mmh, je bandais comme un fou et jamais ma queue n’a été mieux mise en valeur par un jeans... et d’ailleurs, si je bande pendant la journée, ça se verra... Pour compenser, je mets un t-shirt large.
Et direction le lycée! Oups, merde je regrette, j’aurais jamais dû mettre ce jeans, tout le monde me regarde... En effet, les filles regardaient particulièrement mes cuisses épaisses de muscles particulièrement enserrés dans ce jeans, elles apprécient et quelque mecs regardent... Houla! Paupaul se réveille et le fait que je n’ai pas mis de slip n’arrange rien! Mon cul est encore plus moulé, le tissu peut bien s’insinuer dans ma craque à sa guise et en plus, ce tissu fort mais doux sur ma queue... Oh là, j’vais juter avant la fin de la journée!
La journée, je la passe tant bien que mal... mais j’arrive à finir les cours sans spermer!
Mais après les cours, j’avais oublié, j’ai une heure de rattrapage... Bon j’y vais et quand je ressors, il est a peu près 18h. Le ciel s’obscurcit petit à petit mais malgré ça, deux de mes amies et moi nous nous asseyons sur les marches d’un escalier et jasons sur des choses et d’autres ! Mais à partir d’un moment, il commence vraiment à faire noir... Raisonnable, je leur propose de rentrer chacun chez soi, elles sont d’accord et nous marchons en parlant. Au loin, nous voyons un groupe de gars pas très net de notre lycée. Ils n’ont pas vraiment une bonne réputation et nous préférons ne pas avoir à faire avec eux. Ils fument des trucs qui ne semblent pas être des cigarettes...
Parmi eux, il y avait Raphaël, un gars de seconde très charismatique: on jurerait un mec de terminale, mâchoire carrée, mignon, une sorte de beauté sauvage, musclé, un cul bas cambré et bien bombé! Miam, un régal... Très vulgaire dans ses propos, ils faisait peur a tous, même ceux de terminale. Il ne prenait pas vraiment soin de lui, il était mal rasé, débraillé et je ne sais pourquoi, il a toujours une main glissée sous son t-shirt au niveau des pecs, ce qui fait que l’on a souvent une vue imprenable sur ses abdos dessinés au couteau et sur la partie supérieure de son boxer; et c’est ce qu’il faisait en ce moment...
Les filles pensaient, comme c’est souvent le cas, être arrêtée par l’un d’eux et être draguée, donc elles ont accéléré le pas. Je marchais toujours avec elles, les mains dans les poches arrières et quand on est passé silencieusement près d'eux, je les ai enlevés. La position ne me plaisait plus. Je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un petit coup d’oeil sur ses abdos et sur la bosse de son jogging rien qu’une seconde... mais il le remarqua quand même et il me dit tout bas à l’oreille:
— Ouais enlève-les tes mains, tu gâches ma vue!
J'me retourne et il me fait un clin d'oeil et tous se mettent a rire. Même si je sais qu'ils se foutaient de ma gueule, j'ai eu une érection totale et surtout instantanée et raide comme du fer avec ça! J'avais mal à la queue dans mon jeans comme ça! Un mec qui représente la virilité à l’état pur venait de me mater le cul. Mon taux de testostérone calmé, je reprends la conversation la où je l’avais laissée avec mes amies et vient le moment où on doit se quitter. Elles continuent sur le trottoir, moi je dois traverser la rue. Mais comme c’est assez dangereux, j’emprunte le tunnel fait exprès pour les lycéen. Je dis au revoir et j’y vais.
J’aime pas trop passer par lù, surtout quand il fait nuit car il n’y a pas de lumière sinon une faible lueur, celle des lampadaires de la rue... Alors je me dépêche et marche à la limite de la course, et lorsque j’entends des bruits de flaque d’eau dans laquelle on marche, j’enlève directement et discrètement ma montre, ma gourmette d’argent et ma chaîne en or et les range dans une petite poche secrète de mon t-shirt. N’empêche, j’ai rudement peur et c’est par bonds que j’avance. Les pas se font plus rapides et j’accélère, j’y suis presque, j’y suis presque! Le bout du tunnel est à à peine 10m. Mon poursuivant court maintenant, je fais pareil et me débarrasse de mon sac en pensant qu’il le prendra et me laissera... Mais brusquement, ce mec excité par mon petit cul bombé et serré dans ce jeans me tasse dans un coin me plaque entre lui et une paroi du tunnel, me faisant sentir son gros zob dur collé sur la craque de mes fesses.
— Attends toi, où tu vas?
— Non laissez moi, j’ai rien, j’ai pas de sous, laissez moi partir!
je suis tellement excité, partagé entre désir et peur, j’ai reconnu qui c’etait: c’est Raphaël! Je sens que je mouille dans mon jeans, putain! Et son souffle chaud dans mon cou, son odeur de mâle qui arrive jusqu'à mes narines, je ne peux que subir la loi du mâle, celui qui voulait un trou à dérouiller et qui en a enfin trouvé un... pas de chance, c’est le mien. J’ai peur mais cette bite qui s’excite sur mon cul est prometteuse et mon instinct sexuel prend le dessus. J’en veux de cette bite, je la veux, j’veux qu’elle me défonce... J’en ai l’anus qui me démange. Je sais que de toute façon, j’vais m’faire baiser dans tout les sens, autant coopérer...
Ses bras m’enserrent un peu plus fort et il frotte et frotte encore, j’ai le cul qui chauffe, chauffé par une bonne queue juteuse! Oh merde... Ha! Il dézippe mon jeans. Ma bite est à l’air, et en expert qu’il est, il me branle fermement, mon gland bien lubrifié par ma mouille abondante! C’est trop bon, oh je gémis, ohan et si quelqu’un arrivait, il me verrait moi mon jeans ouvert à l’avant, la queue à l’air, en train de gémir comme une chienne mais qui ne ferait sûrement rien du tout, vu que c’est Raphaël qui me le fait!
Puis sans préavis, il me déculotte furieusement et m’enfile son doigt enduit de salive d’une seule traite! Il sait comment m’exciter le salopard, oh je gémis de plus en plus fort, qu’il est cochon ce mec ohhhh! Et moi j’adore ça, je suis devenu une vraie salope, je tortille mon cul comme pour me libérer, mais c’est hypocrite, je voudrais qu’il m’en fourre deux, trois, puis qu’il me pousse à fond son mastard! Ma rondelle est en feu! Il me lime avec son doigt, c’en est trop! Je me cambre... les mains sur le mur:
— Prends-moi putain, défonce moi, j’ten supplie, vas-y, mets-là moi!
Et lui excité par mon cul qui bouge, qui se cambre et s’empale sur ses les deux doigts qu’il m’a enfilé, la vue de ses doigts avalés, aspirés par mon cul gourmand et baveux le rend dingue, et le fait de penser qu’elle effet cela produirait sur sa queue... Il grogne maintenant, c’est une bête, un homme des cavernes, un animal sauvage en manque... Il est sauvage, il me bave sur le cou, à grands coup de langue me lèche le nuque et la joue. Ohh et il frotte son gland juteux sur ma craque! D’une main, il libère son sexe qui me frappe la fesse et il s’amuse à me battre le cul avec sa super matraque de longueur standard mais de largeur phénoménale! J’en bave d’envie... J’voudrais le sucer mais mon anus me gratte, il palpite, s’ouvre tout seul sur les doigts inquisiteurs.
— Vas-y, fourre moi s’il te plaît...
— Sale pédé, t’es qu’un enculé! Tu veux ma queue? Putain tu vas l’avoir! J’vais te le dérouiller ton petit cul de pédale.
— Oh oui!
Et d’un coup, il présente son gland à mon trou qui ne l’avait pas vu si gros... Mmmh! Et d’un coup... AHHHHHHH! Et il ne perd pas de temps, il me ramone à fond!
— J’t'ai pas dit qu’on allait baiser ma salope, j’t'ai dit que j’allais te CASSER LE CUL!!!
— Hahahananhanhh... Arrête! Tu me fais mal... Hannn! Stop!
— Tiens prends la, tu la voulais, en voilà!
Il me balance au milieu du chemin, à quatre patte sur un carton, retrousse mon t-shirt sur ma tête de sorte que je ne vois plus rien et d’un coup il me la plaque sur ce carton et j’ai maintenant le cul à l’air, bien cambré, le trou offert à ce mâle qui monte sa femelle... Il m’enfile encore avec son gros dard! HAN!
Qu’il le veuille ou non, je commence à prendre mon pied, il me remonte bien profond dans les intestins, c'est génial! À chaque fois qu’il touche ma prostate, ma queue se redresse un peu plus et menace de gicler. En plus, il me l’enlève d’un coup sa queue que j’aimais tant bien au chaud dans mon cul. Il m’attrape par la nuque, me relève, remet mon t-shirt en place et me fourre la bouche! Ha tous mes trous y sont passés, j’en peux plus, je veux jouir! Et lui aussi! Il m’a attrapé de ses deux mains et me baise la bouche, entrant sortant, me faisant baver abondamment tout à son plaisir. Quand enfin j’arrive au point de non-retour, il éclate, explose, gicle toute sa jute dans ma gorge, mais j’arrive pas à tout prendre et il me maintient fermement:
— Avale salope ! Avale tout!
J’fais de mon mieux, mais il m’en coule sur les lèvres, sur le menton. C’est bon, c’est corsé! Quand il a bien fini de se vider, il me fout une bonne claque et me laisse là, le cul ouvert et dégoulinant, la bouche couverte de sperme, les yeux pleins de plaisir... Et arrivé à l’autre bout du tunnel, là d’où il est venu, il crie très fort:
— Et maintenant, t'es ma pute!
Je me suis rhabillé et enfui, reprenant mon sac et courant jusque chez moi en regrettant. Va-t-il le dire à tout le monde? Vais-je aller au lycée demain? J’vais changer de nom, de pays, de nationalité, ce sera plus simple!
Et le lendemain, en allant au lycée (jeans hyper larges et t-shirt XXXXL), quand j’l'ai vu avec son groupe, j’ai tourné au mauve. Ils ne riaient pas, mais me faisaient des sourires salaces, et l’un d’eux, s’est massé la queue, un autre a sorti sa langue et fait comme si il se masturbait sa grosse queue... Et Raphaël lui, il m’a envoyé un baiser viril... mais j’avais honte, honte et honte et puis... BIP! BIP! C’est mon portable; j’ai reçu un message,
ENVOYE PAR: INCONNU
MESSAGE: Alors ma pute, t’as pas mis ton beau jeans
aujourd’hui?
Y'a mes potes qui voudraient bien t’éclater quelque chose!
Dis-toi que t’as pas
intérêt à dire non...
Dans quel traquenard suis-je tombé? Je suis bien devenu sa pute docile et disponible...
(à suivre...)ça dépend de claudio ?
*brrrr le tunnel avant ..
.
*hummmmhhhh le tunnel après Raphaël........
Deux gars sur deux slings qui se font face...
L'autre type est déjà en train de bourrer le cul de Julien.
— Ça rentre comme dans du beurre!
Mon client n'attend pas plus pour m'enfoncer d'un seul coup un dard de belle taille; je le prends avec joie jusqu'au fond de mon cul.
— Eh! Michel, on va leur en foutre encore une bonne dose; ça aidera pour la suite!
Leurs ventres claquent sur nos fesses; leur rythme s'accélère. Mon enculeur m'empoigne violemment le paquet pendant qu'il jouit.
— Tiens prends ça, petit salaud!
— Ouille! Tu me fais mal!
— C'est rien à côté de ce qui t'attend!
J'entends mon voisin qui crie sa jouissance tandis que Julien accepte sans bruit le jet de jus
lubrificateur.
— Oh Maxime! Je pense que ça commence pas mal. J'en ai pris plein le cul et je n'ai presque pas senti la bite du mec tant il m'avait dilaté avec son énorme gode... Je suis prêt pour un bon fist... regarde!
Oh ça c'est un double dong...
Une pause bière et nous voici en place sur les slings. Les appareils de suspension sont placés de façon que nos culs soient bien en face l'un de l'autre.
— Tiens Patrick, commence à lui enfoncer ça!
Mon bourreau prend le fameux double gode, impressionnant surtout pour sa longueur (je dirais: 40 cm). Je sens l'objet pénétrer profondément dans mon cul, jusqu'à ce qu'il m'arrache un cri de douleur en passant le premier virage de mes boyaux.
— Branche le dessus!
L'autre bout du gode entre dans le cul de Julien jusqu'à ce que nos deux culs se touchent. Julien n'a pas crié; il est résistant mon copain!
— Oh! que c'est bon! T'en as pas un peu plus long?
— Tu vas moins rire tout à l'heure, petit con!
Ils se placent derrière nos têtes légèrement renversées vers l'arrière et fourrent leurs bites encore molles et couvertes de sperme dans nos bouches gourmandes. Chacun empoigne la bite de son esclave et crée en tirant et en poussant un mouvement de va-et-vient faisant sortir et entrer le gode qui nous envahit les entrailles: une super branlette! Tous nos trous sont occupés et nos bites sont agitées de belle façon...que demander de mieux? Nous nous accoutumons à la douleur sur cette balançoire originale; nos bites sont bien raides et celles de Patrick et Michel prennent une bonne consistance grâce à la chaleur de notre accueril buccal. Nos culs s'entrechoquent chaque fois que le gode est entièrement entré de chaque côté. Le supplice devient un véritable plaisir. Le double godage est de plus en plus violent mais on tient bon! Les deux sucés finissent par cracher leur foutre que nous avalons avec délectation:
— Humm!!! Quelle bonne giclée!
Je ne sais pas si Julien a joui mais je vais bientôt le savoir en examinant sa poitrine. Moi j'ai envoyé de beaux jets jusque sur mon menton. Le double gode est arraché de nos petits culs meurtris.
— Regarde! Ton môme a de la merde pas loin!
En effet, un bout est légèrement colorié.
— C'est normal, je n'ai pas chié ce matin; je suis constipé!
— Bravo! on va en profiter!
Nos anus sont très près l'un de l'autre.
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