CULTURE GAY & SOCIETES

Mercredi 24 juillet 3 24 /07 /Juil 00:05

 qui ne serait pas tombé amoureux d'un si beau policier

qui n'aurait pas cherché à le séduire, surtout s'il s'est montré assez machobrutal Image associée  Je rencontre Samir dans le cadre de mes fonctions policières. Il me suit et trouve mon appart. S'il est amoureux de mon cul, toutefois ça reste un peu violent... 

  DE MEME : 

   biographie authentique :

En 1943,Jean Genet rencontre, lors d’un séjour à Marseille, le policier Bernardini, dont il est peut-être l'indic,qui l

 

    Résultat de recherche d'images pour "un inspecteur de police à marseille, pendant la guerre de 39-45"le Vieux Port en 1943

e fascine, et dont il devient bientôt l’amant. Infraction de part et d'autre au code pénal, certes, mais aussi révélation sur l'attirance des opprimés envers les personnes qui obéissent à leurs oppresseurs. Objectivement passif, Genet s'est montré souvent content d'être incarcéré, amoureux des caïds du milieu carcéral, à commencer par le groupe (a)-social de la maison de correction de sa jeunesse et jusqu'au criminel Arcamone qui finit guillotiné (Ecrit poético-autobiographique de "Notre-Dame -des-Fleurs". Je n'aime pas appeler les écrits de J.Genet "romans", tant il y a de lui et de toute son âme  dedans. 

  Résultat de recherche d'images pour "jean genet jeune"Jean Genet en 1948

 

  

iL ETAIT AUTODIDACTE VOUS SEREZ ETONNE DE LA BEAUTE DE LA LANGUE DE JEAN GENET ET DE SA BIOGRAPHIE FERTILE EN DRAMES ET EVENEMENTS Lors des combats pour la Libération de Paris, le 19 août 1944, Jean Decarnin, jeune résistant communiste de 20 ans, amant de Jean Genet, est tué par un milicien sur les barricades. Pour célébrer sa mémoire, Genet commence, dès le mois de septembre, la rédaction de Pompes funèbres, qui sera publié clandestinement en 1947.
Pompes funèbres s’ouvre sur l’enterrement de Decarnin. Ce texte, écrit du point de vue de celui qui a tué son ami, est une dénonciation de l’hypocrisie bourgeoise face à la Milice, une mise en scène du culte du corps et de la virilité développé par le nazisme, et, par-dessus tout, un travail de deuil.
Provocateur et scandaleux, il cherche à déclencher chez le lecteur d’après la Seconde Guerre mondiale une prise de conscience extrême de l’extraordinaire séduction du mal.

 

 

 

 https://journals.openedition.org/gss/1976

  Image associée  Jean Decarnin, jeune résistant communiste de 20 ans, amant de Jean Genet, tué par un milicien sur les barricades

  

Je sais pas pkoi tous ces mecs qui se décrivent dans leurs récits se disent grands, blonds aux yeux bleus, Ici voilà encore une chose qui rend le récit d'un policier gay moins crédible ! C'est bête de mentir-lol-

 

 

https://cyrillo.biz/histoire/flic-caid.html

  Le policier c'est le maître par définition et souvent les plus caïds recherchent leur protection, voire leur bite dans leur bouche et dans leur trou et ça donne de l'amour, de l'amour, de l'amour, ...comme disait Johnny

 

Sébastien, 24 ans, 181, blond court, yeux bleu . Je suis policier. Il y a environ 7 mois, on m'a transféré en région parisienne. Jusqu'alors, je n'avais jamais quitté ma Bourgogne natale. J'ai atterri dans le 91. C'est moins chaud que le 93 mais ça reste un sacré changement pour moi.

J'ai pas eu trop de mal à m'intégrer avec mes nouveaux collègues. La plupart sont jeunes et originaires de province comme moi. Par contre, avec les délinquants et les habitants des quartiers c'est une toute autre histoire. Trop de violence, aucun respect pour la police et une situation qui peut dégénérer pour un oui ou pour un non. Et puis, il y a ce petit con de Samir. Un jeune beur d'à peine 20 ans qui se fout de la gueule des flics de tout le commissariat.

Samedi dernier, Samir a été interpellé pour la troisième fois en 2 mois. Et comme à chaque fois, y a pas assez de preuves ni de témoins contre lui. On est obligé de le relâcher. Le gars a un casier quasi vierge alors que tous les flics savent pertinemment qu'il est impliqué dans pas mal de trafics genre drogue, voitures volées,...

Depuis quelque temps, j'sais plus trop ce qui m'arrive. Je ne peux pas m'empêcher de mater Samir à chaque fois qu'on le fait venir au poste. Il m'attire. Je n'y peux rien. Faut dire qu'il est sacrément bogoss. Il doit mesurer environ 1m80, peau mate, cheveux noirs bouclés et de très beaux yeux marrons qui m'hypnotisent pour de vrai. Il a une gueule d'ange viril et un corps finement musclé. Il fait du sport. Du judo et du handball. Résultat : un sacré petit cul bien musclé que j'ai bien envie de tripoter. Il tourne autour de 2 tenues : un survet blanc et vert et une combinaison pull over/jean quand il fait un peu plus froid. En revanche, le mec à une sacrée collection de baskets en tout genre. Il doit avoir une trentaine de paires sans exagérer.

Lors du dernier interrogatoire Samir m'a regardé direct dans les yeux à de nombreuses reprises. C'était étrange et assez excitant. On était pas seuls. Y'avait une collègue dans la pièce. Pourtant, le mec n'a pas arrêté de soutenir mon regard sans rien dire. J'ai même un peu rougi à un moment donné. Ma collègue a remarqué que Samir n'avait d'yeux que pour moi. Heureusement, sa théorie c'était que Samir est un macho sexiste qui n'aime pas les femmes flics. Ma théorie à moi c'est que ce petit con a fini par se rendre compte de mon attirance pour lui et qu'il a décidé de se foutre de ma gueule et de me mettre mal à l'aise.

Le weekend est vite arrivé. Je suis assis torse nu et en jogging sur le canapé de mon petit appart de banlieue. Je regarde du sport à la télé.

On sonne à la porte. J'ouvre sans prendre la peine d'enfiler un tee shirt et je me retrouve nez à nez avec Samir.

"Qu'est-ce tu fais là toi?". Je regarde autour. Il est venu seul.

"Putain pas même un bonjour!" me dit-il le sourire aux lèvres.

"Comment tu sais où j'habite?"

"Vous les flics, vous me suivez toute la journée dans la cité. Pour une fois, j'ai fait le contraire l'autre soir et j'ai vu que t'habites ici"

"Bon d'accord mais ça me dit toujours pas ce que tu fous là devant ma porte. Un dimanche après-midi!"

"J'ai remarqué comment tu me dévores du regard à chaque fois que tu me vois. Même là t'as du mal à me regarder en face"

Putain! Les voisins risquent d'entendre. Je ne tiens surtout pas à ce qu'ils se fassent des idées. J'ai jamais été ouvert au sujet de mon homosexualité. Par conséquent, je n'ai qu'un choix devant moi : faire rentrer Samir dans mon appart.

Le jeune rebeu prend ses marques tout de suite. Il part au salon et s'installe confortablement sur le canapé. Je reste planté là comme un con. Je pense à lui proposer quelque chose à boire mais je me ravise aussitôt. Je suis policier merde! Et lui c'est un délinquant! Qu'est-ce que je suis en train de faire?!

"Bon écoute moi Sébastien - je peux t'appeler Sébastien n'est-ce pas?-"

Je hoche la tête pour dire oui. Il connait mon prénom. Ce qui n'est pas très surprenant puisque mes collègues m'ont appelé des dizaines de fois devant lui. N'empêche, ça me fait un effet bizarre quand l'objet de mes fantasmes prononce mon prénom.

"Je te trouve pas mal et vu la façon que tu me mates depuis des mois, je suis presque sûr que tu bandes un max en pensant à ma bite de rebeu"

"..."

"Tu me suces. Je te baise. Et ça restera entre nous car on a tous les deux des réputations à protéger. Compris?"

Je hoche la tête. Je suis rouge de honte. Ma queue commence à gonfler.

Samir retire son survet sans enlever ses skets. Il porte un slip gris. Le paquet à l'air prometteur même si il n'est pas encore en érection. Puis, le petit caïd se réinstalle confortablement dans le canapé dans une posture hyper virile avec les jambes bien écartées. Il se saisit de la télécommande et augmente le son. D'un signe de la main, il m'invite à prendre place entre ses jambes. A genoux bien sûr. Je m'exécute car à ce moment précis, je pense plus avec ma bite qu'avec mon cerveau.

Je sniffe son matos à travers le fin tissu du slip. Le sous-vêtement est propre mais je peux sentir une odeur distincte de jeune mâle dominant. J'enfonce encore plus ma tronche dans son paquet et je respire à fond son odeur virile. Samir se rend compte que les odeurs c'est mon trip. Alors, il m'arrête avant que je ne puisse dévoiler son chibre. Il me dit que j'aurais le droit de sucer sa queue après m'être occupé de ses skets.

Aussi viril que je puisse paraître, j'ai toujours fantasmé de me retrouver aux ordres d'un mec dominateur, de préférence un rebeu ou un renoi. Mon métier fait que je suis constamment en contact avec des lascars. Ils ne se doutent pas de l'effet qu'ils me font quand ils résistent aux arrestations ou alors m'insultent de tous les noms. Sniffer les skets d'un jeune rebeu comme Samir est un fantasme devenu réalité. Je bande un max et sans hésiter je prends son pied gauche et commence à renifler sa basket. Je passe 10 minutes à lécher, embrasser et sniffer les skets du p'tit caïd. Puis, Samir détache son attention de l'écran de télé et m'ordonne de retirer les baskets et de m'occuper de ses cho7. Je suis aux anges. L'odeur est forte et virile. Je m'en fous plein la bouche et plein les narines.

Soudain, le jeune lascar se met debout. Tout s'accélère. Il m'écrase la face contre la moquette avec son pied. Il me traite de salope, de garage à bites, de pute à rebeux. Il m'attrape par la nuque et me force à me mettre à genoux devant lui, la tête à quelques centimètres de son paquet. Il baisse son slip et un superbe zob de 17 cm large et circoncis  jaillit devant moi. Je salive comme une chienne en chaleur. Il me tape sur la joue avec sa belle bite puis il me l'enfonce direct dans la bouche.

La pipe est assez violente et Samir ne me laisse aucune liberté de mouvement. J'ai des larmes qui me montent aux yeux et j'ai même envie de gerber. Au moment où je suis au bord de l'évanouissement, Samir stoppe tout, se rassoit sur le canapé et m'ordonne de continuer à le sucer. Cette fois, c'est moi qui contrôle le rythme de la fellation et je m'applique à lui procurer un maximum de plaisir. Il jute dans ma bouche et j'avale sans réfléchir. Quand je lève les yeux pour le voir, Samir à un petit sourire aux lèvres. Il me dit que je suis une bonne suceuse et qu'il fera à nouveau appel à moi. Puis, il se rhabille très vite et sort de mon appart en me disant "A la prochaine, p'tite pute!"

Comme un con, je reste à genoux au milieu du salon et je me branle en pensant aux skets de Samir et à son gros zob qui m'a défoncé la mâchoire.

 

 

  Ceci, ci-dessous, peut servir de suite car Sébastien n'a fait que sucer le gars qui lui promet de revenir  


 

 Et CECI EST UN AUTRE HISTOIRE  là ça va être la totale pour Julien qui est dans le même cas de soumission  :  

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2012-saute-par-un-arabe.php

 

Ci-desssous  une histoire vraie de Akemio , pseudo de Julien, qui complète l'aventure de Sébastien vécue ci-dessus

un sourire à croquer et un regard coquin. Il rentre et aussitôt s’installe dans mon canapé comme si il était chez lui. Je suis un peu surpris mais je vois finalement ça comme un bon signe (comme quoi il a envie de rester). Son téléphone sonne, il décroche et parle un long moment en arabe, me laissant planté assis à côté de lui. Puis il interrompt un bref instant son appel pour me demander de lui servir un truc à boire. Je m’exécute en me rappelant de ses mises en garde sur son coté macho.

Nous n’avons donc toujours pas eu le temps de discuter mais il est pourtant vautré dans mon canapé, moi en train de lui servir un verre sur son ordre. Je me rassoie à côté de lui et là il me colle la main sur la cuisse avec une légère pression pour m’inciter à me rapprocher de lui. Ensuite, il utilise cette même main pour se peloter le paquet, laissant apparaitre une bonne grosse gaule sous le survêt. Mon regard se bloque direct sur son entrejambe, je le regarde ensuite et là il me fait un petit signe de tête pour me dire de commencer à le sucer. J’hallucine ! Ce gougeât m’a à peine dit bonjour et cela lui semble déjà naturel que je lui obéisse au doigt et à l’œil, en même temps, la scène est tellement excitante que je ne peux pas refuser. Je me penche sur sa bosse immédiatement. Il profite d’avoir ma nuque à sa hauteur pour me la mordiller et lécher un peu, ce qui finit de me mettre complètement à ses ordres. Avec sa main il baisse son fute et sort sa bite. J’ouvre la bouche et d’un coup de reins habile, il me la rentre en entier. Sa main tient déjà ma tête fortement pour ne pas que je recule et il se met direct à me limer la bouche jusque dans la gorge par de grands à-coups. Je m’étouffe un peu et cela le fait rire tandis qu’il parle toujours au téléphone en arabe. Je ne comprends évidemment rien mais commence à me demander s’il n’est pas simplement en train de parler de moi. Je me redresse la bouche déjà bien baveuse, un fil de bave la relie à sa queue. Il me sourit et me fais signe de la main d’ôter mon tee-shirt .Il caresse sa queue toute humide de ma bave pendant ce temps et raccroche enfin.

 Il me dit :
« Habituellement les français ne savent pas sucer mais toi alors !... » et me tire fortement jusqu’à l’enjamber. Là il me serre d’un bras contre lui et me fourre sa langue dans la bouche et de l’autre main il baisse mon pantalon pour enlacer et caresser mes fesses. Ses doigts se dirigent directement sur mon trou, qu’il titille rapidement avant de me rentrer un doigt, sans ménagement. Je retire mes chaussures, il baisse mon fute complètement et me reprend dans la même position. Lui est encore assis les jambes écartées le jogging légèrement baissé dans le fond de mon canapé et moi suis comme une grosse pute, à poil dans ses bras, un doigt qui me traverse le cul et sa langue qui me dévore la bouche et tout le cou. Je sens sa queue qui se tend sous mes fesses. ¤

 

 

d

UNE INTRUSION MI-SAUVAGE MI DOUCE DANS MON APPART ET DANS MON CORPS

 

« Allez, mets-toi entre mes jambes pour bien me bouffer la teub, chiennasse » me dit-il de façon très autoritaire. « t’es trop beau gosse, je vais te niquer ma chienne ». Je le suce un peu comme ça puis il semble être vite à deux doigts de venir, je sens un léger gout de sperme sortir de son urètre. Il se lève, se dessape me demande de me m’assoir sur le bord  mon canapé. Il se plante devant moi et pose une jambe sur le canapé, pointant sa queue sous mon nez. Cette vue est parfaite pour moi, je vois sa queue circoncise, pas énorme, de taille normale, mais avec de belles couilles pendantes et poilues. Je suis un peu déçu qu’elle ne soit pas plus gigantesque vu la réputation des arabes mais je me dis qu’au rythme où il a l’air de vouloir me défoncer ça sera largement suffisant. Et oui, j’avais bien présagé. Il empoigne mon menton d’une main et de l’autre il me tire par les cheveux pour m’amener sur sa queue.

« Ouvre ta bouche en grand, sale pute que je teste le fond de ta gueule » et là il m’empale sur son membre jusqu’à la gorge. Cela me coupe la respiration mais il ne relâche pas la pression au contraire, il commence des va et viens très intenses. Je comprends vite que je n’ai pas le choix que de me concentrer pour ne pas avoir de nausée et pour respirer. Il me ravage la bouche environ 5 bonnes minutes à ce rythme. Je commence à transpirer et à baver de la bile qui s’écoule le long de son membre vers ses couilles puis parterre à chaque fois qu’il me la ressort rapidement avant de me la remettre. Puis une fois bien mouillé, il me ressort sa bite et m’écrase la face dans son entre-jambe en me tartinant toute ma bile sur le visage, je vois qu’il sourit en faisant ça.

« t’as une capote là que je te baise ? » je sors des capotes et du gel. Je le vois enfiler la capote et me dire de m allonger sur le ventre sur le canapé mais je ne le vois pas toucher au gel alors je me dépêche d’attraper la bouteille et de m’en appliquer un peu sur la rondelle. Heureusement, car il ne lubrifie pas sa queue, me monte dessus, me dit de tendre les fesses et me l’encastre d’un coup sec dans le cul. Je suis comme foudroyé, j’ai le souffle coupé et j’hallucine de voir comment se gougeât m’a pénétré sans précaution et le pire, c’est qu’il enchaine direct, en attrapant mes hanches, à me ramoner le cul. J’ai une douleur égale à une crampe alors je lui dis de démarrer plus doucement ce qui a pour effet, de l’énerver. Il me met un grand coup de reins sec pour bien me la caler dans le fond et d’une main, attrapant mes cheveux, il m’écrase la tête dans les coussins.

« Mais tais-toi connasse ! Tu voulais te faire ken non ? Alors fais-moi plaiz basta. » Ses mots m’excitent direct et mon cul s’ouvre et se détend aussitôt laissant la douleur pour du plaisir. Il me baise dans tous les sens en me bloquant toujours fortement les bras, les jambes ou la tête, je sens sa force tellement supérieure à moi. J’ai ses muscles écrasés sur mon visage. Sa queue me pilonne tellement  le cul que je finis par mouiller comme une meuf. Il finit par me mettre à genou, le cul très tendu en arrière et le dos redressé. Il s’encastre en moi, encercle mes hanches de ses mains qui viennent se rejoindre sur mon bas ventre, les doigts entrecroisés pour avoir une meilleure prise. Je sens que là, ça va être le bouquet final. Il me baise comme ça de plus en plus fort en tirant mon cul en arrière.

« Cambre petite salope, allez cambre ! »

Je cambre tellement que je sens son souffle juste dans ma nuque. Je pose mes mains sur ses cuisses en le serrant vers moi pour qu’il comprenne que je le veux toujours plus fort en moi. Il me souffle quelques mots à l’oreille. Des mots en arabe que je ne comprends pas. Et se met à gémir puis hurler, il me tient si fort avec ses bras que je ne peux plus bouger. Je sens sa queue qui se tend en moi puis ses gémissements deviennent des râles graves, juste dans mon oreille. Je sens 4 ou 5 à-coups de sa tige en moi. Dommage que cette putain de capote ne me permette pas de sentir son jus chaud s’écouler en moi. Il me mord la nuque et continue de me parler en arabe puis je m’affale sur le canapé en avant. Il reste un instant droit au-dessus de moi  puis me demande où il peut se laver. Je lui montre la direction, il revient, finit son verre, en se rhabillant et me dit :
« j’te laisse ma pute, t’as vraiment un cul de ouf. Je repasserai te voir quand je viens voir mes potes dans le quartier. » puis il me laisse à poil à bout de souffle sur mon canapé en claquant la porte.

Histoire vraie que j’ai vécu ce soir même !!! J’espère qu’il reviendra (et pourquoi pas avec ses potes du quartier -lol- 

 

 


 

 

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-Le-Marocain-01.php

 

  Image associée

 

JULIEN A LA RENCONTRE D'UN KARIM EBLOUISSANT

 

 

 

J'ai chassé pas mal d'inhibitions de ma tête, en particulier sperme et salive en abondance

 

Je me régale à caresser ce corps sec et chaud, et j'ai l'impression que lui

 

aussi aime que mes mains effleurent sa peau dans les moindres recoins.

- Tu es Marocain ?

- Oui… Pourquoi ?

- T'as un super corps ! J'adore… Et il sourit.

Et subitement, il se penche vers moi et m'embrasse !
Un baiser extraordinaire, très mouillé. Sa salive déborde des coins de ma bouche, sa langue fouille la mienne, empêche toute initiative de ma part. C'est la première fois que j'embrasse un Arabe, la première fois qu'une bouche me dévore de la sorte… Jamais avec mes copains on s'est roulé une pelle avec une telle fougue ! Et aussi brutalement qu'il a commencé, il s'arrête, prend ma tête entre ses mains et l'accompagne jusqu'à sa bite pour que je reprenne ma fellation. Pendant que je le suce, il m'enlève mon polo et fait glisser son jogging vers le bas, puis s'en débarrasse. Il glisse une main le long de mes reins, sous mon jeans, puis sous mon slip et passe un doigt dans ma raie. Je me cambre… le contact de sa main entre mes fesses m'excite… Ce mouvement, que je n'ai pas pu réprimer, lui laisse deviner que je ne suis pas trop reticent à ce qu'il s'occupe de cette partie intime de mon anatomie. Il me redresse, baisse mon jeans et mon slip. Il peut maintenant voir que je bande à mort… autant que lui… Il m'entraîne dans la pièce à côté, où il me jette brutalement sur le lit. Je me retrouve couché sur le ventre, le cul en l'air, face à lui. Il saisit à pleines mains mes fesses et commence à les malaxer. Et, se couchant sur moi, tend sa bouche vers la mienne pour me rouler une nouvelle pelle. Très vite, il glisse le long de mon corps et commence à me mordiller les fesses. Il me les lèche… Je
me trémousse de plaisir… Je n'en peux plus quand je sens sa langue s'insinuer dans ma raie et s'arrêter sur ma rondelle. Comme quand il m'a roulé une pelle, il emploie une quantité incroyable de salive, que je sens couler sur mes couilles et me pénétrer en même temps que sa langue… On ne m'a jamais fait çà ! J'en gémis de plaisir, ce qui l'encourage à en faire encore davantage. Il a l'air déchaîné… Un doigt vient forcer mon sphincter; je le sens qui entre doucement, mais de plus en plus profondément… J'adore ! c'est bien plus jouissif que les godes que je m'enfile tout seul. Deux doigts. Il écarte bien les parois… il met en même temps la pointe de sa langue. Que c'est bon ! Je bande comme jamais. Je n'attends plus qu'une chose : qu'il me prenne ! Et tant pis si ça me fait mal, si sa queue est trop grosse, si j'ai mal au cul pendant une semaine !! J'ai trop envie de sentir sa chair chaude me pénétrer, sa longue et grosse bite me fourrager le fion, ses couilles frapper contre mes fesses. Et mon souhait va se réaliser. Tout en douceur… comme un pro qu'il est. Je m'étonne que la douleur ne soit pas plus forte… Ça me brûle… c'est vrai. Mais rien d'insupportable. Et si je ne sentais pas sa verge entrer et sortir, je pourrais croire qu'il n'a pas encore commencé à m'enculer… "Tu aimes ? Tu la sens ?" Je réponds ausssitôt que c'est la première fois que je me fais baiser, et que bien sûr j'adore…. Il rigole. Content de dépuceler un jeune mec et que mon cul soit capable de recevoir son bel outil !

Comme pour me remercier, il me tend sa bouche pour qu'un nouveau baiser baveux consacre notre union. Puis il me met sur le côté, lève une de mes jambes et me prend dans cette nouvelle position. Sa queue entre encore plus profondément en moi. Je n'ai pas du tout mal et mon amant peut voir ma bite bien droite. Je suis super excité par ce qu'il me fait. Il faut dire qu'il baise come un chef. A se demander s'il ne fait pas çà professionnellement : n'est-il pas gigolo, ou acteur porno ? Il va me baiser dans cette position une bonne dizaine de minutes. Il transpire et la sueur colle nos deux corps. Il est bien chaud le mec et de temps en temps donne des coups de reins qui enfoncent encore plus sa queue en moi. Je ponctue ses coups de bite plus violents d'un "ha !" plaintif, qui ne le dissuade pas de recommencer. Je sens qu'il est heureux, qu'il apprécie de me posséder, de baiser un mec à la peau claire… encore puceau ! Il me demande : "T'as quel âge ?" "Dix-neuf." "Dix-neuf ??" Il arrête de m'enculer et m'embrasse. Mais cette fois plus posément, comme un amoureux, tendrement. Il retire sa queue de mon cul et me demande de me mettre à quatre pattes. Tout en introduisant de nouveau sa queue entre mes fesses, il répète : "19 !???... et t'avais jamais fait l'amour ?" "Si… avec un copain, mais pas comme çà…" " Comment pas comme çà ? Tu aimes comme je te baise ?" "C'est clair… on voit que t'as de l'expérience…" Il s'arrête, sort sa queue, se couche sur le dos : "Allez, à toi ! Amuse-toi avec ma queue ! Assis-toi dessus et fais-la bien rentrer !" En me disant çà, ses yeux brillent d'envie; il est heureux que je sois son jouet. Mais moi aussi je suis comblé : en une seule fois, je goûte à tous les plaisirs qui s'offrent à un passif. Sans me faire prier, je m'empale sur son dard toujours aussi raide et dur. Mais très vite, je sens que la brûlure est intolérable : sa bite n'est entrée qu'à moitié et j'ai l'impression qu'elle me transperce de haut en bas. J'interromps la pénétration, mais mon amant pousse sa queue vers le haut pour, croit-il, m'aider. Pour la première fois, je gémis de douleur et le supplie d'arrêter. On se couche tous les deux sur le côté. "Tu veux pas que je te la mette bien au fond… j'ai envie de te donner mon jus…" (oh si c'était toi, tu diais quoi ? 

HELAS JULIEN DIT NON ?!  CE N'EST PAS CE QUE J'AURAIS FAIT

ONE SHOT C'EST TOUJOURS CA !

 

"Non, pas comme çà…ça fait trop mal…" Il paraît ne pas comprendre ce qui m'arrive : que se passé-t-il j'étais si content de ce qu'il me faisait… Puis, résigné, il se met à se masturber, lentement, faisant tourner sa main autour de sa queue. Sa bite circoncise ne coulisse pas bien, mais elle est de plus en plus gonflée, les veines de plus en plus apparentes; C'est beau de voir un beau mec bien membré se branler. J'approche ma bouche de son gland et lèche ce beau sexe violacé. Il est à genoux devant moi et semble prêt à décharger son arme. J'observe avec intérêt ce beau zeb d'Arabe sur le point d'éjaculer. Mais, je me trompe, mon bel amant va encore s'astiquer le chibre pendant cinq longues minutes avant de lâcher son premier jet de foutre. Une giclée qui va tout droit sur ma gueule, suivie de trois ou quatre autres tout aussi puissantes. Et mon amant me tend sa queue, d'où coule un filet de sperme : "Vas-y ! nettoie-la bien… laisse rien perdre, c'est des vitamines !" "Tu aimes ?", me demande-t-il. "J'adore… c'est super bon en plus ton sperme est super épais !" -"T'es un vicieux, toi !"

On s'arrête, pourtant je n'ai pas joui… Mais je pourrai toujours me branler ce soir dans mon lit en pensant à ce que je viens de vivre. Je me rhabille en vitesse. Lui reste à poil et me regarde. Puis il s'approche et me roule une dernière pelle. Je lui demande : "Tu t'appelles comment ? " "Karim… et toi ?" "Julien… On pourra se revoir et faire l'amour une autre fois ?" "Imposible, ça fait deux ans que je vis en Espagne… et je rentre chez moI demain. Ici, c'est la maison d'un cousin… Mais je n'oublierai pas ton beau cul et notre baise de cet après-midi." Et il m'embrasse une dernière fois.

 

 

[...] En Italiel’attitude du régime fasciste envers les homosexuels, les stratégies et les motivations sous-jacentes à l’action répressive contre eux, ainsi que le modèle de masculinité et le style de vie imposés par le fascisme. L’accent mis sur la morale sexuelle et sur la virilité, ainsi que les accusations de « pédérastie », permettent de comprendre l’usage politique de la question homosexuelle dans les rivalités politiques pour atteindre des positions de pouvoir et pour discréditer les adversaires ou éloigner des personnalités encombrantes. Mais ces formes de répression de l’homosexualité n’étaient pas toujours mises en pratique. Les individus qui avaient une double vie et qui se conformaient au standard de respectabilité prôné par ce régime pouvaient passer à travers ces mesures intrusives de la vie privée. Autrement dit, l’homosexualité était tolérée tant que cela restait dans la sphère privée. L’analyse de cette relation ambivalente entre public et privé révèle l’impact de l’expérience totalitaire fasciste sur les coutumes et la vie quotidienne, ainsi que les difficultés rencontrées par le régime dans la réalisation de la révolution anthropologique des Italiens.

 

 


 

NOTES SUR JEAN GENET : et le Journal du Voleur

 

Image associéeOn imagine Jean Genet et son amant, l'inspecteur Bernardini dans le Marseillle de 1943 au temps des rafles, des exécutions sommaires ou clandestines et des tortures. Cette année-là c'est la rafle du Vieux Port, la démolition du quartier, le 1er février 1943.  la déportation de ses habitants via le camp des MILLES.

Et dans tout ça on continue à draguer et à faire l'amour. C'est la vie. Ne cachons pas non plus les hésitations de Genet envers le nazisme. Mais il se corrigera. 

Âgé de trente-cinq ans, le narrateur, Jean (Genet), évoque un passé lourd : sa vie de 1932 à 1940. Il raconte son existence de misère en Espagne, dans le quartier interlope du Barrio Chino à Barcelone, où, prostitué, il partage les mœurs de la vermine avec Salvador, son amant crasseux, qu’il délaisse pour Stilitano, le manchot magnifique, maquereau et traître.

Abandonné par ce dernier, le narrateur raconte son dénuement sur les routes andalouses. Il fait part de ses pérégrinations en France, en Italie et en Europe centrale, où il rencontre Michaelis, chanteur des rues, amant puis compagnon de prison. Il évoque Java, ancien Waffen SS, traître qu’il admire. En 1936, à Anvers, il retrouve Stilitano enrichi par le trafic d’opium et la prostitution masculine. Armand, incarnation de la « brute parfaite », devient son amant, et avec Stilitano et Robert, dont il jalouse la complicité, il détrousse les pédérastes. Stilitano le pousse à trahir Armand. Il les abandonne et revient à Paris. Il évoque aussi sa rencontre, lors d’un séjour à Marseille, avec le policier Bernardini, qui l’a fasciné et dont il est devenu plus tard l’amant. À la Santé, il rencontre Guy avec lequel il a la révélation profonde du cambriolage. Avec Lucien, docile amant, il connaît la tranquille tendresse, mais cet amour le rapproche de la morale et lui fait connaître le regret de sa légende. r : Image associée      


« Abandonné par ma famille il me semblait déjà naturel d'aggraver cela par l'amour des garçons et cet amour par le vol, et le vol par le crime ou la complaisance du crime. Ainsi refusai-je décidément un monde qui m'avait refusé.

 

 

 

 

 

 

Par WAFFEN - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 5 juillet 5 05 /07 /Juil 05:18

mon cul était encore presque neuf ...mais avec un noir c'était ma première...aujourd'hui je me ferais pas prier...qu'est-ce que je jouais ma mijaurée à "l'époque"

 

Allez ! n'aie pas honte !

 

Il bat mon coeur.

 

 

Regarde ! Est-ce que j'ai honte, moi ?

 

 

 

Allez, un dernier effort ! Tu vois! tu l'as fait. Putain ! tu es beau tu sais.

 

 

-" Embrasse-moi ! Caressons-nous !

- ok !  Ohhh elle est douce ta peau et tu as un gros paquet.(rires) C'est doux ! c'est excitant !

Il bat mon coeur.

 

 

 

 

Par AMOURABI - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 12 juin 3 12 /06 /Juin 01:58

Image associée  Résultat de recherche d'images pour "film porno gay en salle de cinéma" Au 20 boulevard de Clichy, coincé entre une brasserie et un McDonald's, l'Atlas est l'un des derniers cinémas pornos parisiens en activité,

 

Invisible sur Google Maps et presque autant sur Internet, j'ai découvert le cinéma L'Atlas au hasard d'une balade dans le nord de Paris. Situé en face de la place Pigalle, au 20 boulevard de Clichy, coincé entre une brasserie et un McDonald's, l'Atlas est l'un des derniers cinémas pornos parisiens en activité, cousin oublié du Beverley des Grands Boulevards. Il est ouvert tous les jours de 10 heures à 2 heures du matin.

En plein essor dans les années 1970, les cinémas pornographiques dits de « cinéma spécialisé » faisaient flores aux alentours des gares et des quartiers populaires. Ils ont pourtant décliné progressivement, mis à mal par les chaînes de télévision, le classement « X » de 1975, l'arrivée de la VHS, pour être achevé par Internet à la fin des années 1990.

L'Atlas est situé au cœur de Pigalle, dans le 18 e. Les sex-shops et bars à hôtesses qui firent autrefois la réputation du quartier ont, ces dernières années, été remplacés par des endroits plus traditionnels, destinés à une clientèle différente. Le renouvellement a rangé ces lieux dans la catégorie des musées et de l'apparat nostalgique. De fait, qui va encore mater ou se masturber là-dedans, en 2016 ?

Devant l'entrée du cinéma, je mate un peu les affiches des films diffusés. Dessus, on voit des chattes et des bites poilues ; plutôt vintage, donc. En passant, un mec visiblement drogué me demande s'il y a du « monde à l'intérieur ».Je n'en sais rien. Homosexuel blanc de classe moyenne et pourtant assez au fait du Paris dit « alternatif », je lui réponds que je n'ai jamais entendu parler de L'Atlas. Je regarde sur mon téléphone si quelqu'un a déjà évoqué ce cinéma sur Internet. Les seules occurrences viennent du site lieuxdedrague.fr. J'y lis, par exemple :

« Cinéma porno surtout fréquenté par des travestis et quelques hommes africains, arabes, étrangers. il y a 2 salles de projection. Bons plans avec mecs qui se branlent ou baisent sans capote dans les chiottes du haut qui servent de backroom. Hétéros mariés, bi, et gays de tous âges... (pour info lieu très sale). Métro Pigalle. Attention aux pickpockets. »

À part ça, rien.

Pour baiser avec des inconnus, je suis plutôt du genre à utiliser les applications smartphone de type Grindr ou Tinder. Avec le temps cependant, j'ai pris goût aux rencontres inattendues dans des lieux faits pour ça – ou non –, qui sont bien plus excitantes que la drague sur Internet typique d'aujourd'hui. Un peu partout dans Paris, il existe en effet un large choix de saunas et de bars dédiés à ça et où je me rends parfois. Mais dans tous les cas, rien qui ressemble à l'Atlas, tant au niveau de la clientèle que de l'atmosphère.

L'entrée est à 10 euros. On me donne un petit ticket bleu, à l'ancienne. Une fois entré, j'ai le choix entre deux salles : une à l'étage et une en sous-sol. Je commence par en haut et me cale dans un siège du fond. À travers la pénombre, je cherche du coin de l'œil quelques mouvements qui tromperaient un ébat discret, mais les gens ont l'air plutôt sages. Point question d'homosexualité à l'écran. On y voit des mecs et des meufs baiser en ordre naturel. Le film projeté est du style « interracial », avec une femme noire en train de se faire démonter par un mec blanc.

Comme évoqué dans le commentaire posté plus haut, ce que je vois de la population ici est en majorité de descendance africaine, subsaharienne et maghrébine. Comme prévu, les films ne sont qu'un prétexte. Les gens sont là pour baiser ou se branler. Certains arrivent avec un petit sac de sport, et se changent en arrivant dans la salle.

Image associée l'Atlas le jour
L'Atlas est situé entre une brasserie française pour touristes, et le McDonald's de Pigalle.

Au contraire du commentaire, les mecs que j'observe sont plutôt hétéros et viennent ici baiser des meufs susceptibles de se lâcher davantage que leur partenaire féminin habituel. À moins que ce soit peut-être pour assouvir plus facilement leur attirance refoulée envers les hommes ? Car je vois également des relations homosexuelles assumées, sans que ça ne gêne les hétéros alentour. Avant que le film commence, je lis d'autres commentaires à propos de l'Atlas sur le site de rencontre. Ils sont directs.

 


Image associée

« 20/10/2013 à 11 h 24


Ce dimanche 20 octobre j y serai dès 14h et jusqu'à 22h pour n'être qu'un trou à bites... uniquement servir de vide couilles à la chaîne et non stop. âge et physique peu important... alors blacks arabes blédards clochards venez nombreux... kelly.. »

 

    Résultat de recherche d'images pour "porn older gay man admires an erect twink's dick"à la chaîne et non stop -lol-

  


 

Première surprise, il y règne une ambiance très agréable. Des hommes – j'apprendrai plus tard, par la personne qui m'abordera, qu'ils sont proxénètes – discutent tranquillement sur les banquettes à l'arrière. Des travestis plaisantent, font le bilan de leur journée. Je commence à me sentir bien. De l'écran jaillit un bain de lumière apaisant qui inonde la salle. Les jeux entre les gens se mettent vite en place.

Je vois des inconnus qui se baladent, matent, cherchent des trucs ; parfois avec une insistance et une proximité bizarre, vu qu'on ne voit rien. Ça me fait penser aux buissons du Bois de Boulogne, ou à certains bars à culs.

À part un mec titubant, vraisemblablement soûl, les gens réunis ici semblent sobres. La population est plutôt trentenaire, mature, avec quelques jeunes ici et là. Il m'est difficile d'évaluer précisément l'âge des gens. Les femmes abordent les hommes seuls qui, assis, ont l'air de les attendre. Ensuite, libre à eux d'aller tirer leur coup dans les toilettes, qui servent de backrooms. C'est là que les gens s'ébattent.

Les w.-c. puent l'urine. Des papiers y traînent et les chaussures collent à la crasse du sol à chaque pas. Ça me fait penser aux clubs gays kinky où l'on ressent jusque dans le décor autour de soi l'acte moralement répréhensible auquel on est en train de se livrer. Parce que c'est ça qui est bon. C'est une forme de saleté qui transcende mon dégoût initial, me procure un sentiment d'excitation. À l'Atlas, les sièges et le sol des salles semblent propres, sans odeur ; le crade est dissimulé dans les couloirs et les chiottes.

 

Image associée Scène de cruising classique en début de séance

Dans la salle, je m'aperçois que les rétroprojecteurs qui diffusent les films ne sont pas du tout centrés. L'image parvient aux trois-quarts sur l'écran. Le reste échoue sur les murs ou sur le plafond. Comme si les appareils avaient simplement été posés là, sans plus de façons.

« 01/01/2016 à 13h24
Cette fin d'année je ne la voulais pas traditionnelle. Donc j ai décidé d etre dans le pire ciné X pour finir sex. Et cela a marché car a minuit on s occupait de moi. j'y ai même découvert un nouvelle sensation . Par contre je ne referai plus. vaut quand meme mieux un reveillons traditionnel. Bonne année sexe a tous »

Dans les bars ou saunas gays que je fréquente, les mecs attendent au bar jusqu'à ce qu'ils trouvent quelqu'un. Les regards jouent beaucoup : il s'agit de faire comprendre à l'autre que celui-ci nous plaît. Puis on se rapproche pour aller continuer notre affaire plus loin. Souvent, il y a des mecs qui matent ou tentent de participer. J'aime beaucoup regarder aussi, et m'insérer dans un ébat en cours. Il faut juste savoir écouter et s'y prendre avec tact.

Dans un cinéma comme celui-ci, le jeu est différent grâce à la salle et aux sièges. Il est plus facile de se poser et d'attendre qu'on nous approche. Assis dans la salle depuis déjà une bonne vingtaine de minutes, c'est à mon tour de me faire aborder. C'est un homme. Il est travesti, noir, élancé et chic. Il a l'air adorable. On papote. Il me dit qu'il bosse dans les ressources humaines le jour ; « je m'amuse comme ça le soir », ajoute-t-il. Il me dit que son travestissement est venu des diverses demandes de la part de mecs hétéros qui le fantasment et le « désirent en femme ».

Il est là pour son plaisir et me dit qu'il ne « travaille pas », c'est-à-dire qu'il ne prend pas d'argent en échange d'une partie de jambes en l'air. Bien sûr, il n'y a pas que des prostitués. Beaucoup viennent ici simplement pour se détendre, à l'abri des regards.

Par la suite, je me fais aborder par un autre travesti. C'est une femme d'un certain âge, une Mama noire. Elle est postée dans le couloir à baise, en bas. Elle m'annonce : « je ne prends pas d'argent, mais tu peux m'offrir un cadeau ». En découvrant le lieu, je ne vois rien et lui demande ce que font les gens au fond. « Ils font l'amour », répond-elle.

trash et content de le rester !

Les escaliers menant vers les toilettes et la salle du sous-sol

Ce qui me marque chez elle, c'est son absolue douceur. De toute ma vie, c'est la première fois que je suis en contact avec le milieu de la prostitution. D'entre les capes et les foulards parvient sa délicatesse, à travers sa voix, ses gestes. Un truc très maternel. Dans son coin, elle fredonne un air en attendant un homme.

Plus le temps passe, plus je me sens bien. J'ai l'impression d'être si loin des chichis princiers de certains établissements gays. Je descends au sous-sol.

Je ne vois pas de différence notable entre les deux salles. Plus de sièges pétés, peut-être. Ces derniers, avec la lumière spectrale de l'écran et les corps désincarnés qui déambulent alentour donnent un air fantomatique à la salle. Des gens baisent dans un petit couloir vers la sortie de secours, sous une alcôve jonchée de détritus et d'emballages de capotes. Il y a même un petit rideau, à tirer lorsqu'on souhaite être tranquille.

Dans la pénombre, je ne distingue pas grand-chose. Je peux à peine sentir que c'est assez calme dans la salle. Les gens regardent le film ou pianotent sur leur téléphone. On entend un peu les cruisers parler par-dessus le film, mais c'est à peu près tout. Le sexe est surtout localisé dans des lieux précis, où les gens baisent plutôt rapidement et dans une discrétion relative. Je n'arrive pas vraiment à être excité car c'est assez calme, et le travestissement n'est pas mon truc. Le nombre de personnes présentes joue aussi : je suis, il faut le reconnaître, assez timide.

« 15/10/16 à 19h40
Bonne salope à démonter, cherche bites pour éteindre le feu de son cul dimanche de 13h jusqu'à l'extinction du feu. Elle pompe aussi. Chienne obéissante et soumise. »

Il est possible que je sois arrivé un peu après la fête. D'après les commentaires, il y a plus de monde les samedis et dimanches après-midi. Après environ deux heures d'étude à l'intérieur, je me décide à sortir. L'atmosphère du McDonalds d'à côté tranche net avec ce que je viens de vivre.

Je quitte l'endroit avec une pointe de regret : c'en est fini de ma petite parenthèse enchantée. Ce cinéma porno m'a rendu nostalgique d'une période que je n'ai jamais connue.

Je réalise que j'aime les gens que j'y ai croisés, parce qu'ils ont envie d'autre chose. Car il faut vraiment avoir envie d'autre chose pour s'obliger à quitter son fauteuil chaud, son ordinateur et son téléphone pour aller faire du cruising réel comme il y a 30 ans. Cela signifie prendre de vrais risques.

Assis dans le fast-food devant un menu composé d'un burger, d'une boisson gazeuse et d'une portion de frites, éclairé par toutes les lumières du boulevard, je remarque une chose : ici, il fait plus sombre et plus froid qu'au fond de l'Atlas.

ça fait penser à des choses comme le progrès nous pousse, mais vers où ? /:

La lumièr' revient déjà
Et le film est terminé
Je réveille mon voisin
Il dort comme un nouveau-né
Je relèv' mon strapontin
J'ai une envie de bailler
C'était la dernièr' séquence
C'était la dernièr' séance
Et le rideau sur l'écran est tombé
La photo sur le mot fin
Peut fair' sourire ou pleurer
Mais je connais le destin
D'un cinéma de quartier
Il finira en garage
En building supermarché
Il n'a plus aucune chance
C'était la dernièr' séance
Et le rideau sur l'écran est tombé
Bye bye les héros que j'aimais
L'entracte est terminé
Bye bye rendez-vous à jamais
Mes chocolats glacés, glacés.
J'allais rue des Solitaires
À l'école de mon quartier
À 5 heures j'étais sorti
Mon père venait me chercher
On voyait Gary Cooper
Qui défendait l'opprimé
C'était vraiment bien l'enfance
Mais le rideau sur l'écran est tombé M'sieu Eddy
Image associée   Image associéeImage associée

 

 


commentaire :

 

   Image associéeemail claudemodou@gmail.com  

Par JEAN COGNET/VICE - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 21 mai 2 21 /05 /Mai 00:31

 le moine n'était pas Zeus, il s'en faut ! il puait le chibre mal tenu et le touriste n'était pas Ganymède mais un bel étudiant PD parfumé  des années 30

Dans la mythologie grecque, sur l'Olympe, Ganymède est un amant de Zeus et celui qui sert à boire aux dieux. Sa beauté est devenue proverbiale il est le successeur de la déesse Hébé dans la fonction d'amant(e)

 

Résultat de recherche d'images pour "Moine du mont athos"

 

Résultat de recherche d'images pour "Moine du mont athos"

Le  moineland du mont Athos est occupé par des religieux orthodoxes depuis le IVe siècle après J.-C. bénéficie d’une autonomie à la fois administrative et judiciaire, d’une dispense d’impôts et d’une non-soumission au recensement qui fait qu’on ne sait pas exactement combien de moines y vivent. On dit 2000.  Etant donné qu’ils ne se reproduisent pas, ce n’est pas très grave.

Toute présence féminine y est strictement interdite et passible d’une peine d’un an de prison. La misogynie et le sexisme de ces barbus moyenâgeux et réactionnaires ne connaissent aucune limite : même les animaux de sexe féminin sont interdits de territoire ! Enfin, pas tous. Les vertébrés sont tous proscrits, certes, sauf les poules, vu qu’on a besoin de leurs œufs frais pour les manger. Hypocrisie quand tu nous tiens. Quant aux femelles de mouches et moustiques, on se demande comment les moines réussissent à les plier à cette charia orthodoxe.

On est très loin des proxénétes, marchands de chair humaine, de Moldavie, mais on n’échappe pas pour autant aux turpitudes du sexe en cette terre sainte qui devrait être un haut lieu d’abstinence sacrée. Et puisque les pauvres moines ne peuvent pas se taper de chèvres (elles sont femelles, vertébrées et ne pondent pas d’œufs !), ils sont contraints de pratiquer une homosexualité honteuse et plus ou moins cachée. Pas tous, certes, mais à lire Lacarrière dans L'été grec, on n’est parfois pas loin d’être dans un lupanar gay. Il raconte avoir été l’objet d’avances sexuelles explicites, et parfois à la limite de la tentative de viol, de la part de moines priapiques.

 Un autre voyageur, François Augiéras, raconte ses torrides liaisons homosexuelles avec ces hommes de Dieu dans son Voyage au Mont Athos :

 

 

On est très loin des marchands de chair humaine de Moldavie, mais on n’échappe pas pour autant aux turpitudes du sexe en cette terre sainte qui devrait être un haut lieu d’abstinence sacrée. Et puisque les pauvres moines ne peuvent pas se taper de chèvres (elles sont femelles, vertébrées et ne pondent pas d’œufs !), ils sont contraints de pratiquer une homosexualité honteuse et plus ou moins cachée. Pas tous, certes, mais à lire Jacques Lacarrière dans L'Eté Grec on n’est parfois pas loin d’être dans un lupanar gay. Il raconte avoir été l’objet d’avances sexuelles explicites, et parfois à la limite de la tentative de viol, de la part de moines priapiques."Un voyage à Athos c’est d’abord un voyage dans le temps. (...) Athos est une survivance, une parcelle de Byzance enclose en notre époque."  Un autre voyageur, François Augiéras, raconte ses torrides liaisons homosexuelles avec ces hommes de Dieu dans son Voyage au Mont Athos  :

 

« Une forte odeur de crasse se dégageait de sa personne. [...] Il avait cru,

 

en entrant dans ma chambre, qu’il allait à l’instant me traiter comme on

 

violente une fille. Robuste encore, mais ayant trop présumé de ses forces, il

 

devait se contenter de me baiser les yeux ! De mon côté, tout disposé à de

 

très grands outrages, il me fallait me satisfaire du délicieux contact de sa

 

langue sur mes paupières closes ! Le temps passait, nous en étions au

 

même point. Il osait enfin me caresser le dos ! Non pas tellement qu’il y

 

prenait du plaisir ! Mais dans l’espoir d’un possible retour de ses forces

 

d’antan, il laissait une main à tout hasard, se rapprocher de mes reins ;

 

tandis que de l’autre, par divers mouvements, il aidait la nature à retrouver

 

une verdeur perdue. [...] J’étais à demi nu ; ma peau, rendue très sensible en

 

raison de la fraîcheur de l’air, frémit de plaisir aux premières caresses un peu

 

vives. Il touchait maintenant mes hanches, toujours plus tendrement, d’une

 

manière exquisement habile. Depuis un moment il avait cessé de fourbir des

 

armes qui n’étaient plus de bois. D’un geste brusque, il fit glisser sur mes

 

chevilles les vêtements défaits qui me couvraient les cuisses, et il monta sur

 

mon lit. Ma longue attente, mon impatience extrême, une attaque un peu

 

rude me portèrent aussitôt jusqu’à des plaisirs qui, pour être grossiers, n’en

 

étaient pas moins délicieux. Un nocturne hululait ; un charme venait des

 

arbres : séduit, possédé, violenté, habité par un autre, je n’étais plus seul en

 

moi-même. La part féminine de mon caractère participait, dans un parfait

 

délire, à l’éternité de la vie ; je me sentais brutalement distrait d’une solitude

 

qui me pesait souvent. [...] Par des grognements et des baisers furtifs, il me

 

manifestait tout son contentement ; il me murmurait à l’oreille mille

 

remerciements d’avoir considéré plus d’une heure, sans un mouvement

 

d’impatience, que son grand âge ne le rendait pas des plus vifs : j’étais un

 

ange de douceur et de bonté pour lui ! »

 

 

Torride, ces ébats de bêtes à Dieux dos ! Andréi, un proxo, l’a donc échappé belle. Dommage, d’ailleurs : s’il était un rabatteur hétérosexuel d’un réseau de prostitution, il aurait été plaisant qu’il se fasse violer par tout un mâle dominateut dans ce  troupeau de moines sodomites assoiffés de stupre !

Bon, n’exagérons rien. Comme le disait un pope à Jacques Lacarrière,

«

L’homosexualité existe au mont Athos. Il ne sert à rien de se voiler la face. Mais il serait tout aussi faux de lui accorder trop d’importance. Elle n’est le fait que d’une minorité et de tous les péchés des moines, ce n’est pas à mon sens le plus grave. C’est un péché de chair

qui viole le vœu de chasteté - mais qui peut être aussi source d’amour. La plus dangereuse des tentations qui guettent le moine, c’est l’orgueil et le doute. Car celles-là rongent et détruisent l’âme. Et c’est l’âme, en ce lieu, que nous voulons retrouver et sauver »

 

Et puis ce ne sont après tout que des relations sexuelles entre adultes consentants. Rien à voir avec les marchands de chair humaine moldaves, roumains, albanais, kosovars ou ukrainiens (et autres)...

 

pour une fois la discrimination est en faveur des gays...hihi

Par GAYNIMEDE - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 27 avril 6 27 /04 /Avr 22:52

Dans le Paris d’Alexander von Humboldt

Jaloux de sa célébrité, Napoléon voyait en lui un espion. Mais Alexander von Humboldt était simplement le plus grand naturaliste allemand. Amoureux de la France, le « second découvreur de l’Amérique » y a passé le tiers de son existence. Brillant causeur, penseur rationaliste, progressiste, il se sentait chez lui dans ce qui était alors la capitale intellectuelle et scientifique du monde.

 ©Costa/Leemage

Dans sa bibliothèque. Humboldt reprochait aux savants français de son temps de ne pas faire assez de place à la sensibilité et à l'imagination dans leurs analyses.

 

 

  Il ne s'agit pas de les emmerder post mortem, mais 

Résultat de recherche d'images pour "humboldt et bonpland"   ça nous flatterait, nous les gays du 21e siècle que leur amitié qui excluait les femmes, ait été une solide et secrète relation homo   

Der junge Alexander von Humboldt
Der junge Alexander von Humboldt

 

 

Image associée

 

 

 En 1792, le jeune Alexander von Humboldt entra dans le service des mines prussien. En un an, il devint inspecteur des mines et travailla à l'amélioration des conditions de travail des mineurs qui incluaient la dotation d'une lampe de sécurité et du matériel de sauvetage, ainsi que des cours du soir et la mise en place d'un régime de pension. Après la mort de sa mère en 1779 (son père, un officier de l'armée prussienne, mourut. A l'âge de dix ans il devenait indépendant financièrement. Il avait envie de partir explorer des contrées lointaines. Il fut présenté au roi d'Espagne avec son ami Aimé Bonpland et demanda l'autorisation d'explorer pour l'Espagne. En juin 1799, ils partirent de La Corogne et atterrirent six semaines plus tard à Cumana (maintenant appelé Venezuela). Ils suivirent le cours depuis la source de l’Orénoque  avec des chevaux de trait, et enregistraient en majeure partie. .
tout ce qu’ils voyaient Ils ont découvert que le Casiquaire est un canal naturel reliant l’Orénoque à l’Amazone et ont établi un nouveau record d’alpinisme en réussissant l'ascension du Chimborazo. Ils ont collecté 60 000 spécimens de plantes, dont 6 300 étaient inconnus en Europe. Ils ont également étudié et enregistré dans des domaines tels que le magnétisme, la météorologie, la zoologie et l'ethnographie. Il a été inspiré non seulement par le recueil de connaissances mais par l'idée selon laquelle «la nature n'était pour moi pas un simple phénomène objectif, mais une image miroir de l'esprit de l'homme». En 1804, ils se rendirent en Amérique et rencontrèrent le président Jefferson. Cette année-là, ils se rendirent à Paris (Humboldt s'y installa pendant vingt ans) et reçurent un héros bienvenu. Il a ensuite entrepris une description complète des voyages qui ont finalement abouti aux trente-quatre volumes, couvrant une vaste gamme de sujets lui apportant un grand prestige (bien que beaucoup d’argent). Il a épousé de bonnes causes telles que l'abolition de l'esclavage en Prusse et s'est élevé contre l'antisémitisme et le racisme. Ses dernières années ont été consacrées à son chef-d'œuvre Cosmos, décrivant tout ce que l'on savait sur la Terre et l'univers et est mort en terminant le cinquième volume.
Image associéeReinhard von Haeften.
Amis et relations: Au cours de ses années d’inspecteur des mines, il est tombé amoureux d’un jeune officier de l’armée, Reinhard von Haeften. Humboldt était tellement épris de von Haeften qu'il désirait sa présence à tout moment. Humboldt l'invita donc à vivre sous son propre toit. À l’invitation et au patronage de Humboldt, les deux hommes ont beaucoup voyagé. Humboldt a utilisé la lettre de code «R» pour faire référence à von Haeften dans des lettres à des collègues et à des amis. Cela dura deux ans et, après le mariage de von Haeften avec sa fiancée enceinte, Humboldt vécut six mois avec les nouveaux mariés. Doit avoir été confortable. En fait, Humboldt était si effronté qu’avant le mariage, il avait contacté la fiancée de von Haeften pour lui annoncer qu’il avait trouvé la maison idéale en Suisse pour les trois personnes. Comme si de rien n'était.

Il eut une longue amitié avec Aimé Bondpland, mais personne, malgré les apparences, personne n'a pu se prononcer sur le fait de savoir s'ils étaient amoureux ou non. Pendant les années parisiennes, il entretint une longue relation avec le célèbre scientifique Joseph Gay-Lussac et François Arago.

Sa plus belle réalisation: son voyage fantastique en Amérique du Sud et ses recherches sur l’amplification du son la nuit
sont connus sous le nom de «Effet Humboldt». On a donné son nom à plus de 2 000 endroits, montagnes, rivières, etc. ainsi qu'à un cratère sur la lune !

 

 

Il est fort possible que sa soeur ait brûlé ses lettres pour ne pas laisser à la postérité les détails de la vie privée de Humboldt. C'est d'autant plus probable qu'il est presque certain qu'il ait été homosexuel. J'emploie du reste l'expression "presque certain", parce que cette soeur a précisément bien réussi son coup : aucun témoignage direct de la vie sentimentale de Humboldt n'a été rendu public à ce jour, si tant est qu'il en existe encore. A propos de l'homosexualité de Humboldt, je peux encore livrer une observation intéressante : Jean Tulard a consacré une biographie à Joseph Fiévée, journaliste de la période de la révolution et du Premier Empire, dont la relation homosexuelle avec l'écrivain Théodore Leclerq était bien connue. Or, Tulard écrit, dans l'avant-propos de cette biographie : "Si l'on voulait caractériser ce singulier personnage qu'Alexandre de Humboldt souhaita connaître à peine de retour de son voyage "aux régions équinoxiales du Nouveau Continent", il faudrait d'abord rappeler qu'il fut sur le plan politique le représentant de ce que Saint-Beuve appelait le "Tiers Etat royaliste." Humboldt ne pouvait pas ignorer l'attachement de Fiévée à "l'amour grec" ; or, loin d'en éprouver de l'incompréhension ou de la réprobation, il se sent attiré par le personnage au point de n'avoir rien de plus pressé, après cinq ans passés en Amérique latine, que d'en faire la connaissance. Le parallèle est évident entre la relation Fiévée/Leclercq et la relation Humboldt/Bonpland, dont nous ne connaissons pas la nature exacte, mais qui a été un modèle pour Humboldt tout le long de sa vie, toujours essayant de nouer des relations avec d'autres hommes.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.200.124.111 (discuter), le 11 mars 2007 à 16:41.

 

Au cours de sa vie, l’attraction sexuelle de Humboldt pour les hommes a été largement reconnue. Certains biographes disent qu’il n’existe aucune «preuve» de son homosexualité, mais il existe de nombreuses preuves indéniables. À sa mort, sa sœur a brûlé toutes ses lettres d'amour. Humboldt a laissé toute sa succession à son «serviteur», Johann Seifert, qui avait environ trente ans de moins. Au dix-neuvième siècle, une façon courante de «cacher» une relation de même sexe consistait à se faire passer pour un ami, en particulier si les deux appartenaient à des classes sociales différentes. Humboldt était de la classe possédante; Seifert ne l'était pas. Humboldt était aussi un peu efféminé et masochiste. Seifert était dominateur et intimidant par nature. Pour votre serviteur cela semble un ajustement parfait.

 

 NOTES :

 

 

 

 

 

« 

Quand Humboldt avait 25 ans, il rencontra un lieutenant de 21 ans, Reinhard von Haeften.



Il en va de même avec le célèbre botaniste français Aimé Bonpland, un autre compagnon de prédilection qui a vécu et voyagé avec Humboldt pendant cinq ans. Dans les moindres détails, ils ont écrit des descriptions de la beauté masculine des Indiens d'Amérique du Sud. De 1799 à 1804, ils explorèrent les fleuves Amazone et Orénoque, les Andes et certaines régions du Venezuela, du Pérou, de l'Équateur, de la Colombie et du Mexique, en recueillant des spécimens de roches et de plantes. Ils ont étudié les volcans, les courants océaniques, le magnétisme de la Terre, le climat et la vie animale. Humboldt a financé cette exploration de cinq ans avec son propre héritage.

 »

 

Par HUMBOLDT - BONPLAND - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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