LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS .

Dimanche 16 décembre 7 16 /12 /Déc 18:50

 Image associée y en a qui vouent cette argentine, juriste et universitaire*, aux gémonies, on l'a traitée de pute, mais, vous, jugez-en par  les causes qu'elle défend : la défense du droit à la prostitution, du mariage et de l'adoption pour les homosexuels (hommes ou femmes), des méthodes de procréation artificielle, le végétarisme. Elle s'en prend au féminisme français, qu'elle juge trop moralisateur car demandant une extension toujours plus grande de la répression pénale et elle défend l'idée que la révolution sexuelle des années 1970 a été un échec partiel dans la mesure où elle a renoncé à ses ambitions émancipatrices. Toutes ces prises de position lui ont valu de violentes critiques, notamment de la part de certaines féministes françaises plus traditionnelles mais aussi de féministes radicales. Elle reçut le fervent soutien de certains militants et militantes des droits des minorités sexuelles tout autant que de vives critiques par d'autres.

 

---------------------------- "Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque choseBeaumarchais -------------------

   Image associée Un homme en prison. Un autre qui a fui la Grande-Bretagne… Et pourtant tout ce qui avait été raconté sur eux était faux. Jemma Beale, 25 ans, vient d’être condamnée à 10 ans  pour plusieurs parjures en Grande-Bretagne. Crue sur parole, cette mythomane mettait en cause des hommes innocents dans des histoires de viols créées de toutes pièces. Incroyable et pourtant les policiers ont donné dans le panneau. Et longtemps.  15 hommes innocents ont été inquiétés dont 1 condamné à 7 ans, 1 homme en fuite à l'étranger pour échapper à d'injustes poursuites. 

  Image associée condamné à 7 ans il a passé 2 1/2 en prison

Il a déclaré que cette condamnation l'avait endommagé physiquement et émotionnellement. Je n'ai pas encore Récupéré complètement.
"J'ai perdu beaucoup d'amis à cause de cela, parce que [certaines personnes me croyaient, d'autres non]", a-t-il déclaré.
"Ce qui était bien, c’était que j’avais une famille forte qui m’appuyait, qui [savait] que j’étais innocent, qui m’a protégé et fort.
"Je suis encore en train de récupérer pour être honnête, après combien d'années? Trois ans, c'est beaucoup de temps de ma vie."
The Sun.

 

L’affaire DSK et l’activisme des féministes radicales : un livre de Marcela Iacub, « Une société de violeurs ? »  L’affaire DSK a conduit des cercles féministes à des extrémités insoupçonnées. On se souvient, par exemple, de la sortie de Me Gisèle Halimi, réputée sensée et pondérée : « Comment voulez-vous croire, s’était-elle exclamée, qu’une simple femme de ménage, noire, mère célibataire de surcroît, ne dise pas la vérité ? Quel serait son intérêt ? » (1) Qu’une praticienne du Droit aussi expérimentée en vienne à proférer pareille ineptie montre à quelle extravagance par réflexes socioculturels conditionnés « la cause des femmes » peut entraîner même les personnes les plus réfléchies.

L’activisme dangereux des féministes radicales

Cette perte totale de repères rationnels a intrigué Marcela Iacub. Elle tente d’en expliquer l’énigme dans un livre intitulé « Une société de violeurs ?  » (2). Les féministes radicales ont saisi, selon elle, l’affaire DSK pour populariser leurs revendications. Elles estiment, en effet, que le viol n’est pas puni comme il faut en France. Des enquêtes de victimisation montrent un grand écart entre le nombre de femmes qui disent avoir été victimes d’un viol, celui des plaignantes et celui des violeurs effectivement condamnés.

Le problème serait que la définition juridique du viol comme relation sexuelle contrainte par la force, la menace ou la surprise, serait inadéquate. L’absence de consentement serait un concept trop imprécis. Les féministes radicales voudraient tout bonnement que le témoignage de la femme qui se dit violée, constitue « une présomption irréfragable de vérité  », au motif que même si elle ment sur les circonstances, comme l’a fait Mme Diallo, la femme de chambre de l’Hôtel Sofitel, se serait seulement sous l’emprise de « la sidération psychique » provoquée par son violeur. En somme « une femme ne ment pas  » quand elle déclare avoir été violée. Et tout accusé qu’elle désigne devrait être privé de tout respect de présomption d’innocence. Ce serait à lui de prouver son innocence. Le viol comme symbole de la domination masculine

On mesure la révolution juridique qu’introduirait un tel principe dans un État de Droit : à l’instar des tyrannies, tous les hommes seraient a priori « présumés coupables » et donc passibles de mesures coercitives immédiates. Cette prétention extravagante serait inspirée, selon M. Iacub, par une analyse politique du sexisme. La relation entre hommes et femmes serait par essence celle d’une domination exercée par les premiers sur les secondes, dont le viol serait le symbole : la femme constituerait avant tout une ressource sexuelle pour l’homme. Par le viol de l’une d’elles, toutes les femmes seraient humiliées, et leur émancipation à venir exigerait en retour la condamnation de tout homme qu’elle désigne comme violeur.

 

 

 

La parole de la femme qui se dit violée, comme « présomption irréfutable de vérité »

On voit vers quel enfer les féministes radicales veulent entraîner la société par leurs revendications. La seule parole de la femme qui se prétend violée suffirait à déclarer violeur qui bon lui semble. On a vu déjà ce que la parole de l’enfant tenue par principe pour fiable a donné dans « l’affaire d’Outreau » !

Inutile de chercher à établir les circonstances, même si elles sont invraisemblables ! Une jeune femme, grande et costaude comme Mme Diallo, peut très bien, par exemple, avoir été contrainte de pratiquer le délicat exercice d’une fellation par un homme petit et bien plus faible qu’elle, dès lors qu’elle se trouve sous l’emprise de la fameuse « sidération psychique ».

La condamnation sans appel du procureur par les féministes radicales

Ainsi, les féministes radicales ont-elles considéré le viol commis par DSK comme établi avant même toute enquête. Et, quand au terme de celle-ci, après avoir exigé à son égard la plus grande rigueur, le procureur a été amené, le 23 août 2011, à se déjuger publiquement en renonçant aux poursuites pénales contre DSK, les féministes ont eu leurs explications toutes prêtes : il avait décidé ni plus moins d’entraver le cours de la justice pour empêcher que la victime soit reconnue comme telle et dédommagée par un jury.

Qu’importe que le procureur l’ait estimée « mensongère » pour ses multiples mensonges qui n’auraient pu convaincre un jury « au-delà d’un doute raisonnable  » !

Une femme qui se dit violée ne peut pas mentir , comme l’a soutenu Me Halimi, surtout si elle est «  simple femme de ménage, noire, mère célibataire de surcroît » Quel intérêt aurait-elle à le faire ? On se le demande, car l’éventail des possibilités est ouvert ! Mais non ! Il ne fait aucun doute que le procureur « a commis un déni de justice » à son égard !

Le contexte troublant du viol allégué contre DSK

Le contexte peut être des plus troublants, les féministes radicales n’en ont cure ! Les invraisemblances n’arrêtent pas dans leur furie vengeresse ces avant-gardes de la société future, pas plus qu’elles n’impressionnaient dans les années 30 et 50 les juges-valets au cours des procès-purges staliniens ou les « Sections spéciales » sous Vichy ! On ne va tout de même pas se laisser distraire par des « détails » ! 

Et pourtant, « il y avait de quoi rester sceptique, écrit M. Iacub, face aux informations selon lesquelles la (supposée) victime aurait craché le fruit de son viol pendant une dizaine de minutes dans un couloir de l’hôtel, comme si DSK était une sorte de banque de sperme qui aurait versé dans sa bouche des litres de ce liquide blanchâtre et coupable. Il en allait de même de la prétendue surprise de Nafissatou Diallo en rencontrant l’ancien patron du FMI dans sa chambre, du fait qu’elle y soit entrée avant que le client ne soit parti et sans qu’on lui ait demandé de venir, du fait qu’elle ait demandé à sa direction à changer l’étage qui lui était réservé le jour où DSK devait se rendre à l’hôtel, tout en sachant que la venue des clients célèbres était annoncée et affichée à l’avance.. Ainsi tout laissait croire que cette rencontre, loin d’avoir été fortuite, avait été recherchée, bien que l’on ignorât les motivations de la jeune femme.  » (2)

Ce sont précisément certaines de ces objections que l’on soulevait soi-même dans un ouvrage paru à peine un mois après l’incident et qui reste d’actualité… dans l’attente du fin mot de l’histoire, « L’affaire DSK : deux hypothèses pour une énigme  » (3).

  De quelle société totalitaire ces extrémistes ne rêvent-elles pas en privant l’homme qu’une femme désigne comme violeur, de tout droit à la présomption d’innocence ?

Il est certainement bon qu’une femme ait le courage de s’élever dans un livre contre le féminisme dévoyé.  Car on peut très bien à la fois n’éprouver aucune sympathie pour l’individu DSK, ressentir une aversion profonde contre le viol, condamner la surenchère de féministes radicales prisonnières d’un cadre de référence secteur et vindicatif, et être attaché au respect de la présomption d’innocence.

Car on peut très bien à la fois n’éprouver aucune sympathie pour l’individu DSK, ressentir une aversion profonde contre le viol, condamner la surenchère de féministes radicales prisonnières d’un cadre de référence secteur et vindicatif, et être attaché au respect de la présomption d’innocence. Paul Villach agoravox

 

  (1) le fric des dommages et intérêts, non ?  


commentaire :

 

 

*En 1989, grâce à une bourse accordée par la France, Marcela Iacub vient vivre à Paris où elle devient juriste spécialisée dans la bioéthique. Après un DEA sous la direction de Yan Thomas et sa thèse de doctorat à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) sous la direction du professeur Antoine Lyon-Caen, elle devient chercheuse au CNRS. Elle est directrice de recherche4 du Laboratoire de démographie et d'histoire sociale (LaDéHIS)5 de l'EHESS.

 

 

  

 

Par MARCELA IACOUB + PAUL VILLACHI - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 10 décembre 1 10 /12 /Déc 02:38

Pourtant on en a bien besoin, cette loi ne contient pas de mesures concernant des classes d’éducation sexuelle, ne parlant ni de genre, ni de discrimination, ni d'orientation seul l’article 10 rend obligatoire la « sensibilisation des personnels enseignants aux violences sexistes et sexuelles et à la formation au respect du non-consentement. »

La loi Schiappa a-t-elle légalisé la pédophilie et l’introduction de l’éducation sexuelle à 4 ans? Info ou intox?

Aberrant : 2 mineurs de 14 et 17 ans ayant une relation consentie, lorsque le plus âgé atteint la majorité de 18 ans alors leurs relations deviendront automatiquement un viol sur mineur poursuivable en assises. L'affaire Devilliers dont les actes avaient commencé avant 18 ans, demeure présente dans les esprits ...Chacun de nous doit-il culpabiliser à propos de son activité sexuelle quand on était mineurs ?  nous proposons une amnistie totale de nos actes avant 18 ans CAVAILLONGAY

 

MEDYATURK | Publié le 27 AOÜT 2018 

Depuis la promulgation le 3 août de la loi dite « Schiappa », contre les violences sexuelles et sexistes, du nom de la secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, les réseaux sociaux, certaines associations de protection de l’enfance ainsi qu’une partie de l’opposition politique crient au scandale. Effectivement, une campagne de désinformation est lancée affirmant que « Schiappa valide la pédophilie ». La cause de cette polémique prend naissance dans la mauvaise interprétation de l’article 2 de cette loi concernant le consentement des mineurs de moins de 15 ans.

Pédophilie : que dit le Code pénal avant la loi Schiappa ?

En France, il n’y a pas de loi spécifique à la pédophilie, juridiquement parlant les faits seront qualifiés selon les circonstances de viol ou d’atteinte sexuelle sur mineur. La notion de majorité sexuelle n’existe pas non plus, mais L’article 227-25 du Code Pénal fixe celle ci implicitement à 15 ans .

Notion de consentement dans le code pénal.

L’article 227-25 du Code Pénal énonce :

Le fait, par un majeur, d’exercer sans violence, contrainte, menace, ni surprise une atteinte sexuelle sur la personne d’un mineur de 15 ans est puni de 5 ans d’emprisonnement et de 75000 euros d’amende..

Donc l’atteinte sexuelle sur un mineur {n' est qu'un délit et plus un crime].

Selon L’article 222-24 du Code Pénal  un viol sur mineur est considéré comme un crime, donc jugé devant la cour d’assises, avec une peine encourue de 20 ans de réclusion criminelle, néanmoins pour qu’il soit reconnu il incombe au plaignant d’apporter la preuve qu’il y a eu contrainte, violence, menace ou surprise même si c’est un enfant de moins de 15 ans.

D’après ces 2 textes, il apparaît avec évidence que ce n’est pas la loi Schiappa qui a introduit la nécessité de prouver que le mineur n’était pas consentant à l’acte sexuel.

Loi Schiappa : quelles modifications apportent elle à la législation existante?

L’origine de cette loi prend sa source dans les 2 décisions de justice qui ont ébranlé l’opinion publique ;

1- La cour d’assises de Seine-et-Marne prononce l’acquittement d’un homme poursuivi pour viol sur une fillette de 11 ans, le 7 novembre 2017.

2- le parquet de Pontoise (Val-d’Oise) requalifie une plainte de viol sur une fillette de 11 ans en « atteinte sexuelle », en avril 2017.

Les associations pour la protection de l’enfance s’offusquent et interpellent le législateur afin de fixer l’âge de la majorité sexuelle et introduire la notion de présomption de non-consentement automatique en deçà de ce seuil.

Évolution du projet de loi Schiappa.

Marlène Schiappa propose « d’inscrire clairement dans la loi qu’en deçà d’un certain âge, qui reste à définir, il n’y a pas de débat sur le fait de savoir si l’enfant est consentant ou non. »

Cette proposition a été rejetée par le Conseil d’Etat  au motif qu’elle est contraire à la Constitution, et surtout qu’elle risque d’apporter des condamnations démesurées dans certains cas et il donne l’exemple de 2 mineurs de 14 et 17 ans ayant une relation consentie, lorsque le plus âgé atteint la majorité de 18 ans alors leurs relations deviendront automatiquement un viol sur mineur.

Au final, la loi promulguée le 3 août ne contient plus de présomption de non-consentement et utilise une formulation plus vague : « lorsque les faits sont commis sur la personne d’un mineur de 15 ans, la contrainte morale ou la surprise sont caractérisées par l’abus de la vulnérabilité de la victime ne disposant pas du discernement nécessaire pour ces actes. »

Durcissement du délit d’atteinte sexuelle.

La loi Schiappa introduit un nouveau terme juridique durcissant la peine du délit d’atteinte sexuelle de l’article 227-5, effectivement la notion de « PÉNÉTRATION »porte la peine encourue à 10 ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende.

Allongement du délai de prescription des crimes sexuels commis sur les enfants.

Le délai de prescription des crimes sexuels sur mineurs est passé de 20 ans à 30 ans donc un rallongement de 10 ans à partir de la majorité, ce qui revient à dire que les victimes mineures pourront porter plainte jusqu’à l’âge de 48 ans.

La loi Schiappa prévoit-elle des cours d’éducation sexuelle à partir de 4 ans?

Cette loi ne contient pas de mesures concernant des classes d’éducation sexuelle, l’article 10 rend seulement obligatoire la « sensibilisation des personnels enseignants aux violences sexistes et sexuelles et à la formation au respect du non-consentement. »

En revanche, Marlène Schiappa avait annoncé sur RMC qu’une nouvelle circulaire allait être envoyée à la rentrée à tous les recteurs de France pour qu’ « ils mettent en œuvre une loi qui existe déjà mais qui n’est pas mise en œuvre, qui demande qu’il y ait 3 séances d’éducation à la vie affective et sexuelle faites par an, par des associations agrémentées ».

Article L312-16 du Code de l’Education.

Depuis 2001, l’Article L312-16 du Code de l’Education dispose qu’ « une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles ,les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles et par groupe d’âge homogène ».

Cependant ce n’est qu’en 2003 qu’une  Circulaire a précisé les objectifs et les modalités d’application.

Contrairement aux fake-news circulant sur tous les réseaux sociaux, le but de cette éducation sexuelle est d’enseigner aux enfants en bas âge le respect du corps humain, l’inaliénabilité de leur corps, savoir protéger leur corps contre des attouchements et non comment apprendre à faire l’amour.

Comment un enfant de 4 ans peut-il savoir qu’un adulte ne peut profaner son corps, si les interdits ne lui sont pas inculqués ? Comment va-t-il apprendre que son corps est inviolable et sacré ?

Les enfants les plus vulnérables quant aux actes de pédophilie sont ceux qui n’ont pas encore de discernement donc qui n’est pas capable de déceler une atteinte, un attouchement sexuel.

Lorsque nous constatons que l’utilisation des outils informatiques se fait de plus en plus tôt chez les enfants, que très peu de parents connaissent la protection parentale sur internet, nous nous questionnons sérieusement quant aux réels dangers encourus par les mineurs.

 

Nonobstant le fait que la loi Schiappa n’assouplit pas la législation concernant le viol, elle ne modifie pas sérieusement la législation existante, ce que lui reprochent les associations de protection de l’enfance qui espéraient l’introduction de la « présomption de non-consentement pour les mineurs de 15 ans ».

 

La seconde crainte est une correctionnalisation du viol, effectivement les magistrats ne vont-ils pas être tentés de préférer poursuivre un violeur présumé devant un tribunal correctionnel pour le délit d’atteinte sexuelle avec pénétration, qui serait moins contraignant que d’aller devant la cour d’assises pour le crime de viol?

 

Aydanur Tufekci

 

 

 


illustration :

violence faite à sa femme....et à son homme heureusement ce n'est qu'un scenario porn tout arrangé

   NE CROYEZ PAS QUE CAVAILLONGAY   APPROUVE   

    C'est un crime  

   EN FRANCE  A LA COUR D'APPEL DE DOUAI ... lundi, 22 nov 2016, "trois hommes ont été condamnés par la cour d’appel de Douai à dix, douze et douze ans de réclusion pour le viol collectif d’une femme dans un appartement à Arras en 2006. Des peines aggravées par rapport au premier verdict prononcé en 2014". (La Voix Du Nord) 
et le tarif pénal est le même si c'est un homme

 

Image associéeDSL mais cavaillongay, blog porno, libre, et doux diffusé sur et par erog, comporte une grille d'entrée mettant en garde et interdisant l'entrée aux mineurs de moins de dix huit ans.

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Par PRE-DATEURS - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 8 décembre 6 08 /12 /Déc 08:54

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Résultat de recherche d'images pour "homme retire son préservatif"...eh ben en levrette on est baisé bareback sans le savoir   déjà, question capotes il faut faire confiance puisque vous ne pouvez pas voir et si, sans le dire, en pleine action quand vous avez la teub du mec dans le fion, il retire la capote...

condom spooge pleasure With Brandon - Brandon & Keene       Ouf ! Je croyais que tu avais enlevé la capote sans me le dire !  

...on risque d'être baisé bareback sans le savoir

 

là c'est moi qui lui ai demandé de finir sans capote et de me jouir dedans...je l'ai même aidé à se décapoter, regardez :   

 ça a dû le déculpabiliser puisque, comme vous pouvez le voir c'est moi même qui ai tiré sur le préservatif, marquant mon consentement absolu à me faire inonder-avec délices - les intérieurs avec son sperme  !  

 

  NOTES :  

Le tribunal correctionnel de Lausanne, en Suisse, a condamné un homme à douze mois de prison avec sursis pour viol après avoir retiré son préservatif pendant un acte sexuel.

C'est une première en Suisse. Un homme a été condamné à douze mois de prison avec sursis pour viol après avoir retiré son préservatif pendant un acte sexuel, sans prévenir sa partenaire. Pour son avocat, il s'agissait d'"un plan cul entre adultes consentants avec accident de préservatif". "Il n'y a rien de pénal", s'est ému la défense, rapporte le quotidien 20 Minutes. 

En juin 2015, un Français de 47 ans, inscrit sur l'application de rencontres Tinder, "match" avec une femme. Le couple se rencontre pour un premier verre, dans un lieu public, avant de se rendre dans l'appartement de la femme. Après un premier rapport sexuel consenti, le quadragénaire tente d'obtenir une fellation sans protection. Sa partenaire refuse, s'ensuit alors un second rapport sexuel.

La partenaire se rend compte que sa rencontre d'un soir a retiré son préservatif avant la fin du rapport. La femme lui demande des comptes. Ce dernier lui rétorque de ne pas s'inquiéter, qu'il se "contrôle". Anxieuse, elle va lui demander de faire un test pour le Sida. Ce que refuse le Français. Pendant quatre mois, elle va suivre un traitement préventif anti-VIH avant d'obtenir les résultats.

Le tribunal correctionnel de Lausanne a estimé qu'imposer un rapport sexuel non protégé était assimilé à un viol. Pour la justice, la victime aurait refusé le rapport si elle avait su que l'homme ne s'était pas protégé.

 

 


commentaire :

Par STATO - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 3 décembre 1 03 /12 /Déc 01:14

PROSTITUES DE MON COEUR

    cette rubrique (catégorie) est née le 6 décembre 2013 dans ce blog

les images, censurées, effacées ont été remplacées une fois, mais c'est marre aujourd'hui

 bien sûr le récit ci-dessous date d'avant les modifications législatives sur  la prostitution  

classé dans PROSTITUES DE MON COEUR N°001

- "combien tu prends, gars ?" - "40 euros"  

- "40 euros ? T'es cher ! J'ai que 15 euros. Je te plais ?  " - "Ouais, tu me plais, ok, mais désolé c'est 40 euros"

- "Et là, je te plais ? T'as aimé ma galoche ? Je vais te faire grimper au plafond. Sens ma bite comme elle est dure. Alors c'est ok ? 17 euros ? C'est tout ce que j'ai " - "Ok c'est bien beau, mais désolé c'est NON ! "


 - "Allez, 17 euros, ouais,  viens chez-moi, ça craint pas. T'as aimé ma galoche ? Tu vois, tu dis plus non...Allez on y va, c'est pas loin je te mène en voiture.

________________________________________________________________________________________     

LE RECIT DE VINCE, employé de sexhop  

Salut, c'est moi Vince. Pour mon premier vrai boulot je travaillais comme vendeur dans un sex-shop. Le boulot en question n’était pas bien terrible mais je me dis que vaut mieux ça que rien du tout et il me permettait d’être indépendant et d’éviter le chômage.

 Je tenais la boutique presque tous les jours de dix-sept heures à une heure du matin. Je n’étais pas tout à fait seul, dès dix-neuf heures, Luc, une énorme armoire à glace originaire d’outre-mer, assurait la tranquillité des lieux et le filtrage à l’entrée. Si au début j’avais bien profité de la profusion de films et de revues, cela m’avait bien vite passé et je trouvais mon boulot plutôt ennuyeux.

Chaque nuit, je voyais le même cortège de clients qui entraient avec des airs gênés et qui payaient leurs achats en prétendant que c’était pour madame ou pour faire une blague à un copain. Chaque nuit, avant de partir, je nettoyais les cabines vidéos et vidais leurs poubelles remplies de papiers essuie-tout maculés de sperme. En toute honnêteté, même si j’étais content d’avoir ce boulot, je m’emmerdais vraiment. Devant la boutique dès vingt-deux heures, un jeune prostitué qui se faisait surnommer "le videur", venait faire le trottoir jusqu’à une heure plus où moins tardive, suivant le temps et la présence de la clientèle. En principe le mot d’ordre était "pas de prostitué, homme ou femme, devant la boutique" mais sa présence était tolérée.

Le prostitué, très jeune, était assez mignon et d’après ce que je pouvais apercevoir, semblait avoir un certain succès auprès des hommes d’âge mur. Son visage était fin et mettait en valeur ses beaux yeux noirs à l’expression innocente. Ses cheveux noirs étaient coupés courts, ce qui allait parfaitement avec son corps plutôt mince et nerveux.

Son physique, un peu trop longiligne à mon goût, faisait qu’il avait des fesses de taille très modeste, mais en contrepartie je dois reconnaître qu’il y avait au niveau de son entrejambe une bosse qui me semblait assez gonflée en permanence. Non pas que cela m’intéressait ou m'excitait car je suis hétéro mais disons qu’ il avait quand même une certaine classe dans la façon dont il bougeait. Il se prostituait, mais je restais toujours courtois tout en maintenant un certain détachement.

L’hiver arrivait et cette distance s’est un peu dissipée  du fait que je ne me sentais pas le droit de laisser un jeune dehors au plus fort des intempéries. Il devint donc courant, qu’avec l’accord de Luc, je fasse entrer le videur pour qu’il se mette à l’abri ou pour qu’il boive quelque chose de chaud dans l'arrière boutique, sans donner à penser qu’il exerçait son métier dans le sex-shop. J’ai rapidement sympathisé avec lui, Johnny de son vrai prénom. Il n’était pas rare que nous discutions de choses et d’autres.

— Dis moi, quel est ton âge véritable Johnny?

— J’ai 17 ans, et je vais sur mes 18 pourquoi?

— Pour rien, par curiosité.

— Je te remercie de me permettre de rentrer pour me réchauffer, certains soirs il y a si peu de clients qu’il m’arrive d’être frigorifié.

— Je m’en doute. Dis moi Johnny, comment se fait-il que tu te prostitues à ton âge? Tu n’as pas de parents pour s’occuper de toi?

— Mes parents n’ont rien à voir avec ce que je fais. Ils ne savent rien et c’est tant mieux, ce ne sont pas leurs affaires.

— Peut-être, mais ne viens pas me dire que tu fais ça uniquement pour le plaisir?

— Et comment! Pour le cash et le plaisir. Il m’arrive assez souvent de tomber sur des hommes d’affaires ou des avocats. Ce sont les plus généreux. De plus, j’adore le plaisir que je leur procure. Pour moi, il n’y a rien de mieux que de bouffer une belle grosse queue ou de me faire défoncer le cul dans diverses positions.

— J’espère que tu te protèges car tu semble très populaire, vu le nombre de voitures dans lequel je te vois partir.

— Faut croire que mes services sont bien appréciés.

Parfois il lui arrivait qu’il vienne me donner un coup de main pour ranger la boutique juste après la fermeture. Au bout du compte, après trois mois de présence mon regard sur lui avait bien changé même si je n’approuvais pas sa façon de vivre. Il lui arrivait même de me raconter tout ce qu’il faisait avec ses clients. Au début, je l’écoutais distraitement, sans trop d’intérêt mais peu à peu, je n’eus d’autre choix que de constater qu’il était une vrai bête de sexe. D’après ses dires, il ne refusait rien à ses clients et il se soumettait à tous leurs fantasmes et désirs. Certains soirs, sans comprendre pourquoi, il m’est même arrivé de ressentir un début d’érection en l’écoutant raconter ses aventures. Luc quant à lui se montrait indifférent à Johnny et parfois gêné en sa présence. Sans que je sache vraiment pourquoi, si ce n’est qu’un jour il m’avait lancé sans plus d’explication :  

— "Un conseil, j’ai rien contre ce que tu sois sympa avec Johnny, mais surtout fais pas la connerie de baiser avec lui si il te le propose un jour."

Je n’avais pas trop compris la nature de cet avertissement et de toute façon je n’avais absolument pas l’intention d’avoir de relation sexuelle avec Johnny, l’idée de faire l’amour avec un homme, prostitué en plus, était une perspective que je n’avais jamais envisagée. En dehors de cela je dois reconnaître que même si son physique ne correspondait pas trop aux normes de la beauté masculine, je ne le trouvais pas déplaisant.

Un soir j’ai eu un sérieux problème avec un client qui voulait absolument que je lui rembourse un aphrodisiaque qu’il avait acheté quelques jours plus tôt et qui s’était révélé inefficace (bien sûr !). Lorsque je lui ai fait comprendre qu’il était hors de question que je le rembourse, il est entré dans une rage folle et même avec l’aide musclée de Luc, il a été très difficile de faire sortir l’hystérique. La boutique s’est transformée en un véritable champ de bataille et l’affaire a fini au commissariat.

Après m’être acquitté des diverses formalités policières je me suis empressé de regagner le magasin pour y remettre de l’ordre. À ma grande surprise Johnny m’attentait devant le sex-shop avec une expression d’inquiétude et d’énervement.

— Bon sang, qu’est ce qui s’est passé ici? En revenant d’une passe, je vous ai vu, toi et Luc, partir avec les flics, qu’est ce qui est arrivé?

— Un taré nous a retourné tout le magasin, c’est pour ça que nous avons appelé la police. Maintenant il faut que je range tout ce merdier.

— Il est passé où Luc?

— Le cinglé a réussi à lui flanquer quelques mauvais coups, j’ai préféré qu’il aille aux urgences pour faire constater ses blessures.

— Vous m’avez foutu la trouille j’ai cru qu’il était arrivé quelque chose de très grave. Il y a vraiment beaucoup de bordel dans le sex-shop?

— Oui, c’est inimaginable.

— Bon alors je vais t’aider, de toute façon j’ai largement fait ma nuit.

— T’es sûr que ça te dérange pas?

Sur ces paroles, nous sommes entrés dans la boutique qui avait vraiment besoin d’un bon rangement et nous nous sommes mis au boulot. Au bout d’une bonne heure, il ne nous restait plus qu’un petit recoin des lieux à ranger et nous sommes retrouvés côte à côte dans cet endroit exigü à ranger différents gadgets. Je dois dire qu’au fil des minutes, je ne sais comment, la présence de Johnny commençait à me troubler et au gré de nos mouvements, nos corps se frôlaient. En plus de ça, son corps un peu trop frêle à mon goût et la lueur d’innocence qui se lisait dans ses yeux me donnait envie de le serrer dans mes bras comme on fait pour un jeune frère.

Comme pour achever de me troubler, alors que je me trouvais juste derrière lui, il fit tomber un gadget et se baissa pour le ramasser. Ses fesses vinrent se coller contre mon bas ventre et il n’en fallut pas plus pour amener à son paroxysme l’érection qui grandissait dans mon pantalon depuis quelques instants. Je ne comprenais vraiment plus rien à ce qui m’arrivait. Il me sentit durcir au travers de mon pantalon et il tortilla ses fesses contre mon sexe en riant avec malice.

— Je vois que je te fais de l’effet, c’est cool.

Je me mis à rougir. J’étais encore plus mal à l’aise, plus troublé.

— Je dis : t’inquiète pas, ça doit être parce que j’ai pas baisé depuis un bout.

— Peut-être, mais il semble t’exciter mon petit cul.

— Ne te fais pas d’idées, allez, on termine de ranger.

Je ne lui aurais jamais avoué mais oui, il m’excitait son petit cul. J’étais encore plus troublé, j’essayais de comprendre cette réaction soudaine de mon bas-ventre.

— Comment ça se fait que malgré tout ce que je t’ai raconté sur mes histoires de baise, tu ne m'as jamais demandé de te faire des choses, car parfois, certains hétéros ne ratent jamais une occasion de s’envoyer un jeune mec pas farouche comme moi.

Je répondis en prenant un air de sérieux et de respectabilité qui cadrait mal avec notre position et le lieu où nous nous trouvions :

— C’est tout simplement parce que je ne fais l’amour qu’à des filles. Et de plus, payer pour faire l’amour ça me donnerait l’impression de cautionner une forme d’esclavage moderne.

Il éclata de rire et il s’était relevé pour se tourner vers moi, le regard rempli de malice. Je me sentis vraiment con, j’étais contre lui, au milieu des vibro-masseurs et autres gadgets, avec une érection d’enfer et je lui faisais la morale. Doucement, il posa sa main sur la bosse tendue de mon entrejambe et se mit à la caresser.

— Tu ne le sais peut-être pas, mais Luc, certains soir quand je quitte le sex-shop, il me rattrape dans la rue et me demande de lui faire une petite gâterie. À ce que je sais, il se dit hétéro lui aussi et pourtant il aime bien que je le suce. Il m’a même dit que je suçais mieux que certaines femmes avec qui il baise.

Je ne pouvais croire ce que je venais d’entendre. Je ne comprenais plus rien. Tout en continuant de me parler, il glissa son autre main sous mon pull et caressait mes mamelons qui durcirent automatiquement.

— Tu te fous de ma gueule, c’est impossible que Luc te demande de lui tailler une pipe, je ne connais pas plus macho que lui.

— Je te jure que je te dis vrai, seulement ne lui en parle pas car il m’a bien averti de me taire, sinon il me le ferait regretter.

Il me pinça doucement les mamelons. Je sentis une onde de choc traverser mon corps et ce fut pire quand il commença à les lécher. En même temps, il entra sa main dans mon pantalon et caressa ma queue gonflée à bloc. Je m’entendis gémir et il ne m’en fallut pas plus pour que je cède au désir qui me tenaillait, surtout que cela faisait un certain temps qu’en fait de sexualité j’en étais réduit aux services de mon poignet. Alors qu’il défaisait ma ceinture et ma braguette, il me dit:

— Laisse-moi faire, tu vas adorer vivre cette nouvelle expérience, et ne t’inquiète pas, cela ne fera pas de toi un homo.

Et puis merde me dis-je, j’étais affamé de sexe, peu importaient mes stupides jugements moraux sur lui et son mode de vie. Autant tenter l’expérience, si ça ne me plaît pas, j’arrête tout. Je me laissai aller au plaisir que me procuraient ses mains avec un sourire de bien être.

— Mmmh ça semble te plaire, laisse-toi faire.

La situation me troublait énormément mais je m’en foutais, je n’avais qu’une pulsion en tête : satisfaire mon irrésistible besoin de sexe. Johnny se mit à genoux en descendant mon pantalon et mon slip et je sentis avec plaisir mon sexe dénudé se dresser fièrement à quelques centimètres de son visage. Je sentais son souffle chaud sur ma virilité alors que sa main droite, elle, me saisissait les testicules pour les soupeser et les malaxer doucement.

— "C’est bien, t’as un bel équipement et tout ça me paraît bien plein" dit-il.

De sa main gauche il se mit à me branler doucement, c’était une formidable sensation que de sentir ses mains expertes, douces et chaudes, sur mon sexe et mes testicules, j’en frissonnais de plaisir. Je ne sais comment j'arrive à raconter car j'étais lancé et en plein ciel !  Ses mains couraient sur toute ma virilité dans un ballet sensuel auquel je m’abandonnais totalement, et, pour ne pas hâter la fin, j'avais encore assez de lucidité  pour retenir une éjaculation imminente. Expert comme il l’était, il s’en aperçut et laissa mon sexe le temps d’aller chercher un préservatif. Pendant ces quelques instants je restais appuyé contre le rayonnage la tête en arrière submergé par le plaisir précédent et la joie à venir.

À son retour Johnny se remit à genoux, et engouffra ma queue dans sa bouche. Je pus sentir la chaleur de sa bouche et le contact de sa langue qui vint comme freiner mon pénis lorsqu’il le sortit de sa bouche. Ensuite Johnny se mit à lécher et à embrasser le dessous de mon sexe, de mon gland jusqu’à mes couilles. Arrivé à celles-ci, il fit jouer sa langue dessus et les aspira légèrement dans sa bouche avec une grande douceur. Puis sa langue courut de mes couilles à mon anus ce qui me fit sursauter et lui arracha un petit ricanement lubrique qui voulait dire : -"eh oui, les hétéros sont sensibles de là aussi".  Il reprit ensuite ma queue dans sa bouche et agita sa langue autour. J’étais comme fou, jamais on ne m’avait fait une fellation avec un tel talent et une telle capacité à jouer sur la montée de ma jouissance. Je gémissais fiévreusement sous ses assauts et il commença à faire aller et venir tout mon sexe dans sa bouche, lentement très lentement. J’étais aux anges et je sentais l’orgasme très proche.

— Alors ça te plaît?

— Tu suces à merveille

— T’as une belle bite, j’ai envie qu'elle me défonce le cul

Il mit le préservatif au bout de mon gland et le déroula tout au long de mon sexe. Il me fit asseoir sur une chaise et vint s’empaler sur ma bite. Le fait de sentir ma queue glisser jusqu’au fond de son anus bien humide me rendit fou de plaisir. Je pris ses fesses dans mes mains et commençai un mouvement de va-et-vient lent et prudent. J’aimais sentir mon gland frapper ses intérieurs. Je ne pouvais m'empêcher de le labourer fortement et d'accélérer vivement mes poussées. Nos gémissements se mêlaient les uns aux autres. Il semblait deviner jusqu’à la moindre de mes sensations et s’y adaptait pour me donner un maximum de plaisir. Incapable de tenir plus longtemps, soudain j’accélérai davantage et mon sexe déchargea mon sperme, remplissant le condom en m’arrachant des cris et des gémissements de jouissance.

Il le retira vitement et jusqu’à ce que mon sexe se ramollisse, Johnny n’eut de cesse de me sucer de nouveau pour bien nettoyer ma queue. Il me fallut de très longues minutes pour me remettre, pendant ce temps Johnny s’habillait avec un air de satisfaction.

— Génial, j’avais jamais joui comme ça, j’ai cru que j’allais mourir de plaisir.

— Il faudra que l’on remette ça de temps en temps.

Sur ces paroles il quitta la boutique en tortillant son beau petit cul.

Après avoir pris une bonne demi-heure pour me reposer, je suis rentré à la maison heureux et étonné d’avoir pris un tel pied. Je dois reconnaître, encore aujourd’hui, qu’en dehors des femmes avec qui je baise, jamais personne ne m’a fait de fellation avec autant de talent que Johnny. Je suis aussi obligé d’admettre que faire un tel aveu me demande un grand effort mais il a eu raison ou presque sur un point; je ne suis pas devenu gay après cette baise mais plutôt bi... ¤

   

     

  vos nouvelles lois disent clairement que, en fait,  au lieu de rencontres paisibles, vous nous préférez comme ça, en cachette, dans la RUE , à la sauvette ?

Aug 24 '15 Image associée 

cette queue?  ce mec ? pkoi pas !

 

 

  Pour elles aussi c'était une échappée belle  Les gros du web préfèrent Meetic hein ?  Bakchich ?

  Image associée 

Aug 24 '15
      
 
 
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Par Vince - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 3 septembre 1 03 /09 /Sep 02:58

Image associée Hulot, la Justice avait aussi été instrumentalisée contre lui 

il dénonce les lobbies comme nous l'avons fait souvent à propos des "FURIES" qui prétendent dicter les lois qui touchent à la libre sexualité ges français.

QUI DECIDE ?

 

citation :

  Emmanuel Macron interpellé par un acteur porno : “J’attends votre appel !” :


citation :
27/11/2017 par Sarah  Potins.net

Emmanuel Macron interpellé par un acteur porno : “J’attends votre appel !”

 

Emmanuel Macron interpellé par un acteur porno : “J’attends votre appel !”
PHOTO SOURCE POTINS .NET
Emmanuel Macron accusé de “diaboliser” l’industrie du porno :
Des affirmations qui n’ont pas du tout plu à Manuel Ferrara, acteur et réalisateur français de films porno­gra­phiques.
*
Les récents propos d'Emma­nuel Macron sur la porno­gra­phie n'ont pas plu à un acteur et réalisateur de films X français, Manuel Ferrara. Explications.
Ce samedi 25 novembre, Emmanuel Macron tenait un discours dans lequel il dévoilait son plan de lutte contre les violences faites aux femmes. L’une des mesures vise à lutter contre l’accès aux films pornographiques aux enfants dès l’âge de 11 ans car, selon le chef de l’Etat, « ce genre qui fait de la femme un objet d’humi­lia­tion » est malsain pour les plus jeunes.
«La pornographie a franchi la porte des établissements scolaires. Nous ne pouvons ignorer ce genre qui fait de la femme un objet d'humiliation #NeRienLaisserPasser
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 25, 2017
Emmanuel Macron accusé de “diaboliser” l’industrie du porno :
Des affirmations qui n’ont pas du tout plu à Manuel Ferrara, acteur et réalisateur français de films porno­gra­phiques.
*
- «Je suis dans ce busi­ness que vous essayez de diabo­li­ser en faisant ce genre de remarque. Je suis prêt à m’as­seoir avec vous et discu­ter d’un sujet qu’à priori vous ne connais­sez pas. J’at­tends votre appel !».
A-t-il écrit sur Twit­ter, pour répondre à Emma­nuel Macron.
Inter­rogé par Franceinfo, l’homme a précisé sa pensée :
«Cette phrase d’Emma­nuel Macron est choquante. Il dit ce que les gens veulent entendre. Il diabo­lise l’indus­trie du porno et fait des amal­games. (…) Il y a une grande partie du porno qui n’humi­lie pas la femme. Il faut savoir que dans le porno, il y a plusieurs niches. L’homme qui domine la femme soumise est une niche. Mais ce n’est pas la seule».
Le Président répondra-t-il finalement à cette invitation à discuter ?

Oui? a-t-il répondu ? cavaillongay 

citation :

      Source : Egalité et réconciliation https://www.egaliteetreconciliation.fr/Nicolas-Hulot-demissionne-du-gouvernement-Macron-Parce-que-les-lobbies-sont-la-51998.html 

Nicolas  Hulot démissionne du gouvernement Macron : "Parce que les lobbies sont là"

 Image associée Le360
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•Source : lemonde.fr
« Je ne veux plus me mentir », a dit l’ex-ministre de la Transition écologique et solidaire, qui n’a prévenu ni Emmanuel Macron, ni Édouard Philippe de sa démission.
Interrogé sur ses motivations, Nicolas Hulot a dit qu’il avait le sentiment que l’écologie n’était pas la priorité de ce gouvernement, alors que « ce sujet conditionne tous les autres ». Et d’ajouter :
« On s’évertue à entretenir un modèle économique responsable de tous ces désordres climatiques. (...) Nous faisons des petits pas, et la France en fait beaucoup plus que d’autres pays, mais est-ce que les petits pas suffisent... la réponse, elle est non. »
Et de citer ses batailles avec le ministre de l’Agriculture :
« Je ne peux pas passer mon temps dans des querelles avec Stéphane Travert. »
Il a confié, las, qu’il se sentait « tout seul à la manœuvre » sur les enjeux environnementaux au sein du gouvernement.
Et de déplorer que son poste était « à la croisée des lobbies. Parce que les lobbies sont là ». Interrogé sur la manière dont il avait vécu son poste, Nicolas Hulot a répondu :
« Puisque je suis dans un moment de vérité… oui, [ces douze derniers mois ont été une souffrance], sauf à basculer dans ce que j’allais devenir, c’est à dire cynique. (…) Je me suis surpris à des moments à abaisser mon seuil d’exigence (…) et là je me suis dit c’est le moment d’arrêter. »
[...]
Une démission évoquée de nombreuses fois
Nommé pour la première fois ministre en mai 2017, après avoir renoncé à une candidature à la présidentielle un an plus tôt, Nicolas Hulot avait dû accepter bien des décisions contraires à ses convictions, au delà de certaines victoires symboliques comme l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, la fin de la production d’hydrocarbures en France ou sur l’interdiction progressive de l’utilisation du glyphosate dans l’agriculture.
Il avait également dû endosser le report de l’objectif consistant à ramener la part du nucléaire dans la production d’électricité à 50 % en 2025, ou l’entrée en vigueur provisoire de l’accord de libre échange UE-Canada (CETA).
La possibilité de sa démission avait donc été sous-entendue à de nombreuses reprises.
Dernièrement, Nicolas Hulot a particulièrement peu apprécié la présence de Thierry Coste, lobbyiste pro-chasse proche de M. Macron, lors de réunion à l’Élysée sur la réforme de ce loisir, l

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Par POTINS.NET LEMONDE - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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