LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS .

Samedi 7 décembre 6 07 /12 /Déc 00:31

classé dans PROSTITUES DE MON COEUR  (003)

 

 

 

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Escort un noble travail où l'on permet de rêver.

    

                                                        

   

 

Disposer de son corps librement voilà une liberté qui nous est refusée désormais avec cette loi scélérate qui s'en prend aux prostitué(e)s et leurs habitués.

 Hamid est malin, débrouillard et très beau. Il a une espèce de grâce naturelle. Ses gestes, sa façon de parler, de regarder, inspirent confiance. Il sait un tas de choses sur ce que veulent les autres avant qu’ils le sachent eux mêmes. C’est peut-être un don, un truc qu’il a eu en naissant. La première fois que je l’ai vu, c’était à la piscine, celle qui a un bassin extérieur. J’étais allongé dans l’herbe sur ma serviette. Personne de connaissance...je déprimais un peu . Je fermais les yeux à cause du soleil.. Quand je les ai rouverts, il était à côté de moi. J’ai été surpris. Il me souriait.

Les mains toujours unies aux leurs j'acceptai.

 

-- Ta formation va se poursuivre et tu assumeras tes premières missions. Escort c'est pas pute. C'est très noble et très digne. Tu fais rêver et tu rêves.

 

Chacun de vous, ton client et toi, rêve qu'il est Hadrien ou Antinoüs suivant le rôle (bottom ou top). Ca ne dure que le temps d'une mission.

 

Tu seras riche à la mesure du talent que tu vas acquérir au bout de ta formation... 

 

  

 

Avant la rencontre de Hamid, Victor avait un autre prénom. Victor sera son nom de prostitué-escort. Même si on est très attirant, entrer dans un réseau gay de prostitution impose des talents et une formation. On peut se porter candidat mais, en général, on vous repère et vous met le marché en poche.

 

 

— Tu rêvais... C’est bien, il faut rêver et FAIRE rêver! Donner à rêver est un pouvoir qui rend heureux, soi et les autres.

Est-ce que je le connaissais? Non! Je ne l’avais jamais vu! Pourtant, c’était comme s'il m’était familier, amical. J’ai mis un certain temps à comprendre ses paroles. Elles résonnaient de façon étrange, inattendue, comme prophétique. Bien que je sois à un âge où l’on est réceptif à la nouveauté, cela ne m’a pas permis pour autant de trouver quelque chose d’intelligent à répondre. Je n’ai fait que lui rendre son sourire avec l’espoir qu’il poursuive, flatté d’être l’objet de l’intérêt d’un grand garçon à l’allure si assurée. Je me suis composé une attitude tranquille, sans inquiétude, avec juste ce qu’il fallait, pensais-je, de curiosité.

— Je peux t’aider à en réaliser certains!

— Lesquels?

— Ceux qui sont dans mes cordes...

Sa réponse ne m’aidait en rien à comprendre. Je poussais plus loin:

— C’est quoi tes cordes?

— La mise en relation, l’amitié et quelques affaires. Je te regarde depuis un moment et je me suis dit: voilà un jeune garçon qui voudrait saisir son destin, qui rêve qu’enfin quelqu’un ou quelque chose lui arrive. Et me voilà, Hamid, pour te guider dans ta nouvelle vie. Si tu peux la reconnaître...

Il avait un corps souple, musclé, le teint hâlé, des cheveux noirs, un regard rieur. Il m’intriguait. Je ne comprenais pas, où voulait-il en venir? Est-ce qu’il me draguait? Je ne percevais rien dans son comportement qui aurait pu le confirmer, ni l’infirmer d’ailleurs. Je formulais une réponse, m’accrochant à une compréhension rationnelle de sa présence et de ce qu’il tenait tant à me dire. Il y coupa court:

— Mais je n’ai... je ne... t’ai...

— Je vais te dire: tout le monde veut croire, sentir l’embrasement du désir, se dire que c’est possible. C’est un jeu que je te propose, je te guiderai, je t’apprendrai. Ils te mangeront dans la main, tu seras un roi. Ils croiront en toi, en la promesse de ta jeunesse.

— De quoi tu parles, c’est quoi cetTE histoire?!

— Ce soir, je te sors! Tu comprendras, tu verras, tu jugeras.

— Ce soir? Mais... mes parents et... je ne te connais pas!

— Tu sauras te débrouiller! Retrouve-moi dès que tu le peux au 8 rue de La Salle, dernier étage. C’est là que j’habite. Tu vois où c’est?

Cela prenait une tournure de moins en moins précise mais qui m’intéressait de plus en plus. J’acceptais de me laisser prendre comme à une sorte de piège, sans chercher à l’éviter, voire même souhaiter m’y précipiter, décidé à voir où cela me conduirait.

— Oui... mais qu’est-ce qu’on fera exactement? C’est quoi ce plan?

— Je t’emmènerai au temple de la fête et des folies. Une dernière chose, maintenant tu t’appelleras Victor!

— Victor!?

— Tu n’aimes pas?

— Si... mais...?

— À nouvelle vie, nouveau prénom... Victor... mon ami... à ce soir...

Il se planta devant moi, me tendit tranquillement et naturellement sa main. Je la lui serrai. Il s’en alla, je le suivais du regard, il plongea et disparut au milieu des baigneurs. Je me retrouvais seul, troublé. Je ne me souvenais pas d’avoir ressenti de telles choses, encore moins suscitées par un garçon inconnu.

Ma vie allait effectivement changer. J’étais sous le choc, bouleversé et déçu de ne pas avoir su le retenir, en savoir plus, comprendre, discuter. Je me rappelai ce qu’il m’avait dit: l’embrasement du désir. C’est ça que je ressentais. L’envie folle de vivre quelque chose de différent, de fort. Quoi précisément? J’étais bien incapable de le formuler. Je réfléchissais tout en sachant que ma décision était déjà prise. Ma raison n’avait plus force de loi en cet instant. Ce garçon allait peut-être me permettre d’échapper à mon quotidien, à ma vie, qui de par de nombreux aspects était compliquée, voire merdique. Cette drôle d’opportunité, j’étais décidé à la saisir sans trop réfléchir.

Je me suis débrouillé.

J’ai couru pour arriver au plus vite à l’adresse indiquée. J’ai poussé la porte d’entrée d’un immeuble ancien. Il faisait sombre, il y avait juste un peu de lumière diffusée par une petite fenêtre de la conciergerie. J’ai gravi les quatre étages. Hamid habitait sous les combles. Quand j’ai frappé, il a dit d’une voix forte et assurée, comme si nous nous connaissions depuis longtemps:

— Entre, Victor!

Victor! J’avais oublié cette étrange injonction de devoir m’entendre nommer autrement que par mon prénom celui, choisi par mes géniteurs. Ok, ne pas trop réfléchir. J’entrai dans une pièce aménagée avec goût malgré le manque d’espace : un coin salon avec de gros poufs, une table basse, plein de livres, de disques, un coin cuisine avec un bar, des tissus aux couleurs chaudes tendus aux murs. Il y avait de la musique orientale douce, des bougies, de l’encens. J’ai tout de suite aimé cet endroit doux, chaud, accueillant. Je ressentais la joie enfantine d’être attendu, de compter pour quelqu’un. Un truc fort se passait.

— Viens me montrer comme tu es beau. Je suis là, à côté dans la chambre!

Il a prononcé ces mots simples comme si j’étais son meilleur ami. En entrant, on ne pouvait pas louper le tableau, grand et réaliste. Hamid y était représenté nu, en érection au sommet d’une colline, il souriait, les mains sur les hanches. Il se dégageait de cette toile une vérité simple et forte, elle m’est tombée dessus et s’est imposée à moi. Il interrompit mon étrange rêverie et m’obligea à reprendre le cours de ce qui ne serait plus tout à fait la réalité.

— Mais... tu es mignon comme tout!

Je me tournais vers lui, gêné d’avoir, je le sentais, le visage empourpré à cause du tableau et lui bien réel, tout près de moi, torse nu. Ces éléments agissaient comme des clignotants d’un possible malentendu que je n’étais pas en mesure d'élucider, ni de pouvoir gérer. Il était en pantalon blanc très moulant, je n’ai pu m’empêcher de porter mon regard au niveau de son entrejambe. Il s’apprêtait à mettre une chemise blanche, Il la tenait à la main et me détaillait de la tête aux pieds. J’étais heureux d’être là. Bien que la vision inattendue de la représentation d’Hamid, si crue, se confondait avec ce que je ne pouvais pas à cet instant reconnaître, d’une envie nouvelle et inconnue qui me submergeait, la preuve avérée impossible à formuler de ce que je désirais ou quelque chose qui s’en approchait. Je la déterminerais peut-être plus tard, pour l’instant j’étais l’objet d’une attention nouvelle que je savourais pleinement.

— Le look skateur, y’a rien de tel, et puis... ces longs cheveux blonds... Victor mon mon ami, c’est parti...

Il m’a tenu par l’épaule durant tout le trajet. Il m’a raconté une partie de son histoire: il étudiait chez lui par correspondance. Ses parents étaient partis à l’étranger. Il avait refusé de les suivre. Ils avaient accepté qu’il reste seul et occupe ce petit appartement qui leur appartenait. Je me sentais bien à l’écouter, j’étais conquis, je n’avais jamais rencontré quelqu’un d’aussi, libre, intéressant. Je me sentais exister.

— Hamid?... C’est quoi le temple?

— Nous y sommes... T’inquiète, rien de grave ne va t’arriver, que du bonheur. J’y veillerai!

LE TEMPLE

Nous étions devant un mur percé d’une grande porte en bois sombre et d’une plus petite à laquelle Hamid sonna, se présenta. Elle s’ouvrit, nous entrâmes.

Devant nous, un grand jardin avec des arbres, des buissons, des fleurs et derrière toute cette végétation, une belle et grande bâtisse avec des colonnes, comme un temple... Nous suivîmes une allée bordée de bougies. En approchant on entendait de la musique, des rires, on distinguait des gens à l’intérieur baigné par une lumière douce. Il y en avait aussi sur la terrasse, d’autres qui se promenaient dans le jardin. Ils se retournaient pour nous saluer, certains m’appelaient... Victor!

— C’est pas possible, c’est qui ce Victor!? Ils ne m’ont jamais vu!

— Ici, plus qu’ailleurs, tu es... Victor.

— Merde Hamid, c’est quoi ce bordel?

— Du calme, laisse-toi porter... Victor. Deviens pour cette nuit ou toute ta vie, celui qu’ils espèrent. Crois en l’histoire. Tu es beau et jeune, celui qu’ils veulent admirer, devenir, ou simplement regarder! Tu es si fin, si beau...

Ça je le savais. On me l’avait suffisamment fait remarquer! Et alors? ma plastique ne m’évitait pas les errances, ni les questionnements communs. C’était juste facile à dire, une image. Je ne comprenais pas tout à fait, je n’osais pas faire de projections hasardeuses sur ce qui pouvait se passer. Tout cela restait irréel. Cette grande maison en pleine ville, ce parc, tous ces gens, jeunes et plus âgés. Qui étaient-ils? Qu’avais-je à voir avec eux ?  j’aurais voulu revenir à l’appartement d’Hamid, qu’il me parle, qu’il m’écoute que nous fassions vraiment connaissance.

— Victor... Mon petit trésor, tu es comme ce cher Hamid nous l’avait promis... J’espère te croiser tout à l’heure. Amuse-toi bien!

Une femme d’une quarantaine d’années venait de me serrer dans ses bras comme si j’étais son fils prodige. Elle portait une robe courte et légère. Elle m’a bisé en effleurant mes lèvres. Elle s’est tournée vers Hamid. Lui l’a embrassée à pleine bouche. J’étais stupéfait, juste plein de son parfum, de l’empreinte de son corps qui s’était pressé contre le mien. J’ai ressenti une sorte d’accélération. La tournure que cela prenait m’échappait, à peine avais-je intégré quelque chose qu’autre chose se produisait.

— Viens, entrons! Belle femme hein, Victor?

Il me glissa à l’oreille que Mireille était la maîtresse de maison, qu’elle était à l’origine de ces fêtes! Nous entrâmes dans ce qui m’apparut comme un décor, une vaste pièce très haute de plafond, des fauteuils confortables, des banquettes, des lumières, un grand buffet, des gens qui se parlaient, se rapprochaient, dansaient. Je sentais leurs regards sur nous, leurs sourires.

Il y avait des jeunes gens qui s’occupaient d’apporter des verres, des petits fours. Ils évoluaient comme des danseurs, torses nus, simplement vêtus d’un pagne. Un air des Beatles flottait en sourdine dans l'air. Je reconnus "I want to hold your hand..."* évoquant l'accompagnement dans l'amour ...  J’ai bu, trop, grignoté, c’était délicieux. Hamid saluait plein de monde, me présentait. Tous semblaient heureux. J’avais du mal à quitter des yeux les serveurs et les serveuses. Hamid m’étreignit.

— Alors, on n’est pas bien, là? C’est le paradis! Lui, c’est le peintre!

Hamid me désigna un bel et grand homme aux longs cheveux blancs en pleine conversation avec un jeune type qui s’agitait en lui secouant le bras. L’homme semblait chercher à rassurer le jeune homme. J’ai pensé qu’Hamid avait perçu ma réaction face au tableau dans sa chambre. J’étais comme sur un bateau qui voguait sur des eaux étrangères. Embarqué sur une croisière qu’il me plaisait de faire, mais dont j’ignorais la destination. À tout bien considérer, je n’étais pas en danger. Je me sentais avoir la possibilité d’interrompre ce qu’Hamid m’avait après tout, présenté comme une sorte de jeu. En fait, tout cela me ravissait, la maison, ces gens, l’ambiance, je me disais que je devais avoir une étoile bien inspirée pour me permettre de me retrouver dans un lieu pareil; j’avais de la chance. Je me suis dit: "Ne la boude pas!" Hamid ajouta comme pour me ferrer pour de bon, sachant avant moi ce que je désirais:

ANNA

— Il te voudra comme modèle, c’est sûr, il est très connu. Bon j’ai à faire. Je vais te confier à Anna, elle s’occupera bien de toi...

D’une main il me poussa en avant et me dirigea vers une merveilleuse jeune fille à laquelle il me présenta. Victor... Anna. Anna... Victor. Légère, fine et belle: une vraie fée! Elle portait une petite robe noire. C’était le genre de fille que je n’aurais jamais imaginé pouvoir approcher. Je me suis senti reprendre de la couleur, remettre en place nerveusement mes mèches blondes. Avant d’avoir pu réfléchir à quoi que ce soit, elle m’entraîna joyeusement dans le coin des danseurs, affichant un sourire plein et vrai d’encouragements. Elle se montra pressée de danser, de me tenir dans ses bras ou d’être tenue par les miens. Je ne savais plus rien.

J’étais un peu plus petit qu’elle. Mon visage arrivait à mi-hauteur du sien. Je respirais son odeur, ses cheveux me chatouillaient agréablement. Je me laissais guider par ses pas, ils semblaient savoir où m’emmener, me diriger. J’ai dû poser ma main droite sur son dos dénudé. Sensations nouvelles et vertigineuses, elle avait croisé ses mains autour de ma taille. Elle m’attirait doucement contre elle. Ça me cognait dans la tête, mon sang affluait de partout, je ne savais plus rien et je ne voulais plus rien savoir, juste me calmer et danser avec elle... longtemps.

La danse lui permettait de me serrer contre elle, je sentais ses mains se promener le long de mon dos, de mes épaules, jusqu’au bas de mes reins. Mon large pantalon ne les couvrait qu’à peine. Elle devait apercevoir mon plus précieux boxer, en dessous de ma chemise de marque, ma préférée. Je m’abandonnais, je n’étais plus capable de penser, juste m’en remettre à ses pas. J’aimais ce qu’elle faisait, son bas-ventre qui pesait, se frottait contre le mien. J’en fermai les yeux pour mieux en sentir le contact si proche. Je me sentais fier, comblé d’être dans ses bras, danser sous ces lumières, dans cet endroit si extraordinaire. J’oubliais ce que j’avais bu, je me sentais comme maître du monde. Je me suis dit qu’être Victor avait du bon, je me laissais gagner par l’enthousiasme contagieux de ma ravissante cavalière. Ma main osa se promener, comme la sienne en plus sage, dans son dos que sa magnifique robe ne recouvrait pas en totalité. J’ai senti sa peau douce et chaude sous mes doigts. C’était comme un cadeau inespéré, un truc auquel je n’étais pas préparé même dans mes rêves les plus secrets. Enfin si... mais, y être pour de vrai, j’avoue que... on m’aurait dit ça ce matin, je serais parti dans un grand éclat de rire.

Bordel, sans que je m’y attende ou que j’y sois préparé, nos bouches se trouvèrent. Elle m’embrassa comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. C’était ma première fois. J’ai senti nos souffles et nos langues se mélanger, s’entremêler, la sienne, vive et téméraire, parcourir mes lèvres. Sa bouche aspira ma langue. Je bandais, j’étais heureux, le paradis. Je me demandais ce que fabriquait Hamid et en même temps, je m’en foutais. Je n’osais rien dire qui aurait pu contrarier le chemin de plus en plus osé et direct que prenaient les mains de cette belle jeune femme, à des endroits que je n’avais pas imaginé que l’on puisse me toucher. Dans un souffle qu’elle avait peine à contenir, elle m’invita à la suivre.

— Viens, charmant cavalier...

Elle m’entraîna, en me prenant la main. Nous montâmes d’un étage. Elle ouvrit une porte, il faisait noir. Elle me lâcha, je me suis senti abandonné. Deux appliques s’allumèrent de chaque côté d’un grand lit. J’aurais presque souhaité lui dire qu’après tout, je n’étais qu’un jeune garçon plutôt inexpérimenté, que nous ne nous connaissions qu’à peine, malgré ces quelques danses lascives, pour... Merde, je ne contrôlais rien, la lumière, me semblait, trop forte. Oui, j’avais aimé être embrassé, caressé mais me retrouver dans une chambre à devoir me débrouiller, assurer...

Je reprenais de vilaines couleurs et lissai instinctivement mes longs cheveux blonds de façon mécanique et régulière, ne sachant quelle attitude adopter. Anna s’approcha de moi et m’embrassa à nouveau, comme quand nous dansions. Le vif plaisir que j’ai ressenti fit s’envoler toutes les questions ou problèmes éthiques que pouvaient me poser la situation, d’un jeune garçon et d’une jeune femme, ne pouvant plus se cacher derrière de la musique ou de la danse. J’étais lancé comme une locomotive. Elle défit lentement les boutons de ma chemise et la voilà à me caresser le torse, les épaules, toucher en toute liberté ma peau de jeune garçon excité, offert, soumis. Je respirais à peine. Incapable de penser bien que je sentisse l'aspiration du Destin. Dans peu de temps, à ce rythme, j’allais vite fait me retrouver à poil. Une idée incroyable et improbable qui me faisait bander comme un âne, à ma grande surprise, sans en ressentir de gêne particulière. Elle était si douce, si inspirée.

Elle me lécha en commençant par mes oreilles, mon visage, mes épaules... Elle prenait son temps. Ma chemise tomba, ainsi que mon pantalon qui glissa le long de mes jambes. Elle les caressa, mollets compris, comme des choses importantes et vitales. Elle louangea leurs perfections en passant et repassant ses mains tout du long. Elle finit par agripper et baisser lentement mon boxer, dernier rempart qui couvrait ma jeune et inexpérimentée virilité. Le truc le pire qui pouvait se produire. Elle me fit lever alternativement mes jambes, qui flageolaient, pour me libérer de tous mes vêtements. Elle s’écarta de moi en s’extasiant sur la taille de ma bite en érection, énorme, malgré mon jeune âge et l’absence de poils qu’on pouvait s’attendre à trouver à cet endroit. Je me suis inquiété. Je n’avais encore jamais envisagé être l’objet d’un regard si intéressé, si merveilleux. Je ne savais plus quoi faire, j’étais piègé, ni plus ni moins qu’un animal qui ne pouvait s’extraire des phares d’une voiture. Vaguement je repensais à Hamid qui m'avait amené à cette situation...

Anna fit glisser lentement sa robe le long de son corps parfait. Je ne savais plus rien, je devais avoir le regard vague, celui d’un jeune crétin ignare! Elle s’approcha de moi à me toucher, contact chaud. Je me retrouvais comme prisonnier dans une cage de caresses. Elle prenait manifestement beaucoup de plaisir à m’avoir pour elle, à sa disposition. Elle me complimentait sur mon corps, l’explorant sous toutes les coutures. J’étais flatté; Anna est, comme on dit, très bandante. Je la touchais du bout des doigts par crainte d’interrompre l’exploration systématique qu'elle faisait de ma jeune et modeste personne. Ses mains allaient et venaient doucement, sa langue se mêlait au charivari de ses caresses manuelles. Elle gémissait en m’embrassant, m’attirait contre elle, peau contre peau, sa nudité splendide se confondant avec la mienne. Je triquais grave, sans plus savoir quoi faire, ni quoi dire. Je l'observais, la regardais me caresser, me toucher, me lécher comme une relique en psalmodiant:

— Victor tu es trop! C’est trop fort, j’en peux plus, touche moi... Vas-y bordel, qu’est-ce que tu attends! Merde je te plais pas ou quoi?

Je me suis lâché, j’ai enfin touché, pincé, pénétré des lieux que je ne pensais atteindre que beaucoup plus tard. Anna s’offrait à mes caresses. Je doutais encore de leur efficacité alors qu’Anna se tortillait comme un ver. Je m’y prenais peut-être plutôt bien. Je sentais sur ma main qui se promenait entre ses cuisses, un liquide doux et chaud. Elle gémissait, se frottait et cherchait à enserrer mes doigts en elle. Elle me dévisagea, le regard dans le vague, cela m’inquiéta, j’en retins mes caresses. Elle a semblé se ressaisir et m’a entraîné dans la salle de bains attenante à la chambre...

...La salle de bain était grande. Pourquoi, Anna m’y emmenait? J’étais bien trop perturbé par l’orgasme que je venais de lui procurer juste avant, pour lui poser des questions. 

LE TRIP D'INITIATION  

La pièce d’eau ne ressemblait pas à une salle de bains classique. Il y avait comme une grande vasque au-dessus de laquelle pendaient des cordes avec au bout, des anneaux en cuir. Je regardais Anna, l’interrogeant du regard. Qu’est-ce que nous faisions là? Elle souriait, sa main tenait mon sexe toujours aussi dur. J’étais dans une telle attente que j’étais prêt à tout pour continuer à ressentir ces frissons profonds.

Deux magnifiques adolescents entrèrent et nous saluèrent, comme si nous trouver à cet endroit, dans cette pose, était la chose la plus naturelle au monde. Ils ne portaient, comme les serveurs, qu’un petit pagne avec dans les mains, des verres et différentes bouteilles. Ils étaient d’une beauté qui me troublait. Je prenais conscience de sensations inédites en la présence de garçons quasiment nus. Ils s’avancèrent jusqu’à nous, nous servirent à boire. Anna s’amusait à les frôler, en trinquant avec eux et moi. Je ne ressentais plus aucune gêne et n’avais en tête que ma douloureuse érection que les garçons ont saluée à grands cris.

Ils me séparèrent gentiment d’Anna sans que je n’en éprouve de contrariété. J’étais guilleret et je pensais que cela plaisait à Anna. Ils m’ont guidé vers la grande vasque. Ils m’ont attaché les poignets aux anneaux, les réglèrent pour que je sois bien maintenu. Ils réduisirent le mou dans les cordes, m’obligeant à tendre les bras en l’air. Je voyais Anna au loin, je pensais à elle, qu’elle allait intervenir et s’occuper de moi. Je n’avais plus de réelle volonté, je me sentais partir, quitter la terre. Anna m’a rassuré.

— N’aie aucune crainte Victor, ils ne vont te faire que du bien. Te préparer pour la suite. Victor! Laisse-toi aller, c’est important pour nous deux. Je me suis engagée, Hamid aussi. Ne nous déçois pas, ne nous trahis pas. Je suis avec toi, ne t’inquiète pas, ce sera formidable!

Nom de Dieu, j’avais la bite en l’air, excité comme jamais. Je venais de me faire attacher par deux beaux garçons. Qui s’en inquiéterait? Rien de plus normal! J’ai choisi de faire confiance à Anna. Un des garçons m’annonça qu’ils devaient me bander les yeux et que je devais garder le silence tout le temps qu’ils me laveraient. Je n’étais plus à ça près. Dans peu de temps, je me suis dit qu’ils allaient me proposer gentiment de me fouetter. Tout me semblait possible. Mais, pour Anna et Hamid... j’étais décidé à poursuivre... le jeu.

— Ne dis rien, cher Victor, laisse-toi faire. Fais-moi un petit signe de tête pour me dire que tu as compris et que tu te soumets. Encore une fois, ce ne sera que du plaisir pour toi et pour nous tous.

Je l’ai fait. Un signe de tête affirmatif. Ils m’ont recouvert les yeux d’un bandeau en cuir qu’ils ont fixé avec des lanières à l’arrière de ma tête. J’arrivais à peine à imaginer la scène. Moi nu, le sexe glabre bien que généreux, deux splendides ados de quelques années plus âgés qui venaient de m’attacher, bander les yeux devant mon Anna; rien d’inhabituel! Je ne comprenais plus rien, juste que je n’avais jamais senti et vécu de telles choses avec autant d’envies. Qu’ils poursuivent, qu’ils me fassent ce qu’ils veulent et toi aussi, mon Anna.

De l’eau chaude s’est écoulée sur mon corps, sensation délicieuse. Mon excitation était d’autant plus grande que je ne pouvais qu’imaginer deux garçons presque nus promenant leurs éponges le long de mes bras, de mes épaules, de mon torse, de mon ventre, sur mes jambes et absolument partout...

Ils ont fixé un collier à mon cou. Une douce traction s’y est exercée pour m’obliger à me pencher en avant. Ils me firent écarter les jambes. J’ai sentis leurs doigts se promener sur mon fondement. Ils étaient doux. Jamais je n’avais été touché là. Cela me fit gémir d’un plaisir que je n’avais pas imaginé possible. Pire.  J’ai alors senti qu’ils introduisaient en moi, mais sans douleur aucune, quelque chose duquel s’écoulait un liquide chaud. J’ai senti mes sphincters se contracter, ils n’arrivaient plus à contenir la quantité démesurée de produit doux et agréable dont ils m’avaient rempli le ventre. J’avais beau me démener, serrer les fesses, rien n’y faisait. J’ai senti mes muscles se relâcher malgré eux au moment où j’ai pris conscience que d’autres personnes étaient présentes dans la salle de bain. Brièvement la honte surgit, aussitôt suivie par un abandon total. Mon corps et ses réactions ne m’appartenaient plus. D’autres, très doués, s’en occupaient. J’ai senti le liquide chaud s’écouler sans discontinuer d’entre mes fesses.

Puis les éponges s’activèrent à nouveau. De l’eau s’écoulait à profusion sur moi. Puis le remplissage recommença, Dieu sait avec quels liquides ? J'étais ivre. Des mains, des doigts à l’entrée de mon cul, quelque chose de dur me pénétrait, doux en même temps, je ne savais plus, et ces boissons que j’avais bues. Je me suis dit qu’elles me plongeaient dans un état d’oubli, d’abandon délicieux. Sans que j'y puisse rien, je sentais glisser en moi un truc énorme, écartant les chairs de mon petit trou. Les jeunes ados le faisaient aller et venir. Je percevais dans une demi conscience des "oh", des "ha" de contentement. Il y avait du monde dans cette salle de bain pour me voir m’enfoncer, me laisser gagner par un plaisir démesuré. De plus, je me tortillais dans tous les sens pour échapper autant que pour chercher à m’empaler plus profondément sur cet objet chaud, qui s’animait et produisait en moi des sensations et secousses au-delà de l’entendement. Je devais hurler, cela m’échappait, je devais réclamer, prier. Je me suis entendu crier comme une bête aux abois.

— Plus fort ! encore!

Les garçons beaux et forts me détachèrent et me prirent dans leurs bras. Ils me transportèrent. J’ai repris, quelque peu conscience, allongé sur une sorte de grand canapé moelleux dans la pièce que nous avions traversée à notre arrivée, Hamid et moi. Il y avait du monde autour. Je n’avais conscience que de ma terrible érection. La dame qui m’avait saluée à l’entrée m’apparut floue, elle était assise près de moi, m’a soulevé la tête et me fit boire une boisson délicieuse. J’avais très soif. J’ai voulu me saisir du verre qu’elle approchait de mes lèvres mais j’en étais incapable, j’étais attaché.

J’entendais de la musique dans le fond. J’avais l’esprit surchauffé, des mots, des paroles louaient ma beauté. Le nom d’Hamid a été prononcé. Cela m’a rassuré, j’ai dû me détendre et j’ai senti l’auditoire réagir à mes mouvements. Cela m’a encouragé, je me sentais libéré. Je voulais, leur plaire, les entendre réagir. Je me tortillais lascivement, cela provoqua une envolée de "ho", de "ha", d’encouragements. Je pensais à Anna qui ne devait pas être loin, et qui devait être fière de moi. J’essayais de l’appeler. Je n’étais pas sûr que des sons puissent sortir de ma bouche. Je me suis entendu nommer Hamid, comme dans une semi conscience, un rêve. J’ai senti que l’on me touchait le bras. C’était Hamid qui me disait:

— Tu es formidable Victor. Tout le monde est là pour toi, c’est ton grand moment.

Je voulais jouir, être touché, sucé, absorbé. Comment le formuler? Je m’entendais gémir en me tortillant dans mes liens. Je me suis senti quitter le sol, comme si je flottais. Des mains m’ont touché, parcouru le corps. Je n’étais que sensations, je ne me sentais plus me contrôler, j’allais jouir, je n’étais que jouissance. Cela a duré longtemps.

L’installation leur a permis de me placer dans toutes les positions, pour m’enculer facilement, me permettre de lécher des sexes féminins gorgés de mouille que j’absorbais en tétant comme un bébé, avaler à la chaîne aussi des sexes mâles. J’ai passé ainsi une grande partie de ma nuit à jouir et être pris, à sentir des caresses, des bouches bouffer la moindre production qui sortait de mon sexe qui ne semblait pas pouvoir débander, ni s’arrêter de dégorger.

Puis je me suis retrouvé au lit, au calme, avec à mes cotés, Hamid et Anna qui m’ont félicité à leur manière...

-"Victor, tu es l'enfant chéri et béni de ces lieux. ll reste un test à la fin de ces épreuves : As-tu encore envie de sexe ou préfèrerais-tu que ce soit terminé ?" J'étais vraiment shooté, toute volonté annihilée. Ils étaient si doux, penchés au-dessus de moi qui étais nu et en érection.  Leurs voix étaient tendres et elles me semblaient me parvenir de loin. Nos mains qui se mêlaient sans cesse assuraient l'essentiel de notre communication. Je me sentais faible comme un opéré qu'on vient voir à l'hôpital...

      Dans ma confusion mentale, une interrogation me vint Anna et Hamid avaient-ils été  de ceux qui m'avaient pénétré d'une manière ou d'une autre, fait sucer les sucs de leurs sexes et le reste ? ou avaient-ils seulement surveillé ?  Dans un souffle presque inaudible je leur dis : " c'est vous deux que je veux maintenant".

Nos mains s'étreignirent très fort. *

LE PACTE

- Victor, nous sommes unis par l'amour maintenant. Nous savons que nous pouvons te faire confiance. Sais-tu ce qu'est le métier d'escort ? si tu acceptes tu en vivras très heureux.

Les mains toujours unies aux leurs j'acceptai.

-- Ta formation va se poursuivre et tu assumeras tes premières missions. Escort c'est pas pute. C'est très noble et très digne. Tu fais rêver et tu rêves.

Chacun de vous, ton client et toi, rêve qu'il est Hadrien ou Antinoüs suivant le rôle (bottom ou top). Ca ne dure que le temps d'une mission.

Tu seras riche à la mesure du talent que tu vas acquérir au bout de ta formation...  ¤ 

Les photos et les gifs sont du net

>apprendre

Merci Victor de ta contribution  

* Les Beatles

I'll tell you something
I think you'll understa
nd
When I say that something
I want to hold your hand

I want to hold your hand
I want to hold your hand

Oh please say to me
You'll let me be your man
And please say to me
You'll let me hold your hand

Now let me hold your hand
I want to hold your hand

And when I touch you I feel happy inside
It's such a feeling that my love
I can't hide, I can't hide, I can't hide

Yeah, you got that something
I think you'll understand
When I say that something
I want to hold your hand

I want to hold your hand
I want to hold your hand

And when I touch you I feel happy inside
It's such a feeling that my love
I can't hide, I can't hide, I can't hide

Yeah, you got that something
I think you'll understand
When I feel that something
I want to hold your hand

I want to hold your hand
I want to hold your hand
I want to hold your hand

Par Victor - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 6 décembre 5 06 /12 /Déc 23:10

classé dans PROSTITUES DE MON COEUR (002)

 

 

Combattons l’esclavage, pas la prostitution !

Les députés examinent la proposition de loi pénalisant les clients

Publié le 27 novembre 2013 à 9:00 dans le blog Le Causeur (PolitiqueSociété)

 

 

prostitution esclavage 343

Le mot « abolition » est séduisant. On pense immédiatement à l’abolition de l’esclavage.

Mais si l’idée d’abolir l’esclavage fût ô combien louable, et reste d’ailleurs d’une cruelle et brûlante actualité, celle d’abolir la prostitution est débile. On n’y trouve, en guise d’arguments, que des effluves de moraline, parfum bon marché dont tout esprit médiocre s’asperge pour échapper à l’hygiène fastidieuse de l’intelligence, dégageant finalement les odeurs les plus nauséabondes.

Pour qu’une idée débile attire le chaland bien-pensant, il lui faut s’appuyer sur un constat indéniable et révoltant. En effet, des femmes sont asservies par des réseaux mafieux, réduites en esclavage, elles sont forcées à se prostituer. De là, il n’y a plus qu’un pas à franchir pour se vautrer dans le bon vieux sophisme éthique qui consiste à réserver au patient la peine capitale, pour le punir d’être atteint de gangrène. Une poignée de néo-puritanisme constitue le liant de cette cuisine exécrable et voilà, le tour est joué, prostitution et esclavage ne font plus qu’un.

Najat Vallaud-Belkacem ne serait pas moins à son avantage si, ministre des transports, elle entendait abolir les voyages en Thaïlande, à Cuba, ou encore au Maroc, entre nombreuses autres destinations. Et pourtant, clouer au sol ces avions, ce serait retirer aux prédateurs sexuels, pédophiles de surcroît, leurs innocentes proies ; ce serait abolir le tourisme sexuel.

« La prostitution n’est jamais un projet de vie » nous explique NVB chez Bourdin, pour justifier la proposition de loi scélérate. « Il faut responsabiliser les clients », ajoute-t-elle, toute drapée de vertu alors que récemment, elle retournait sa veste à la télévision pour en exhiber la griffe, révélant son bon goût en matière d’emplettes ; elle ne fuit visiblement pas les grandes marques. Ignore-t-elle que ces dernières ont massivement recours à l’esclavage ? Coudre des vestes Zadig et Voltaire 12 heures par jours dans une cage à poules en échange du droit à survivre dans la misère, Najat Vallaud-Belkacem ne s’est pas demandé si c’était un projet de vie enviable. Elle ne s’est pas demandé non plus quelle était sa part de responsabilité dans cette infâme économie.

Peut-être faut-il, en effet, pénaliser les clients de commerces ayant recours à l’esclavage, mais alors, que l’on jette aux fers ces foules qui se pressent dans les centres commerciaux, lieux de perdition extrême où s’entassent les denrées les plus viles, servies par des mafias nommées « Ikea », « Apple », ou « Zara ». Que faut-il penser des usagers de l’électricité, quand on sait ce qu’est l’uranium, dans quelles conditions on l’obtient et on en fait commerce, et que dire des automobilistes et autres voyageurs à moteur, quand on connaît les pratiques de l’industrie pétrolière, et quid des usagers du système bancaire dans son ensemble, dont tout le monde a compris le fonctionnement aux conséquences catastrophiques?

Il n’est pas une économie indemne du fléau ultra libéralisé et mondialisé dont souffre hideusement l’idéal de Dignité humaine, fléau qui prit son essor avec le commerce triangulaire, pour n’en plus finir, depuis, de se globaliser.

Et parmi toutes les économies gangrénées, il y en une qui mérite d’être défendue de telles intrusions plus que n’importe quelle autre, c’est celle de la prostitution. En vérité, la prostitution n’est pas seulement noble, elle est sacrée.

Les prostitué(e)s, d’abord, méritent le plus grand respect, la plus grande considération. Je ne parle pas des aristocrates de la volupté, call girls et autres prestataires de standing, qu’aucune pénalisation ne viendra empêcher le moins du monde. Je parle de la passe humble, voire modeste, qui en sera d’autant plus glauque que la pression de la loi l’aura enfouie dans les entrailles de la société. Ces femmes, puisque ce sont surtout des femmes, n’ont certes sans doute pas rêvé de devenir prostituées, mais elles rendent un service infiniment précieux. Combien d’aides soignantes ont-elles rêvé d’une telle destinée avant de l’embrasser ? Ne passent-elles pas leur temps dans le vomi, les excréments, au contact de la souffrance et de la mort ? Leurs patients et elles souffrent-ils, pour autant, du moindre déficit de dignité ? Certainement pas. Les prostituées non plus, que cette proposition de loi pénalise tout autant que leurs clients. Il suffit de leur poser la question !

Ces femmes qui louent leur corps délibérément, elles sont un indispensable rempart contre la misère, ce sont elles qui sont capables de recueillir et d’offrir leur étreinte réconfortante à l’enfant trouvé dans les ordures, que les passants ont feint de ne pas voir pour éviter de s’en approcher. Oui, ces femmes existent, et elles ne rougissent pas de leurs services. Elles auraient bien tort, elles méritent un respect infini.

Et les hommes qui les sollicitent n’ont à rougir de rien non plus, car alors, il faudrait rougir de la condition humaine toute entière, dont les aspects les moins reluisants se trouvent bien éloignés de la nécessité poussant un homme à recourir au rapport sexuel contre rémunération avec une femme majeure et consentante.

Cette nécessité, c’est aussi celle qui est à l’origine du monde. Il faut bien, mesdames qui êtes si vertueuses, que monsieur bande pour vous engrosser, car il semble que vous souhaitiez toutefois vous reproduire de façon traditionnelle, or quand monsieur bande, il n’a pas toujours madame à proximité, surtout quand il ne dispose pas du potentiel de séduction approprié, et la bandaison, papa, ça ne se commande pas, mais à la longue, ça commande une solution, que la masturbation ne saurait toujours apporter, Jean-Luc Mélenchon et les autres messieurs aux élans libidineux admirables de romantisme le veuillent ou non.

Les hommes qui « vont aux putes » ne sont ni plus ni moins dignes que ceux qui vont chez le médecin, le psy ou le kiné, et les incriminer, les stigmatiser, c’est une saloperie.

 

Puisque l’ennemi à éradiquer, c’est l’esclavage, alors combattons l’esclavage, messieurs-dames les décideurs, mettez les moyens pour nettoyer la prostitution des réseaux mafieux, offrez aux prostitué(e)s et à leurs client(e)s des conditions dignes, sous la protection, sous le contrôle intransigeant et bienveillant de la loi ; pourquoi n’en va-t-il pas des métiers de la prostitution comme des professions médicales et paramédicales ?

Et s’il n’en est rien alors que diable, cessez votre pathétique parade de vertu criarde aux éclats racoleurs, ne venez pas emmerder les prostituté(e)s, laissez-les travailler, foutez donc la paix à leurs clients, merci d’avance

 

 

 

 

Par le_causeur - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 3 décembre 2 03 /12 /Déc 14:27

     classé dans réflexions

je ne pense pas spécialement , en disant ce qui suit, à F. Mitterand ci-dessous, mais à ceux qui ont fabriqué les lois contre la dissimulation de fric à l'étranger, et se sont avérés être les premiers à tricher (Cahuzac...) Alors d'ici à ce que ceux qui font la loi contre la prostitution soient les premiers à "aller aux putes", il n'y a pas loin.  

La "manif pour tous"  l'a prouvé nous avons nos " FURIES* "inspirées par des mobiles divers qui se rejoignent tels la carpe & le brochet ou bien la chèvre & le chou.

 

Il n'y a pas - que l'on sache - en France, de "goulag". Cependant, si la loi bannissant tout échange sexuel tarifé passe,  tout contrevenant, client de prostitué(e)s pourrait avoir à s'acquitter, en plus (ou au lieu ?) de sa peine  d'un stage de REEDUCATION en vertu d'une nouvelle loi de la République.

De même, on le voit ci-dessous, qu'on fait l'amalgame entre homosexualité et pédophilie, on voit dans chaque client de prostitué(e) un proxénète à punir, alors que c'est précisément parce qu'on a renoncé à poursuivre les véritables proxénètes QU'ON S'EN PREND AU LAMPISTE. 

01990416-photo-frederic-mitterrand   L'affaire Polanski, payée, balayée, les FURIES la remettent   

——–       sans cesse sur le tapis.

Le soutien apporté par des intellectuels et politiques français à Roman Polanski fait débat. On souligne plus particulièrement les déclarations de l’actuel ministre de la Culture Frédéric Mitterrand.

« Il y a une Amérique généreuse que nous aimons et il y a aussi une certaine Amérique qui fait peur et c’est cette Amérique là qui vient nous présenter son visage », a déclaré Frédéric Mitterrand pour justifier son soutien. Cette défense est qualifiée d’imprudente et immature. Elle consisterait en une intrusion dans les affaires internes aux Etats-Unis.

D’autres se demandent si le Ministre de la Culture français n’a pas voulu se prémunir de poursuites éventuelles notamment pour des relations avec des garçons en Thaïlande. C’est ce qu’il a raconté dans son livre Mauvaise vie, publié en 2005 dans les termes suivants : 

J’ai pris le pli de payer pour des garçons [...] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici [...] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément […]

On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable […] La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas.

 Frédéric Mitterrand extrait de "La Mauvaise Vie" 

 

 

Extrême-droite

La fachosphère accuse Frédéric Mitterrand de pédophilie

Par Tefy Andriamanana, publié le 06/10/2009 à 18:04

Le ministre de la Culture paye son soutien à Roman Polanski. Ses propos controversés sur la pédophilie font bruisser la blogosphère, complaisamment relayés par des sites communautaires et blogs d'extrême-droite.

        La fachosphère accuse Frédéric Mitterrand de pédophilie

Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, sous les sifflets de la Fête de l'Humanité, le 12 septembre.

AFP PHOTO MIGUEL MEDINA

Dès le 23 juin, la rumeur s'est mise à courir. Sur le blog de notre collègue Renaud Revel, qui évoquait la possible nomination de Frédéric Mitterrand au ministère de la Culture, des commentaires faisaient allusion à des propos douteux, sans les citer précisément, tenus dans un de ses livres, La mauvaise vie, paru chez Robert Laffont en 2005. En cause? Une prétendue apologie de la pédophilie.

Le 27 septembre, la prise de position du ministre en faveur du réalisateur Roman Polanski a réactivé la polémique. Des commentaires relatant les même faits sont de nouveau apparus, notamment sur lexpress.fr - ils n'y ont pas franchi la modération.

Un buzz parti d'Agoravox

Le 29, des extraits du livre apparaissent sur le site communautaire Agoravox. Le lendemain, un article, non validé par la rédaction, est publié sur LePost.fr, avec exactement les mêmes citations. Un blog bien connu des sphères d'extrême-droite, fdesouche, diffuse les mêmes extraits. Le buzz est parti. Dès le lendemain, des sites de même mouvance, comme NationsPresse.info ou les catholiques du Salon Beige, prennent le train en marche. Des écrits qui évoquaient un séjour en Thaïlande.

"J'ai pris le pli de payer pour des garçons [...] Évidemment, j'ai lu ce qu'on a pu écrire sur le commerce des garçons d'ici .[...] Je sais ce qu'il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n'en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m'empêche pas d'y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m'excitent énormément [...]".

A l'époque de la parution du livre, le ministre s'était exprimé à plusieurs reprises sur les plateaux de télévision. Il y avait démenti tout penchant pédophile. Les images ont été retrouvées par Arrêtsurimages.net.

Du buzz à l'affaire politique

L'affaire est vite devenue politique. Dès le 1er octobre, le Front National lance une pétition appellant à la démission de Frédéric Mitterrand. Dans le communiqué de presse, les mêmes propos que ceux qu'on a déjà lu sur fdesouche.

Le site phare de la "fachosphère" (mouvance regroupant blogs et sites d'extrême-droite) ne lâche pas sa proie. Le 2 octobre, il met en ligneMon copain Rachid (vidéo supprimée de YouTube depuis, les droits n'étant pas libres), un court-métrage de Philippe Barassat sorti en 1995, où Frédéric Mitterrand fait la voix off. Le film raconte les liens troubles entre deux jeunes garçons, Eric et Rachid. Une nouvelle preuve, selon le site, des penchants pédophiles de Frédéric Mitterrand.

Le 5 octobre, la polémique passe du Web à la télévision. Invitée de l'émission "Mots croisés" sur France 2, lundi soir, la vice-présidente du FNMarine Le Pen a lu les fameux extraits du livre et a exigé de nouveau la démission du ministre. Elle avait déjà dénoncé son "ignoble soutien" à Roman Polanski.

La vidéo a depuis été reprise par plusieurs médias, comme Rue89.com, lepoint.fr, lenouvelobs.com, Voici.fr ou tv.lepost.fr. Frédéric Mitterrand n'a toujours pas réagi à cette polémique, pas plus que l'Elysée.


En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/la-fachosphere-accuse-frederic-mitterrand-de-pedophilie_792703.html#K0PwYJw4UX96PTCs.99       

  FURIES *  

Dans la mythologie grecque, les Érinyes (en grec ancien Ἐρινύες / Erinúes, d'ἐρίνειν / erínein, « pourchasser, persécuter »), ou parfois « déesses infernales » (χθόνιαι θεαί / khthóniai theaí), sont des divinités persécutrices. Selon Eschyle elles sont transformées en σεμναὶ / semnaì[1], « vénérables », après l'acquittement d'Oreste, occasion à laquelle Athéna aurait obtenu d'elles qu'elles devinssent des divinités protectrices d'Athènes sous le rôle de gardiennes de la justice. Plus tard, Euripide les a identifiées avec les Euménides (grec Εὐμενίδες / Eumenídes, « les Bienveillantes »)[2].

Je ne vois pas Frigide Barjot que j'identifie bien comme une furie exemplaire,  devenir protectrice de qui que ce soit !

Par claudio - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 2 juillet 2 02 /07 /Juil 06:26

à retrouver dans la rubrique RENCONTRES (20)

Je ne suis pas militant, mais je connais Daniel et Michel et leur luttes tant auprès des adeptes de la drague pour qu'on ramasse ses cartouches après la consommation (présos, kleenex) qu'auprès des "autorités" pour le maintien la tolérance des lieux .
Lu dans un zine étudiant du net :
Les lieux de drague en voie de disparition??
Les lieux de drague sont chez les homosexuels des espaces dédiés aux rencontres furtives et coquines.

Dans le milieu gay, il existe de véritables institutions comme les bords de la Durance ou plusieurs bosquets sur la Barthelasse. Dans les revues spécialisées ou sur internet, ces lieux de prédilection pour les amourettes d’un soir sont référencés et notés. Michel Testud et Daniel Gineste connaissent bien ses adresses. Le premier est le Président de l’association des “Gays randonneurs” qui organise des rencontres dans le cadre de balades pédestres. Le second, préside l’association “Des Ils et des Elles” qui vise à affirmer la visibilité homosexuelle et promouvoir les droits à l’égalité.

Les lieux de drague en voie de disparition??

Les deux hommes suivent l’évolution des lieux de drague. “En quelques années, la Barthelasse a bien changé. C’était un lieu très fréquenté à Avignon” raconte Daniel. Mais il y a quelques mois, des blocs de pierre de plusieurs centaines de kilos ont été déposés, “juste à l’entrée du chemin qui donnait accès au sous-bois dans lequel se retrouvaient les homosexuels ! Et comme cela ne suffisait pas, des barrières ont été rajoutées”. Daniel n’en doute pas c’est une manière déguisée de mettre fin à ces rendez-vous coquins. Car les municipalités en ont assez de voir des espaces boisés souillés par des détritus de tous genres. Mais comment y mettre fin??

Bonpas?: une référence pour les homos

Le racolage se base sur l’idée qu’une personne se prostitue contre de l’argent. Ce délit n’a donc rien à voir avec le fait de flâner dans des lieux publics en quête d’aventures. Il n’apparaît donc aucune raison qu’une personne soit poursuivie pour délit de racolage. Mais pour exhibitionnisme oui. “Ce qui explique pourquoi tous les arbres sur le lieux de drague de la Barthelasse ont été coupés... Une manière de rendre l’espace visible au regard de tous...” analyse Daniel. À Orange, des panneaux d’interdictions de stationnement ont été installés à l’endroit même où se parquaient les voitures. “Ce qui permet à la police de verbaliser tous les conducteurs...” . Aucun doute pour les présidents, les lieux de drague sont menacés de disparition. “À Marseille, Nimes ou Cavaillon, les homos n’ont plus de lieux de rencontre. Conséquence?: le lieu de drague de bonpas devient une référence pour les homos de la région. “Il est situé à deux pas du péage, c’est pratique. Et la police ne fait pas que des rondes de surveillance. Il y a du monde 24h sur 24h. Le WE la fréquentation explose.” De l’avis de Michel et Daniel si plus de 90 % sont des hommes, près de la moitié d’entre eux sont mariés. D’ailleurs les deux présidents ont des enfants. “J’ai commencé à venir sur les lieux de drague quand j’étais marié. En un temps record, les hommes sont sûrs de trouver ce qu’ils sont venus chercher”. D’où le combat que mènent les présidents?: tout faire pour éviter la fermeture des lieux de drague.

 

Opération“drague verte”

“Protégez-vous, protégez-la”. C’était le mot d’ordre de l’opération écolo organisée samedi 26 par les Gays randonneurs. Au total plus de 18 sacs poubelles ont été remplis de détritus en tout genre. Bouteilles d’alcool, revues pornographiques, préservatifs usagés... Michel Testud et une poignée de bénévoles venus lui donner main-forte ont nettoyé le lieu de drague de Bonpas sur les berges de la Durance. “C’est un lieu que nous empruntons régulièrement, nous nous devons de le laisser propre”

La situation évolue et les interdictions se sont multipliées depuis la parution de cet article. L'application de la loi sur l'eau et la protection des "zones humides", l'envahissement des camps de roms, la vaste délinquance qui fait atterrir les voitures volées et brûlées, le dealing de drogue, font confondre les homos en recherche de rencontres avec des délinquants purs et simples. Faire de ces lieux adorés et chéris des déserts interdits est devenu l'obsession des maires et des gendarmes.

L'avenir est à la randonnée pédestre gay ou la balade discrète en VTT.

les moteurs sont désormais interdits dans toutes les zones humides.

voiture ou mobylette sont prohibés et verbalisables.

faire désormais, pour transiger, fonctionner ses jambes et sa tête.

claudio

claudemodou@gmail.com

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 16:14

 

JOYEUX NOEL A TOUS LES AMIS DE CAVAILLONGAY

 

 

TOUS CAVAILLONNAIS

PERE NOEL 2

 

 

LES CAVAILLONNAIS SAVENT SE DIVERTIR

PERES NO

 

BISES A TOUS 

LES STATISTIQUES NOUS DISENT QUE VOUS ETES NOMBREUX A NOUS SUIVRE  MERCI !

FAITES-NOUS DES POSTS ! MERCI ENCORE 

Par claudio - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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