TRANS - ET- CHANGER DE GENRE

Dimanche 23 juin 7 23 /06 /Juin 01:42

  Entre homme et femme. Entre haine et amour. Entre passion et désespoir. Autant d’antagonismes qui caractérisent Edward, faisant de lui l’un de ces personnages qui ne peut laisser ses interlocuteurs indifférents .

 

  Thomas Kern est le journaliste de <swiss info (Suisse) qui s'est intéressé de près à Edward

edward 

 Il aura fallu beaucoup de temps et de souffrances, avant que les médecins ne découvrent qu’Edward est intersexe et qu’un traitement adapté ne lui soit proposé.

(Thomas Kern/swissinfo.ch)

A l’âge de 16 ans, Edward a appris qu’il était intersexe. Un diagnostic qui a bouleversé sa vie. Après avoir traversé «des années de cauchemars», il a appris à s’accepter mais se sent encore souvent incompris. Le Genevois de 32 ans regrette de ne pas avoir été pris davantage au sérieux par les médecins. 

Entre homme et femme. Entre haine et amour. Entre passion et désespoir. Autant d’antagonismes qui caractérisent Edward, faisant de lui l’un de ces personnages qui bousculent ses interlocuteurs. C’est l’histoire d’«un dur à cuire trop sensible», comme il se décrit lui-même. L’histoire d’un combat pour être compris, dans une société qui peine à comprendre la différence.

Que signifie LGBTIQ?

L’acronyme LGBTIQ est un sigle utilisé pour désigner les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres, queer et intersexuées. Avec le temps d’autres termes sont également apparus pour définir les diverses orientations sexuelles et identités de genre. Derrières ces lettres se trouvent toutefois des histoires de vie, des parcours parfois tortueux parfois simples mais tous uniques. C’est pourquoi nous souhaitons  donner la parole aux personnes LGBTIQ et évoquer avec elles leurs rêves, leurs acquis et leurs revendications. Une série qui s’insère dans un débat de société au cœur de l’actualité, à découvrir au cours des prochaines semaines sur swissinfo.ch

Fin de l'infobox

Il détonne, Edward, avec ses tatouages et ses piercings, installé à côté de sa mère Kate dans le confortable salon de l’appartement familial, offrant une vue imprenable sur la rade de Genève. Au-dessus de lui, les portraits en noir et blanc de ses aïeux semblent aussi prêter une oreille attentive à son récit tortueux.

«Vous êtes un mutant. Vous n’aurez jamais ni d’enfants, ni une vie normale.» Ce sont les mots utilisés par le médecin d’Edward pour lui annoncer qu’il est une personne intersexe. Edward a 16 ans. Il est assis dans le cabinet de son médecin, seul.

A 32 ans, ce verdict continue à le hanter. Sa voix se brise légèrement pour laisser s’exprimer sa haine d’une médecine qui n’a pas su le soutenir et le protéger. Il partage avec sa mère l’impression d’avoir été traité comme une curiosité médicale plutôt que comme un jeune patient qui avait besoin d’aide.

Un corps qui prend des formes féminines

A sa naissance, en 1984, rien ne laisse présager qu’Edward puisse être atteint d’une variation du développement sexuel. Sa mère le décrit toutefois comme «un enfant qui a toujours été différent.» Le parcours scolaire du garçon turbulent qu’il était se révèle chaotique. Les difficultés commencent dès le jardin d’enfant. «A l’âge de 10 ans, on lui a diagnostiqué un trouble du déficit de l’attention», se souvient sa mère. Il est par la suite renvoyé de deux écoles, puis placé en internat.

Vers l’âge de 12 ans, la situation se complique. Comme ses amis, Edward grandit. Comme ses amis, il attend que sa voix devienne plus grave, que des poils apparaissent, que son corps devienne celui d’un homme. Mais chez lui, rien ne se passe. Pire, son corps emprunte le chemin inverse: «Mes hanches prenaient des formes féminines, et j’avais des seins qui commençaient à se développer.» Une expérience traumatisante pour l’adolescent. «A l’internat, je refusais de me doucher avec les autres. Je ne me sentais ni homme, ni femme. Je ne me sentais rien.»

A son mal-être s’ajoutent les mots qui blessent. «On me traitait de ‘sale gay’.» Une injure qu’Edward ne tolère plus, non seulement parce qu’il n’accepte pas qu’on insulte ses amis homosexuels mais aussi parce qu’elle met en lumière l’incompréhension qui entoure l’intersexualité. «Comme le terme inclut le mot ‘sexe’, les gens croient souvent que cela signifie que je suis homosexuel, alors qu’intersexe n’a rien avoir avec l’orientation sexuelle», souligne-t-il en haussant le ton, criant presque. Puis il se ravise: «Je suis désolé, mais il faut vraiment que vous compreniez.»

«Sans testostérone, j’étais comme un enfant de dix ans dans ma tête: je pétais les plombs, sans penser aux conséquences de mes actes, je n’avais aucune limite»

Fin de la citation

 

Des années de cauchemar

C’est finalement à l’âge de 16 ans que les médecins découvrent qu’il est atteint du syndrome de Klinefelter, l’une des nombreuses variations des chromosomes sexuels. Edward est XXY au lieu du XY habituel (pour les hommes), ce qui signifie qu’il a un chromosome en plus. S’il n’a toujours pas passé le cap de la puberté, c’est parce que son corps ne produit pas ou peu de testostérone. On lui prescrit donc des injections hormonales à raison d’une fois par mois. «C’est très douloureux, explique-t-il. On vous injecte ce liquide dans le bas du dos, et il met beaucoup de temps à descendre car il est huileux. Je ne pouvais rien faire pendant une soirée, voire une journée.»

Pour diminuer les effets secondaires, son médecin remplace alors les injections par des patchs, moins désagréables mais également moins efficaces. «Je ne voyais pas de progrès. En plus, j’avais rencontré une fille très compréhensive qui me disait qu’elle m’acceptait comme j’étais et que je n’avais pas besoin de testostérone.» Edward se laisse convaincre et abandonne le traitement. Une décision qui va marquer le début d’une période sombre.

Entre 16 et 23 ans, le jeune homme traverse une violente crise identitaire. «Sans testostérone, j’étais comme un enfant de dix ans dans ma tête: je pétais les plombs, sans penser aux conséquences de mes actes, je n’avais aucune limite», se souvient-il. Absence totale de confiance en lui, mal-être et agressivité lui causent «un nombre incalculable de problèmes». La haine le submerge. «Tout le monde était mon ennemi, même ma mère, mais c’est aussi cette haine qui me faisait survivre.»

Edward sur son vélo

Le vélo et les tatouages ont aidé Edward à s'accepter. Les lettres "XXY" sont désormais inscrites sur son bras gauche. 

(Natasha Carrion)

«Maman, qu’est-ce que je suis?»

Lorsque la haine devient une raison de vivre, elle isole: une douloureuse rupture s’installe entre le jeune homme et son entourage. «Ce fut des années de cauchemar. Edward ne savait plus qui il était. Parfois, il venait me voir, habillé en fille, et me demandait: ‘Maman, qu’est-ce que je suis?’», raconte Kate. En tant que mère, elle se sent seule, impuissante et peine à trouver du soutien du côté des médecins ou des psychiatres, qui tentent en vain d’expliquer l’état de son fils par des maladies psychiques. «Avoir un enfant qui ne cesse de vous répéter qu’il veut se suicider, c’est dramatique», confie-t-elle, les yeux brillants.  

Désemparée, Kate se met seule en quête d’informations sur les personnes intersexuées. Au fil de ses recherches, elle décide de consacrer une thèse à l’expérience maternelle avec un enfant différent. Elle découvre l’impact psychologique du manque de testostérone sur le psychisme d’un homme et acquiert la conviction que son fils doit recommencer le traitement hormonal. «Après de nombreuses discussions, des cris, des pleurs, j’ai finalement accepté. C’est surtout le risque de souffrir d’ostéoporose qui m’a convaincu», explique Edward.

 

Queer, pansexuel ou asexuel, les jeunes utilisent aujourd’hui de nouveaux termes pour définir leur orientation sexuelle et leur identité de genre.

Par Katy Romy, Stefania Summermatter
 Autres langues: 8 Autres langues: 8 Langues: 8
  1. Allemand (de)Mann, Frau, homo, hetero – die Grenzen verschwinden
  2. Anglais (en)Recognising diverse sexual identities and experiences
  3. Espagnol(es)Cuando las categorías sexuales saltan por los aires
  4. Italien (it)Maschio o femmina, omo o etero: quando le categorie vanno in frantumi
  5. Japonais (ja)男性、女性、ホモ・ヘテロセクシャル 消える境界線
  6. Portuguais (pt)Homem, mulher, heterossexual, queer ou transexual: quando as fronteiras do sexo não existem mais
  7. Russe (ru)Швейцария в поисках своей сексуальной идентичности
  8. Chinois (zh)男人、女人、异性、同性的界限在消失
La puberté à 23 ans

C’est une sorte de libération. Grâce à la testostérone, le jeune homme vit sa puberté à 23 ans. Son corps change: la masse musculaire de sa nuque et de ses épaules se développe, sa voix devient plus grave. Mais avant tout, il retrouve une certaine sérénité. «Quel soulagement, se souvient-il, à ce moment-là, je suis devenu un adulte.» Une délivrance également pour sa mère: «Les hormones sexuelles permettent de développer les facultés cognitives. Il comprenait ainsi mieux les conséquences de ses actes.»

Des années d’errance ont renforcé le lien entre Edward et sa mère, qui a désormais créé l’association SAMED groupe de soutien mèresd’enfants différents. «Mon histoire, c’est aussi la sienne. Elle nous a permis de nous créer une carapace», commente le fils.  

Un avenir à construire

Lorsqu’on le questionne sur son avenir, Edward répond toutefois sans hésiter: «Je ne le vois pas.» Comme toutes les personnes atteintes du syndrome de Klinefelter, il est stérile, ce qui l’affecte beaucoup. «J’ai l’impression que le fait de ne pas pouvoir avoir d’enfants tue mes relations avec les femmes.» Il s’évade ainsi en rêvant de voyage au Costa Rica et se passionne pour la photographie.  

XXY, ces trois lettres sont désormais tatouées sur son bras. Une preuve qu’il accepte aujourd’hui d’être lui-même: une personne intersexe. Il y voit même des avantages: «Je me sens homme et femme à la fois, dans mes choix et dans mon corps. Mes décisions fermes relèvent de mon côté féminin. Ma faiblesse est plutôt du côté de mon corps, le côté masculin.»

«Je suis le maître de ma destinée. Je suis le capitaine de mon âme», a-t-il encore gravé à l’encre noire sur son torse. «La haine ne prend plus jamais le dessus. Elle est toujours là mais j’ai appris à la contenir.» Une quiétude qu’il trouve notamment dans sa passion pour le fixie, ces vélos urbains à pignons fixes.

«Les tatouages m’ont aidé à accepter mon corps, le vélo à maîtriser mes émotions.»

Intersexuation: des opérations lourdes de conséquence 

Des statistiques complètes et fiables sur le nombre de personnes qui naissent intersexuées n’existent pas. L’étude la plus souvent citée est toutefois celle d’Anne Fausto-Sterling,Lien externe professeure de biologie à l’Université de Brown aux Etats-Unis, qui estime qu’environ 1,7 % de la population est concernée par l’intersexuation. Parfois, les variations de la différenciation sexuelle ne sont pas visibles à la naissance et apparaissent plus tard.

Dans certains cas, une intervention médicale immédiate est nécessaire car il y a danger de mort, dans d’autres, elle ne se justifie pas. Or, par le passé, nombre d’enfants ont été opérés, pour être sûr de leur attribuer un sexe clairement identifiable. Des opérations qui ont parfois eu lieu sans le consentement des parents et ont souvent entraîné des conséquences irréversibles. Dès les années 90, des études ont montré que les enfants opérés précocement souffraient à l’âge adulte de complications à la fois physiques et psychiques.

Le corps médical a commencé à changer d’attitude mais il n’existe pas encore de loi sur la question. En 2016, à la suite d’un rapport  le gouvernement suisse dit  que les interventions  prmaturées ou inutiles étaient contraires au droit à l'intégrité physique. (source: ats)

 

Par KERN SUISSE - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 27 février 3 27 /02 /Fév 08:14

  AVEC LES DEUX SHEMALES  j'ai joué, et elles aussi, sur les deux tableaux : HOMME ET FEMME . David de Cavaillon mourait d'envie que le le leur présente ! salut David !   

 

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Je suis debout au pied du lit maintenant, je l'ai ramené(e) vers moi et je présente mon sexe sur son petit bouton. Retirant le doigt qu'elle(il) s'y était inséré, celui-ci s'entrouvre et semble appeler mon sexe. Sans avoir trop à pousser, mon gland passe son sphincter et s'établit dans ses entrailles. Allongée sur ses seins, Virginie s'extasie de la plénitude de sa jouissance qui lui fait fouiller les draps de ses mains qu'elle tend devant elle. Yolanda n'est pas en reste et vient bientôt se placer assise vers la tête du lit, les jambes écartées et présente son sexe à Virginie. Celle-ci dévore littéralement l'entrejambe de sa(son) partenaire qui ne tarde pas à exprimer son plaisir en caressant ses seins, ses yeux sont captivés par le spectacle. Mais cela ne semble pas étancher leur soif sexuelle et je ne reprends la sodomie qu'une fois que celles-ci s'engagent dans un 69 endiablé, Virginie étant maintenant sur le dos.

 

 

« Oh putain je vais jouir ! » alors que je sens la sève monter.

« Attends, je veux tout ! » répond Yolanda qui s'empresse de retirer mon armure de latex.

 

Nouant mes doigts dans sa chevelure dorée, je bascule sa tête en arrière alors qu'elle ouvre sa bouche. De longues giclées s'écrasent sur son visage, certaines pénètrent sa bouche. Mais très rapidement, elle reprend son étreinte avec Virginie qui, elle, n'avait pas arrêté son labeur.

 

  Image associée

 

Je prends place sur un fauteuil tandis que je prends plaisir de la sensualité et de la jouissance offertes par la beauté de ces deux corps. Je préfère leur laisser un peu d'intimité à la vue de cette passion naissante et il me faut me rafraichir dans la salle de bain de toute façon. A mon retour, leur ébat a cessé et elles s'échangent de petits baisers, enlacées et allongées sur le lit. Je reforme notre trio et vient m'étendre dans le dos de Yolanda qui saisit ma fesse de sa main droite, je ne tarde pas à m'endormir, épuisé par une journée tronquée dans sa durée mais tellement remplie. Au réveil, je suis seul dans le lit. Je suis debout au pied du lit maintenant, je l'ai ramené(e) vers moi et je présente mon sexe sur l'aire brune de son petit bouton. Retirant le doigt qu'elle s'y était inséré, celui-ci s'entrouvre et semble appeler mon sexe. Sans avoir trop à pousser, mon gland passe son sphincter et s'établit dans ses entrailles. Allongée sur ses seins, Virginie s'extasie de la plénitude de sa jouissance qui lui fait fouiller les draps de ses mains qu'elle tend devant elle. Yolanda n'est pas en reste et vient bientôt se placer assise vers la tête du lit, les jambes écartées et présente son chibre à Virginie. Celle-ci dévore littéralement l'entrejambe de sa partenaire qui ne tarde pas à exprimer son plaisir en caressant ses seins, ses yeux sont captivés par le spectacle. Mais cela ne semble pas étancher leur soif sexuelle et je ne reprends la sodomie qu'une fois que celles-ci s'engagent dans un 69 endiablé, Virginie étant maintenant sur le dos.

 

 

« Oh putain je vais jouir ! » alors que je sens la sève monter.

« Attends, je veux tout ! » dit Yolanda qui s'empresse de retirer mon armure de latex.

Nouant mes doigts dans sa chevelure dorée, je bascule sa tête en arrière alors qu'elle ouvre sa bouche. De longues giclées s'écrasent sur son visage, certaines pénètrent sa bouche. Mais très rapidement, elle reprend son étreinte avec Virginie qui, elle, n'avait pas arrêté son labeur. Je prends place sur un fauteuil tandis que je prends plaisir de la sensualité et de la jouissance offertes par la beauté de ces deux corps. Je préfère leur laisser un peu d'intimité à la vue de cette passion naissante et il me faut me rafraîchir dans la salle de bain de toute façon. A mon retour, leur ébat a cessé et elles s'échangent de petits baisers, enlacées et allongées sur le lit. Je reforme notre trio et vient m'étendre dans le dos de Yolanda qui saisit ma fesse de sa main droite, m'écarte et me pénètre encore, insatiable. Elle se finit abondamment dans mes entrailles avec des baises dans mon cou. Je la gratifie d'un dernier orgasme anal et ne tarde pas à m'endormir, épuisé par une journée tronquée dans sa durée mais tellement remplie. Au réveil, je suis seul dans le lit.

 

 

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Par TYRAYEUR - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 31 décembre 1 31 /12 /Déc 04:58

 

La suède a souvent péché par eugénisme (fous, handicapés...)mais,   

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La Cour administrative d'appel de Stockholm estime que l'obligation de stérilisation des trans constitue une violation de la loi fondamentale suédoise et de la Convention européenne des droits de l'Homme. Depuis aujourd'hui, elle n'est donc plus appliquée.  

Quand vous parliez d'égalité sans vraiment l'accorder ...  

Résultat de recherche d'images pour "porn gay gif trans sweden"De Suède

Depuis plus de quarante ans, les trans suédois n'avaient pas le choix: s'ils voulaient changer de sexe sur le papier, ils devaient d'abord se faire stériliser. Comme en France, les associations n'ont eu de cesse de se battre pour faire changer la loi jugée discriminatoire. Après des années, elles viennent d'obtenir gain de cause: mi-décembre, un tribunal du royaume scandinave a donné raison à un homme qui refusait de se soumettre au règlement imposé par l'Office national de la santé et de la prévoyance (Socialstyrelsen), exigeant qu'il subisse une intervention chirurgicale avant de pouvoir changer de sexe à l'état civil.

Depuis aujourd’hui, ce jugement fait jurisprudence en Suède. Poussé par l'opposition de gauche, le gouvernement de centre-droit avait promis il y a un an de modifier la loi d'ici l'été 2013. La Justice l'a pris de vitesse. Dans son jugement du 19 décembre, la Cour administrative d'appel de Stockholm estime que l'obligation de stérilisation constitue une violation de la loi fondamentale suédoise et de la Convention européenne des droits de l'Homme, et qu'elle discrimine les personnes trans. 

Des réparations
«Ce jugement est une grande victoire pour les droits de l'Homme, se félicite Immanuel Brändemo (photo ci-contre), vice-président de l'association Kim, qui représente les personnes transgenres en Suède. Cependant, précise-t-il, il est insuffisant pour ceux et celles qui ont dû subir une stérilisation». Environ 500 personnes, selon l'Association de défense des droits des homosexuels (RFSL). Tous, estime Immanuel Brändemo, devraient «obtenir réparation pour les abus qu'ils ont subi» et «avoir la possibilité de demander des dommages et intérêts». 

L'association RFSL a d'ores et déjà annoncé qu'elle était prête à mener une action en justice contre l’État suédois en ce sens. Pour le moment, elle représente 76 plaignants. D'autres pourraient se manifester. Leur avocate, Kerstin Burman, a fait savoir qu'elle espérait obtenir 200.000 couronnes (soit plus de 23.000 euros) par personne. Mais les plaignants, explique-t-elle dans le quotidien Svenska Dagbladet, sont surtout en quête d'une reconnaissance par l’État du tort qu'ils ont subi.

La France à la traîne
L'avocate est optimiste. Non seulement parce que la Cour européenne des droits de l'Homme a déjà soutenu des demandes similaires et que l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a adopté, le 29 avril 2010, une résolution prévoyant de ne plus conditionner la rectification de l'état civil des personnes trans à une stérilisation obligatoire. Mais aussi en raison d'un précédent en Suède: en 1999, le parlement a adopté une loi prévoyant d'indemniser à hauteur de 175.000 couronnes (environ 20.500 euros) les personnes stérilisées de force entre 1934 et 1976, dans le cadre d'un programme eugéniste. 

La Suède n'est pas le premier pays à abroger la stérilisation forcée des trans. En Europe, l'Allemagne et la Suisse l'ont précédé. La France, quant à elle, reste à la traîne, au grand dam des associations, qui continuent d'exiger une modification de la loi.

Photo de la page Facebook d'Immanuel Brändemo/DR.

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Par claudio - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 23:48

Image associéeça a mis un moment pour s'affirmer mais la chose fut complète quand  j'ai dit :  « je veux être baisé... ».

Manvi m'a donné ses vêtements à porter
 Un soir, de retour du bureau, j'ai raté mon taxi. Il pleuvait beaucoup et j'étais complètement mouillé. Finalement, j'ai trouvé une auto et je suis rentré chez moi. À mon grand désarroi, il n'y avait personne dans l'appartement et je n'avais pas de clé. J'ai appelé mon compagnon de chambre et il m'a dit qu'il était allé à une fête et qu'il reviendrait après minuit.
 J'ai regardé ma montre et il était 6 heures du soir. J'avais froid parce que tous mes vêtements étaient mouillés et que, aussi, c'était l'hiver.
 Ainsi, j'ai appelé ma collègue de bureau Manvi. Nous travaillons dans la même société. Je me suis rendu chez elle.
Elle avait l'habitude de rester seule dans un appartement. Elle a 25 ans.
Elle m'a invité à l'intérieur et m'a donné une serviette. Je me suis essuyé les mains, le visage et les cheveux. Elle m'a dit que je devrais changer de vêtements sinon j'allais attraper froid. Elle est allée dans sa chambre chercher des vêtements.
Elle est revenue et a dit qu'elle avait posé des vêtements dans la salle de bains et que je devrais me rafraîchir et me changer.
J'ai été d'accord.
 J'ai été surpris de voir quel genre de vêtements elle me proposait de porter.
 Elle appela de l’autre pièce : «désolée, je n’ai pas de vêtements masculins, tu peux porter mes vêtements. C'est juste une question de quelques heures. "
J'étais décontenancé mais j'ai dit «pas de problème, chère amie.   

 

 

. Serions-nous à l’aube d’une nouvelle révolution sexuelle ? « J’aimerais vous dire oui, s’exclame en souriant Martin Blais, professeur au Département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal. Mais c’est peut-être simplement l’effet d’une société qui, depuis déjà plusieurs décennies, a élu le bonheur individuel comme principal critère pour juger de la réussite. » Le couple, d’accord, mais à con­dition qu’il serve une cause plus grande, la réalisation de soi.,

 

 

J'ai enlevé tous mes vêtements.
Ensuite, j'ai mis un  panty qu'elle avait choisi pour moi. Il y avait des fleurs roses partout. Je portai la culotte. C'était très doux et ça m'a fait bander.

Je pensais que cela aurait été si agréable si Manvi m'avait aussi prêté un soutien-gorge, cependant, il n'y avait pas de soutien-gorge.

Elle me montra une robe d'hiver bleue. J'en nouai la ceinture. C'était un peu juste pour moi, ce qui m'aurait rendu sexy si j'avais eu des seins à mettre en valeur.

C'était un col montant et il y avait un zip dans le dos. J'étais habillée dans les vêtements de Manvi et ensuite j'ai réalisé que depuis toujours je voulais porter ses vêtements  et que je voulais me vêtir comme elle . Aujourd'hui, mon rêve devenait réalité.

Je suis sorti des toilettes. Manvi m'a vu et elle a souri en rougissant.
Elle m'a demandé de m'asseoir.

Elle m'a dit que si j'avais les cheveux longs et que si j'appliquais un peu de maquillage, je ressemblerais à une fille sans conteste.

D'abord j'ai dit "ce n'est pas possible". Mais ensuite j'ai dit que j'aimerais essayer. Elle a dit qu’elle n’avait pas de perruque.
Mais elle m'a emmenée dans son dressing, elle m'a fait asseoir à la coiffeuse. Elle a commencé à appliquer du rouge sur mes lèvres et de la crème-base sur mon visage.

Elle m'a couvert la tête avec un bandana qui cachait mes cheveux courts. Puis,devant le miroir,  elle a dit "regarde" et a commencé à sourire "maintenant tu ressembles à une femme."
J'ai dit "non, pas encore, je n'ai pas de seins."
Elle a dit "oh, mais que pourrions-nous faire pour corriger ça ?"
J'ai dit "je peux"
Elle a dit "comment?"

Je me suis levé,  Puis j'ai dit "donne-moi un soutien-gorge"

Elle était surprise d'entendre ça. Elle alla dans sa garde-robe et en sortit avec un soutien-gorge rembourré rose.
J'ai pris le soutien-gorge et j'ai commencé à le porter. Elle m'a aidé en accrochant le soutien-gorge par derrière.
Puis j'ai dit "j'aurais besoin de deux chemisiers"

Elle m'en a donné deux. J'ai placé les chemisiers dans les bonnets du soutien-gorge pour faire de faux seins.

Elle a été surprise et a dit “wow! Je n'aurais jamais pensé à ça, est-ce que tu aimes porter ces vêtements? Et d'ailleurs, en as-tu déjà porté?
J'ai dit oui. En même temps elle a zippé la robe par l'arrière.

Maintenant, je ressemblais tout à fait à une femme .
Elle a dit "quels vêtements portais-tu quand tu te déguisais autrefois ?"
J'ai dit: «Quand j'étais enfant, je portais des vêtements de maman. Quand je suis devenu adulte, mon goût pour le métissage s'est accru et j'ai commencé à porter tous types de vêtements. Chaque fois que j'en ai l'occasion, peu importaient  les vêtements, je les portais.

Elle a dit "et comment te sens-tu  maintenant?"
J'ai dit «une femme complète. Sauf qu'à chaque fois que je suis habillé(e) je souhaiterais juste avoir un petit ami ou un mari . "
Elle sourit et dit «Qu'est-ce que tu veux maintenant?  

J'ai rassemblé mon courage et j'ai dit "Je veux me faire baiser."
Elle a  réfléchi et dit "d'accord, il y a un gars qui d'habtude vient réparer la connexion Internet, peut-être que nous pouvons le piéger"
J'étais si heureux et en même temps j'étais nerveux. J'ai dit "d'accord, mais pourquoi sera-t-il attiré par moi et pas par toi?"
Manvi a déclaré "parce qu'il est un de mes amis et qu'il est gay."
Manvi a sorti son téléphone portable de son sac et a appelé le gars pour lui dire qu'elle avait une surprise pour lui.

Après 15 minutes, la sonnette retentit. Un grand gars de  1,80 mètres de haut se tenait à la porte, beau de traits et bel homme, il était un peu sombre et il portait un jean.

Elle le fit entrer, lui aussi était complètement trempé. A ce moment, je suis entré dans la chambre et il a été complètement surpris de me voir.
 Manvi lui a dit: «Faites connaissance, il est mon ami et aime se déguiser en femme. Je suis sûre que vous allez bien vous entendre. "
Il m'a serré la main. Son emprise était serrée, je rougis. Il a dit: «Bonjour, je m'appelle Ajay. Vous êtes très belle."
J'ai dit "Merci, je m'appelle ***** mais j'aime être appelée Rani quand je suis habillée en femme."
Manvi a dit: «OK, Ajay et Rani, asseyez-vous tous les deux et discutez pendant que je fais du thé.   
Nous nous sommes assis sur le canapé. Il s'est assis très près de moi. Il a dit "Alors, tu aimes te travestir, alors tu dois être gay"

J'ai dit "Juste quand je suis habillé, je me sens comme une femme et j'apprécie la compagnie d'un homme honnête."

Il est venu très près de moi et a placé son bras sur mes épaules. Je rougis.
 Manvi entra et posa le plateau du thé sur la table. Elle a dit: «Vous voyez, vous êtes tous les deux très proches maintenant. Pourquoi ne devenez-vous pas partenaires?

Quoi qu'il en soit, Manvi portait une jupe marron soyeuse et un haut noir.
 J'ai dit "Manvi, je voudrais m'habiller comme toi tout le temps et je veux qu'Ajay soit avec moi chaque fois que je m'habille."

Manvi sourit. Ajay a dit "Manvi, je suis complètement mouillé de pluie."
Juste à ce moment, je posai ma main sur le visage d’Ajay et commençai à l’embrasser, je suçais ses lèvres et sa bouche. Il a commencé à m'embrasser et a appuyé sur mes faux seins.
 Juste à ce moment-là, Manvi lui a dit: «Peut-être que tu veux utiliser ma chambre ?  fais-le si tu veux.
Nous sommes allés dans sa chambre, Ajay m'a étreint très fort et a commencé à embrasser mon cou et mes épaules.
 Manvi était assise sur le canapé de sa chambre et nous regardait.
 Ajay ôta sa chemise et me prit dans ses bras. Je lui ai complètement cédé. Il a enlevé son jean. Il était en sous- vêtements. Ses sous-vêtements "Jockey", la marque.

Je l'ai poussé sur le lit et je l'ai saisi. Il s'est allongé et j'ai commencé à enlever ses sous-vêtements. HOU LA LA! Il a une queue de 20 cm de long.
 J'ai pris sa queue dans ma main. C'était très chaud. J'ai commencé à le branler. Il gémissait «ah… suce-moi Rani»    
J'ai posé mes lèvres sur le bout de sa bite dure. J'ai goûté son precum.

Puis j'ai commencé à l'insérer dans ma bouche.

Je l'ai complètement pris dans ma bouche, j'ai commencé à le sucer et me suis frotté les couilles avec la main. Il a dit "Oh, Rani, je veux te baiser, garce."
Il a commencé à me baiser la bouche.

Puis je suis venu sur le lit, j'ai détaché ma robe et l'ai enlevée. Il est venu derrière moi, m'a fait asseoir comme une chienne, a baissé ma culotte et a commencé à me frotter le trou du cul du bout de son pénis.

Je gémis et quand j'ouvris les yeux, je vis que Manvi avait retiré sa culotte rose de sa jupe et se frottait la chatte pendant qu'elle appréciait notre séance.

Ajay a commencé à pousser sa bite dure dans mon trou du cul.
 J'ai ressenti de la douleur et du plaisir.
 Il me tenait par la taille et commençait à pousser sa queue dans et hors de mon cul.

Lentement, il prenait de la vitesse. Il a commencé à me baiser comme un fou. Je gémissais de plaisir.
 Il m'a baisé en disant "Je vais jouir, je ne peux pas me contrôler" et c'est alors qu'il a fait exploser ses flots de sperme dans mon trou du cul.
 Maintenant, il était complètement épuisé.

Je me sentais bien, mon pénis était devenu très dur et je voulais aussi le faire exploser. J'ai remarqué que Manvi se frottait la chatte très vite maintenant et avait les yeux fermés.

Je suis allée la voir, j'ai attrapé ses cuisses et j'ai commencé à pousser ma bite dure dans sa chatte. Elle hésita mais céda à la chaleur du moment.
 J'ai soulevé son haut et commencé à presser ses deux seins et ai également commencé à la baiser follement.

Je ne pouvais pas me contrôler et je la baisais comme un chien. A ce moment-là, elle atteignit son orgasme et gémissait follement mais je ne m'arrêtai pas pour autant. Je l'ai baisée pendant 5 minutes de plus et ai inondé sa chatte de mon sperme.

Ensuite, Manvi et moi sommes revenus au lit.
 Elle a enlevé tous ses vêtements.
 Tous les trois nous avons encore fait l'amour. Ajay était en train de me baiser pendant que Manvi me sucait la bite.  
   
 

 


 

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  Image associée vous l'aviez deviné, nous sommes en Inde moderne mais en Inde où le Kamasutra a gardé tous ses droits

 

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Par claudio trad - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 20 décembre 4 20 /12 /Déc 01:43

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=Ja8MsETLnF0

Image associée  Image associée J’ai 18 ans. Ça fait deux mois que je fréquente un mec qui s’appelle Pierre. C’est un homme attirant. La cinquantaine musclée, virile, très poilu sur le torse mais rasé du pubis. Il dirige toute son attention au lit, il est attiré sur l’acte de dominer. Il est très endurant et puis surtout, monté comme un cheval, Humm !
C’est un très bon amant.

Pierre, est bi. Sa femme sait qu’il me fréquente. Au bout de 2 mois nous avons tous les deux effectué un test VIH et promis d’utiliser une capote lors de chaque nouveau rapport avec un étranger.

Pierre est constamment à la recherche de nouvelles idées pour renforcer notre rapport dominé/soumis. Il en est venu très rapidement à la féminisation, ce qui me convient parfaitement. Je suis donc maintenant donc sa « petite pute », ou encore « salope » et même « chienne », et bien d’autres. Tout m’allait parfaitement. À notre deuxième rencontre Pierre m’avait rapporté un tanga en dentelle noire. Je l’ai enfilé avec joie avant de prendre mon amant, surexcité en bouche.

Cela fait deux semaines que nous parlons d’aller plus loin. Pierre m’a demandé de me travestir totalement - rasage du peu de poils que je possède sur le corps, strings, collants, des prothèses en silicone mammaires et un soutif en dentelle. Je devais également enfiler un haut serré et une perruque coupée carrée. J’avais accepté.

Pierre s’était occupé de trouver chaque article. Il passa un matin chez mon papa (il ne sait pas que je baise avec mon papa et mes frères) pour me remettre l’ensemble des vêtements. Nous nous étions donnés rdv le soir même dans un bar près de son appartement. Je devais venir maquillé. Au lycée je suivais des cours de théâtre. Je savais donc comment appliquer le fond de teint, le rouge à lèvres et le mascara. 

 

Camoufler son sexe peut être inconfortable et troublant les premières fois, mais la pratique finira par devenir une seconde nature. Aspect banal de la vie quotidienne des femmes trans, pour de nombreux hommes travestis c'est éprouvant de voir leurs testicules disparaître dans leur abdomen, et ils craignent que cela ne soit définitif ! En faisant remonter les testicules dans le canal inguinal, les parties génitales sont réduites d'un tiers. Il y a donc beaucoup moins de « chair » à dissimuler. Ca ne se verra pas, même sous des jeans serrés et le trans dispose de tous ses moyens de séduction.
Maintenant au tour de ta bite
Une fois les couilles rentrées il faut planquer le pénis. Tends la bite attachée par une ficelle par derrière pour la mettre entre tes fesses et l'attacher à une ceinture légère. Sans la ficelle, une fois que la queue et les couilles sont en position, Il faut les serrer entre tes jambes pour les empêcher de se défaire. La facilité ou la difficulté que tu éprouves à les ramasser dépend de nombreux facteurs, mais à moins que tu ne sois monté comme un cerf, tu peux réaliser un max de photos donnant l'illusion que tu es une fille avec un minimum d’effort. Par contre avoir des rapports sexuels en maintenant l'illusion relève d'un plus grand art encore. Mais beaucoup de trans y arrivent parfaitement. Ils sont géniaux.
CG 

 

Je suis du genre minet et le tout me va à merveille. En me voyant dans le miroir j’eus du mal à me reconnaitre. Je suis très belle et je me dis je ressemble à une pute. Il n’y avait rien d’autre à dire. L’étape la plus étrange cependant été de faire « disparaitre » mon sexe. Pierre m’a trouvé un tuto en ligne. J’ai dû m’allonger sur mon lit, remonter délicatement les boules, puis avec du scotch, attacher mon sexe au scrotum à présent vide, avant de remonter le tout entre mes fesses. La sensation est étrange mais à vrai dire, agréable. Pierre m'a même trouvé un spray en pharmacie réduisant temporairement toute sensation au niveau du sexe. Je ne pouvais plus bander.

Le trajet en métro jusqu’au bar fut étrange. Je partis la tête basse, j’avais honte, serrant mon sac à main contre mon torse. Très rapidement, cependant, je me rendis compte qu’on ne me prêtait aucune attention. Au premier regard, je suis une jeune femme de sortie, rien de plus. La réalisation me donna du courage, et a vraie dire m’excita aussi. Je levais donc la tête, arborant un sourire.

En arrivant au bar, Pierre resta bouche bée.
Puis il sourit, s’approcha, et pour la première fois de notre « relation » m’embrassa à pleine bouche. Je lui rendais le baiser, sentant ses mains me serrer à lui, s’emparer même de mes fesses devant tout le monde.

Notre rencard dura peu de temps. Sa main ne quitta jamais mes cuisses. Mais je restais imperturbable, mes mains croisées sur la table. Mais je ne pensais qu’à une chose - me laisser culbuter par cet amant surexcité. J’allais devoir m’y prendre lentement, au risque de le faire jouir trop rapidement.

Pierre commanda un taxi et je le suivis chez lui.

« Elle n’est pas un peu jeune pour toi l’ami ? » Rit le chauffeur.

Pierre répondit sans attendre, « oh non, croyez-moi, elle cache bien son jeu. »

« Je veux bien le croire ! »
"C’est une vraie salope"

Pierre me fit monter les escaliers de son immeuble la première. Je sentais son regard sur mon cul. Arrivés à sa porte il se retourna. La porte d’entrée se trouvait devant l’escalier.

« Allez montre moi que tu es une bonne salope et suce moi. » Il plaça ses mains sur mes épaules et fit pression.

« Ici ? »

« Suce je te l’ordonne. » Mon amant déboutonna sans attendre son jean.

Je tombai à genoux, remontant légèrement ma jupe. Mon amant sorti sa queue, déjà raide. J’ouvris la bouche et il me fourra son gland entre les lèvres.

« Vas-y petite salope, prend la bien en bouche. »
Oui comme ça ! Va s’y !
J’écartais les lèvres d’avantage et laissai Pierre me limer la bouche. Sans prévenir, au bout d’une minute, mon amant se raidit et je sentis un jet puissant et chaud se lancer au fond de ma gorge. Déçu, j’avalais le foutre et me reculai.

« Déjà ? »
Ta gueule salope !

« Tu n’inquiètes pas ma belle, on est loin d’avoir fini toi et moi. »

Il me fit lever puis ouvrit la porte.

Nous entrâmes dans le salon. Sa femme lui avait laissé l’appartement.
Pierre alluma une lumière et j’aperçus, dans un miroir au fond de la pièce, mon visage. J’avais du rouge à lèvres tout autour de la bouche. Ma jupe était toujours remontée autour de mes cuisses.

« Sers-nous à boire, tu veux bien ? » Il indiqua une bouteille de rouge et deux verres sur la table.

Pierre s’installa dans le canapé et me regarda faire.

« Alors, tu te sens comment ? »

« C’est excitant. »

Il sourit. « Je savais que ça te plairait. Pas d’érection ? »

« Non. »

« Parfait ! »

Je me tenais devant lui, les jambes serrées, légèrement déhanchée. J’avais une main sur la taille, l’autre tenait mon verre. Pris d’une envie soudaine, je le vidai puis le reposai sur la table. Je défis ma jupe et la laissai tomber. Puis je me mis à quatre pattes et revins lentement vers mon amant.

« J’ai envie de sucer ta grosse queue. »

« Gourmande ! » Il défit de nouveau son jean.

Je me plaçais à quatre pattes entre ses cuisses et sortis son sexe, mou cette fois, du pantalon. Une fois en bouche cependant, mon amant raidit presque instantanément. Il me laissa le sucer longuement. Puis, sa queue turgescente, tachée de mon rouge à lèvres, il me fit signe d’arrêter. Il se leva et je fis de même.

« Viens. »

Je le suis dans la chambre. J’ai encore mon haut, laissant deviner la courbe de mes faux seins ainsi que mon string. Pierre se dirige vers la table de nuit et en sortit un tube de lubrifiant. En me fixant du regard, il s’applique une lampée sur le gland, puis s’astique le membre.

« Ben qu’est-ce que t’attends ? Mets-toi sur le lit. »

Je me place à quatre pattes sur le matelas.

« Pas comme ça. Sur le dos. Je veux te baiser comme je baise ma femme. »

J’obéis et me retourne. Puis j’écarte les cuisses. Je sens que mon sexe commence un peu à enfler. Mais le scotch le retient encore fermement en place.

Pierre s’approche, se saisit de mes jambes et les écarte davantage. Puis il écarte la bretelle de mon string.
Son doigt, froid de lubrifiant vient se coller à mon anus. Ensuite, je regarde tandis que mon amant positionne son sexe gonflé entre mes jambes. Il sourit et fait pression.

Je gémis en sentant le bout de son sexe entrer en moi.

« Détends-toi. Laisse-moi te prendre comme une bonne femelle. »

Peu à peu, Pierre s’enfonce en moi. La pénétration devient plus facile une fois le gland totalement enfoncé.

« Tu aimes ça hein ? »

« Oh oui ! »

Mon amant commence les va-et-vient et vient s’allonger entre mes cuisses. Je le tire vers moi, mes mains s’agrippant à ses fesses. Il me baise longuement. Puis il me fait retourner. Il me laisse à peine le temps de lui offrir mon cul qu’il se pousse en moi une nouvelle fois. Au bout de quelques minutes je sens le plaisir monter. Je jouis, laissant échapper un cri aigu.

Pierre continu, ses coups de reins se faisant plus forts et espacés. Il grogne profondément et s’immobilise. Ses mains me tiennent toujours fermement par la taille. Il s’enfonce jusqu’à la garde et je sens un jet chaud se projeter en moi.

« Voilà petite salope, baisée comme il se doit. »
Après je suis rentré chez mon père et j'ai tout raconté à mon papa chéri et aussi à mes frères ce qui leur donne des idées alors chacun leur tour ils m’ont enculé à fond pendant des heures.

Nico76500

 


 

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  c'est la journée mondiale de l'orgasme on voit des orgasmes partout 

 

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Par ESTRASS - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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