Piégés par l'amour gay qu'ils le vivent et le disent ou qu'ils l'enferment au placard
"Oui il l'était, il l'était, ooh, oui il l'était"....GAY le mot imprononçable !
on est "les malgré eux " !
Paroles et traduction de la chanson «Son Of A Preacher Man» par Aretha Franklin Son Of A Preacher Man (Fils De Pasteur)
Billy Ray was a preacher's son
Billy Ray était un fils de pasteur
And when his daddy would visit he'd come along
Et quand son père venait nous rendre visite il venait avec lui
When they gathered around and started talkin'
Quand ils se rassemblaient et commençaient à parler
That's when Billy would take me walkin'
Alors Billy m'emmenait marcher dehors
Out through the back yard we'd go walkin'
Dans l'arrière-cour, on allait marcher
Then he'd look into my eyes
Puis il me regardait dans les yeux
Lord knows, to my surprise
Dieu seul sait quelle fut ma surprise
The only one who could ever reach me
Le seul qui a pu m' atteindre,
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
The only boy who could ever teach me
Le seul qui a pu m'apprendre
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
Yes he was, he was, ooh, yes he was
Oui il l'était, il l'était, ooh, oui il l'était
Bein' good isn't always easy
Etre quelqu'un de bien n'est pas toujours facile
No matter how hard I try
Peu importe combien je persévère
When he started sweet - talkin' to me
Quand il commençait à me parlais gentillement
He'd come'n tell me Everything is all right
Il venait et me disait que tout allait bien
He'd kiss and tell me Everything is all right
Il m'embrassait et me disait que tout allait bien
Can I get away again tonight ?
Est-ce que je peux m'en aller ce soir encore ?
The only one who could ever reach me
Le seul qui a pu m'atteindre
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
The only boy who could ever teach me
Le seul garçon qui a pu m'apprendre
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
Yes he was, he was, ooh, yes he was (yes he was)
Oui il l'était, il l'était, ooh, il l'était (oui il l'était)
How well I remember
Je ne me souviens que trop bien
The look that was in his eyes
Du regard qu'il avait
Stealin' kisses from me on the sly
Me volant des baisers en cachette
Takin' time to make time
Laissant le temps au temps
Tellin' me that he's all mine
Me disant qu'il m'appartenait
Learnin' from each other's knowin'
Apprenant l'un de l'autre
Lookin' to see how much we've grown and
Contemplant combien nous avons évolué
The only one who could ever reach me
Le seul qui a pu m'atteindre
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
The only boy who could ever teach me
Le seul garçon qui a pu m'apprendre
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
Yes he was, he was, oh yes he was
Oui il l'était, il l'était, oh, oui il l'était
(The only one who could ever reach me)
(Le seul qui a pu m'atteindre)
He was the sweet - talkin' son of a preacher man
Il était le fils du pasteur, il parlait gentiment
(The only boy who could ever teach me)
(Le seul qui a pu m'apprendre)
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
(The only one who could ever reach me)
(Le seul qui a pu m'atteindre)
Was the sweet - talkin' son of a preacher man
C'était le fils du pasteur, qui parlait gentiment
En savoir plus sur https://www.lacoccinelle.net/254289-aretha-franklin-son-of-a-preacher-man.html#ygi4UeY7pMQ5Tz1f.99
traduction de la chanson «Look Away (Ft. Steve Grand)»
Détourne les yeux Ne me regarde plus
I’ll never touch your body again
Je ne toucherai plus ton corps
We gave it our all, but this is the end
Nous avons tout donné, mais c'est la fin
So we say that we tried
Alors on dit qu'on a essayé
Watching you fade, I know it’s goodbye
Je t'ai vue disparaitre, je sais que c'est adieu
But I can’t look away from you
Mais je ne peux détourner mon regard de toi
I can’t look away
Je ne peux détourner les yeux
I’m trying to face the truth
Je tente d'affronter la vérité
From the mess that we made
Du gâchis qu'on a créé
So we say that we tried
Alors on dit qu'on a essayé
But I can’t look away from you
Mais je ne peux détourner mon regard de toi
I can’t look away
Je ne peux détourner les yeux
I miss watching you sleep
Te voir dormir me manque
Your scent on my sheets
Ton parfum dans les draps
Such a bitter-sweet, beautiful mind, haunting my dreams
Un bel esprit si doux-amer, qui hante mes rêves
So I know you’ll be fine, say “it’s alright”
Alors je sais que tu iras bien, dis "tout va bien"
Watching you fade, cause this is goodbye
En te regardant disparaitre, parce que c'est un adieu
But I can’t look away from you
Mais je ne peux détourner mon regard de toi
I can’t look away
Je ne peux détourner les yeux
I’m trying to face the truth
Je tente d'affronter la vérité
From the mess that we made
Du gâchis qu'on a créé
So we say that we tried
Alors on dit qu'on a essayé
But I can’t look away from you
Mais je ne peux détourner mon regard de toi
I can’t look away
Je ne peux détourner les yeux
I’ll be okay, are you okay?
J'irai bien, est-ce que tu vas bien?
Thinkin’ about the way that we left this
En repensant à la façon dont nous quittons tout cela
Will I grow to regret it
Vais-je grandir en le regrettant
Watching you fade
Te regardant disparaitre
I know it’s goodbye
Je sais que c'est un adieu
But I can’t look away from you
Mais je ne peux détourner mon regard de toi
I can’t look away
Je ne peux détourner les yeux
I’m trying to face the truth
Je tente d'affronter la vérité
From the mess that we made
Du gâchis qu'on a créé
So we say that we tried
Alors on dit qu'on a essayé
But I can’t look away from you
Mais je ne peux détourner mon regard de toi
I can’t look away
Je ne peux détourner les yeux
En savoir plus sur https://www.lacoccinelle.net/1095164.html#FDjW9FC93w1dKdWo.99
comme Aznavour il a su le dire sans le vivre :
je 'bénis' le ciel de m'avoir fait malade de ce 'mal' dont parle cette chanson, très tôt dans ma vie CG
Frustrés, floués par nos amitiés, nos crushes nos désirs mais leurs vies sont à eux, on respecte !
eux ? la musique leur suffit pour orgasmer. Ca se voit ! :
20 minutes : Délicatesse ou problème avec ça ? Laurent Delahousse aurait été très gêné en essayant d'aborder la sexualité d'Eddy de Pretto
Après avoir discuté avec Stromae de son absence et de ses problèmes de santé dans "19h le dimanche", Laurent Delahousse a reçu dans "20h30 le dimanche" Miou-Miou et le chanteur très à la mode Eddy de Pretto. De la sortie de son EP, Kid, en octobre, à sa nomination parmi les révélations scène aux Victoires de la musique, il est rapidement entré dans les radars médiatiques.
Alors que le jeune artiste entame une tournée pour accompagner la sortie de son premier album Cure, il est revenu sur son parcours sur France 2.
Pendant l’interview, Laurent Delahousse n’a pas semblé toujours très à l’aise pour aborder la sexualité de son invité et sa relation avec la masculinité. Si Eddy de Pretto n’a jamais caché son
homosexualité, le journaliste a eu de grosses difficultés à choisir ses mots.
« Il y en a beaucoup, comme vous »
« Il y a ces phrases dans Ma mère, dans Kid, vous dites : "Chez moi, je dansais sur les Spice girls, mais une fois dans la rue je brûlais des poubelles". Ça veut dire que la vie dans les quartiers interdit d’afficher ses sensibilités ? Un homme doit être comme ça, le torse bombé », lui demande Laurent Delahousse. « Il y en a beaucoup, comme vous, qui souffrent de ne pas pouvoir être libres de leurs sentiments, de leur façon d’être ? », prenant toujours soin de contourner le sujet.
Et les tournures de phrases du journaliste n’ont pas manqué d’agacer, voire de gêner, certains téléspectateurs (bof bof)
Eddy de Pretto: «Mon album "Cure" a été fait sans pudeur et peut mettre un peu le malaise»
MUSIQUE Eddy de Pretto, qui s’est fait remarquer ces derniers mois avec ses morceaux « Fête de trop » et « Kid » publie son premier album, « Cure », ce vendredi. « 20 Minutes » a rencontré ce jeune artiste qui refuse les étiquettes…
2017 :
Eddy de Pretto, en octobre 2017. — JOEL SAGET / AFP
- Le premier album d’Eddy de Pretto, Cure, sort ce vendredi.
- Cet artiste s’est fait remarquer l’an passé avec son premier EP contenant entre autres les chansons Fête de trop et Kid. Son style musical navigue entre rap et chanson française.
- Eddy de Pretto confie à 20 Minutes que son album a été fait « sans censure, de manière très décomplexée ».
« Est-ce que j’ai peur d’être l’artiste de passage ? Un peu, peut-être. Mais c’est déjà mieux que d’être celui d’un seul single. » Eddy de Pretto sourit, installé sur la banquette d’un bistrot parisien où il fait une halte au beau milieu d’un mercredi surchargé en interviews. Quelque chose nous dit que cet artiste-là ne fera pas que passer. De la sortie de son EP, Kid, en octobre, à sa nomination parmi les révélations scène aux Victoires de la musique, il est, du haut de ses 24 ans, rapidement entré dans les radars médiatiques et les playlists du public. Son physique atypique s’imprime dans les regards quand ses mots caressent autant qu’ils claquent les tympans.
Ses influences se baladent de Barbara et Nougaro – qu’écoutait sa mère – à Diam's et Booba – qui rythmaient le temps passé avec ses potes dans son quartier de Créteil (Val-de-Marne). Sa musique navigue entre rap et chanson française, quitte à perturber ceux qui, les journalistes en premier, aimeraient lui accoler une étiquette. « Mettre dans une case, ça rassure », balaye Eddy de Pretto, qui refuse de se soumettre « à un carcan ou à un moule : on est dans une ère où on essaie d’aller vers des choses inédites en piochant à droite à gauche. »
« Si mes parents détestent ce que je fais, c’est que j’aurais touché une certaine réalité »
Il publie ce vendredi son premier album, Cure. Un titre choisi pour sa sonorité. « J’aime bien ce mot, parce qu’il n’est pas joli, il titille un peu l’oreille, explique-t-il à 20 Minutes. Et cet album, il écorche un peu. Il a été fait sans pudeur, sans censure, de manière très décomplexée, très sincère et, parfois, il peut mettre un peu le malaise. »
On pense immédiatement à Mamere. Un morceau empreint d’une affection sourde, cachée sous une prose cinglante adressée à celle qu’il promet d’appeler un jour « maman ». « On n’est pas obligé de s’entendre avec ses parents. Je les aime beaucoup, mais on parle peu de ma création. C’est comme ça. La chaleur, chez nous, c’étaient les dîners devant la télé, il n’y avait pas de conversation, pas de câlins », confie Eddy de Pretto, assurant qu’« il n’y a pas de manque ». « Je ne cherche pas à savoir ce qu’ils pensent de mon travail. Si mes parents détestent ce que je fais, c’est que j’aurais touché une certaine réalité, ce qui me plaît parce que je pense qu’ils n’ont pas envie de cette impudeur. »
Au fil des morceaux, le fils prodigue déplie des bouts d’intimité. « Il faut que quelque chose puisse me remuer à l’intérieur pour ressortir sur le papier. C’est pour cela qu’aujourd’hui je ne me sens pas d’écrire pour quelqu’un d’autre ou de faire semblant. J’ai besoin de vécu. » Aussi, le titre Normal, dans lequel il assène qu’il est « complètement banal », lui a été inspiré par un garçon qui, un soir, a balancé, à lui et à ses amis : « Vous êtes pas normaux » « J’ai voulu traiter cette phrase avec ironie. On est toujours le "pas normal" ou le "pas assez normal" d’un autre. J’y ai répondu [dans la chanson] de manière tout aussi intrusive et agressive en reprenant ses codes de langage. »
« Je n’ai pas fait "Cure" en me disant que ça allait être un album LGBT »
Il évoque aussi ses « amants de passages », ses palpitations et désillusions sentimentales. « Je ne parle pas de mon homosexualité, je raconte mes histoires qui, certes, sont des histoires homosexuelles. Pour Doc Gynéco, c’est Vanessa, pour Damso, c’est Sabrina, pour moi, c’est Jimmy », lance-t-il avec le sens de la formule. Il dit n’avoir « jamais eu à cacher [son] homosexualité » et que son orientation sexuelle n’est pas un sujet. « Pour moi, c’est la banalité. Je n’ai pas fait Cure en me disant que ça allait être un album LGBT, aux couleurs du drapeau gay et le mettre en avant. »
Eddy de Pretto refuse de porter un quelconque étendard. Même quand on lui signale qu’un morceau comme Kid, qui s’attaque magistralement à la masculinité toxique a trouvé un écho chez beaucoup d’hommes subissant l’injonction à être viril, il répond avec un certain recul : « Je fais mes chansons, je raconte mes histoires, si ça peut faire bouger les lignes, répondre à des mouvements, être des hymnes pour certains, tant mieux. »
« Sur scène, j’enlève tous les masques »
S’il y a un mystère De Pretto, Desmurs est peut-être le morceau qui permet de mieux le cerner. « Moi, j’ai grandi dans l’attitude où l’on fait style avec ses doigts. C’est de là tout mon côté rude, ma carapace sur ce minois », chante-t-il. « J’ai joué toute ma jeunesse, à être le caïd. J’ai dû me forger comme ça. Je n’avais pas d’autres références, c’était comme ça qu’il fallait être et j’avais envie d’être intégré », précise-t-il à 20 Minutes.
Alors que b ien des artistes se composent un personnage pour entrer en scène, lui, ferait presque l’inverse. C’est quand il est sous les projecteurs, face au regard du public qui « [le] rassure », qu’il serait le plus lui-même. « La scène, c’est l’endroit où tu es protégé. J’enlève tous les masques, je raconte cette vérité enfin que j’ai dû dissimuler. Je n’irais pas, par exemple, raconter mes histoires place de la République. Là-bas, je mets bonnet et capuche, je fais profil bas. » Ce qui ne l’empêche pas, derrière son masque, de garder la tête haute.
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