1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Dimanche 25 août 7 25 /08 /Août 05:58

 

 

 Résultat de recherche d'images pour "gif wolf who drools" Métier, déontologie oblige, Monsieur Lepage, le prof' de gym,  a su résister à déguster les confitures ...quelques années après, dans une partouze, il retrouve un garçon devenu adulte et maintenant en pleine possession de sa liberté. Le désir est toujours là...  Résultat de recherche d'images pour "gif wolf who drools"

 

Résultat de recherche d'images pour "gay horny gym teacher coach correcting his dressed teen boys students position"  — Alors, dites-nous ce que vous attendiez de moi quand j'étais votre élève?

  Image associée — Pendant tes années de quatrième et troisième, tu as été mon élève. Je n'avais d'yeux que pour toi car tu étais de loin le plus beau! Chaque semaine, je vivais pour les quatre heures que tu allais passer avec moi et chaque soir, je me vidais les couilles que j'avais douloureuses d'avoir bandé pour toi! J'espérais chaque fois que tu porterais la tenue que je préférais: un short-jeans gris très court et moulant et un slip en coton blanc.

    

Résultat de recherche d'images pour "photos de garçons lycée agrès et gym au sol"

  Je maudissais les jours de mauvais temps et certaines activités qui nécessitaient un survêtement. Je m'arrangeais pour faire pratiquer les agrès et la gym au sol. Je pense que tu as remarqué combien je m'occupais de toi?

 

 

— Oui! Chaque fois qu'il fallait parer un mouvement ou modifier une position.

  — Je guettais ton entre-cuisses et j'étais heureux quand l'écartement imposé me laissait voir ton slip et quelquefois une couille. J'étais ravi d'examiner tes belles cuisses fines et dorées sortant de ce short, révélant parfaitement tes formes sexuelles. Le meilleur a été atteint le jour où je t'ai suspendu à la barre fixe. Le contact, à même la peau tant ton tee-shirt était remonté, de tes hanches bronzées et fines, a déjà été merveilleux mais le plus formidable s'est produit après. 

Quand lors de petites compétitions je vous transportais et vous vous changiez dans ma voiture quel doux supplice de ne devoir rien toucher de vos trésors 

 

 

  Résultat de recherche d'images pour "VOYEUR IN BOYS SCHOOL LOCKER ROOM" et en particulier, des fois je vous emmenais dans ma voiture sur des lieux de petite compète. Et là mon désir s'exarcerbait...ça me faisait autant de mal que de bien de vous, de te mater.  

 

Résultat de recherche d'images pour "gif barres parallèles Tu as accroché une jambe et par un mouvement de balancier, avec l'autre jambe tu as essayé de monter ton corps sur la barre"     j'adore ce flou... ! 

 

Tu as accroché une jambe et par un mouvement de balancier, avec l'autre jambe tu as essayé de monter ton corps sur la barre. Je t'ai bloqué la jambe en arrière, en prétextant qu'elle n'était pas assez tendue et j'ai profité de la vue que tu m'offrais sans le savoir: ce n'était pas une couille qui sortait de ton slip ecarté mais carrément ta jolie bite entièrement recouverte d'un prépuce plissé à son extrémité! Que j'aurais aimé repousser cette peau si fine pour faire apparaître ton gland si frais!

— Je m'en souviens! J'ai senti comme un courant d'air dans mon slip!

— C'est exact! À défaut de toucher, pour te taquiner en secret j'ai soufflé sur ce que j'ai vu de plus beau dans ma vie; c'était ainsi comme une sorte de contact!

— J'aurais dû vous la donner, ma queue!

— Je n'avais pas le droit de te toucher... Quoique je l'ai fait à plusieurs reprises... très furtivement. Par exemple, pour te faire rentrer le ventre pendant un exercice, je posais ma main sur ton ventre et je poursuivais le mouvement plus bas en effleurant ton paquet. J'ai réussi à regarder tes poils: pour assurer une parade, en tirant sur la ceinture de ton short, j'avais attrapé, à pleine main et en même temps celle de ton slip; j'avais ainsi une magnifique vue sur une jolie toison naissante et si blonde!

— Oui! Mais maintenant je suis épilé!

— J'ai aussi respiré ton haleine en approchant mon nez et ma bouche lorsque tu étais essoufflé. Que c'était excitant!

— Et le soir, vous vidiez vos couilles en pensant à moi!

— En tout, ça fait des litres, rien que pour toi!

— Que de gâchis! J'aurais pu prendre tout ça dans la bouche, sur le ventre ou dans le cul, plutôt que de gicler ça dans les chiottes, sur vos draps ou sur un mouchoir.

— Dommage que tu n'aies pas ici de slip et de short et qu'il n'y ait pas d'agrès! Nous aurions pu reproduire toutes ces années collège! Mais, j'y pense! Que dirais-tu de venir un jour chez moi? J'ai tout ce qu'il faut pour refaire cette gymnastique et pour aller au bout de mes pulsions: une barre fixe, un cheval d'arçon, un tapis de sol et un sling sont là pour satisfaire mes besoins. Si Julien aime le sport, il sera aussi le bienvenu! Je ne vais pas rater l'occasion de jouer avec deux corps aussi beaux et aussi disponibles! Alors d'accord tous les deux?

— Avec joie! Sans hésiter et, le plus tôt possible! répond Julien vraiment intéressé par cette nouvelle perspective de plaisirs.

— Dimanche prochain, 14h? Maxime, tu connais mon adresse?

— OK! Sans problème!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par JANO - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 9 juin 7 09 /06 /Juin 07:31

  C'est bien connu : "le jeu du petit cochonnet se joue à trois"-lol-...le projet vient de Julien qui aime bien lancer des défis : à la fois dévierger Maxou et, pour une première, faire accepter à son petit trou, l'énorme queue de Riquet

 

Ouais !!!!!

Cavaillongay dédie ce roman photo composé dans ses 'labos' à tous nos jeunes visiteurs , sans oser entrer, sans oser franchir le pas, encore sur le pas de la porte  

  •  de notre blog 
  •   de leur hésitation bien compréhensible
  •  de leur envie pourtant irrépressible,
  •   de la VIE libre qu'il faut étreindre à plein bras 

Ouvrez les bras, les cuisses, vos trous du cul à vos amants pleins de désir !   

  • Image associée

 Les "petits" cavaillonnais à peine majeurs, comme Maxou,  vont se donner à leur(s) actifs comme des reines !

Bisous à tous ! et bonne bourre !  

Je vais encore recevoir des e-mails de menaces de la

 

 bienpensance et des culs serrés cavaillonnais. Paix à

 

leurs âmes tourmentées : ils auront l'enfer qu'ils

 

 méritent ! !   

 

   En regard du petit trou de Maxou, l'énorme queue de Riquet est un inimaginable engin de plaisir mais aussi de...douleur et ça rend Julien 

tout pensif.  

Résultat de recherche d'images pour "porn gay twink guides penis into another guy's butthole"

  et cela se mue en un adorable complot : faire rentrer le gros engin de Riquet dans le tout aussi adorable cucu de Maxou. 

  Comme Maxou s'est endormi, il ne se doute de rien et Juju'se confie à l'oreille de Riquet : 

Résultat de recherche d'images pour "mouth to ear twinks"

«je veux que tu le baises et que ça rentre à fond et surtout qu'il n'aie pas mal et que ça le fasse jouir à mort »

Image associée - Moi je veux bien mais quant à ne pas avoir mal... il aura mal, tu crois pas ? !

 

  Image associée - On va abondamment le lubrifier et je tiens à t'aider à la lui rentrer  hummmmhhhh, voir ça en 'gros plan' quand ça rentre !  

 

Image associée Julien les aime tous les deux, mais il a une tendresse particulière pour Maxou le plus jeune et le plus innocent d'entre eux, juste majeur. 
 
Image associée Ah si tout en étant baisé, Maxou pouvait ajouter à ses rêves la scène que les deux filous ont en projet  ! et donc dormir et jouir à la fois 
Image associée quand il va sentir ta bite sur sa joue il va passer d'un rêve dans l'autre !
Image associée ça n'a pas loupé : Maxou, lui-même, a lâché ses fringues et a commencé à s'exciter Image associée Ils aiment le voir comme ça, assoiffé e plaisirs masturbatoires donc il attend qu'on le caresse, le branle, le suce Image associée -Tu t'es déjà fait prendre, on le sait, mais moi j'aimerais que Julien te prenne Image associée - Julien ?  C'est gros, je vais pas y arriver ! J'aurai trop mal. -T'en fais pas, tu auras pas mal on va t'aider. Mais toi, tu as envie ? - Ben j'ai envie, c'est sûr et j'aimerais pouvoir le faire avec les gros calibres, être bien rempli  ! Résultat de recherche d'images pour "porn gay twink guides a friend penis into another guy's butthole" - N'aie pas peur on sait arranger ça. Trop gros c'est juste dans la tête ! Tkt, pour être rempli tu vas l'être et, si tu es d'accord on te baise à cru et après moi Julien va te spermer aussi. Tu es content ?    
Résultat de recherche d'images pour "porn gay twink guides a friend penis into another guy's butthole" C'est vrai que sur le moment il va douter le pauvret ! Excite-toi mon petiot lui dit Riquet pour le rassurer, tu vas voir, ça va rentrer tout seul, tu vas jouir et t'auras pas mal ! On sait qu'il pense le contraire, mais il va de l'avant comme Julien lui a demandé. 
Image associée -Suce, suce Maxou! Vous allez rigoler, mais "l'appétit vient en mangeant" comme on dit et tu as tellement envie que tu vas voir que ton petit trou s'écarte tout seul à l'approche de la bite !Image associée Sans crainte nous laissons voir à Maxou notre complicité : un vrai partage à trois de son deuxième dépucelage  

 

Image associée Maxou meurt d'attente et d'envie ! C'est vrai qu'on n'y est pas pour rien dans sa mise en condition !     

 

Image associée  On le sait, la suce décuple les envies de se faire enculer par plus gros que jamais auparavant ! C'est le moment décisif et leurs trois coeurs battent à donf, et, on imagine, au même rythme. Et c'est bien ! sinon, pourquoi on le fait hein ?  juste pour une vie un peu plus goûteuse, dosée à l'adrénaline et à leurs testostérones !  

 

 

Image associée Julien multi plie les caresses et les doigtages qui ne peuvent que rassurer leur Maxou Chéri !  

 

Résultat de recherche d'images pour "threesome men one huge cock needs hand support to fuck a bottom"  Ayé ! comme vous pouvez voir le polichinelle est dans le puits d'amour de Maxou et ce dernier n'a pas mal puis qu'il gémit de (grand) plaisir  

Image associée Et la suite est naturelle, pleine de joie partagée

 

Image associée Comblé, spermé en double, Maxou exulte de la même joie que les deux complices. Ils sont comme les trois mousquetaires qui, dans le feu de l'action, sont devenus quatre !  

 

 

Notes et commentaires :


  cavaillon n'a pas, bien sûr, l'exclusivité des jeunes et folles amours ! mais...  Résultat de recherche d'images pour "porn gay missionary open your arms and thighs and butthole welcome the cock"   Maxou désormais bien benoîtement heureux !  

 

  C'est vrai que les grosses bites cavaillonnaises....

Résultat de recherche d'images pour "porn gay missionnaire ouvre les bras, les cuisses, le trou de ton cul à l'homme et à la bite"   Image associée Image associée  Image associée 

 

Image associée  Image associée  y compris beurs qui ne sont pudiques que du visage-lol- Image associée  mais, sans prétention,   les bonnes queues de nos actifs cavaillonnais vont les faire hésiter un (court) instant ...et quel plaisir à se donner...allez les jeunes mecs, si on vous le dit ! Et rassurez vos mamans : ça ne vous empêchera pas de faire des enfants à vos femmes et de faire d'elles des grands màres heureuses d'avoir des petits enfants qui...à leur tour,...hihi...dans le monde la baise est et sera sans fin

 

  IEM gay

  Ben tu caches ton visage mais on a plus envie de voir ta bite que ta gueule, alors...

 

C'était l'adorable défi : à la fois dévierger Maxou et, pour une première, faire accepter à son petit trou, l'énorme queue de Riquet sans, pour autant, négliger les sentiments qui vont les unir tous les trois.

 

 


 

commentaire :

 

 

  Mets-toi un vibro dans le cul pour m'écrire

 Aucune description de photo disponible. claudemodou@gmail.com       Image associée

                                                                                                                               à la tienne ! CM

Par R&D CAVAILLONGAY - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 2 juin 7 02 /06 /Juin 00:33

  Moi Maxime, en terminale BTS.1m78, 65 kg, châtain mi-long, un peu bouclé. On me trouve souvent mignon J’ai 23 ans,  Je repique ma dernière année et dois changer de stage, car ça s’est mal passé l’année dernière. Comme je ne suis pas d’origine agricole, je me suis adressé aux jeunes agriculteurs de la confédération paysanne pour chercher un stage. J’ai eu une proposition dans la Manche. C’est joli, mais très isolé… Je n’ai pas le choix, je prends. L’agriculteur n’a encore jamais pris de stagiaire, car il vient de s’installer. Dommage, car lorsqu’on a des rapports précédents, on repompe un peu dessus, c’est pratique !

          1  DEBUT  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_a-la-ferme-01.php

                          2  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_a-la-ferme-02.php

                             3   https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_a-la-ferme-03.php

 

Non malheureux ! ne faites pas ça :

 

Résultat de recherche d'images pour "gif homme enculé au nutella"ça gaspille le nutella !

 

Romain a dit à Pascal :  - j’ai préparé un jeu. On peut faire ça quand ?
Pascal : ce matin il y a du travail. En début d’aprèm après le déjeuner ? Ça va ?
Moi, Romain : OK, aller, au boulot
On bosse toute la matinée, on déjeune, chacun impatient du jeu. Café rapide. Puis on va dans sa salle de jeu/fête : une grande pièce au rez-de-chaussée qui ne sert que lorsqu’il y a du monde ou pour jouer au baby, ou autre.
Romain : Pascal ; je t’explique : tu ne dois porter que 7 vêtements. Par exemple chaussure chaussettes (=4), caleçon bermuda (=6) et t-shirt (=7). Tu es OK ?
Pascal : oui, attends-je compte, oui ça va. La montre, ça ne compte pas ?
Moi, Romain : non ça compte pas
Pascal : et tu as quoi dans ton sac de courses ?
Romain : tu verras bien… Attends un peu, branleur !
Pascal : tu me cherches ??? Fais gaffe ! Allez montre, ne fait pas le bâtard…
Romain : je suis inflexible, comme certains de nos organes à certains moments…
J’explique le jeu : on va tirer pile ou face et dès que tu gagnes tu me vires une fringue, celle que tu veux. Puis c’est à mon tour. OK ?
Pascal : OK p’tit bâtard !
Lui : m’enlève mon t-shirt
Lui : m’enlève mon bermuda
Moi : enlève son bermuda
Lui : enlève mon caleçon. Ça y est tu es le premier la bite à l’air…. Alors bâtard ou pas ???
Moi : enlève son caleçon. Égalité pour les bites à l’air ! ! !
Moi : enlève son t-shirt. Il est à poil sauf les pieds.
Moi : une chaussure
Lui : une chaussure
Lui ; une chaussette
Moi : autre chaussure
Moi ; une chaussette
Moi dernier vêtement la chaussette
Lui : une chaussette
Lui dernière chaussette

On est tous les deux à poil, évidemment en érection.
Pascal : bon tu l’ouvres maintenant ton sac poubelle ?
Romain : oui, une minute. Regarde : du Nutella et du lait concentré.
Pascal : super, j’adore pour le gouter quand je crève la dalle.
Romain : oui si tu veux, mais je te propose le jeu suivant :
– Je m’en mets sur le corps et ensuite tu viens lécher ce que j’ai mis, ou bien, seconde option, tu t’en mets sur ton corps et je viens lécher où tu l’as mis. Ça te dit ?
Pascal : carrément gore, le lait, on dirait du sperme et le Nutella de la merde. Mais c’est super excitant aussi… En plus je suis gourmand de cette bouffe… et de toi !
Romain : bon je commence par mon truc favori.

J’ouvre le tube de lait concentré, je prends ma bite, je tire le prépuce, mets le tube dedans et presse. Il se remplit de lait concentré. Je pince le prépuce et masse pour l’injecter tout autour du gland, et c’est prêt : Tu lèches ou suces cette magnifique bite au sperme sucré !
Pascal : waouh… c’est géant ! On dirait du vrai, mais en telle quantité…
Il lèche, suce, relèche, il prend son pied. Décalotte mon gland plein de crème blanche jusqu’à la base, lèche, suce…
Pascal : trop bien, je me fais pareil et tu viens me sucer la bite !
Et c’est parti pour une autre bite au sperme concentré sucré…
Romain : maintenant Nutella. Je m’en mets dans la raie et tu viens me nettoyer.

 

Résultat de recherche d'images pour "GAY PORN CUL PLEIN DE MERDE"à s'y méprendre, bien sûr !  


Pascal s’approche : c’est crade on dirait vraiment de la merde.
Mais il commence à lécher et s’aventure dans une partie du jeune homme qu’il n’avait pas encore explorée : sa raie.

 

Résultat de recherche d'images pour "GAY PORN CUL PLEIN DE NUTELLA" 

 


Au début il lèche juste les lobes des fesses, de plus en plus la raie, puis écarte les fesses pour lécher au fond et, quel hasard arrive à sa rosette !
C’est une première pour Pascal de lécher cette partie. Il est encore timide…
Romain soupire de bonheur sous les léchouilles de Pascal…
Pascal : bon à mon tour, mais moi tu vas voir j’en mets aussi dans le cul, faudra venir le chercher. Il le fait, mais ce farceur remet ensuite son boxer et se le colle bien aux fesses…
Romain : c’est déguelasse, j’ai l’impression que tu as chié dedans et en plus je suis obligé de te nettoyer avec ma langue… mais pour finir je vais te faire une belle feuille de rose, cela ne se refuse pas !
Pascal : une quoi ?
Romain : feuille de rose, attend je vais te montrer quand j’aurais un peu éclairci la situation…..

On continue un moment ce jeu de débiles, puis je remets mon boxer, écarte devant et mets du lait concentré dedans dans les poils, au niveau de ma bite et sur le tissu, puis referme mon sous-vêtement moulant et lui dit :
J’ai joui dans mon boxer, nettoie ça !

 

Image associée

 


Pascal approche, regarde dans mon slip d’un air dégouté :
On dirait vraiment que tu t’es branlé dans ton calbut !
Il s’approche et lèche, suce,… Ça a même coulé jusqu’aux couilles. Il doit enlever le slip, bien le lécher, puis j’écarte les jambes et il nettoie bien mes chers testicules, dessous, entre mes jambes ! J’appuie sur sa tête et lui dis :
Comme c’est mignon, on dirait un chaton qui lèche sa maman
Pascal : fous-toi de moi ! Il se relève, me fout par terre sur le dos, écarte mes cuisses et continue à lécher.
Et maintenant on dirait toujours un chaton ?
Romain : non, maintenant un gros iench qui ronge son os…
Je suis tordu de rire, car cette andouille en plus me chatouille avec sa langue : sous les couilles entre les jambes, je suis très chatouilleux…
On continue par des choses classiques, mais aussi l’intérieur des oreilles, les pieds, nombril, sous les bras, sur les lèvres, sur les poils du torse, le bout du nez…
Si bien qu’à la fin du jeu il n’y a pas un seul endroit où j’aurais voulu le lécher ni un seul où j’aurais voulu être léché… il n’a plus non plus ni lait concentré, ni Nutella !
Pascal : bon, on va se doucher avant de bosser.
Romain : OK, mais, si on se lavait au jet d’eau dans ta laiterie, comme tu m’avais fait le jour de mon arrivée ?

Quelques minutes plus tard, on retrouve nos deux bonobos à poil dans la laiterie en train de s’asperger et se chamailler, arracher le tuyau d’eau des mains de l’autre pour l’asperger partout, essayer de le foutre dans le cul de l’autre ! ! !

Voilà pour cette fois. Faites-moi part de vos remarques ou juste un mot de retour. C’est tellement motivant…
Vous pouvez influencer la suite des récits !

Stephane alias cheval sauvage2 a mis plusieurs épisodes de suites à ces trois moments de sa vie de beau JH !Résultat de recherche d'images pour "GAY# porn CUL GAY AU nutella"

 

Image associée   Résultat de recherche d'images pour "GAY# porn CUL GAY AU nutella"

                                                                          à essayer à deux bien sûr

 

Résultat de recherche d'images pour "GAY# porn LECHER UN CUL GAY ENDUIT AU nutella" heureusement c'est du nutella et c'est bon !

 

Image associée je m'en lasserais plus !

 

 

 

Résultat de recherche d'images pour "GAY porn BITE AU nutella"  La bite au nutella vraiment facile !Résultat de recherche d'images pour "GAY porn BITE AU nutella"  nutella vous met sens dessus-dessous !   d

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Putain ! Moi j'y crois pas

à vos cochonneries !  

 

Par ROMAIN - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 7 mai 2 07 /05 /Mai 09:39

  J'étais alors surveillant dans un foyer de lycéens professionnels. Mes élèves allaient de 18 à 27 ans. J'ai eu à surveiller de tout : petits et grands, etc...

I

 

 

 

 

  Surpris je pensai alors au Cid que j'ai appris par coeur en 5e : «Mes pareils à deux fois ne se font point connaître et pour leurs coups d'essai veulent des coups de maître !» -lol- 

  Lire le texte de  Nico76500  de Aà Z :

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-surveillant-internat-01.php

 

Tout d'abord, je me présente : je m'appelle Frédéric, j'ai 25 ans, je mesure 1m85 pour 62 kilos, les cheveux châtains courts et les yeux bleus/gris. Je ne suis pas une bombe de beauté mais je me débrouille plutôt bien...
[...]
J'étais alors surveillant dans un foyer de lycéens professionnels. Mes élèves allaient de 18 à 27 ans. J'ai eu à surveiller de tout : petits et grands, gros et maigres, bruns et blonds, etc.
Dans ma chambre j'eus l'agréable surprise d'y trouver Ludo qui s'était endormis sur mon lit. Il avait l'air d'un ange. Il était précisément sur le dos, habillé d'un seul boxer noir. Je m'asseyais à côté de lui pour le regarder lorsque la tentation s'empara de moi. Je résistais comme je pouvais, car la situation n'était pas sans risque surtout que Ludo  m'avait avoué qu'il avait le sommeil très lourd mais la tentation était trop grande.
Ainsi ma main gagna-t-elle son torse qui s'offrait à moi dans toute sa splendeur. Tout doucement, mais sûrement, je lui caressais désormais le téton gauche.
Je sentais alors un léger duvet qui était particulièrement agréable au toucher.
Comme il ne réagissait pas, je poursuivais mon exploration interdite en passant au sein droit puis en descendant, toujours doucement, vers des abdos qu'il avait saillants.
J'étais dans tous mes états comme vous pouvez l'imaginer !! Je le massai ainsi pendant quelques minutes, jusqu'à ce que mes doigts atteignent le fameux et bien mal nommé "Chemin des Dames", fin filet de poils pubiens qui annonce des plaisirs voluptueux...
Une lutte s'engagea de nouveau en moi entre ma raison qui me disait d'en rester là et de le réveiller pour qu'il rejoigne sa chambre, et mes hormones qui me commandaient de poursuivre vaille que vaille.
N'étant qu'un faible être humain, les secondes l'ont bien évidemment emporté !!
Ainsi mes doigts glissèrent vers son boxer jusqu'à ce que je sente son pénis puis ses testicules.
Ma main était désormais toute entière sur son sexe que je malaxais amoureusement. Soudain, je sentis que sa verge prenait du volume, mes caresses lui faisaient visiblement de l'effet.
En un instant, je vis un joli barreau se dessiner sous le boxer. C'était plus que je ne pouvais en supporter.
Craquant complètement, je me mis face à lui, entre ses jambes, pour lui embrasser la verge au travers du tissu.
Toujours très doucement, je m'emparai alors de son boxer pour le lui descendre, laissant apparaître un gland bien rouge surmonté d'une goutte de précum. Image associée
Son sexe à l'air, je me mis à lui lécher la hampe pour remonter vers le gland que j'engloutis en un instant. Il ne disait toujours rien...
Sa bite était chaude, douce et sentait vraiment bon. Ainsi me suis-je mis à la dévorer !!
Je commençais donc des va et vient lorsque je sentis une main se poser sur mon crâne. Il s'était réveillé !!!!
Bien loin de m'arrêter, il me commanda de continuer en m'appuyant sur la tête. Je ne me fis pas prier !!
Il poussa alors quelques gémissements puis, en un éclair, ma gorge fut aspergée par 5 ou 6 jets de sperme légèrement sucré.
Lorsque je me relevai, j'étais très gêné car j'avais tout de même abusé de lui. Je fus vite réconforté lorsqu'il m'embrassa à pleine bouche en même temps qu'il me caressait le sexe à travers mon pantalon. Je n'en croyais pas mes yeux, ou du moins ma bite !!
Lui qui était si prude m'étonnait grandement. Il me demandait de me coucher pour me rendre la pareille.
Afin de lui faciliter la tâche, je me déshabillai entièrement. Je ne pouvais plus revenir en arrière désormais...
Il m'embrassa d'abord le nombril puis descendit vers ma queue qui n'en pouvait plus !! Il me dit alors très innocemment que c'était la première fois qu'il suçait un mec.
Je le rassurai en lui disant que ce n'était pas difficile, sachant qu'il devait simplement faire attention aux dents...
Je sentais alors sa langue s'emparer de mon gland puis de ma hampe qu'il avala d'un coup. C'était exccccceellllent !!!!
Il me suça pendant quelques minutes puis s'arrêta net à ma grande surprise... Je me dis qu'il n'aimait peut-être pas et désirait s'en tenir là.
En fait, il me demanda simplement de... le prendre !!!
Il désirait en effet en connaître les sensations.
Je lui dis donc de se mettre sur le lit à 4 pattes en écartant bien les fesses. Je lui embrassais alors le cul, qu'il avait bien musclé, pour m'attaquer ensuite à sa rosette.
Ma langue la fouillait dans tous les sens, ce qu'il apprécia grandement car il se tortillait en poussant de petits gémissements roques.
Ceux-ci s'intensifièrent quand je me mis à le doigter.
Son anus se dilata ainsi suffisamment pour que je commence le travail.
Je me mis donc un peu de gel sur ma bite et dans son cul. Craignant qu'il ne crie lors de la première pénétration et qu'il n'alerte les 4 autres, je le mis en garde et lui conseillais d'étouffer ses possibles sons.

Première fois ? Vrai ou faux ils ont pris chacun le meilleur ! La douleur? Même pas peur, même pas l'ombre d'un doute, Un miracle, quoi ! C'est comme quand les gays ont peur de mon diamètre et que je leur dis que souvent leurs étrons sont plus gros qu'une bite et, en chiant, ils n'ont pas si mal ! Et là Ludo se l'est pris comme une reine... ! Lio

 

L'entrée ne fut pas trop difficile car je l'avais bien travaillé. Mais il eut tout de même mal et me demanda d'attendre un peu.
Je le réconfortais en lui disant que la douleur finirait par laisser place au plaisir, ce qui se produisit très vite.
Son trou était délicieux car juste à la bonne taille de ma bite (qui fait environ 20 cm contre 21 pour la sienne, soit dit en passant) et particulièrement chaud et humide. Je me régalais, au point d'en oublier le reste et de le pilonner maintenant à fond.
Plus je forçais, plus je l'entendais crier :
"C'est bon", "continues", "enfonces moi", "j'adore ta queue" !!!
Je lui pris alors le sexe pour le branler car il avait repris de la vigueur sous mes coups de butoir... Il était tellement en extase qu'il me vint dans la main en quelques secondes, poussant un long soupir de plaisir.
Il n'en fallut pas plus pour que je lui  remplisse le cul de 7 jets de liquide séminal bien visqueux...
Je me retirais alors de lui et, de nouveau à ma grande surprise (c'est incroyable de voir à quel point certains peuvent changer du tout au tout quand il est question de sexe !!!), il se retourna, puis me lécha le sexe avec gourmandise.
Bien que je débandais progressivement, ce qui n'était pas son cas, il recommença à me sucer, jouer avec mes couilles et mon anus qu'il titillait de sa main droite. Ses lèvres étaient devenues quasi expertes, au point que je bandais de nouveau.
Il quitta alors ma queue pour mes bourses puis chercha à se frayer un chemin vers ma rosette.
Comprenant où il voulait en venir, je lui facilitais le travail en écartant les jambes et en me mettant sur le côté puis sur le dos. Je sentais alors sa langue me pénétrer l'anus. Je vibrais tellement c'était bon !!
Il me mit ensuite un doigt, puis 2, puis 3. Je commençais à gémir.
D'un coup, il  m'enfonça son pieu sans ménagement. J'eus assez mal mais c'était si excitant de le sentir en moi.
Il me massa les fesses puis se mit à me pilonner avec vigueur en faisant des petits "aaahhh""". Je me serais cru dans un film x !!!!
Il m'encula pendant un bon quart d'heure avant de sortir de mon cul et de balancer tout son jus sur mon dos. Je jouis peu de temps après.
Il m'embrassa en me disant "merci" et partit aussitôt se coucher dans sa chambre.

Nico76500

 

 

 

 

 

 

 

Par Frédéric - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 6 mai 1 06 /05 /Mai 06:18

 


Image associée lui, Marc, un gentil étudiant  de bonne famille...

 


 Résultat de recherche d'images pour "porn gif young gay's face under absolute sexual pleasure" ..MANY.  À le voir aller, c’était une vraie râclure, un emmerdeur passé maître.  Les autres mecs l’enduraient parce qu’ils étaient tous à peu près aussi cons que lui.  Son petit ego de mâle dominant était trop enflé pour passer dans une porte : remarquez qu’il n’avait pas tout à fait tort.  Ce genre de mecs passent leurs journées au soleil à déplacer des charges, à travailler.  Ils sont tous bronzés, sveltes et pleins de muscles vigoureux.  Le travail semble augmenter leur taux de testostérone…  Bref, ils sont mignons à craquer et viriles comme des taureaux.  Alors, en avoir une dizaine, tous plus dénudés les uns que les autres, qui s’affairent dans votre court, c’est vraiment un supplice...

 

 

     http://www.cyrillo.biz/histoire/many.htm            Image associée 

 

-Ça t’en bouche un coin, hein?  C’est du gros calibre! Je commençais à haleter doucement de plaisir et d’anticipation.  J’étais dans un fol état de contemplation devant cette queue énorme et pleine de promesses

 

 

Résultat de recherche d'images pour "porn gif young gay's face under absolute sexual pleasure" c'est ça le deuxième dépucelage car Marc n'était pas puceau avant de se trouver sous la patte de ce Many  et faire un et plusieurs voyages au Nirvana 

 

Marc : -"À le voir aller, c’était une vraie râclure, un emmerdeur passé maître.  Les autres mecs l’enduraient parce qu’ils étaient tous à peu près aussi cons que lui.  Son petit ego de mâle dominant était trop enflé pour passer dans une porte : remarquez qu’il n’avait pas tout à fait tort.  Ce genre de mecs passe ses journées au soleil à déplacer des charges, à travailler.  Ils sont tous bronzés, sveltes et pleins de muscles vigoureux.  Le travail semble augmenter leur taux de testostérone…  Bref, ils sont mignons à craquer et virils comme des taureaux.  Alors, en avoir une dizaine, tous plus dénudés les uns que les autres, qui s’affairent dans votre cour, c’est vraiment un supplice.

Je me suis réveillé un de ces matins désinvoltes de l’été où on reste couchés tant qu’on peut.  Papa Maman sont partis depuis longtemps travailler et petite sœur et petit frère sont à leur centre aéré.  Il est onze heures, je descends, presque en rampant, les escaliers et je me traîne jusqu’à la cuisine.  J’ouvre le réfrigérateur et nonchalamment, je saisis le lait que je me mets à engloutir au goulot.  Et puis, soudain, on frappe à la porte.  Ça ma surpris, j’ai avalé de travers, je me suis étouffé.  Je me suis retourné vers les portes vitrées pour voir une grande forme sombre, un mec en contre-jour.

Imaginez…  J’étais debout dans la cuisine avec le carton de lait, avec seul mon slip débraillé laissant sortir la moitié de ma fesse droite, j’étais à peine sorti de mon érection matinale, j’avais les cheveux ébouriffés.  Pour couronner le tout, j’ai des coulées de lait sur le bord de la joue et quelques gouttes sur le torse et y a ce type que je connais pas qui vient frapper à ma porte.

MERDE.  C’est les types de la piscine…  J’avais oublié qu’ils venaient aujourd’hui.  Plusieurs auraient dit : comme il a l’air choux et sexy, mais moi, je me sentais vraiment con.  Alors, fallait pas rester planté là à rien faire.  La silhouette baraquée restait immobile.  Je me suis précipité sur un linge pour m’essuyer le torse et la bouche et j’ai décidé à aller répondre.  J’ai ouvert, pour me faire pénétrer d’une chaleur enivrante, une odeur de sueur assez forte, un sourire sardonique et des yeux séduisants d’un bleu méditerranéen.  C’était un des mecs de la piscine, barraqué, d’une trentaine d’années.

    Résultat de recherche d'images pour "mec baraqué yeux bleus" -Salut…  On vient pour la piscine…  On aurait besoin de « bande adhésive genre Weisse Gripp ».  Est-ce que t’as ça?

L’un des gars lui lança une phrase inintelligible et complice.  Il se retourna pour s’exclamer gutturalement et ils rirent tous un peu, discrètement.  Il avait parlé avec une suavité absolument folle, sa voix était très grave, mais rauque, très aiguisée.  Une voix si masculine qu’elle aurait pu mettre le monde entier à genoux…  Quand il se retourna, je me contentai de lui répondre.

            -Je pense que oui, je vais aller voir et je reviens.

J’ai refermé la porte pour couper ces effluves de luxures et je suis allé à la cave.  La fraîcheur me soulageait de leur intense présence.  J’ai cherché et puis j’ai trouvé ce que je cherchais.  Je suis remonté, je suis allé à la porte.  Et là, je reste une seconde dans l’ombre des rideaux.  Je prends une grande respiration et tente de me défaire des frissons qui m’envahissent.  Ce mec me coupe totalement le souffle.  Bon, je prends mon courage à deux mains, je passe la main dans mes cheveux pour les tempérer…  J’ouvre la porte.

            De nouveau, ce sourire impétueux m’assaille avec un charme passionnant.  Je serais resté des heures à le regarder.  Un sourire entre l’indifférence et le transport, vraiment suave, si suave qu’il semble trop exagéré. Accueill Image associée:Il doit se foutre de ma gueule.  Ils sont comme ça ces mecs-là : ils se foutent du monde entier.  Ils n’ont qu’une seule et unique ambition :  assouvir leur bassesse libidineuse, jouir, asservis aux caprices des 20 cm pouces de viande épicée qu’ils portent orgueilleusement entre leurs jambes et qu’ils caressent avec idolâtrie comme l’autre protagoniste de leur être, leur deuxième moi.  Ils veulent vider leurs grosses couilles de leur « divine » semence et en souiller tout ce qui les entoure.  Ils n’ont qu’une seule chose à l’esprit, lever ardemment toutes les minettes de la terre, et elles en sont folles!  Toutes ne gravitent qu’autour…

            -Alors, t’en as trouvé?

                  Résultat de recherche d'images pour "gay staring at a beautiful gay boy"  Merde, j’étais là à le contempler et à déverser la bile de ma frustration envieuse.  Car la frustration ultime, c’est que ces mecs sont hétéros…  Ça fait partie de la vie…  Mais, vous devez vous imaginer que si j’ai écrit ce qui suit, c’est parce que les choses ont tourné autrement…

            Alors je lui ai tendu l’objet.

            -C’est tout ce que j’ai trouvé…  Je pense que c’est ça…

            -Merci, champion, c’est c‘qu’il nous faut.

            Il a pris la chose et s’est éloigné.

-Si vous avez besoin de quelque chose, boire, ou aller au p’tit coin, la porte n’est pas verrouillée…

            J’avais lancé ça presque comme une invitation, en essayant de dissiper le malaise qui me torturait.  Alors ils s’est retourné avec lubricité destructrice et m’a répondu…  

    Image associée-S’il y a quoi que ce soit, c’est moi qu’y faut demander, Many;  les autres sont trop…

            Alors bien sûr des protestations gutturales mêlées de rires s’élevèrent et ils se remirent au travail.  Évidemment, il n’y avait aucune insinuation dans les paroles que nous avions échangées.  J’aurais aimé croire qu’il en était autrement.  Un sourire amusé, je referme la porte.  Je m’adosse au mur, je reprends mon souffle et remercie le ciel d’avoir l’air climatisé.  Parce que dehors, le soleil brûle tout, on nage dans des nuées de chaleur et d’humidité.  Je devrais aller prendre une douche, histoire de me détendre de calmer cette fougue qui me ramollit l’esprit.  Ma trique était passée, avec toutes les misères du monde.  Mais tous ces frissons avaient fait venir quelques timides gouttes de pré-sperme pour lubrifier mon prépuce et chaque pas que je faisais me titillait le gland.  C’est qu’il est trop craquant avec sa belle pilosité, son tatouage héraldique sur  le pectoral gauche, ses cheveux raides et militaires, ses traits forts, sa barbe de deux jours, ses lèvres félines et son regard perçant.

            Tout ça me tourbillonnait dans la tête alors que j’enlevais mon slip pour prendre une douche.  Et puis je me suis arrêté devant la glace, me comparant à lui.  Oh, je n’étais pas à plaindre, avec ma p’tite gueule.  J’avais de beaux muscles forts et jeunes mais j’étais plus souple et filiforme.  Et, bien sûr, je n’étais pas aussi bronzé que lui.  Sa peau était comme un cuir tanné, épaisse et luisante, recouvrant des muscles bien gonflés, robustes.  Il avait une carrure enviable, il était assez grand…  Et une posture, une démarche si masculine.  Tout en lui n’était que le suprême aboutissement de la masculinité.  Comme ces grandes mains viriles qui avaient touché les miennes lorsque je lui avais tendu l’outil, des mains que j’aurais aimé sentir explorer les courbes de mon corps…

            Aidez-moi, quelqu’un, je vais exploser en mille flammes de luxure et d’envie!Image associée 

            Bon, je me suis glissé sous l’eau bouillante pour calmer mon ardeur.  Many, Many…  D’où pouvait-il bien venir.  Ce mec va me rendre dingue.  Pire encore, les neuf autres mecs qui travaillent dans la cour sont presque tous aussi beaux que lui!  C’était un soulagement.  L’eau bouillante caressait ma peau, la vapeur entrait dans mes poumons, l’ivresse me faisait mourir.  Pourquoi subir un tel supplice??  Contre mon gré, ma main descendit le long de mon torse puis empoigna mon membre déjà bien enflé.  Et je me suis mis à me caresser, lentement…  En pensant à lui, à eux…  Tout doucement, ma main allait et venait sur ma belle trique et l’autre parcourait mon corps frétillant.  Many, Many…  Je l’imaginais me prendre dans toutes sortes de positions plus indécentes les unes que les autres.  J’imaginais son corps m’enveloppant, sa fougue…  Sur le coup, je n’ai pas entendu le bruit.  J’étais prisonnier d’un univers de perdition et de bassesse.  Et puis, quand je me suis mis à penser à sa belle queue, j’ai senti les feux d’artifices monter.  Puis cette délicieuse brûlure, les spasmes, les frissons, les giclées qui se perdaient dans l’eau et le drain à mes pieds.  J’avais les yeux fermés, je n’avais rien vu.  Je caressais encore ma trique toute sensible quand j’ai entendu la chasse d’eau.  J’eus tout juste le temps de passer la main sur la vitre embuée pour voir un type qui disparaissait derrière la porte.

            Putain!  Combien de temps avait-il passé à me mater pendant que je me branlais?  Je n’avais pas fait attention.  J’aurais dû aller prendre ma douche dans la salle de bain à l’étage, plus discrète…  De quoi avais-je l’air?

            De tout bon mec qui a envie de se soulager…  Bon, j’ai terminé ma douche, je suis sorti.  J’ai pris ma serviette et je suis vite monté à ma chambre pour me sécher.  Là-haut, j’ai mis le ventilateur au max et je me suis étendu sur le lit.  L’air me balayait littéralement, asséchait ma peau.  Je me complaisais dans le doux parfum de mon corps et du savon, de l’humidité et de la fraîcheur.  Et j’avais encore la queue humide.  Il faut parfois du temps avant qu’il n’y ait plus aucune goutte du sperme.  Et je suis resté là je ne sais combien de temps.

            Je m’étirais sur mon lit, je me courbais, m’élançais pour me détendre.  Je crois que ma petite branlette de douche ne m’avais pas rassasié.  Il y a de ces jours où une sensualité et une lubricité folle s’empare de vous, on ne peut plus se satisfaire.  Et puis, depuis quelques semaines je n’avais pas été très actif.  Enfin, mieux valait ne pas me branler encore.  Trop abuser du sexe me rend parfois amorphe et sans vie.  Alors je me suis habillé.  Pas trop, tout de même.  Dehors, les mecs étaient presque tous uniquement en short jeans.  Je me suis mis quelque chose de très léger.

            Quand je suis redescendu, il était déjà midi et j’avais sérieusement faim.  J’ai grignoté quelque chose puis je suis allé à la porte.  Ils n’étaient plus là.  Je crois que je les avais entendu dire qu’ils iraient manger quelque part.  Enfin.  Je suis sorti pour voir où en était le boulot.  La piscine était déjà bien avancée il ne restait que le pourtour à cimenter.  Ils avaient commencé à construire une petite remise dans un coin.  Le toit en était à peine achevé.  Le pavé n’était pas posé, la tourbe non plus.    Je me suis promené un peu pour voir.  Je suis allé voir la remise, avec sa belle charpente et son odeur de bois neuf.  L’intérieur était assez sombre, et quelques fenêtres laissaient entrer des rayons de lumière dans sa chaude humidité.

            -Qu’est-ce que tu fous?

            Je suis resté figé…  Vraiment.  Cette voix soudaine m’a arrêté le cœur.  Je me suis retourné…

            -Je regarde… Comment c’est fait…

            C’était Many.  Le Many.  Il est entré, encore plus léonin, plus suave.

-Ouais, le plan de la remise est assez détaillé.  C’est du bon boulot.  Ça prend de la dextérité, de la souplesse, de la force.

            À chaque mot il faisait un autre pas, pour s’approcher, avec son déhanchement bas et fou.  Il me faisait presque peur.  Je ne savais pas quoi lui demander.

            -Il est midi, ce n’est pas l’heure d’aller manger?

            -Les autres oui.  Moi, j’ai mieux à faire.

            Et en me répondant, il s’est encore approché de moi.

            -Comme?

            -Faire joujou avec le fils du patron…

            Quand il a vu que je regardais vers la porte, il l’a refermée d’un coup de pied.

            -À voir comment tu me matais le cul ce matin…

            -Quoi?

            -Essaie pas.  Les mecs me l’ont fait savoir.  Tu bavais d’envie de moi à ce qu’on dit?!

            Sa présence, sa chaleur me pénétraient.  Je tentais de résister de tout mon corps.  Aux effluves de la luxure dans cette pénombre torride transpercé par des rayons de lumière çà et là.

-Moi, j’ai pas faim.  Mais ça fait longtemps que je m’suis pas tapé un petit cul.  À vrai dire, ça fait deux jours que je me suis pas vidé les couilles.  À ce que j’ai vu tout à l’heure, t’as un bon p’tit matos, t’es bien foutu.  T’aurais pas dû te branler dans la douche…

Et là, il m’a empoigné les parties avec sa grande main chaude.  Je me suis senti transporté.  Je ne pouvais plus résister.  Je me suis approché pour l’embrasser.

-Hep hep hep…  Pas si vite.  Ça, faut le mériter…  Faut mériter mon respect.

Sa voix grave et sensuelle me faisait vibrer.

-Comment tu t’appelles?

-Marc…

-Mets-toi à genoux…

Au point où j’étais rendu…  Et il me faisait craquer…  Timidement, je me suis mis à genoux.

Il m’a regardé.  Il a baissé ses mains vers son short.

-Allez, viens, Marc, j’ai une friandise pour toi…

            Alors il a défait sa braguette, y a plongé sa main pour en sortir sa queue.  Je suis resté cristallisé par un solennel émerveillement.  J’avais dit 20 cm ?  Je m’étais trompé…  J’avais devant moi, et je ne pouvais le croire, un monstre, un bras de chair douce et fumante, 30 cm pouces de grosse viande épicée!  Jamais je n’aurais cru la nature capable de concevoir de telles merveilles.  Une belle grosse queue, un pilier dont l’érection s’accomplissait devant mes yeux.  Le gland n’était pas encore décalotté…

            -Ça t’en bouche un coin, hein?  C’est du gros calibre!

            Je commençais à haleter doucement de plaisir et d’anticipation.  J’étais dans un fol état de contemplation.

            -Allez, elle ne va pas te manger!

            Je me suis approché, tout doucement, son odeur m’excitait grave…  J’ai tendu ma main et je l’ai empoigné doucement, pour m’imprégner de sa chaleur et de sa douceur.  Ma main n’en faisait même pas le tour.  J’ai poussé avec ma main cette peau douce, chaude et souple qui recouvrait le bras de chair gonflée, dure et veinée, pour décalotter le gros gland sombre et son odeur musquée.  Je me suis encore approché et du bout de la langue, je me suis mis à le titiller.  La langue caressait cette chose chaude et lisse, goûteuse…  Tout comme moi, il savourait.

            -C’est ça, vas-y tout doucement.

            J’étais agenouillé devant un étalon, un vrai travailleur, musclé par les fardeaux, bronzé par le soleil, qui portait son court short denim et ses grosses bottes de constructeur;  et j’avais son énorme queue en main, je le faisais frissonner.  Je léchais ensuite la longueur de son membre, de la base jusqu’au bout, savourant les veines pulsatives qui le parcouraient.  J’entourais et je caressais son beau gland avec ma langue, je titillais son méat.  Il m’aidait avec sa grosse queue.  Il me la frappait contre la figure et moi, j’essayais de l’engloutir dans ma bouche.  Oui, j’ai ouvert très grand…  Car sa queue était vraiment énorme.  Puis, le gland a pénétré dans ma bouche chaude.  Je me suis mis à le sucer avidement.  En fait, le gland à lui seul remplissait ma bouche.  Je pompais, pompais, laissais l’air frais s’y engouffrer, le léchais.  Lui, il grommelait tendrement.  Son membre était balaise, mais je pouvais en prendre plus.  J’ai ouvert la gorge et j’ai laissé s’enfoncer le barreau de chair au plus profond.  Lui, il se courbait, se déhanchait tant la sensation était forte.

            -Il sait comment sucer son homme le petit Marc…

            De ses deux mains viriles, il prit ma tête et poussa pour enfoncer encore plus loin son armada.  Je ne pouvais plus respirer, dans cette position.  J’étais un fourreau, une gaine, un trou dans lequel il enfonçait de plus belle son membre.  Je me suis mis à étouffer.  Il me narguait, le beau salaud.  Et quand il sentit que c’était juste assez, il se dégagea.  Je pus respirer en quelques spasmes, plein de plaisir et d’humiliation.  Alors il s’est débarrassé de son short pour que je puisse admirer ses deux grosses couilles poilues et fermes qui pendouillaient sous l’énorme bélier.  Je me suis mis à les lécher, à les sucer.  Elles étaient si grosses, je pouvais à peine en aspirer une entière dans ma bouche pour la sucer.  Lui, il grognait doucement.  À vrai dire, je sentais qu’il prenait un pied formidable mais qu’il ne laissait pas trop paraître.  Je suis remonté vers la queue.  Quelques gouttes de pré-sperme s’écoulaient déjà.  Je les ai savourées et je me suis remis à ma sucette chevaline.  J’ai continué, lentement mais fortement, à le branler pendant que je le suçais.  Quand j’ai voulu porter ma main vers mon entrejambe qui battait de fougue, il me l’a interdit.  Pas tout de suite.  Alors j’ai continué à sucer plus fortement.  Et puis, je l’ai agrippé par les fesses pour faire des mouvements plus rapides.  J’enfournais et ressortais cette viande rutilante à un rythme effréné.  Sa respiration accélérait, son plaisir décuplait.

            -Whoo!  Dis donc, tu veux vraiment sur le champ ta dose de liqueur d’amour!?

            Sa voix maligne et grave m’excitait.  J’ai émis un « oui » dans tous ces ébats.  Alors il m’a saisi la tête encore plus vigoureusement.  Mais cette fois, il ne s’est pas introduit à fond.  Il s’est mis littéralement à me défoncer la gueule.  Avec des coups violents de bassin il s’enfonçait et ressortait avec vitesse et agressivité.  Son membre énorme m’élargissait la gorge et le pré-sperme se mêlait à la salive pour me lubrifier la bouche.  Il accélérait à chaque coup;  il allait me ramollir le crâne, m’éclater l’œsophage…  Il me défonçait la gueule et j’adorais, j’avais la trique de ma vie et je me cramponnais à ses fesses rebondies et dures pour l’aider.  Il s’est mis à accélérer de plus belle.  Ma gorge et son membre s’enflammaient, il gravissait la flamboyante montagne de l’orgasme.  Et puis, voilà.  Les coups se firent plus brutaux encore.  Son membre semblait enfler.  Sa respiration devenait saccadée et doublée de râles de plaisir.  Et les giclées vinrent.  Puissantes, glaireuses, spasmodiques.  Il m’emplissait la bouche et la gorge de son sperme fétide et délicieux.  La semence chaude et vivifiante, je l’avalais avec délectation et satisfaction.  Elle s’écoulait encore en gouttes abondantes de son méat dilaté, glissant de sa queue palpitante.  J’ai tout léché avec douceur.

            -Ouais.  Ça c’était une assez bonne pipe.  J’crois que t’as mérité de m’embrasser.

            Moi, j’avais légèrement mouillé mon caleçon avec mon érection folle qui commençait à s’apaiser même si elle n’avait pas été satisfaite physiquement.  Il m’a fait remonter vers son visage divin.  Au passage, je baisai son pubis puissant, son bas ventre et son nombril, son ventre, ses pectoraux découpés et bombés.  Il était trempé de sueur.  J’en suis arrivé au visage.  Il m’a pris la tête et m’a embrassé goulûment.  Nos lèvres communiaient, nos langues s’aimaient, nos fluides s’échangeaient.  Je sentais nos respirations mêlées, sa chaleur contre la mienne.  Je me sentais mourir dans ses bras, c’était l’apothéose de tout ce qui pouvait ressembler à un contact amoureux et passionné.

            -C’était bon.

            -Oui, vraiment bon.

            J’ai passé ma main sur son beau torse.  Il demeurait dans cet échange de sentiments, tout aussi autoritaire et puissant qu’il l’avait été au début.  Je ne savais plus quoi faire.  Il était là, la queue pendante, les jambes bien campées, imprégné par une sublime odeur de sexe, et suave comme toujours, dominateur, pervers.  Je me suis écarté un peu, en le regardant.  Je suis venu pour m’éloigner, vers la porte.

            -Hep hep hep!!  Qu’est-ce que tu fous?

            Je ne savais pas quoi répondre.

            -Ben, les autres vont revenir bientôt.  Tu veux pas manger quelque chose?

            -Laisse faire la bouffe.  Ya mieux.  Toi, tu vas nulle part.  J’ai pas fini.  À vrai dire, je faisais que m’ réchauffer.

            Il s’est mis en travers de la porte pour s’opposer à mon départ.  Il avait tant de présence et de sensualité.  Il me retenait avec une domination mêlée de douceur.

            -Tu sors pas d’ici avant que je t’aie bien niqué le cul, que j’aie pris mon pied et que je t’aie rempli de foutre.  Tu vas goûter mon piston gargantuesque par tous tes trous et la baise brutale façon Many.  Allez, à quatre pattes…

            Ah!  J’suis bouche bée, je ne sais pas quoi dire.

            -Allez, exécution!

            -Non, mais ça va pas?  T’as vu la taille de ton bazar?

            Il m’accoste.

            -Allez, fais pas la chochotte, j’te jure tu vas me supplier pour en avoir plus.  Allez…

            Il s’est approché de moi.  Il m’a embrassé, il m’a enlacé, ses mains sont descendues le long de mes flancs.  J’étais plein de résignation, d’excitation.  Il m’a enlevé mon chandail dans un geste lent et tendre.

            -Dis donc, t’es pas mal!

            On s’est souri.  Il s’est approché encore plus.  Nous étions peau contre peau, je sentais sa grosse érection et il sentait la mienne.  Il m’a baisé le cou, il a continué de me caresser le torse.  Et puis, il m’a retourné.  Je me suis abandonné à son étreinte.  J’ai laissé ma tête vers l’arrière pendant qu’il m’enlaçait, m’embrassait la nuque, le cou, l’épaule.  Ses mains parcouraient mes pectoraux, me titillant les mamelons, passaient sur mon ventre et descendirent à maintes reprises vers mon bas-ventre, puis plus bas, il les plongeait dans mon short et je me cambrais doucement de plaisir.  Puis, il remontait.  Son ventre était chaud et humide contre mon dos, sa respiration douce et chaleureuse.  Il m’a fait avancer vers le petit échafaudage  dans le fond.  Il m’a penché dessus.  Il a défait et enlevé son short et l’a accroché près de moi.  Il n’avait plus maintenant que ses grosses bottes.  Il s’est approché, ses mains se sont rencontrées sur mon ventre.  Dans ce geste, il m’enlaçait et son énorme saucisson dur frottait contre mes fesses.  Il est descendu et a défait mes shorts.  Ouff, chaque geste nous rapprochait de la monte douloureuse que j’anticipais.  Avec son pied il m’a fait écarter un peu les jambes.  Il a atteint son short accroché et d’une poche il sorti un sachet de lubrifiant.

            -Allez, la mécanique performante doit toujours être bien lubrifiée!

            Il a passé ses doigts sur les muscles de mon dos, de bas en haut, pour me faire frissonner davantage.  Il a déchiré le sachet et m'a lubrifié avec ses gros doigts doux et habiles qu’il faisait parfois entrer dans ma rosette pour me détendre.  Moi, j’étais pris entre le plaisir et la nervosité.  N’oubliez pas que sa queue était vraiment énorme.  Il a ensuite mouillé son gros membre avec le reste de gel et sa salive.

            -Bon, c’est là que se termine le jeu et que commence le vrai plaisir.

            Il m’a pris la hanche d’une main et s’est approché. Avec son autre main, il guidait son énormité vers mon orifice terrifié.

            -Écoute, vas-y doucement, je veux pas me retrouver infirme!

            -T’inquiète pas, champion, j’suis passé maître, t’es pas le premier que je déflore!

            -J’suis pas puceau!

            -Peut-être pas, mais à voir ton cul, j’suis ton premier gros calibre. C'est ton 2ème dépucelage. Allez, prends une bonne respiration, tu vas la prendre comme un homme.

            J’ai saisi les barres de l’échafaudage devant moi pour mieux me contrôler.  Il s’est approché en m’attirant vers lui par la hanche et son gros gland huilé a caressé ma rosette.  J’ai eu un tressaillement de peur et de plaisir et sa prise sur ma hanche s’est faite plus ferme.  Il a commencé à pousser.  Ouff…  Je me suis senti ouvrir.  Son gros gland ferme s’est à mis à glisser graduellement pour m’étirer.  La douleur était vraiment criante.  Je me suis mis à gémir fortement.

            -Chut!  Tu veux pas que tes voisins sachent que t’es en train de te faire défoncer par le type de la piscine ?

            La main qui tenait sa queue m’a caressé le dos pour me détendre.  Je me suis cambré un peu.  Il a poussé en peu encore et j’ai senti la couronne s’enfoncer, puis la peau douce qui recouvrait le membre dur et veiné.  Ouch!  Je me faisais défoncer, je sentais mes entrailles s’étirer, mon anus s’élargir, son membre me fouiller.  Un train, un bras de chair s’enfonçait en moi.  C’était la sensation la plus érotisante et la plus excitante que j’avais jamais eue.  J’ai tâté vers l’arrière pour constater qu’il n’avait inséré qu'à peine plus que le gland et j’avais l’impression qu’on me défonçait à coups de poing.  L’insertion se faisait de plus en plus lente et douloureuse.  Il s’enfonçait à petits coups de reins et tâtait tout mon intérieur, me remplissait entièrement.  Il est resté quelques secondes encore, puis il s’est retiré d’un coup.  J’ai senti mon ventre imploser, comme si on me vidait et un trou béant dans on arrière train qu’avait laissé le membre gargantuesque de Many.  Il m’a laissé quelques secondes pour que la douleur se dissipe.  Il a mis encore un peu de lubrifiant.

            -Oh…  Many…

            Il s’est enfoncé sans que je m’y attende.  Et cette fois, il était entièrement en moi.  Je pouvais le sentir, battre en moi, et ses grosses couilles contre mes fesses.  Je gémissais de plaisir.

            -Tu vois, y faut y aller tout doucement, mon p’tit.  La baise c’est comme ça.  Ça commence tout doucement.  Et, une fois que la voie est ouverte, on peut commencer à s’amuser.

            Je l’écoutais à peine.  J’étais dans un semi coma, plein de douleur et de plaisir.  Il a commencé un va et vient languissant, tendre et lent.  Son énorme trompe m’attendrissait les entrailles, me réchauffait.  Je n’arrivais même pas à comprendre comment une telle énormité pouvait s’enfoncer entièrement en moi.  J’étais vraiment empalé, je me sentais étiré dans tous les sens.  Il allait, il venait et me bouleversait l’intérieur.  J’étais en train de devenir fou.  Tout en continuant à me tarauder, il s’est penché sur mon dos pour déposer un baiser tendre et mouillé, au centre.  Il me tenait par l’épaule pour avoir prise sur cette monte gravement délicieuse.  C’était vraiment de la grosse mécanique.  Des livres de viande entraient et ressortaient de moi avec une force et une douceur toutes deux démentes.  Moi, je me cambrais de plus belle.  Et alors il a commencé à accélérer.  Ouf, il va me buter.  Je sentais mon ventre poussé aux limites de la douleur.  Son membre me comprimait.  C’était vraiment tout feux tout flammes.  J’aurais voulu qu’il me monte, qu’il me défonce comme ça pour l’éternité.  La sensation était tellement enivrante!  Et j’ai été comblé.  Ça a duré une éternité puisque je le garderai en mémoire pour toujours.  Je savourais chaque allée, chaque venue de sa queue, de son membre dans mon cul.  J’ai savouré avec extase pendant des minutes, des minutes et des minutes, dans un silence calme, entre les ténèbres et la lumière de la remise.  Il m’a pris par les hanches et il s’est mis à être plus vif.  Pas brusque.  Vif.  Il entrait et sortait avec une vélocité merveilleuse.  Il m’amenait à lui et me repoussait, jouant avec moi comme une poupée de chiffon emmanché sur son énorme bazar.  Et je me laissais faire.  Le temps passait, c’était une éternité et rien tout à la fois.  Je sentais le temps passer.  Mon cul devenait plus chaud, la belle brûlure aigre au bout de ma queue…  Je laissais parfois quelques gouttes de pré-sperme et mon plaisir s’intensifiait comme un orgasme avorté et cristallisé.  Je commençais à sentir quelques vagues froides de malaise m’envahir et, en même temps le plaisir, me faire frissonner.  J’écartais les jambes pour lui faciliter la tâche, pour qu’il puisse s’enfoncer encore plus.  Ensuite, il m’a pris et m’a fait pivoter sur le côté.  Il a levé ma jambe et s’est mis à me pistonner de côté.  Moi j’étais couché sur mon flanc droit sur "l’échafaud" et chaque coup de butoir me faisait déplacer.  Il pouvait maintenant plus librement me caresser le ventre.  Mais il était surtout concentré sur son enculade frénétique.  Et puis, j’en ai eu assez, j’ai pivoté pour lui faire face.  J’étais toujours emmanché et il s’est penché sur moi.  Je lui ai ceinturé le torse avec mes jambes et ses grands bras puissants m'ont pris aux omoplates et il s’est mis à s’enfoncer encore plus vigoureusement.  Maintenant, nous nous regardions droit dans les yeux, perdus dans une concentration folle, pleine de délectation et d’ivresse.  On se regardait sans bouger.  Il n’y avait que son bassin que me donnait des coups de plus en plus violents.  Le rythme de nos respirations accélérait, l’intensité du plaisir.  Et puis, il s’est cramponné à moi, et moi à lui tant notre plaisir était mêlé à une douleur perçante.  Il s’est encore mis à accélérer, de plus en plus vite, de plus en plus fort.  Je le sentais, il devenait plus sensible, plus saccadé.

Et puis, il s’est arrêté.  Quoi!!??

-T’en fais pas, j’ai pas fini, me dit-il pour me rassurer de sa voix suave.  Faut juste que j’laisse ma montée se calmer…

Après seulement une dizaine de secondes, il s’est redressé.  Il m’a écarté les jambes pour me faire pivoter sur son gros barreau.  J’étais à nouveau sur le ventre, penché sur "l’échafaud", le cul bien agrandi.  En me cramponnant aux barreaux de fer j’ai eu l’idée de jeter un vif coup d’œil sur ma montre.  Putain!  Ça faisait plus d’une heure qu’il me défonçait en « non stop.»  Il était vraiment fort, Many.  Il s’est râclé la gorge, s’est dégourdi la cheville et il m’a saisi à nouveau par la taille.  C’est là que j’ai compris qu’on ne rigolait plus.  Non.  Cette fois, il ne me baisait pas, il me détruisait.  Il s’est mis à me donner de violents coups de bassin et son membre viril m’empalait sauvagement, rapidement.  Le gros piston ravageur sortait en entier, puis revenait en force, s’engouffrait en entier en moi.  La chaleur me brûlait, j’avais mal.  Ma queue allait exploser.  C’était un moment d’absolu.  J’étais vraiment un sac à viande qu’il remplissait avec une cruauté qui me faisait jouir au plus haut point.  Il râlait, et moi, depuis un bon moment déjà, je braillais de joie et de souffrance.  L’échafaud souffrait lui aussi sous nos poids conjugués et la force des coups.  À vrai dire, j’ai eu peur, j’ai eu peur qu’il me blesse.

Il me défonçait avec cette fougue masculine et cette force herculéenne depuis probablement un quart d’heure.  C’était un vrai mâle rutilant, flamboyant, ardent, rayonnant.  Puis, il m’a empoigné de plus belle, il a accéléré fortement et brutalement.  J’ai senti sa respiration s’étouffer et tout son corps se contracter.  Puis, de puissants jets de foutre se sont répandus en moi.  Je pouvais le sentir couler de son méat enflammé, de son membre gonflé à bloc par la chaleur et le plaisir.  Il se vidait les couilles en moi, se contractait, avait des spasmes de plaisir fou qui me plaisaient à moi aussi.  Il m’avait rempli de foutre.  Quand il s’est enfin retiré, je me suis senti vidé et son sperme abondant coulait de mon cul atrophié par la baise chaude et intense. 

Moi, j’étais sur le point d’exploser.  Toutes les sensations de mon corps convergeaient en une tension douloureuse le long de ma queue.  Il le savait, quel salaud.  Il m’a assis sur l’échafaud.  J’ai écarté les jambes.  Il a pris ma queue molle de fatigue dans sa main moite et chaude, ce qui m’a fait tressaillir.  Avec son sourire sardonique il s’est penché et d’un seul coup de langue sur mon gland plein de sperme, il a libéré mon orgasme.  Je me suis convulsé avec plaisir.  Il est remonté à mon visage, mêlant avec sensualité son haleine à la mienne alors que je giclais sur son ventre.  J’avais des spasmes de plaisir.  Il me regardait droit dans les yeux et il caressait mon dos ce qui me faisait frissonner davantage.  Il m’a malaxé les couilles tendrement et s’est mis à m’embrasser.  On s’est reposé, front contre front, yeux dans les yeux. Notre respiration se calmait peu à peu et notre esprit aussi, dans cette chaude odeur de sexe.

-Tu vois, j’te l’ai dit, si y a quoi que ce soit, t’a qu’à demander, ton Many va s’en occuper.

-Je sais pas si j’pourrai un jour être contenté de nouveau comme tu viens de le faire…  T’es vraiment toute une aventure…

Il n’a pas fallu grand temps pour qu’il se rhabille, range sa queue merveilleuse et sorte de la cabane.  Et quand il est sorti, des voix se sont levées.

-Ouais, t’aurais pu faire plus de bruit, Don Juan, tout le quartier vous a entendus.

Quoi!!??  Je jette un coup d’œil à ma montre.  Ça fait bientôt deux heures qu’on baise comme des débiles.  Les types de la piscine sont revenus à leur boulot…  On ne peut qu'imaginer qu’ils savent.  Je me suis rhabillé en vitesse, je suis sorti, comme si de rien n’était...hum !

je me suis offert à lui...encore timide ?

   

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Image associée  sa main guidant... son barreau ses doigts ayant ouvert le chemin ...en place pour l'intense joie

de se donner l'un à l'autre

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  UNE SUITE ?  DE SUITE !

 

Marc vit à présent avec mon mec et son frère depuis une année.

Je me réveille doucement dans les bras de mon petit beau frère de 18 ans qui partage également ma vie comme son frère ainé de 22 ans.

Nous échangeons un baiser tendre et humide.

Aussi je n’oublie pas de lui lécher doucement ses lèvres du bout de ma langue qui a pour effet immédiat de le faire bander un maximum.

Nous dormons tous à poils notre lit, j’attrape sa bite d’une vingtaine de cm et je la porte à ma bouche, j’aime son odeur de bite au petit matin.

J’en profite pour lui titiller du bout de ma langue son gland et prendre son pré cum si délicieux.

Puis j’avale entièrement sa bite dans ma gorge et débute des vas et viens tous en le branlant.

J’aime sentir sa bite se décalotter dans ma bouche.

Mon beauf pousse des petits gémissements puis m’attire hors de notre lit.

Je me pose en levrette sur le sol et je sens son gland forcer mon passage, ses mains me retiennent les hanche.

Mon beauf est à présent entièrement dans mon cul, il me lime durant 30 bonnes minutes puis dans un râle de plaisir déverse son foutre épais bien au fond de mon cul.

Il est déjà en retard pour les cours, il m’embrasse et file sous la douche.

J’en profite pour réveiller mon mec encore au lit, je me glisse dans les draps et suce sa grosse bite qui est bien dur comme tous les matins.

Très rapidement il me fait mettre en position 69, sa langue me rentre dans mon cul rempli et dégoulinant du sperme de son frère.

Rien que l’idée que mon mec lèche et bouffe la semence de son frère m’excite grave et je redouble d’effort à lui pomper sa queue de 23 cm.

Très rapidement il me remplit la bouche de foutre chaud que j’avale, je me retourne et nous échangeons un baiser juteux.

Nous sortons du lit et nous nous installons à poils dans le séjour pour déjeuner.

Je suis encore super chaud, en effet mes couilles sont toujours pleines.

Mon beauf nous rejoint et nous embrasse chacun notre tour sur la bouche.

Il se baisse au niveau de mon entre jambes et commence à me sucer.

J’aime cette scène, je prends mon café à poils avec mon mec et mon beauf me suce.

Je gémis de sentir ses lèvres me faire du bien.

Mon jeune beauf étant toujours à poils, je le relève et l’entraine sur le canapé.

Il s’assoit sur ma queue et commence des va et vient sur ma bite raide.

Durant notre baise, nous gémissons fort.

Mon mec fini son café et il prend un plaisir à nous mater tous en déjeunant.

J’aime le cul de mon beauf, serrer et procurant un plaisir fou, mon mec nous rejoint et tends sa bite à son petit frère qui la suce comme si sa vie était en jeu.

Je tire le premier dans le trou de mon beauf épuisé par ses va et vient sur moi.

Puis  rapidement mon mec se déverse dans la bouche de mon beauf qui avale tout.

Mon beauf se retire de ma queue, son trou lâchant mon foutre sur mon ventre.

Il  s’applique à nettoyer ma queue baveuse qui sent sont trou fortement.

Mon mec suce également mon beauf très vite rejoint par moi, nos bouches s’applique à tour de rôle et dans un moment intense mon beauf se contracte et gémit, lâchant plusieurs jets de foutre sur nos visages.

En suivre des échanges de langues et de baisers afin de bouffer tout se foutre.

La journée peut ainsi commencer après un bon petit déjeuner.

Soirée bien arrosée

Après une journée longue de travail au bureau je rentre dans mon appartement, mon beauf est déjà chez nous a poils, nous vivons en mode naturisme à la maison.

A peine arrivé mon beau se jette sur ma braguette  et me sort ma bite qu’il s’empresse de sucer tendrement, j’en profite pour me foutre à poils a mon tour et je lui baise la bouche fortement.

Puis je le relève et nous échangeons un baiser doux, sa bouche sent ma bite (hum que du bonheur).

Je le retourne et le plaque contre le mur de la porte d’entrée.

Mouille mon  gland est je m’enfonce dans lui jusqu’aux couilles.

Je commence à lui donner des coups de reins bien profonds, lui plaquant bien la tête.

J’accompagne mes coups de moletons sur sa gueule.

Mon beauf gémit fort (ses hurlements doivent s’entendre sur tous le palier).

Je m’en fou à vrai dire je suis trop chaud et je ne pense qu’a me faire plaisir dans lui.

J’aime que ma bite entre et sorte de son anus encore juteux du matin, je peux mater mon foutre matinale ressortir sous mes coups de bite.

Rapidement j’accélère le rythme et il se branle énergiquement, déchargeant sous foutre sur le mur.

En se rétractant sur ma bite je me vide dans son cul, continuant des vas et viens tendre pour bien me vider.

Je me retire et lèche son propre sperme le long du mur avant de me nettoyer la queue.

Puis l’on s’embrasse tendrement échangeant nos jus.

Nous allons direction la salle de bain ou il se met en levrette devant moi pour faire couler l’eau de notre bain.

De son trou mon sperme coule le long de sa cuisse.

Nous nous installons dans le bain qui est me donne une envi de pisser, mon beauf le sait bien et me tend son cul.

Je bande toujours et je me remets dans lui, mon foutre aidant.

Et je commence à me soulager doucement.

Son intestin se remplit de ma pisse chaude.

Il est tellement remplit que ma pisse mélanger à mon jus ressort de son cul.

On entreprend ensuite de se rincer.

Pendant que l’on se sèche il m’annonce que son petit ami vient ce soir et m’indique qu’il est curieux de notre relation.

Mon mec rentre à son tour du travail, nous voyant habiller on lui annonce notre visiteur, c’est l’occasion pour nous de boire un verre avec Cédric.

Très rapidement les esprits s’échauffent j’en profite pour sortir la bite de mon mec, Cédric est étonné de la taille, et je débute la suce de mon mec en prenant soin de le mater dans les yeux faisant ma salope.

Mon beauf sort à son tour sa queue sous le regard de son ami présent ce soir.

Ma bouche quitte celle de mon mec pour mon beauf.

Tout en pompant sa queue je caresse l’entre jambes de Cédric qui bande dur puis je libère sa bite qui fait 20 bon cm.

Je dirige ma bouche sur sa queue que je pompe entièrement, sa main vient sur ma tête et Cédric me donne le mouvement.

Mon beauf nous annonce qu’il sorte ensemble depuis 6 mois et qu’il vient juste de lui annoncer notre relation à 3.

Curieux il a voulu voir.

Très vite nous sommes à poils dans le lit, Cédric est debout et je moi a 4 pattes pour le sucer, mon beauf me bouffe le cul et mon mec me suce la bite.

Nous gémissons tous fortement.

Rapidement mon beauf se faufile dans moi et commence à me limer.

  Mon mec se retire et se positionne dans le cul de Cédric qui se laisse faire.

Imaginez la scène, je me fais limer tous en suçant une bonne bite d’un bogoss blond de 1m80 avec un putain de torse.

Mon beauf se retire de mon cul laissant mon trou béant en faisant signe à Cédric qui me pénètre à son tour, mon beauf se met à genou devant son frère et le suce avant de tendre son trou à ce dernier.

Mon mec baise énergiquement son petit frère sous notre regard.

La scène doit beaucoup exciter Cédric qui me demande s’il peut me tirer dedans, chose que j’accepte.

Dans un rythme des bons coups de reins profond je sens sa bite se contracter et me balancer des jets de foutre contre la paroi de mon intestin.

Cédric se retire la bite baveuse de sperme que je m’empresse de sucer (j’aime l’odeur d’une bite sortant de mon cul), mon cul ne reste pas béant longtemps, mon beauf me baise à son tour, me remplissant également de son foutre chaud.

Laissant la place à son frère qui prendra son temps dans moi en me limant à fond, mon trou étant hyper dilater après tous les passages de queues et du sperme.

Mon mec dans un râle de plaisir me tire dedans.

Puis il sort sa bite et commence à bouffer tout le foutre qui sort de mon cul, durant se temps Cédric me pompe avec mon beauf rapidement en matant la scène du miroir de la chambre je jute 6 bon jets de sperme sur leurs visages que je lèche.

Après des échanges de foutre dans nos baisers, une nuit longue de plaisir commence…

Merci à vous mes loulou <3

youngboy09...encore cyrillo !

thomast_om377@...

 

 

 

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commentaire :    Pour ces gars,un coup de bite de plus, une giclée de mieux ce n'est rien qu'un peu de joie dans un monde très dur !

 

 

Toi l'Auvergnat qui sans façon
M'as mis au cul ton gros bout de bois
Quand dans ma vie il faisait froid
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants

Et même mes parents
Tous les gens bien intentionnés
M'avaient fermé la porte au nez

 

 

 

Par MARC - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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