lui, Marc, un gentil étudiant de bonne famille...
..MANY. À le voir
aller, c’était une vraie râclure, un emmerdeur passé maître. Les autres mecs l’enduraient parce qu’ils étaient tous à peu près aussi cons que lui. Son petit ego de mâle dominant
était trop enflé pour passer dans une porte : remarquez qu’il n’avait pas tout à fait tort. Ce genre de mecs passent leurs journées au soleil à déplacer des charges, à
travailler. Ils sont tous bronzés, sveltes et pleins de muscles vigoureux. Le travail semble augmenter leur taux de testostérone… Bref, ils sont mignons à craquer et viriles
comme des taureaux. Alors, en avoir une dizaine, tous plus dénudés les uns que les autres, qui s’affairent dans votre court, c’est vraiment un supplice...
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-Ça t’en bouche un coin, hein? C’est du gros calibre! Je commençais à
haleter doucement de plaisir et d’anticipation. J’étais dans un fol état de contemplation devant cette queue énorme et pleine de promesses
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c'est ça le deuxième dépucelage car Marc n'était
pas puceau avant de se trouver sous la patte de ce Many et faire un et plusieurs voyages au Nirvana
Marc : -"À le voir aller, c’était une vraie râclure, un emmerdeur passé maître. Les autres mecs l’enduraient parce qu’ils étaient tous à peu
près aussi cons que lui. Son petit ego de mâle dominant était trop enflé pour passer dans une porte : remarquez qu’il n’avait pas tout à fait tort. Ce genre de mecs passe ses
journées au soleil à déplacer des charges, à travailler. Ils sont tous bronzés, sveltes et pleins de muscles vigoureux. Le travail semble augmenter leur taux de testostérone…
Bref, ils sont mignons à craquer et virils comme des taureaux. Alors, en avoir une dizaine, tous plus dénudés les uns que les autres, qui s’affairent dans votre cour, c’est vraiment un
supplice.
Je me suis réveillé un de ces matins désinvoltes de l’été où on reste couchés tant qu’on peut. Papa Maman sont partis depuis longtemps
travailler et petite sœur et petit frère sont à leur centre aéré. Il est onze heures, je descends, presque en rampant, les escaliers et je me traîne jusqu’à la cuisine. J’ouvre le
réfrigérateur et nonchalamment, je saisis le lait que je me mets à engloutir au goulot. Et puis, soudain, on frappe à la porte. Ça ma surpris, j’ai avalé de travers, je me suis
étouffé. Je me suis retourné vers les portes vitrées pour voir une grande forme sombre, un mec en contre-jour.
Imaginez… J’étais debout dans la cuisine avec le carton de lait, avec seul mon slip débraillé laissant sortir la moitié de ma fesse droite,
j’étais à peine sorti de mon érection matinale, j’avais les cheveux ébouriffés. Pour couronner le tout, j’ai des coulées de lait sur le bord de la joue et quelques gouttes sur le torse et y
a ce type que je connais pas qui vient frapper à ma porte.
MERDE. C’est les types de la piscine… J’avais oublié qu’ils venaient aujourd’hui. Plusieurs auraient dit : comme il a l’air
choux et sexy, mais moi, je me sentais vraiment con. Alors, fallait pas rester planté là à rien faire. La silhouette baraquée restait immobile. Je me suis précipité sur un linge
pour m’essuyer le torse et la bouche et j’ai décidé à aller répondre. J’ai ouvert, pour me faire pénétrer d’une chaleur enivrante, une odeur de sueur assez forte, un sourire sardonique et
des yeux séduisants d’un bleu méditerranéen. C’était un des mecs de la piscine, barraqué, d’une trentaine d’années.
-Salut… On vient pour la
piscine… On aurait besoin de « bande adhésive genre Weisse Gripp ». Est-ce que t’as ça?
L’un des gars lui lança une phrase inintelligible et complice. Il se retourna pour s’exclamer gutturalement et ils rirent tous un peu,
discrètement. Il avait parlé avec une suavité absolument folle, sa voix était très grave, mais rauque, très aiguisée. Une voix si masculine qu’elle aurait pu mettre le monde entier à
genoux… Quand il se retourna, je me contentai de lui répondre.
-Je pense que oui, je vais aller voir et je reviens.
J’ai refermé la porte pour couper ces effluves de luxures et je suis allé à la cave. La fraîcheur me soulageait de leur intense
présence. J’ai cherché et puis j’ai trouvé ce que je cherchais. Je suis remonté, je suis allé à la porte. Et là, je reste une seconde dans l’ombre des rideaux. Je prends
une grande respiration et tente de me défaire des frissons qui m’envahissent. Ce mec me coupe totalement le souffle. Bon, je prends mon courage à deux mains, je passe la main dans mes
cheveux pour les tempérer… J’ouvre la porte.
De nouveau, ce sourire impétueux m’assaille avec un charme passionnant. Je
serais resté des heures à le regarder. Un sourire entre l’indifférence et le transport, vraiment suave, si suave qu’il semble trop exagéré. Accueill :Il doit se foutre de ma gueule. Ils sont comme ça ces mecs-là : ils se foutent du monde entier. Ils n’ont
qu’une seule et unique ambition : assouvir leur bassesse libidineuse, jouir, asservis aux caprices des 20 cm pouces de viande épicée qu’ils portent orgueilleusement entre
leurs jambes et qu’ils caressent avec idolâtrie comme l’autre protagoniste de leur être, leur deuxième moi. Ils veulent vider leurs grosses couilles de leur « divine » semence et
en souiller tout ce qui les entoure. Ils n’ont qu’une seule chose à l’esprit, lever ardemment toutes les minettes de la terre, et elles en sont folles! Toutes ne gravitent
qu’autour…
-Alors, t’en as trouvé?
Merde, j’étais là à le
contempler et à déverser la bile de ma frustration envieuse. Car la frustration ultime, c’est que ces mecs sont hétéros… Ça fait partie de la vie… Mais, vous devez vous imaginer
que si j’ai écrit ce qui suit, c’est parce que les choses ont tourné autrement…
Alors je lui ai tendu l’objet.
-C’est tout ce que j’ai trouvé… Je pense que c’est ça…
-Merci, champion, c’est c‘qu’il nous faut.
Il a pris la chose et s’est éloigné.
-Si vous avez besoin de quelque chose, boire, ou aller au p’tit coin, la porte n’est pas verrouillée…
J’avais lancé ça presque comme une invitation, en essayant de dissiper le malaise
qui me torturait. Alors ils s’est retourné avec lubricité destructrice et m’a répondu…
-S’il y a
quoi que ce soit, c’est moi qu’y faut demander, Many; les autres sont trop…
Alors bien sûr des protestations gutturales mêlées de rires s’élevèrent et ils se
remirent au travail. Évidemment, il n’y avait aucune insinuation dans les paroles que nous avions échangées. J’aurais aimé croire qu’il en était autrement. Un sourire amusé, je
referme la porte. Je m’adosse au mur, je reprends mon souffle et remercie le ciel d’avoir l’air climatisé. Parce que dehors, le soleil brûle tout, on nage dans des nuées de chaleur et
d’humidité. Je devrais aller prendre une douche, histoire de me détendre de calmer cette fougue qui me ramollit l’esprit. Ma trique était passée, avec toutes les misères du
monde. Mais tous ces frissons avaient fait venir quelques timides gouttes de pré-sperme pour lubrifier mon prépuce et chaque pas que je faisais me titillait le gland. C’est qu’il est
trop craquant avec sa belle pilosité, son tatouage héraldique sur le pectoral gauche, ses cheveux raides et militaires, ses traits forts, sa barbe de deux jours, ses lèvres félines et son
regard perçant.
Tout ça me tourbillonnait dans la tête alors que j’enlevais mon slip pour prendre
une douche. Et puis je me suis arrêté devant la glace, me comparant à lui. Oh, je n’étais pas à plaindre, avec ma p’tite gueule. J’avais de beaux muscles forts et jeunes mais
j’étais plus souple et filiforme. Et, bien sûr, je n’étais pas aussi bronzé que lui. Sa peau était comme un cuir tanné, épaisse et luisante, recouvrant des muscles bien gonflés,
robustes. Il avait une carrure enviable, il était assez grand… Et une posture, une démarche si masculine. Tout en lui n’était que le suprême aboutissement de la
masculinité. Comme ces grandes mains viriles qui avaient touché les miennes lorsque je lui avais tendu l’outil, des mains que j’aurais aimé sentir explorer les courbes de mon corps…
Aidez-moi, quelqu’un, je vais exploser en mille flammes de luxure et
d’envie!
Bon, je me suis glissé sous l’eau bouillante pour calmer mon ardeur. Many,
Many… D’où pouvait-il bien venir. Ce mec va me rendre dingue. Pire encore, les neuf autres mecs qui travaillent dans la cour sont presque tous aussi beaux que lui! C’était
un soulagement. L’eau bouillante caressait ma peau, la vapeur entrait dans mes poumons, l’ivresse me faisait mourir. Pourquoi subir un tel supplice?? Contre mon gré, ma main
descendit le long de mon torse puis empoigna mon membre déjà bien enflé. Et je me suis mis à me caresser, lentement… En pensant à lui, à eux… Tout doucement, ma main allait et
venait sur ma belle trique et l’autre parcourait mon corps frétillant. Many, Many… Je l’imaginais me prendre dans toutes sortes de positions plus indécentes les unes que les
autres. J’imaginais son corps m’enveloppant, sa fougue… Sur le coup, je n’ai pas entendu le bruit. J’étais prisonnier d’un univers de perdition et de bassesse. Et puis,
quand je me suis mis à penser à sa belle queue, j’ai senti les feux d’artifices monter. Puis cette délicieuse brûlure, les spasmes, les frissons, les giclées qui se perdaient dans l’eau et
le drain à mes pieds. J’avais les yeux fermés, je n’avais rien vu. Je caressais encore ma trique toute sensible quand j’ai entendu la chasse d’eau. J’eus tout juste le temps de
passer la main sur la vitre embuée pour voir un type qui disparaissait derrière la porte.
Putain! Combien de temps avait-il passé à me mater pendant que je me
branlais? Je n’avais pas fait attention. J’aurais dû aller prendre ma douche dans la salle de bain à l’étage, plus discrète… De quoi avais-je l’air?
De tout bon mec qui a envie de se soulager… Bon, j’ai terminé ma douche, je
suis sorti. J’ai pris ma serviette et je suis vite monté à ma chambre pour me sécher. Là-haut, j’ai mis le ventilateur au max et je me suis étendu sur le lit. L’air me balayait
littéralement, asséchait ma peau. Je me complaisais dans le doux parfum de mon corps et du savon, de l’humidité et de la fraîcheur. Et j’avais encore la queue humide. Il faut
parfois du temps avant qu’il n’y ait plus aucune goutte du sperme. Et je suis resté là je ne sais combien de temps.
Je m’étirais sur mon lit, je me courbais, m’élançais pour me détendre. Je
crois que ma petite branlette de douche ne m’avais pas rassasié. Il y a de ces jours où une sensualité et une lubricité folle s’empare de vous, on ne peut plus se satisfaire. Et puis,
depuis quelques semaines je n’avais pas été très actif. Enfin, mieux valait ne pas me branler encore. Trop abuser du sexe me rend parfois amorphe et sans vie. Alors je me suis
habillé. Pas trop, tout de même. Dehors, les mecs étaient presque tous uniquement en short jeans. Je me suis mis quelque chose de très léger.
Quand je suis redescendu, il était déjà midi et j’avais sérieusement faim.
J’ai grignoté quelque chose puis je suis allé à la porte. Ils n’étaient plus là. Je crois que je les avais entendu dire qu’ils iraient manger quelque part. Enfin. Je
suis sorti pour voir où en était le boulot. La piscine était déjà bien avancée il ne restait que le pourtour à cimenter. Ils avaient commencé à construire une petite remise dans un
coin. Le toit en était à peine achevé. Le pavé n’était pas posé, la tourbe non plus. Je me suis promené un peu pour voir. Je suis allé voir la remise, avec sa
belle charpente et son odeur de bois neuf. L’intérieur était assez sombre, et quelques fenêtres laissaient entrer des rayons de lumière dans sa chaude humidité.
-Qu’est-ce que tu fous?
Je suis resté figé… Vraiment. Cette voix soudaine m’a arrêté le
cœur. Je me suis retourné…
-Je regarde… Comment c’est fait…
C’était Many. Le Many. Il est entré, encore plus
léonin, plus suave.
-Ouais, le plan de la remise est assez détaillé. C’est du bon boulot. Ça prend de la dextérité, de la souplesse, de la force.
À chaque mot il faisait un autre pas, pour s’approcher, avec son déhanchement bas
et fou. Il me faisait presque peur. Je ne savais pas quoi lui demander.
-Il est midi, ce n’est pas l’heure d’aller manger?
-Les autres oui. Moi, j’ai mieux à faire.
Et en me répondant, il s’est encore approché de moi.
-Comme?
-Faire joujou avec le fils du patron…
Quand il a vu que je regardais vers la porte, il l’a refermée d’un coup de
pied.
-À voir comment tu me matais le cul ce matin…
-Quoi?
-Essaie pas. Les mecs me l’ont fait savoir. Tu bavais d’envie de moi
à ce qu’on dit?!
Sa présence, sa chaleur me pénétraient. Je tentais de résister de tout mon
corps. Aux effluves de la luxure dans cette pénombre torride transpercé par des rayons de lumière çà et là.
-Moi, j’ai pas faim. Mais ça fait longtemps que je m’suis pas tapé un petit cul. À vrai dire, ça fait deux jours que je me suis pas vidé
les couilles. À ce que j’ai vu tout à l’heure, t’as un bon p’tit matos, t’es bien foutu. T’aurais pas dû te branler dans la douche…
Et là, il m’a empoigné les parties avec sa grande main chaude. Je me suis senti transporté. Je ne pouvais plus résister. Je me
suis approché pour l’embrasser.
-Hep hep hep… Pas si vite. Ça, faut le mériter… Faut mériter mon respect.
Sa voix grave et sensuelle me faisait vibrer.
-Comment tu t’appelles?
-Marc…
-Mets-toi à genoux…
Au point où j’étais rendu… Et il me faisait craquer… Timidement, je me suis mis à genoux.
Il m’a regardé. Il a baissé ses mains vers son short.
-Allez, viens, Marc, j’ai une friandise pour toi…
Alors il a défait sa braguette, y a plongé sa main pour en sortir sa queue.
Je suis resté cristallisé par un solennel émerveillement. J’avais dit 20 cm ? Je m’étais trompé… J’avais devant moi, et je ne pouvais le croire, un monstre, un bras de chair
douce et fumante, 30 cm pouces de grosse viande épicée! Jamais je n’aurais cru la nature capable de concevoir de telles merveilles. Une belle grosse queue, un pilier dont
l’érection s’accomplissait devant mes yeux. Le gland n’était pas encore décalotté…
-Ça t’en bouche un coin, hein? C’est du gros calibre!
Je commençais à haleter doucement de plaisir et d’anticipation. J’étais
dans un fol état de contemplation.
-Allez, elle ne va pas te manger!
Je me suis approché, tout doucement, son odeur m’excitait grave… J’ai tendu
ma main et je l’ai empoigné doucement, pour m’imprégner de sa chaleur et de sa douceur. Ma main n’en faisait même pas le tour. J’ai poussé avec ma main cette peau douce, chaude et
souple qui recouvrait le bras de chair gonflée, dure et veinée, pour décalotter le gros gland sombre et son odeur musquée. Je me suis encore approché et du bout de la langue, je me suis mis
à le titiller. La langue caressait cette chose chaude et lisse, goûteuse… Tout comme moi, il savourait.
-C’est ça, vas-y tout doucement.
J’étais agenouillé devant un étalon, un vrai travailleur, musclé par les
fardeaux, bronzé par le soleil, qui portait son court short denim et ses grosses bottes de constructeur; et j’avais son énorme queue en main, je le faisais frissonner. Je léchais
ensuite la longueur de son membre, de la base jusqu’au bout, savourant les veines pulsatives qui le parcouraient. J’entourais et je caressais son beau gland avec ma langue, je titillais son
méat. Il m’aidait avec sa grosse queue. Il me la frappait contre la figure et moi, j’essayais de l’engloutir dans ma bouche. Oui, j’ai ouvert très grand… Car sa queue
était vraiment énorme. Puis, le gland a pénétré dans ma bouche chaude. Je me suis mis à le sucer avidement. En fait, le gland à lui seul remplissait ma bouche. Je pompais,
pompais, laissais l’air frais s’y engouffrer, le léchais. Lui, il grommelait tendrement. Son membre était balaise, mais je pouvais en prendre plus. J’ai ouvert la gorge et j’ai
laissé s’enfoncer le barreau de chair au plus profond. Lui, il se courbait, se déhanchait tant la sensation était forte.
-Il sait comment sucer son homme le petit Marc…
De ses deux mains viriles, il prit ma tête et poussa pour enfoncer encore plus
loin son armada. Je ne pouvais plus respirer, dans cette position. J’étais un fourreau, une gaine, un trou dans lequel il enfonçait de plus belle son membre. Je me suis mis à
étouffer. Il me narguait, le beau salaud. Et quand il sentit que c’était juste assez, il se dégagea. Je pus respirer en quelques spasmes, plein de plaisir et
d’humiliation. Alors il s’est débarrassé de son short pour que je puisse admirer ses deux grosses couilles poilues et fermes qui pendouillaient sous l’énorme bélier. Je me suis mis à
les lécher, à les sucer. Elles étaient si grosses, je pouvais à peine en aspirer une entière dans ma bouche pour la sucer. Lui, il grognait doucement. À vrai dire, je sentais
qu’il prenait un pied formidable mais qu’il ne laissait pas trop paraître. Je suis remonté vers la queue. Quelques gouttes de pré-sperme s’écoulaient déjà. Je les ai savourées
et je me suis remis à ma sucette chevaline. J’ai continué, lentement mais fortement, à le branler pendant que je le suçais. Quand j’ai voulu porter ma main vers mon entrejambe qui
battait de fougue, il me l’a interdit. Pas tout de suite. Alors j’ai continué à sucer plus fortement. Et puis, je l’ai agrippé par les fesses pour faire des mouvements plus
rapides. J’enfournais et ressortais cette viande rutilante à un rythme effréné. Sa respiration accélérait, son plaisir décuplait.
-Whoo! Dis donc, tu veux vraiment sur le champ ta dose de liqueur
d’amour!?
Sa voix maligne et grave m’excitait. J’ai émis un « oui » dans
tous ces ébats. Alors il m’a saisi la tête encore plus vigoureusement. Mais cette fois, il ne s’est pas introduit à fond. Il s’est mis littéralement à me défoncer la
gueule. Avec des coups violents de bassin il s’enfonçait et ressortait avec vitesse et agressivité. Son membre énorme m’élargissait la gorge et le pré-sperme se mêlait à la salive
pour me lubrifier la bouche. Il accélérait à chaque coup; il allait me ramollir le crâne, m’éclater l’œsophage… Il me défonçait la gueule et j’adorais, j’avais la trique de ma
vie et je me cramponnais à ses fesses rebondies et dures pour l’aider. Il s’est mis à accélérer de plus belle. Ma gorge et son membre s’enflammaient, il gravissait la flamboyante
montagne de l’orgasme. Et puis, voilà. Les coups se firent plus brutaux encore. Son membre semblait enfler. Sa respiration devenait saccadée et doublée de râles de
plaisir. Et les giclées vinrent. Puissantes, glaireuses, spasmodiques. Il m’emplissait la bouche et la gorge de son sperme fétide et délicieux. La semence chaude et
vivifiante, je l’avalais avec délectation et satisfaction. Elle s’écoulait encore en gouttes abondantes de son méat dilaté, glissant de sa queue palpitante. J’ai tout léché avec
douceur.
-Ouais. Ça c’était une assez bonne pipe. J’crois que t’as mérité de
m’embrasser.
Moi, j’avais légèrement mouillé mon caleçon avec mon érection folle qui
commençait à s’apaiser même si elle n’avait pas été satisfaite physiquement. Il m’a fait remonter vers son visage divin. Au passage, je baisai son pubis puissant, son bas ventre et
son nombril, son ventre, ses pectoraux découpés et bombés. Il était trempé de sueur. J’en suis arrivé au visage. Il m’a pris la tête et m’a embrassé goulûment. Nos lèvres
communiaient, nos langues s’aimaient, nos fluides s’échangeaient. Je sentais nos respirations mêlées, sa chaleur contre la mienne. Je me sentais mourir dans ses bras, c’était
l’apothéose de tout ce qui pouvait ressembler à un contact amoureux et passionné.
-C’était bon.
-Oui, vraiment bon.
J’ai passé ma main sur son beau torse. Il demeurait dans cet échange de
sentiments, tout aussi autoritaire et puissant qu’il l’avait été au début. Je ne savais plus quoi faire. Il était là, la queue pendante, les jambes bien campées, imprégné par une
sublime odeur de sexe, et suave comme toujours, dominateur, pervers. Je me suis écarté un peu, en le regardant. Je suis venu pour m’éloigner, vers la porte.
-Hep hep hep!! Qu’est-ce que tu fous?
Je ne savais pas quoi répondre.
-Ben, les autres vont revenir bientôt. Tu veux pas manger quelque
chose?
-Laisse faire la bouffe. Ya mieux. Toi, tu vas nulle part. J’ai
pas fini. À vrai dire, je faisais que m’ réchauffer.
Il s’est mis en travers de la porte pour s’opposer à mon départ. Il avait
tant de présence et de sensualité. Il me retenait avec une domination mêlée de douceur.
-Tu sors pas d’ici avant que je t’aie bien niqué le cul, que j’aie pris mon pied
et que je t’aie rempli de foutre. Tu vas goûter mon piston gargantuesque par tous tes trous et la baise brutale façon Many. Allez, à quatre pattes…
Ah! J’suis bouche bée, je ne sais pas quoi dire.
-Allez, exécution!
-Non, mais ça va pas? T’as vu la taille de ton bazar?
Il m’accoste.
-Allez, fais pas la chochotte, j’te jure tu vas me supplier pour en avoir
plus. Allez…
Il s’est approché de moi. Il m’a embrassé, il m’a enlacé, ses mains sont
descendues le long de mes flancs. J’étais plein de résignation, d’excitation. Il m’a enlevé mon chandail dans un geste lent et tendre.
-Dis donc, t’es pas mal!
On s’est souri. Il s’est approché encore plus. Nous étions peau
contre peau, je sentais sa grosse érection et il sentait la mienne. Il m’a baisé le cou, il a continué de me caresser le torse. Et puis, il m’a retourné. Je me suis abandonné à
son étreinte. J’ai laissé ma tête vers l’arrière pendant qu’il m’enlaçait, m’embrassait la nuque, le cou, l’épaule. Ses mains parcouraient mes pectoraux, me titillant les mamelons,
passaient sur mon ventre et descendirent à maintes reprises vers mon bas-ventre, puis plus bas, il les plongeait dans mon short et je me cambrais doucement de plaisir. Puis, il
remontait. Son ventre était chaud et humide contre mon dos, sa respiration douce et chaleureuse. Il m’a fait avancer vers le petit échafaudage dans le fond. Il m’a penché
dessus. Il a défait et enlevé son short et l’a accroché près de moi. Il n’avait plus maintenant que ses grosses bottes. Il s’est approché, ses mains se sont rencontrées sur mon
ventre. Dans ce geste, il m’enlaçait et son énorme saucisson dur frottait contre mes fesses. Il est descendu et a défait mes shorts. Ouff, chaque geste nous rapprochait de la
monte douloureuse que j’anticipais. Avec son pied il m’a fait écarter un peu les jambes. Il a atteint son short accroché et d’une poche il sorti un sachet de lubrifiant.
-Allez, la mécanique performante doit toujours être bien lubrifiée!
Il a passé ses doigts sur les muscles de mon dos, de bas en haut, pour me faire
frissonner davantage. Il a déchiré le sachet et m'a lubrifié avec ses gros doigts doux et habiles qu’il faisait parfois entrer dans ma rosette pour me détendre. Moi, j’étais pris
entre le plaisir et la nervosité. N’oubliez pas que sa queue était vraiment énorme. Il a ensuite mouillé son gros membre avec le reste de gel et sa salive.
-Bon, c’est là que se termine le jeu et que commence le vrai plaisir.
Il m’a pris la hanche d’une main et s’est approché. Avec son autre main, il
guidait son énormité vers mon orifice terrifié.
-Écoute, vas-y doucement, je veux pas me retrouver infirme!
-T’inquiète pas, champion, j’suis passé maître, t’es pas le premier que je
déflore!
-J’suis pas puceau!
-Peut-être pas, mais à voir ton cul, j’suis ton premier gros
calibre. C'est ton 2ème dépucelage. Allez, prends une bonne respiration, tu vas la prendre comme un homme.
J’ai saisi les barres de l’échafaudage devant moi pour mieux me contrôler.
Il s’est approché en m’attirant vers lui par la hanche et son gros gland huilé a caressé ma rosette. J’ai eu un tressaillement de peur et de plaisir et sa prise sur ma hanche s’est faite
plus ferme. Il a commencé à pousser. Ouff… Je me suis senti ouvrir. Son gros gland ferme s’est à mis à glisser graduellement pour m’étirer. La douleur était vraiment
criante. Je me suis mis à gémir fortement.
-Chut! Tu veux pas que tes voisins sachent que t’es en train de te faire
défoncer par le type de la piscine ?
La main qui tenait sa queue m’a caressé le dos pour me détendre. Je me suis
cambré un peu. Il a poussé en peu encore et j’ai senti la couronne s’enfoncer, puis la peau douce qui recouvrait le membre dur et veiné. Ouch! Je me faisais défoncer, je sentais
mes entrailles s’étirer, mon anus s’élargir, son membre me fouiller. Un train, un bras de chair s’enfonçait en moi. C’était la sensation la plus érotisante et la plus excitante que
j’avais jamais eue. J’ai tâté vers l’arrière pour constater qu’il n’avait inséré qu'à peine plus que le gland et j’avais l’impression qu’on me défonçait à coups de poing. L’insertion
se faisait de plus en plus lente et douloureuse. Il s’enfonçait à petits coups de reins et tâtait tout mon intérieur, me remplissait entièrement. Il est resté quelques secondes
encore, puis il s’est retiré d’un coup. J’ai senti mon ventre imploser, comme si on me vidait et un trou béant dans on arrière train qu’avait laissé le membre gargantuesque de Many.
Il m’a laissé quelques secondes pour que la douleur se dissipe. Il a mis encore un peu de lubrifiant.
-Oh… Many…
Il s’est enfoncé sans que je m’y attende. Et cette fois, il était
entièrement en moi. Je pouvais le sentir, battre en moi, et ses grosses couilles contre mes fesses. Je gémissais de plaisir.
-Tu vois, y faut y aller tout doucement, mon p’tit. La baise c’est comme
ça. Ça commence tout doucement. Et, une fois que la voie est ouverte, on peut commencer à s’amuser.
Je l’écoutais à peine. J’étais dans un semi coma, plein de douleur et de
plaisir. Il a commencé un va et vient languissant, tendre et lent. Son énorme trompe m’attendrissait les entrailles, me réchauffait. Je n’arrivais même pas à comprendre comment
une telle énormité pouvait s’enfoncer entièrement en moi. J’étais vraiment empalé, je me sentais étiré dans tous les sens. Il allait, il venait et me bouleversait l’intérieur.
J’étais en train de devenir fou. Tout en continuant à me tarauder, il s’est penché sur mon dos pour déposer un baiser tendre et mouillé, au centre. Il me tenait par l’épaule pour
avoir prise sur cette monte gravement délicieuse. C’était vraiment de la grosse mécanique. Des livres de viande entraient et ressortaient de moi avec une force et une douceur toutes
deux démentes. Moi, je me cambrais de plus belle. Et alors il a commencé à accélérer. Ouf, il va me buter. Je sentais mon ventre poussé aux limites de la douleur.
Son membre me comprimait. C’était vraiment tout feux tout flammes. J’aurais voulu qu’il me monte, qu’il me défonce comme ça pour l’éternité. La sensation était tellement
enivrante! Et j’ai été comblé. Ça a duré une éternité puisque je le garderai en mémoire pour toujours. Je savourais chaque allée, chaque
venue de sa queue, de son membre dans mon cul. J’ai savouré avec extase pendant des minutes, des minutes et des minutes, dans un silence calme, entre les ténèbres et la lumière de la
remise. Il m’a pris par les hanches et il s’est mis à être plus vif. Pas brusque. Vif. Il entrait et sortait avec une vélocité merveilleuse. Il m’amenait à lui et me
repoussait, jouant avec moi comme une poupée de chiffon emmanché sur son énorme bazar. Et je me laissais faire. Le temps passait, c’était une éternité et rien tout à la fois. Je
sentais le temps passer. Mon cul devenait plus chaud, la belle brûlure aigre au bout de ma queue… Je laissais parfois quelques gouttes de pré-sperme et mon plaisir s’intensifiait
comme un orgasme avorté et cristallisé. Je commençais à sentir quelques vagues froides de malaise m’envahir et, en même temps le plaisir, me faire frissonner. J’écartais les jambes
pour lui faciliter la tâche, pour qu’il puisse s’enfoncer encore plus. Ensuite, il m’a pris et m’a fait pivoter sur le côté. Il a levé ma jambe et s’est mis à me pistonner de
côté. Moi j’étais couché sur mon flanc droit sur "l’échafaud" et chaque coup de butoir me faisait déplacer. Il pouvait maintenant plus librement me caresser le ventre. Mais il
était surtout concentré sur son enculade frénétique. Et puis, j’en ai eu assez, j’ai pivoté pour lui faire face. J’étais toujours emmanché et il s’est penché sur moi. Je lui ai
ceinturé le torse avec mes jambes et ses grands bras puissants m'ont pris aux omoplates et il s’est mis à s’enfoncer encore plus vigoureusement. Maintenant, nous nous regardions droit dans
les yeux, perdus dans une concentration folle, pleine de délectation et d’ivresse. On se regardait sans bouger. Il n’y avait que son bassin que me donnait des coups de plus en plus
violents. Le rythme de nos respirations accélérait, l’intensité du plaisir. Et puis, il s’est cramponné à moi, et moi à lui tant notre plaisir était mêlé à une douleur perçante.
Il s’est encore mis à accélérer, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je le sentais, il devenait plus sensible, plus saccadé.
Et puis, il s’est arrêté. Quoi!!??
-T’en fais pas, j’ai pas fini, me dit-il pour me rassurer de sa voix suave. Faut juste que j’laisse ma montée se calmer…
Après seulement une dizaine de secondes, il s’est redressé. Il m’a écarté les jambes pour me faire pivoter sur son gros barreau. J’étais
à nouveau sur le ventre, penché sur "l’échafaud", le cul bien agrandi. En me cramponnant aux barreaux de fer j’ai eu l’idée de jeter un vif coup d’œil sur ma montre. Putain! Ça
faisait plus d’une heure qu’il me défonçait en « non stop.» Il était vraiment fort, Many. Il s’est râclé la gorge, s’est dégourdi la cheville et il m’a saisi à nouveau par la
taille. C’est là que j’ai compris qu’on ne rigolait plus. Non. Cette fois, il ne me baisait pas, il me détruisait. Il s’est mis à me donner de violents coups de bassin et
son membre viril m’empalait sauvagement, rapidement. Le gros piston ravageur sortait en entier, puis revenait en force, s’engouffrait en entier en moi. La chaleur me brûlait, j’avais
mal. Ma queue allait exploser. C’était un moment d’absolu. J’étais vraiment un sac à viande qu’il remplissait avec une cruauté qui me faisait jouir au plus haut point. Il
râlait, et moi, depuis un bon moment déjà, je braillais de joie et de souffrance. L’échafaud souffrait lui aussi sous nos poids conjugués et la force des coups. À vrai dire, j’ai eu
peur, j’ai eu peur qu’il me blesse.
Il me défonçait avec cette fougue masculine et cette force herculéenne depuis probablement un quart d’heure. C’était un vrai mâle rutilant,
flamboyant, ardent, rayonnant. Puis, il m’a empoigné de plus belle, il a accéléré fortement et brutalement. J’ai senti sa respiration s’étouffer
et tout son corps se contracter. Puis, de puissants jets de foutre se sont répandus en moi. Je pouvais le sentir couler de son méat enflammé, de son membre gonflé à bloc par la
chaleur et le plaisir. Il se vidait les couilles en moi, se contractait, avait des spasmes de plaisir fou qui me plaisaient à moi aussi. Il m’avait rempli de foutre. Quand il
s’est enfin retiré, je me suis senti vidé et son sperme abondant coulait de mon cul atrophié par la baise chaude et intense.
Moi, j’étais sur le point d’exploser. Toutes les sensations de mon corps convergeaient en une tension douloureuse le long de ma queue.
Il le savait, quel salaud. Il m’a assis sur l’échafaud. J’ai écarté les jambes. Il a pris ma queue molle de fatigue dans sa main moite et chaude, ce qui m’a fait
tressaillir. Avec son sourire sardonique il s’est penché et d’un seul coup de langue sur mon gland plein de sperme, il a libéré mon orgasme. Je me suis convulsé avec plaisir. Il
est remonté à mon visage, mêlant avec sensualité son haleine à la mienne alors que je giclais sur son ventre. J’avais des spasmes de plaisir. Il me regardait droit dans les yeux et il
caressait mon dos ce qui me faisait frissonner davantage. Il m’a malaxé les couilles tendrement et s’est mis à m’embrasser. On s’est reposé, front contre front, yeux dans les yeux.
Notre respiration se calmait peu à peu et notre esprit aussi, dans cette chaude odeur de sexe.
-Tu vois, j’te l’ai dit, si y a quoi que ce soit, t’a qu’à demander, ton Many va s’en occuper.
-Je sais pas si j’pourrai un jour être contenté de nouveau comme tu viens de le faire… T’es vraiment
toute une aventure…
Il n’a pas fallu grand temps pour qu’il se rhabille, range sa queue merveilleuse et sorte de la cabane. Et quand il est sorti, des voix se
sont levées.
-Ouais, t’aurais pu faire plus de bruit, Don Juan, tout le quartier vous a entendus.
Quoi!!?? Je jette un coup d’œil à ma montre. Ça fait bientôt deux heures qu’on baise comme des débiles. Les types de la piscine
sont revenus à leur boulot… On ne peut qu'imaginer qu’ils savent. Je me suis rhabillé en vitesse, je suis sorti, comme si de rien n’était...hum !
je me suis offert à lui...encore timide ?
sa main guidant... son barreau ses doigts ayant ouvert le chemin ...en place pour l'intense joie
de se donner l'un à l'autre
UNE SUITE ? DE SUITE !
Marc vit à présent avec mon mec et son frère depuis une année.
Je me réveille doucement dans les bras de mon petit beau frère de 18 ans qui partage également ma vie comme son frère ainé de 22 ans.
Nous échangeons un baiser tendre et humide.
Aussi je n’oublie pas de lui lécher doucement ses lèvres du bout de ma langue qui a pour effet immédiat de le faire bander un maximum.
Nous dormons tous à poils notre lit, j’attrape sa bite d’une vingtaine de cm et je la porte à ma bouche, j’aime son odeur de bite au petit matin.
J’en profite pour lui titiller du bout de ma langue son gland et prendre son pré cum si délicieux.
Puis j’avale entièrement sa bite dans ma gorge et débute des vas et viens tous en le branlant.
J’aime sentir sa bite se décalotter dans ma bouche.
Mon beauf pousse des petits gémissements puis m’attire hors de notre lit.
Je me pose en levrette sur le sol et je sens son gland forcer mon passage, ses mains me retiennent les hanche.
Mon beauf est à présent entièrement dans mon cul, il me lime durant 30 bonnes minutes puis dans un râle de plaisir déverse son foutre épais bien au fond de mon
cul.
Il est déjà en retard pour les cours, il m’embrasse et file sous la douche.
J’en profite pour réveiller mon mec encore au lit, je me glisse dans les draps et suce sa grosse bite qui est bien dur comme tous les matins.
Très rapidement il me fait mettre en position 69, sa langue me rentre dans mon cul rempli et dégoulinant du sperme de son frère.
Rien que l’idée que mon mec lèche et bouffe la semence de son frère m’excite grave et je redouble d’effort à lui pomper sa queue de 23 cm.
Très rapidement il me remplit la bouche de foutre chaud que j’avale, je me retourne et nous échangeons un baiser juteux.
Nous sortons du lit et nous nous installons à poils dans le séjour pour déjeuner.
Je suis encore super chaud, en effet mes couilles sont toujours pleines.
Mon beauf nous rejoint et nous embrasse chacun notre tour sur la bouche.
Il se baisse au niveau de mon entre jambes et commence à me sucer.
J’aime cette scène, je prends mon café à poils avec mon mec et mon beauf me suce.
Je gémis de sentir ses lèvres me faire du bien.
Mon jeune beauf étant toujours à poils, je le relève et l’entraine sur le canapé.
Il s’assoit sur ma queue et commence des va et vient sur ma bite raide.
Durant notre baise, nous gémissons fort.
Mon mec fini son café et il prend un plaisir à nous mater tous en déjeunant.
J’aime le cul de mon beauf, serrer et procurant un plaisir fou, mon mec nous rejoint et tends sa bite à son petit frère qui la suce comme si sa vie était en
jeu.
Je tire le premier dans le trou de mon beauf épuisé par ses va et vient sur moi.
Puis rapidement mon mec se déverse dans la bouche de mon beauf qui avale tout.
Mon beauf se retire de ma queue, son trou lâchant mon foutre sur mon ventre.
Il s’applique à nettoyer ma queue baveuse qui sent sont trou fortement.
Mon mec suce également mon beauf très vite rejoint par moi, nos bouches s’applique à tour de rôle et dans un moment intense mon beauf se contracte et gémit, lâchant
plusieurs jets de foutre sur nos visages.
En suivre des échanges de langues et de baisers afin de bouffer tout se foutre.
La journée peut ainsi commencer après un bon petit déjeuner.
Soirée bien arrosée
Après une journée longue de travail au bureau je rentre dans mon appartement, mon beauf est déjà chez nous a poils, nous vivons en mode naturisme à la
maison.
A peine arrivé mon beau se jette sur ma braguette et me sort ma bite qu’il s’empresse de sucer tendrement, j’en profite pour me foutre à poils a mon tour et
je lui baise la bouche fortement.
Puis je le relève et nous échangeons un baiser doux, sa bouche sent ma bite (hum que du bonheur).
Je le retourne et le plaque contre le mur de la porte d’entrée.
Mouille mon gland est je m’enfonce dans lui jusqu’aux couilles.
Je commence à lui donner des coups de reins bien profonds, lui plaquant bien la tête.
J’accompagne mes coups de moletons sur sa gueule.
Mon beauf gémit fort (ses hurlements doivent s’entendre sur tous le palier).
Je m’en fou à vrai dire je suis trop chaud et je ne pense qu’a me faire plaisir dans lui.
J’aime que ma bite entre et sorte de son anus encore juteux du matin, je peux mater mon foutre matinale ressortir sous mes coups de bite.
Rapidement j’accélère le rythme et il se branle énergiquement, déchargeant sous foutre sur le mur.
En se rétractant sur ma bite je me vide dans son cul, continuant des vas et viens tendre pour bien me vider.
Je me retire et lèche son propre sperme le long du mur avant de me nettoyer la queue.
Puis l’on s’embrasse tendrement échangeant nos jus.
Nous allons direction la salle de bain ou il se met en levrette devant moi pour faire couler l’eau de notre bain.
De son trou mon sperme coule le long de sa cuisse.
Nous nous installons dans le bain qui est me donne une envi de pisser, mon beauf le sait bien et me tend son cul.
Je bande toujours et je me remets dans lui, mon foutre aidant.
Et je commence à me soulager doucement.
Son intestin se remplit de ma pisse chaude.
Il est tellement remplit que ma pisse mélanger à mon jus ressort de son cul.
On entreprend ensuite de se rincer.
Pendant que l’on se sèche il m’annonce que son petit ami vient ce soir et m’indique qu’il est curieux de notre relation.
Mon mec rentre à son tour du travail, nous voyant habiller on lui annonce notre visiteur, c’est l’occasion pour nous de boire un verre avec Cédric.
Très rapidement les esprits s’échauffent j’en profite pour sortir la bite de mon mec, Cédric est étonné de la taille, et je débute la suce de mon mec en prenant
soin de le mater dans les yeux faisant ma salope.
Mon beauf sort à son tour sa queue sous le regard de son ami présent ce soir.
Ma bouche quitte celle de mon mec pour mon beauf.
Tout en pompant sa queue je caresse l’entre jambes de Cédric qui bande dur puis je libère sa bite qui fait 20 bon cm.
Je dirige ma bouche sur sa queue que je pompe entièrement, sa main vient sur ma tête et Cédric me donne le mouvement.
Mon beauf nous annonce qu’il sorte ensemble depuis 6 mois et qu’il vient juste de lui annoncer notre relation à 3.
Curieux il a voulu voir.
Très vite nous sommes à poils dans le lit, Cédric est debout et je moi a 4 pattes pour le sucer, mon beauf me bouffe le cul et mon mec me suce la bite.
Nous gémissons tous fortement.
Rapidement mon beauf se faufile dans moi et commence à me limer.
Mon mec se retire et se positionne dans le cul de Cédric qui se laisse faire.
Imaginez la scène, je me fais limer tous en suçant une bonne bite d’un bogoss blond de 1m80 avec un putain de torse.
Mon beauf se retire de mon cul laissant mon trou béant en faisant signe à Cédric qui me pénètre à son tour, mon beauf se met à genou devant son frère et le suce
avant de tendre son trou à ce dernier.
Mon mec baise énergiquement son petit frère sous notre regard.
La scène doit beaucoup exciter Cédric qui me demande s’il peut me tirer dedans, chose que j’accepte.
Dans un rythme des bons coups de reins profond je sens sa bite se contracter et me balancer des jets de foutre contre la paroi de mon intestin.
Cédric se retire la bite baveuse de sperme que je m’empresse de sucer (j’aime l’odeur d’une bite sortant de mon cul), mon cul ne reste pas béant longtemps, mon
beauf me baise à son tour, me remplissant également de son foutre chaud.
Laissant la place à son frère qui prendra son temps dans moi en me limant à fond, mon trou étant hyper dilater après tous les passages de queues et du
sperme.
Mon mec dans un râle de plaisir me tire dedans.
Puis il sort sa bite et commence à bouffer tout le foutre qui sort de mon cul, durant se temps Cédric me pompe avec mon beauf rapidement en matant la scène du
miroir de la chambre je jute 6 bon jets de sperme sur leurs visages que je lèche.
Après des échanges de foutre dans nos baisers, une nuit longue de plaisir commence…
Merci à vous mes loulou <3
youngboy09...encore cyrillo !
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commentaire : Pour ces gars,un coup de bite de plus, une giclée de mieux ce n'est rien qu'un peu de joie dans un monde très dur !
Toi l'Auvergnat qui sans façon
M'as mis au cul ton gros bout de bois
Quand dans ma vie il faisait froid
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants
Et même mes parents
Tous les gens bien intentionnés
M'avaient fermé la porte au nez
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