1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 12:01

  c'était il y a longtemps, j'avais alors 14 ans   LES SOUVENIRS AUTHENTIQUES DE PAPY 

         Afficher l'image d'origine
       
j'habitais la banlieue ouest de Paris  et ne connaissais rien à l'amour ni avec une fille, ni avec les garçons.  

Je serais resté longtemps innocent si j'étais resté dans cette  bourgade bourgeoise dans cette banlieue ouest de paris.
Mes grands parents ont vendu leur maison en région parisienne pour en acheter une en province, dans un coin retiré de tout il fallait faire 5 Km pour le pain ou le journal et 15 Km pour espérer avoir le reste.
Je fus invité à y passer mes vacances de Pâques.
Oh je ne fus pas triste car pour moi ma grand-mère était plutôt comme ma mère.
   
Je débarquai en car dans une bourgade de province à la tombée de la nuit, mon grand-père était là pour m'accueillir,en 2cv grise. Et un parcours de plusieurs minutes presque une heure.
Une lumière me montra le chemin de l'entrée de la maison, ma grand-mère sur le pas de la porte m'accueillie en me faisant un câlin comme du temps ou j'était tout petit (elle 1m49 et moi 1m70) cela devait être comique mais je m'en foutais elle était ma grand-mère.
Mon grand-père arriva et dit à table tout le monde. A la fin du repas nous dit je vais me coucher bonne nuit a vous. Oh les paroles n'étaient pas nombreuses de sa part, il fallait s'en contenter. Ma grand-mère me montra ma chambre, il fallait sortir du bâtiment principal de la maison (une ancienne ferme avec un grand verger derrière) et un petit bâtiment avec de la terre battue au sol en guise de plancher, un poêle à bois le long du mur à coté une porte en bois rustique à coté, un petit couloir une autre porte et une chambre en contrebas il fallait descendre trois marches et là une chambre de dix mètres de long et de quatre mètres de large pour moi tout seul, là aussi un poêle à bois trônait au centre de la chambre, un seau avec des morceau de bois à coté.
Ma grand-mère me dit alors ton royaume, te plaît il ? la chambre est pour toi tout seul.
Tu t'en occupes, tu me donnes tes draps une fois par semaine et ton linge deux fois, tu nettoies ta chambre et tu t'occupes de la chauffer le bois est juste là au pied de la fenêtre, pour les cendres il y a un tas derrière la maison à coté des toilettes, pour la nuit il y le seau là avec le couvercle, tu fermes ta porte à clef personne n'y viendra sauf toi.
Là-dessus elle me fit la bise me dit bonne nuit et me laissa seul dans mon nouveau domaine.
Je fis le tour de mon nouveau château, grand en surface mais pas grand-chose une table une chaise, contre le mur une petite table avec une cuvette et un seau d'eau pour la toilette, un grand lit, pour il me paraissait grand il faisait en fin de compte 1m30 de large haut plus haut que les lits que je connaissais. Et une armoire avec une glace sur les portes face au lit. Je pris ma valise la posai sur une chaise l'ouvris et rapidement en tirai un pyjama, me dévêtis et me glissai dans le lit.
Je m'endormis comme un loir, le froid me réveilla dans la nuit vite je compris que j'avais oublié de charger le poêle, quelques morceaux de bois et je me rendormis jusqu'au matin.
Vous allez me dire que fait il à écrire une histoire pareille dans un site d'histoire érotique gay
Si vous êtes pressés alors allez voir ailleurs car moi j'ais mis quarante ans à pouvoir écrire cette histoire alors vous avez bien cinq minutes pour vous situer dans le contexte de mon époque.
Et si la littérature homo : il sonne il entre me déshabille m'encule se vide dans mon cul m'embrasse se rhabille et s'en va vous plaît alors allez voir ailleurs.
Je me lève me lave (enfin je me mouille le visage les oreilles pour le reste on verra plus tard), m'habille de vêtements propres pris dans mon bagage et je me dirige vers la maison principale. En sortant je frisonne nous sommes au printemps et le matin est encore frais, matin pour moi parisien mais pour les gens de la campagne il est déjà tard. J'entre dans la cuisine sur la table un grand bol et des tartines beurrées m'attendent, ma grand-mère me demande si j'ai bien dormi et me fait la bise du matin.
Je lui réponds que j'ai dormis comme un loir des villes.
Elle sert un bol de lait chaud et y ajoute du chocolat en poudre et me dit bon appétit, quand tu auras fini de prendre ton petit déjeuner tu lave ton bol et tu passes un coup sur la table et tu peux visiter la maison et ses environs jusqu'à midi pile car ton grand-père déteste comme tu le sais manger en retard bien qu'il soit à la retraite depuis plus de quinze ans.
Je lui répondis que j'étais d'accord avec son programme. Elle me dit, au moment où je sortais lorsque je quittais la maison si tu veux tu peux aller à la maison là-bas c'est la ferme où nous nous servons pour le lait et le reste des produits du coin il on un fils de ton âge tu pourras t'en faire un copain par contre si tu restes plus longtemps viens nous le dire. (elle voulait me dire que si les gens m'invitaient à manger que je pouvais le faire si je les prévenais avant midi.
Je pris donc la matinée à tourner et à virer dans et autour de la maison, comme n'il était pas loin de midi je suis revenue vers la maison pour être à l'heure pour le déjeuner.
Quand j'entrai dans la cuisine il était midi moins cinq mon grand-père se lavait les mains, alluma la radio sur Radio Luxembourg (RTL aujourd'hui), et s'assit à sa place le repas se passa comme tous les repas avec eux sans une parole autre que celles demande de : passer le pain, sel ou autres choses. Le bon appétit avant de manger et le bon après midi ou soir. Ma grand-mère me dit vas je ferai la vaisselle tu n'es pas en vacances pour travailler. Donc je partis en direction de la ferme pour essayer de voir le garçon de mon âge pour voir si nous pouvions devenir copains.
Lorsque j'entrai dans la cour de la ferme je fus accueilli par premièrement le chien qui heureusement était attaché par une grosse chaîne, et deuxièmement par un jeune garçon plus grand que moi presque 1m80 la peau brunie par l'air de la campagne les cheveux blonds mi-longs et mal peignés. Il était vêtu d'un short en velours côtelé marron, et d'un pull à grosses manches vert et, aux pieds, des godasses à peine lacées comme les garçons de maintenant.
Il viens vers moi me tendant la main et me dit : " salut moi c'est Ludovic appelle moi Ludo comme tout le monde" je lui rendis sa main qui était chaude et vigoureuse et lui je lui dis :" bonjour je m'appelle Jean-Frédéric et ma famille m'appelle Fred".
Il me reprit la main et me dit viens nous allons visiter la ferme de mes parents. Il me confia qu'il considérait mon grand-père comme le sien.
Moi je n'étais vêtu que d'un short en toile bleue et un sous pull rouge et, aux pieds, des tennis basses.
En me détaillant des pieds à la tête il me dit il va falloir que tu te changes car comme cela tu vas avoir froid, bouge pas je vais voir ma mère lui demander quelque chose. Il partit en courant en me laissant sur place, revint cinq minutes après en disant viens ma mère ma dit de te donner des affaires à moi plus chaudes . Donc nous allons d'abord commencer par visiter ma chambre, je le suivis on entra dans sa chambre par la fenêtre. Ce détail aura son importance, il me dit que dans la journée il le faisait tout le temps et me fit voir que si je venais et qu'il n'était pas dans la cour ou bien chez lui, c'est qu'il était dans sa chambre et que je pouvais entrer chez lui de jour comme de nuit par la fenêtre car il ne la fermait jamais à clef.
Sa chambre n'était pas grande mais elle paraissait encore plus petite car il y avait des affaires partout des jeux des choses hétéroclites. Il fouilla dans son antre, me trouva un short comme lui en velours côtelé et un pull en laine chaude marron, pour les chaussures ce fut plus compliqué car il n'en avait qu'une paire, aussi on trouva une solution une paire de bottes de caoutchouc noir et crotté. Comme je le regardais pour me changer il me dit prends ton temps je vais chercher à boire. Et pendant qu'il fut parti je me déshabillai rapidement, oh je n'avais pas grand-chose à ôter ni à remettre mais quand même je pris mon temps. Tant et si bien que quand il arriva j'étais en slip devant la glace de sa chambre avec le pull sur les bras la tête enfilée, le ventre à l'air. Il me contemplait sur le pas de la porte. Bah dis donc me dit-il t'en mets un temps pour enfiler un pull et un short. Je devins rouge sous le pull car je compris qu'il me voyait presque nu juste mon petit slip. Et lorsque je fis réapparaître ma tête il comprit ma honte : " oh tu sait j'en vu d'autres des garçon tout nu il sont faits comme moi et puis on a le même age alors on est faits pareil. " "Je, je, bredouillai-je s'est là première fois que je suis en slip devant quelqu'un même si tu as le même âge que moi je n'ai jamais vu d'autre personne que moi tout nu lui dis je. -" Oh tu sais tu en verras d'autres ici car nous à la campagne on se promène souvent tout nus dans la forêt, avec les copains du coin tu verras on s'y habitue très vite."
-"Je vais te faire voir que je ne suis pas plus ridicule que toi tout nu." Et aussitôt dit, aussitôt fait, le voilà comme moi en slip (plus que douteux) et le voilà qui retire aussi son pull pour se retrouver torse nu et rien que le slip. Alors me dit il qu'en penses-tu ? est-ce que je suis plus nul que toi comme ça ? Non lui répondis je car toi tu es bronzé alors que je suis tout blanc comme un poireau. Enlève ton pull me dit il pour voir la différence de couleur de peau. Sans honte maintenant j'enlevai le pull qui m'avait caché. Et me voilà comme lui en slip devant la glace à nous regarder qui serait le plus bronzé de peau. Puis il me dit que malgré que je sois plus petit que lui (ont s'étaient mesuré dos à dos) que j'avais un plus gros paquet que lui ! je fis la moue et comme je ne répondais pas il me montra la bosse de mon slip et la sienne il s'approcha même. Presque à nous toucher slip contre slip lui avançant le ventre pour mettre la poche de son slip au plus près du mien. Regarde me dit-il je suis aussi blanc que toi, j'en suis sûr, sous le slip ? Comme je ne bronchais pas et même que je rougissais il s'empara des deux élastiques de nos slips et les tira vers le bas. Je vis alors pour la première fois le zizi de quelqu'un d'autre. Rouge non je ne l'étais plus je devais être presque écarlate j'avais les joues qui me brûlaient tellement je devais être rouge de honte qu'il voie mon petit zizi.
Alors il prit les devant je comprends me dit il c'est la première fois que tu te trouve tout nu devant quelqu'un d'autre? Oui parvins-je à lui répondre. Ne t'en fais pas je vais te montrer comme on fait entre copains (pote maintenant).
Il me pris le slip et le descendis jusqu'à mes pieds me fis lever un pieds puis l'autre et le jeta sur le tas de linge dans un coin de sa chambre. Puis il me prit les mains, les mis sur le coté de son propre slip [sur ses hanches] et me dit de faire comme pour moi de le retirer et de le jeter sur le tas de linge.
Je fis descendre le slip le long de ses jambes mais je dus me mettre à genoux pour le faire passer par ses pieds et je me retrouvai avec le nez juste à coté de son sexe. Je ne prêtais pas attention à cela mais lui oui il viens coller le bas de son ventre à ma bouche et à mon nez.
Ce fut la première fois que je sentis l'odeur d'une quéquette oh elle n'était pas bien grosse mais elle avais déjà ce parfum envoûtant qui me fais craquer maintenant. Une fois nu il se tourna devant moi toujours à genoux devant lui pour bien me montrer tout son attirail comme il disait.
Il me dit de m'asseoir sur le lit et me fis relever les pieds et les poser sur le bord sous les fesses, il se mit à genoux devant moi et m'écarta les cuisses au maximum il avait le nez juste devant mon engin qui était toujours au repos car je n'avais jamais joué avec je ne savais rien, absolument rien, là-dessus. Par contre je devais en apprendre pendant ces vacances.
Il me respira tout abord en passant et repassant au dessus de ma bébête. Elle ne bougeait toujours pas ; aussi il prit l'initiative de la prendre dans sa main cela m'a fait tout drôle dans le ventre de sentir cette main sur mon sexe il le caressa doucement. Le passant et le caressant de haut en bas et de bas en haut. Puis de l'autre main je sentis qu'il me prenait mes petites boules qu'ils les faisait tourner dans leur sac avec ses doigts. Je ne disais rien, me contentant de regarder ce qui m'arrivait. Je voyais cela comme si on le faisait à quelqu'un d'autre que moi sauf que cela me faisait des choses dans le ventre, des ondes agréables montaient de mon bas ventre jusque dans ma poitrine. Cela devint plus fort encore lorsqu'il fit glisser la peau de mon zizi vers le bas et que je sentis pour la première fois le froid sur la tête de mon engin qui était toujours mou mais je pense qu'il n'allait pas le rester longtemps. Oui il fit glisser la peau de mon zizi vers le bas puis vers le haut et cela plusieurs fois et de plus en plus vite.
    C'est bon me demanda t il ? Oui je lui répondis dans un souffle je commençais à sentir que quelque chose se passait dans mon bas ventre ma quequette avait doublé de volume je voyais ses doigts s'agiter dessus et étant au-dessus je sentais comme une douce odeur de musc me parvenir. J'étais de mieux en mieux je me sentais flotter. Des ondes de bien être montaient de mon ventre, mon zizi commençait à me faire mal et je le lui dis il me dis que comme c'était la première fois la pompe n'était pas encore amorcée et que ma queue était trop sèche qu'il fallait qu'il remédie à cela je le vis ce pencher sur mon zizi, le prendre en bouche, alors là je devins fou de plaisir je me ruais dans sa bouche en lui enfonçant mon engin jusque dans le fond de sa gorge. Il me prit par les hanches et me força à me coucher sur le lit sur le dos . Et il me suça pendant un long moment. C'était tellement agréable que je ne sentis pas venir la fin : mes boules se sont rétractées mon ventre s'est contracté, et d'un seul coup je sentis quelque chose monter de mon ventre, se ruer dans mon engin et sortir en saccades : une puis une deuxième puis une troisième. Et cela se calma je suis tombé à plat dos sur le lit anéanti comme si j'étais tombé dans les pommes.
Alors Fred me dit il comment trouves-tu cette première fois ?
Je ne sais pas ce que tu m'as fais mais c'était si bon que j'ai failli tomber dans les pommes.
Non tu n'est pas tombé dans les pommes tu as seulement joui me dit il.
Tu sais c'est la première fois que je vois mon zizi dur et droit comme cela et c'est la première que je vois quelque chose ou plutôt senti quelque chose sortir de mon zizi [à part la pisse].
Es ce que tu pourrais me montrer comment on fait, Ludo Svp ?
Oh mais bien sûr mais il ne faut pas aller trop vite, on a toutes les vacances pour ça.
Si tu veux tu peux jouer avec le mien me dit il.
Ok lui dis je comment fait on ?
Il se plaça sur le bord du lit comme moi tout à l'heure sauf qu'il s'allongea directement sur le coté
Il me dit de mettre ma tête sur sa cuisse et de prendre en main son engin qui n'était plus du tout mou il était raide et dur j'avais du mal à en faire le tour avec ma main sa peau était douce et chaude il s'en dégageait une douce odeur comme tout à l'heure la mienne, hum!! Comme c'est doux et agréable nos zizis lui dis-je. Je sentis sa main prendre la mienne par dessus et de me montrer le geste convenable. Je descendais la main le long de son engin je voyais sa tête énorme avec sa fente en son milieu, une collerette qui fait le tour de cette tête, et comme j'avais compris le mouvement il repris l'autre main pour me la poser sur ses boules velues et douces que c'était bon aussi de sentir entre mes doigts ces balles chaudes et duveteuses. Il me dit de lui faire des bisous sur le dessus quand la peau était en bas et de lécher quand elles remontaient pour ne pas que je fasse trop chauffer. J'eus envie de faire comme lui de la mettre dans ma bouche. Aussi je m'approchai de la tête et quand je lui faisais un petit bisous dessus il donna un coup de rein qui fit entrer la moitié de son engin dans ma bouche. Il fit lui même les mouvements de va et vient et j'eus la totalité de son énorme engin dans la bouche jusque dans le fond de la gorge. Mum! Que c'était bon de sucer un bel engin comme cela. Il arriva ce qui devait arriver et comme je ne savais rien je ne pris pas garde je reçus tout dans la bouche, de longues et fortes saccades j'avais la bouche pleine de son jus il se retira j'allais cracher dans ma main non me dit il ne faut pas la première fois il faut faire un vœu. Il m'embrassa à pleine bouche il me fit pénétrer sa langue dans la bouche il visita ma bouche comme il avait visité mon zizi.
Puis me lécha la figure en me disant que s'était bien même très bien pour une première fois.
Je le pris dans mes bras et le serrai comme si j'avais envie d'entrer en lui.
Il me dit il faudrait peu être se lever et aller se promener un peu? Ok lui dis je. Ou va t-on ?
J'enfile mon slip son pull et son short puis les bottes. On est vraiment pareils à part la taille de 5 cm de plus sinon tout est pareil les manches un peu longues, le short aussi, les jambes du short son un peu larges et j'ai comme des courants d'air sur le coté. Je le lui dis. il se penche alors pour voir si c'est vrai et glisse sa main pour vérifier et touche alors ma quequette à travers mon slip.
Et nous voilà partis nous avons fait le tour de son domaine une grande ferme pleine d'animaux et de terrains de granges. Nous allons bien jouer à cache-cache ma t-il dit.
Il me dit aussi que ver le bas, derrière il y avait un étang qui servait l'été de piscine et que comme dans le coin nous n'étions pas nombreux à pouvoir y aller, la plupart du temps avec les amis et les amies qui viennent chez lui on se baigne tout nu tous ensemble garçon et filles.
Puis nous avons été jusqu'à chez moi, en passant je dis bonjour à ma grand-mère Elle aussi nous demande si cela va comme on veut? Pour le mieux nous lui répondons-nous d'un commun accord en nous poussant du coude. Je vais lui montrer ma chambre dis je à ma grand-mère pas de problème répondit celle-ci profite en pour faire aérer. Ok je lui réponds.
Nous entrons dans le bâtiment, il est impressionné par le fait que je puisse avoir la clef et que personne n'y entre. Je lui dis que ma grand-mère ma dit que si je faisais pas le rangement ni le ménage ce n'est elle qui le ferait car c'était mon chez-moi. Nous entrons et je referme la porte.
Pourquoi me demande t il? Parce que nous allons sortir par la fenêtre comme chez toi.
Et comme je ne la fermerais pas tant que je serais en vacances si tu voulais venir dormir avec moi tu n'aurais qu'à cogner et entrer. Ok pas de problème tu me verras venir. J'aimerais bien passer une nuit entière avec quelqu'un.
Je lui demande tu as déjà fait l'amour avec quelqu'un ?
Oh!! Non me dit il juste comme aujourd'hui avec toi et si une fois avec une fille on s'est toucher le zizi ensemble mais elle à crié que je lui faisait mal alors elle est partie et je ne l'ais jamais revue par ici.
Ce soir je me couche et puis je viens te rejoindre un peu plus tard par contre il faut que je rentre avant 6 h 00 demain matin car je vais avec mon père traire les vaches.
- Ok donc quand tu viendras on mettra mon réveil pour 5h30.
L'après midi se poursuivit comme elle avait commencé on a joué par ci par là. Il m'a fait découvrir des choses que lui seul connaissait par ici. Il me montra tous ses secrets de garçons. Ses amis animaux.
La journée me parut longue je dînai avec ma famille puis j'ai été me coucher il était 20 h 30 quand me retrouvai dans ma chambre, je chargeai le poêle a fond pour avoir bien chaud. Je me mis tout nu pour me laver entièrement des pieds à la tête, je fis plus attention a mon zizi et à mes fesses, pour éviter qu'il y ait des odeurs car je me suis aperçu cet après midi que ses endroits là avait une odeur assez forte. J'en profitais pour ouvrir mon lit en grand et vérifier que le drap d'en dessous. J'enfile mon pyjama et me glisse sous les draps. Je regarde la pendule il est maintenant plus de 21 h 00 et toujours rien. Je me cale dans mon oreiller et rêve les yeux fermés à ma journée forte en nouveaux jeux et encore plus forte en actions nouvelles pour moi. Et je m'endors. Combien de temps il s'est passé je ne peux le dire, comme je ne peux dire si je rêve ou bien si cela est réel mais je sens une main contre moi et même plus maintenant je sens un corps contre moi. La main frotte mon ventre et se glisse sous l'élastique de mon pyjama. Elle touche mon zizi qui dort encore, il est tout flasque et repose sur mes petites boules dans leurs sacs tout fripés. Je me demande si je rêve ou s' il y a bien une main dans mon pantalon. Je me retourne en me mettant sur le dos et là j'attends. Rien ne se passe je referme les yeux pour me rendormir dans un demi-sommeil je sens quelque chose d'humide ce poser sur mon zizi. Et me le gober entièrement. Oh!! Que c'est bon, mon zizi ne reste pas indifférent. Il se réveille, il prend du volume dans ce conduit chaud et humide. Et je ne peux rien faire une boule dans mon ventre monta vers mes boules presque à faire mal puis je sentis cette boules monter vers ma petite tige dans le conduite humide. Et là une explosion dans la tête de mon zizi, et me mis a expulser mon jus dans le conduit.
Je me suis réveillé complètement quand j'entendis quelqu'un tousser sous la couverture. S'était mon ami Ludo, qui sortit la tête de dessous les couvertures tout rouge et il passa sa main sur sa bouche en me disant: -" ben dis-donc tu m'as lâché le paquet!."
Pardon lui dis je dormais et rêvais de toi enfin de nous cet après midi!! Je ne savais même pas si tu allais venir. Aussi je me suis couché. Comment es tu entré sans que je t'entende?
Oh! J'ai attendu que mes parents se couchent puis que mes frères se couchent eux aussi. J'ai choisi ce pull et ce pantalon avec rien dessous, juste mes tennis. Je me suis caché après dîner pour me laver pour pouvoir être propre pour toi. Et quand je suis arrivé à ta fenêtre j'ai regardé et j'ai vu que tu dormais alors j'ai hésité, puis je me suis lancé. Tout doucement j'ai poussé la fenêtre et je l'ai refermée doucement en te regardant dormir sur le coté. Je me suis déshabillé devant le poêle, pour me réchauffer. Puis je me suis glissé sous les draps contre toi et comme tu ne bougeais pas je me suis aventuré avec ma main dans ta culotte. Pas de réaction je me suis dit je vais repartir il dort à poings fermés il est trop fatigué de cette journée. Et là tu te mets sur le dos une aubaine pour moi. Je me glisse hors du lit, te laisse te rendormir, puis je me glisse comme un serpent à la hauteur de ton ventre. Et je cherche à l'odeur, ta petite bite de puceau. Avec la langue j'écarte l'ouverture de la braguette et du bout des lèvres j'aspire un petit bout de viande tout mou, oh pas longtemps car il se mit à durcir dans ma bouche. Hum!! Que c'était bon de sentir vibrer ta petite chose et surtout le goût extra. Par contre ce ne fut pas long tu as explosé vite fait mais c'était bon.
Il se recoucha contre moi et m'embrassa avec la langue jusqu'au fond de la gorge. Il était nu comme un ver pas contre moi, je portais encore mon pyjama. Il s'en occupa rapidement. Je me retrouvai nu comme lui sous les draps. Une première encore, oui c'était la première fois que j'étais nu dans lit. Que cette sensation était agréable!
Il m'appuya sur la tête pour je l'embrasse la poitrine et puis je descendis sur son ventre, je lui léchai le nombril. Poua!! Un goût immonde un mélange de pipi et de crasse. Aussi je lui dis : Ludo quand tu viens ici ne prends pas la peine de te laver cher toi moi je te lave et toi tu en fais autant pour moi comme cela on se lavera des coins qu'on oublie. Puis je repris ma descente vers son pieu. J'avais moins peur que ce matin mais quand même je craignais encore cette chose surtout que lui était énorme par rapport à moi. Ma langue rencontra ses poils frisés et odorants malgré qu'il soit blond, puis ma langue se retrouva à la base de sa colonne de chair, déjà en l'air et bien raide. Je la léchai de bas en haut puis fis le tour de ce monstre en me disant que jamais je ne pourrais mettre tout ça dans ma bouche. Je glissai une main pour en évaluer la grosseur et je descendis son prépuce jusqu'en bas le maintins avec la main puis je titillai le gland de ma langue. Puis je lui fis des petits bisous sur le trou en son sommet, y glissai ma langue. Déjà il y avait un liquide visqueux. Je mis en bouche son gland en serrant les lèvres. Oh maman !!! Que j'ai mal sur le coté des lèvres. Je glissai ma langue le long de ce morceau de chair chaude et humide. Ma bouche commençait à se faire à cet engin qui m' obstruait la bouche. Ludo mit sa main sur ma tête et appuya doucement mais fermement pour que puisse en avaler plus. Il me fit prendre un rythme, un coup en bas un coup en haut. A chaque fois que je me trouvais en bas, il m'appuyait un peu plus sur ma tête pour enfoncer son pieu plus profondément dans ma bouche.
La position n'était pas inconfortable à genoux sur le lit les fesses en l'air et tourné vers le pied du lit.Je pensais que s'il faisait plus clair dans la chambre je pense qu'il verrait mon trou du cul.
Lui une main sur ma tête et de l'autre il me caressait les cuisses, les mollets et il remonta le long des cuisses et me caressa les globes si naturellement offerts de mon cul. Encore une sensation nouvelle, ses doigts passaient et repassaient le long de ma raie et le plaisir que cela me procurait, je tendis et ouvris mon cul vers cette main douce et câline. Moi je tendais toujours les lèvres vers ce pal qui me percutait le fond de la gorge. Elle grossissait de plus en plus et la mienne aussi reprenait de sa vigueur. Je sentis le doigt qui me caressait la raie passer sur mon trou et poussa un peu tout en tournant autour. Je sentis un plaisir inconnu qui me faisait vibrer tout le bas ventre de devant et de derrière. Il retira son doigt le passa dans ma bouche, en préleva une quantité de salive et me l'appliqua sur la rondelle et le doigt reprit son travail de massage. Son doigt poussa un peu plus et finit par entrer. Une douleur vive me fit contracter les lèvres son engin grossissait à me faire rompre la commissure des lèvres. Le doigt entrait et sortait de mon trou la douleur était passée maintenant je ressentais une douce onde de plaisir, de plus en plus forte, j'étais sur le point de jouir du cul et de mon zizi. Par contre lui il en était au point de jouir. Il me lâcha sa semence par de longs traits qui finirent au fond de ma gorge, de sorte que je fus obligé d'avaler car il n'y avait pas de place pour son jus et son engin. Son doigt me finit je jouis sur mon ventre il m'attira vers lui et me lécha le ventre et le zizi. Il sortit son doigt de mon cul, une impression de vide, et de manque s'ensuivit. Il porta son doigt à ma bouche et me le fit sucer. Je m'allongeai à coté de lui et m'endormis.
Lorsque je me réveillai il n'y avait plus personne dans le lit. Une douce odeur de male flottait dans l'air. Il faisait chaud dans la chambre, Ludo avait fait le plein de bois dans le poêle. Et était parti sans faire de bruit vers sa famille. Je me levai regardai l'heure il était presque 10 h 00. Rapidement j'ouvris la fenêtre en grand pour aérer ma chambre je m'habillai de propre après avoir fait une toilette rapide de mes fesses et de mon zizi. Je passai dans la cuisine de ma grand-mère, bus rapidement un grand bol de chocolat qui m'attendait sur la table, pris les deux tartines de pain avec de la confiture. Et je suis parti rejoindre mon ami Ludo...

Afficher l'image d'origine

"A suivre ???" tu crois papy ? ben ce serait à Paris, tu l'invites, tu crèves d'envie qu'il te baise, non ? y a pas de suite sur Monclubgay qui est très fermé donc pas d'adresse. On adore ton récit et ce fut un plaisir de corriger tes fautes d'orthographe mais pas de fautes de goût : tu es parfait et TOUJOURS AUSSI JEUNE !    

  Afficher l'image d'origine 

  _______________________________________________________________________________________________

commentaires : "Tes histoires   m'ont rappelé de doux moments de mon enfance à peu près au meme age et a la meme epoque ... a plus , si tu veux ...stfan83"

"Hé les grincheux toujours à faire des critiques vous ne pouvez pas simplement goûté le plaisir de lire une histoire tendre et sexe ... Norbert"

"Vu ton expression de certains mots, ton âge mental est bien bas... à moins que l'utilisation de "zizi" cache autre chose..."

"des moments qu'on garde toute sa vie vivement la suite"

"la suite seras surement aussi interessante que le début et cela me provoque une bonne bandaison alors a++ de te lire"

"tu dois avoir la cinquantaine c 'est inquiétant de s'exprimer de la sorte ! Evite de polluer ce site. Merci d'avance!"

Par un papy sur MONCLUBGAY - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 11 février 1 11 /02 /Fév 17:00

 

JE N'AI JAMAIS SU S'IL ETAIT PASSIF COMME LE JACOB DU RECIT CAR JE NE L'ESPIONNAIS PAS et JE NE SOUHAITAIS SURTOUT PAS AVOIR UN RAPPORT AVEC LUI, mais il y a qq années, ici, sur la drague, un ado objectivement mineur, allait à vélo de couple en couple en action pour s'en mêler. Bien sûr c'était au mépris des usages et surtout de la loi. Mais c'était lui qui voulait. Je lui ai dit qu'il pouvait faire condamner un partenaire s'ils étaient surpris. Il m'a envoyé sur les roses et rien n'y a fait. Aujourd'hui majeur, s'il a continué, il doit être des « nôtres » de plein droit. Ces récits sur Cyrillo. biz ont un fond fe vérité.

 

 

 Il venait d'avoir dix huit ans mais c'était

 

 

encore une crevette. Il devait faire 1m65 -70

 

 et 50kg tout mouillé  

 

 mais il était quand même fin et musclé.

 

 " J’ai promis de le baiser. Et il a l’air d’avoir le feu au cul. A peine lâché, il fait voler ses fringues et le voilà à poil allongé sur le matelas pourri. C’est un petit gabarit, une crevette. Il doit faire 1m65/70 et 50kg tout mouillé, mais il est quand même fin et musclé."

  si vous voulez lire le récit de Paul en entier dès son débur, allez sur : https://cyrillo.biz/histoire/ensorcelle.html 

Paul a tout ce qu'il faut pour être un bon père de famille, même s'il est mal marié, même si c'est le bordel à la maison, même si la situation pourrait le pousser « dehors », lui faire chercher des rencontres féminines. Son grand coeur le porte à croire qu'il« sauve » Jacob, lycéen comme son propre fils, d'un viol collectif. Et s'il me plaît à moi d'être violé ? Cavaillongay souhaite à tous les hétéros malheureux dans leur mariage de devenir de généreux bisexuels, mieux encore que Paul qui lui ne peut pas vivre une suite, sinon avec un autre partenaire chaud, jeune et passif de chez passif ...

"Tu veux quoi ?
Il me répond impassible :
_ Que tu m’encules"

.Image associée à force de te la chercher, tu l'as dans ton cul...et maintenant ? ... je veux dire, j'arrête ou je continue  ? 

 

 

Je commence à relâcher mon étreinte. Je ressors doucement ma queue.
_ Nan, s’il te plaît, j’prends mon pied, continue à me baiser comme ça s’il te plaît, pars pas.
Ah, j’ai trouvé une faille dans son mur. J’aime le voir me supplier comme ça. J’ai l’impression qu’il est à ma merci. Même si [maintenant] j’avais pas l’intention de partir sans m’être vidé….

C’est bon de reprendre le pouvoir un petit peu. Je re rentre ma queue dans son fion. Ça rentre comme dans du beurre. Qu’est ce que j’aime son petit cul. Je glisse doucement jusqu’au fond. Je suis bien au chaud et j’aime sentir ses parois que se resserrent sur ma bite. Je fais jouer ma bite dedans. Après tout autant en profiter maintenant que j’y suis. Je la fais tourner au fond, je ressors doucement et je rentre d’un coup. J’alterne coup sec et  coup profond. Cette fois je l’entends gémir doucement, pour de vrai. Plus de cinéma, il prend son pied. Tout son corps frissonne. Il se laisse complètement aller. C’est moi qui contrôle tout. J’adore cette impression. J’ai jamais été autant désiré qu’à cet instant. Ce gamin est prêt à tout pour que je lui donne un coup. Quelle sensation délicieuse. Même si je n’arrive toujours pas à l’atteindre. Je prends vraiment mon pied comme ça faisait longtemps que j’l’avais pas pris. Je mets pas longtemps à éjaculer. Ça fait au moins 4jours que j’me suis pas branlé. J’ai plus la forme de mes 20ans. J’en pouvais plus. Je sens le jus monter au bout de 20min de baise.

Ma queue se gonfle et dans un grand cri je déverse tout mon jus dans la capote. Wouah quel pied. Mes couilles étaient bien remplies. Je n’arrête pas de gicler. C’est trop bon. Après 4 bonnes giclées je bande encore très dur, j’suis tellement excité.… mais j’me retire, trop dangereux vu comment j’ai rempli la capote. Lui n’a pas joui. Quand je retire la capote, il se jette dessus et me supplie de lui donner.
_ Merci…. C’est bon, tu peux te casser si t’as envie, maintenant que tu t’es vidé. J’me débrouillerai  tout seul. Merci de m’avoir baisé.

Il prend la capote remplie à moitié et la déverse sur son visage, le sperme coule sur ses joues, dans sa bouche, il avale tout ce qu’il peut. Il lèche ce qu’il reste et lèche ses doigts. En même temps il commence à se branler. Putain ce qu’il est bandant. Je suis excité comme un fou j’ai encore envie de l’enfiler. Je retire sa main de sa queue en tirant son bras.
_ Hop hop hop… qu’est ce tu fais là ? J’en ai pas fini avec toi. Maintenant que t’as réveillé l’ours tu crois pas que tu vas t’en tirer comme ça. J’ai encore envie de ton cul.
Il me regarde étonné. Et se remet à quatre pattes.
_ Nan, retourne toi, j’veux te voir jouir. Je veux voir ta tête quand t’éjaculeras.
_ Mais….
_ Quoi mais ? tu voulais que j’te baise… alors j’te baise. Mais on fera comme je veux et pas comme tu veux. Tu m’as excité à mort alors maintenant t’assumes. Tu crois que j’vais me laisser mener par un gamin comme toi…. Tu rêves.

Il se retourne et s’allonge sur le matelas. J’attrape ses jambes toutes maigres et les pose sur mes épaules et je ramène son petit cul vers moi.  Après avoir remis une capote, je le pénètre doucement. Je regarde son visage, ses grands yeux qui brillent, à moitié fermés par l’état de transe dans lequel il se trouve. Il évite mon regard. Sa bouche entrouverte expire faiblement des petits gémissements. Je jubile, j’aime le voir dans cet état d’excitation. Ça me fait encore plus bander. Je le tiens par les épaules et je commence à le limer. Dans cette position je peux voir sa petite bite bien dure qui pointe vers moi. Je sens qu’il a envie de se toucher. Mais je lui bloque les bras. Je l’empêche car j’ai envie de faire durer. Il en peut plus, ses yeux me supplient. Je vois l’excitation grandissante dans son regard. Son visage se crispe et il commence à transpirer.

Voilà, là j’prends vraiment mon pied à le voir comme ça. Il est beau. Je continue mes va et vient avec plus d’intensité. Il ne tarde pas à gicler. Il envoie sa purée sur son torse et poussant un cri de soulagement. Il ne s’est même pas touché. Je lui laisse un peu de répit mais j’en ai pas fini avec lui. Je le bloque toujours avec mes bras. Je le relâche pour attraper le sperme qui dégouline sur son torse avec mon doigt. Je lui met dans la bouche et il le lèche avec délectation. Il ne me fait plus face maintenant. Il a compris que j’me laissais pas faire. Il m’interroge du regard sur la suite. Il sait que j’vais jouir une seconde fois. Et qu’il faut qu’il me satisfasse. Après quelques instants de répit je reprends mes coups de butoir. Mais j’ai envie d’être gentil avec lui, je caresse son torse, je le câline, je le trouve adorable avec son air innocent. Il me regarde avec incompréhension. Toujours cette expression enfantine. Je cherche à le découvrir un peu plus. A briser la glace qui nous sépare. J’ai envie qu’il prenne autant de plaisir que moi, alors je me décide à le réexciter.

Je crache dans ma main et je commence à caresser sa petite bite puis à le branler. Il apprécie : il ferme les yeux, il se lèche et se mordille les lèvres en signe de plaisir et il reprend sa respiration accélérée.
_ Te sens pas obligé…
_ J’ai envie.

Sa bite durcit vite dans ma main, stimulée par le plaisir anal. Son petit cul se resserre sur ma bite, je le sens palpiter. Il n’ose pas me regarder. Il est visiblement troublé par mes marques d’affection. La faille s’agrandirait t-elle ?
_ Pourquoi ? …Pourquoi tu fais ça ? … Pourquoi est-ce que … tu … fais pas .. comme les autres ? Pourquoi tu te vides pas…. les couilles …simplement ?
_ Désolé de te décevoir. Mais pour moi le sexe, c’est un partage. J’aime prendre du plaisir et donner du plaisir, j’aime découvrir la personne avec qui je suis. Si ça te plaît pas tant pis. C’est moi qui décide.
Il détourne le regard, je l’ai déstabilisé. Mais je le tiens toujours. Je continue à le pénétrer…

J’ai envie de changer de position. Je veux pouvoir l’admirer quand je le baise. Je me retire. Je le prends dans mes bras, il frissonne mais se laisse faire.
_ Est ce que j’peux t’embrasser ?

Il me fait oui de la tête avec étonnement. Alors je le serre fort dans mes bras, je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Elles sont douces. Elles ont le goût de sperme. Il me rend mon baiser tendrement. Alors je passe ma langue sur ses lèvres et je force l’entrée de sa bouche. Ma langue caresse la sienne tendrement, je le sens frémir. Avec mes mains je caresse son visage, j’essuie la sueur qui perle sur son front et ses tempes. Et je lui roule une dernière pelle. Je sens son cœur qui bat, sa respiration s’accélère. Je m’allonge à côté de lui et je l’attrape pour le faire monter sur moi. Il a compris ce que je voulais. Il s’accroupit au dessus de moi et s’empale sur ma queue bien tendue. Il fait doucement glisser sa rondelle sur mon manche. En prenant appui sur mes abdos, moi je le tiens par les hanches et je le lâche plus. Une fois bien au fond de son cul, je commence à le limer avec force en faisant bouger mon bassin et en le soulevant à chaque coup de rein. Il est léger alors je ne force pas trop. Dans cette position je peux l’admirer, il est bien éclairé par la lumière extérieure.

Je peux voir son corps fin se trémousser sur ma queue, son visage crispé par l’excitation, son regard de petite chienne en chaleur. Sa bouche qui exprime son plaisir par ses petits cris et ses gémissement. Il se lâche complètement. Il est magnifique quand il prend du plaisir. Il illumine le taudis dans lequel on baise. Plus rien ne compte à par lui, je ne vois plus les ordures qui nous entourent. Je ne sens plus l’odeur de renfermé, mais seulement la sienne et la mienne. La sueur et le sperme. Il prend son pied, et j’ai enfin l’impression d’avoir fait tomber le mur entre nous. Il se dévoile enfin à moi. Quel instant sublime. Il saute sur ma queue, moi je caresse son torse. J’ai l’impression de baiser pour la première fois. Je découvre un nouveau corps. Ma main passe son sur torse imberbe, ses pecs, ses petits tétons durs, puis elle se fraye un chemin jusqu’à sa bouche. Je lui caresse les lèvres avec mon pouce, il gémit. Puis je lui mets mes doigts dans la bouche et il les suce et les lèche comme sa glace préférée. Il m’appartient.
_ Putain ce que j’aime ton petit cul…. Tu me fais prendre mon pied… Lui aussi prend son pied, sa respiration s’accélère de plus en plus. Il ne contrôle plus rien.

Un dernier râle de plaisir, son cul palpite et se resserre sur ma bite, sa queue gonfle et se tend une dernière fois. Il lâche sa purée une deuxième fois sur mon torse. Il tombe d’épuisement dans mes bras. Son cœur bat fort sur mes pecs. Il tremble encore. Je le serre dans mes bras. Je caresse ses cheveux humides de transpiration. Il pose sa tête dans le coin de mon épaule. J’embrasse son cou, son oreille.
_ Est ce que tu vas finir par me dire comment tu t’appelles ?
Il me répond encore essoufflé dans un murmure :
_ Ja… cob…
Je le serre encore dans mes bras. Et je nous tourne sur le côté, puis je le retourne pour le mettre dos à moi et pour pouvoir l’enfiler à nouveau. J’ai envie de lui remplir le cul.
Je chuchote à son oreille :
_ Dis moi Jacob, tu veux bien que te je pénètre encore ?
_ Oui
Je rentre une dernière fois ma bite dans son petit cul bien dilaté. Je suis excité comme jamais. J’en aurai pas pour longtemps. Je le lime doucement pour ne pas lui faire mal. En même temps, je le serre dans mes bras, je le caresse et l’embrasse dans le cou. En 2min, j’en peux déjà plus. J’éjacule une deuxième fois dans son trou. Il resserre son anus pour que je prenne encore plus de plaisir. C’est trop bon….
Je le serre une dernière fois dans mes bras et l’embrasse tendrement.
Il tremble encore, sa respiration est saccadée. Je caresse son visage et je sens des gouttes qui perlent le long de ses joues.
_ Mais tu pleures ?
A ces mots il se détache de mon emprise et se lève d’un bond, il enfile ses vêtements et file avant que j’aie le temps de réagir. Il s’est enfui.
_ Jacob??
Je saute hors du lit, m’habille vite fait et cours dehors pour le rattraper. Personne. Je l’appelle, je regarde partout … personne. Je retourne chercher toutes mes affaires dans le squat. Je cherche si quelque chose pourrait me ramener à lui. Je ne trouve que son boxer qu’il n’a pas pris le temps de remettre.

Je finis par retrouver ma voiture. Je conduis sans but, je tourne dans le quartier machinalement et essaye de retrouver sa trace. Plus par peur de rentrer chez moi que par réel espoir de le retrouver. Je sais pas pourquoi, ce gamin m’a complètement retourné l’esprit. Tout à coup, ma vie me paraît loin, si loin de moi….

Paul

paulrugeau@

 

  

Ça c'est une idée que j'ai :si, au lieu d'avoir attendu 25 ans pour le faire, j'avais baisé comme ça avec des mecs de mon choix, des 35-40 ans, j'aurais mieux appris, et j'aurais été sexuellement plus heureux, vous croyez pas ? Pour dire que je donne raison à Jacob, non, je lui donne pas raison, mais Pour dire que je lui donne pas raison, eh ben je trouve qu'il avait pas tort dans sa tête de moineau entêté !

Putain qu'est-ce que j'ai dit ! et dire qu'il y a des petits moineaux tricheurs qui viennent se connecter à erog et à mon site. Libre à eux quand même ! Moi les adultes qui m'entouraient n'ont pas pu tout empêcher... Ah, recommencer à zéro comme un petit moineau écervelé....hhhmmmm .

 


 

commentaire : Bin, Paul, il te restait son boxer à respirer.

 

...bonne suite dans tes amours et tes découvertes  et bisous

MERCI POUR CE TEXTE ! 

  Résultat de recherche d'images pour "gay gif sniffer l'odeur de ses boxers"  

 

Résultat de recherche d'images pour "gay gif sniffer l'odeur de ses boxers"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par PAUL sur cyrillo - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 28 décembre 5 28 /12 /Déc 05:53

le Rectorat de Nice avait organisé une Croisière en Méditerranée, pour récompenser les bons élèves… Avec en vue, la visite de la Grèce, de la Sicile, de Naples et de la Solfatare avec Pompéi bien sûr…moi j'en ai eu ma double récompense et un complément d'éducation...on va dire...sexuelle. A lire ! Le récit est en 8 épisodes sur cyrillo 

Début : http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2018-croisiere.php


Je m'appelle Michel. Pendant mes études je n'ai jamais cessé de penser que j'étais fait pour les hommes. Pour qu'ils m'honorent et me possèdent. Me voilà lycéen de terminale à 18 ans.

Image associée

 

LA SOUTE :

Résultat de recherche d'images pour "Immersion dans la salle des machines de Tara, épisode 1 - Tara Méditerranée 2014"au carré des machinistes   Résultat de recherche d'images pour "gay male deeply fucked in turn by arab mechanics on board of steamer"Image associéeImage associée

Image associéeImage associéeImage associée et moi, Michel leur pute, niçois, 18 ans

     Image associée   ne pense à rien et surtout pas à ce qui se passe derrière-toi me dit Saïd Prends ton plaisir, c'est tout

 

(Fin de l'épisode 3, début du 4e.sur cyrillo)

Michel : - "...Je suis monté sur le pont principal, vers 21h, comme Mario me l’avait dit…. Seul pendant quelques instants, j’ai contemplé la mer, penché sur la rembarde… Que c’était beau… !!! Je réfléchissais aussi à ce que j’étais devenu en si peu de temps, moi si réservé d’habitude… Et en fait, je réalisais que je me sentais bien, épanoui… Que ces sexes qui me foraient, étaient tout ce dont je rêvais depuis longtemps et je me sentais libre de me donner à Saïd et sans doute… beaucoup plus que lui seul.

Quelques minutes après mes réflexions, un bel arabe est arrivé, grand, mince et avec un beau sourire. Sans rien dire, il a pris ma main, et m’a conduit vers une passerelle supérieure, normalement interdite au public et m’a collé contre une espèce de gros tube, nous cachant de tous les regards.

Sans vergogne, il m’a peloté le cul et a très vite appuyé sur mes épaules pour que ma bouche soit à hauteur de son zob…. Il a ouvert sa braguette de suite et a enfoncé son membre dans ma bouche… C’était gros, ça sentait fort la bite de mâle marinée dans un slip pendant une journée de travail…

Quelques minutes après, il m’a retourné, et s’est enfoncé dans moi… presque d’un coup… J’étais encore ouvert par le sexe de Patrick, mais je l’ai senti à fond, à grands coups…comme seuls les arabes savent le faire….

Saïd m’a défoncé, à mort, et s’est vidé à grands jets dans moi… Il n’a pas débandé, et il a recommencé… J’étais plein de son sexe qui me labourait comme une putain…

Quand il s’est enfin calmé, après m’avoir rempli 2 fois de sa liqueur de mâle, on s’est rhabillés, il m’a pris parles épaules et m’a dit…

- Viens… suis moi… on va voir mes potes arabes au carré des machinistes

Et je l’ai suivi…

Italie et les iles grecques l'été de mes dix houit ans

    Image associée 

J’ai suivi Saïd dans les méandres de cette forteresse métallique, où sans doute, peu de passagers se sont aventurés, descendant toujours plus bas… Heureusement, je n’ai jamais eu ni peur ni  le mal de mer, car ça commençait à bien tanguer.

Après un arrêt toilettes bien nécessaire, son foutre me dégoulinait entre les cuisses, malgré un lavement profond effectué avant d’aller le rencontrer.

Nous sommes arrivés dans une cabine assez grande, où 4 marins arabes étaient là, en train de fumer et de boire quelques bières. Bien que le hublot soit ouvert, il régnait une odeur forte de mâle, d’arabe, avec leur saveur si épicée, et ils venaient tous de terminer leur journée.

Tous sympas, accueillants, avec un beau sourire, et c’est sans crainte que je me suis assis entre eux, sous le regard bienveillant de Saïd. Ils m’ont proposé une bière, mais comme je n’aimais pas ça, un d’entre eux est allé me chercher un Coca.

Très vite, des mains se sont posées sur moi, sur mes cuisses, mon torse, et en quelques minutes, Saïd m’a mis nu, parlant en arabe, et surtout, montrant mon trou bien ouvert par ses pénétrations. Une forte odeur de mâle en rut dominait la cabine… J’en étais enivré…

En peu de temps, les hommes ont baissé leurs pantalons bien moulants et on s’est tous retrouvé à poil…. J’avais 5 hommes devant moi, bites dressées…. Des moyennes, une grosse, et une vraiment énorme, j’ai appris plus tard qu’il était Sahraoui…. Homme du désert du Maroc, réputés pour avoir des sexes hors du commun….

Sans avoir le temps de réfléchir ou de penser à quoique ce soit, je me suis retrouvé sur la table de la cabine, un sexe dans la bouche et un autre dans chaque main… La sensation était folle, surtout qu’un autre homme m’avait écarté les cuisses et me léchait la chatte, d’une langue inquisitrice, me préparant pour un perforage en règle…

La langue est partie, laissant place à une barre de chair qui s’est enfoncée d’un coup… Après ce que j’avais pris dans la journée, elle est rentrée sans difficulté et m’a ramoné à fond. En peu de temps, il s’est vidé dans moi et une autre l’a remplacée.

Je ne savais même plus qui je suçais et qui me baisait tellement ça tournait… J’étais l’instrument de leur plaisir… et j’aimais ça… 5 Arabes déchaînés, en manque de sexe, m’utilisant comme une poupée à remplir…. Trop bon….

Après avoir été bien défoncé par tous les trous, Saïd m’a pris dans ses bras… Tendrement, et m’a prévenu :

- C’est au tour de Khaled maintenant… Le Sahraoui… Tu vas pouvoir supporter ? Image associée  Image associée  Khaled le saharaoui
- Oui…. J’ai trop envie…
- C’est 28cm quand même et super large… !!
- J’ai envie… on essaie ? Si je peux pas… j’arrête…. Ok ?

Khaled était étonnant… Très grand, très mince, presque maigre, avec une peau caramel foncé, mais il dégageait de lui, une force hors du commun. Son odeur était celle des Touaregs, forte, très épicée et suave à la fois. Il avait des lèvres très pulpeuses, une barbe très dure et par contre, très peu poilu, sauf au sexe où une touffe très drue entourait son membre et ses couilles, avec des jambes très velues.

Face à sa presque maigreur, son pieu semblait disproportionné, montant largement au-dessus du nombril, et d’une épaisseur qui ressemblait à son avant-bras.

Résultat de recherche d'images pour "gay porn arab's monster cock painfully penetrating young european dude"

Plus un bruit dans cette cabine, le silence sauf la mer que l’on entendait par le hublot, et cet air lourd, chargé de fragrances masculines, de testostérone, de phéromones et de sperme.

Pendant que Khaled m’embrassait, Saïd me caressait, ouvrait de plus en plus mes cuisses, comme pour me préparer à cet accouplement monstrueux et je sentais ce gland me caresser la chatte, de haut en bas, cherchant à s’introduire petit à petit.

D’une poussée virile, Khaled s’est enfoncé, son nœud a dépassé la barrière de mon sphincter et je sentais cette énorme barre de chair, me forer, lentement mais surement, s’enfonçant petit à petit dans moi, de plus en plus profond. Saïd m’embrassait, me câlinait, me rassurait pour que ce coït hors normes arrive jusqu’au bout. Il voulait vraiment que Khaled puisse me posséder totalement, enfoncer son zob monstrueux en entier dans moi…

Heureusement, j’avais tellement été pris dans la journée, Patrick, Saïd et les marins arabes, que Khaled a pu s’enfoncer… Mais c’était énorme… Je me sentais écartelé… Saïd avait beau me rassurer, me câliner, ce qui s’enfonçait dans moi était de plus en plus gros… de plus en plus gros…

Quelques jours auparavant, j’étais jeune puceau niçois, très attiré par les hommes… les vrais mecs… Et en quelques jours sur ce bateau… Tout s’est réalisé…

La croisière de mes plaisirs, de ma découverte, de la découverte des sexes des hommes, mais aussi de moi-même…. J’aurais voulu que cette croisière ne se termine jamais.

Khaled a pu s’enfoncer en entier dans moi… Tellement j’étais excité d’avoir ce monstre dans moi. Dès que les garçons ont vu que je prenais du plaisir… Ils se sont approchés, frottant leurs bites sur mes lèvres, mes mains… Je hurlais de plaisir après que ce sexe hors normes m’ait perforé…. Khaled a joui comme un fou dans moi… se déversant à grands jets dans ma chatte.

Il m’a repris encore deux fois… Trop content de se vider dans moi…. Je n’avais jamais connu une telle jouissance…

    Résultat de recherche d'images pour "GAY PORN lift belly to get fucked" ah (arghhh) les hommes du désert !   il ressemble à Ben Alla

Saïd m'a raccompagné(e-lol- )  vers ma cabine

- Reviens demain….C’est trop bon…

Encore 3 jours de Croisière…. 3 Jours de plaisir…

J’avais compris que telle était ma voie… J’avais refréné tellement ma sexualité avant, je m’étais caché à moi-même que mon plaisir était avec les hommes…. Les vrais… Les véritables hommes dominants… Que mon sexe réel n’était pas ce petit bout qui ne me servait qu’à pisser, mais ce trou que j’avais entre les jambes, qui s’ouvrait pour le membre des hommes, comme une chatte de femelle…

J’étais décidé à profiter encore de cette croisière magique, qui m’avait livré à ma vraie nature, et m’abandonner, en rentrant à Nice, aux volontés de Patrick… Je voulais qu’il soit mon mâle, lui obéir en tout point… Et plus jamais je ne voulais renoncer au plaisir d’être baisée, défoncée, la femelle des hommes….  

CalinChaud- lou- nissarte

 


commentaire :

 

Par MICHELCALINCHAUD - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 26 décembre 3 26 /12 /Déc 00:40

suite ...Les types de la piscine sont revenus…  J’imagine qu’ils savent.  Je me suis rhabillé en vitesse, je suis sorti, comme si de rien n’était.  Et comme je sortais, je l’entends…-   T’aimerais bien te le taper hein?

-Arrête!  T’aimerais bien te le taper hein?

http://www.cyrillo.biz/histoire/many.htm

  -"ET POUR LEUR COUP D'ESSAI VEULENT DES COUPS DE MAITRE" Corneille Le Cid "" MARC TROUVE ICI LA FRATERNITE DES HOMMES LEUR LUBRICITE L'AFFECTION LUMINEUSE DE QUELQUES UNS MAIS IL EST BANNI DE SA FAMILLE ! 

  putain oui, Marc le débutant, "le doux p’tit biscuit d’amour de la haute bourgeoisie" va passer pro! Ils l'ont pris pour le fils de Cahuzac ou de Bolloré ou encore ...que sais-je moi ? 

    Many s’était approché d’un gars.  Celui-ci m’a regardé avec une espèce de regard foudroyant de luxure et de bassesse vicieuse, comme un animal sournois, un prédateur…  Et Many était en train de me marchander avec ce fou…

-Ouais, j’veux me le faire…

            Je commençais à transpirer…  Et Many en rajoutait…

            -Allez, les gars, ça vous dit de vous farcir ce mec?  J’vous le dis, c’est un doux p’tit biscuit d’amour de la haute bourgeoisie.

J’étais dans un état absolument désaxé, plein de malaise, ne sachant quel regard poser sur mon Many…

-Notre petit Marc a besoin d’aventures, qu’il dit…  Alors on va lui faire sa fête!?  Vous auriez dû le voir au taf de pute, il est baisable je vous le dis…  Ouch!  Tendre et sucré, un vrai p’tit biscuit…

Et il se déhanchait en simulant la levrette de tout à l’heure…  P’tit biscuit!?  Qu’est-ce que c’est que cette expression!  J’étais encore plus mal à l’aise.  Alors le gars à qui Many parlait s’est avancé vers moi…

-Ouais, j’vais m’le faire…

-Hep! Hep Hep!

Many l’a retenu.

-Doucement, Don Juan…  Je viens de lui faire goûter à la baise Many…  Il a les couilles et le cul en compote.  Faudrait le laisser se reposer un peu.  Ce soir, quand t’aura fini ta journée de travailleur, tu pourras te faire plaisir.

L’autre type semblait légèrement frustré.

-Bon, c’est pas tout, on a du boulot à finir aujourd’hui.  Alors tout le monde à son poste, bande de salopes…

Je ne savais plus quoi faire.  J’étais abasourdi par tout ce qui m’arrivait.  Many s’est retourné vers moi.

-À ce soir, biscuit!

 

suite-> Ce Many est un vrai obsédé…  Et moi, tu parles d’un con.  Accepter ainsi un « gang bang » presque improvisé…  Mais quelque chose en moi rêvait depuis toujours de se faire mettre par une bande de mâles en rut.  Je suis passé dans la cour en essayant de supporter les regards et les intonations indiscrètes.  Je me suis enfermé dans la maison et je suis allé me laver.  Ce n’est pas que je me sentais sale.  Non, j’avais son odeur sur moi, l’odeur du sexe, son haleine dans mon cou, sa sueur contre mon dos, sa salive dans la bouche et sur la queue, son sperme dans le cul.  Si j’avais pu, je ne me serais jamais plus lavé.  Mais il faisait atrocement chaud et je devais me défaire de ma torpeur.  Une bonne douche froide me ferait du bien.  Et puis, je devais me calmer, parce qu’au soir venu, j’aurais une dizaine de mecs devant ma porte qui viendrait réclamer leur bonbon, la queue bien dressée.  AU SECOURS!!

 

Alors, je suis allé dans la salle de bain.  J’ai enlevé mes vêtements.  Je ne sais combien de temps je suis resté là à me regarder.  Je me suis assis sur le bord du bain, songeur.  J’avais le cul encore ramolli et chaud.  J’essayais de me calmer, mais je n’y arrivais pas.  L’anticipation me rendait complètement fou.  Je venais de me faire défoncer de la façon la plus sensuelle et puis la plus brutale de toute ma vie.  Et ce soir, une bande de mecs voulaient me faire ma fête.  C’était tout simplement trop pour moi.  Je me suis glissé sous une douche fraîche.  Pour purifier mon corps de la luxure, pour me décharger la tête de toutes ces préoccupations sordides.  Mon corps était bouillonnant de vice, engourdis par une sensualité dévastatrice.  Puis, je me suis senti mieux.  J’avais encore des rémanences de ses caresses, de ses râlements, de sa chaleur sur moi, mais ils se dissipaient.  Son sperme a fini par sortir de mon cul et je me suis lavé minutieusement.  Je suis sorti.  Je me suis habillé et je suis allé dans ma chambre, consulter le silence.  Et j’ai eu une idée.

Image associée

 

 

suite-> Je suis allé chercher nos deux caméras.  Je suis allé dans le garage, j’ai installé les caméras sur leurs trépieds, j’ai ajusté l’éclairage de la pièce.  Je me faisais mon scénario…  J’ai pris les trois caisses de 24 bières qu’on garde pour les occasions, et je les ai foutues dans un bac d’eau et de glace pour les rafraîchir.  Et j’ai passé le reste de l’après-midi à tout préparer.  J’ai sorti la grande table basse au centre de la pièce, je l’ai recouverte d’une couverture.  J’ai sorti mon litre de lubrifiant…  Quand tout fut prêt, je suis retourné dans le salon, m’asseoir et me détendre.  Il était bientôt dix-sept heures quand un toc-toc à la porte arrière me glaça le sang.  C’était eux… 

 

suite-> Je suis allé ouvrir.

 

 

-Coucou, fit Many.  On passe à caisse.

Les autres mecs attendaient derrière lui.  Je leur ai souri et je les ai invités à entrer.  Ils étaient tous trempés de sueur et encore plus bronzés…  Alors je leur ai dit que j’avais de la bière froide qui nous attendait dans le garage.  Les gars avaient l’air contents.  Quand nous sommes arrivés dans le garage, Many a pris la direction des opérations.

-Bon, primo : y a personne qui reste ici sans avoir enlevé toutes ses fringues!  Allez, les mecs, exécution!

L’idée plaisait à tout le monde.  Alors on s’est dévêtus.  On a enlevé chaque bout de linge qui restait.  Et là j’étais étonné de voir tous ces mecs virils avec leurs muscles et leurs attributs qui pendaient impudiquement entre leurs jambes.  Ils se regardaient et, aussi, me dévoraient des yeux.

-Secondo, personne ne reste ici sans avoir calé au moins trois bières!

Animated GIF - Find & Share on GIPHY 

 

dRésultat de recherche d'images pour "beer shower in gif gay teen gang bang" 

Image associée


suite-> Alors on alla tous se prendre trois bières.  Le première passa comme si de rien n’était.  La seconde commençait à être bonne.  Et la troisième était merveilleuse.  Quand on a tous terminé, Many s’est pris une autre bière.  Il m’a fait asseoir sur la table au centre…

 

            -Alors, les mecs, vous êtes prêts?

            Des exclamations se sont levées avec lubricité.

            -Alors, qu’est-ce que vous attendez!

            Many m’a caressé la tête et m’a chuchoté quelques mots d’encouragement, puis il a laissé les autres venir à moi d’abord.  Ce qui s’est passé ensuite dépasse les limites de tous mes fantasmes.  Ils se sont approchés de moi.  L’un d’eux s’est penché sur mon visage et s’est mis à m’embrasser.  Un autre est venu par derrière me baiser la nuque.  Un autre  mes pectoraux, un autre, mon ventre, deux autres m’ont pris les mains et se sont mis à me lécher, me sucer les doigts.  Deux se sont mis sur mes jambes, deux sur mon dos et un dernier entre mes jambes.  J’étais au cœur d’une masse de chair virile qui se mouvait avec lascivité et douceur.  J’en embrassais un, puis un autre, puis un autre.  J’en caressais un, et un autre.  Il y avait toujours une nouvelle bouche plus délicieuse à embrasser, toujours un torse plus ferme à caresser.  Pendant ce temps, Many a pris une caméra et a décidé de jouer au réalisateur.  Il venait filmer nos contacts les plus intimes, les plus chauds.  Moi j’étais parcouru de mains qui me caressaient.

Image associée Image associée

 

 

 

 

suite->    De bouche en bouche, je suis arrivé au type de tout à l’heure qui voulait me baiser.  Celui-ci m’a embrassé goulûment, puis il m’a pris la tête et avec un sourire vicieux il m’a fait descendre jusqu’à sa queue qui durcissait.  Ça a donné des idées aux autres.  J’ai commencé à laper, puis sucer le membre de ce mec fou de vice pour la voir et la sentir s’ériger dans ma bouche.  Et puis, les autres mecs on décidé qu’ils voulaient aussi leur part du gâteau.  Ils se sont mis en cercle, debout autour de moi, leurs queues bien gonflées qu’ils me présentaient.  Moi, j’étais au centre d’une tour de mâles, je suçais, de queue en queue, j’en branlais, d’autres.  Et Many s’est joint à nous avec sa queue gigantesque et ses caméras intimidantes.  Puis, il s’est mis à verser quelques giclées de bière sur leurs queues.  Moi, je suçais encore plus ardemment.  Parfois, même souvent, deux mecs s’approchaient pour que je puisse les prendre tous les deux dans ma bouche alors que les autres admiraient.  Je les regardais, je contemplais leurs expressions extasiées, je les caressais avec douceur et soumission.  D’autres me frottaient leurs gros membres sur le visage, la tête, les épaules et le dos.  J’étais au cœur d’une usine de sperme, confiné dans une odeur de transpiration, un bain enivrant de phéromones.  Ma bouche s’agrandissait, je prenais tout ce que je pouvais de leurs beaux membres, avalant avec saveur leur pré-sperme.  Je parcourais leurs queues avec ma bouche, mes mains, je caressais leurs gros bijoux, leurs couilles pendantes et fermes.  Les hommes me caressaient la tête avec satisfaction, d’autres s’enfonçaient de plus belle dans ma bouche.

 

 

suite->    Et puis, Many a pris une autre bière qu’il a vidée sur moi.  Il s’est mis à me lécher et à boire la bière sur ma peau.  Alors qu’il continuait cette dégustation, je me suis couché sur le dos.  D’autres mecs se sont pris des bières et ont fait pareil, sur mon ventre, sur mes jambes.  Un autre s’est mis à me sucer doucement et quelques hommes se sont agenouillés près de ma tête pour me présenter leurs couilles et leur queue que je suçais avidement.  Je continuais à les branler avec vigueur ou douceur, m’ajustant selon leurs soupirs et leurs gémissements.  Many me mordillait maintenant les mamelons, passait ses mains sur mes pectoraux pleins de bière.  Et puis, avec une main il m’a soulevé le flanc pour me faire tourner sur le ventre.  J’étais maintenant sur le ventre, sur mes coudes et je continuais à sucer les mecs agenouillés.  La bière a de nouveau coulé sur mon dos.  Puis, parmi les mains, des baisers se sont posés sur mes fesses.  De la bière encore, sur ma raie et un des gars m’a écarté les fesses et s’est mis à me lécher.  Ça devenait vraiment fou!  Il passait de mon cul à mes couilles et à ma queue alors que les autres me baisaient le dos.  Et puis, des mains m’ont écarté les jambes.  Une autre main toute glissante s’est mise à me caresser la rosette.  J’ai senti un doigt, puis deux, puis trois.  On commençait à m’ouvrir pour ce qui allait suivre.  Je continuais d’explorer avec mes mains tout ce qui bougeait, toute cette chair lubrique autour de moi qui se tordait de plaisir.  Une grande ombre sur moi.  Le premier mec allait bientôt s’enfoncer.  Il mit ses deux mains de chaque côté de mon corps pour s’appuyer.  J’ai senti quelque chose de dur et lisse parcourir ma raie, sa grosse queue.  Puis, lentement, il a trouvé l’entrée et s’est enfoncé.  Je soupirais.  C’était le premier et non le dernier.  Il n’en finissait plus de s’enfoncer en moi, jusqu’à ce que son pelvis soit entièrement pressé contre mon cul.  Il était profondément en moi.  Puis, il s’est mis à faire vaciller sa queue avec quelques coups de muscles.  Et il a commencé à ressortir, puis à se renfoncer.  Pendant que mon cul était possédé par ce gros intrus, des mains me caressaient partout, on m’aspergeait de bière et des queues se frottaient contre ma tête, des langues me léchaient, me suçaient.

 

 

            -C’est du chic les mecs, fit Many avec sa caméra braquée sur nous.

  suite->   Ils continuaient leurs remous indécents et celui qui était en arrière, me ramonait avidement.  Les minutes passaient et la luxure grandissait toujours.  Il allait de plus en plus fortement.  Ses bons coups de pieu me faisaient me cambrer doucement.  Et puis, il s’est enfoncé suprêmement et j’ai senti les giclées chaudes se répandre en moi, son membre battre avec ferveur et ses râlements doux qui se mêlaient aux soupirs des autres.  Quand il s’est retiré, j’avais le cul bien ouvert, prêt à recevoir les autres.  Et puis un nouveau cavalier s’est empressé de le remplacer.  Il m’a couvert et j’ai senti un gros gland ouvrir le passage à une queue délicieuse.  Et il n’a pas attendu avant de me ramoner prestement.  C’était un peu plus sauvage mais aussi bon, différent.  Il s’est ensuite agenouillé et m’a relevé le bassin.  Il m’a saisi et s’est enfoncé de plus belle.  Alors je me suis mis à quatre pattes et je pouvais maintenant donner un peu d’attention à ces pauvres queues qui cherchaient ma bouche depuis quelques minutes.  Les autres mecs soupiraient, gémissaient.  Et le mec derrière moi me défonçait de plus belle.  D’autres gars me versaient de la bière sur le cul pendant qu’il me le pénétrait sauvagement.  Et puis, les minutes passèrent encore.  Cela paraissait une éternité.  Le mec derrière moi était infatigable.  Et moi, je jouissais à petit feu.  Ma queue était très sensible et un filet de présperme y pendait.  Mais je voulais les faire venir chacun en moi avant de venir moi-même.  Cette fois, je ne me servirais pas de mes mains.  Et puis le mec s’est mis à jouir.  Et hop, d’autres giclées chaudes venaient se mêler à celle de mon premier cavalier.

 

               

 

suite-> C’était tellement bon!  Ensuite, le mec pervers qui depuis le début voulait me faire mon affaire a pris une initiative.  Il m’a retourné sur le ventre.  Il m’a mis les cuisses sur ses épaules et avec un sourire qui tenait du sadisme, il s’est enfoncé.  C’était un homme plus félin que les deux premiers.  Il était plus mince et agile, il avait un visage très mystérieux.  Sa queue était moins épaisse mais plus longue et il savait la manier en moi avec une force inouïe.    Il était penché sur moi, sa sueur gouttait sur mon ventre, sa belle queue chaude m’enflammait la prostate.  Et d’autres mecs le caressaient, lui aussi.  Il se prenait vraiment au sérieux.  C’était un vrai piston dont l’ardeur n’aurait pu être éteinte par aucun océan.  Et j’étais pris dans un plaisir confus comme un orgasme continu mais moins intense, plus chaud.  Un peu de sperme finit par s’écouler de ma queue en pleine rage, et j’eus quelques spasmes, mais ce n’était pas un orgasme,  pas un vrai.  Le mec continuait inlassablement, et des queues s’enfonçaient dans ma bouche, les mecs devenaient de plus en plus avides.  Many trouvait des angles étranges pour nous filmer, il se caressait son gros bazar parfois, puis continuait à filmer.  Le piston devint de plus en plus violent.  Car mon enculeur, lui aussi avait l’intention, un jour, de se vider les couilles.  Et hop, il s’est mis à gémir et à avoir de beaux spasmes et il a joui.  Cela devait faire une éternité que nous étions là à baiser  et seulement trois mecs s’étaient vidés les couilles et leurs spermes se mêlaient dans mes entrailles.

 

 

 

  suite->    Le mec qui a suivi a eu l’idée de me coucher sur le côté.  Puis, il s’est penché sur moi, comme les autres et il s’est enfoncé.  C’était un homme plus robuste, avec une queue bien trapue.  Il n’a pas hésité une seconde à prendre là où mon partenaire m’avait laissé envahi de sperme.  Il était très rapide, agressif.  Ses gros muscles se contractaient avec une virilité absolue alors qu’il m’empoignait pour mieux me ramener à lui et me remplir de sa masculinité.  Ouf…  Je commençais à être essoufflé.  Un autre mec s’est littéralement mis à me baiser la gueule;  il a enfoncé sa grosse teube noire au fond de ma gorge.  Il commençait vraiment à vouloir se soulager.  Les autres, ceux qui s’étaient satisfaits étaient plus doux.  Ils se contentaient de me caresser doucement.  Mais j’avais ce malade au cul qui me défonçait et c’était un plaisir malsain!   Et là, dans une grande violence, il m’a fait ressentir le plaisir de son orgasme avec des coups de butoir tout à fait monstrueux.  Et ses giclées de sperme se répandirent en moi.  Il se retira, exténué et se mit à m’embrasser doucement.  C’était au tour du noir.   

 

 

 

 

   

 

 

 

suite-> Il leur a demandé quelque chose d’intéressant.  Alors, les mecs m’ont pris dans leurs bras.  J'étais étendu face vers le sol avec des beaux membres que je suçais, dans le vide.  Lui, il m’a écarté les jambes et s’est enfoncé avec une lenteur aussi démente que féroce.  C’est qu’il avait une bonne grosse queue.  J’étais maintenu dans le vide par leurs grosses mains viriles, je suçais des membres énormes et un gros bélier forçait, défonçait mes arrières.  Que demander de plus!  Bing Bang, les minutes passaient dans cet océan de luxure et de violence.  Le gros taureau noir s’est enfin mis à jouir et son sperme abondant m’a rempli.  Quand il s’est retiré, le sperme commençait à couler mais je me suis resserré autant que j'ai pu pour tout garder en moi.

 

   

 

 

 

suite-> Et puis le sixième mec a demandé son dû.  J’étais debout, penché vers l’avant et le bel athlète s’est enfoncé en moi avec son pilier ravageur.  Moi, je continuais à sucer les gros membres juteux qui avaient giclé et les membres raides qui n’avaient pas encore joui.  C’était une belle monte bien menée, assez rapide, impétueuse.  Le mec qui me défonçait était le plus jeune de tous, plus jeune que moi, mais le plus grand et un des plus baraqués.  Il tenait mes hanches comme si j’étais une poupée et me ramenait à lui fermement;  c’était un mouvement si mécanique, si précis si fort mais si juste.  Personne ne pouvait l’arrêter.  C’était indéniable, il s’enfonçait avec une force et une précision mathématiques, une puissance contrôlée que personne ne pouvait repousser.  Il était impossible de résister.  J’étais son objet et il m’empalait méthodiquement.  Cette sensation de possession était formidable.  Et pour terminer, il s’est mis à éjaculer fortement, très abondamment d’une semence jeune et fertile…  Évidemment, quand il s’est retiré, je ne pus retenir un jet de tout se sperme qui sortit vivement pour ruisseler le long de ma cuisse.  Le plaisir était si doux, ma queue n’en pouvait plus!

 

    Résultat de recherche d'images pour "fool naked boys bathe in beer"  suite-> On m’a recouché ventre contre sol.  On m’a ensuite écarté les jambes et un corps m’a recouvert en entier.  Il s’est enfoncé en moi avec une belle queue.  C’était probablement la plus petite de toutes, mais elle était pourtant très grosse et assez pour me faire jouir comme un fou.  Son corps me couvrait totalement, sa peau se frottait contre la mienne, il me serrait, m’enlaçait tendrement.  Il me baisait la nuque, me léchait, il allait et venait en moi doucement.  Je sentis tout l’amour qui se dégageait de ses caresses.  Il prenait son temps, absolument dévoué à me faire un plaisir immense.  J’étais au paradis.  Jamais on ne m’avait tant fait l’amour.  Car c’était vraiment tendre.  C’était tellement intense!  Il me pénétrait avec une autorité mêlée de respect et de révérence.  Je me sentais en pleine harmonie avec lui.

 

-Allez Nino, faudrait aboutir un jour, fit Many avec humour.

Les autres rirent un peu.  Ils savait que Nino adore prendre son temps, mais que surtout, Nino m’accorde beaucoup plus d’attention.  Il m’a fait me retourner sur le dos, m’a écarté à nouveau et s’est enfoncé et je pu le voir enfin de près.  C’était un mec svelte avec de beaux muscles, assez grand, mon type physique, un visage plein de tendresse et de beauté, d’amour et de folie.  Son regard était tellement intense, quand il s’est penché pour m’embrasser, je ne pus résister.  Il me caressait comme si je fus l’objet le plus précieux qui existât, ses doigts semblaient m’irradier d’éclairs, de frissons passionnés.  Il se collait sur moi pour mieux fusionner avec moi.  Non, ce n’était pas que du cul, je ne peux pas le croire.  Je me cambrais un peu, je fermais les yeux, nous renforcions notre étreinte j’avais tellement de plaisir.  Je dus lui faire signe de me ménager parce que je voulais me rendre jusqu’à la fin.  Il s’est retiré sans avoir eut d’orgasme.  Mais son plaisir avait été aussi fort que le mien, je le voyais dans ses yeux.

-Okay, fit Many.  Maintenant, on va essayer autre chose.  Hearl et Budd, vous allez lui faire un double…

Alors je les ai regardés.  Eux aussi se sont consultés.  Ils avaient de superbes queues, mais je doutais de pouvoir les prendre en même temps…  Mais qui ne risque rien n’a rien.  Et puis, ils étaient si craquants, ce serait l’apogée que d’être pris en même temps par ces deux mecs.  En fait il ne restait qu’eux et Many.  J’étais au comble de la nervosité et de l’ivresse.  Hearl s’est étendu sur le dos avec son beau membre bien dressé.  Je l’ai chevauché et j’ai lu son plaisir sur ses traits quand je me suis empalé sur sa queue.  Ouf…  Sa queue était bonne mais j’avais peur que n’arrive la seconde.  Je me suis étendu sur lui.  Puis, Budd s’est agenouillé derrière moi.  Il m’a caressé doucement le cul et il s’est mis à enfoncer son bel engin.  Hearl voyait avec plaisir ma douleur et me caressait le dos pour me détendre.  Il fallut quelques minutes pour que Budd fût totalement enfoncé en moi.  Alors, j’étais là dans le garage, chez moi avec deux types de la piscine bien enfoncés en moi en même temps.  C’était incroyable.  Quand Budd a commencé à bouger, j’ai senti toute la chaleur, le plaisir et la douleur confuse bouger en moi.  Les deux types allaient et venaient en moi assez lentement.

-Bravo, les enfants, allez, Marc, fais un sourire à la caméra!

Les autres mecs nous regardaient et se branlaient.  J’avais ces deux forces de la nature qui me pompaient.  C’était incroyable.  J’étais véritablement transporté  La suprématie de la possession de la soumission à la virilité devait être de se faire prendre ainsi par deux mâles, c’était vraiment une sensation follement chaude, rassurante.  Ils se sont mis à me pomper plus virilement encore, il fallait prendre maintenant les choses au sérieux  Après, je serais probablement tellement ouvert qu’un torrent de sperme fuirait de mon cul béant.  Ils me pompaient, me pompaient, me pompaient.  Leurs queues dures et tendres s’imposaient en moi, se battaient ensemble pour me donner un plaisir sans cesse croissant.  Bud me mordillait les oreilles, me caressait et Hearl parcourait mon ventre de ses mains viriles.  C’était l’extase, je planais!!!  Les autres mecs se sont approchés et m’ont donné leurs queues pour que je les branle, que je les suce, ils se sont mis à me caresser, à se branler.  Je sentais que le plaisir approchait.  En moi aussi, le plaisir montait comme une éruption.  Puis, une flèche de douleur et de plaisir me transperça.  Je me suis mis à gueuler tant c’était chaud, brûlant, doux, sucré!  Giclées après giclées, j’arrosais Hearl.  Les autres hommes continuaient à se branler.  Mon orgasme semblait durer des heures.  Budd et Hearl atteignirent ensemble l’orgasme et m’emballèrent violement et râlant avec leurs voix gutturales de barbares, déversant leur semence partout en moi, me remplissant comme un sac à foutre.  Et les autres mecs jouirent en cœur, nous arrosant de leur sperme, tous les trois.  Mon dieu, après tant de plaisir, que reste-t-il à vivre!!!

-C’est géant, les mecs, fit Many.

-Hum hum!!

 


DRAME

Mon sang glaça dans mes veines quand j’entendis ce bruit qui nous surprit.  J’ai levé la tête et j’ai vu avec horreur que la porte du garage était grand ouverte.  Et là, se tenaient Papa, Maman, Petit Frère et Petite Sœur qui rentraient de leur journée.  Mes parents étaient horrifiés de voir leur fils ainsi impliqué dans un gang bang immoral et obscène.  Je constatai avec horreur que depuis quatre heures nous baignions ainsi dans la luxure…  Je n’avais pas vu le temps passer.

Les mecs sont partis se rhabiller.  J’ai eu droit à un sermon fou.  Mes parents m’ont forcé à quitter la maison.  Pour l’amour de mon frère et de ma sœur.  Je sais que les choses vont s’arranger avec eux, ce n’est qu’une question de temps.  De toute façon, je mérite un peu ce qui arrive.  Quand je suis sorti de la maison, rhabillé, lavé, les mecs m’attendaient dehors, dans la rue.

-Alors, qu’est-ce qu’ils vont faire? M’a demandé un des mecs.

-Ils ne porteront pas plainte pour vous.  Mais je dois quitter la maison.  Ils n’acceptent pas que je fasse cela sous leur toit et c’est compréhensible.  Surtout avec mon frère et ma sœur…

J’ai vu Nino qui était près de Many s’approcher avec lui en conciliabule pour lui dire quelque chose.  Many s’est ensuite approché de moi.

Il m’a offert, si je n’avais nulle part où aller, de venir rester avec eux…  Ce devait être une idée de Nino.  En fait, ils restent tous les dix dans un loft en ville.  Un loft assez tenu, très grand, avec plusieurs lits.  Bref, maintenant j’en profite pour approfondir ma relation avec Nino, et Many, et les autres.  Et à l’appart, c’est la partouze générale à la moindre occasion…  Imaginez, presque en tout temps, dix bites, dix culs, dix bouches, vingt mains, et j’en passe…  Dix mecs bandants, prêts à baiser, non stop, 24/7…¤

docdoc. sur cyrillo.biz 

 

 

Par MARC - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 11 décembre 2 11 /12 /Déc 09:28

  UN Résultat de recherche d'images pour "gay half bred mechanic lascar in a garage, looking"LASCAR DEVIENT GAY

 

Image associée

HISTOIRE Lauran L'employé du garage  http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2015-employe-du-garage.php

Voici l'histoire de mon dernier coup, il y a 3 jours. Je suis un homme ayant la cinquantaine, plutôt actif même si j'adore sucer une bonne queue. Je suis assez sportif(cyclisme)  [la selle masse les parties génitales ] et j'adore les mecs de 20-30 ans, style lascard et tatouage (pas trop quand même).
Je bosse dans une entreprise et j'ai un véhicule de fonction. Il y a 3 jours donc je constate que mon véhicule à un pneu crevé (crevaison lente). Je téléphone au responsable qui s'occupe de l'entretien du véhicule qui me donne l' adresse pour la réparation.
J'arrive au garage vers 15h, il y a plusieurs ponts et pas mal de personnel.Je vais directement à l'accueil, ils remplissent une fiche d'intervention..je donne les clés..la personne de l'accueil appelle un employé..
- Lauran tu peux venir pour un pneu à réparer
Le mec arrive, un petit brun typé lascard, peau mate, cheveux courts. Il a un visage fin mais d'une expression forte...mince dans sa combinaison..bref...un mec canon quoi !
Il va à ma voiture, la rentre et la met sur le pont..
il descend...il commence à retirer la roue...à plusieurs reprises je vois qu'il me regarde..et déclenche un grand sourire...
Un magnifique sourire..des dents parfaites...ce mec m'attire...je commence à avoir la queue qui se raidit...
- M'sieu il y a déjà eu une crevaison sur ce pneu ?
- ah je ne sais pas
- oui je le vois ici
Je m'approche pour regarder...je suis à quelques centimètres de son visage, il dégage une odeur de parfum assez fort...
- voyez ici..
Je pose ma main sur le pneu pour constater...et lui la pose sur la mienne...pour me guider à l'endroit exact..
- c'est là.
Le contact avec sa main me fait encore plus d'effet...il laisse sa main quelques secondes qui parraissent bien longues...il me regarde..il voit mon trouble et me lance à nouveau un large sourire...
Je me relève et m'éloigne du pont..il continue son travail..puis il disparaît le temps de réparer...
Je suis en face du garage sur un muret...il fait super beau en plus...je me dis qu'il est peut-être gay ? ou pas ??
Comment faire pour le savoir...Je décide d'écrire mon numéro de téléphone sur un petit bout de papier...je vais bien réussir à lui glisser avant de partir...
20 minutes plus tard, il revient avec la roue pour la remonter..je le regarde, il est beau ce con !! il me lance quelques regards et quelques sourires..
Je me dis qu'il est peut etre juste sympa !!! tant pis je vais tenter le tout pour le tout.. - voilà c'est fait..
- euh pourriez vous vérifier la pression des autres pneus svp ?
- oui pas de problème...c'est important d'avoir une bonne pression...
Il me regarde dans les yeux avec son sourire ravageur !!
- enfin dans les pneus me dit t'il !!
- pas que dans les pneus
La je me dis que je vais me prendre une regard méchant ou agressif !!! mais non...toujours son petit sourire...
- voilà c'est fini, vous pouvez me suivre au bureau ?
- bien sûr ?
Il donne sa fiche d'intervention et s'en va rejoindre l'atelier :
- voilà Monsieur, au revoir
- merci bien pour votre gentillesse
Je signe les documents pour la facturation et je récupère la clé du véhicule. Je sors du bureau et je me dirige vers le jeune employé..il est penché sur un petit établi ...
- euh s'il vous plait ..Lauran
Il se retourne..
- oui monsieur
Je lui tends un pourboire ainsi que le petit mot avec mon tél...
Il prend l'ensemble...
- merci bien
- merci à vous..ce fut un moment agréable
Il me regarde un peu étonné mais pas trop...je me dis qu'il va finir par m'en mettre une...enfin une patate !!!
Je me dirige vers mon véhicule et je démarre..je le regarde ...lui aussi...et à nouveau il me déclenche son super sourire...et me fait un signe de la main..
En partant je me dis que c'est raté mais bon j'ai tenté !!
J'ai a peine fait 500m que je reçois un sms...^^^je m'arrête
"Ok, rdv niveau passerelle quai 19h"
Je réponds
"ok noté Lauran"
Je termine mon boulot vers 17h30, je rentre pour me doucher et me changer...et je me dirige vers le point de rdv..
Je suis un peu en avance..19h..pas là...19h15 toujours pas..
je me dis que c'est un beau lapin....
J'attends encore quelques minutes...et je me décide à repartir...comme on dit avec la bite sous le bras !!
D'un coup j'entends le bruit d'une moto...étant motard moi aussi..je me retourne..la moto s'immobilise et le mec retire son casque...
- eh m'sieu je suis là..
Le jeune Lauran est motard (un point commun) cela permettra d'avoir un bon sujet de discussion..
Je vais vers lui...
- Eh bien..super ta bécane...un z 750...j'adore !!
Il descend de sa moto
- c'est vrai
- ouais j'suis motard moi aussi mais j'ai plus de sportive, j'ai un trail Suzuki
Il me regarde..il semble un peu bloqué...
Je me dis qu'il faut détendre l'atmosphère..
- bon Lauran..t'as bien compris, j'suis...
- homo ?
- disons bi mais avec une préférence pour les mecs..
- moi j'suis en couple avec une fille en fait !!
Je me dis que c'est mal barré et qu'il est venu pour s'expliquer ..
- ben c'est pas grave ça arrive à tout le monde de s'tromper !!
Il sourit...et dit :
- j'suis un peu mal à l'aise d'être là....
- mais t'inquiéte pas si t'es venu..c'est pour quoi ?
- je sais pas ...je ...au garage tout à l'heure..dès que je vous ai vu j'ai eu envie de vous connaître mieux..
- ah bon
- oui j'vous trouve beaucoup de charme..je...j'suis con là !!!
- non j'trouve pas moi..mais tu sais que j'ai flashé direct sur toi quand je t'ai vu...j'adore les mecs dans ton style..
- ah c'est vrai !
- oui t'es vraiment super beau c'est tout et quand t'as pris ma main pour la mettre sur le pneu pour voir l'endroit de la crevaison..ça m'a excité en fait !
- ben moi aussi..
- ah ouais...cachottier ..et ça t'a excité comment...
- ben j'ai bandé
- on a bandé au même moment alors !!
Nous nous sommes assis sur le bord du quai..nous avons discuté un bon moment de lui, de moi..de son couple..de nos expériences...
Il m'a dit qu'il avait 22 ans..et qu'il était curieux de connaître le sexe avec un mec..
- tu sais que je n'ai pas tout à fait le même âge..que toi..j'approche la cinquantaine...
- oui mais je m'en fous..au contraire..je crois que j'ai besoin d'être rassuré pour ma première fois avec un homme..
- ok tu veux faire quoi Lauran, t'es dispo maintenant, un autre jour ?
- toute la soirée, ma copine bosse dans un resto..elle rentre vers 1h30 du mat..
- ok, ben je te file mon adresse..
Nous nous retrouvons en bas de chez moi, j'habite un petit collectif de 6 locataires..
Nous entrons dans mon appartement...
- pas mal la déco !
- merci Lauran..mais au fait quel drôle de prénom !!
- oui en fait mes parents voulaient une fille je crois !
- et il ont fait un mec canon..
- ah arrête sans plus...
Nous entrons dans le salon..
- le meilleur moyen de savoir si t'es un mec canon ..c'est peut-être de régler un truc tout de suite..
- quoi ?
il me regarde l'air inquièt...
- retirer nos vêtements par exemple..
- euh comme ça..
- ben oui t'es pudique peut-être ?
- un peu quand même..
- un beau lascard comme toi! j'y crois pas..
Je m'approche de lui voyant qu'il ne semblait pas à l'aise..
Je le regarde..nos visages sont à 10 cm l'un de l'autre...il baisse les yeux et le menton vers le bas..je relève sa tête ...je m'approche de sa bouche...qu'il ouvre légèrement...je l'embrasse...sa première pelle avec un mec..il y répond parfaitement...
Il se recule un peu...me regarde...et il commence à retirer ses vêtements...il porte un boxer noir (marque Hom)..je lui demande :
- garde ton boxer..
Je retire mon jean et mon tee shirt..je suis en boxer aussi mais bleu ciel..
Je remarque que ça queue tendue ...
- ben voilà...nous voici à l'aise...je lui touche le sexe à travers le boxer...il se met immédiatement à bander...
Je l'embrasse à nouveau...il y répond avec fougue..il aime ça...
Je descend vers son torse...je lui caresse la bosse faite par le boxer..il semble bien monté...je m'attarde sur ses têtons...lui mordille..
Il gémit...
- ah c'est trop bon..
Je continu mon exploration de ce corps superbe...un pubis avec quelques poils bruns mais pas trop...je lèche la bosse de son boxer...il bande maintenant un max...je sors sa queue et je le suce un peu...je passe sur ses couilles..(petites) sa queue fait environ 17-18 cm...un gland bien décalotté...il souffle, gémit...il adore se faire sucer...
Je baisse entièrement son boxer...qu'il dégage avec les pieds...je suis au ange et lui aussi...quelques minutes après...il me dis :
- ah je vais jouir ..attention
je continu de la sucer...j'ai bien envie de recevoir en bouche son jus...
Il se contracte...il gémit...envoi des petits cris...
Il gicle..son sperme est délicieux..maintenant c'est lui qui pilonne ma bouche...
Je me recule...son sperme coule un peu sur mes lèvres...je m'essuie..je me lève, je le regarde..
- putain t'as avalé ?
- ouais..trop bon ton jus !!
- jamais ma copine n'a voulu faire ça !! c'était trop génial !
- pour moi aussi Lauran..bon si on allait à la douche ?
- euh oui ça s'impose..
Nous entrons dans la cabine de la douche et nous nous nettoyons, nous rigolons..le courant passe bien...
Nous quittons la douche...et remet ses vêtements...je fais de même..
- euh nous faisons quoi maintenant  ? me dit t'il ?
- on bouge ?
- ok..mais ou ?
- si nous allions bouffer un morceau...
- ça me va
- en même temps moi j'en ai déjà bouffer un bon de morceau..
Lauran rigole...il semble détendu maintenant et me dit :
- c'était géant  tu sais ..ça m'a excité à fond..
- oui j'ai bien vu..Lauran..
Nous partons vers un restaurant qu'il a choisi dans le centre ville...
Nous nous installons, il y a quelques tables occupées par les clients..nous nous installons sur une table deux personnes..
Un serveur arrive pour nous présenter les menus..
- bonsoir messieurs..désirez vous prendre un apéritif (question bête !!)
- oui pour moi un américano et toi Lauran..
- euh pareil..j'ai jamais goûté
Le serveur un peu efféminé part en tortillant un peu du derrière..je le regarde... lorsque lauran dit:
- eh !!! lui aussi il te plait ?
- euh non je regardais qu'il était vraiment trop éfféminé
- t'aime ça
- non pas du tout..j'aime les vrais mal..viril...avec un visage de lascard..comme toi en fait !!
- ah ouais..ben moi je sais pas encore ...ce que j'aime..mais je suis bien avec toi...y a 2 heures on se connaissait pas vraiment...mais j'ai aimé ce qui s'est passé..et je sais plus trop quoi penser...
- c'est normal tu dois...
La conversation est d'un coup stopper par une voix féminine...
- Lauran qu'est que tu fais ici ?
- Ah Karine...ben comme tu vois..je viens manger...
Elle me regarde d'un drôle d'air..me dit bonsoir..
- Je te présente "elliot" un ami
Il me regarde au même moment et me fait un clin d'oeil..
Elle s'éloigne en se retournant plusieurs fois vers nous..
- t'es fou Lauran...de m'amener ici ...elle va penser quoi..
- oui désolé j'aurai du te prévenir..mais je me suis dis qu'il faudra bien que je lui dise que je me suis fais sucer par un mec et que j'ai adoré...
- oui mais ..
- Elliot...j'ai adoré et je veux connaître tout de l'amour avec un mec...et j'ai envie que ce soit avec toi...
- mais tu vas vraiment lui dire..
- oui demain je lui balance la vérité..je n'aime pas mentir..je ne sais pas si je l'aime d'amour..je suis bien avec elle..mais je suis totalement troublé depuis cet après midi...
- non Lauran..il faut bien réfléchir..c'est peut-être une pulsion et demain tu redeviendras un bon lascard d'hétéro !
- j'crois pas...j'ai kiffé..et j'ai encore envie..la ..maintenant...et j'crois même que j'ai envie d'essayer de te sucer...
- bon on va se ressaisir ...
- quoi t'as pas envie toi ?
- Si Lauran, j'ai même envie de bien plus qu'une simple pipe..
- t'as envie de me baiser..
- ben ouais..
- on verra ..pour le moment je sais pas bien..j'ai jamais fais ça et en plus ça doit faire mal de se faire défoncer ?
Le serveur venait d'arriver et Lauran ne l'avait pas vu ..
Je le regarde..Lauran également avec un peu de rouge sur le visage...
- Lauran, pas forcément...
je me retourne vers le serveur..
- dites lui vous ...
- euh pardon monsieur ..!
- dites lui que ça vous a pas fait mal la première fois ..
Lauran se marre..il voit le serveur un peu gêné ..
- oui s'il vous plait dites moi ...ça vous a fait mal à vous la première fois..
- non..euh ..;oui.enfin...je...
Le serveur repart...il semble troublé...
- merde alors je saurai pas ce soir...
- Ah Lauran t'as fais fort...il sait plus s'il doit revenir à notre table..
Nous éclatons de rire..décidément...nous nous entendons bien pour cette première rencontre..
Quelques minutes après le serveur revient...
- Lauran !!
Lauran s'adresse au serveur.
- Désolé pour tout à l'heure ...on va commander maintenant...
Le repas se passe bien, nous discutons moto, sport, il me dit qu'il courre souvent, je lui explique que je fais du vélo 3 fois par semaine...sa copine passe de temps en temps à la table pour demander si ça va...il semble lui répondre sèchement..
Nous quittons le resto vers 23h
- Elliot on passe chez moi c'est à deux pas..
- ok Lauran mais tranquille, je tiens pas à voir ta meuf débarquer au mauvais moment...
- d'accord..
Nous arrivons chez Lauran..un appart bien rangé...il m'offre une bière ...il retire ses skets
Nous sommes devant la télé..nous discutons...il est 23h45...il se lève et se plante devant moi...
- alors Elliot...
- oui Lauran
Il est debout..il retire son polo...il ôte sa ceinture...il retire son jean...le voici comme tout à l'heure en boxer...
Il se caresse le sexe à travers...il commence à bander...et moi aussi...
- Lauran...je sais pas si c'est bien de faire ça ici !!
- moi je dis que c'est bien..allez à ton tour...
Il vient vers moi...retire mon tee shirt ...et enlève mon jean...
- allez enlève ton boxer Elliot..
Je m'exécute me disant qu'une simple pipe ne prendra pas trop de temps..
- branle toi Elliot...
Ce que je fais...j'ai le bite raide de désir...j'ai envie de le baiser ce mec..s'il savait à quel point...
Il se caresse...se tourne...baisse légèrement son boxer...laissant apparaître le haut de sa raie...je constate qu'elle n'est pas trop poilue...j'aime déjà...
D'un coup il enlève son boxer...se retourne et je vois sa bite bien droite....il vient vers moi et me l'enfonce dans la bouche...
- allez suce moi comme tout à l'heure j'ai trop envie..
Je le suce pendant plusieurs minutes...je quitte son gland, je lèche la bite sur tout sa longueur et je suce ses couilles....
D'un coup je décide de prendre le choses en main...
Je le bascule sur le divan...il repose sa tête sur l'accoudoir...je le suce à fond...enfournant sa queue sur toute sa longueur...il gémit, il adore...
Je lève une de ses jambe afin de dégager un peu sa rosette...il se laisse faire...
Ma langue descend sur ses couilles..je le lèche...puis je me dirige vers son oeillet...
Il ne dit rien..il lance des petits cris...ma langue entre dans son petit trou bien serré ...
- ah putain c'est bon...continue..
Je m'applique..je le suce à nouveau...je reviens vers son trou....à nouveau sur sa bite....et je passe mon index sur sa bouche..il ouvre sa bouche et me suce le doigt...plein de salive...je descend mon index vers son trou...et je force l'entrée...
Cela dure longtemps..il adore...il n'arrête pas de me le dire...
- elliot...on va dans ma chambre..
- ok
Je suis tellement excité que je ne regarde même pas l'heure...
Nous sommes dans sa chambre...il va vers un tiroir de la table de chevet et il sort un tube de lubrifiant...
- Lauran..tu veux me prendre...
- oui j'ai trop envie...et après ça sera à toi de me baiser...j'ai trop envie...
- ouais...ok..
- elliot, met toi à 4 pattes...
je m'exécute...il arrive derrière moi et me passe une bonne dose de gel...il en met sur sa queue...il passe un doigt pour me préparer...puis quelques minutes plus tard je sens sa bite entrer dans mon trou....
Il y va doucement...me demande si j'ai mal...
- non ça va...continu, j'ai trop envie ..
Il commence un va et vient assez lent au départ...puis s'enfonce à fond...je sens sa bite au fond de moi..je cris..pas de douleur mais je suis électrisé...
- oui baise moi Lauran
- ouais..je vais bien de défoncer...comme quand je baise ma copine...
- ah...ouais...tu l'a sodomise ?
- non c'est la première fois que je rentre dans un cul..
- allez baise moi...à fond...
cela dure un sacré moment..il retarde sa jute...au maximum...un super baiseur...
D'un coup je sens le rythme s'accélérer...il gémit..lance des petits cris...je suis maintenant sur le dos....il me pilonne à fond..il sort sa bite de mon trou ...il me regarde...je le regarde...il approche sa bite de mon visage....
- ouvre ta bouche Elliot
Je m'exécute ...je sens plusieurs giclée de sperme sur mon menton, mon cou...un jet sur mon front...
Il n'en fini pas de gicler..une bonne quantité de jus...je suis impressionné...
Je continu à me branler...il me regarde faire....je suis toujours sur le dos...
Il me regarde...je lui dis :
- Allez c'est le moment d'essayer...suce moi Lauran
Il ouvre sa bouche...me suce...je sais que je vais venir rapidement...il s'applique...il me regarde en me suçant...je sens que ça va venir...
- Ah lauran...je vais gicler...
Il continu à me sucer...je sens ma jute arriver..Lauran n'a pas laché ma queue et mon sperme arrive dans sa bouche...il continu à me pomper...il avale mon jus à son tour...il lache enfin ma bite...
Il me regarde droit dans les yeux..
- Elliot...j'adore ta bite et ton jus...
- moi j'ai adoré ta bite dans mon trou Lauran...
- putain si on m'avais dit cet après midi que j'allais baiser avec un mec..
- eh oui..comme quoi !!
Nous nous levons pour nous rendre dans la douche;..il est 1h40...
- Lauran et ta copine...
- ah ouais..on a eu de la chance de finir avec son retour ....
Il se met à rire..quand nous entendons la porte d'entrée se fermer...
Il se précipite à la porte...puis à la fenêtre...il voit sa copine s'éloigner dans la rue..
- Merde, elle fait quoi ?
- Lauran...j'ai un peu peur qu'elle soit rentrée et qu'elle nous ai vu...
- non je l'ai pas entendue..
- ben dans l'action...c'était pas possible de l'entendre...
- je vais l'appeler...
Il prend son téléphone et compose le numéro
- Qu'est ce que tu fais ? tu vas ou ?
Elle lui répond qu'elle va faire un tour...
- t'es revenu à la maison ?
- oui..ça va tu t'es bien amusé...c'était mieux qu'avec moi....
- ben c'était différent..mais j'ai kiffé c'est vrai...
L'engueulade au téléphone prenait une mauvaise tournure...
Il raccrocha de colère...
- Lauran, il faut te mettre à sa place...
- non j'ai pas envie ..j'ai envie de faire comme je veux..pour une fois que je me sens bien avec quelqu'un dans mon lit...
- on se connait depuis cet après midi Lauran...on a baisé...t'as une vie de couple..c'est bon..faut pas que tu déconnes..
- ok t'as raison..mais je veux qu'on reste en contact...j'ai encore des choses a apprendre ..j'ai trop envie...tu comprends ?
- d'accord...
Nous finissons par prendre notre douche...il m'a embrassé plusieurs fois...la queue à nouveau raide...mais il était temps de nous quitter...
Je suis parti de son appartement...le lendemain soir...il m'a envoyé un message...
- j'ai envie de toi...
- je n'ai pas encore répondu... mais je vais le faire...ce mec est trop bandant...devenir son amant...pour un temps...ca serait bien non ??

elliotpc

elliotpc@wanadoo.fr

 

 

 

 

Par ELLIOTT - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • INVISIBLES VINTAGE 1920
  • LUTTE FABIEN 035. LUTTE FINALE
  • CARREFOUR POUR LE CHEMIN FLEURI CACHE 010
  • BOBEUR 15
  • grosse bite 1[1]
  • BASTIEN 26.1ASIC

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés