Partager l'article ! Extrait : J’ai promis de le baiser. Et il a l’air d’avoir le feu au cul. A peine lâché, il fait voler ses fringues et le voilà à poil allong ...
JE N'AI JAMAIS SU S'IL ETAIT PASSIF COMME LE JACOB DU RECIT CAR JE NE L'ESPIONNAIS PAS et JE NE SOUHAITAIS SURTOUT PAS AVOIR UN RAPPORT AVEC LUI, mais il y a qq années, ici, sur la drague, un ado objectivement mineur, allait à vélo de couple en couple en action pour s'en mêler. Bien sûr c'était au mépris des usages et surtout de la loi. Mais c'était lui qui voulait. Je lui ai dit qu'il pouvait faire condamner un partenaire s'ils étaient surpris. Il m'a envoyé sur les roses et rien n'y a fait. Aujourd'hui majeur, s'il a continué, il doit être des « nôtres » de plein droit. Ces récits sur Cyrillo. biz ont un fond fe vérité. |
Il venait d'avoir dix huit ans mais c'était
encore une crevette. Il devait faire 1m65 -70
et 50kg tout mouillé
mais il était quand même fin et musclé.
" J’ai promis de le baiser. Et il a l’air d’avoir le feu au cul. A peine lâché, il fait voler ses fringues et le voilà à poil allongé sur le matelas pourri. C’est un petit gabarit, une crevette. Il doit faire 1m65/70 et 50kg tout mouillé, mais il est quand même fin et musclé."
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"Tu veux quoi ?
Il me répond impassible :
_ Que tu m’encules"
. à force de te la chercher, tu l'as dans ton cul...et maintenant ? ... je veux dire, j'arrête ou je continue ?
Je commence à relâcher mon étreinte. Je ressors doucement ma
queue.
_ Nan, s’il te plaît, j’prends mon pied, continue à me baiser comme ça s’il te plaît, pars pas.
Ah, j’ai trouvé une faille dans son mur. J’aime le voir me supplier comme ça. J’ai l’impression qu’il est à ma merci. Même si
[maintenant] j’avais pas l’intention de partir sans m’être vidé….
C’est bon de reprendre le pouvoir un petit peu. Je re rentre ma queue dans son fion. Ça rentre comme dans du beurre. Qu’est ce que j’aime son petit cul. Je glisse doucement jusqu’au fond. Je suis bien au chaud et j’aime sentir ses parois que se resserrent sur ma bite. Je fais jouer ma bite dedans. Après tout autant en profiter maintenant que j’y suis. Je la fais tourner au fond, je ressors doucement et je rentre d’un coup. J’alterne coup sec et coup profond. Cette fois je l’entends gémir doucement, pour de vrai. Plus de cinéma, il prend son pied. Tout son corps frissonne. Il se laisse complètement aller. C’est moi qui contrôle tout. J’adore cette impression. J’ai jamais été autant désiré qu’à cet instant. Ce gamin est prêt à tout pour que je lui donne un coup. Quelle sensation délicieuse. Même si je n’arrive toujours pas à l’atteindre. Je prends vraiment mon pied comme ça faisait longtemps que j’l’avais pas pris. Je mets pas longtemps à éjaculer. Ça fait au moins 4jours que j’me suis pas branlé. J’ai plus la forme de mes 20ans. J’en pouvais plus. Je sens le jus monter au bout de 20min de baise.
Ma queue se gonfle et dans un grand cri je déverse tout mon jus dans la capote. Wouah quel pied. Mes couilles étaient bien remplies. Je n’arrête pas
de gicler. C’est trop bon. Après 4 bonnes giclées je bande encore très dur, j’suis tellement excité.… mais j’me retire, trop dangereux vu comment j’ai rempli la capote. Lui n’a pas joui. Quand je
retire la capote, il se jette dessus et me supplie de lui donner.
_ Merci…. C’est bon, tu peux te casser si t’as envie, maintenant que tu t’es vidé. J’me débrouillerai tout seul. Merci de m’avoir
baisé.
Il prend la capote remplie à moitié et la déverse sur son visage, le sperme coule sur ses joues, dans sa bouche, il avale tout ce qu’il peut. Il
lèche ce qu’il reste et lèche ses doigts. En même temps il commence à se branler. Putain ce qu’il est bandant. Je suis excité comme un fou j’ai encore envie de l’enfiler. Je retire sa main de sa
queue en tirant son bras.
_ Hop hop hop… qu’est ce tu fais là ? J’en ai pas fini avec toi. Maintenant que t’as réveillé l’ours tu crois pas que tu vas t’en tirer comme ça.
J’ai encore envie de ton cul.
Il me regarde étonné. Et se remet à quatre pattes.
_ Nan, retourne toi, j’veux te voir jouir. Je veux voir ta tête quand t’éjaculeras.
_ Mais….
_ Quoi mais ? tu voulais que j’te baise… alors j’te baise. Mais on fera comme je veux et pas comme tu veux. Tu m’as excité à mort alors maintenant
t’assumes. Tu crois que j’vais me laisser mener par un gamin comme toi…. Tu rêves.
Il se retourne et s’allonge sur le matelas. J’attrape ses jambes toutes maigres et les pose sur mes épaules et je ramène son petit cul vers moi. Après avoir remis une capote, je le pénètre doucement. Je regarde son visage, ses grands yeux qui brillent, à moitié fermés par l’état de transe dans lequel il se trouve. Il évite mon regard. Sa bouche entrouverte expire faiblement des petits gémissements. Je jubile, j’aime le voir dans cet état d’excitation. Ça me fait encore plus bander. Je le tiens par les épaules et je commence à le limer. Dans cette position je peux voir sa petite bite bien dure qui pointe vers moi. Je sens qu’il a envie de se toucher. Mais je lui bloque les bras. Je l’empêche car j’ai envie de faire durer. Il en peut plus, ses yeux me supplient. Je vois l’excitation grandissante dans son regard. Son visage se crispe et il commence à transpirer.
Voilà, là j’prends vraiment mon pied à le voir comme ça. Il est beau. Je continue mes va et vient avec plus d’intensité. Il ne tarde pas à gicler. Il envoie sa purée sur son torse et poussant un cri de soulagement. Il ne s’est même pas touché. Je lui laisse un peu de répit mais j’en ai pas fini avec lui. Je le bloque toujours avec mes bras. Je le relâche pour attraper le sperme qui dégouline sur son torse avec mon doigt. Je lui met dans la bouche et il le lèche avec délectation. Il ne me fait plus face maintenant. Il a compris que j’me laissais pas faire. Il m’interroge du regard sur la suite. Il sait que j’vais jouir une seconde fois. Et qu’il faut qu’il me satisfasse. Après quelques instants de répit je reprends mes coups de butoir. Mais j’ai envie d’être gentil avec lui, je caresse son torse, je le câline, je le trouve adorable avec son air innocent. Il me regarde avec incompréhension. Toujours cette expression enfantine. Je cherche à le découvrir un peu plus. A briser la glace qui nous sépare. J’ai envie qu’il prenne autant de plaisir que moi, alors je me décide à le réexciter.
Je crache dans ma main et je commence à caresser sa petite bite puis à le branler. Il apprécie : il ferme les yeux, il se lèche et se mordille les
lèvres en signe de plaisir et il reprend sa respiration accélérée.
_ Te sens pas obligé…
_ J’ai envie.
Sa bite durcit vite dans ma main, stimulée par le plaisir anal. Son petit cul se resserre sur ma bite, je le sens palpiter. Il n’ose pas me
regarder. Il est visiblement troublé par mes marques d’affection. La faille s’agrandirait t-elle ?
_ Pourquoi ? …Pourquoi tu fais ça ? … Pourquoi est-ce que … tu … fais pas .. comme les autres ? Pourquoi tu te vides pas…. les couilles …simplement
?
_ Désolé de te décevoir. Mais pour moi le sexe, c’est un partage. J’aime prendre du plaisir et donner du plaisir, j’aime découvrir la personne avec
qui je suis. Si ça te plaît pas tant pis. C’est moi qui décide.
Il détourne le regard, je l’ai déstabilisé. Mais je le tiens toujours. Je continue à le pénétrer…
J’ai envie de changer de position. Je veux pouvoir l’admirer quand je le baise. Je me retire. Je le prends dans mes bras, il frissonne mais se
laisse faire.
_ Est ce que j’peux t’embrasser ?
Il me fait oui de la tête avec étonnement. Alors je le serre fort dans mes bras, je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Elles sont douces. Elles ont le goût de sperme. Il me rend mon baiser tendrement. Alors je passe ma langue sur ses lèvres et je force l’entrée de sa bouche. Ma langue caresse la sienne tendrement, je le sens frémir. Avec mes mains je caresse son visage, j’essuie la sueur qui perle sur son front et ses tempes. Et je lui roule une dernière pelle. Je sens son cœur qui bat, sa respiration s’accélère. Je m’allonge à côté de lui et je l’attrape pour le faire monter sur moi. Il a compris ce que je voulais. Il s’accroupit au dessus de moi et s’empale sur ma queue bien tendue. Il fait doucement glisser sa rondelle sur mon manche. En prenant appui sur mes abdos, moi je le tiens par les hanches et je le lâche plus. Une fois bien au fond de son cul, je commence à le limer avec force en faisant bouger mon bassin et en le soulevant à chaque coup de rein. Il est léger alors je ne force pas trop. Dans cette position je peux l’admirer, il est bien éclairé par la lumière extérieure.
Je peux voir son corps fin se trémousser sur ma queue, son visage crispé par l’excitation, son regard de petite chienne en chaleur. Sa bouche qui
exprime son plaisir par ses petits cris et ses gémissement. Il se lâche complètement. Il est magnifique quand il prend du plaisir. Il illumine le taudis dans lequel on baise. Plus rien ne compte
à par lui, je ne vois plus les ordures qui nous entourent. Je ne sens plus l’odeur de renfermé, mais seulement la sienne et la mienne. La sueur et le sperme. Il prend son pied, et j’ai enfin
l’impression d’avoir fait tomber le mur entre nous. Il se dévoile enfin à moi. Quel instant sublime. Il saute sur ma queue, moi je caresse son torse. J’ai l’impression de baiser pour la première
fois. Je découvre un nouveau corps. Ma main passe son sur torse imberbe, ses pecs, ses petits tétons durs, puis elle se fraye un chemin jusqu’à sa bouche. Je lui caresse les lèvres avec mon
pouce, il gémit. Puis je lui mets mes doigts dans la bouche et il les suce et les lèche comme sa glace préférée. Il m’appartient.
_ Putain ce que j’aime ton petit cul…. Tu me fais prendre mon pied… Lui aussi prend son pied, sa respiration s’accélère de plus en plus. Il ne
contrôle plus rien.
Un dernier râle de plaisir, son cul palpite et se resserre sur ma bite, sa queue gonfle et se tend une dernière fois. Il lâche sa purée une deuxième
fois sur mon torse. Il tombe d’épuisement dans mes bras. Son cœur bat fort sur mes pecs. Il tremble encore. Je le serre dans mes bras. Je caresse ses cheveux humides de transpiration. Il pose sa
tête dans le coin de mon épaule. J’embrasse son cou, son oreille.
_ Est ce que tu vas finir par me dire comment tu t’appelles ?
Il me répond encore essoufflé dans un murmure :
_ Ja… cob…
Je le serre encore dans mes bras. Et je nous tourne sur le côté, puis je le retourne pour le mettre dos à moi et pour pouvoir l’enfiler à nouveau.
J’ai envie de lui remplir le cul.
Je chuchote à son oreille :
_ Dis moi Jacob, tu veux bien que te je pénètre encore ?
_ Oui
Je rentre une dernière fois ma bite dans son petit cul bien dilaté. Je suis excité comme jamais. J’en aurai pas pour longtemps. Je le lime doucement
pour ne pas lui faire mal. En même temps, je le serre dans mes bras, je le caresse et l’embrasse dans le cou. En 2min, j’en peux déjà plus. J’éjacule une deuxième fois dans son trou. Il resserre
son anus pour que je prenne encore plus de plaisir. C’est trop bon….
Je le serre une dernière fois dans mes bras et l’embrasse tendrement.
Il tremble encore, sa respiration est saccadée. Je caresse son visage et je sens des gouttes qui perlent le long de ses joues.
_ Mais tu pleures ?
A ces mots il se détache de mon emprise et se lève d’un bond, il enfile ses vêtements et file avant que j’aie le temps de réagir. Il s’est
enfui.
_ Jacob??
Je saute hors du lit, m’habille vite fait et cours dehors pour le rattraper. Personne. Je l’appelle, je regarde partout … personne. Je retourne
chercher toutes mes affaires dans le squat. Je cherche si quelque chose pourrait me ramener à lui. Je ne trouve que son boxer qu’il n’a pas pris le temps de remettre.
Je finis par retrouver ma voiture. Je conduis sans but, je tourne dans le quartier machinalement et essaye de retrouver sa trace. Plus par peur de rentrer chez moi que par réel espoir de le retrouver. Je sais pas pourquoi, ce gamin m’a complètement retourné l’esprit. Tout à coup, ma vie me paraît loin, si loin de moi….
paulrugeau@
Ça c'est une idée que j'ai :si, au lieu d'avoir attendu 25 ans pour le faire, j'avais baisé comme ça avec des mecs de mon choix, des 35-40 ans, j'aurais mieux appris, et j'aurais été sexuellement plus heureux, vous croyez pas ? Pour dire que je donne raison à Jacob, non, je lui donne pas raison, mais Pour dire que je lui donne pas raison, eh ben je trouve qu'il avait pas tort dans sa tête de moineau entêté ! Putain qu'est-ce que j'ai dit ! et dire qu'il y a des petits moineaux tricheurs qui viennent se connecter à erog et à mon site. Libre à eux quand même ! Moi les adultes qui m'entouraient n'ont pas pu tout empêcher... Ah, recommencer à zéro comme un petit moineau écervelé....hhhmmmm . |
commentaire : Bin, Paul, il te restait son boxer à respirer.
...bonne suite dans tes amours et tes découvertes et bisous
MERCI POUR CE TEXTE !
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