Partager l'article ! Un prof de gym non pédophile raconte ses tentations du temps jadis à un ancien élève: Métier, déon ...
Métier, déontologie oblige, Monsieur Lepage, le prof' de gym, a su résister à déguster les confitures ...quelques années après, dans une partouze, il retrouve un garçon devenu adulte et maintenant en pleine possession de sa liberté. Le désir est toujours là...
— Alors, dites-nous ce que vous attendiez de moi quand j'étais votre élève?
— Pendant tes années de quatrième et troisième, tu as été mon élève. Je n'avais d'yeux que pour toi car tu étais de loin le plus beau! Chaque semaine, je vivais pour les quatre heures que tu allais passer avec moi et chaque soir, je me vidais les couilles que j'avais douloureuses d'avoir bandé pour toi! J'espérais chaque fois que tu porterais la tenue que je préférais: un short-jeans gris très court et moulant et un slip en coton blanc.
Je maudissais les jours de mauvais temps et certaines activités qui nécessitaient un survêtement. Je m'arrangeais pour faire pratiquer les agrès et la gym au sol. Je pense que tu as remarqué combien je m'occupais de toi?
— Oui! Chaque fois qu'il fallait parer un mouvement ou modifier une position.
— Je guettais ton entre-cuisses et j'étais heureux quand l'écartement imposé me laissait voir ton slip et quelquefois une couille. J'étais ravi d'examiner tes belles cuisses fines et dorées sortant de ce short, révélant parfaitement tes formes sexuelles. Le meilleur a été atteint le jour où je t'ai suspendu à la barre fixe. Le contact, à même la peau tant ton tee-shirt était remonté, de tes hanches bronzées et fines, a déjà été merveilleux mais le plus formidable s'est produit après.
Quand lors de petites compétitions je vous transportais et vous vous changiez dans ma voiture quel doux supplice de ne devoir rien toucher de vos trésors
et en particulier, des fois je vous emmenais dans ma voiture sur des lieux de petite compète. Et là mon désir s'exarcerbait...ça me faisait autant de mal que de bien de vous, de te mater.
Tu as accroché une jambe et par un mouvement de balancier, avec l'autre jambe tu as essayé de monter ton corps sur la barre. Je t'ai bloqué la jambe en arrière, en prétextant qu'elle n'était pas assez tendue et j'ai profité de la vue que tu m'offrais sans le savoir: ce n'était pas une couille qui sortait de ton slip ecarté mais carrément ta jolie bite entièrement recouverte d'un prépuce plissé à son extrémité! Que j'aurais aimé repousser cette peau si fine pour faire apparaître ton gland si frais!
— Je m'en souviens! J'ai senti comme un courant d'air dans mon slip!
— C'est exact! À défaut de toucher, pour te taquiner en secret j'ai soufflé sur ce que j'ai vu de plus beau dans ma vie; c'était ainsi comme une sorte de contact!
— J'aurais dû vous la donner, ma queue!
— Je n'avais pas le droit de te toucher... Quoique je l'ai fait à plusieurs reprises... très furtivement. Par exemple, pour te faire rentrer le ventre pendant un exercice, je posais ma main sur ton ventre et je poursuivais le mouvement plus bas en effleurant ton paquet. J'ai réussi à regarder tes poils: pour assurer une parade, en tirant sur la ceinture de ton short, j'avais attrapé, à pleine main et en même temps celle de ton slip; j'avais ainsi une magnifique vue sur une jolie toison naissante et si blonde!
— Oui! Mais maintenant je suis épilé!
— J'ai aussi respiré ton haleine en approchant mon nez et ma bouche lorsque tu étais essoufflé. Que c'était excitant!
— Et le soir, vous vidiez vos couilles en pensant à moi!
— En tout, ça fait des litres, rien que pour toi!
— Que de gâchis! J'aurais pu prendre tout ça dans la bouche, sur le ventre ou dans le cul, plutôt que de gicler ça dans les chiottes, sur vos draps ou sur un mouchoir.
— Dommage que tu n'aies pas ici de slip et de short et qu'il n'y ait pas d'agrès! Nous aurions pu reproduire toutes ces années collège! Mais, j'y pense! Que dirais-tu de venir un jour chez moi? J'ai tout ce qu'il faut pour refaire cette gymnastique et pour aller au bout de mes pulsions: une barre fixe, un cheval d'arçon, un tapis de sol et un sling sont là pour satisfaire mes besoins. Si Julien aime le sport, il sera aussi le bienvenu! Je ne vais pas rater l'occasion de jouer avec deux corps aussi beaux et aussi disponibles! Alors d'accord tous les deux?
— Avec joie! Sans hésiter et, le plus tôt possible! répond Julien vraiment intéressé par cette nouvelle perspective de plaisirs.
— Dimanche prochain, 14h? Maxime, tu connais mon adresse?
— OK! Sans problème!
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