Lundi 26 août 1 26 /08 /Août 00:17

moi j'ai connu un artisan boucher, dont l'apprenti le savait gay, qui, d'un coup se met en position et lui dit : "encule-moi, j'en peux plus" 

Et là inimaginable ! c'est un 'cho artisan curé' dont il s'agit _lol_ :      

histoire ancienne qu'il est bon de rappeler Je suis sodomisé par mon curé de père — Je deviens enfant de chœur et m'offre suis offert à l'Évêque du diocèse  

  qu'il est bon de rappeler  à moins qu'on ne puisse encore plus rien dire....

 

  – Monseigneur l'évêque souhaite simplement te voir ... tu ne dois rien cacher au ministre de Dieu.   (putain qu'il était bô !)

themalenudityinart: “ themeshoot_religion_by_deskriuwer ” Reblog of a favorite, August 2016      fake photo Là ce serait Pierre à l'âge ou il entre à son tour au séminaire...et on dirait une initiation maçonnique vu tout ce qui est sur la table 

  vous pouvez croire que si ça valait pas le coup, cavaillongay n'en ferait pas la reprise. Incroyable : 

https://www.asstr.org/~Histoires_Fr/txt2015/lollipop_-_memoires_d___un_cure_a_la_vie_agitee__1945-1960__-_chapitre_1.6.html

et il y a au moins six chapitres de cette saga sur ce site.

Mémoires d’un Curé à la Vie Agitée (1945-1960)

par Lollipop

Chapitre 1

Résumé : Ma naissance, mon enfance et mon initiation sexuelle entre le presbytère et la boulangerie — Je suis sodomisé par mon curé de père — Je deviens enfant de chœur et m'offre à l'Évêque du diocèse et à mon beau-père, le boulanger — Je me déniaise très tôt dans ma vie    

***

1945 - Ma venue au monde :

      CURé DE PERE EN FILS

Je suis curé et fils de curé ! Je sais que ce n'est pas banal mais c'est comme ça. Lors de ma naissance, au milieu des années quarante, mon père était le curé d'une église située dans un village bourguignon de quelques centaines d'habitants. Tout le monde se connaissait et mon père, qui avait la trentaine et un tempérament assez ardent, ne pouvait s'offrir le luxe d'avoir une maîtresse. La vieille bonne qui s'occupait de lui était percluse de rhumatismes et il ne la conservait à son service que par pure charité. Heureusement, il y avait une boulangerie pas loin du presbytère...

 

Image associée

À cette époque, tenir une boulangerie était un travail artisanal épuisant ; le boulanger se levait vers deux heures du matin et, aidé de son mitron — un jeune garçon de treize ou quatorze ans en apprentissage — il devait préparer la pâte à pain et la pétrir longuement à la main. Il allumait ensuite les fagots de bois à l'intérieur du four et façonnait les croissants et les brioches pendant que la pâte montait. Il formait ensuite les baguettes et pains ronds qu'il enfournait dans le four ; les gros pains sur les côtés car ils sont plus longs à cuire et les baguettes au milieu en terminant par les viennoiseries.

Pendant la cuisson du pain, il arrivait fréquemment que le boulanger, ayant un peu de temps libre, sorte sa bite et la lubrifie avec le beurre qui servait à faire les croissants. Le mitron baissait alors son pantalon et son caleçon et tendait son jeune cul à son maître en se penchant sur la maie qui servait au pétrissage de la pâte. Le boulanger enculait alors son mitron tout en gardant un œil braqué sur l'ouverture du four pour surveiller la cuisson du pain. Il ramonait consciencieusement le troufignon de l'apprenti  en pétrissant ses fesses puis, lorsque le pain était bien cuit, il vidait ses couilles au fond du jeune fion, remontait sa braguette et allait défourner les baguettes. Le mitron allait ensuite s'accroupir sur la planche percée de la cabane des chiottes du jardin pour laisser la purée blanche qu'il avait reçue de son patron s'écouler de son cul tout en se paluchant en essayant d'imaginer les sensations qu'il ressentirait si il avait un jour l'opportunité de se taper une fille.  

 

_____________________illustration imaginée par claudio_____________________________________________

 

Le Boulanger au gras sourire Grogne un vieil air. (Arthur Rimbaud. Les Effarés) 

 "Ah'fous-moi donc ta pin, dans l'cul,
Et qu'on en finisse

Ah ! fous-moi donc ta pin, dans l'cul,
Et qu'on n'en parle plus "(chanson paillarde)

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Et qu'on en finisse
Ah ! retir'-moi ta pin du cul
Et qu'on n'en parle plus "


 

Cette soumission sexuelle du mitron à son patron était généralement bien acceptée par les jeunes qui avaient le privilège d'apprendre un métier tout en recevant un petit salaire et qui se consolaient en pensant que, quelques années plus tard, ils deviendraient artisans à leur tour et pourraient aussi jouir du cul de leurs apprentis.

*** la boulangerie n'était pas loin de l'église  

La femme qui tenait la boulangerie située près du presbytère n'avait que trente ans et ses besoins sexuels étaient loin d'être satisfaits ; son mari se couchant à six heures du soir pour se réveiller à deux heures du matin tout en ayant l'opportunité de jouir de son mitron ne la baisait pratiquement jamais ! Après la fermeture de la boulangerie vers vingt heures, elle avait pris l'habitude d'aller porter son dîner au curé dont la vieille bonne n'arrivait plus à s'occuper correctement. Le curé et la boulangère étaient jeunes et chauds et ce qui devait arriver arriva ; le curé prit l'habitude de remercier la boulangère avec son goupillon et ses burettes. En ce temps-là, la pilule n'existait pas et la contraception consistait à « sauter en marche » ou à pratiquer la sodomie pendant les périodes de fertilité supposées. La méthode n'était pas infaillible et c'est ainsi que ma mère, la boulangère, fut engrossée par mon père, le curé ! Pour sauver les apparences, dés qu'elle sut avec certitude qu'elle était enceinte, ma mère exigea que son mari la monte au moins une fois !

Aux yeux des villageois, la boulangère avait été engrossée par son mari, lequel n'était pas dupe car il savait que sa femme visitait le curé tous les soirs et sa femme savait aussi qu'il se tapait son mitron mais il était de règle dans le monde des petits commerces de province de sauvegarder les apparences à tout prix.

Peu après ma naissance, je fus baptisé par mon père qui m'appela Pierre du nom de l'apôtre à qui Jésus avait confié la responsabilité de veiller sur l'église après lui.

***

1951 - Ma première sodomie :



Je fus élevé dans la boulangerie de ma mère et de mon beau-père qui n'a jamais manifesté aucun ressentiment envers moi bien qu'il sache pertinemment que je n'étais pas son fils. Le boulanger était un homme simple qui aimait son travail, sa femme et le cul de ses mitrons qui changeaient tous les trois ans ! Ma mère continuait à aller au presbytère tous les soirs et, des fois, elle m'emmenait avec elle et mon père biologique  m'embrassait et me caressait affectueusement.

 

1954 - Je deviens enfant de chœur :



Mon père  m'a appris à servir la messe et je suis devenu son enfant de chœur vêtu d'une aube blanche avec une croix de bois sur la poitrine. Dans notre petit village, il n'y avait qu'une seule messe le dimanche matin à onze heures et, dès dix heures, nous nous retrouvions dans la sacristie de l'église pour préparer l'office. Mon père revêtait sa belle aube de prêtre blanche avec une fine dentelle au bas des manches et au bas du vêtement et j'enfilais mon aube de servant de messe.  J'adorais le vin de messe — un muscat moelleux qui titrait treize degrés — et j'arrivais parfois à m'en envoyer une gorgée en douce pendant que mon père était dans le confessionnal avec un paroissien.

Je ne détestais pas me faire enculer, bien au contraire !   

***

1956 - La visite de l'Évêque :


             

Un jour, je venais d'avoir onze ans, nous reçûmes la visite de l'Évêque du diocèse. C'était un grand honneur et mon père m'avait envoyé chez le coiffeur et fait revêtir une aube de servant de messe toute neuve. Bien qu'étant très âgé avec ses cheveux blancs et ses épaules voutées, l'Évêque était un homme impressionnant dans sa soutane violette. Mon père et moi nous agenouillâmes devant lui et nous embrassâmes son anneau pastoral. La suite de sa visite fut plutôt détendue, il déclara en s'adressant à moi :

– Depuis que j'exerce ce sacerdoce, c'est la première fois que je rencontre le fils d'un prêtre en exercice qui, en plus, se nomme Pierre du nom du saint apôtre qui garde la porte du paradis. Tu es magnifiquement beau mon garçon...   

Après son départ, mon père me serra dans ses bras. Il jubilait et ne pouvait cacher sa fierté que son rejeton ait été honoré de la sorte par un dignitaire de l'église, descendant des apôtres du Christ !

***

 

1959 - La vie de mon Père : 1915 il y a largement prescription !



Le lendemain, je demandai à mon père pourquoi et comment il était devenu curé et il me raconta sa vie :

– Je suis né pendant la première guerre mondiale en 1915 et mon père fut tué à Verdun en 1916. Ma mère ne s'est jamais remariée et m'a élevé toute seule. Nous étions très pauvres, mais j'aimais l'école et j'étais bon élève. Après mon certificat d'études primaires, je rêvais de poursuivre mes études mais c'était au-dessus des moyens de ma mère et c'est le curé de la paroisse qui m'a fait rentrer au petit séminaire. À l'époque, c'était l'un des seuls moyens de s'instruire pour les enfants intellectuellement doués vivant à la campagne que les curés de paroisse repéraient et dont l'Église prenait en charge les années d'études secondaires en proposant aux meilleurs d'accéder au grand séminaire.

– Tu avais déjà la foi ?

– Je croyais en Dieu mais c'était assez vague. Le petit séminaire était un internat avec une discipline très dure, on y subissait des châtiments corporels ; fessées ou coups de triques sur les fesses nues, etc. Les nuits étaient le théâtre d'abus plus discrets ; les grands du grand séminaire, et certains prêtres, venaient faire leur choix dans notre dortoir j'ai découvert que mon anus n'était pas uniquement destiné à la défécation !

– Ça ne t'a pas dégoûté du petit séminaire ?

– Pas du tout ! L'enseignement y était gratuit, passionnant, et de grande qualité, nous étions logés et nourris, et « prêter » nos jeunes culs à des grands ou à des adultes pour qu'ils puissent en jouir était un prix insignifiant à payer ! D'ailleurs aucun élève n'en parlait ni ne s'en plaignait.

– Combien de temps duraient les études ?

– J'ai fait cinq ans au petit séminaire et cinq ans au grand séminaire.

   

Pierre : - Et toi aussi tu t'es tapé des petits quand tu étais au grand séminaire ?

– Comme tout le monde ! Je n'ai jamais oublié le tout premier ; il avait dix ans, il était blond comme les blés et il s'est mis à pleurer lorsque je l'ai choisi, puis quelques semaines après, il pleurait si je ne le choisissais pas...

 

– Quand es-tu devenu prêtre ?    

– En 1936, j'avais vingt et un ans. Malheureusement, ma mère est morte de la tuberculose peu de temps après mon ordination, elle était si fière de moi qu'elle avait l'air heureuse lorsqu'elle s'est éteinte, c'était une sainte femme ! J'étais si triste après sa mort que j'ai voulu partir le plus loin possible, j'ai pris le bateau pour Saigon, en Indochine, qui faisait alors partie de l'empire colonial français. Je n'ai malheureusement pas pu y rester longtemps car je fus rappelé en France en décembre 1939 lors de la déclaration de guerre avec l'Allemagne. Mais les trois ans que j'ai passés là-bas m'ont marqué à tout jamais.

– C'était comment ?

– C'était un choc culturel, l'empire du vice, un autre monde ! Les colons français y vivaient comme des rois avec des cohortes de serviteurs. Ils buvaient de l'absinthe qu'ils appelaient la « fée verte », certains fréquentaient les fumeries d'opium où les bordels remplis de congaïs dont les plus jeunes avaient moins de dix ans. Dans les bordels situés près du port, les filles les plus âgées étaient considérées comme des vétérantes ! J'étais le curé d'une paroisse située à Cholon, le quartier chinois de Saigon. Ma servante s'appelait Dao, c'était une Annamitequi se baladait torse nu dans le presbytère, ses seins commençaient tout juste à pousser et elle en était tellement fière qu'elle refusait de les recouvrir. Les filles Annamites venaient de familles paysannes très pauvres des plaines centrales du pays et leur unique ambition était de devenir la femme ou la maîtresse d'un colon blanc pour assurer leur avenir et celui de leur famille.

– Tu l'as baisée ?

– J'ai été obligé ! Pendant plusieurs semaines elle s'est pavanée devant moi avec le regard trouble et en adoptant des poses lascives et, comme je ne réagissais pas, elle s'est mise à déprimer. J'ai eu beau lui dire que les prêtres se devaient de vivre dans la chasteté, elle était persuadée que si je ne succombais pas à ses charmes c'était parce qu'elle était laide ou qu'elle avait une tare quelconque et elle pleurait en se regardant dans la glace. Alors un soir, j'ai eu pitié d'elle, je l'ai emmenée dans ma chambre et elle a enlevé sa culotte avant de me rejoindre sous la moustiquaire du lit. C'était la première fois que je voyais une vraie vulve, auparavant je n'en avais vu que sous forme de gravure dans des livres. La sienne était toute fine et lisse comme un abricot.

– Elle était vierge ?

– Comme un tambour ! Je l'ai dépucelée en quémandant la miséricorde du Seigneur et Dao m'a assuré que les larmes qu'elle versait étaient des larmes de joie. Après, elle est devenue une servante irréprochable ; elle se vêtait correctement, faisait le ménage, la cuisine, repassait, rangeait tout, puis elle se déshabillait et ouvrait ses cuisses dés qu'elle avait terminé son service. J'ai vécu trois années fabuleuses à Saigon, malheureusement, l'année 1939 a sonné le glas des espoirs de beaucoup de gens ; l'Europe est entrée en guerre, les japonais ont commencé à envahir le Tonkin, je fus rappelé en France et dus quitter ma paroisse et Dao avant Noël 39...

Mon père s'arrêta et essuya une larme, je ne l'avais jamais vu dans cet état ! Il respira et dit en regardant dans le vide :

– Dao était enceinte de cinq mois lors de mon départ !

J'étais abasourdi par cette confession ! J'avais peut-être un demi-frère ou une demi-sœur au Vietnam qui avait cinq ans de plus que moi, je demandai doucement :

– Tu n'as pas cherché à revoir Dao ?

– Tu ne peux pas savoir la pagaille que c'était à l'époque ! Lorsque je suis arrivé en France en 1940, c'était déjà la débâcle et ce fut l'exode en juin 40 où tout le monde essaya de fuir l'occupation allemande en descendant vers le sud. Je fus finalement affecté dans cette commune en 1943 et tu es né deux ans après. Côté Vietnam, ce n'était pas mieux, il y a eu l'occupation japonaise, la montée du communisme, la guerre d'Indochine en 1946 qui s'est soldée par la défaite de la France à Dien Bien Phu en 1954. Et maintenant ce sont les américains qui font la guerre là-bas pour essayer de contenir la progression communiste pendant que nous, nous faisons la guerre en Algérie...

Mon père souffrait et je décidai de changer de sujet :

– Papa, je sais que tu souhaiterais que je devienne prêtre et j'ai bien réfléchi, je suis d'accord pour embrasser une carrière ecclésiastique.

– Tu as la foi ?

– Je crois en Dieu mais c'est encore assez vague.

Mon père éclata de rire et me serra dans ses bras, il dit :

– Cela fait un moment déjà que j'en ai parlé à notre Évêque qui vient nous voir de temps en temps et qui a une grande estime pour toi. Il m'a assuré qu'il pouvait te faire entrer au grand séminaire lorsque tu auras passé ton BEPC, tu devras éventuellement faire une année de transition pour te mettre au niveau des autres et, six ans après, tu pourras être ordonné.

***    



À SUIVRE...sur plusieurs épisodes sur le site

 

 


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Afficher l'image d'origine    la maie du boulanger me faisait penser à l'autel du sacrifice ! Résultat de recherche d'images pour "la maie du boulanger"Image associée  un boulanger qui pourrait aussi bien faire un curé   ... et l'inverse ! 
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Par PIERRECURé - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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