ils le jetèrent donc sur un lit, lui mirent un coussin sur le visage pour étouffer ses cris, l'assujettirent sur le lit au
moyen d'une table qu'ils renversèrent sur son corps et, au travers d'un tuyau de corne, lui enfoncèrent un fer rouge dans les entrailles"
beaucoup voudraient avoir été ce favori "x" ou "y"
possédant le doux Édouard II pour, ensuite, s'emparer du pouvoir et c'est sans aucune tendresse que sur ordre de sa femme on lui plante un fer rouge dans le
cul...toujours pareil : le pédé c'est un suppôt du diable...plus il a mal pour mourir, mieux c'est !
Avec la distance historique, même le pire on n'y fait plus attention. Des rois assassinés y en a eu, mais des comme ça...faut être pédé pour
en avoir l'avantage...-lol-moi claudio je le ressens comme si c'était moi alors que je ne suis que le roi des c...
ça reste une histoire de cul !
Édouard est, sa vie durant, plus enclin aux plaisirs de la cour et aux divertissements qu’à ses devoirs de souverain. Il est incapable de refuser
les plus grandes faveurs à ses divers favoris, dont les plus célèbres sont Pierre Gaveston, un chevalier venu d'Aquitaine, qui est fait Comte de Cournouailles, puis un jeune seigneur
anglais, Hugues le Despenser , provoquant de constants troubles politiques et, probablement, à terme, la déposition par mort violente .
- un roi qui jouit en se faisant baiser il a le même regard troublé que toi et moi ... ah, j'oubliais toi tu ne
te fais pas baiser -lol-
NOTES : Dès 16 ans Édouard commence à s'attacher Piers Gaveston, fils d'un chevalier gascon au service du roi Édouard Ier. Remarqué par le roi, Gaveston rejoint la suite du prince en
1300. Les deux adolescents se lièrent d'amitié : Gaveston devint l'écuyer du prince et fut rapidement décrit comme son proche compagnon. Gaveston est d'ailleurs adoubé avec son ami par le roi
lors de la Fête des cygnes en 1306. Le roi exile ensuite Gaveston en Gascogne en 1307 pour des raisons obscures . Selon un chroniqueur, Édouard aurait demandé à son père d'accorder à Gaveston le
comté de Ponthieu et le roi lui aurait répondu avec fureur, se saisissant de son fils et lui arrachant des poignées de cheveux, avant de décider d'exiler Gaveston. Les rapports officiels de la
cour mentionnent cependant que l'exil de Gaveston ne fut que temporaire, d'autant que le chevalier recevait une confortable pension. Il semble donc que le roi ne tenait pas rigueur au favori,
mais bien à son fils, et souhaitait punir ce dernier.
La possibilité que Édouard ait entretenu des relations sexuelles avec Gaveston ou ses favoris ultérieurs a été longuement discutée par les historiens , du fait du manque de preuves
contemporaines. L'homosexualité était fermement condamnée par l'Église au XIVe siècle et considérée comme de l'hérésie. Néanmoins, s'engager dans une relation sexuelle avec un autre homme ne
définissait pas l'identité d'un individu comme au XXIe siècle. Édouard et Gaveston ont tous deux eu des relations sexuelles avec leurs épouses, qui leur donnèrent plusieurs enfants. De plus,
Édouard a eu un fils illégitime, Adam FitzRoy et aurait pu avoir une relation avec sa nièce Éléonore de Clare. Ce qui serait aujourd'hui défini comme de la bisexualité
UN PETIT MARIAGE ENTRE HOMMES : La preuve contemporaine soutenant l'hypothèse d'une relation homosexuelle avec Gaveston vient d'abord d'un chroniqueur anonyme des années 1320, qui décrit comment
Édouard « ressentit tellement d'amour pour Gaveston qu'il entra dans une alliance de constance et se lia avec lui devant tous les autres mortels avec un lien d'amour indissoluble, formellement
tracé et attaché avec un nœud ». La première suggestion spécifique selon laquelle Édouard aurait engagé des relation sexuelles avec des hommes fut enregistrée en 1334, lorsque l'évêque de
Hereford Adam Orleton fut accusé d'avoir affirmé en 1326 que Édouard était un « sodomite », bien que Orleton se soit défendu d'avoir tenu de tels propos et ait rétorqué qu'il désignait en réalité
le favori d'Édouard, Hugues le Despenser le Jeune. La Chronique de Meaux affirme pour sa part dans les années 1390 que Édouard s'était « tro adonné au vice de la sodomie»
Plus tard, dès ses 18 ans, Edouard III, le fils, vengera la mort de son père par l’exécution de Roger Mortimer et la mise en exil
de sa mère. La suite, vous la connaissez, c’est le début de la Guerre de Cent Ans.
dans certaines parties très privées de son palais, ses favoris pouvaient laisser admirer leurs charmes
La mort de ce pauvre Edouard II d'Angleterre intrigue et décidément passionne.Nul doute que ce mystère demeure d'actualité, bien que ce
drame se déroula en l'an 1327 ! Mais, du fait que Marlowe en a fait le sujet d'une tragédie célèbre ,et le romancier Maurice Druon en a fait un récit haut en couleurs dans Les
Rois maudits, le malheureux roi assassiné s'est trouvé en quelque sorte placé sous les projecteurs de l'histoire... !
gouverné par le cul (comme
on le comprend ! ) il l'a payé très cher
Raymond Avignon, historien, se demandait s'il était possible de savoir la vérité exacte sur cette
affaire. Or, un historien anglais de grande réputation, T.F. Tout , a précisément étudié les divers témoignages que nous possédons sur le mystère de cette mort, et on a eu la
curiosité d'aller consulter cette étude : The Captivity and Death of Edward of Carnarvon, publiée à Manchester en 1920. Peut-être les lecteurs
ici présents à Cavaillongay sont-ils intéressés par ses conclusions...
On sait que c'est au titre de roi gay qu'Edouard II nous intéresse. Ce souverain anglais du XIVe siècle – fort mauvais roi, au demeurant *– se
rendit célèbre par son amour pour deux favoris successifs, Pierre de Gaveston ou Gabasron, puis Hugues Despenser, à qui il confia pratiquement le gouvernement et la puissance royale. Comme, en
même temps, l'Angleterre traversait une crise économique sérieuse et que la misère était grande, on rendit les favoris responsables de cet état de choses, et l'opposition se cristallisa autour de
la propre femme du roi, Isabelle de France, femme cruelle et vindicative, qui ne s'ennuyait pas non plus, mais ne pardonnait pas à son mari de la délaisser pour ses favoris. Elle passa en
France avec son amant, Roger Mortimer, y leva une armée, débarqua sur la côte sud, marcha sur Londres, y entra, fit son mari prisonnier ainsi que le malheureux Hugues Despenser, et fit proclamer
son fils roi sous le nom d'Edouard III (celui-là même qui devait commencer la Guerre de Cent ans), tout en gardant le pouvoir pour elle-même et pour son amant.
On connaît assez bien le sort réservé à l'amant, Hugues Despenser (un atroce supplice décrit par Maurice Druon)
le martyre d' Hugues Despenser
l’art anglais de la mise à mort : il est jugé et condamné à un supplice atroce car il est homo et a subjugué le roi gay ! Cela commence par la
pendaison, mais pas au point d’en mourir. Ses organes génitaux sont ensuite coupés et jetés dans les flammes. Le condamné, encore vivant à ce stade-là, est ensuite éventré afin que son cœur et
ses entrailles soient brûlés. Pour finir, son corps est découpé en quatre morceaux qui sont envoyés dans différents lieux d’Angleterre pour éviter que le diable ne reconstitue le corps du
bel homme
Bah, là on commence à imaginer le sort d'Edouard II. Oui, car même s’il est emprisonné à vie, Isabelle, surnommée la louve de France, pense qu’il
représente encore une menace. Pourtant, elle ne peut le faire assassiner sans craindre de terribles troubles dans le royaume, il faut donc trouver une méthode pouvant faire croire à une mort
naturelle.
Edouard II était un grand costaud. Ca n'a pas du être facile de se rendre maître de son corps qu'il donnait parfois si volontiers
La destinée du roi détrôné est restée un sujet de controverse. On sait qu'il fut d'abord emprisonné au château de Kenilworth, sous la garde de son
cousin et ennemi Henri de Lancastre, pendant deux ou trois mois. Mais, comme des bruits couraient que des loyalistes restés fidèles allaient le délivrer, il fut transféré au château de Berkeley,
et confié cette fois à la garde de Thomas de Berkeley, le propre beau-frère de Roger Mortimer qui était l'amant de la reine, et également à la garde de son parent Sir John Maltravers. Peu
après, un troisième larron, Sir Thomas Gurney, âme damnée de Berkeley, fut adjoint au couple de geôliers. Ensuite, officiellement, tout ce qu'on sait est que, le 21 septembre 1327 – soit environ
cinq mois après l'arrivée à Berkeley – on annonça la mort subite du prisonnier et on l'enterra avec les honneurs dus à un ancien souverain.
L’assassinat a lieu dans la nuit du 11 octobre 1327 : un tube de métal est inséré dans le rectum du roi permettant l’insertion d’une barre de fer
rouge qui lui brûla les entrailles et entraîna sa mort. Les souffrances d’Edouard II durent être terribles et son agonie dura plusieurs jours, mais la méthode ne laissa aucune trace visible sur
le corps du défunt roi.
Bien entendu, personne ne crut à une mort naturelle. Edouard était d'une forte et robuste constitution, et en parfaite santé au
moment de son arrestation (il avait quarante-trois ans). Du reste, quelques années plus tard, son fils Edouard III ayant chassé Mortimer, intenta un procès aux anciens geôliers de son père comme
coupables de l'avoir assassiné. Dès ses 18 ans, Edouard III vengera la mort de son père par l’exécution de Roger Mortimer et la mise en exil de sa mère. La suite, vous la connaissez, c’est le
début de la Guerre de Cent Ans.
Place à l'imagination
Comment l'histoire véridique de l'assassinat, nous est-elle parvenue ? à l'époque, il y eut beaucoup d'hypothèses émises et beaucoup de
racontars. Il faut certainement en prendre et en laisser.
Mais les prêtres recevaient les gens en confession ...cette habitude religieuse a aidé à élucider bien des crimes fussent-ils d'état ! Ce
n'est que dix ou quinze ans après l'événement qu'un chroniqueur, Higden, qui écrivait en latin, précisa que le roi avait été tué cum veru ignito inter celanda confossus (« avec un
fer rouge enfoncé dans le fondement »). Ce qui donne du poids à ce témoignage, c'est qu'il fut traduit en anglais et admis comme véridique par le propre curé de Berkeley, John Trevisa,
qui connut Thomas de Berkeley, témoin oculaire des derniers jours d'Edouard.
Pourquoi ce supplice atroce, d'une barbarie qui laisse loin derrière elle la torture du pal chère aux Orientaux du Moyen-âge ? La raison en serait
probablement double d'une part, éviter toute blessure visible au cas où aurait lieu un examen du corps, comme il était de coutume à l'époque ; d'autre part – et cela serait bien dans l'esprit du
Moyen-âge – « punir le coupable par où il avait péché », vengeance qui dût être douce au cœur de la femme cruelle qu'était Isabelle... Cette version de l'assassinat, en tout cas, fut ensuite
adoptée par plusieurs chroniqueurs et annalistes, et notamment par le plus célèbre, Geoffrey the Baker, qui écrivit trente ans après les événements. Ce texte de Baker, largement répandu
dans l'Angleterre du Moyen Age, a contribué à populariser l'image classique des derniers moments du malheureux roi. Malheureusement, il est aisé de prendre Baker en flagrant délit d'inexactitude
sur de nombreux points que nous pouvons vérifier (sur le nom du responsable de l'ordre de mort notamment : Baker l'attribue à l'évêque Orleton, qui se trouvait alors à Avignon !), de sorte que la
valeur de son récit s'en trouve très amoindrie sur les détails invérifiables, qu'il a dû largement inventer, à moins qu'il n'ait tout simplement répété des ragots et des racontars recueillis à
droite et à gauche.
Marlowe, écrivant pour la scène, choisit une version sensiblement moins atroce, et surtout plus aisée à
représenter au théâtre : il nous montre Edouard II écrasé, ou étouffé si l'on préfère, par une table jetée sur lui. On peut être certain que cette façon de faire périr le prisonnier ne fut pas
choisie par ses bourreaux : il n'aurait pas été possible, ensuite, d'exposer le corps et de prétendre que le roi était mort de mort naturelle. Mais la littérature a ses raisons, qui ne sont pas,
heureusement, celles de la politique..., car on n'imagine guère le supplice que raconte Baker représenté par des acteurs, si géniaux soient-ils !
Le pauvre Edouard II connut, après sa mort, une popularité tout à fait inattendue : l'horreur de son supplice, le caractère émouvant de sa chute et
de sa captivité, le firent considérer comme un martyr, et pendant plusieurs années il y eut un pèlerinage et des miracles sur sa tombe, à la cathédrale de Gloucester. S'il eût été canonisé,
les gays auraient pu le choisir pour saint patron ; mais le pape ne donna pas suite à l'affaire. Dommage...
Arcadie n°126, Marc Daniel (Michel Duchein), juin 1964 et diverses sources
putain ça a dû le faire hurler les assasssins devaient s'en foutre ...il me semble entendre leurs sarcasmes :
- putain sire, regardez, vous allez jouir : ce tuyau de plomb est plus gros que la sale queue de Despenser n'est-ce pas ?
- ouvrez votre cul sire c'est tout pour vous ! (l'assistance et le comploteurs rient)
- a oooooooooo salauds j'ai maaaaal...(le supplicié attaché à un lit et immobilisé sous une lourde table hurle bien sûr)
- attendez sire ce n'est pas fini on vous a réservé encore mieux..(.il présente le fer rougi ...les assasssins rient méchamment)
Atteint en profondeur le roi s'évanouit. Il tiendra plusieurs jours, ses proches prétendant qu'il a attrapé une maladie...
claudio
*combien je ferais moi aussi un mauvais roi ayant déjà été un mauvais soldat, et n'ayant acune disposition pour être policier, gendarme
ou...chef de la sécurité du Chef de l'Etat (hum). Quoique pour un chef comme Edouard II ou tout autre souverain à sa ressemblance,(humm) je serais tout prêt à faire de gros efforts...
-lol-
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