DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Mercredi 21 août 3 21 /08 /Août 05:51

 

tout compte fait pensez-vous que je sois vraiment gay ?

 

    ATTIRE PAR LES SUJETS X

Avant de percer dans le cinéma, l'acteur James Franco a débuté sa carrière à la télévision, notamment avec des apparitions dans Profiler et X Files. Il revient à ses premières amours en signant un accord avec HBO pour être le héros de The Deuce, une série créée par David Simon.

James Franco n'a pas choisi la facilité en rejoignant ce projet, puisqu'il y incarnera le double rôle de jumeaux. Écrite à six mains par David Simon, George Pelecanos et Richard Price, la série relate l'explosion de l'industrie pornographique dans le New-York des années 70. Au menu : sexe, cocaïne et déferlante du Sida…

The Deuce est en partie inspirée de la carrière de frères jumeaux qui étaient très actifs à Time Square, quartier qui s'apparentait à l'époque plus ou moins à celui de Pigalle. Comme à son habitude, James Franco ne se contente pas d'être acteur, puisqu'en plus d'être le héros de la série, il en est également co-producteur.          

    UNE HOMOSEXUALITE JOUEE PLUTOT QUE VECUE

 L'acteur et réalisateur de 38 ans a reconnu de façon cryptée être gay  mais semble plus en jouer qu'autre chose, car il n'est, DIT-t-il, jamais passé à l'acte.    

James Franco fait une réponse "cryptée" à ceux qui (se) demandent s'il est homo ou hétéro.    

“On fait beaucoup trop attention à ce que peut être ma sexualité...  "

"Que ce soit la presse hétéro ou homosexuelle, il y a une sacré confusion à ce propos. Mais d'abord, je me demande bien pourquoi ça les intéresse ? Certainement parce que je suis célèbre donc j'imagine que ça les intéresse de savoir avec qui je couche. Si, pour vous, la sexualité se définit en fonction d'avec qui on couche alors, j'imagine que je devrais vous dire que je suis une allumeuse gay. C'est à ça que j'ai juré fidélité, c'est là où se trouve ma sensibilité, c'est ainsi que je me définis. Oui, je suis un petit peu gay, il y a une partie de James qui est gay", a-t-il déclaré au magazine new-yorkais.

 

Le formatage des esprits

Le cinéaste qui a présenté son film en avant-première lors d'un festival du film à New York, a ajouté qu'en réalisant ce long métrage, il s'est encore un peu plus immergé dans cette "obsession" qu'il nourrit à l'égard de la culture homosexuelle. "Quand j'étais étudiant à l'université de New York, je suivais des cours d'enseignement critique et l'un de ceux que j'ai préférés était celui consacré au cinéma gay. On nous a gavés jusqu'à la nausée d'histoires hétérosexuelles et hétéronormatives que l'on retrouve au cinéma, dans les séries ou des les publicités. Partout. Je trouve ça sain de travailler sur quelque chose qui vient bouleverser et remettre tout ça en question, qui présente des personnages divers. C'est justement le travail d'un artiste", a-t-il indiqué.

Ce n'est pas la première fois que l'acteur qui a aussi consacré un livre à la mystérieuse Lana Del Rey évoque ainsi sa sexualité nuancée. Au printemps dernier, il avait déjà affirmé au magazine Four Two Nine être gay dans son art et dans sa vie, exception faite de la réalité de ses relations sexuelles.

Coline Chavaroche

Le 20 Avril 2016 - 14h26

 

 

L'acteur James Franco a une réponse cryptique à ceux qui se demandent s'il est hétérosexuel ou gay.

«Il y a un peu de focalisation excessive sur ma sexualité ... et la première question est de savoir pourquoi ils s'en soucient. Eh bien, parce que je suis une célébrité, je suppose qu’ils se soucient de savoir avec qui je couche. Mais si votre définition de gay et hétéro est celle 'avec qui je couche', alors je suppose que vous pourriez dire que je suis un gay

L'interview - dirigée par l'un des critiques les plus virulents de Franco, Jerry Saltz - est pleine de déclarations cinglantes tirées de sa déclaration au cours de la cérémonie des Oscars, le plus grand moment, sans surprise, qui a eu lieu lorsque Franco s'est exprimé sur sa sexualité 'muette' :

Il y a un peu de focalisation excessive sur ma sexualité, à la fois par la presse hétérosexuelle et par la presse gay, et la première question est donc: pourquoi s'en soucient-ils? Eh bien, parce que je suis une célébrité, je suppose qu'ils se soucient de savoir avec qui je couche. Mais si votre définition du gay et de l'hétéro est de savoir qui je couche, alors je suppose que vous pourriez dire que je suis un allumeur de gays. C'est là que réside mon allégeance, où réside ma sensibilité, comment je me définis. Oui, je suis un peu gay et, quelque part il y a un James gay.

La façon dont Franco taquine sur la façon dont son homosexualité est perçue comme transactionnelle et; ça facilite les choses , a déclaré Franco dans une interview avec le New York Magazine.
 

  ci-dessous vous vous laissez prendre au jeu de l'acteur n'est-ce pas ! 

 

 

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James Franco est un merveilleux acteur et un incorrigible farceur

    il incarnera des jumeaux dans The Deuce 

 

L’acteur James Franco partage volontiers ses moments de "spooning", autrement dit dormir enlacé contre un ami…

 

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imitons-le  imitons-les

 

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sans préjugés; s'enlacer = bien s'aimer c'est tout !

 

homosexualité 'transactionnelle'

 

  Image associée Donner le change aux fans !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio+ docs - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 14 juin 5 14 /06 /Juin 06:40

   La barque est chargée dès le départ : un gay totalement libre doit-il partager les 'misères psychologiques' d'un bi marié ? 

 

Image associée   Nous gays à relations   multiples, avons l'opportunité de rencontrer divers partenaires avec des intentions différentes dans la rencontre. Le projet le plus fréquent est le 'sans lendemain' qui exclut d'avance tout sentiment. Je pense que toute rencontre nous émeut et nous 'muscle' le coeur en le faisant battre plus fort

que ce soit :

  • dans la prise du rendez-vous
  • à l'approche du rendez-vous
  • la vision du partenaire  
  • l'approche du partenaire le toucher, le parfum
  •  le baiser du partenaire
  • les gestes de l'amour et
  • les paroles échangées qui -plus ou moins- nous marquent 
  • le désir plus ou moins satisfait (on se reverra ?  ou pas ? )  

Oui, tout ça nous fait ressentir des accélérations cardiaques et c'est normal : on n'est pas des robots !  Dans le cas de Gabriel et de Fédérico, les paramètres sont d'entrée peu favorables : un gars hétéro dont c'est  

-éventuellement- la première fois...relation 'one shot' la plus probable habitée par la crainte  du 'péché d'adultère' inhérente aux gens mariés.

! Lio - neil

 

 

Image associée

Federico, organiste, et moi, nous nous connaissons bientôt depuis quinze années. J'ai eu le privilège de faire sa connaissance dans le cadre de récitals d'orgue. Il a 45 ans, marié, deux adorables enfants ; depuis trois ans, il vient souvent en Suisse pour jouer lors de divers offices des samedis et dimanches et pour des concerts. J'ai toujours aimé l'orgue, mais je ne joue d'aucun instrument si ce n'est de la flûte surtout lorsqu'elle est enchantée… Federico est d'origine italienne ; il est beau, les cheveux très bouclés, une gueule d'ange. Il m'avait toujours promis que je puisse une fois me mettre à l'orgue et que je presse quelques touches pour entendre les sons merveilleux, etc. Une précision, Federico sait que je suis homo et je lui ai même dit récemment que j'avais un copain.

Le jour tant attendu arriva ; je retrouve Federico un mercredi soir à l'église. Il était là, magnifique, il jouait une pièce de Frescobaldi sur l'orgue italien, tout cela ne pouvait qu'être divin. Je m'approche de lui tout doucement car il ne m'avait pas entendu entrer. Nous nous saluons en nous embrassant comme nous le faisons depuis un certain temps déjà. Il me donne quelques explications au sujet de l'instrument puis m'invite à prendre place sur le banc. Il était debout derrière moi et me donnait ses « directives »… J'ai posé d'abord un doigt, puis deux, trois, les deux mains, un peu n'importe comment ; c'était horriblement beau… Moi, ignorant toute règle musicale, ne jouant d'aucun instrument, j'arrivais – très mal – à sortir des sons de cette merveille instrumentale. Federico, m'a mis une partition d'élève en m'expliquant comment je devais procéder. Toujours debout derrière moi, il guidait mes bras afin que je les positionne correctement. J'étais aux anges. Insensiblement, son corps se rapprochait de mon dos et parfois je sentais le souffle de sa respiration sur ma nuque, mais je sentais surtout sa chaleur sur mes vertèbres. Que cela était doux. Federico riait et se moquait un peu de moi, mais cela n'avait aucune importance car je le sentais de plus en plus proche de moi tout contre mon corps. Nous avons continué cet exercice un certain temps pour ne pas dire un temps certain. Je pense pouvoir dire que nous nous amusions beaucoup à ce petit jeu. Federico se rapprochait de plus en plus de moi et je remarquais de mieux en mieux toute sa chaleur ; peut-être que c'était moi qui me mettais plus en arrière sur mon banc… De temps, en temps, mon italien d'organiste plaçait son visage à côté du mien et me montrait un point particulier sur la partition ; il changeait de côté tout en s'appuyant davantage contre moi. Une fois qu'il avait son visage tout près du mien, j'ai tourné le mien vers lui et nous nous sommes regardés longuement, les yeux dans les yeux, aucun de nous ne parlait ; il peut y avoir des paroles très silencieuses, c'est ce qui se passait. Il m'a souri, je lui ai souri, puis il m'a plaque ses lèvres sur les miennes… Surprise de ma part, mais pas longtemps… Federico a mis ses bras autour de mon cou pour que je ne puisse pas me retirer et là, moment merveilleux, mon bel italien a forcé le passage de mes lèvres pour placer sa langue dans ma bouche et je me suis laissé faire. Ce bel hétéro était en train d'embrasser avec délices un homo ; quel moment subliminal. Il fouillait avec sa langue chaude et douce, pas râpeuse du tout, que tout cela en était divin. Je ne savais pas si j'osais insérer ma langue dans sa bouche car j'aurais tellement voulu que nos langues fassent un ballet incessant dans nos cavités buccales… Tout à coup, il relâche son étreinte quitte ma bouche et me dit « Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris… il faut arrêter ». Comme réponse, je l'ai bien regardé et cette fois, c'est moi qui ai plaqué mes lèvres contre les siennes et j'ai introduit ma langue dans sa bouche et il s'est superbement laissé faire. Et il en a voulu de ma langue que je n'en revenais pas. Après ces instants de fougue, j'ai mis une main sur son paquet, lui sur le mien… nous bandions comme des dingues.

Nous avons terminé la leçon et je l'ai invité chez moi pour parler ensemble ; ce pauvre chou était mal dans sa peau de mâle hétéro… Nous avons donc quitté l'église ; Federico m'a proposé de prendre sa voiture pour aller à mon appartement. Il ne disait rien, ce qui me faisait de la peine… J'ai rompu le silence et je lui ai dit qu'il ne devait pas avoir de scrupules quant à ce qui s'est passé ; j'étais peut-être aussi fautif en me mettant bien en arrière sur le banc pour le sentir tout près de moi. Je n'ai rien fait lorsqu'il s'approchait de moi et que nos visages étaient bien l'un contre l'autre. Je n'ai rien fait lorsqu'il a déposé ses lèvres sur les miennes et qu'il n'a pas tardé à me mettre sa langue dans ma bouche. Donc, il n'avait aucune raison pour ne pas poursuivre ce dont il avait certainement très envie. Je lui parlais ainsi pour tenter de le calmer tellement il était mal à l'aise. Il voulait que je lui pardonne et qu'il ne se passe plus rien entre nous… « Federico, mon ami, on parle de tout cela à la maison et il se passera ce que nos sentiments nous dicteront… ». Il a souri et, tout en conduisant, il a mis sa main droite sur ma cuisse gauche ; l'histoire ne pouvait donc pas se terminer ainsi.

Arrivés à mon appartement, je lui ai proposé une boisson ce qu'il a accepté, un bon « Martini rosso », pour moi également. Il était assis sur le divan et je me suis mis à côté de lui. Rapidement, il m'a dit qu'il y avait déjà un petit moment qu'il souhaitait que quelque chose se passe entre lui et un mec, moi en l'occurrence ; il avait dans l'idée d'avoir une fois une relation avec un homme pour savoir comment c'était par rapport à une femme et il pensait sincèrement à moi, certain qu'il était que, quoiqu'il arrive, jamais je ne lui en voudrais.

 

 

  VIVRE les désirs d'un 'bi'

Faut-il qualifier de bi lun homme marié qui va avec un gay ? Ce qui l'attire c'est le côté toujours mystérieux et subversif de l'homosexualité alors que l'hétérosexualité n'exerce évidemment pas ce pouvoir sur les gays puisqu'elle est très largement majoritaire et n'a rien de mystérieux s'affichant partout en permanence et encore moins dans la notion de subversion. Un gars marié qui se fait piquer à baiser avec 1 mec fera davantage se poser de questions à sa compagne,,,D'ailleurs, Moi qui suis gay nomade et volage j'en ai rencontré beaucoup des hétéros qui aiment varier leurs plaisirs. Je les trouve d'ailleurs plus ouverts d'esprit que moi car je n'irais pas avec une femme.-lol-

Lio - neil

 

 

      Image associée   Je le fixais dans les yeux dans lesquels il y avait quelques larmes ; il était encore plus beau qu'à l'ordinaire. Cette fois, c'est moi qui l'ai enlacé autour du cou et j'ai couvert son visage de baisers puis n'y tenant plus, c'est moi qui ai déposé mes lèvres sur les siennes qui étaient brûlantes – de désir je pense – et sans tarder j'ai passé ma langue pour chercher la sienne. Très rapidement, c'est un vent de folie qui s'est emparé de nous, nos corps se rapprochant. Nos bouches ne se quittaient pas, nos mains prenant le visage de l'autre ou se promenant sur le corps de l'autre tout partout, sur les tétons, sur l'abdomen sur le paquet, sur les cuisses… C'était un orage violent qui nous animait, tout se passait sans paroles, mais avec des gémissements de délices (j'aurais envie de compléter par… amours et orgues…). Il a défait les boutons de ma chemise, n'ayant rien dessous, il a alors quitté ma bouche pour me sucer les tétons et les caresser longuement de l'un à l'autre. Je me laissais faire ou je le laissais faire. Souhaitant qu'il aille plus bas, j'ai défait ma ceinture, ouvert mon pantalon et tout de suite il est venu déposer de doux baisers sur mon paquet encore emballé dans un slip. Ma bite était très tendue et elle n'attendait plus le moment d'être libérée ; je me suis alors soulevé pour descendre mes habits pour me mettre ensuite un peu en arrière pour qu'il puisse me lécher comme il le voulait. Federico était perdu dans mes poils, mais n'arrêtait pas de passer sa langue tout autour de mon sexe puis sur mes couilles. Il a pris ma bite dans une main et a commencé de me masturber ; je lui ai demandé s'il voulait la prendre en bouche et doucement il a avancé ses lèvres vers mon gland, l'a embrassé puis l'a léché avec une douceur fabuleuse que j'avais peur de jouir prématurément. Tout à coup, l'italien s'est réveillé et a pris ma queue en bouche avec une frénésie folle et cela a duré longtemps que je ne pouvais plus l'arrêter.

A un moment donné, je lui ai demandé sans plus aucun détour s'il souhaitait que nous allions dans ma chambre à coucher, qu'on y serait mieux ; à ma grande surprise, il a accepté l'offre faite. Avant de se déplacer, il s'est mis à poil entièrement et j'ai enfin pu admirer ce corps magnifique, très peu de poils, des tétons bien pointus, un petit ventre plus qu'adorable, des poils pubiens noirs, une queue tendue de 20 environ, un prépuce comme j'aime et une paire de couilles bien pendantes. Arrivés dans la chambre, je me suis mis sur mon lit, couché sur le dos et je me suis offert à lui. Il n'a pas hésité comprenant très vite mon envie de l'avoir. J'avais bien écarté mes jambes afin qu'il puisse se placer entre elles pour que je sente rapidement son sexe contre le mien et contre mes fesses. Il s'est étendu entièrement sur moi et m'a à nouveau embrassé avec fougue. Je le sentais très chaud, surtout son sexe qui était plus que bouillant. Federico parut très pressé de me demander s'il pouvait me baiser et si j'avais des capotes. Oh oui, tu peux me baiser et j'ai même osé lui dire « comme tu veux avec ou sans capote ». J'ai tout ce qu'il faut dans le tiroir de ma table de nuit… Comme je sentais qu'il voulait « conclure » cette alliance, j'ai pris du lubrifiant, je me suis bien doigté et je lui ai dit que j'étais prêt, qu'il pouvait pénétrer mon intimité quand il le voulait. Il a enfilé une capote, a encore mis deux ou trois doigts dans mon trou en disant « une merveille » et oups il s'est introduit sans aucune difficulté. Pour qu'il puisse mieux me prendre, j'ai mis mes jambes sur ses épaules et cette fois il a pu me baiser comme il le voulait ; je bougeais mon bassin afin que cela l'excite davantage… Je lui ai fait comprendre que je souhaitais qu'il m'embrasse pendant qu'il m'embrochait ce à quoi il m'a répondu « nous ne sommes pas des amants, c'est juste une expérience pour moi… », mais il m'a tout de même embrassé très chaleureusement et longuement. Donc, en haut et en bas, tout fonctionnait à merveille. Je satisfaisais le fantasme d'un hétéro, pure souche, et je me faisais sauter par un mec dont j'avais déjà eu envie… Cette baise a duré longtemps ; de temps en temps, il sortait totalement sa bite et la rentrait en poussant au maximum afin que je la sente bien, d'où des gémissements parfois assez forts de ma part. Le moment devait arriver ou mon hétéro italien allait éjaculer ; dans la capote ou dans ma bouche lui ai-je demandé ? Trop tard, tout arrivait et une quantité énorme de sperme a été déposée dans le condom… Il s'est lentement retiré de moi a éliminé la capote et je lui ai bien léché sa bite pour la nettoyer. J'en ai profité pour bien avoir le goût de sa semence, de sa liqueur de mâle… hétéro… Ensuite, il s'est affalé sur moi et nous nous sommes endormis… Les héros étaient fatigués.

 

Image associée Alleluia !

 

Image associée  Une partition nuptiale  qu'il fut facile de jouer au lit à quatre mains

 

Au réveil, mon Federico était à nouveau tout sombre. Mais, qu'avons-nous fait me dit-il ? Mais l'amour lui ai-je répondu. Tu voulais cela, tu voulais faire une expérience, tu voulais comparer tes ébats entre une femme et un homme, non ? J'étais presque fâché de l'entendre parler ainsi. Il m'a pris dans ses bras, m'a embrassé et m'a demandé si au moins j'avais eu du plaisir avec lui. OH OUI, mon amant italien, tu peux être tranquillisé, je l'ai eu mon plaisir avec toi. Je lui ai même avoué que j'avais déjà fait l'amour avec des hétéros, mais que lui avait été « plus que parfait ». J'ai précisé que l'amour entre homos peut être superbe, mais que l'amour fait avec lui dépassait tout ce que je pouvais espérer. A son tour de me dire qu'il a pleinement goûté à cette expérience et que je lui avais apporté une jouissance qu'il y a longtemps qu'il n'avait pas connue ainsi. Généralement, il veut baiser une femme – la sienne ou une autre – rapidement pour se satisfaire, mais avec moi il a baisé longuement non seulement pour lui, mais pour moi également sentant toute ma jouissance de l'avoir en moi pour moi tout seul… un immense désir réciproque.

Il a voulu prendre une douche ; j'ai pris la mienne ensuite. Nous avons pris un petit déjeuner et il est parti en m'embrassant tendrement… seulement sur les joues… Je le comprends, même si j'avais du regret.

Nous n'avons plus jamais reparlé de cette histoire. Je suis tout de même persuadé que lui et moi, nous gardons dans notre for intérieur les délices de ces moments passés si proches l'un de l'autre.*

J'aime beaucoup Federico et il m'aime beaucoup comme de très bons amis.¤

                                                                                                                                                                                          Gabriel

  

Image associée« J'ai toujours aimé l'orgue, mais je ne joue d'aucun

 

 instrument si ce n'est de la flûte surtout lorsqu'elle est

 

enchantée…» Gabriel vu son récit on ne le trahit pas en publiant cette image !   

 

 

 

 Image associée  jeune musicien joue de sa bite traversière -lol-

 

 

 Image associée visiblement leurs flûtes sont enchantées !

   lecture en direct sur cyrillo :  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-federico.php

* ce qui fait que Féd' téléphone à mon beauf , 20 ans après, pour lui demander des nouvelles de moi ! à 15 km de cavaillon, j'espère que Federico sera invité bientôt !-lol- : 

   Résultat de recherche d'images pour "collé au dos du jeune organiste "

  Ah la drague de Caumont dont le maire fait tout ce qu'il peut pour qu'elle devienne inaccessible aux gays !

 

notes :

 

Les gays...

Résultat de recherche d'images pour "gif deux coers qui battent"  ...à relations   multiples

 


coeurs solitaires: 

trop dur la solitude envie de jouer et jouir !

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Résultat de recherche d'images pour "gif branlette coeur solitaire" Image associée mmmmmmhhhhh avec un vibro ans le culImage associée

 

 

 

 

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  masturbez-vous les gars ! ça ira mieux bien !

 

 

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Image associée Image associée

 

"Allez ! rien n'est meilleur à l'âme que de faire une âme moins triste " Paul Verlaine 

 

 

Certains hommes couchent avec d'autres hommes sans se penser gays ou bisexuels. Cela peut faire rire ou rendre triste, mais ce n'est pas si absurde.

Par Renée Greusard sur Rue89 

 

"Est-ce que cela veut dire qu'il est gay ?"

C'est la question que posait une femme au "New York Times",en janvier 2018. Après avoir fouillé dans le téléphone de son copain, elle s'était aperçue qu'il se baladait sur des applis gays.

En lisant cette femme, nous avons pensé à son compagnon. Parle-t-il d'homosexualité et de bisexualité dans les dîners d'amis sans se sentir concerné par le sujet ? Que signifie ce refus d'accéder à ces catégories ?

Un exemple français : Adrien*, qui se présente comme "un Parisien trentenaire semi-branchouille qui gagne bien sa vie dans l'événementiel culturel", a accepté de nous parler de son cas par téléphone, après avoir insisté sur l'anonymat total de son témoignage.

"Des aventures exotiques"(ça ne l'a pas empêché de se 'mettre' avec une nana)  

Dans une conversation, ponctuée de soupirs, il se souvient de son arrivée à Paris il y a quelques années et de sa plongée dans une disette sentimentalo-sexuelle. Pas une meuf à pécho. Timide, pas dragueur, Adrien finit par se tourner vers les mecs pour "combler un vide".

découvre des plaisirs nouveaux en étant pénétré...

"Mais ce n'est pas comme si j’étais homo, là, c’est juste des aventures exotiques irrégulières et ponctuelles."

S'il ne peut se définir comme gay, c'est que :

"Je ne me suis jamais considéré comme gay ni même bi parce que je ne me vois pas être en relation réelle avec un mec."

 
("qu'il se voie" ou "qu'ON ne le voie ? et ça nous ramène à une question sociétale où les sentiments n'ont pas la première place ! ) 

la rédaction de cavaillongay-lesitelocal

 

 


 

  commentaire :

 

   Image associéeemail claudemodou@gmail.com  

 

 

Par GABRIEL SUR CYRILLO - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 06:43

 

e-mail de claudio à DAVID : 

Objet :  Salut David Un grand bonjour

 
 
Cliquer ici pour indiquer à Gmail que cette conversation est importante

Friend Amigo <claudemodou@gmail.com>

 06:38 (il y a 2 minutes)
 
Répondre
À  jh_avec_cam6
Tous mes compliments pour ton texte sur Cyrillo
Tu es du 84, et tu y donnes ton e-mail
Aimerais-tu qu'il paraisse sur cavaillongay-lesitelocal ?
Avec ou sans ton e-mail ? Ta réponse nous remplira d'aise
quelle qu'elle soit !
Bises
Claudio

 

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camion aménagé, moquette au sol fait pour la baise gay

 

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Aimerais-tu donner des conseils aux jeunes cavaillonnais dont ce serait la première fois ?
Nous serions ravis de ta participation  et merci d'avance !
claudio

Ma première fois.

Nous sommes au mois d'août 2005, un mardi après midi.

Ma femme fait une sieste dans sa chambre. J'en profite pour aller sur un salon gay d'un tchat.
Cela fait déjà au moins 4 ans que je cherche à avoir une expérience avec un homme (surtout pour essayer de sucer une queue), mais je n'ai jamais osé aller jusqu'à la rencontre, par trouille, je l'avoue. Mais cet après-midi là j'étais bien décidé a réaliser mon fantasme.

Je recherche donc activement un H du 84 (j'ai 25 et recherche un mec viril ayant la trentaine). J'ai envie d'être passif, il me faut un mâle, un vrai.

J'entreprends donc mes recherches sur le tchat, et après quelques messages privés infructueux je me décide de me lancer vers un pseudo alléchant "bogossbidu84".

Premières impressions : c un bi actif, 32 ans. Ça commence bien. Il se décrit, il a l'air charmant et bien musclé, et une belle queue de 17 cm paraît-il.

Bon ben, je me lance : je tente un rencard, il est ok pour un plan dans la nature, et ok pour discrétion absolue, il a une copine. En plus il a un fourgon, nickel pour le confort et la discrétion.

Je lui file donc rencard, et prétexte à ma femme que je vais faire mon tour de vélo quotidien.

L'heure du rdv arrive, je suis fébrile à l'idée de me lancer, mais je me lance. J'enfourche mon vélo et me mets sur la route du rdv.

Sur la route, proche du lieu, j'aperçois un fourgon garé, un bo h attendant à coté. Je le passe puis m'arrête 200 m plus loin. Je le regarde, j'hésite, que fais-je ? Je ne sais plus, je suis pris par le désir fou de goûter cette queue et par celui de rentrer chez moi.

Soudain, il remonte dans son camion et reprend la route. Il vient vers moi. M'a-t-il vu ?
Il faut croire que oui, je reprends la route, arrivé à ma hauteur, il me double et s'arrête sur le bas coté. Je me lance : je m'arrête a hauteur de sa portière. Waow un bogosse bronzé, plutôt musclé, le pied". Il me fait "c'est toi ... ?" Oui. "alors ça le fait ?" en me montrant son corps "Ho oui lui dis-je.
On va au point de rdv c'est un peu plus loin ? "ok" Par discrétion, il prend son camion je continu a vélo.

Arrivé au point de rdv, je suis essoufflé par le vélo, nous buvons un coup et nous grimpons à l'arrière de son camion. C'est plutôt cool : c'est revêtu de moquette pas mal...

On se jette un regard, genre "on y va ?"

Je suis a genou devant lui, il défait son jean, et en sors une magnifique queue, encore molle mais déjà très grosse. Je la saisis alors de la main gauche et l'enfourne dans la bouche, il commence à râler de plaisir. Je lui caresse alors le torse pour voir ce que ça donne, et effectivement il a de beaux abdos. Je bande comme un fou et le pompe comme une chienne, je n'en peux plus.

Je sens sa queue grossir dans ma bouche, et mon anus commence a en avoir envie. Malheureusement, il me dit qu'il est pressé, on s'arrêtera donc a la pipe. Il n'en peut plus de plaisir et me demande s'il peut s'asseoir pour mieux apprécier. Il s'assied donc et je finis de le pomper comme un fou, sa queue est raide comme du bois.

Je commence a sentir du liquide chaud et gluant dans ma gorge, il ne va pas tarder a exploser, ses râles se font de plus en plus poussés.

Je lui masse les couilles en même temps et amplifie la vitesse de mes mouvements de gorge, il n'en peut plus. Je sens soudain son jus giclé dans ma gorge et redouble de vitesse, je l'aspire. Il râle de plaisir. Je le suce jusqu'à l'avoir complètement nétoyé.

Puis, nous nous sommes rhabillés, je n'ai jamais su s'il avait aimé, j'espère que oui, j'ai été un peu rapide, il faut dire.

Moi j'ai adoré, la sensation de cette queue dans ma bouche est géniale et je me languis de trouver un H du 84 ou des environs qui voudront bien de ma bouche et de mon anus. J'ai en effet très envie de sentir une queue de mâle non seulement dans ma bouche mais aussi dans mon anus.

Alors je recherche toujours, en espérant trouver celui qui réalisera mon fantasme.

Si cela arrive, je viendrai vous le raconter.

C'est une histoire vraie.

David


commentaire :

c'est doux de se rendre compte combien on est heureux entre nous sur cavaillongay-lesitelocal même si on sait que David, le beau David, ne nous rejoindra pas !

 

 

Par DE DAVID JH AVEC CAM - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 05:29

Peut-être ce sont les bisex et les hétéros indécis qui 'peuplent' le plus les dragues, les saunas, les wc publics et d'autoroutes ainsi que les applications et sites de rencontres... peut-être, mais, quand je rencontre un gars, je ne lui demande pas ses 'données personnelles' -lol- je me contente qu'on se plaise en tout ou en partie et c'est pas pour un mariage...  

 

 

 VRAI : Au grand Dam des hétéros  et des furies la population gay-bisex augmente à grandes enjambées depuis 2013. Comme ça reste très personnel de le dire ou pas, les statistiques  demeurent incertaines quoiqu'en dise l'IFOP. Nous à cavaillongay oon fait partie des gens qui disent à quoi bon ranger les gens dans des catégories : vivons heureux et on verra après...!

 

Résultat de recherche d'images pour "pêche à la ligne" je veux tout ! Et je suis patient… très patient…

l'original :  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2013-Ah-ces-heteros-01.php

Ah... ces hétéros...

Salut à vous chers lecteurs. Les récits qui vont suivre sont nés dès suite de l’excitation éprouvée à ma propre lecture de certains récits d’auteurs anonymes tels que vous. Lecture qui m’a donné l’envie de communiquer à mon tour le désir et le plaisir par ma plume. Ces mêmes histoires que je vais vous conter sont nées de certaines expériences, ou de fantasmes… parfois même, elles mélangeront les deux.
Je me nomme Daniel, j’ai 27 ans. Physique plutôt agréable… voir très agréable ! 1m78, 75kg tout en muscles, que mon travail dans la métallurgie me permet de cultiver sans perdre mon temps à la gym. Cheveux noirs corbeau, yeux bleus-gris. La nature a été diront nous, quelque peu généreuse avec moi. Je suis passionné par la musique, la nature, j’aime cuisiner et je peins des corps nus. J’ai une allure plutôt hétéro, comme le milieu dans lequel j’évolue… Et j’aime ce milieu, j’aime les hétéros…. C’est ça mon truc… ! Je kiffe les détourner du droit chemin ! Quel intérêt de me taper des mecs qui bavent déjà sur moi … même si ça reste agréable. Mais tellement simple quand ils n’attendent que ça. Non, vraiment, la vraie victoire est d’aller dénicher de bonnes salopes chez ceux qui s’ignorent voire se l’interdisent et luttent contre leur nature profonde. Même s’il n’en a pas toujours été ainsi. Les tous débuts n’étais pas si drôles, laisser moi vous raconter ces histoires…

I / Edouard

La première histoire m’est arrivée il y a 8 ans, c’était en Février et j’étais dans cette boite depuis un peu plus d’un an seulement, un an dans le métier que j’exerce aujourd’hui, j’étais donc plus jeune moins baraqué… mais pas moins sexe ! Et je savais déjà utiliser mon pouvoir de séduction, bien que plus maladroitement… Cela a bien changé… Bref ! Une journée d’octobre, démarrait comme toute autre journée de travail il est 5h, et j’entends parler de l’arrivée d’un nouvel intérimaire qui venait remplacer celui parti le vendredi précédent. 8h00, l’équipe de journée arrive, et quelques dizaines de minutes plus tard, accompagné d’une pure bombe, le directeur du personnel qui vient nous présenter ce beau mec comme notre nouveau collègue, Edouard. Environ 1m75 corps taillé comme un athlète, blond foncé, les yeux bleus… et à priori très beau paquet et cul sublime moulé dans un jeans bien serré… Edouard me sert la main et mon chef me demande de le former… Quel pied ! Pas de problème !

Je commence par lui expliquer les quelques informations concernant la sécurité… Cela aurait été tellement dommage d’abîmer un si joli corps ! Puis on commence la formation et les jours passent, le collègue devient un personnage plutôt sympathique et nos journées de travail sont mafois bien agréables. On plaisante l’un avec l’autre, on commence à se voir en dehors du travail, je lui montre mes toiles de mecs et nanas à poil. Il me félicite et on apprend à se connaitre. Il se moque pas mal d’un des mecs de la boite qui fait très efféminé… pour ne pas dire carrément folle ! Je lui cache donc mon homosexualité. Et puis Edouard est un mec assez secret, je sais qu’il aime le reggae et le dance hall. L’univers festivalier, comme moi. Je sais qu’il a une copine depuis près de 4 ans… mais à part ça je n’en saurai jamais plus. Alors me taire sur ma vie sexuelle me paraît une assez bonne idée… les quelques réflexions qu’il peut faire sur les pédés  sont peu reluisantes… il n’a pas l’air d’aimer les homos… quel gâchis ! me disais-je…
Et un beau jour au taf, monsieur décide d’en livrer davantage sur sa personne…

« Je kiffe la baise ! me dit-il.
_ Ben oui moi aussi, comme tout le monde je pense.
_ Nan je veux dire je kiffe vraiment ça, c’est une drogue !
_ Ah t’es une nympho, tu veux dire !!!
_ D’une certaine manière… Même me faire sucer par un mec, ça me plaît… Tant que j’ai la queue bien raide, ça me va… »
Je me suis senti mal à cette révélation… m’avait-il percé à jour, et prêchait-il le faux pour avoir le vrai… Après toutes les saloperies qu’il avait pu balancer sur Yann (la folle…) Un long silence demeurait…. Puis il revint à la charge.

« Tu dis rien…
_ Tu veux que je dises quoi… ?
_ Ben je sais pas moi, tu t’es déjà fais pomper par un mec ?
_ Pourquoi t’as envie de ma bite !!! en riant pour masquer mon malaise et surtout ne pas répondre…
_ Tu réponds pas à ma question… Mais non je suis hétéro et je ne suce pas. T’es malade ou quoi… Y’a que les pédés qui taillent des pipes… »
Décidément il ne lâche pas le morceau et en plus il joue les gros cons… Du coup je la joue franc jeu.
« Si tu veux savoir si je suis gay, la réponse est oui… mais, toi tu t’es vraiment fait pomper par un mec… ?
_ Oui, et pas qu’un. Y’avait même un mec, quand j’étais en internat à l’âge de 17-18 ans avec qui j’avais essayé plus… mais j’ai pas aimé. Du coup il me suçait, je lui défonçais le cul… mais c’est tout.
_ Ouais, j’ai bien compris… t’es un mec, un vrai !
_ C’est ça… Pas trop déçu…
_ Pourquoi… le monde grouille de beaux mecs… au cas ou tu pensais être le seul mec attirant de la planète… Pas trop déçu ?! »

Du coup il rit et la tension redescend. On continue notre journée de taf, et deux semaines passent sans que le sujet revienne sur le tapis. Jusqu’à un vendredi de Juillet où il me propose de l’accompagner pour un festoche dans un département voisin. Un groupe qu’on adore tous les deux se produit ce soir là. Je lui dis qu’évidement je suis partant. Et on part du boulot ensemble pour aller préparer notre week-end à ce festival. On passe juste chez moi, puisqu’il a, me dit-il, déjà tout ce qu’il lui faut. Je prends un sac à dos dans lequel je glisse deux calbuts et deux paires de chaussettes, un t-shirt et quelques capotes que je prends soins de planquer… on sait jamais ! Je prends mon portefeuille, J’ouvre le frigo et je prends quelques bières… un bon festoche c’est class, mais leurs bières sont dégueulasses lui dis-je. Il se marre et me confie qu’il est d’accord. Je prends ma toile de tente, mon sac de couchage, et ma caisse curver « spéciale festoche » que je lui demande de prendre, un bidon de 5 litres d’eau et on part.

Je vous passerai les détails des concerts de la première soirée… tout est cool on danse bien, on picole bien. Super première soirée qui se termine et on s’en va comme tout le monde vers le camping. Là, près de la voiture, on se prépare à installer notre campement.

Je prends donc ma « 2 secondes » que je déplie en deux secondes… Edouard me regarde… complètement saoul, et me dis…
« La vache, faudrait que je m’en achète une comme ça, ce serait moins galère que ma vieille tente de merde… il se dirige vers le coffre de sa bagnole, l’ouvre et ajoute… ben de toute façon je l’ai zappée…
_ C’est con ça… tu vas faire comment ?
_ Ben t’as l’air d’avoir de la place pour 4 dans la tienne…
_ Ben c’est pas gratuit… lui dis-je avec un petit sourire au coin des lèvres.
_ T’es sérieux là… visiblement gêné.
_ Mais non, c’est bon, amène-toi. »
On se couche donc, et la première nuit se passe ainsi, en dormant comme deux simples potes, à l’hôtel des culs tournés comme dirait ma frangine.

Le lendemain, au réveil, je me lève laissant ce sublime mec en train de cuver quasi à poil dans ma quechua, je n’avais évidement pas rater le spectacle de cette magnifique trique matinale qui mettait en valeur son boxer… quelle belle queue. Un bon 19cm à vue d’œil, que je léchais des yeux en préparant le café dont l’odeur réveilla le beau mec qui me grilla en train de mater la bite…

« Le spectacle te plaît coquine ? me dit-il en se caressant la tige…
_ Ma foi… c’est plutôt un beau morceau !
_ Ben une bonne pipe au réveil, ça me le ferait bien…
_ J’imagine bien… mais tu devras attendre de rentrer chez toi pour voir ça avec ta meuf ! Avec moi, c’est donnant-donnant !
_ Ok… dommage. En tout cas cool pour le café… c’est ça qu’il y avait dans ta caisse « spéciale festoche »… carrément class, t’es vachement bien équipé !
_ Et t’as pas vu l’équipement sous le pantalon ! »

Il se marre, prend le café que je lui tends et se roule un joint. Sans prendre la peine de relever ma petite réflexion. Et la journée se passe sans un mot concernant le sujet qui nous met mal à l’aise, moi crevant d’envie de baiser avec lui, mais le faisant mariner, car je sais que plus t’as du mal à avoir quelque chose, plus tu le veux… et lui voulant se faire pomper mais sans rien donner de plus… et même si je kiffe ce mec… ce que je veux, c’est certainement pas être juste sa pute… je veux tout ! Et je suis patient… très patient… Il ne me faudra pourtant pas atteindre plus d’une journée pour voir Edouard se révéler enfin ! Le soir même, après la deuxième et dernière soirée de festoche, le beau gosse encore bien bourré, se désape entièrement pour se coucher… Je matte et tousse, lui demandant s’il n’enfile pas un calbut pour la nuit…
« Ben vu que t’as l’air d’apprécier sa présence, je te la laisse à l’air, tu finiras bien par craquer et me pomper…
_ L’espoir fait vivre lui dis-je… C’est donnant-donnant, souviens-toi… ?
_ Je me rappelle… t’inquiètes ! Et au passage, ton équipement sous le pantalon, j’ai vu aussi… j’suis juste plus discret que toi.
_ Ah bon… Ben heu…
_ Bon tu te mets à poil, ou on discute toute la nuit… ? »

Il fallut quelques secondes pour assimiler ce que je venais d’entendre… alors que je lui tournais le dos. Etre sûr… Après tout j’en avais un bon coup dans le nez aussi… Est-ce que je n’étais pas en train de me faire un film, de rêver tout éveillé… Mais ses mains en train de me dessaper me confirmaient que j’avais bien entendu.
Il m’enleva d’abord mon T-shirt. Je le sentais là , derrière moi, tout contre moi. Ses mains douces et fortes à la fois, caressant chaque parcelle de mon torse, puis de mon ventre. Elles prirent la direction de mon jeans, où elles dégrafèrent ma ceinture en moins de temps qu’il ne faut pour le dire… ma respiration s’accélérait de même que les battements de mon cœur. Sa respiration aussi s’intensifiait, et je sentais son souffle chaud dans ma nuque. Une de ses mains se glissait alors dans mon pantalon et y attrapa ma queue déjà bien raide. Il me massa un moment puis me déshabilla entièrement après m’avoir mis sur le dos. Nous nous retrouvions nus tous les deux, lui, à genoux entre mes deux jambes, me regardant dans les yeux et ne disant mot. Moi allongé sur le dos, le regardant, n’en disant pas davantage. Ses mains caressèrent mes cuisses de chaque coté de lui et remontèrent en direction de ma queue aussi longue et large que la sienne…

il me branlait lentement et longuement avant de se décider à s’en approcher et de me sucer enfin. Sa bouche était juste divine. Il léchait, branlait et pompait mon chibre de plus en plus vite et de plus en plus profondément… De temps en temps il ressort ma queue de sa bouche et reprend haleine en léchant mes couilles, et me branle lentement ma tige dégoulinante de salive… il est doué ce con… et il pourra bien me dire ce qu’il veut… mais il y a maîtrise de l’art de la pipe là… Alors le coup de l’hétéro pur jus… à d’autres ! J’en peux plus et lorsqu’il reprend ma bite en bouche, il faudra peu de vas et vient dans sa gueule pour la remplir… je le préviens par courtoisie, mais il me garde en lui et je crache tout mon jus au fond de sa gorge.

« Et il avale en plus… Donner un mec comme toi à une meuf, c’est du gaspillage !
_ Ah ah ah ! Ferme ta gueule et rends-moi la politesse salope !
_ Ok… mais pour info, les insultes et la soumission n’a aucun effet aphrodisiaque sur moi… donc t’es mignon et tu me la refais poliment s’il te plait… Ou tu te la mets sur l’oreille !
_ Comme tu veux… Ferme ta gueule, et rends moi la politesse salope, S’il te plaît !!! »
J’éclate de rire, et me jette sur lui, le retourne et m’allonge sur lui…. Je l’embrasse dans le cou et lèche chaque partie de son anatomie tout en descendant le long de son corps. En passant sur son torse, je tète ces beaux tâtons, je les lèche, les mordille, les pince… il aime ; il gémit… sa queue est bien dure contre moi… je continue alors ma lèche-descente vers son beau chibre… je l’ai en main et le branle… et à mon tour m’apprête à le pomper aussi magistralement qu’il le mérite…
« - Par contre j’avale pas moi…
_ M’en fous, suce ! »

Et d’une main derrière ma nuque, il avance ma tête vers sa grosse queue. Ca y est, je l’ai en bouche, je le pompe lentement, et je lèche, putain qu’elle est bonne, putain qu’elle sent bon, je la branle contre ma joue, pendant que je lèche la base de sa belle pine et ses couilles. Je le reprends en bouche et suce et lèche encore et encore, alternant les deux, j’aime son bon gros gland bien rond, dur et juteux… je salive, je suce et tète encore et encore, de plus en plus vite. Il adore ma bouche et me donne de légers coups de reins pour que la lui fasse gorge profonde… j’étouffe et manque de gerber… je cale ma main à la base de sa queue et le laisse continuer à donner ses coups de reins qui l’excitent tant… il vient, je le sens se crisper, il me tape sur l’épaule et se retire et m’envoie la sauce dans la gueule dans un râle énorme… Là il me met sur le dos, s’allonge sur moi et lèche son propre jus sur ma gueule… je m’apprête à l’embrasser mais il me repousse et me dit qu’il n’embrasse pas. Mais continue de lécher jusqu’à la dernière goutte de son foutre. Puis me lèche le cou, puis le torse et me dit…
« Putain, t’as encore joui… Elle est bonne ma queue hein !? Attends je vais te nettoyer… »
Et il reprit sa lèche afin d’avaler mon jus à nouveau sur ma queue qui se raidissait une troisième fois…
« Ben mon salaud… tu m’kiffe hein ! »

Il mit quelques coups de langue sur ma bite puis vint s’allonger contre moi et me branla jusqu’à me vider les couilles complètement et avala mon foutre et le sien qu’il avait déchargé sur mon ventre une dernière fois. Il s’allongea à nouveau près de moi après m’avoir remercié de l’avoir si bien pomper…
« Ben écoutes, je sais qui doit remercier l’autre… t’étais je pense bien meilleur que moi…
_ Je n’avais pas le choix… je la voulais ma pipe… »
Genre, le mec, il fait ça juste pour se faire pomper… En tout cas… il aime le jus. Aucun doute à ce sujet. Le lendemain au réveil, il m’ignore, genre il regrette… Il évite le sujet comme mon regard. On rentre, il me dépose chez moi, refuse une bière et repart direct chez lui. Les semaines passent, taf sans problèmes mais vraiment pas d’échanges entre nous, il esquive pour ne pas bosser avec moi… Bref l’ambiance entre nous c’est pas ça. J’aimerais avoir une discussion avec lui et régler le problème, mais il évite de se retrouver seul avec moi et ne répond pas au téléphone ni aux texto…

Ça devient particulièrement tendu entre nous… Jusqu’à cet évènement, ma bagnole tombe en rade. J’allais bosser en stop ce jeudi là de septembre, j’arrivais avec près de deux heures de retard. Pour rentrer, même galère pour rentrer… je partais à pied, et après seulement quelques mètres hors du parking de l’usine, Edouard s’arrête à mon niveau et me dit de monter, qu’il me ramène chez moi.
« Tu vas pas te taper encore 30 bornes à pieds…
_ Parce que t’en as quelques chose à foutre… ?
_ C’est bon, monte je te dis… »
Je monte, et le remercie. On ne dit rien ni l’un, ni l’autre dans cette foutue voiture pendant la moitié du trajet… Puis malgré la boule au ventre…
« Faut qu’on parle Edouard.
_ J’vois pas pourquoi, on a rien à dire, ni l’un ni l’autre.
_ Je ne suis pas d’accord… Ce qui c’est passé au festoche, je comprends pourquoi ça te met mal à l’aise, mais tu…
_ Il s’est rien passé, on était bourré, on a fait une connerie, c’était naze…
_ Ben écoute, jouir trois de suite, je trouve pas ça naze du tout !
_ Arrête, on en parle plus ! OK ?
_ Comme tu veux, mais ne m’ignore plus s’il te plaît…
_ Ça marche »
On arrive chez moi et il repart aussitôt après m’avoir dit qu’il passait me chercher à 4h30 le lendemain pour le boulot.

Ainsi notre relation redevint peu à peu ce qu’elle était avant cette folle nuit. Il était venu me chercher le lendemain et m’avait ramené après le travail. Il était resté pour l’apéro puis était reparti, après m’avoir dit de lui envoyer un texto si j’avais besoin qu’il vienne me chercher pour le taf dans le cas où ma voiture ne serait pas réparée lundi.
Ce fût le cas, trop de frais à faire pour la réparer, ça ne valait absolument pas le coup, je devais en changer. Et du coup il se proposait de me servir de chauffeur jusqu’à ce que je change de voiture. Ce qui prit environ deux semaines. Une semaine de plaisir avec lui. Il s’attardait de plus en plus le soir. La vérité c’est que j’étais en train de tomber amoureux de lui. Plus j’en apprenais sur lui, Plus je fondais littéralement. Devais-je aborder le sujet, ou réfréner mes sentiments naissants… ? Le plaisir d’être avec lui était gâché par la torture de ne pas lui dire ce que j’éprouvais pour lui. Durant ces deux semaines, il se trouvait présent ce vendredi après-midi où je recevais un coup de téléphone d’un homme qui me commandait un tableau de nu masculin pour mettre dans son salon, je pris la commande sous les yeux ébahis d’Edouard, qui de toute évidence, se demandait comment une personne pouvait passer ouvertement une commande si particulière. Et surtout comment il pouvait être prêt à y mettre le prix que je lui avais annoncé…

L’homme en question me demandait un tableau de 1m20 par 65cm en peinture à l’huile, représentant un homme jeune au physique agréable et imberbe se masturbant et se doigtant. Sa position devait être aussi excitante que possible… J’expliquais à Edouard que le plus dur n’allait pas être de peindre le sujet, mais de le trouver… ! A ma grande surprise, Monsieur se proposa comme modèle…

«  C’est gentil, mais je ne trouve pas que ce soit une très bonne idée…
_ Je te jure que ça me gène pas…
_ Moi si !
_ Mais tu m’as bien dit que tu peignais, que t’aies une pomme ou un mec ça te faisais le même effet… non ?
_ Là c’est différent…
_ Ouais je suis mieux qu’une pomme c’est clair, mais en quoi je différent des autres mecs que tu as peins la pine à l’air…
_ Parce que c’est toi…
_ Oui… et ? Parce qu’il y a eu cette histoire… ?
_ Pas seulement…
_ Dis moi… ?
_ C’est gênant Edouard. Mieux vaut changer de sujet…
_ Nan, je veux savoir pourquoi tu ne veux pas de moi comme modèle…
_ Parce que je suis en train de tomber amoureux de toi… »
Un long silence, puis il me dit que si je changeais d’avis, ou si je ne trouvais personne d’autre, il resterait dispo…
« C’est tout ce que ça te fait ? J’viens de te dire que…
_ J’ai entendu ce que tu as dit… j’ai bien compris. Qu’est ce que tu veux que je te dise… C’est normal… j’suis une bombe… Et j’ai une super bonne queue… Normal que tu me kiffes…
_ T’es con ou quoi ?
_ Ecoutes… ça me gêne pas, mais faut juste que tu gardes à l’esprit que toi et moi, c’est mort… il se passera plus rien. C’était top mais une fois c’est suffisant…
_ Et tu crois que je me contenterais de ça… ? De cette explication de merde pour passer outre ce que je ressens… ?
_ Il va bien falloir… T’inquiète pas… ça te passera avec le temps. »

Je secouais la tête, il ne comprenait rien, ou ne voulait pas comprendre. Mon téléphone sonna, je décrochai. C’était ma banquière qui m’annonçait que le crédit auto était accordé. Et que les fonds seraient sur le compte sous 24h. J’appelais donc le propriétaire de la Seat Leon que j’avais vu la veille et qui m’intéressait que je prenais bien son véhicule… Ce jour là il me proposait de passer la soirée ensemble et de m’emmener le lendemain aller chercher ma nouvelle voiture. Ce vendredi soir, nous passâmes la soirée chez lui. Sa copine était en week-end chez ses parents. En arrivant à son appart, il alla prendre une douche. Quand il en sortit, avec une simple serviette autour de la taille, je ne savais où me mettre… son corps encore mouillé, l’odeur de son gel douche noix de coco… il passa près de moi en se dirigeant vers sa chambre et me sourit… je me demandais à quoi il jouait…J’étais troublé… et lui demandai donc si je pouvais aller à mon tour prendre une douche.
« Fais comme chez toi… Je t’apporte une serviette propre… vas-y, je te la mettrai sur le lavabo… »

Il me demandait d’aller me foutre à poil sous la douche, et me dit qu’il entrerait pendant que j’y serais pour y déposer une serviette… Je trouvais ça étrange… il aurait pu de la même manière me donner la serviette avant d’aller se changer et avant que j’aille me doucher non ?... Bref, je partais me doucher, et me mis à poil, m’attendant à le voir débarquer pendant que je me savonnerais… Après m’être déshabillé, je commençai à me doucher. Mon imaginaire se mit alors en route pendant que je me savonnais avec son gel douche…
Je me dessapais posant mes vêtements à l’arrache sur le sol, me restait seulement mon boxer quand Edouard entra dans la salle de bain, nu avec ma serviette… et me demanda s’il ne me manquait rien…
« Si… toi !
_ Ben voilà je suis là beau mec... »

Il me prit alors par la taille et m’embrassa langoureusement tout en m’enlevant mon calbut. Puis il me conduit sous la douche, et mis l’eau à couler doucement. Il m’embrassait toujours en me caressant les fesses avec force. Je lui en faisais autant, puis le fis se retourner afin d’entamer ce qui deviendrait sa meilleure branlette. Ainsi tout en frottant ma queue entre ses fesses, j’astiquais la sienne vigoureusement en continuant de lui rouler une bonne pelle… Puis doucement je commençai à lui enfoncer doucement ma tige sans qu’il ne me repousse…

« Ben dis donc, c’est mon gel douche qui te met dans cet état ??? »
Edouard, était là près du lavabo, où il venait de déposer ma serviette comme convenu. Il n’était pas à poil, comme je venais de me l’imaginer… moi j’avais une trique monumentale… il souriait…
« T’inquiètes pas mec ! Y a pas de mal à se faire du bien !!! Hé hé… Continue !!! Et il sortit de la salle de bain. »
Je finis ma douche sans prendre la peine de finir de m’astiquer le manche, m’habillai et l’ai rejoint dans le salon où il m’avait préparé un apéro qu’il me tendit :
« Sky sans glace, sans coca !
_ J’vois que tu me connais bien ! en lui souriant…
_ Dis-donc tu t’es finis rapidement…
_ Wouaip… j’ai rien fini du tout.
_ Merde, désolé si t’ai coupé ton envie…
_ Pas grave ! Santé, Bonheur…
_ Et pipe à toute heure…
_ Hé hé hé… on va l’éviter celle là !!! Inutile de remuer le couteau…
_ Ok… ben joie dans ta sœur alors…
_ Nan ben je préfère l’autre finalement ! »

Et on continue la soirée en se marrant de la même manière…
Je prépare le repas, et il ressert un apéro… j’en ai déjà tellement bu que je ne saurais dire à combien on en est ! Ce que je sais c’est qu’on s’en tient une bonne une fois encore et qu’il vient d’enlever son t-shirt prétextant qu’il avait chaud. On mange tranquillement, devant un film qu’il a choisi. Un film d’action à la con genre hyper tension…
« A part les muscles de l’acteur, y a pas grand-chose qui me plaît dans ce film… mais bon faut savoir faire plaisir à son homme… lui dis-je sur le ton de l’humour…

_ Ben t’aura qu’à mater mon torse et mon paquet pendant que je regarderais le film…
_ Heu… wouais si c’est le ton de la soirée… ça risque de déraper…
_ Nan je t’assure ça risque pas ! »
Il nous ressert un verre chacun… puis réalise qu’il a loupé une émission … je ne me souviens plus du nom de l’émission en question, c’était une connerie du genre l’ile de la tentation ou du même genre… Et la soirée prend une tournure bizarre… bref je lui dis à ce moment là…
« Mais non, c’est le samedi.
_ Non, non… c’est le vendredi. Je la regarde toutes les semaines.
_ Ben écoutes, mon chéri… soit ils passent ton programme adoré deux soirs de suite… Soit c’est bien le Samedi, ça tombe le même soir que Poltergeist… je le sais, je zappe dessus pendant les pubs.
_ Nan, j’te dis, tu dois te planter… c’est le Vendredi… J’suis pas fou.
_ T’énerves pas. J’te dis pas que tu es fou, J’te dis juste que Poltergeist, c’est tous les Samedis, en deuxième partie de soirée, que je regarde cette série, et que pendant les pubs, quand je zappe, je tombe sur ta merde… sans vouloir être malpoli !!!!
Il s’énerve…
_ Arrête de dire de la merde et de me faire passer pour un con, j’te dis que c’est le vendredi et que je l’ai loupé…
_ OK, ok… t’énerve pas. Déjà ça vaut vraiment pas la peine de se prendre la tête pour ça, et puis entre nous, si tu savais comme je m’en tape…
_ Tu me crois pas… ? Tu veux qu’on parie… ?
_ Tu sais bien que je ne parie jamais Edouard.
_ T’as pas envie de perdre hein…
Là c’est moi qui commence à perdre patience, et il commence un peu à me gonfler avec son histoire de pari sur le jour d’un programme… en plus un programme aussi naze…
_ Non, je suis sûr de moi, mais admettons, si on pariait, on parirait quoi ?
_ Je suis tellement sûr de moi, que je te laisse choisir… me dit-il d’un air hautain pas franchement agréable.
Je bous intérieurement…
_ Ok… je souris
_ Alors… ? Tu veux parier quoi… ?
_ Le perdant devient l’esclave du gagnant tout le Week-end…
Il a un moment d’hésitation, puis me tape dans la main… et me dit :
_ Tu vas bientôt regretter… il a un sourire nerveux. »

Il attrape près de lui le magazine télé et commence à chercher son programme sur la journée du Vendredi, et ne trouve pas ce qu’il cherchait… Il blêmit… Bafouille en me disant que son programme a sûrement été remplacé depuis cette semaine… Ce à quoi, je lui réponds, que c’est peut-être parce que son émission est tout simplement diffusée le Samedi et qu’il devrait plutôt jeter un œil du coté de cette journée de la semaine… Il cherche la journée en question… et ne la trouve pas… ben Merde ils ont fait un magazine qui ne couvre que Six jours sur Sept… c’est naze comme concept !!!! J’attrape le magazine et effectue la recherche moi-même pour le mettre face à son échec… Ce qui est fait en deux secondes !

Il admet sa défaite… et me demande ce qu’il doit faire… je lui demande donc de me masser les pieds, j’ai aperçu un flacon d’huile de massage dans sa salle de bain… Il s’exécute en me souriant. Pendant plusieurs minutes il me masse les pieds… Et je dois dire qu’il s’y prend divinement bien… Si bien que je lui demande de me masser le dos et les épaules… J’enlève mon t-shirt et m’allonge sur le BZ. Il se met à califourchon sur moi et commence son massage… contre mon cul, je sens sa bite… c’est trop bon. Plus les minutes passent et plus le massage m’excite… et de toute évidence, lui aussi, vu la dureté de sa queue contre mes fesses. Je me retourne pour me trouver face à lui. Il reste sur moi, et je lui demande de me masser le torse et le ventre. Il obéit. Et longuement il me masse le torse en passant de temps à autre sur mes épaules et ma nuque, puis il descend vers mon ventre qu’il caresse longuement…
« Edouard…
_ Oui ?
_ Oui, Maître ! Appelle-moi Maître. dis-je en lui souriant.
_ Oui Maître ?
_ Tu bandes encore… ?
_ Non, Maître.
_ Mais bandais tout à l’heure quand j’étais sur le ventre… ?
_ Mais, euh, non, pas du tout… Maître.
_ Menteur… Dessape-toi ! »

Il enleva son jeans et laissa apparaitre une queue bien raide comme je le savais, pas de sous-vêtement, et rougit de honte.
« Allez esclave, reprends ton massage à poil…
_ Oui Maître… t’es content hein !
_ Oui, mais vu comme t’as la trique, je dirais que toi aussi ! Masse ! »

Il reprit donc mon massage à califourchon, toujours, mais cette fois complètement nu, et le dominer me plaisait, je prenais vraiment goût à ce pouvoir que j’avais sur lui… Le voir obéir à tous mes ordres était vraiment très excitant. Il commençait à faiblir à force de me masser, je ne m’en étais pas aperçu, mais il me palpait depuis déjà depuis plus d’une heure. Je décidai donc de passer à la vitesse supérieure et lui en fis part… suite 1

Ramon

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Par RAMON - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 8 avril 1 08 /04 /Avr 02:10

http://www.ewriters.it/leggi.asp?W=69456  ma matière première en italien (les italopithèques sont de sacrés baiseurs! )

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  x Il n'a ni baguette ni costume trois pièces mais dans la vigne c'est lui le chef d'orchestre. L'oenologue supervise toutes les étapes de la vinification (la fabrication du vin), et par ses choix, en améliore la qualité. Il privilégie tel cépage, conseille le traitement de la vigne, choisit la date de vendange, le mode de conservation du jus de raisin, l'assemblage entre les différents cépages... jusqu'à la mise en bouteilles. C'est lui aussi qui garantit la sécurité alimentaire du fameux breuvage. Un rôle technique donc, mais pas seulement, puisqu'il encadre l'ensemble des ouvriers et des techniciens (maîtres de chai, cavistes...) mobilisés pendant et après les vendanges. Image à droite : Suggestive en diable : une cave en Champagne ressemble à un trou du cul dans lequel...

 


Image associéeJe vous écris sur une couleur lie de vin. Claudio était ce que j'appelle « un crypto gay » c'est à dire qu'à aucun prix il n'aurait accepté de révéler publiquement son homosexualité taboue dans son milieu familial et professionnel. Rien d'exceptionnel en cela et moi non plus, puisque je me considère comme bi et que je mange 'aux deux râteliers', me nourrissant tour à tour de mecs et de nanas. Un vrai faux cul, quoi ! Mais lui, Claudio, a développé un sens du double langage si difficile à suivre pour les non initiés et qui atteint au surréalisme !  Merci de votre fidélité ! Cavaillongay

 

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Je n'avais jamais imaginé que ça pourrait être comme ça, je n'avais jamais imaginé que je finirais par être baisé par mon bon ami. Mais il a une bite si puissante et sait s'en servir. 

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x Image associée de moins en moins de gens permettent qu'on fume...et vous ?

C'est tout un art de créer ou recréer de bons vins concurrents internationaux de vins de renommée mondiale.  

 Je savais que Claudio, fils d'amis de la famille, était depuis longtemps considéré comme un œnologue établi et réputé, qui suivait de nombreuses entreprises vinicoles dans toute l'Italie. Je l'avais perdu de vue depuis le lycée, quand un jour ma copine m'a demandé de l'accompagner chez un de ses amis dont le mari dirigeait la cave près du centre où nous habitons. Claudio avait toujours vécu à Milan, avant de 'descendre' dans le sud pour les vacances et avait été l'invité de mes parents, mais cette fois il n'était venu que pour s'occuper des entreprises dont il gérait les intérêts .
Je l'ai donc retrouvé après des années. Et là, je vous l'annonce, il m'a fait mourir. Il avait alors trente ans et parcourait la maison sans relâche, en short ou en maillot de bain. Mes yeux radiographiaient son entrejambe, et il l'avait remarqué. Alors il me demanda si j'avais une femme ou des maîtresses et, en ce cas, combien j'en avais baisé, si j'avais du temps de loisir, de musique et de variétés et que sais-je encore, moi ! Il se mettait toujours dans des positions comme pour dire: "Qu'est-ce que tu attends? Suce ma bite! "
Je le désirais comme vous pouvez imaginer et j'étais sûr que lui aussi, mourait d'envie de me baiser: je le trouvais dans tellement de demi-phrases, un clin d'œil et grâce à une caresse sur son derrière pas vraiment décontracté.
Nous étions encore au lycée quand, une fois, il m'avait surpris sur la terrasse avec une serviette de bain et une bouteille d'huile de bronzage. Claudio s'était étendu à côté de moi et avait commencé à pulvériser et à frotter de l'huile sur tout mon corps. S'étant mis en slip à son tour, à genoux, il me massa les épaules et les hanches, puis, sans attendre, glissant sa main dans son boxer et enfonçant un doigt dans mon anus. Vu mon accord tacite, libérant son 'oiseau' en pleine érection, déjà décalotté, il s'était allongé sur moi, me serrant dans ses bras. Me croyant vierge, après m'avoir calmé, il avait glissé sa bite brillante d'huile  entre l'élastique du slip et ses couilles et avait commencé à me limer les fesses ! Excité, j’étais extatique, je jouissais pendant qu’il me chuchotait: "Je vais te baiser ! Tu es ma chienne! "
 

  Il m'avait relevé la tête, il avait pris sa grosse tige gonflée et palpitante, il l'avait frottée sur mon petit trou maintenant mouillé par les humeurs pré éjaculatoires, après quoi il avait eu une éjaculation sur moi. Il ne m'avait plus jamais approché depuis et j'étais resté sur ma faim.
Mais les années avaient passé et les choses avaient changé. Je n'étais plus au lycée je n'étais plus vierge, ni de  la bite ni du trou du cul et il était un célibataire excentré de 30 ans.
Comme dit le proverbe: le vin vieilli est toujours le meilleur. Si, dans sa jeunesse, il avait essentiellement le charme de son gros concombre, Claudio avait acquis au fil des ans un charme inexplicable. Certes, il se sentait très cool avec sa chemise déboutonnée et son jean blanc. Il a d'abord fait semblant de ne pas se souvenir de moi, puis s'est attardé devant un café, allongé sur sa chaise de bureau d'une manière presque indécente. Finalement, nous commençons à parler très doucement.

 "Eh bien, pour les assemblages de vins, il faut de l’intuition. Au départ j'ai une première structure de vin en tête, puis la configuration. Le mélange des vins c'est comme une baise. Je pense à la baise, au cul, à la baise, et, au Poste de Commande des tuyaux et des cuves, j'essaie d'y arriver avec mon imagination. En bref, j'imagine le vin, puis "- là il sourit -" je réfléchis à la façon de le faire, mais sans avoir à limer, c'est la seule différence avec la baise. " La métaphore eût été incompréhensible à d'autres que moi, mais je voyais très bien à quoi il voulait en venir.
En prétendant ne pas comprendre, j'ai essayé de changer le ton de la conversation: "Selon toi, les connaissances techniques sont-elles aussi importantes que l'expérience?"
- «La technique, à mon âge, est maintenant bien au point et nous savons donc ce qu'il faut faire si nous voulons atteindre l'objectif. En jouant avec l'imagination entre les différents appareils, vous obtenez un vin original ou ... "- Là il allume une cigarette -" Une bonne baise! "
Embarrassé, avec nos épouses respectives derrière moi, je suis devenu rouge et j'ai continué mon 'script' officiel comme si j'étais journaliste : "Travaillez-vous avec des vignes du pays ou internationales?" Claudio poursuivit avec le même double langage :
- «Cela dépend: si les offres internationales sont offertes au palais, pourquoi les abandonner?- En avez-vous essayé beaucoup ces dernières années? "
- "Je préfère la qualité nationale, corsée, épaisse ... - Mais choisissez-vous de rester plus dans le vignoble ou dans la cave?"
Un employé est entré et lui a fait signer un document, mais il a poursuivi avec désinvolture: "J'aime tout ... l’important est de percer le marché! Le décomposer ! Tout casser! Vous devriez voir comment ma production s'est améliorée ... même si elle a toujours été très dense et épaisse! "
De plus en plus gêné et incrédule, je poursuivis: - "J'imagine ... Mais travaillez-vous avec des barriques ou avec de gros fûts?"

 
- "La controverse sur la barrique contre le gros tonneau est un argument du passé. J'utilise ce que j'ai ... disponible. Personne ne s'est jamais plaint et ce qui en sort est toujours copieux et d'excellente qualité ; du moins les usagers le disent ... "
Il se toucha le paquet. De sa main il accompagna sa queue dressée et emprisonnée par le jean. J'ai senti une boule se serrer dans ma gorge. Rapidement Claudio glissa sa chaise sous la table de la salle de réunion. Ma partenaire est entrée dans la chambre et est venue à côté de moi, se demandant si c'était du passé dont nous parlions. Sans me retourner et restant immobile sur ma chaise, je répondis oui, tandis que Claudio me sourit et me demanda très naturellement si j'étais d'accord pour continuer à bavarder à la cave. Embarrassé mais piqué par la curiosité, j'ai demandé à sa femme si elle venait aussi, mais elle m'a répondu que ce n'était pas un espace adapté aux femmes en talons et a souri, clignant de l'oeil  à ma compagne en connaissance de cause.
- "Tu verras que c'est beau en bas. Je vais te faire goûter mon meilleur produit directement de la barrique ».
Tandis que Claudio essayait de me convaincre, affirmant que peut-être, sans jamais lui dire, que je voulais goûter son nectar depuis des années, il tendit la main sous la table et me doigta la bite par le haut. Je me sentis presque défaillir. Ma femme a été appelée dehors par la femme de Claudio qui, lui, m'a pris la main et l'a mise sur la bite dure de Claudio. Superbe bite c'est certain !
- "Allez, on bouge un peu."
Il se leva et, son pantalon blanc ne recouvrant pas son érection, il mit la main dans sa poche et demanda qu'on aille chercher les clés de la cave privée.
En fait il ne m'a pas emmené à la cave, mais dans une petite pièce dans laquelle se trouvaient des étagères avec du vin. Dès que la porte s'est refermée, j'avais déjà sa langue dans la bouche. Il s'est approché de moi, a mis sa main sur mon cul, m'a dit de me dépêcher et nous avons eu une question en suspens.
- «Allons à la cave. Alors qu'est-ce que je te dis ... "
- «Que je t'ai fait goûter mon jus directement de la bouteille! Allez, dépêche-toi, ou je vais te violer! "
Je suis descendu et ai embrassé sa belle bite gonflée sur son jean blanc  
Je pouvais sentir son parfum, l'odeur de la cigarette qu'il avait encore dans la bouche, sa poitrine avec des tétons durs.
La braguette était déboutonnée. Il avait une bite vraiment superbe, dure et violacée, prête pour moi. Je tendis la main et la trouvai déjà humide.
Comme s'il n'attendait rien d'autre, il a poussé ma tête entre ses jambes et m'a demandé de le sucer. Le goût et l'odeur de bite ont rempli ma bouche et mes narines, j'ai respiré et bu du sexe. J'ai longtemps léché la tige, puis la tête et les couilles, et il m'a encouragé à continuer. Je l'ai léché sur le gland et j'ai fourré ma langue dans le petit trou sensible du méat. Il a gémi ... Puis je l'ai pris dans ma bouche pouce par pouce, l'avalant de toutes parts. Il a maintenu ma tête fermement alors qu'il me la fourrait dans la gorge et bougeait dans ma bouche sans pitié, sans me permettre de reprendre mon souffle. Et je n'ai pas protesté. Je viens de le sucer. C'est lui le maître du jeu. J'ai mal à la bouche. Il l'a ensuite frottée sur mon visage. Il m'a bifflé, puis l'a remise dans ma bouche avec plus de violence et de désir qu'auparavant. J'ai eu des hauts-le-coeur, mais il a continué à me baiser. Ce n'était pas moi qui lui faisais une pipe mais lui qui me baisait la bouche.
Il l'a sortie brusquement sans prévenir.
- "Je veux te baiser!"
Restant habillé, je ne laissai tomber que mon pantalon et mon caleçon, me mis à quatre pattes, m'appuyant sur l'étagère. De ses mains il a écarté mes deux globes , les a léchés en abondance et a testé mon antre avec deux doigts. J'étais assez serré, dit-il, malgré qui sait combien de bites j'avais pris dans le cul. Il m'a fait lécher son sexe une dernière fois, puis il a posé son gland. Je retins mon souffle pendant un instant, même si ce n'était pas la première baise que je prenais. Avec force il m' écarta les fesses sans peur de me faire mal puis cracha sur le trou. Il reposa son gland sur mon anus, puis le poussa d'un seul coup.
C'était bon, la douleur a disparu presque immédiatement. Je sentais sa queue adhérer parfaitement aux parois de mes intestins. Il changeait constamment de rythme, en s'extrayant et en s'insérant alternativement et de nombreuses fois, avec des coups déterminés et puissants, sans aucune pitié. J'ai apprécié comme un cochon.
Je l'ai entendu venir. J'essayai de me dégager, mais m'arrêtai alors qu'il  haletait comme un loup et que les éclaboussures de son sperme me remplissaient le ventre. Il éjaculait à l'intérieur, émettant un jet de semence qui semblait durer éternellement. Après cette douche de sperme, toujours bandé, il a continué à me baiser lentement.
Il haleta quelques instants, puis sortit sa canne et la frotta sur mes fesses pour la nettoyer. Je me suis agenouillé devant lui. Je l'ai nettoyée pendant qu'il allumait une cigarette, en disant qu'il était désolé de ne pas pouvoir pisser dans ma gorge. Pendant que je m'occupais de lui, je me masturbais comme un fou. Au moment où je suis entré en transe avec des jets violents, son sperme est sorti de mon cul. Une sensation vraiment indescriptible.
Nous sommes sortis. Nous sommes montés et ma femme m'a annoncé que nous avions été invités à Milan. Claudio avec un air malicieux m'a dit que, là-bas, il me présenterait plusieurs amis qui travaillaient dans le secteur. Tous des "grands coups".
Nous nous sommes salués chaleureusement, nous nous sommes précipités à la maison où je me suis enfermé dans la salle de bain.
 

 


 

  commentaire : "Putain il t'a bien tronché ! c'est un champion de la baise! Et d'ailleurs il ne fait qu'en parler"l (leonar)

 

 

 

 

NOTES :

 

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