DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Mercredi 11 juillet 3 11 /07 /Juil 09:10

  AMBIANCE MOTEL ROUTIERS ET VRP  ->ma nuit avec un bisex ...Lorsque je suis ressorti de la chambre pour prendre l'air, l'homme était toujours là sur le balcon. Il s'est approché de moi, sans m'agresser, comme quelqu'un qui a envie de taper la causette. Il m'a simplement dit:
" Bonjour…il fait chaud"
" Bonjour, oui, difficile de supporter cette chaleur" 

 à 45 ans il n'est pas trop tard pour se découvrir actif bisexuel 

Image associée Résultat de recherche d'images pour "neighbors get acquainted at night on the balcony" 

        Résultat de recherche d'images pour "motel gay promiscuity"  Ce balèze de Roland venait de me rebaiser dans ma chambre il me faisait deux fois le routier et mon cul n'en revenait pas  

     
    Pressé sans doute d'aborder le sujet qui lui tenait le plus à cœur il me dit clairement :
"….. Je vous ai entendus, j'ai bandé pendant tout le temps que le routier t'a baisé"

Visiblement il attendait que je lui raconte….ou peut être plus encore…..  

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La chambre voisine

Les routiers Roland et son copain m'avaient déjà bien tringlé tous les deux dans le petit bois près du parking de l'hôtel. Ce balèze de Roland venait de me rebaiser dans ma chambre d'hôtel. Un client présent dans la chambre à côté avait entendu nos ébats depuis la loggia. Laissant-là toute bienséance, il me dit :

"….. Je vous ai entendus, j'ai bandé pendant tout le temps qu'il t'a baisé" Fou non ? ...
On n'avait pas fait attention mais la fenêtre était basculée et permettait d'entendre. Il était visiblement intéressé d'en savoir plus.

" Je l'ai rencontré à côté du parking "
" Je sais, je vous ai vus arriver dans ta chambre. J'ai tout de suite compris qu'il allait s'occuper de toi et que tu avais envie. Je ne pensais pas que vous auriez autant de plaisir.
"Il avait très envie lui aussi et il a bien aimé.
" Et il est vraiment bien monté, comme il m'a dit?
" Pour ça oui, il a fait attention au début. Je me sentais bien avec lui, c'est gros, très gros mais c'est passé"

Il tournait en rond, par pudeur, par respect et sûrement la peur de me fermer à toute ouverture sur son envie. Je lui ai demandé:
" Et toi, t'as déjà fait avec un homme?
" Non, j'aimerais bien….ça m'a donné envie.
puis, bravant ses préjugés, osant enfin, il s'est enfin lancé:

" Tu sais, j'ai 45 ans, je m'appelle Thomas, à part avec ma femme, j'ai rien fait d'autre. Quand je t'ai vu avec le balèze de routier, j'ai eu envie d'être à sa place. Tu es beau, pas du tout le style à te faire remarquer, un beau corps de jeune homme. Tes gémissements, tout le plaisir qu'a pris le routier qui gémissait à la folie, m'ont rendu dingue. J'aimerais bien, moi aussi, te faire l'amour. Tu sais, je suis propre, discret et j'ai pas envie de te faire de mal. "

Pendant qu'il avouait son désir pour moi, je le voyais dans la lumière du soir avec sa belle chemise blanche impeccable. De même taille que moi, environ 75 kg, un corps équilibré, entretenu. Pour cacher une calvitie prononcée, il était rasé court partout ce qui augmentait son charme. Bref, un bel homme poli, respectueux, doux et plein de désirs.
J'allais lui répondre quand il m'a proposé d'aller boire quelque chose de frais à l'accueil de l'hôtel.

Nous avons croisé un couple qui venait de se voir refuser une chambre: l'hôtel était complet.
Une idée m'est venue. J'avais besoin d'argent pour payer le garagiste le lendemain.
" Si vous voulez, je vous propose ma chambre.
" Vous en n'avez plus besoin? "
Mon beau prétendant, Thomas, très vif sur ce plan là, a vite saisi la chance qui se présentait:
" Ne vous inquiétez pas, j'ai une place disponible dans ma chambre. "
Le couple a semblé hésiter puis a accepté sans négocier. C'était fait.
J'ai vu les yeux de Thomas briller, fou de joie contenue. S'il avait pu m'embrasser à ce moment là, il l'aurait fait.

Le couple est allé chercher quelques affaires, nous sommes retournés à ma chambre. J'ai remis de l'ordre et rangé mes affaires.

" Moi c'est Laurent, merci de me recevoir.
" Si tu savais le plaisir que tu me fais de venir passer la nuit avec moi. C'est encore mieux que ce que j'espérais. Laurent, je suis monté normal, pas équipé comme ton balèze de routier mais je vais faire le maximum pour que tu ne le regrettes pas. "

Lorsqu'il a refermé la porte de la chambre, le hasard en partie avait décidé pour nous. Je me suis rapproché de Thomas, lui ai souri. Il a souri lui aussi et m'a serré dans ses bras. Je lui ai demandé de fermer les yeux, ce qu'il a fait, et lui ai donné un baiser .

Ce contact a été pour lui une libération à sa retenue. Ses lèvres ont trouvé les miennes et nous sommes restés ainsi pendant un long moment. Il dégageait un parfum très agréable qui venait envoûter mes narines. J'ai fermé les yeux, j'étais bien.

Quand j'ai commencé à enlever sa chemise, il a fait de même pour découvrir mon corps sous mon débardeur. Ses pectoraux étaient superbes et, sous un beau tapis de poils, j'ai découvert deux tétons tendres et sûrement désireux d'être visités.
Nous nous sommes dirigés vers le lit. Pris par son désir, il devenait plus entreprenant sans pour autant me forcer. Quelques minutes après, nous étions nus, enlacés, complices d'un bonheur à venir.
Une douceur naturelle se dégageait de Thomas. Il m'a souri, heureux, lorsque j'ai commencé à caresser les parties intimes de son corps. Ne voulant pas être à la traîne, il m'a rendu la politesse.
Pour un homme qui se disait monté normal, j'ai trouvé qu'il était plutôt bien doté et même bien au dessus de la moyenne.

" Thomas, tu as un très beau sexe, tu n'a pas à avoir de complexe.
" Merci Laurent. Tu bandes, toi aussi. Tu as envie, comme moi. C'est la première fois que je prends le sexe d'un homme dans ma main et je suis content de le faire avec toi. Tu as un très beau sexe."

Dans un élan de désir, il s'est penché et a approché sa bouche de mon sexe. Ses lèvres se sont refermées sur mon gland et, sans doute parce qu'il aimait, ces mêmes lèvres sont descendues sur ma tige.
" Continue, Thomas, c'est trop bon."
J'ai passé mes mains sur son visage et sa belle tête chauve pour l'encourager, le remercier du bonheur qu'il me procurait.

Lorsqu'il s'est redressé, il était souriant, fier d'avoir franchi une étape et y avoir pris du plaisir. Je me suis penché à mon tour et, avec délicatesse, comme lui, lui ai caressé la queue. Quand ma langue a salivé son gland et mes lèvres ont descendu entièrement jusqu'à ses couilles, j'ai su que ce bonheur était nouveau, excessif peut être pour lui. Ses gémissements, ses contractions, la tension de ses jambes ont fait que j'ai compris qu'il était pas loin du bord.
" Laurent, je vais pas tenir, je pensais pas que c'était si bon, Laurent, je suis désolé mais je crois que je vais cracher."

Ses mains étaient posées sur ma tête et me caressaient. J'ai continué à le sucer du mieux que je savais faire, à lui caresser les couilles, les cuisses. Il fallait qu'il évacue cette tension insupportable. Il m'a prévenu qu'il allait jouir, s'est arqué pour m'envoyer tout son sexe en bouche et, dans un râle sourd et libérateur, a laissé exploser son bel appareil reproducteur qui avait déjà dû faire pas mal d'enfants.
Plusieurs giclées abondantes de sperme sont sorties violemment et se sont répandues dans ma bouche. La quantité était généreuse et de bonne qualité, crémeuse, iodée, délicieuse. Après avoir tout pris, j'ai tout recraché sur son ventre et je lui ai souri.
" tu veux goûter ton sperme?
" Je veux bien. Laurent, je suis trop malheureux d'avoir jouis si vite. "
J'ai mis un doigt sur sa bouche pour qu'il arrête de parler puis j'ai repris son sperme pour le lui donner à goûter. Il a tout avalé et nous avons roulé notre première pelle bien gluante.
" Laurent, je suis vraiment désolé; Je te promets, je vais rebander et te faire plaisir.
" Thomas, je sais que t'en as pas fait exprès. Tu avais trop envie. Embrasse-moi. Fais toi plaisir avec mon corps. Laisse toi aller."

Et Thomas s'est lâché, découvrant mon corps, me couvrant de baisers, salivant mes tétons, gobant mes couilles, suçant ma bite le plus qu'il pouvait jusqu'au fond de sa gorge, salivant abondamment mon petit trou, embrassant mes mains, léchant mes pieds….
Jamais un homme n'avait pris autant de plaisir à parcourir mon corps.
Rassasié, repu, il s'est enfin allongé contre moi, souriant, heureux, libéré, bandant comme un cerf, m'a pris dans ses bras et m'a dit:
" Laurent, c'est bon, laisse-moi t'enculer…" et il a éclaté de rire.
Il était heureux avec moi. Il m'avait fait découvrir un plaisir exquis sur des parties de mon corps ou personne ne s'était encore aventuré.

" Thomas, tes baisers et tes caresses sont merveilleuses"
Il était heureux du compliment, m'a serré dans ses bras, embrassé.
" Laurent, mon petit chéri, maintenant, je vais te faire grimper aux rideaux"

Son portable a sonné, nous ramenant brutalement à la réalité. Il s'est redressé, contrarié mais a répondu.
Je suis allé dans la salle de bains sans faire de bruit, pour préserver sa conversation. L'appel fini, nous avions débandé mais étions toujours complices et heureux d'être ensemble. Il est venu vers moi, m'a donné un petit bisou:
" Désolé, Laurent, je pouvais pas faire autrement que de répondre.
" Thomas, tu n'as rien à craindre de moi, je ne vais pas empiéter sur ta vie privée."
Puis, pour le détendre un peu et changer la conversation:
" J'ai faim. Allons manger maintenant et après, Thomas, on coupera nos portables et la nuit sera rien que pour nous.
" Merci Laurent…"
Il voulait en dire plus mais n'a pas osé. Je l'ai senti dans son regard.

Je ne voulais pas trop aller manger au restaurant près de l'hôtel par crainte de recroiser le routier que Roland avait éconduit et me faire traiter de pute ou autres saloperies; Thomas a devancé ce problème et a proposé d'aller manger plus loin.

Thomas a bien sûr roulé et on est allé dans un restaurant assez classe, ou les prix m'ont fait peur. Thomas m'a rassuré, l'addition était pour lui, du moins, c'était sa boîte qui allait payer. Il s'est montré attentionné, soucieux de me faire plaisir, toujours élégant dans la façon de se comporter envers moi. A la fin du repas, ses yeux brillaient de bonheur. Il m'a expliqué plus tard qu'il était fier de m'avoir eu à sa table, que je me comportais tel qu'il l'avait imaginé et que, dès la première fois qu'il m'avait vu avec Roland, le routier, il avait eu du désir pour moi sans vraiment comprendre ce qui lui arrivait.
Sur la route du retour vers l'hôtel, nous n'avons pas beaucoup parlé. Nos mains se sont rejointes. Nous étions mûrs pour une nuit torride.
Dès la porte de la chambre franchie, nous nous sommes déshabillés et allongés sur le lit. Ses lèvres étaient brûlantes de désir, son corps chaud, son sexe tendu, décalotté.
" Thomas, laisse moi te caresser comme tu l'as si bien fait tout à l'heure"

Il s'est offert à moi, sans pudeur, libéré. Son parfum envoûtant était un appel au viol. Lorsque j'ai sucé ses tétons et les ai mordillés, il gémissait tout en m'incitant à continuer. Je me suis rapproché de sa queue dressée comme une offrande à ma bouche et j'en ai admiré toute la beauté, en ai salivé toute la tige. Ses couilles poilues ont eu l'honneur d'être gobées, malaxées, râpées par ma langue experte.
Il n'a pas refusé non plus de m'offrir son petit trou et s'est tendu de son mieux pour que j'en savoure la corolle, que je m'aventure même à y rentrer ma langue et mon doigt.
Lorsque nos lèvres se sont retrouvées, Thomas m'a serré très fort, imprimant sa virilité sur moi, satisfait, pressé de passer à une étape qui lui tenait à cœur.
J'ai deviné son désir, me suis mis sur le ventre, offrant mon cul, mon petit trou, à cet homme doux, respectueux, sensuel, chaud, bourré d'envies sexuelles pour moi. Sans un mot, il s'est positionné et a trouvé sa place. Son sexe s'est naturellement calé contre ma rondelle. J'ai tendu mon cul et, dans une harmonie mutuelle, son gland m'a ouvert et a continué son chemin pour aller au plus profond de mon intimité offerte.
Lorsqu'il a senti qu'il m'avait pénétré à fond, Thomas, d'instinct, m'a redonné un coup de reins avant de m'embrasser la nuque.
" Merci Laurent….mon chéri… "
Voilà ce mot que j'avais deviné tout à l'heure et qui sortait là, maintenant, pour signifier tout le bonheur qu'il pouvait éprouver.
Je me suis légèrement tourné pour essayer de trouver ses lèvres, le remercier. Je lui ai embrassé les mains, faute de mieux.
" Moi aussi, Thomas. Baise moi fort, j'ai envie. "

Sa queue venait de me pénétrer sans problème. Il faut dire que Roland, le routier balèze, m'avait bien dilaté, deux fois dans l'après midi, avec son gourdin imposant. Thomas le savait et, par élégance, n'a pas fait d'observation particulière.
Mon oncle m'avait dit une fois que les mecs chauves baisaient mieux que les autres. Je l'ai vérifié par moi-même quand Thomas m'a pistonné tel un mâle dominant, sûr de ses capacités.
Il m'a baisé sans retenue, insatiable, heureux de profiter de mon corps, satisfait des gémissements de plaisir que je lui donnais en preuve. Et c'était pas de la simulation.
Nos corps ne faisaient plus qu'un. Je ne sentais plus sa queue en moi, seulement ses couilles qui venaient caresser mon trou sous ses assauts.
Je ne pourrais pas dire combien de temps il m'a possédé. Le temps ne comptait plus, nous étions ensemble, l'un pour l'autre, dans un désir sexuel réciproque.

Sur le dos, offert, les jambes relevées, j'ai senti une onde de plaisir monter en moi. Sa bouche était comme une offrande sur mes lèvres. Son sexe œuvrait en moi et ses bras, ses larges mains m'enveloppaient de sa tendresse, de sa douceur. Tout est soudain devenu trop puissant, trop bon, irréel.
Je l'ai serré très fort, le voulant au plus profond de moi. Mon corps et mon esprit ont lâché prise. J'étais soumis à son envie. Plusieurs contractions ont parcouru mon corps, mon sperme a jailli de mon sexe et s'est répandu entre nous.
Thomas a senti cette semence chaude se répandre et a arrêté de me limer pour me regarder profiter de mon bonheur et aussi savourer sa victoire. J'ai vu dans ses yeux un immense bonheur de me voir jouir sous ses assauts. Il est devenu plus câlin, m'a couvert de bisous quand il a vu que j'étais ému, secoué.
C'est la première fois que cela m'arrivait. Il n'a rien dit mais pour le rassurer, je lui ai dit:
" Continue, Thomas, j'ai trop envie."
" Laurent, j'ai envie de jouir moi aussi. Je suis trop heureux
" Thomas, vas y, laisse exploser ton bonheur.
" Je t'aime Laurent "

Il a repris avec fougue et tendresse ses ondulations dans mon corps. Nous étions dans une même harmonie. J'ai passé mes mains sur ses cuisses pour le retenir, l'encourager. Il s'est écroulé sur moi au moment de la jouissance suprême. Pour la première fois de sa vie, il venait de sodomiser un mec et, bonheur suprême, de lui jouir dans le cul.

Nous sommes restés ainsi un très long moment. Je lui ai saisi la tête avec mes deux mains et l'ai couvert de baisers. En reprenant sa respiration, il a réussi à me dire à l'oreille:
" Laurent, Merci mon chéri "
Il s'est retiré, caressant mon petit trou puis mon sexe , ivre de ce bonheur nouveau pour lui.
Je me suis blotti contre lui et nous sommes restés ainsi, savourant ce moment exquis.

La nuit était tombée. Il était maintenant sans pudeur, se promenant nu, me touchant, me caressant des yeux. Je ressentais pour lui cette sensation nouvelle qu'on peut avoir lorsque l'on se sent bien avec quelqu'un. Je le trouvais de plus en plus beau, élégant, racé, viril. J'aurais été malheureux s'il ne m'avait pas apprécié, s'il avait sauté du lit et s'était barré dès son coup tiré.

La nuit a été un grand moment de tendresse, de volupté avant que l'on dorme un peu. Au petit matin, je me suis levé, Thomas dormait. A mon retour dans le lit, ses bras étaient ouverts pour m'accueillir. J'ai vu ses yeux briller. Il semblait ému, un peu perdu.
J'ai su, au plus profond de moi, à ce moment là, pourquoi j'avais moi aussi eu un moment d'émotion.
" Laurent, je sais à quoi tu penses
" Thomas, je ne peux pas te le dire, c'est trop compliqué
" Tu connais la chanson de Serge Reggiani…..Il suffirait de presque rien, peut être dix années de moins….
" Comment as-tu deviné?
" Thomas, que croit tu que j'ai ressenti pour toi tout à l'heure? "

Thomas m'a alors fait l'amour comme s'il avait quelque chose à me prouver, pour me signifier qu'il m'aimait plus que d'autres, comme s'il avait peur de me perdre.
Nous avons joui tous les deux en même temps, unis dans la même passion.

" Tu as bien aimé, Laurent
" Thomas, tu fais merveilleusement bien l'amour
" Le routier, il t'a fait ça aussi bien que moi ou mieux ?
" Thomas, tu n'as pas à avoir de complexe….pas du tout. C'était très bon avec Roland, le routier. Il a pris soin de ne pas me faire mal et j'ai joui tellement c'était bon.
Thomas, je ne veux pas comparer mais, si tu as envie, j'aimerais tellement qu'on se revoie. C'est la première fois que je demande ça à un homme que je rencontre. D'habitude, c'est toujours l'inverse.

" Laurent, excuse moi, j'aurais jamais dû te demander ça, de comparer. Je suis désolé. Je suis tellement content de ta demande. Bien sûr que c'est oui. Oui, oui, oui. Merci mon chéri, je t'aime. "

Thomas s'est empressé de me donner son numéro. Il était plein d'entrain, joyeux.
Il était temps de se préparer pour partir.

Le petit déjeuner s'est passé normalement. Thomas m'a conduit au parking et a repris sa route. Il avait un rdv avec un client. La réparation sur ma voiture était en cours.
Ce soir là, j'ai fait une heure de route pour le retrouver et passer la nuit avec lui. Une de mes plus belles nuits de tendresse que j'ai pu passer avec un homme.

Dès que nous pouvons nous retrouver, c'est avec bonheur que nous le faisons. Thomas m'a avoué qu'il aimerait bien faire un plan à trois, comme on dit, avec Roland, le routier qui m'avait baisé avec passion et qui avait donné envie à Thomas d'en faire autant.

J'ai appelé Roland, super heureux de mon appel, et, même s'il préférerait passer la nuit seul avec moi, a finalement accepté que Thomas soit présent.
Je sens que mon petit cul sera bien ramoné ce jour là…..

Si vous avez aimé mon histoire, vous pouvez m'écrire. Merci.

NOTES :  

C'est vrai que l'homme de 45 ans et plus n'est pas pressé. Il veut vous faire plaisir et prend grand plaisir à s'assurer que Tu sois satisfait. Un rapport a révélé que les hommes dans la cinquantaine sont plus satisfaits dans leur vie sexuelle que les hommes dans la trentaine et la quarantaine.

 

   

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Par LAURENT - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 6 juin 3 06 /06 /Juin 00:06

    c'est un trend :  Image associée Je veux leur dire que ces jours et ces nuits dans leur appartement lit ont été parmi les moments les plus heureux de ma vie. Ceci ne surprendra plus dans quelques années : Jorn est  un de ses collègues de 12 ans son cadet. Randolf a expliqué à Debbie avoir l'impression d'aimer deux personnes à la fois. Elle et Jorn. Si l'histoire aurait pu se terminer ici, Debbie en a décidé autrement. "J'ai compris leur amour [...] et j'ai compris que Randolf ne voulait pas faire une croix sur notre couple et nos deux enfants de 7 et 9 ans."   Ils font ménage à trois et les enfants n'y trouvent rien à redire    Coralie Vincent sur Closer   Le 12 août 2015  

 

 

 

«Timidement mais sûrement, les gays* lancent une nouvelle révolution amoureuse : le couple à trois,-trouple- avec concessions et passions démultipliées. Un modèle à suivre pour les hétéros ? Enquête.».ELLE  * bisex plutôt

     

Debbie, Randolf et Jorn, en couple tous les trois.

     "Deux papas c'est désormais un plus. J'espère que cela va décider quelques uns des bisex qui nous suivent à faire la même révélation à leur compagne si elle est aussi ouverte d'esprit que Debbie".cavaillongay

L’histoire peut paraître étonnante et pourtant elle ne se passe pas très loin de chez nous. Aux Pays-Bas plus précisément. Là-bas, une certaine Debbie, 37 ans vivait des jours heureux avec son compagnon. Jusqu’au jour ou celui-ci tombe sous le charme d’un de ces collègues masculins. Là où la plupart des couples auraient mis un terme à leur relation, Debbie décide d’accepter la situation. «  Lorsque Randolf m’a annoncé qu’il était tombé amoureux de son collègue, Jorn, j’ai tout de suite compris qu’il ne voulait pas non plus nous abandonner, moi et nos deux filles  », explique-t-elle au magazine Linda. «  J’ai donc voulu rencontrer son coup de cœur. Et j’ai très vite compris pourquoi mon mari en est tombé amoureux. Jorn est vraiment un très chouette homme  ».

Jorn ne veut cependant pas détruire le couple. Ils décident donc de se voir tous ensemble de temps à autre. Et au plus le trio se voit, au plus leurs sentiments se développent à tel point qu’ils décident d’acheter une maison ensemble. «  Aux enfants, nous disions au départ qu’un ami de leur papa venait loger à la maison  », se rappelle Debbie. «  Jorn venait nous rejoindre dans notre lit en cachette. Aujourd’hui, nos filles sont tout à fait au courant de la situation et sont très contentes pour nous. Elles ont même des grands-parents supplémentaires  ».

Le rêve de ce couple hors du commun ?[ndlr pour l'instant] Le mariage. «  Mais légalement, nous n’en avons pas le droit  », explique Debbie. «  Nous avons donc décidé d’organiser une petite cérémonie. Et, plus tard, Jorn et moi voulons même faire un enfant  ».

Quid de la situation chez nous ?«  Le polyamour est quelque chose de tout à fait humain  », mais... 

En Belgique et en France, la cohabitation légale n’est valable que pour deux personnes et le mariage à plus de deux personnes est tout simplement interdit. Le seul cas où vous aurez le droit de vous enregistrer en tant que tel, c’est si le mariage a eu lieu à l’étranger. Ainsi entre 2008 et 2014, ce ne sont pas moins de 31 mariages polygames qui ont été enregistrés en Belgique (14 en commune flamande, 11 à Bruxelles et 6 en Wallonie).

Mais psychologiquement, un couple de ce genre peut-il tenir sur le long terme ? Selon Esther Hirch, sexologue clinicienne, on ne peut pas faire de généralité. «  Une situation n’est pas une autre  », nous explique-t-elle. «  Certaines personnes vont très bien le vivre parce qu’ils auront trouvé un équilibre alors que d’autres n’accepteront absolument pas cette situation  ».

Si ce genre de relation n’est pas encore entré dans les mœurs, il ne s’agit cependant pas d’une pathologie. «  Le polyamour, ou le fait d’aimer plusieurs personnes en même temps, est quelque chose de tout à fait humain  », développe la sexologue. «  Un homme peut très bien aimer deux femmes à la fois. Mais notre société fait que, dans ce genre de situation, les personnes concernées sont amenées à faire des choix. Et très peu de personnes acceptent de partager leur couple  ».

Pourtant, pour certains, ouvrir leur couple à une troisième personne est ce qui permettra de maintenir leur relation. «  Dans ce cas-là, il faudra trouver un équilibre entre les trois personnes pour qu’aucun d’entre eux ne se sente rejeté                     », conclura notre interlocutrice ¤ 

 

Jamais deux sans trois

une relation plus ouverte

"Le trouple serait-il l’avenir du couple ? Rien de tel qu’un ménage à trois pour pimenter une existence conjugale terne lorsque l’amour est passé à la machine et que les sentiments ont perdu leur couleur d’origine, pensez-vous ? Pourtant, le trouple dont il est question ici, néologisme formé à partir des mots « couple » et « trio », s’observe depuis peu chez certains homosexuels, de sexe féminin parfois, de sexe masculin le plus souvent, et tient lieu de véritable mode de vie. « J’ai déjà eu plusieurs trouples dans mon cabinet, constate Stéphane Clerget, psychiatre et pédopsychiatre, auteur de “Comment devient-on homo ou hétéro” (éd. JC Lattès). C’est un phénomène assez récent et qui est peut-être annonciateur, qui sait ?, de nouveaux comportements, les homosexuels étant souvent prescripteurs. C’est un équilibre qui s’établit en totale rupture avec le modèle traditionnel du couple. »

Pour trouver un trouple autour de soi, il n’est bizarrement nul besoin de faire résonner le tam-tam pendant des jours. Deux ou trois coups de fil à des amis gays suffisent. On nous parle d’Américains qui vivraient « comme ça », d’un trio de filles à Lyon, d’un ménage à trois à Bordeaux. Le magazine « Têtu » a consacré plusieurs pages au sujet « trouple ». Et puis, au cours d’une soirée raclette, Frédéric, 35 ans, un charmant convive, chef de projet dans une banque, caresse tendrement le bras de Laurent, 36 ans, professeur des écoles. Quelques minutes après, c’est au tour de Bart, 35 ans, expert-comptable, de prendre la main de Frédéric. « Oui, nous sommes un trouple », affirment-ils fièrement, sur un ton un peu provoc. Plus tard, ils confieront : « La première fois qu’on a avoué à nos amis que nous vivions en ménage à trois, on a eu l’impression de faire un deuxième coming out. »

Pour former un trouple, faut-il d’abord être en couple ?

Pour former un trouple, faut-il d’abord être en couple ? A première vue, oui. Pour Laurent et Bart, pacsés depuis sept ans et copropriétaires d’un loft en proche banlieue, le long fleuve tranquille de la conjugalité s’est vu brutalement détourné de son cours par la rencontre, il y a un an, de Frédéric, croisé dans un club de sport. « C’était un gros pari, car on est vraiment passés d’un couple fidèle assez caricatural à une relation plus ouverte », assure Bart. Même configuration chez Maxime, 34 ans, libraire à Toulouse, et Philippe, 40 ans, infirmier psy, en couple depuis douze ans, lorsqu’ils ont eu un coup de foudre commun, il y a quatre ans, pour Dimitri, 35 ans, fonctionnaire. A Toulouse comme à Paris, quelque chose s’est dénoué.

« Cette triangulation-là, qui est pour moi le début d’une famille, me convient parfaitement, avance Frédéric. J’y ai trouvé une forme de complétude. J’aurais du mal aujourd’hui à vivre à deux, car il y a moins de diversité, moins d’interactivité aussi. Il n’y a pas l’angoisse de la rupture non plus, car, à trois, c’est plus difficile de se séparer qu’à deux, car il y en a toujours un qui tempère. Et puis tout le monde est amoureux de tout le monde, ce qui ne m’empêche pas d’avoir une relation unilatérale avec Laurent, comme j’ai une relation unilatérale avec Bart. » Et la jalousie dans tout ça ? « Au début, Laurent et Bart se disputaient, car Bart est extrêmement possessif, raconte Frédéric. Mais ça s’est tassé. La plupart des homos en couple que je connais ont des aventures, soit en couple, soit de leur côté. Ils ont dépassé la notion de jalousie. En revanche, notre trouple est dans un mode de fidélité absolue. Si on en ajoutait un quatrième, ça virerait au désastre. A un moment, il faut savoir s’arrêter. »

Compliqué : Amour ou amitié amoureuse ?

Mais l’amour dans le trouple est-il comparable à l’amour qu’on peut rencontrer à deux ou est-ce un sentiment plus diffus, moins impérieux ? « De l’amour ou de l’amitié amoureuse ? s’interroge Stéphane Clerget. Mais pas de la passion, car on ne peut être passionné qu’envers une personne. Le phénomène de trouple peut venir du fait que cette génération a eu d’autres modèles de conjugalité que le couple. La fréquence des divorces a souligné la fragilité des unions. Pour les enfants des parents qui ne s’aimaient plus, le couple n’est pas un modèle apaisant, ni rassurant. Avec le trouple, on recrée une triade œdipienne qui correspond au fantasme principal de l’enfant. Et le divorce favorise cette triangulation : face à deux parents qui se déchirent, c’est l’enfant qui crée le lien entre les deux, c’est lui qui maintient cette idée de trouple. »

« On a les mêmes problèmes que tout le monde »

D’où alors peut-être cette impression de douce chimère qui enveloppe le trouple, ce climat familier, rassurant, presque lénifiant décrit par ses adeptes ? Car qui a parlé à un trouple est frappé par leurs propos pas très éloignés de ceux d’une ménagère des années 50 assommée par le train-train quotidien. « La vie à trois ? Ça ressemble beaucoup à la vie à deux. Il faut savoir faire des concessions », analyse Philippe. « Il y a plus de lessive à faire, la voiture devient trop petite, il faut organiser les vacances, rappelle Laurent. J’ai l’impression d’avoir une vie hyper excitante et en même temps hyper conventionnelle. On a les mêmes problèmes que tout le monde. » « Nos amis gays pensent qu’on passe notre temps à faire l’amour, ajoute Frédéric. Alors que non. Quelquefois, quand on rentre le soir, on est crevés, on reste dans son coin, on regarde un truc débile à la télé. De toute façon, on est des affectifs, pas des vicieux. » « C’est plus week-ends à la campagne que fête du slip [ndlr : du cul, non ?] tous les soirs », confirme Philippe.

L’aspect « refuge » du trouple

Ce côté triolisme en charentaises colle d’ailleurs pile poil à l’aspect « refuge » du trouple, et à ses avantages financiers mis en lumière par ses pratiquants. Par temps de crise, c’est un vrai plus. « On a une marche de manœuvre plus importante, confirme Laurent. Bon, après, il faut penser à faire faire des draps sur mesure », plaisante-t-il. « De l’extérieur, c’est émoustillant, mais, de l’intérieur, le trouple, c’est un vrai cocon, remarque Philippe. On se sent protégés d’une violence extérieure, de l’homophobie, même si on garde à l’esprit qu’on a créé une nouvelle norme, qu’il peut y avoir un retour de bâton. A trois, on est une vraie force. » De quoi rehausser le moral des trouples.¤

 


  commentaire :   "«  Jorn venait nous rejoindre dans notre lit en cachette. Aujourd’hui, nos filles sont tout à fait au courant de la situation et sont très contentes pour nous.». la petite maman n'y a rien perdu et elle sait y faire avec les grands comme avec les petits !... ok, rien à dire c'est bien"  (rigoletto)

  Image associée  que du bonheur pour chacun de nous trois

Par CLOSER+LIBRE BE+ELLE - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 4 mai 5 04 /05 /Mai 06:56

  mais que faire ? Qu'ai-je fait au bBon Dieu pour...? 


5 juillet 2017 dans gaypopbuzz Conrad Braxton

straight man not so straght

A quoi ça ressemble pour les femmes d'apprendre que leur homme n'est pas exactement hétéro?

Nous entendons souvent parler d'hommes qui s'identifient comme étant hétérosexuels et qui fréquentent d'autres hommes. Pour les hommes ouvertement homosexuels qui se trouvent attirés par ces personnes, les relations sont souvent difficiles car ils leur reprochent leur flexibilité.

Un cas d'espèce peut être vu dans le cas de Michael; un homme de 35 ans qui a récemment partagé son lit avec son chef marié.

Mais qu'est-ce que c'est pour la femme? Comment fait-elle face quand elle apprend que son mari cherche d'autres types?

Par exemple, comment réagit-elle à la nouvelle que son homme se connecte à longueur de temps sur le site de rencontes gay Grindr, en regardant des films porno gay et en se masturbant avec des images de même type ?

 Quand on s'est mariés, moi je pensais qu'il était hétéro ?!

Selon le sexologue Robert Weiss, le bilan émotionnel peut être dévastateur. Voici un texte qu'il a écrit dans Huffington Post.


"Amelia est venue dans mon bureau pour sa première visite, visiblement affolée, après avoir découvert que son mari depuis six ans, Michael, avait regardé du porno gay et la trompait avec désinvolture avec une variété d'hommes.

Elle dit qu'il jure qu'il l'aime et qu'il n'a jamais triché avec une autre femme.

Il insiste également sur le fait qu'il n'est pas gay. Amelia dit qu'elle aime Michael plus que n'importe qui dans le monde et ils ont en fait une assez bonne vie sexuelle, mais elle se sent trahie et confuse et alors elle ne sait pas quoi faire. "
Elle veut savoir et faire le point de ce qui est réel et ce qui ne l'est pas.

Weiss attire l'attention sur plusieurs questions fréquemment posées lors de la thérapie de crise.

Les femmes veulent généralement savoir:
 

◾Est-il gay ou hétéro ou quoi?
◾Est-il attiré par moi?
◾ Devrais-je passer un test de dépistage du VIH et d'autres MST?
Si je reste avec lui, pouvons-nous faire fonctionner la relation?
◾ Puis-je lui faire confiance pour poursuivre dans notre relation monogame?
◾ Puis-je lui faire confiance pour arrêter de mentir et de garder des secrets?

«Beaucoup d'hommes ressentent un certain degré d'attirance homosexuelle mais choisissent de vivre un style de vie hétéro, tandis que d'autres avec un degré d'attirance homosexuelle similaire choisissent de vivre un style de vie homosexuel - et ne sont principalement motivés pour le sexe qu'avecd'autres hommes et vous les verrez  aller dans des restaurants et des clubs gays, jouer dans une équipe de volley gay, etc.

Donc, être gay signifie que vous ressentez une attirance homosexuelle à un degré ou un autre et que vous choisissez de vous auto-identifier et de vivre votre vie pour refléter cela. "Beaucoup de jeunes et d'ados se disent bisexuels. Il serait bon qu'ils sachent rechercher les partenaires femme et hommes qui lui permettront (ainsi qu'à leurs partenaires) de vivre selon leur véritable identité sexuelle. L'ADAPTATION DE L'INSTITUTION DU MARIAGE COMME LE SUGGERE JACQUES ATTALI  est absolument nécessaire, qu'elle se plie à des assemblages de type à trois personnes  H+H+F, ou F+F+H Mais ça ne résout pas le nomadisme nécessaire à pas mal de bisex qui veulent tout le temps changer de partenaires, fussent-ils des inconnus...   


      Résultat de recherche d'images pour "billy elliot dialogue et même le directeur de l'école se masturbe"

 

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Par BI DULE - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 3 mai 4 03 /05 /Mai 09:20

Tout bisexuel n'est pas un faux-cul et la preuve : Pas de costard mais une cravate pour le juge Jacobs, ici dans sa tenue la plus ordinaire,  a été député de Georgie de 2005 à 2015 et  siège au tribunal d'état de DeKalb, Illinois , USA,  depuis 2015. C'est le premier juge ouvertement LGBTQ à DeKalb

 il dit qu'il espère être un exemple positif pour sa famille et sa communauté en parlant ouvertement de sa sexualité. 

Le juge Mike Jacobs ici dans ses fonctions :  
 
Le juge Mike Jacobs qui vit, maintenant, après son coming-out la pleine égalité des droits LGBT.
 Le juge Mike Jacobs est sorti publiquement du placard, quoique assez discrètement-lol-, le mois dernier après avoir posté une photo du mix de printemps dans le cadre de son Association de Georgie sur sa page Twitter. 

Gay, surtout depuis les lois sur l'égalité, c'est plus facile que bi !

Résultat de recherche d'images pour "judge mike jacobs" Image associée

Image associée je propose que le prochain défi soit de se faire photographier entre son épouse et son  un amant. Serait-elle d'accord ?

 

JUGE-COURAGE :
 "Bien sûr, mon identité[sexuelle] n'a aucun effet sur mon travail en tant que juge. C'est mon devoir solennel et absolu d'assurer une justice juste et impartiale à tous les citoyens. Cependant, cette décision de sortir du placard aide à montrer à la vaste communauté civile la diversité [humaine ]de notre profession."judge Mike Jacobs

 

 

NOTES :  

RUMEURS : 

https://blog.francetvinfo.fr/over-the-rainbow/2017/02/09/emmanuel-macron-un-dementi-cul-benit.html 

sur ce blog de francetv info,(lien ci-dessus) un rédacteur émet des hypothèses sur le couple présidentiel et la façon dont, à l'avance, il aurait arrangé sa cohabitation conjugale : (citation) "Ce que l'on entend encore, c'est une vision très cul-bénit des relations de couple, d'un couple qui s'aimerait présidentiel. Sauf que vivre aux côtés d'une femme quand on est un homme ne dit rien de son identité sexuelle, qu'une femme peut très bien, pour les raisons qui sont les siennes, s'accommoder de l'homosexualité/la bisexualité de son conjoint"

 

et plus haut (citation) "Donc, si pour mettre les pieds dans le plat, si dans les dîners en ville, si dans les boucles de mails, on vous dit que j'ai une double-vie avec Mathieu Gallet (les rires reprennent)  ou avec qui que ce soit d'autre, c'est mon hologramme qui soudain m'a échappé (ah ah ah, rires), mais ça ne peut pas être moi, je ne le connais pas (cette fois on applaudit pour de bon, on hurle, on acclame l'acteur)

La claque est extatique, elle n'est pas venue pour rien, ce soir c'est du grand Macron.

Trop fort Manu,"...

 

 

 

 

commentaire :


ECHAPPEES :

Evitez vous les désagréments de la mésentente. Vous êtes bisexuel. Prévoyez que ça peut impliquer des mensonges terribles à vivre quand ils seraient découverts par votre conjoint quelle chance vous auriez si vous vous unissiez à une personne qui a le même besoin de liberté que vous

  Un couple de bisexuel.le. s ça peut organiser sa liberté à l'avance...un contrat de vie commune en quelque sorte et forcément c'est mieux :    

  ça a le mérite d'exister :

 

1.  Bienvenue sur bisexualite.info

Bienvenue cher visiteur sur bisexualite.info !

Ce site qui a pour thématique la bisexualité repose tout d'abord sur un forum de discussions. En complément des échanges et de toute la richesse de 12 années de discussions avec à ce jour plus de 250 000 messages postés par près de 5000 inscrits, vous retrouverez aussi des informations, des définitions, de la documentation, des témoignages, et enfin le célèbre test de Vieznick.

Bonne visite !

Biscuit webmaster, Avignon

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Par INFOGAYSETBI - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 23 avril 1 23 /04 /Avr 18:07

Réponds-moi, je te demande Comment pour nous tout ça finira ?

  Il y a sous nos caresses
Des points de suspension
 ....

En 1979, Dalida aborde une nouvelle fois le thème de l'homosexualité avec "Depuis qu'il vient chez nous". Cette nouvelle chanson raconte l'histoire d'un homme qui a du refouler son homosexualité et construire sa vie avec une femme. Les années passent et tous deux se retrouvent dans l'impasse car l'homme ne peut éternellement cacher sa réelle orientation. Le phénomène est hélas fréquent et peut alors briser une famille entière. Si seulement chacun pouvait vivre sans se cacher de quoi que ce soit, ce genre de situations inconfortables ne se produirait pas.

Le 12 mai 1979, les Carpentiers consacrent un numéro 1 à Dalida qui dévoile le contenu de son dernier album "Dédié à toi", avec entre-autres "Depuis qu'il vient chez nous".

Dalida chez les Carpentiers.
...[Des brumes équivoques
Aux yeux d'adolescence
Ont posé leur brouillard
Sur notre intimité
Dieu, que l'on a changé
Depuis qu'il vient chez nous {x2}]  

 

Bisex ! on vous a écrit des chansons :

  • Garçon, garçonne (Gilles Roucaute)
  • Lomer (Richard Desjardins)
  • Depuis qu’il vient chez nous (Dalida)
  • Sans contrefaçon (Mylene Farmer)
  • Troisième sexe (Indochine)
  • Les impedimenta (Anne Sylvestre)
  • Le bruit des bottes (Jean Ferrat)
  • Polyamoureux (Marc Havet)
  • Martine Boude (Alain Bashung)
  • Le mulâtre (Jann Halexander)
  • Putain Putain (Arno)
  • Je suis la femme (Gilles Roucaute)
  • Hercule (Gilles Roucaute)
  • Déjà (Nicolas Bacchus)
  • Entre les deux mon coeur balance (Nicolas Bacchus)
  • To bi or not to bi (Ysa Ferrer)
  • Les Amants, Rita Mitsouko
  • Question d’amour et de temps (Jann Halexander)
  • Des attractions désastre (Etienne Daho)
  • Moi qui rêve (Jann Halexander/Agnès Renaut)
  • Laurence (Franck Monnet)

 

Chronique: Lorsque Dalida dénonce l'homophobie

Publié le 19 Décembre 2014 par Dylan V. Sansonnens

Concernant l'homosexualité, les mentalités en Occident ont heureusement quelque peu évolué à l'aube du XXIe siècle et bon nombre de couples gays peuvent désormais concrétiser une relation au grand jour. Il ne faut cependant pas oublier que dans d'autres régions du monde l'homosexualité est encore condamnée. On ne choisit pas de naître homosexuel, et Dalida l'avait très bien compris ! En 1972, Dalida traite de ce sujet encore tabou en France dans l'une de ses chansons : "Pour ne pas vivre seul".

"Des filles aiment des filles, et l'on voit des garçons épouser des garçons".

 La communauté gay s'attache dès lors à Dalida, qui représente à ses yeux la femme par excellence, glamour, émouvante, talentueuse, tolérante. Le sujet est d'autant plus sensible pour la chanteuse qu'une importante sphère gay l'entoure : Pascal Sevran ou Bertrand Delanoé par exemple.          

C'est sans doute pendant la période disco que la facette "icône gay" prend encore plus d'ampleur chez Dalida. Ses tenues réalisées par les plus grands couturiers et certains de ses hits diffusés en discothèque à l'instar de "Monday Tuesday" ou "Génération 78" font un tabac auprès de la communauté homosexuelle.

C'est sans doute pendant la période disco que la facette "icône gay" prend encore plus d'ampleur chez Dalida. Ses tenues réalisées par les plus grands couturiers et certains de ses hits diffusés en discothèque à l'instar de "Monday Tuesday" ou "Génération 78" font un tabac auprès de la communauté homosexuelle.

     NOTES :  Pour ne pas vivre seul
On vit avec un chien
On vie avec des roses
Ou avec une croix
Pour ne pas vivre seul
On s'fait du cinéma on aime un souvenir
Une ombre, n'importe quoi
Pour ne pas vivre seul
On vit pour le printemps et quand le printemps meurt
Pour le prochain printemps
Pour ne pas vivre seul
Je t'aime et je t'attends pour avoir l'illusion
De ne pas vivre seul, de ne pas vivre seul

Pour ne pas vivre seul des filles aiment des filles
Et l'on voit des garçons épouser des garçons
Pour ne pas vivre seul
D'autres font des enfants des enfants qui sont seuls
Comme tous les enfants
Pour ne pas vivre seul
On fait des cathédrales où tous ceux qui sont seuls
S'accrochent à une étoile
Pour ne pas vivre seul
Je t'aime et je t'attends pour avoir l'illusion
De ne pas vivre seul

Pour ne pas vivre seul on se fait des amis
Et on les réunit quand viennent les soirs d'ennui
On vit pour son argent, ses rêves, ses palaces
Mais on n’a jamais fait un cercueil à deux places
Pour ne pas vivre seul
Moi je vis avec toi je suis seule avec toi tu es seul avec moi
Pour ne pas vivre seul
On vit comme ceux qui veulent se donner l'illusion
De ne pas vivre seul.


    merci

 

souvenir de Pascal Sevran

 

            Pascal Sevran  

 

Image associée le Pascal jeune

 

 

    visitez avec plaisir la rubrique La chance AUX CHANSONS   

 

je répète : les musicos nous font la vie belle !     

 


commentaire : " Diva archi populaire, Dalida n'en demeure pas moins l' une des chanteuses les plus mal-estimées du Music-Hall français.

Ses apparitions dans les shows télévisés des années 80, star toute en paillettes, parfois au sommet du kitsh et acquise à la chanson prétendue " facile " , ont frappé jusqu'à aujourd'hui les esprits et les rétines ...

Mais c'est faire preuve de dédain un peu trop rapide que de réduire Dalida à cela.

En trente années de chansons, soit plus de mille titres, " la Pharaonne de la Chanson française " ( dixit Charles Trenet ), creusa en paroles, en mélodies, en images et en émotions, le sillon d'une richesse à plus d'un titre époustouflante.

C'est cet Univers majuscule que je veux partager avec vous."(azaldazur skyrock)

 

Par DALI - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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