DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 00:34

    bisex : un coeur plus grand

 

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Image associéeBISEXUELS >APRES SA LIAISON AVEC VERLAINE RIMBAUD NE SE RECONNAISSAIT PAS HOMOSEXUEL

 

Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé. Je jure que Benoît n’est pas pédé et moi non plus. Mais il s’est collé contre moi et ça m'a fait bander.

Je ne suis pas homosexuel, même si je n’ai rien contre. J’ai des copains qui sont pédés. Je m’entends bien avec eux, même s’il n’y a jamais rien eu entre eux et moi. J’ai déjà eu l’occasion de lire des revues Gay chez l’un d’eux, mais je dois avouer que cela ne m’a pas excité. Moi, je n’aime que les filles. C’est du moins ce que je croyais.

Il y a quelques mois, Benoît, un ancien copain de fac, m’a téléphoné. Il avait largué la Sorbonne et plaqué sa copine pour se mettre au vert dans un village paumé de la Drôme. À la fin de la conversation, je lui ai dit que Paris me déprimait. Les sorties en boîtes sont chères et les filles qu’on lève ne sont pas toujours terribles. Il m’a proposé de venir passer quelques jours chez lui en me disant que la campagne me ferait du bien.

Lorsqu'il est venu me chercher en voiture à la gare, j’ai vu qu’il était en pleine forme. Nous avons commencé à nous raconter nos derniers mois. Il m’a appris qu’il vivait depuis peu avec une fille qui avait un gamin. Il avait l’air assez accro, à l’entendre. J’ai pensé qu’il était casé et ça m’a foutu un peu la déprime. Un peu jaloux, peut-être. Benoît est un beau mâle, bien foutu. On a fait pas mal de natation ensemble et, à le regarder, on comprend tout de suite pourquoi il n’a jamais eu de mal à se dénicher des gonzesses. Les épaules carrées, le torse glabre, la taille fine, les cuisses musclées. Un très beau mec. Avec son air de ne jamais y toucher, je l’ai vu emballer en trente secondes. À baver de jalousie! Je n’ai pas autant de succès avec les filles. Lorsque je suis seul, je me branle en pensant à une bouche qui me suce la verge. J’imagine les lèvres humides, la langue qui lèche le gland. C’est bon et j’éjacule. Benoît m’a présenté à sa femme et nous sommes partis, lui et moi pour une grande balade dans la campagne. Cela faisait longtemps que je n’étais pas sorti de Paris et l’air était doux, grisant. On se serait presque cru au printemps. On discutait sur la fac, le boulot, d’un peu de tout, on se racontait nos souvenirs, surtout. J’avais du mal à croire qu’il était heureux dans ce trou perdu, même si c’était superbe. L’hiver, ça devait être dur. Benoît avait trouvé du travail dans une ferme et ça l’avait encore un peu plus musclé.

On est arrivés près d’un petit cours d’eau. Il faisait trop froid pour se baigner mais ça nous disait bien de faire les cons, tous les deux, comme lorsqu’on faisait nos études. On s’est mis en slip, et on a eu froid. On grelottait déjà avant d’entrer dans l’eau. L’eau était glaciale, bien sûr, et nous ne nous sommes pas baignés. Nous nous sommes contentés de nous mouiller jusqu’aux genoux et de nous éclabousser un peu. Finalement, j’ai glissé sur des rivulaires et je me suis retrouvé le cul dans l’eau. On rigolait comme des cons en claquant des dents. Benoît n'est jamais à court d’idées, et il a proposé de faire un feu pour faire sécher mon slip, on a joué au Robinson. On s’est couru après en poussant des cris de guerre. Benoît m’avait assuré qu’il ne venait jamais personne. J’ai enlevé mon slip et remis mon jean en le laissant ouvert, parce que j’avais peur de me coincer la peau de la queue ou les poils des couilles dans la fermeture-éclair. On a réussi à allumer le feu et on s’est serrés l’un contre l’autre pour se réchauffer un peu.

Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé. Je jure que Benoît n’est pas pédé et moi non plus. Mais il s’est collé contre moi et ça m'a fait bander. J’en ai été le premier surpris. J'ai pensé que c’était juste sa chaleur, et j’ai fait comme si rien ne se passait. Mais Benoît avait vu que je bandais, et je crois qu’il fut surpris également. Il m’a dit: «T’as envie de te branler?» J'ai fait non avec la tête, puis je lui ai dit que je ne savais pas ce qui m’arrivait, que ça allait passer. Benoît m’a dit: «Si tu penses à une meuf, dis-moi laquelle, parce que vu comme tu bandes, elle doit être canon!» Mais je ne pensais pas à une meuf et j’étais troublé. Il commençait à faire nuit. Nous étions tous les deux seuls au bord d'un feu. On entendait des bruits tranquilles, de grenouilles ou d’oiseaux. Je me sentais flotter, j’avais envie de me laisser aller. Je l’ai dit à Benoît. Et il m’a dit que ça lui arrivait aussi, ce genre de sensation, quand il était seul dans la campagne. Il m'a dit qu’il aimait se masturber tout seul le soir au bord de l’eau. Il semblait fasciné par ma verge qui ne débandait pas. Il a eu un long moment silencieux, et la nature sembla peu à peu se taire aussi. Je n’ai pas été surpris lorsque la main de Benoît est venue se poser sur ma verge. À un autre moment, dans un autre lieu, j’aurais gueulé. Je crois qu’il n’aurait surtout jamais osé faire un tel geste. Même encore maintenant, quand j’y repense, je me demande ce qui a pu se passer pour qu’on se déconnecte à ce point tous les deux. Il a posé sa main sur ma verge et le contact m’a électrisé. J’ai tout de suite désiré qu’il la laisse et qu’il me caresse. C’était un désir déroutant, j’avais l’impression de ne plus être moi-même, ou bien de découvrir une autre personne à ma place. Benoît aussi semblait soudain différent. Il était grave. Il s’est peu à peu couché sur moi, et je sentis sur mon corps le poids du sien, ses muscles durs, son torse plat. Il m’écrasait un peu et cette sensation n’était pas désagréable. Il me branlait avec vigueur. J'avais fermé les yeux. De toutes façons, on ne voyait plus grand-chose. Je sentais son souffle près de mon visage, chaud, viril. C’était enivrant. Je n’ai pas résisté à l’envie de poser mes lèvres sur les siennes. Il les a ouvertes très doucement et nos langues se sont entremêlées. On s’est embrassés un moment comme ça, mais de plus en plus fougueusement. Je sentais que j'allais jouir et je n’avais pas envie que ça s’arrête. J’ai repoussé sa main et j’ai pris sa verge entre mes doigts pour la branler. Je n’ai jamais branlé un homme de ma jusqu’à ce qu’il jouisse. Il m’a joui dans la main. C’était chaud, âcre. Cela a réactivé mon désir. Ma verge ne débandait pas. J’ai une envie folle d’aller plus loin. Je ne sais pas comment j’ai réussi à le dire à Benoît. Il semblait, lui aussi, prêt à aller plus loin. J’ai sorti une capote de la poche de mon pantalon, comme j’ai l’habitude de faire quand je couche avec une fille, et je me suis senti con. Je ne savais pas vraiment si c’était utile avec un mec comme Benoît. J’ai mis ma capote; finalement c’était un geste qui me rassurait. J’avais un peu la trouille de ce qui allait se passer. C’est Benoît qui a pris les choses en main. Il s’est mis à quatre pattes et ma verge s’est glissée entre ses fesses, jusqu’à la rosette. J’ai fait doucement, comme lorsque j’encule une fille. J’ai sodomisé mon copain tellement doucement qu’il m’a avoué ensuite qu’il n’avait même pas eu mal. J’ai augmenté petit à petit les cadences. De sentir Benoît gémir sous mon poids me donna envie de jouir. Et au moment de tout lâcher, je me suis vu au bord de cette rivière, dans l’herbe, en train d’enculer mon copain. J’ai eu le temps de penser: «C’est pas possible!» Et j’ai joui!

Après on a repris peu à peu nos esprits. Il y avait un peu de lune et nous nous regardâmes en silhouette. Nous nous sommes embrassés encore une fois, nous nous sommes dit quelques mots et puis Benoît a dit qu’il fallait rentrer afin que Camille ne s’inquiète pas. On est revenus comme deux copains, comme s’il ne s’était rien passé entre nous. D’ailleurs, on n’en a pas reparlé ensuite. Juste au moment de se quitter sur le quai de la gare, Benoît m’a demandé si je regrettais ce qui s’était passé au bord de la rivière. Je lui ai dit que non, mais que je ne savais vraiment pas ce qui s’était passé. Il m’a avoué que lui non plus, il n’a pas compris, et qu’il ne comprenait toujours pas mais qu’il ne regrettait pas non plus. Ensuite, mon train est arrivé et je suis rentré à Paris. C’est sûr que nous avons fait l’amour comme deux homosexuels, même si nous n’en sommes pas. Quoique... Mais cette histoire m’a rendu perplexe. Maintenant, je me dis que personne n’est à l’abri d’une histoire comme la mienne et c’est tant mieux. Olivier, un bon copain pédé à qui j’ai plus ou moins raconté l’histoire m’a conseillé de vous l’écrire. Chose faite.

Fred, 24 ans...à l'époque...

 

 

 

 

Relire Verlaine

[...]- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom?
Toujours vois-tu mon âme en rêve? - Non.

Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.

Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles. (Colloque Sentimental) 

Nevermore

(attention j'ai changé elle en" il" et seule en "seul "une seule fois)

Souvenir, souvenir, que me veux-tu ? L'automne
Faisait voler la grive à travers l'air atone,
Et le soleil dardait un rayon monotone
Sur le bois jaunissant où la bise détone.

Nous étions seul à seul et marchions en rêvant,
Lui et moi, les cheveux et la pensée au vent.
Soudain, tournant vers moi son regard émouvant
" Quel fut ton plus beau jour? " fit sa voix d'or vivant,

Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique.
Un sourire discret lui donna la réplique,
Et je baisai sa main blanche, dévotement.

- Ah ! les premières fleurs, qu'elles sont parfumées !
Et qu'il bruit avec un murmure charmant
Le premier oui qui sort de lèvres bien-aimées !

 

Un trio pourrait donner une solution à bien des problèmes : mais je n'arrive pas à m'y résoudre

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et séduction et consommation d'un homme seul à seul  

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JE M'EXPRIME CLAIREMENT QUAND JE SUIS AVEC UN HOMME:  

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Par FRED - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 30 octobre 1 30 /10 /Oct 02:33

 En plus, ma femme en recueille indirectement les fruits par un retour de tendresse, des cadeaux, une attention de chaque instant et une sexualité épanouie. Le plus étonnant, c’est que cette aventure avec Abdou ne diminue pas le désir que j’ai de ma femme. Au contraire  D’ailleurs elle ne se plaint pas. Pas de question du genre « Tu as quelque chose à te faire pardonner ? » Elle apprécie. Je la trouve rayonnante. Le bonheur, quoi !


  Quelque chose s’est débloqué en moi. Une envie permanente de faire l’amour. Avec ma femme, avec Abdou. Sans eux, je me branle. À cinquante ans, c’est un peu particulier, mais je me dis que cela ne concerne que moi. Moi, ma libido. Ce corps noir. Celui d’Abdou. Ce corps blanc qui est le mien.

 

 Une douche, et quelques brasses dans la piscine. Nous avons le temps. Margie rencontre des copines. Abdou est assis sur la margelle. Je traverse la piscine sous l’eau et apparais éclaboussant le garçon. Blague de collégien. Mais cela me conduit juste entre ses jambes et, la plaisanterie assumée, je me retrouve pile-poil au niveau de sa verge. Je l’ai vue bien des fois depuis notre première rencontre. Elle m’a séduite, et maintenant il m’arrive de la caresser, voire de la branler alors que je le sodomise. À l’aune de mes mains, elle est longue et grosse. Pourtant on ne le dirait pas tellement elle est bien proportionnée.

Je pense que secrètement j’en avais envie. Oui, envie comme je le fais, de poser un baiser sur le bout rose sombre.
Un seul contact de mes lèvres, et elle se déploie. D’alanguie, allongée, elle se transforme en tige dure. Son poids l’entraîne et elle reste horizontale. Provocante, encore plus près de mon visage, comme si une main perverse m’apportait cet énorme bourgeon.
Le gland dans ma bouche, j’ai l’impression que je vais étouffer. Je respire tranquillement. Je joue un moment avec le sillon, passant ma langue comme on le fait entre glace et cornet. Je me force un peu, gagne un ou deux centimètres, mais j’ai aussitôt un réflexe qui me fait la quitter.
Abdou sourit franchement.
— C’est la première fois ?
—  Oui. Enfin, pour une vraie, sinon j’ai déjà sucé un gode pour exciter Margie.
—  Je te montrerai si tu veux. Il suffit d’un peu de contrôle, et surtout d’une vraie envie de sucer.
—  Peut-être, mais je ne vois pas quelqu’un te la gober entièrement.
—  C’est vrai.
Je sors de la piscine.
T’as vraiment un joli petit cul. On ne te l’a jamais dit ? me dit mon amant qui se lève et vient se coller contre moi.
—  Si : Margie, souvent.
—  Évidemment, Margie est bien placée pour le voir.
Il est contre mon dos. Je sens parfaitement son mandrin qui semble toujours dur. Il se frotte à moi. Me provoque.
—  J’ai envie de toi… me susurre-t-il à l’oreille.
Moi aussi.
—  Oui, mais envie de toi : envie de ton petit trou. J’imagine qu’avec Margie vous jouez à qui encule l’autre…
—  Mais non. Moi je la prends, mais pas elle. Parfois un doigt.
—  Vraiment ? Avec un tel cul…
Il passe ses mains sur mes fesses. Déjà un doigt s’égare.
—  Abdou, arrête.
—  Mais non, je veux te prendre moi aussi. J’en rêve depuis des semaines.
—  Mais…
Je ferai attention.
Mais…
—  Promis. Si je te fais mal, on arrête tout. Regarde, tu bandes. Tu vois que tu as envie toi aussi ? Il faut que tu essayes.
Il me branle d’une main alors que l’autre fait tourner son doigt. Je ne dis rien, troublé d’être passé de dominant à dominé. Lentement, pas après pas, me fouillant le cul plus profondément de son doigt, il me pousse vers la table basse.
—  Mets-toi en levrette. Je vais chercher le gel.
Si quelqu’un entrait, il verrait cet homme nu, à quatre pattes sur une table, la queue raide qui pend. Mais déjà il revient.
Le gel est froid.
—  Voilà, c’est bien, ne résiste pas.
C’est plus gros, mais pas douloureux. Cela tourne en moi, apprivoisant ce muscle vierge pour ce genre d’exercice. Il tourne, mais aussi avance et recule, simulant la possession. À nouveau du gel. Je comprends que ce qui se frotte maintenant contre moi, ce ne sont pas des doigts, mais l’extrémité de sa queue.

Il se frotte un long moment. Du gel à nouveau. J’imagine mes fesses, mon cul, mais aussi sa bite briller de la crème grasse.

Il pousse. Il tapote mes fesses, puis une grande claque qui me surprend. La surprise passée, je sens que j’ai quelque chose en moi. Une gêne difficilement identifiable si je ne savais qu’Abdou est entré dans mon intimité.

La lente glissade n’a pas de nom, si ce n’est une occupation envahissante de mes entrailles.
—  Voilà. Je suis tout en toi. Tu vois, ce n’est pas la mer à boire.
C’est vrai. Qui aurait cru cela si facile ? Pour ma première sodomie, au moins j’ai placé la barre très haut. Mais mon enculeur n’en a pas fini avec moi. Il reprend son mouvement en sens inverse, puis avant, puis inverse. Enfin, quoi, Abdou me lime le cul.
Quel spectacle nous devons montrer… enfin, surtout moi.
—  Putain, que c’est bon ! J’avais oublié combien le cul d’un puceau est serré.
Il ne va pas trop vite. Parfois sa queue sort entièrement et mon cul doit prier pour qu’il revienne. Je ne vois rien et pense déjà que la prochaine fois il me prendra de face ; ainsi je pourrai le voir.

C’est bon. C’est de mieux en mieux. Je me décontracte. Je pose ma tête sur la table, me cambrant encore plus, et je le sens d’une autre façon.

Je me branle. C’est bon. J’ai une trique d’enfer. Une main se plaque sur mes reins, me forçant à me cambrer encore plus. Je suis une femme… Oui, comme ma femme lorsque je la prends en levrette, la chatte ou le cul, et qu’elle se tortille vicieusement pour mieux me sentir.

Je le fais. Je suis une femelle et on me possède. Je me sens si bien…
—  Je viens… Je viens…

Abdou se libère en moi. Une impression d’abord dérangeante, mais bien vite intégrée par mon cerveau. Du foutre ! C’est du foutre qui m’inonde. Du foutre qui rend encore plus faciles les quelques mouvements pour qu’il se termine.

Il se retire. Il découvre ma queue encore raide, abandonnée depuis que j’ai le cul plein de sa liqueur.

 

— Attends. Attends. Tourne-toi.

 

Et mon amant me prend en bouche. Ma bite disparaît entre ses lèvres roses et charnues. Il faut peu de caresses pour que je jouisse. Abdou recueille chaque goutte. Que ce soit un homme ou une femme, c’est toujours très « sexe » de voir une bouche se remplir.

Ma queue s’alanguit et Abdou l’abandonne. Ses lèvres sont closes. Son regard rieur. Il avance sur moi, et sans que je m’y attende, il m’embrasse. Un baiser que nous n’avions jamais échangé. Mais un baiser forcé où il fait couler de sa bouche mon propre sperme.

Content de lui, alors que je suis bien obligé d’accepter de boire ma liqueur, il ajoute :

 

— La prochaine fois, je vais te gicler dans la gorge.

  lire l'histoire en entier :   http://revebebe.free.fr/histoires/rvb179/reve_17964.html

 

Par PAUL - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 10 octobre 2 10 /10 /Oct 00:49

    et puis plus rien "comme on fume un cigare" . Freud nous voyait tous bisexuels : les choses ne sont sans doute pas aussi figées que des siècles de croyances obscures nous ont laissé  croire...

sexualité: Pourquoi certains hommes hétérosexuels sont attirés par d'autres hommes
Publié par un psy de l'équipe de Mr Gay Europe
 

  a-cause-1 à titre d'illustration  

  le film : Vincent est-il homo, bi ou essaie-t-il simplement de satisfaire une curiosité naturelle que nous éprouvons tous envers l’autre sexe à l’adolescence ? (bien que certains vous le nieront toujours, par crainte ou pour ne pas blesser leur égo). En effet, qu’on soit gay, bi ou hétéro, qui ne s’est jamais demandé « comment c’est avec l’autre ? devrais-je essayer ? ». Certains franchissent le pas pour tester, pour d’autres cela permet de conforter une position déjà existence et finalement pour le reste, cela ne reste qu’un fantasme qui ne sera jamais réalisé et parfois oublié ensuite.

  HOMO, HETERO, la valse des étiquettes (bi, trans, etc ! ) et si tout ça était inutile quand un homme réputé hétéro peut s'éprendre d'un autre homme, bien au-delà de la simple eamitié ou de l'admiration  


 

L'auteur de l'article, psychothérapeute, parle :

 

: "J'ai récemment écrit un article de blog sur le clip de la chanson de l'auteur-compositeur-interprète Steve Grand, "All-American Boy". On y voit un homosexuel tomber amoureux d'un hétérosexuel et échanger avec lui un baiser furtif. Dans mon billet, je me demandais comment un homo peut être attiré par un hétéro, mais cette question en amène une autre : comment un homme hétérosexuel peut-il être sentimentalement ou sexuellement attiré par d'autres hommes ? Pourquoi l'hétéro apparaissant dans le clip en vient à rendre le baiser ?

 

Voici un scénario très fréquent : un homme entre dans mon cabinet, sur les conseils de son thérapeute et des livres sur le coming out qu'on lui a donnés. Il m'explique que son thérapeute a tenté, sans succès, de lui faire révéler son homosexualité ou sa bisexualité, mais bien qu'il ait eu des relations sexuelles avec d'autres hommes et visité des sites pornos gay, il insiste sur le fait qu'il n'est pas gay. Il dit ne pas être homophobe non plus ; s'il s'avérait en effet qu'il était gay ou bisexuel, il l'accepterait sans problème, mais le fait est que l'étiquette ne lui semble pas appropriée.

 

Au cours des trois dernières décennies, en réaction aux idées préconçues et aux comportements homophobes, le vent a tellement tourné que la thérapeutique et le politiquement correct veulent qu'un homme qui a des relations sexuelles avec des hommes soit "dans le déni" et ait besoin d'aide pour reconnaître et accepter son "véritable" penchant homosexuel. Le fait est qu'aucun des deux extrêmes ne correspond au ressenti de bon nombre d'hommes. En réalité, beaucoup d'entre eux, qui ont des relations sexuelles avec des hommes, ne sont pas gays ou même bisexuels. Les hommes homosexuels ou bisexuels en viennent à développer une identité gay ou bisexuelle. Ce n'est pas le cas des hommes en question, bien que leur situation psychologique et émotionnelle corresponde aux premières étapes vers le coming out.

 

Lorsque j'écris sur les hommes hétérosexuels qui ont de l'attirance, voire des relations sexuelles, avec d'autres hommes, je reçois bon nombre de réactions négatives, en particulier de la part d'homosexuels qui ont vécu dans le placard, tâchant de se convaincre de leur hétérosexualité, allant parfois jusqu'à se marier avec des femmes. "Vous ne laissez pas ces hommes sortir du placard, vous leur faites du mal !", me crient-ils. Mais ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que je ne m'adresse pas à des hommes comme eux. Eux rejetaient une identité : une image sexuelle et romantique de l'homosexualité. Ce n'est pas à ce genre d'hommes que je m'adresse.

 

En 2008, j'ai lancé(1) un site et un blog ouvert à toute personne désireuse de lire, poster des commentaires ou discuter sur le sujet des relations entre hommes. On y explore les nombreuses raisons qui font qu'un homme a des relations sexuelles avec un homme. Seules quelques unes d'entre elles ont à voir avec l'homosexualité ou la bisexualité.

Bon nombre d 'hommes ont des relations avec d'autres hommes pour de multiples raisons que je vais tâcher d'analyser pour vous. En voici quelques unes :

 

*Répercussion d'une agression sexuelle lors de la petite enfance (ou "acting-out") : on appelle aussi ce phénomène "l'empreinte homosexuelle". Il concerne des hommes hétérosexuels, qui n'ont pas d'orientation homosexuelle. Ils ne désirent pas sexuellement, ou ne sont pas excités, par d'autres hommes. Cependant, ils reproduisent compulsivement l'agression sexuelle qu'un homme leur a fait subir dans leur enfance au travers de leur comportement avec d'autres hommes. Si un garçon hétérosexuel est agressé par un homme de son entourage, il se peut qu'il "retourne sur la scène du crime" afin de désamorcer sa douleur émotionnelle ou s'en désensibiliser. Quand le traumatisme de départ est effacé, le comportement "homosexuel" cesse. Il ne s'agit pas d'homosexualité, mais d'agression sexuelle.

 

 

*Prostitution ou "escorting": des hommes hétérosexuels ont des relations avec d'autres hommes pour la récompense financière, mais ils n'ont aucun désir pour les hommes et sont attirés par l'acte en lui-même, pas par l'homme. Il est n'est pas rare, dans l'industrie du porno ou du sexe en général, que des hommes hétéros ayant des relations sexuelles avec des hommes soient mieux payés que s'ils le faisaient avec une femme.

 

 

*Recherche d'expériences excitantes mais personnellement humiliantes et peu avouées ou avouables (utilisation d'un godemichet, "bondage", etc.) : certains hommes sont fascinés par des pratiques sexuelles que beaucoup considéreraient comme "homosexuelles". Afin d'éviter d'être catalogués comme tels par des femmes, ils recherchent plutôt des hommes, qu'ils estiment plus "compréhensifs".

 

 

*Première expérience sexuelle : parfois des hommes hétérosexuels ont des relations avec d'autres hommes, surtout dans l'adolescence et/ou dans les premières années de l'âge adulte (jusqu'à 25 ans), pour l'expérience ou pour satisfaire leur curiosité.

 

 

*Disponiblité/opportunité : il s'agit d'hommes ayant de gros besoins sexuels et qui sont facilement excités. Ils passent à l'acte avec des hommes pour le soulagement sexuel et physique, qui peut être rapide et facile et leur permet d'éviter d'avoir à s'engager sentimentalement.

 

 

*Rancune envers le père : des hommes hétérosexuels qui recherchent l'affection et l'attention de leur père, peuvent avoir des relations sexuelles avec des hommes afin d'obtenir cette "nourriture"masculine à la fois spirituelle et sensuelle.

 

 

*Attirance physique pour les hommes, mais attirance émotionnelle/amoureuse pour les femmes : il s'agit d'hommes attirés sentimentalement par les femmes et qui sont en général en couple avec des femmes. Ils peuvent avoir des relations sexuelles avec les femmes qu'ils aiment, mais sont principalement excités sexuellement par les hommes.

 

 

*Narcissisme : certains hommes hétérosexuels sont très égocentriques et ont un besoin constant d'attention et d'acceptation ; ils utilisent la sexualité avec les hommes pour être idolâtrés et adorés.

 

 

*Addiction sexuelle : un comportement "gay" peut être la résultante d'une dépendance au sexe. Mais même un accro au sexe "guéri" peut encore se sentir attiré par les hommes, à l'instar d'un prêtre gay célibataire.

 

 

*Adultère : voilà des hommes qui prennent plaisir à fantasmer sur l'idée - ou la réalité - de leur compagne en plein ébat avec d'autres hommes, soit devant eux, à côté ou en ayant conscience de ce qu'il est réellement en train de se passer. Ils sont souvent excités sexuellement par l'humiliation qu'ils ressentent en constatant qu'un autre homme, plus puissant et mieux bâti, procure du plaisir à leur compagne. D'autres hommes prennent plaisir à avoir des relations sexuelles avec une femme devant son partenaire, ou du moins en sa connaissance. Parfois ils passent à l'acte avec l'homme, mais seulement en présence de sa compagne.

 

 

*Exhibitionnisme : des hommes hétérosexuels prennent plaisir à être regardés, que ce soit par des hommes ou par des femmes. L'important est que l'on admire leur corps. Une bonne partie d'entre eux font de l'exercice et présentent une belle musculature et apprécient l'attention érotique que leur portent les hommes gays. Ils en arrivent même à flirter avec des hommes pour les inciter à plus d'admiration.

 

 

*Soulagement sexuel en prison : c'est le cas d'hommes hétérosexuels ayant des rapports avec d'autres hommes en prison. Seuls les hommes leur procure un soulagement parce que seuls les hommes sont disponibles. Suivant le cas, une fois sortis de prison, ces personnes n'ont plus de relation sexuelle avec des hommes.

 

°°°Il ne s'agit, ci-dessus, en aucun cas d'une liste exhaustive des raisons qui mènent un homme à passer à l'acte avec un autre homme. Quoi qu'il en soit, il est primordial de fournir à tout homme ayant des relations sexuelles avec des hommes des informations sur l'homosexualité, la bisexualité et le processus d'un coming-out, ainsi que sur les agressions sexuelles, la dépendance au sexe, les problèmes familiaux et les problèmes de comportement qui pourraient conduire au désir d'avoir des rapports sexuels avec des hommes. Cependant, seul l'homme concerné est en mesure de décider si son attirance pour les hommes est le début d'une marche vers le coming out pour un mieux être, la marque d'une agression sexuelle ayant eu lieu pendant l'enfance, une addiction au sexe, ou tout autre type de réaction. Peut-être est-ce aussi qu'un homme peut simplement vouloir, de temps en temps, une relation sexuelle avec un homme et que ça ne veuille rien dire de plus. A ce qu'on dit, Freud aurait déclaré : "Parfois un cigare n'est qu'un cigare !" (cela n'implique pas une addiction ! ndlr )

 


NOTES : (1) Straight Guise

 


  commentaire :  " ...ouais les mecs, combien de gars, depuis qu'on était ados, nous ont baisés ou l'inverse, en jurant les grands dieux qu'ils n'étaient pas gays ...eux ! "(Alter_Native)  

 

"Et si on ferme les yeux, il arrive quoi ? "

Afficher l'image d'origine   (post de Jojo) 

 


 

Par MRGAYEUROPE - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 8 septembre 5 08 /09 /Sep 04:33

     nos femmes ne sont pas toujours là  ! et on a tracé une ligne de démarcation : nos amours restent secrètes car, ni l'une ni l'autre, n'est prête à l'amour à trois, mais on est heureux comme ça car on fait l'amour quand on veut      

 

 

    Bearded boy with backwards hat and beer.

  J’ai 28 ans, plutôt bcbg et je vis en couple avec  une fille du même âge. Je me considère bi car j’ai de temps en temps des plans sexe avec des mecs, en cachette de ma copine. Même si je ne suis pas attiré par les hommes, j’aime être soumis à un homme plus mûr, et me faire sodomiser par une belle queue m’excite énormément.

J’ai déménagé un mercredi du mois de juillet dans une ville bourgeoise de la banlieue parisienne dans un immeuble avec 2 appartements par étage. Lors de notre déménagement,  j’ai croisé notre futur voisin dans l’ascenseur. On s’est arrêtés au même palier j’ai tout de suite deviné et qu'on était tout voisins et que le matage de mon jeune corps n'avait rien d'innocent. On engage la conversation à la sortie de l’ascenseur. Il s’appelle Gérard la quarantaine, pas très grand, pas encore bedonnant,  75/80 kg, trapu avec des bras de bûcheron et des mains assez épaisses et calleuses d'un travailleur manuel. Marque de virilité : son front est un peu dégarni. C'est pas le gars qui m'aurait donné un coup de foudre, mais pour les coups de foutre, là ça va.   

on est sans tabous et totalement cool : ne voilà pas qu'il me sort, après m'avoir baisé : " con ! je t'ai tellement rempli que mon foutre te sort par les oreilles ! "(conséquence de sa faciale au fina)l   

 

Il fut direct  : il me tenait.   - « J’ai vu ton profil sur un site gay et je sais que tu aimes les mecs murs et directifs … Je vais m’occuper de toi ! »
 et il commence à m’écarter les fesses et me caresser la rondelle.
-        « tu dois faire une erreur et me confondre avec quelqu’un d’autre ! »
-       « aucun doute possible. Un copain m’a assuré qu’il t’a baisé il y a à peine un mois, il a reconnu la plaque de ta voiture »….
La honte et l’idée qu’il puisse en parler à ma copine me coupe le souffle. Je ne sais plus quoi répondre...

 


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Par LES LES MONTAGES DE claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 22 août 2 22 /08 /Août 06:30

           Il est hétéro marié et ...passif !    

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         ça existe !

Beaucoup d'homosexuels eux-mêmes peuvent refuser de le croire Beaucoup de femmes non lesbiennes pourraient refuser d'envisager la chose ou même nee pas l'imaginer possible. Mais ils existent: les hommes hétéros (les hommes attirés par les femelles, auto-identifiés sexuellement ) qui apprécient grandement d'être passifs(et donc  partenaires réceptifs pendant les relations anales).

Mon ami Matt n'arrivait pas à trouver une explication valable pour tous les gémissements et les
sons aigus, nasillards, martelés, un instant solennels ou arrêtés, des trémolos, des bêlements  provenant de la chambre de Lisa. La voix extatique du petit ami de Lisa résonnait dans l'appartement pendant des heures interminables. Matt, qui a toujours eu une vie sexuelle - homosexuelle- sans complications, très saine en somme, était quelque peu intrigué par ce qui ressemblait au triomphe d'un plaisir glorieux. Il y reconnaissait quelque chose de familier, comme une révélation possible dans l'épanouissement vocal du petit ami de Lisa, à son rythme, à ses hésitations. Matt et Lisa étaient  bons amis, alors, lorsque la curiosité l'a emporté sur ses interrogations, il l'a interrogée directement sur les réalités de ses pratiques sexuelles. Lisa lui a expliqué que son petit ami aimait "avoir du sexe anal" (ce n'est pas exactement ce qu'elle a dit, mais plutôt en avoir un dans le cul" ou se "faire mettre"). Pour être précis, il aimait - même adorait - que Lisa porte un gode-ceinture et qu'elle le pénétre.       

          Autrefois diabolisé, le sexe anal est de plus en plus fréquemment avoué dans les couples hétérosexuels. Après des siècles d'existence secrète et volontairement ignorée c'est l'épidémie de VIH / sida qui  les a révélés aux médecins, et a forcé les gens à reconnaître les rapports sexuels anaux chez les hétéros . Les couples hétérosexuels qui ne le pratiquaient pas encore ont découvert le sexe anal comme la prochaine option de pointe pour l'amour coquin ; l'industrie du porno a mis en lumière son intérêt, les adolescents et les jeunes adultes ont commencé à avoir des relations sexuelles anales comme une autre forme de contraception que la pilule ou le préservatif pour éviter de faire des bébés. En d'autres termes, les trois dernières décennies nous ont appris que le sexe anal ne devrait pas être associé exclusivement à l'homosexualité masculine. Cela a cessé d'être vrai  dès l'instant où le gode ceinture utilisable par une femme a existé,   lorsque  un homme actif hétéro pouvait être pénétré par l'anus par  une femme.

Le"Pegging", défini comme la pratique sexuelle dans laquelle une femme pénètre l'anus d'un homme avec un gode-ceinture, est resté un tabou. C'est une éventualité entourée d'incrédulité. Beaucoup d'homosexuels regardent avec suspicion, (ou avec espoir ?), ces "hétéros" bizarres qui aiment être pénétrés. Beaucoup de femmes les regardent perplexes et en pleine incompréhension. Contrariés dans leurs goûts sexuels, ces hommes finissent par réprimer leurs désirs, en forçant leur sexualité vers le stéréotype qu'on attend d'eux, la soi disant "essence" de leur masculinité.
       

 

Prenons un peu de recul. Et d'abord, pourquoi la pénétration anale est-elle agréable ? Les régions anales et rectales ont de nombreuses terminaisons nerveuses qui peuvent créer du plaisir lors de la pénétration. Un plaisir supplémentaire peut être produit par la chair d'un pénis ou d'un pénis artificiel, qui se hausse et se frotte à la prostate chez les hommes ou par une stimulation indirecte du clitoris à travers le rectum chez les femmes. Beaucoup d'homosexuels apprécient le sexe anal ; vous en trouverez d'autres qui ne l'aiment pas du tout. Beaucoup de femmes trouvent cela stimulant, tandis que d'autres le trouvent horrible ! En fin de compte, les terminaisons nerveuses n'ont pas vraiment d'identité de genre ou d'orientation sexuelle. Par conséquent, il n'est pas absurde de penser que, bien que de nombreux hétérosexuels ne puissent même pas commencer à imaginer des relations sexuelles dans lesquelles ils seraient pénétrés, laissons ceux qui lui trouvent ou lui ont découvert, un intérêt un plaisir, y aspirent de plein droit, l'adorent et le pratiquent avec joie.       
          
Le problème principal est, une fois de plus, la communication, les préjugés sociétaux qui ligotent beaucoup d'individus.  Il ne semble pas facile à un mari de demander à sa femme: "Dis donc chérie, et si tu mettais ce gode et me pénétrais m'enculais  ce soir?" Pouvez-vous imaginer un homme proposant avec enthousiasme que sa copine aimée lui asse un anulingus ? Il y a trop de variables impliquées: les normes sociétales, la façon dont on conçoit l'estime de soi, le concept éducatif que l'on a reçu enfant concernant la masculinité, et ne parlons pas des directives morales venues de la religion...
 
 
 
Ben a eu un mariage très réussi : un merveilleux couple, un appartement fantastique à Brooklyn, une carrière brillante et de nombreux projets d'avenir. La connexion sexuelle de Ben à sa femme était bonne, mais il ne pouvait pas s'exprimer sur son intérêt pour les relations sexuelles "mal vues". Il avait peur d'effrayer son épouse, la décevoir. Quelques années plus tard, il a commencé à voir une prostituée qui portait un gode-ceinture pendant leurs relations sexuelles. Quelques mois plus tard, le mariage était cassé. Ben est maintenant divorcé. Il paye occasionnellement pour pratiquer le sexe comme il l'entend. Il dit qu'il n'y a pas une seule journée sans qu'il pense à sa femme et à ce qui aurait pu être. Beaucoup de femmes transgenres travailleuses du sexe non opérées expliquent qu'il y a beaucoup d'hommes mariés qui paient vraiment de l'argent pour avoir des relations sexuelles où ils se font prendre par des femmes ou des trans, que ce soit avec un vrai ou un aux pénis et qui, elles, ne remettent pas en cause leurs besoins d'être pénétrés.

En l'occurrence, lorsque les humains ont besoin de quelque chose de façon intime et profonde, ils trouveront un moyen de l'obtenir. Si des hommes se sentent honteux ou même dans l'incapacité de discuter du sexe anal réceptif avec leurs partenaires féminins, ils finiront par le chercher dans des coins sombres. Le sexe anal, il est absolument conseillé de le pratiquer avec une grande tranquillité d'esprit.

N'est-ce pas que nous devons parler de sexe, de toutes sortes de rapports sexuels, d'envies et de curiosités ? C'est le premier pas vers une vie nouvelle  saine et épanouissante, y compris une vie sexuelle heureuse et équilibrée. La répression et le silence créent souvent des monstruosités et des excès.

D'ailleurs, essayez la sodo : vous pourriez l'aimer.

"Lisa, la colocataire de Matt, était une "active" très heureuse et récompensée de ses soins".
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 Renato Barucco on Twitter d'après le HUFFPOST      

      “Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit.” (Oscar Wilde, extrait du Portrait de Dorian Gray)    

Par KEENAN - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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