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Vendredi 26 juillet 5 26 /07 /Juil 07:11

...et ce que je ressens à votre égard, mes frères gay et bi...merci ! ça me donne envie de m'exprimer encore !  et que vous me fassiez quelques coms' 

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_Kevin-Nico-Moi.php

Kevin, Nico et moi

Ça me revient soudain que c’est Kevin, dit Kéké pour les potes, qui m’a baisé ce matin, après M. Santos, mais avant M.Blanc. Il a l’air vraiment heureux de me voir.

Je suis dans la piscine entre mes longueurs de mise en forme, je me repose un court instant pour souffler, et, soudain, c’est un cataclysme en quelque sorte quand il y a ce bel — et stupide — boulet de canon dans la piscine juste à côté de moi. Je cesse d’être en colère dès que je vois que le projectile humain c’est Kéké, qui m’a baisé ce matin, après M. Santos, mais avant M. Blanc. Vous me jugerez mal si vous pensez que je suis pute. Kéké a l’air vraiment heureux de me voir. Il dit « Alors, mon pote ! » Et il sautille un peu, ce qui est mignon. Je peux voir ses pectoraux sautiller et ils ont fière allure. L’eau coule de sa petite barbe et il secoue la tête comme un chien heureux. Il est tellement mignon pour un mec. Il m’attrape sous l’eau, comme s’il avait vraiment besoin de me toucher et affirmer un droit de propriété. Il ne me saisit pas ou quoi que ce soit, mais il me fait du « rentre-dedans » et me caresse, et tout se passe très vite, mais je peux en déduire que c’est parce qu’il est tout excité et a déjà oublié qu’il s’est vidé les couillles en moi ce mat’, et c’est vraiment amusant.

Soudain il y a une autre énorme éclaboussure et un gars canon a sauté juste derrière moi. Il y a aussi une balle qui flotte dans l’eau. Le gars se lève, secoue la tête comme un fou, c’est un grand gars, comme Kevin, mais une version plus grande encore. Il a une sorte de barbe en désordre, à la mode, et je peux d’emblée dire qu’il a un corps de taureau de premier ordre, avec de grandes épaules, des pectoraux généreux et de beaux bras. Je ne peux pas en dire plus, à part un sourire vraiment très amical et fou. « Hé, dit Kéké, c’est Nicolas (Nico) qui m’agresse ! ».

Kevin dit à Nico en rigolant : « Mec, j’étais pas tout à fait prêt. »

« Je sais, la traitrise est ma première qualité » dit Nico. Et il rigole.

Ils me sourient et rigolent tous les deux. Ils sont vraiment sympathiques, mais je ne suis pas sûr de ce qui se passe. Puis Nico dit : « Tu veux jouer au ballon ? »

Un panneau de mini-basket est installé sur le bord de la piscine. Avant que je puisse dire, « Bien sûr ! » ou « Non, merci ! » —, Nicolas essaie déjà de faire passer le ballon dans le cerceau.

Il est évidemment bien meilleur que moi au basket, mais moi c’est en natation que je me distingue ! – lol —, Je récupère le rebond et frappe le panneau arrière, mais il rebondit, puis Kéké est sur moi. Il récupère le ballon et tire, mais pas avant qu’il ne m’ait fait une caresse furtive à tâtons. C’est son audace que j’aime ! le sport, et en particulier le basket, autorise les attouchements « en douce'et les confidences coquines…

« C’est pas juste ! » je crie.
– » C’est quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire par « pas juste » ? dit Kéké absolument ! ce n’est pas juste ! Vous êtes tous les deux plus grands que moi pour commencer, pourquoi je pourrais pas être plus grand que vous ? « Et on éclate de rire.
Nico rit et nous charge, presque à nous bousculer.
“Repasse-moi la balle !” Dis-je à Kev ». Il le fait et, pour la première fois, je marque un panier.
« Super ! » Crie Kevin, « AhhOooOuaishhhhh! »
Au lieu d’aller chercher le ballon, Nico nous attaque et nous tombons. Et je me retrouve à nouveau serré dans ses bras en même temps. Je suis en quelque sorte pris en sandwich entre eux et je sens que je mouillerais mon Speedo si j’étais pas déjà dans la flotte. Nous rentrons tous en riant et Kevin me demande : « ça va p’tite tête ?

Je hoche la tête — « Bien sûr ! »

- « Tu passes un bon moment ? »

- « Ouais, ouais. »

Kéké regarde Nico et dit : « Tu veux pas aller nous chercher des boissons ? »

Nico a l’air confus pendant une fraction de seconde, puis dit : « Ah oh euh OK, bien sûr ! » Kev' doit vouloir que nous restions seuls un moment.
Kevin nage après le ballon, puis nous nous faisons face.

Il dit : « Je veux… que tu saches quelque chose… » Il fait une pause, attrape mon regard et je le regarde. “Je connais Nico depuis toujours et il est dans le même « bateau » que nous. Sur le même bateau, ah ah, rit-il. ‘Et - et quand nous nous sommes rencontrés aujourd’hui, il s’est rendu compte qu’il devait y avoir une raison pour laquelle j’étais… de si bonne humeur. Alors moi je le lui dis :
“tu venais de me baiser, voilà tout ! »

puis, brusquant les choses :

- “Tu veux que je quoi ? au juste ? ».

–” C’est un bon gars, au départ hétéro. » dit-il évasivement

- ‘Tu veux dire qu’il n’a pas aimé, euh l’énormité de tes… « caprices » ?’

‘Un peu au début, puis j’ai continué à lui montrer à quel point ce que nous

faisions était génial et il a eu…, eh bien, disons, maintenant il est vraiment curieux de tout.

– « C’est bien l’impression que ça m’a fait » dis-je, et, tout en jouant, mon petit trou se contracte à la pensée que Kéké lui a fait ce qu’il m’a fait à moi aussi si vous voyez ce que je veux dire ! – lol —.

–’Mon avis est que tout homme peut évoluer, je crois qu’il est (ah laissez-moi repenser à nos découvertes et nos bons moments avec Kev)
- « Toi, tu l’aides, à s’éclater, non ? Et surtout tu lui montres à quel point c’est bon. Tu sais faire ! » Kevin essaie de paraitre inquiet. « J’insiste : il a vraiment, vraiment besoin de s’envoyer en l’air. »

– « OK, » ‘mais ce n’est pas mon problème ! “je souris,

Il semble confus et déçu. Il me dit : « Je pensais… que, comme tu avais été… un si bon sportif avec lui tout à l’heure, tu cherchais son contact… »

« C’est ça que tu veux ? Que je baise avec ce gars ? »

Il a l’air pris de court par ma franchise.

Je hausse les épaules. ‘Toi tu m’as baisé parce que tu étais, allez, disons, spécial. J’ai eu envie. Je pourrais dire, en quelque sorte, que je ne suis pas une pute ! Mais tout ce que je sais de lui, c’est qu’il a voulu me noyer en faisant semblant de rigoler. — lol —

“Non, mec, c’est un bon gars. Je le connais depuis que nous avons fait le lycée ensemble et il a une très grosse envie de toi.

Je prends une profonde inspiration, pas tout à fait un soupir.

Kev dit : – “Je le connais bien : au lycée il a joué au centre avec moi et il est maintenant autoentrepreneur en entretien de parcs et jardins (aménagement paysager). Oh, mais je devrais te prévenir, euh…” il rougit fortement : « il a une, euh, euh, euh… »

« Quoi ? »

Nous parlons à voix basse, mais maintenant il murmure : « Il a une bite vraiment grosse. »
Tout de suite mon imagination file au pas de course : il y a une grosse secousse dans mon Speedo, mais je reste calme et j’essaie d’avoir l’air inquiet, LOL.

« Est-ce que ça va », dit-il, « où est-ce que j’ai cassé l’affaire ? »

Oh mon Dieu, je ris en moi-même. Je dis : – ‘Euh, je ne sais pas, mec. Je ne le connais toujours pas « de ce point de vue ». — lol — ‘

“Je te l’ai dit, c’est un gars bien. Allez, mec, donne-toi, aide-le. Fais-le pour moi. »

Je suis toujours réticent. « Et ça se passe où ? »

Il a une réponse toute prête — « ha, ha. Sa chambre. Nous allons avoir un créneau de deux heures cet après-midi. Pour ma part, ma femme fait des courses et lui il est libre comme l’air »
Je fais une petite grimace et je ris.

- « Allez, s’il te plait ? » Il plonge sous l’eau et dissipe mes doutes en me tapotant les genoux. Je pose ma main sur sa poitrine pendant une seconde et le regarde en face.

‘Peux-tu être là ? Je veux dire, pendant qu’on le fait ? Je vais le faire, ok… si tu es là, alors je me sentirai en sécurité. » Et mon imagination court en tête de plus belle : il a dit « grosse », mais grosse comment ? Comme ça ?
Maintenant, c’est au tour de Kev' de paraitre choqué. - « Ce serait bizarre que je sois là, non ? j’espère que ça va pas l’arrêter… »

Je mets les points sur les i : « Je ne le ferai que si tu es là. »

À ce moment-là, Nico revient avec des boissons. Je lève les yeux et jette un coup d’œil à son short. De grandes jambes et beaucoup de lourdes promesses entre elles… là où ça compte. Il a apporté trois jus de fruits, mais l’un a une paille verte. Il me le tend.

« Celui-ci est vierge », dit-il allusivement.

« Pas celui-là », dit Kev en me montrant du doigt.

Ha ha.

Nous sirotons nos boissons. La mienne a bon gout, un peu comme un smoothie ananas-noix de coco.

Nico me sourit. Il a l’air embarrassé et regarde ailleurs. Puis il murmure à Kev : « As-tu ...? »

Kev prend une grande gorgée de son verre et sourit. ‘Marché conclu ! “Dit-il tout haut à Nico. « Ce sera une excellente après-midi ! »

Nico me fait le meilleur des sourires, larges, heureux, enthousiastes, gêné quand même, mais content que Kev lui ait arrangé le coup.

“Tu es vraiment partant pour ça ?” me demande Nico.

Je hoche la tête et rigole. “Oui, mais…”

Kev se penche vers lui : “Il y a une condition.”

“Bien sûr, peu importe.”

“Il veut que je sois là.”

“Oh.” Il semble soufflé. L’affaire serait-elle compromise ?
Contrairement à leurs déconnes précédentes, ils sont maintenant plus sérieux et sont visiblement partants. Mon cœur va défoncer ma poitrine ! Alors que nous finissons nos boissons, ils se regardent tous les deux avec un énorme sourire, puis ils ont l’air sérieux, puis leur sourire énorme revient. Je me sens bien parce que je pense que leur sourire est à propos de ce qu’il va se passer avec moi. Manière de dire qu’il est très content de moi, Nico me parle de ma façon de plonger. Et il est plein de compliments.

“Je peux te dire que tu t’entraines bien et que tu es un grand nageur”, dit-il. “Je suppose que les installations ne sont pas à ta mesure ici.”

“Non”, je suis d’accord, mais je dois passer un mois en stage pro à Nice.”

Bientôt nos boissons sont finies. Je retourne dans ma chambre pour un peu de préparation et quelques fournitures. Ils n’ont pas de lubrifiant et apparemment il va en falloir ! LOL.

Mon esprit me dépasse à une centaine de kilomètres à l’heure lorsque je me dirige vers la chambre de Nico. Je n’ai jamais rien fait avec deux gars auparavant, surtout pas avec deux hétérosexuels. Je suis un peu intéressé dans la mesure où ça va être un nouveau plaisir et une bonne expérience, LOL.

Quand je frappe à la porte, Kéké est là et répond en disant : « Mot de passe secret ? »

« Putain si je sais ! », dis-je.

« Ça me semble le bon MDP ! », rigole Kev en ouvrant la porte.

Lui et Nick ont tous deux une bière à la main. Ils ont mis une serviette sur le lit et trois shorts de « surf » secs sur une chaise, mais à part ça, rien.

« Alors, comment on fait ça ? » Demande Kev ».

Je me dirige vers lui et lui mets une pelle. « Comme ça ! »
« Pas de souci, on y va, dit Kev s’essuyant la bouche, débordant du même enthousiasme qu’il avait ce mat’ pour me baiser
‘Uumhhh, » fait Nico en avançant les lèvres. Pour entrer en matière, je lui réponds par une pelle bien baveuse et profonde. Ainsi les choses sont claires et sans discours inutiles.

‘Et là ? dit Kev

« Oui mec, on se désape », dis-je, montrant ma détermination…’ Alors ? » Aucun ne dit rien, ils sont muets à me regarder, regarder tout mon corps. « Regarde ça. » Je me tourne vers Kev et je pose ma main sur sa poitrine et je me penche vers lui et ma bouche trouve la sienne. Dire qu’il est gêné, non, mais après un temps il ouvre la bouche et me glisse un peu de sa langue, et une seconde plus tard, il m’embrasse correctement, comme je le souhaite. Son bras passe autour de ma taille et sa main coule sur mon côté, palpant mon corps. J’arrête le baiser et je me tourne vers Nico et lui dis : ‘Un peu comme ça. À moins que tu ne saches pas faire ça.

Nico dit : « D’accord » et a l’air décidé, mais il s’approche de moi et se penche, très déterminé, et pose sa bouche sur la mienne. Je travaille sa bouche ouverte et cherche sa langue. J’ai les mains sur ses tempes et j’apprécie qu’il ne se dérobe pas. Ensuite, je trouve ses mamelons sur ses gros pectoraux carrés et je les pince doucement en les faisant rouler entre mes doigts. Il aime ça et sa bouche s’ouvre et whoa ! sa langue est dans ma bouche tout du long, grosse, épaisse, la remplissant presque complètement.

J’ouvre ma bouche plus largement et je commence à lécher et sucer sa langue puis nos langues vont et viennent entre nos bouches et je peux sentir ses mains me tirer en position pour que je sois mieux placé pour un baiser. Puis sa main sur mon dos me tire plus près et son autre main monte et descend de ma colonne vertébrale, s’abaisse, se rapproche de mes fesses.

C’est un très bon baiser. Dès que nous nous séparons, je défais mon short et le laisse tomber. Dessous je porte un petit bikini. Je souris à Kev et défais son short. Il porte un boxer « Under Armour ». Je dois tirer son short pour le faire glisser. Bon sang, il a un bon gros renflement. Je me retourne contre lui et je tâte tout ce que je peux, sa grosse poitrine et son torse, ses épaules et ses bras. Et je l’embrasse encore. Cette fois, il s’intéresse davantage à la question, ses mains m’explorent. Et puis il dit : « Beau cul, mec ! »

Je lui souris. Maintenant je peux parler. Je continue à sentir sa poitrine. « J’aime ta force et ta taille. Tes pectoraux sont géniaux. »Je suce un de ses mamelons pendant une seconde, en le tapotant légèrement avec la langue avant d’aspirer une douce petite gorgée. « Putain, tu es chaud ! »

Son short est à ses chevilles, alors il le pousse d’un coup de pied, puis nous sommes de nouveau collés et il me met la main dans les fesses, les palpant et les serrant. Je peux sentir sa queue, le renflement est maintenant un tube épais distinct. Je passe mes mains autour de lui, le caresse et lui souris. Je ne simule pas mon enthousiasme quand je lui souris et lui dis : ‘Putain ! Tu as une queue de taureau ! »

A ce moment, il regarde Kev qui tient sa bière vide, mais se frotte distraitement l’entrejambe avec l’autre main.

« Je te l’avais dit », dit Kev à Nik' avec un grand sourire.

« Putain, pourquoi Jenny ne peut-elle pas me regarder comme ça ? »

Kevin lui sort : ‘Non, mec. Mais c’est le moment de « profiter ». »

Je pense que je tiens la main gagnante, mais je ne veux pas si eux ne le veulent pas. J’ai ma main sur sa queue bombée. « On peut arrêter si tu veux. Je peux y aller ? » La gorge serrée je presse doucement sa queue.

« Pas question d’arrêter ! » rugit presque Kev, comme s’il était le seul intéressé. « Pas du tout, les mecs, on le fait ! »

« Mmmmm », dis-je, en donnant une autre pression à sa grosse bite. C’est comme une canette de soda mais plus épaisse et plus lourde. Ses mains sont de retour sur mes fesses.

‘Ton cul est vraiment musclé, dit-il, rond et ferme.

En réponse je me frotte contre sa bite, sens ses pectoraux et mets ma bouche en place pour être embrassé. C’est Kev qui en profite encore, plus que je ne prévoyais, et m’embrasse, avec beaucoup de conviction et me fourre sa langue jusqu’à la gorge, puis il me dit à l’oreille : « Alors, comment on fait ça ? »

« Sur le lit », je souris.
Je baisse mon bikini et me penche pour le faire descendre, mais surtout pour montrer mon cul. Kev se tient là avec sa grosse buche dépassant de son short de bain qu’il tient par la ceinture comme pour l’enlever. Je lui demande « ça va ? » Va t-il céder à la tentation d’intervenir davantage ?

Il a l’air un peu désorienté. « Ouais. »

Je relève mon visage et me penche pour un baiser. Il ne me déçoit pas, et ce n’est pas seulement un baiser, c’est aussi un câlin, et aussitôt ses mains me prodiguent des caresses aux épaules et dans le dos.

« Je vais avoir besoin de ton aide, mec, est-ce que ça va ? » Murmurai-je. Je pense lui faire plaisir en lui demandant son assistance. C’est comme une cérémonie. Je veux que ce soit toi qui guides sa queue dans mon cul et que tu veilles à ce que je ne sois pas déchiré.

« Euh, bien sûr, c’est toujours ok », dit-il avec un mélange d’excitation et de nervosité.

Je me tourne vers Nico et souris. « Tu ne vas pas garder le maillot ? . »

Il hoche la tête, accroche ses pouces à la ceinture et baisse les 20 g de nylon qui cachent encore sa queue abaissée par la ceinture jusqu’à ce qu’elle soit libérée et claque sur son nombril. Putain, c’est gros ! très ! Mon petit trou émet un signe d’anticipation. Je prends mon short et le jette à Kev. « Le lube est dans la poche. Tu peux le sortir ? »

Je me retourne vers Nik ». Sa queue est tellement grosse qu’il semble qu’elle soit gênante, mais il ouvre les bras, puis il me prend dans ses bras et la grosse buche est pressée contre mon ventre. Il aime bien mes fesses qu’il tire dans ses deux mains et resserre nos corps. Je peux sentir sa queue battre contre mon ventre.

« Vous l’avez ce lubrifiant ? » Je demande.

‘Non, dit Nik.

“Oui, dit Kevin, ici même.

« Il va falloir qu’il soit vraiment bien lubrifié », dis-je sérieusement. « Kev, ça te fait rien de le faire ? »

Kev a l’air ahuri. « Nick peut le faire lui-même. Pourquoi ne peut-il pas le faire ? »

J’embrasse de nouveau Nik alors que Kev tient un énorme flacon de lubrifiant dans sa main et commence à en passer abondamment sur la bite de Nico.

« Que fais-tu là ? »

« Juste aider, mon pote », murmure-t-il.

Nik rit. En manière d’acceptation il dit : « Putain tu me fais du bien ! »
« Et moi je dis : Mets m’en bien dans le cul ! »
Je me recule, me couche sur la serviette et regarde fixement la bite de Nik qui balance devant moi, pratiquement dégoulinante de lubrifiant. Je lève mes jambes et lui dis de saisir mes chevilles pendant qu’il se redresse. Il me fait plier les pieds bien au-dessus de ma tête puis je dis à Kev : « Bon, tu vas devoir l’aider et le guider. »
« Quoi! »
« Mec, c’est foutrement gros, il faut que le centrage soit parfait, et Nick a les mains occupées à me tenir les quilles. »
« C’est trop bizarre. »
« Tu es comme le remorqueur qui aide à amarrer le paquebot en toute sécurité », je rigole.
‘Euh…
« Fais-le ! » Grogne Nico.

Kev attrape la bite de Nik. Puis, quand il la tient et qu’il voit où elle va, il s’inquiète soudain pour moi, LOL.

–’Es-tu sûr de pouvoir faire ça ? »
‘Je le pense. Si tu m’aides.
Ensuite, j’arrête de faire des plaisanteries et commence à prendre cela au sérieux, car la bite de Nik est vraiment grosse. Kev maintient et centre la grosse tête et Nik commence à faire pression. Kev me regarde et dit : “Vas-y, Nik vas-y.
Je hoche la tête en signe d’accord, mais dis : « Doucement svp ».
Oooooh. Il faut un réajustement mental au fur et à mesure que j’écarte davantage les jambes et ajuste progressivement l’angle. Oh putain ! elle est grosse. C’est comme un accouchement. Le bébé est gros ! Je peux sentir l’énorme tête étirer ma bague en tentant de passer au travers. Il y a beaucoup de résistance, mais Nik a 90 kg de muscles derrière son bélier. Je halète vraiment, ‘Ahhh ahhh!’
Je ne sais vous dire ce que je ressens à ce moment. C’est chaud et ça me remplit et m’étire au-delà de ce que j’ai jamais été rempli et étiré. Nik halète en même temps et Kevin dit : ‘Putain ! Bravo, mec, tu l’as fait !
Je ne sais pas s’il parle de moi ou de Nico, LOL.
Mais ce n’est pas fini : il en reste dehors « Hooohhh! » Une minute plus tard, je cherche toujours à m’ajuster à son diamètre alors que Nik continue à faire progresser son énorme queue en moi.
‘Ça va, mon petit copain ?’ Me demande-t-il gentiment en retenant son souffle.
Je hoche la tête, souris, et dis : ‘J’ai juste besoin d’une seconde de répit.’
‘Pas de soucis.’
Il arrête de pousser et je travaille à me détendre et à l’accueillir, pas à lutter. Quelque part dans ma tête, je dis : ‘Tu as déjà pu faire ceci, tu vas pouvoir faire cela, tu peux le faire.’
Nos yeux se croisent et Nik me sourit et, en proie lui-même à la jouissance, murmure : ‘C’est incroyable.’ Puis il se penche en avant et utilise ses épaules pour me tenir les jambes et met ses bras autour de moi et m’embrasse à nouveau. Ce n’est pas le plus grand baiser du monde, mais il commence à me murmurer : ‘Tu as fait ça pour moi mon pote, oui, tu as fait ça, merci ! et il me fait plein de petits bisous de tendresse. Tu es tellement putain, mec, je ne peux pas croire que je suis en toi, on est plus qu’un tu fais que ma bite soit si bien, tu es tellement serré et chaud, et tu fais que la bite de Big Nico soit tellement en accord avec ton petit cul chaud, il chante :

‘ohh ouais, on y va, c’est ça, ouvre-toi pour ton Nico, ouais, ouvre-le, ton petit cul chaud, ouais, ça ne va pas ? On se sent vraiment bien, n’est-ce pas ?

Tu es si chaud, oui’

Je suis presque sûr que mes yeux sont toujours grands ouverts, mais il me semble, en même temps que je vois ce qui se passe en gros plan ! je réussis à m’ouvrir un peu plus et il pousse de plus en plus et oh Doux Jésus, il est putain de gros et mes jambes sont écartelées et l’étirement est plus intense et OH SAINTE BAISE il frappe mon anus. Je veux dire, il ne fait pas que taper dessus, il est en quelque sorte roulé à la vapeur, et je peux sentir mon corps changer de sensations : ‘Oh, mon Dieu, ouais’, j’ai le souffle coupé.

‘Ouais ?’ Dit-il. ‘Tu aimes ça ?’

‘Oh putain, oui !’

‘Ouais ? Comme ça ? »Il insère plus. Davantage de roulage à la vapeur

"Ohhh ohhh ohhh!’

Ouais, c’est ça, tu aimes ça !’

Il fait de petits mouvements de balancement, chaque mouvement poussant plus loin. Mes fesses sont tellement compressées et écartées que ce n’est même pas drôle.

‘Tu crois que tu peux tout prendre ?’ Murmure-t-il, conscient de devoir m’épargner.

‘Oui ! Tout !! Il y en a encore ? « Je hoche la tête sans un mot, mes bras » étendant autour de lui.

‘Ohwouaishh, tu peux’, dit-il en me fourrant plus de sa grosse bite.

’ Ohhhh, » je halète, moitié plaisir, moitié douleur.

Il sort lentement à peu près à mi-chemin puis rentre à nouveau. Ahhhh ! Son énorme bélier frotte constamment tout le long de ma chatte de garçon ; je sens nos chairs brûlantes fusionnées. C’est plus qu’incroyable. J’ai l’impression que mon cul va atteindre l’orgasme. Nik recule et rentre à nouveau, et ohhhh, ahhhh, waouh ! Quelques fois encore et il commence à trouver son rythme. Je peux dire, que l’expression du gars change. Son regard est vitreux il doit voir flou comme moi. Cela frise toujours l’incrédulité, on est de vrais drogués sans drogue. Quand on commence à perdre le contrôle de quelque chose, quand on commence à ressentir ce qu’on espérait, mais qu’on avait peur de ne pas voir se réaliser, et que c’est maintenant que ça se produit et qu’on ne peut pas croire qu’on a autant de chance. Au moins c’est ce que je pense. Ce que je veux penser. Oh mon Dieu, ça fait tellement du bien, on commence à se sentir mieux que jamais, et oh mec, j’aime sentir cette force et la force de mes désirs.

‘Oh, oui, mec !’ grogne Nico, alors qu’il prend de la vitesse. ‘Oh oui ! Défoncer ton cul chaud ! Je me sens tellement bien !

‘Putain de merde !’ Dit Kev, que j’avais oublié, LOL. ‘Il l’a prise, il l’a prise complètement, toute ! . Putain, tu as une grosse bite, mec !’

Je jette un coup d’œil à Kev et je peux voir qu’il a son short de planche à voile déboutonné et que sa queue est bien tendue et qu’il tient son sexe bien serré, pas vraiment en train de se branler, mais bien en train de goutter du jus comme les bites salivent à leur manière.

Il regarde où en est l’action. Puis il commence à parler à Nik. ‘Vous êtes géniaux, putain de géniaux ! Je ne sais pas comment il l’a fait. Merde ! Ses fesses sont tellement serrées autour de ta bite qu’elles vont la retenir quand tu vas vouloir sortir, oh mec, ça doit être tellement serré, tellement bon…’

En réalité, Kev baisse la tête pour mieux voir, de près.

À ce moment-là, Nik commence à accélérer, il entame maintenant une série de coups réguliers qui me rendent fou. Je ne sais pas tout le bruit que je fais, mais Nico augmente constamment le rythme de son généreux ‘Allez, prends !’ qui correspond à chacun de ses coups, et la sensation que je vais jouir avec mon cul s’étire jusqu’à ne plus le supporter et souhaiter l’orgasme. Puis Nico se met — si c’est possible ! – davantage dans une position de piston et accélère vraiment et quelques secondes plus tard, je le sens venir. Moi pas encore tout à fait, LOL. Pour savoir quand le partenaire vient, parfois, je me fie uniquement à sa respiration et au visage du gars, et bien sûr à son effondrement. Eh bien là c’est ce que je ressens. Comme si ma fusée décollait ! De plus, il dit : ‘Oh Jésus, OHHH Jésus, OHHH !!!’ Hé, le sexe avec moi est une expérience religieuse, LOL.

Peu de temps après, Kevin s’éclipse en disant : ‘Oh mon Dieu, c’était génial, c’était génial. » Et il me regarde, incroyablement reconnaissant. Et il a la classe de demander, ‘ça va ?’ Avant de se retourner et de regarder le plafond, de reprendre son souffle. Va-t-il partir ? Je hoche la tête et je le suis du regard, mais, les amis, je me sens vide, juste capable de faire jouir mon mec, Nico. Son énorme bite m’a fait sentir si bien ma chatte de garçon. Aurais-je pu en faire plus. En donner plus je veux dire ? Puis je lève les yeux et vois Kev qui revient et s’approche avec ce regard plein d’espoir et d’excitation que je lui connais sur le visage sachant que sa bite sera parfaitement acceptée.

‘C’était tellement chaud’, dit-il. ‘Tu es tellement beau quand tu te fais baiser !’
Je le regarde et hoche la tête et souris.

Il est plutôt hésitant, ce qui est gentil, mais il ne faut pas se méprendre sur ce qu’il veut. ‘Ne veux tu pas que…’ il commence. ‘Puis-je, euh ?’

‘Mec, dis-je, viens ici. Le bonheur pour tous. »

Il est sur le lit très vite, et il n’hésite pas, il y va et il glisse sa bite en moi comme dans du beurre.

‘Ohhhh putain !’ Dit-il, ‘oh putain, c’est bon ! Mec, tu es tellement — tellement —…’

‘Réchauffé ?’

‘Ouais, oh putain, tellement chaud !’

‘Donne-moi cette bite dure !’

‘Oh oui ! Tu l’as, mon pote ! Oh, mec, ton cul est tellement bon. C’est resté serré et lisse, mais plus facile, c’est comme une parfaite putain oh oui !

Nicolas est toujours allongé sur le lit à côté de nous et il se déplace pour nous donner plus de place. Il regarde, je peux dire qu’il est intéressé. C’est un bon signe, LOL.

Kevin prend son temps un moment, caressant tout le long du chemin, remuant le moins possible ses hanches pour s’assurer qu’il est calé aussi profondément que possible, puis s’extirpant presque complètement avant de glisser à nouveau aussi lentement que possible et éprouver le velours de mon fourreau et son pouvoir magique. Il peut voir que je l’aime, je peux dire que j’ai une sorte d’expression délirante, très délirante, et je sais qu’il le voit à la façon dont il reprend son sourire ironique. Oh, mec ! J’aime la façon dont sa queue glisse si facilement, et frotte toujours tout comme je le veux. Puis il commence à prendre de la vitesse. Il ne s’arrête pas quand il se retire, et la rentrée est de plus en plus rapide, et bientôt c’est une putain de pompe à vapeur.

Kev se sert de ses hanches et de ses abdominaux pour pousser maintenant, il est plus sportif que Nik, pas aussi écrasant, mais tout aussi bon. Et mon cul est le centre spatial de réunion de leurs bites et je n’oublie pas que c’est grâce à Kev, LOL.

‘Putain de cul, petit pote, putain de cul parfait !’, Grogne Kev en me bourrinant, en me comblant. ‘Oh, OUAIIIIISSSS !’ Il y va et il m’emmène bien loin avec lui. Je me sens comme si nous étions en finale de Rollan Garros ou quelque chose du genre, il se dirige tout droit vers la ligne d’arrivée, jusqu’aux cinq dernières secondes, dans le chrono, OHH FUCK ! Ma chatte que je ne suis pas le seul à chérir ressemble à une explosion de confettis, d’étoiles et de bruiteurs ! C’est le Nouvel An quelque part !

‘Mon Dieu, j’aime ton cul !’ Il vient, je viens, Nicolas nous regarde et sourit : ‘Putain, les copains !

Mon dieu, j’ai adoré ce trip !’

Glaudoun

claudemodou@gmail.com

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 14 juillet 7 14 /07 /Juil 18:20

  C'est vrai je suis majeur maintenant. Je peux m'acheter de l'alcool, passer le permis et sortir en boîte… Sauf que je n'ai ni le temps ni l'argent pour tout ça…

- Oui, c'est vrai… je n'y pensais plus

 

 

 

 

. y a-t-il dans certains peuples ou tribus une dette à payer par les enfants à leur famille ? voire ceux qui les ont élevés ?  

 

Ce récit, j'en ai rapproché les circonstances puisque, ci-dessous, dans le texte de Pharaoh90, Jairo va 'y passer' et sans doute devenir un de ces travestis brésiliens du bois de boulogne. Ce récit m'a rappelé qu'on dit que  dans les tribus gitanes  pour qu'un homme devienne « cantaor » de flamenco, il faut que son père ou un frère l'ait violé dans l'enfance, et qu'ainsi on en ait fait un homo. La voix du chanteur de flamenco doit être sombre, terrible, « une déchirure du ciel d’où coule un sang qui brûle » J'y vois encore une allusion. Ainsi l'enfant reçoit le « rajo », cette éraflure à vif dans le larynx qui signe les voix gitanes viendrait du fond d'eux-mêmes, vous avez compris ce que moi je pense. Il n'est d'ailleurs pas nécessaire d'être né gitan, Plusieurs célèbres et non célèbres cantaores n’étaient pas gitans 'de souche' : payos(non gitans), ça ne semble pas nécessaire pour être adobé'cantaoor. On dit Cantaor bien plus que chanteur. Cantaor par vocation d’enfance et détermination personnelle. Irrécupérable,

Le premier tablao où se produit le jeune c'est la rue où il vit, où se pratiquent les activités de son groupe. Il chante comme on expire. Son deuxième tablao, c'est le bar, au coin de la rue, c'est là que l’on peut gagner à la loterie de la célébrité. Si la chance lui sourit il se fera connaître, on le repère pour sa voix et son don du ciel : il a la raja. La RAJA, à ce que j'ai lu, en espagnol, c'est la fente, la raie ou la rayure et ça va jusqu'à la cicatrice !  

 

 

.

  Image associée

L'ami de son père avait (im)patiemment attendu le jour de ses dix-huit ans …pour faire  de Jairo son 'bonihitinho' son 'mignon'

Je n'exagère pas, je n'y pensais vraiment plus… Je suis toujours le même Jairo après tout… Rien n'a vraiment changé en fait… Oui je m'appelle Jairo, un prénom étrange je sais. C'est un prénom brésilien, en fait… Je vous arrête tout de suite, je n'ai absolument rien du fantasme latino que vous êtes (déjà) en train d'imaginer… Je ne suis ni grand, ni musclé, ni particulièrement bronzé (désolé…), et je ne parle pas avec un accent impossible en roulant les « r » comme  au bois de Boulogne… Je suis plutôt du genre petit, un rien chétif, blond (oui ça existe les brésiliens blonds…), cheveux courts, yeux bleus (aussi…), et tout juste majeur donc…

- Saúde Jairo! Tu n'as pas l'air de réaliser…Tout ce que TU peux faire maintenant que tu es majeur…

Je ne sais pas trop ce que signifie sa façon d'insister sur le « tu »… De toute façon je ne sais jamais comment prendre ce qu'il me dit… Il est tellement… intimidant… ça fait des années que je connais monsieur Heitor mais… mais je me suis toujours senti… bizarre, quand il est là, et c'est de pire en pire maintenant que… enfin… maintenant que je le… Je sais pas comment dire ça… Quelque part je devrais peut-être voir monsieur Heitor comme une sorte de père, mais d'un autre côté… je crois pas que…

- Je crois que ton pai serait fier de te voir aujourd'hui !

Je ne l'ai jamais connu mon pai, mon père… Il est mort quand je n'avais que quelques mois, et ma mère s'est retrouvée seule avec un bébé sur les bras, sans grandes ressources ni soutien de sa famille. La seule chose que mon père m'a laissé c'est mon prénom, mes origines brésiliennes (même si elles ne sont pas toujours évidentes…) et monsieur Heitor. Adrian Heitor était le meilleur ami de mon père… Ils ont grandi ensemble au Brésil, fait leurs études ensemble à Harvard, et se sont installés ensuite en France. Mon père, lui, a rencontré ma mère à Paris et s'est marié rapidement. Monsieur Heitor, lui, était bien trop occupé pour trouver une femme…

- Non ? Tu ne crois pas… ?

Monsieur Heitor n'est pas le genre d'homme à qui on dit non… Il a pris l'habitude d'avoir tout ce qu'il veut et d'être obéi au doigt et à l'œil. Côté boulot il est à la tête d'une entreprise immense dont il est le boss absolu, et qui a fait de lui un homme plus que riche… Côté famille il a une femme magnifique, Iulia Heitor, une belle blonde de dix ans de moins que lui, et deux enfants tout aussi beaux que leurs parents, Isabel et Maicom.

- Euh… oui monsieur Heitor…

Oui, il a fini par se ranger aussi… Une bonne dizaine d'années après mon père, mais il s'est marié quand même… Ma mère n'a jamais voulu entrer dans les détails, mais j'ai quand même compris que le problème n'avait jamais été de trouver UNE femme, mais d'en choisir une parmi toutes celles qui… comment dire… enfin vous voyez… En plus d'être riche, brillant, brésilien, et maintenant heureux père de famille, monsieur Heitor est un bel homme, ou un beau gosse, une bombe, appelez-ça comme vous voulez… L'essentiel c'est qu'il est juste…

- Pas de « monsieur » ! Entendido ?

Oui monsieur, pas de « monsieur » entre nous, je sais… C'est juste que… je me sens tellement intimidé devant lui… Il m'a toujours impressionné en réalité. Quand mon père est mort il a promis à ma mère de veiller sur nous. Pour lui ça voulait dire apparaître deux ou trois fois par an dans notre vie, passer une soirée à la maison, discuter avec ma mère, parler de mon père, du passé, du Brésil, et puis disparaître aussitôt en laissant derrière lui une petite enveloppe et l'odeur de son parfum… Monsieur Heitor est toujours très occupé…

- Un beau grand menino comme toi… il aurait de quoi être fier…

Je dois rougir instantanément vu comme il me sourit… C'est lui qui est « beau grand garçon », pas moi… moi je suis juste… Jairo… et lui… il est juste… immense… et… musclé… et… brésilien… vraiment. Lui il a tout du cliché latino : le teint mat, les cheveux bruns bouclés, les yeux noirs, les muscles, et tout le reste… Moi je suis juste… blond… et maigre… et petit… Quand j'étais petit je voulais lui ressembler, plus tard, quand je serais grand… Je crois que je ne serai jamais grand, pas autant que lui je veux dire… mais j'ai laissé tomber l'idée de lui ressembler…

- Isabel et Maicom sont couchés ?

Depuis quelques années je suis le baby-sitter attitré… En fait c'était une proposition de madame Heitor, mais j'ai toujours pensé que c'était lui qui avait lancé l'idée… Je n'ai en fait pas grand-chose à faire. Isabel a dix ans maintenant, et Maicom huit. Ils pourraient presque rester seuls, et de toute façon la gouvernante Maria ne quitte presque jamais la maison. J'ai toujours pensé que monsieur Heitor voulait juste me donner un petit boulot…

- Oui, ils sont au lit depuis dix minutes, et j'allais aussi…

J'allais me coucher moi aussi… J'étais même sur le point de me déshabiller quand il a débarqué à l'improviste… Enfin… Il est chez lui après tout, c'est juste qu'il ne rentre jamais le weekend. J'ai beau travailler pour lui, je ne le vois pas plus souvent qu'avant… Toujours ses visites trimestrielles à ma mère, la petite enveloppe sur la table, les souvenirs de mon père, et les quelques mots de portugais qu'il essaye de m'apprendre…

- Te coucher ? Déjà ? Jairo, pas le jour de ton aniversário… Il faut fêter ça…

Euh…oui… fêter ça… A tous mes anniversaires il m'a toujours envoyé un cadeau. Il n'était jamais là, toujours occupé, en voyage, à l'autre bout du monde… mais je recevais toujours mon cadeau. Un jouet que ma mère ne pouvait pas m'offrir, ou un portable… j'ai même eu droit à un ordinateur l'année dernière… Il glisse toujours un petit mot dans le paquet, et chaque fois il m'envoie une photo de mon père avec. Je les ai toutes gardées et je les regarde souvent. Sur certaines photos il est là lui aussi… Ils ont une vingtaine d'années sur la plupart, et monsieur Heitor à vingt ans… c'est juste… comment dire… renversant… Je comprends pourquoi il a mis autant de temps à se marier… pourquoi choisir juste une femme quand on peut toutes les avoir… 

- Donne-moi une minute et rejoins moins dans le petit salon, j'ai un pequeno presente pour toi !

On y est… qu'est-ce qu'il m'a acheté cette année ? Un nouveau téléphone ? Une voiture… ? Le pire c'est qu'il en serait presque capable… L'argent n'a jamais été un problème pour lui… Si ma mère l'avait laissé faire il aurait rempli son compte en banque tous les mois, juste en souvenir de mon père et de leur amitié…

- D'accord, je descends dans une minute…

Il me sourit et tapote mon épaule avec sa grosse main, comme si je venais de lui acheter quelque chose… Je n'aime pas vraiment qu'il me touche en fait… Quand j'étais petit il me prenait sur ses genoux pour me parler de mon père. A l'époque j'aimais ça, je crois que ça me donnait l'impression que c'était lui mon père… Mais aujourd'hui… aujourd'hui il m'intimide trop. Quand il me touche c'est comme si… comme s'il y avait quelque chose d'intime entre nous…
Je ne sais pas pourquoi il m'impressionne autant. Depuis des années que je le connais je devrais être à l'aise avec lui. Je crois même qu'il voudrait que je le considère comme mon père… Mais il m'intimide tellement… Cette façon qu'il a d'être à l'aise avec tout le monde, d'être à la fois très doux et très ferme… comme s'il était le seul adulte au monde et que tous les autres n'étaient que des enfants qu'il essaye d'éduquer… Et puis il y a son physique… Il est tellement… viril… et… imposant… je me sens ridicule et fragile à côté de lui. Je ne sais pas si c'est son regard, ses muscles, la façon qu'il a de remonter ses manches de chemises pour laisser voir ses avant-bras musclés et légèrement poilus, ou son col de chemise toujours entrouvert et qui laisse deviner quelques poils, ou sa démarche rigide et fluide, comme les cowboys quand les westerns… C'est comme s'il était le seul vrai homme au monde, et que tous les autres n'étaient que des femmelettes, à commencer par moi…

- Jairo ? Tu t'es endormi ? Je t'attends dans le salon…

Mince la minute est déjà passée, il faut que j'arrête de rêver… Je me lève de mon lit et je sors de ma chambre. Enfin je dis « ma » chambre et « mon » lit mais… ce ne sont que la chambre et le lit qu'il me prête pour les weekends où je garde les enfants, je ne suis pas chez moi… Même si « Il y a toujours une place à la casa pour toi Jairo » comme il me dit souvent… Je traverse le couloir et je descends le grand escalier tout en marbre, deuxième porte à gauche et j'entre dans le « petit salon », le plus petit des trois salons de la maison en fait… Il est assis dans le grand canapé en cuir et me montre du doigt le fauteuil en face.

- Senta Jairo !

Sur la table basse entre les deux il a posé une bouteille de champagne et deux flûtes. Je m'assois en face de lui et je le regarde faire. Il a déjà ouvert la bouteille et il  remplit les deux flûtes en quelques secondes, comme quelqu'un qui a déjà fait ça des centaines de fois. J'ai toujours été captivé par ses mains immenses. Des vraies mains d'homme, larges, avec des veines saillantes et un rien de poils bruns qui courent jusque sur ses avant-bras. Il a roulé ses manches de chemise, comme d'habitude, et je peux voir sa belle montre argentée briller à son poignet. Ses avant-bras sont vraiment énormes…

- Merci… je… il fallait pas…

Je prends la coupe pleine qu'il me tend et j'essaye de me trouver une contenance. Lui il a l'air parfaitement détendu, comme d'habitude. Il se cale contre le dossier du canapé, les jambes écartées, une coupe à la main et l'autre main posée sur sa cuisse. Quand il se penche en arrière dans le canapé je remarque le torchon posé sur son entre-jambe. C'est plus une espèce de serviette qu'on utilise pour servir le champagne. Un truc totalement inutile aux gens ordinaires mais donc rigoureusement indispensable pour quelqu'un comme lui… Je ne sais pas si c'est parce qu'il est brésilien, ou simplement parce qu'il est devenu riche par son travail, mais monsieur Heitor aime montrer qu'il a réussi, et il ne lésine pas sur les moyens…

- Alors ? Qu'est-ce que ça fait d'avoir enfin dix-huit ans ?

Je ne sais pas trop quoi répondre… La vérité c'est que ça ne me fait rien, mais je sais bien que c'est pas du tout ce qu'il a envie d'entendre… Je me demande ce qu'il a fait, lui, le jour de ses dix-huit ans… Sur les photos de mon père où ils ont cet âge il est déjà immense, une espèce de colosse tout en muscles sous une couronne de cheveux bouclés qui lui cachent le front. Mon père a l'air tout petit à côté, presque le petit-frère à côté du grand-frère… Et mon père, qu'est-ce qu'il a fait pour ses dix-huit ans… ?

- Ça fait un moment que j'attends ça tu sais… ?

Il boit une longue gorgée de champagne et pose sa main libre sur le dossier du canapé, l'air totalement décontracté… Je le regarde sans trop comprendre… Qu'est-ce qu'il veut dire par « j'attends ça » ? Il a des projets pour moi ? J'espère qu'il ne compte pas me proposer de bosser dans son entreprise… Je veux bien l'avoir pour patron tous les weekends, quand il n'est jamais là, mais travailler tous les jours avec lui, le voir tous les jours, dans son petit royaume, avec son petit air triomphant…

- Euh… pourquoi ?

Je bois une gorgée de champagne à mon tour. Les bulles éclatent sur ma langue et je sens la brûlure de l'alcool descendre dans ma gorge. Peut-être que si je bois toute la flûte je me sentirai plus à l'aise avec lui… Non je crois qu'il me faudrait au moins toute la bouteille…

- J'ai des projets pour toi… mais… je devais attendre que tu aies dix-huit ans… tu comprends… ?

Il me lance un petit clin d'œil et avale une deuxième gorgée… Enfin… en deux gorgées il a déjà presque vidé la flute… Et non je ne comprends pas, de quels projets il me parle… ?

- Non je… je ne comprends pas…

Il hoche la tête mais continue de sourire avec ce même air carnassier qu'il a toujours quand il sourit. Même sur les photos de mon père il a ce même sourire de prédateur qui s'apprête à bondir… J'ai l'impression d'être une souris devant un chat…

- Tu es bien sûr Jairo… ? Je pensais que tu avais compris déjà… Tu es un menino intelligent pourtant…

Pourquoi est-ce qu'il faut que ça me touche ça… ? Je sais bien ce que cache son compliment et son petit regard attendri… ça fait des années qu'il me fait ça… Un coup de pommade pour obtenir ce qu'il veut… Et moi j'ai toujours tellement envie de lui faire plaisir que… que je me sens tout nul de ne pas comprendre ce qu'il veut…

- Non… je… je ne comprends pas senhor Heitor… je suis désolé…

Je baisse les yeux pour ne plus voir son regard. J'ai l'impression d'être un gosse qui se fait gronder par sa maîtresse… Enfin… plutôt virile la maîtresse sur ce coup là… Je me souviens d'une seule fois où il m'a grondé, quand j'étais petit… une seule fois… Je ne lui avais pas désobéi pourtant, personne ne désobéit à monsieur Heitor… Il y a juste eu cette fois où…

- Je sais que je te plais Jairo…

Je sens mes joues rougir avant même de saisir pleinement le sens de sa phrase… Je me cramponne à la coupe pour ne pas m'effondrer de honte… Je n'ose pas relever les yeux de peur de voir son petit sourire et ses yeux… Je peux imaginer le petit air supérieur qu'il doit avoir en ce moment… Qu'est-ce que je peux répondre à ça… Je crois que je vais mourir de honte si j'ouvre la bouche…

- Je… non… je ne… vous…

Je fixe le torchon posé sur son entre-jambe… Je n'arrive plus à réfléchir, j'ai l'impression d'être piégé… Pourquoi est-ce qu'il me fait ça ? Et pourquoi est-ce que… Qu'est-ce que j'ai fait ? Qu'est-ce que j'ai dit pour qu'il pense que… que… que ça ! Je n'arrive même pas à le dire, j'ai trop honte…

- Ne mens pas Jairo, ton pai ne voudrait pas que son fils soit un menteur… Je sais que je te plais, et tu le sais toi aussi…

Non !!! Jamais ! Je… Je ne veux pas… Je… C'est vrai qu'il m'impressionne, c'est vrai que je l'admire, c'est vrai que j'ai toujours rêvé d'être comme lui, d'être un vrai homme comme lui, je… mais… pourquoi est-ce qu'il me fait ça… ? Pourquoi aujourd'hui… ? Je ne suis pas… non ! Je…

- Et… toi aussi tu me plais Jairo…

En une seconde je sens que je passe du rouge au blanc… La flûte est toute glissante de sueur dans ma main et je sens une goutte de transpiration glisser dans mon dos. Je dois faire un effort pour respirer normalement. J'ai envie de me lever et de partir en courant, ou de hurler que NON ! Non je ne veux pas ! Je ne veux pas qu'il me plaise ! Et je ne veux pas lui plaire ! C'est tellement… mal…

- Il n'y a rien de mal à ça Jairo… Nous sommes tous les deux des homems maintenant, et les hommes ont besoin de… tu sais Jairo…

Il lit dans mes pensées en plus… Mais… Besoin de quoi d'abord ? Qu'est-ce qu'il veut ? Il ne veut quand même qu'on… qu'on fasse… lui et moi… mais alors il est…mais non ! Je ne suis pas… je ne suis pas…

- Je ne suis pas gay monsieur Heitor !

Je me rends compte du sous-entendu en prononçant ma phrase… Je viens d'insinuer que lui l'était… gay ! Je me sens encore plus honteux… C'est totalement ridicule… Il ne peut pas être gay… Il est juste… juste… juste l'incarnation de la virilité… Tout chez lui hurle qu'il est un homme, un vrai, avec du poil, du muscle et de la testostérone, avec tout ce que je n'ai pas et que lui…

- Ne sois pas bête Jairo ! Personne ne te parle d'être gay, je parle juste de se donner du plaisir entre hommes !

Je me tasse dans le canapé comme si je pouvais y disparaître… Je me sens toujours honteux et de plus en plus ridicule. Comment est-ce qu'il ose me faire ça ? Pourquoi est-ce qu'il veut m'humilier comme ça ?

- Et… madame Lulia… ?

Je n'ose toujours pas regarder son visage, mais à voir comment il a tressauté quand j'ai prononcé le nom de sa femme, il ne doit sans doute plus me sourire… Je me sens tout petit devant lui et… j'ai peur… peur de ce qu'il va dire…

- Ça n'a rien à voir Jairo… Oriana est ma senhora, et toi je veux que tu sois mon bonitinho…

Je ne connais pas ce mot… Je ne parle pas portugais aussi bien que lui… Et je ne connais pas cet homme non plus… Qu'est-ce que j'ai fait pour qu'il me fasse ça… ? Je veux que tout redevienne comme avant… je veux qu'il arrête de…

- Tu es un très beau menino Jairo, j'ai toujours su que tu en serais un. Et maintenant que tu es majeur, je veux te montrer tout le plaisir qu'un homme peut te donner, et que tu peux lui donner…

Je voudrais répondre mais je suis submergé par les images qui m'envahissent… J'imagine monsieur Heitor avec un autre homme… C'est tellement… étrange ! Et… Je l'imagine en train de le… et de se… Non j'arrive même pas à penser au mot… je suis…

- Je peux aussi te payer pour ça Jairo…

Mes joues repassent aussitôt au rouge. Comment ose-t-il me proposer de l'argent ! D'abord il s'amuse à m'humilier, et maintenant il me propose d'accepter son argent pour… pour… pour être sa pute !!!

- Non ! Je suis pas une cadela !

C'est la première fois que j'ose sortir un gros mot devant lui… Je ne sais même pas où j'ai appris ce mot mais lui ne l'a jamais prononcé devant moi en tout cas. Je lève les yeux pour observer sa réaction. Il vide sa flûte d'un trait, la pose sur la table et me sourit avec un air triomphant…

- C'est bien ce que j'espérais Jairo… Maintenant arrête de rougir comme une virgem et montre-moi ce que tu sais faire…

Sa main droite attrape le torchon posé sur son entrejambe et il l'enlève dans un geste presque théâtral. Je regarde bêtement son bras musclé se plier et se déplier dans le mouvement et il me faut une seconde de plus pour poser les yeux sur ce que le torchon dissimulait… Mãe de Deus !!! Je dois passer instantanément par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel avant de revenir au blanc livide… Je sens ma flûte glisser de mes mains et tomber sur le tapis à mes pieds. Monsieur Heitor est assis devant moi, les jambes écartées, et son… son… son sexe est là devant moi… dépassant de sa braguette ouverte, étalé sur son pantalon en toile beige… Je ne sais pas quoi…

- Impressionné par mon galo, Jairo ?

Je ne peux plus bouger d'un centimètre, et je ne peux même pas lui répondre non plus… J'ai l'impression d'être complètement paralysé mais d'avoir envie de courir loin d'ici… Comme dans les cauchemars où on court au ralenti… Je suis plus qu'impressionné, je suis… tétanisé. Son « galo » est juste… je n'en avais jamais vu d'aussi gros… je n'en avais jamais vu d'autre que le mien en vrai… Le sien ressemble à celui des acteurs pornos que je regarde en cachette sur Internet, quand ma mère travaille tard et que je suis seul à la maison et… On dirait un… un serpent… un gros boa qui sort de son trou… ou un gros tuyau d'arrosage en caoutchouc… C'est long et large et ça aurait presque l'air faux si…

- Monsieur-Heitor-por-favor-arrêtez-je-ne-veux-pas-je…

Les mots sont sortis tous seuls d'un seul coup. Je ne sais pas comment j'allais finir cette phrase mais il m'a coupé net en levant sa grosse main en l'air comme un arbitre de foot. Je n'arrive pas à détacher mes yeux de son énorme sexe. Le mien aurait l'air ridicule à côté… Je m'étais jamais senti aussi petit que devant ce… monstre ! Et quand je pense que je lui parle depuis presque un quart d'heure et qu'il était là, sous mes yeux, juste sous le torchon… je…

- Acalma Jairo ! Je sais que tu en as envie ! Et tu le sais aussi… J'ai vu comment tu me regardais depuis quelques mois. Je peux te donner beaucoup de plaisir tu sais Jairo… Mais il faut que tu me fasses confiance pour ça… Tu es prêt à me faire confiance Jairo… ?

Je ne sais pas pourquoi mais je sens aussitôt la panique refluer… Evidemment que je lui fais confiance… Je lui ai toujours fait confiance… Il est tellement… grand et… fort… et… réconfortant. J'ai juste tellement peur de ce qu'il va me demander… et de ce qu'il va me… faire…

- Oui monsieur Heitor je… vous fais confiance… mais… c'est juste que… je… je n'ai jamais…

Je n'y arrive pas… je ne peux pas lui dire… je me sens tellement… rien… et lui il est tellement… tout… et je ne peux pas arrêter de regarder son énorme galo qui pend entre ses cuisses devant moi… C'est comme si je regardais un animal terrifiant qui pourrait me tuer en un seul geste… mais qui est tellement beau que je ne peux pas le lâcher des yeux…

- Tu es puceau Jairo ?

Ça fait horriblement mal de l'entendre prononcer ce mot… Oui je le suis… oui je ne suis pas un homme comme lui, je n'ai jamais… jamais… jamais pénétré aucune femme avec mon galo, mon petit galo comparé au sien… Je ne suis que… Jairo…

- Oui monsieur…

Je l'ai dis… oui je suis… puceau… c'est comme un poids qui s'en va d'un coup… un énorme poids, comme son énorme sexe, et mon énorme envie de m'enfuir en hurlant, mais aussi mon énorme envie de rester et de… de faire ce qu'il veut et… de le laisser me montrer et…

- Très bien Jairo ! Mon anjinho… Je vais devoir y aller tout doucement avec toi alors… Je vais te montrer… Viens ! Lève-toi ! Approche-toi de moi !

Je ne sens plus mes mains ni mes jambes ni quoi que ce soit en fait. Et je ne vois plus rien d'autre que son galo, et je n'entends rien d'autre que sa grosse voix autoritaire de mâle dominant. Mais je me lève presque sans m'en rendre

compte, comme un zombie, comme s'il lui suffisait de dire quelque chose pour que je le fasse. Je fais un pas vers lui et il m'attrape le poignet avec sa grosse main brûlante. Il me tire vers lui et je sens mon cœur battre de plus en plus vite.

 

um 'pequeno  presente' pour Jairo le jour de ses dix huit ans 

    Résultat de recherche d'images pour "homem vestido mostrando um pau enorme"  Mais pas si 'pequeno'que ça  

 J'obéis sans broncher, comme si je n'avais plus aucune volonté. Je m'agenouille sur le tapis, entre ses jambes écartées. Il tient toujours fermement mon poignet et je me sens à la fois prisonnier et rassuré d'être aussi près de lui. Son galo monstrueux n'est plus qu'à quelques dizaines de centimètres de moi et je ne l'ai toujours pas lâché des yeux… Maintenant que je suis plus près je vois toutes les veines qui courent sous sa peau mate… Je sens sa main tirer la mienne vers lui et la poser sur son énorme sexe brûlant...

 

anjinho = petit ange  

Résultat de recherche d'images pour "homem vestido mostrando um pau enorme"- Touche mon galo Jairo, mon

'anjinho'

 … J'ai hâte de commencer ton iniciação…

 

 

- Mets-toi à genoux Jairo. Mon anjinho…(petit ange)       

J'obéis sans broncher, comme si je n'avais plus aucune volonté. Je m'agenouille sur le tapis, entre ses jambes écartées. Il tient toujours fermement mon poignet et je me sens à la fois prisonnier et rassuré d'être aussi près de lui. Son galo monstrueux n'est plus qu'à quelques dizaines de centimètres de moi et je ne l'ai toujours pas lâché des yeux… Maintenant que je suis plus près je vois toutes les veines qui courent sous sa peau mate… Je sens sa main tirer la mienne vers lui et la poser sur son énorme sexe brûlant...

- Touche mon galo Jairo… J'ai hâte de commencer ton iniciação…

A suivre…

Pharaoh90 sur cyrillo

il venait d'avoir dix-huit ans...

    Image associée  

 

   Image associée um pequeno presente Résultat de recherche d'images pour "homem vestido mostrando um pau enorme" déjà, le Brésil n'est pas exemplaire

  Quand tu te réveilles et que tu te rend compte qu'on est lundi matin... #matrix #movie #film #replique #culte #lambertwilson #matrixreloaded ...tu me l'as ôté de la bouche -lol- ...quand j'allais justement le dire !!! 

 

  NOTES :

tu as dix-huit ans aujourd'hui…Ah oui ! Cette grande nouvelle là… J'avais presque oublié… c'est juste que… c'est tellement… inutile. Je veux dire… ça ne change tellement rien à ma vie… C'est vrai je suis majeur maintenant. Je peux m'acheter de l'alcool, passer le permis et sortir en boîte… Sauf que je n'ai ni le temps ni l'argent pour tout ça…

- Oui, c'est vrai… je n'y pensais plus

 

ORIGINAL :

  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2014-Iniciacao-01.php

 

ET AUSSI

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2013-Police.php

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2013-Police-2.php

  QUEL TALENT !

 


comentaire :

Par PHARAHOH90 - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 4 juin 2 04 /06 /Juin 07:55

je te comprends !  il y a là des trésors cachés au monde ordinaire de la rue, du travail , et même du terrain de sport lui-même non ?  

 

 

   

       

 

  Qui profite ou profitera de ces splendeurs ???

 

 Résultat de recherche d'images pour "porn gay 3 nude young men bullshit at home swimming pool"

On peut se croire à New-York Cinq heures du soir, five o'clock Ou dans un square de Bangkok Quand on s'aime

  N'oubliez pas : l'amour à trois c'est la perfection du triangle équilatéral

 

 

 

 

 

  On peut marcher sur la mer
Danser autour de la Terre
Se balancer dans les airs
On peut tout faire

On peut marcher
Sous la pluie
Prendre le thé
À minuit
Passer l'été
À Paris
Quand on s'aime
On peut se croire à New-York
Cinq heures du soir, five o'clock
Ou dans un square de Bangkok
Quand on s'aime
On peut marcher sur la mer
Danser autour de la Terre
Se balancer dans les airs
On peut tout faire
Quand on s'aime
Quand on s'aime
Écoute, écoute le temps
Moi, moi je le trouve hésitant
Puisqu'il varie tout le temps
Entre beau fixe et printemps
On peut voler de soleil en soleil, nuit et jour
Quand on s'aime
Oui, quand on s'aime
On peut marcher sur la mer
Prendre le thé à minuit
Passer l'été à Paris
Quand on s'aime
On peut se croire à New-York
Cinq heures du soir, five o'clock
Ou dans un square de Bangkok
Quand on s'aime
On peut marcher à New-York
(Sous la pluie)
Prendre le thé à five 0'clock
(A minuit)
Passer l'été à Bangkok
(A Paris)
Quand on s'aime.
On peut marcher sur la terre
Ou danser autour de la mer
Prendre l'été pour l'hiver
Quand on s'aime
On peut marcher sur la mer
Danser autour de la Terre
Se balancer dans les airs.
On peut tout faire
Quand on s'aime
Quand on s'aime.

 

 

  Quand on s'aime (1965) - YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=594GkAyrcFs
Paroles

 

Par LONET - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 16 mai 4 16 /05 /Mai 04:39

bite dans le cul gay gros zob rebeu

 

 

Image associéeeh oui ! sous le pseudo de GLAUDOUN cavaillongay a proposé ce récit gay inédit à cyrillo.com qui nous a fait le plaisir et l'honneur de le publier. Merci !

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_Rolland.php

Rolland

Résultat de recherche d'images pour "gif kayakiste fait des chandelles en eau vive" Résultat de recherche d'images pour "gif kayakiste fait des chandelles en eau vive"

Qui donc a inventé la pudeur, et dans quel intérêt ? Sinon pour exhausser les cloisonnements entre les individus ? Et qui donc a inventé la provoc' et l’exhib' qui sont la réponse aux excès de la pudeur.

merci de votre fidélité ! Cavaillongay

LA PUDEUR OFFENSEE…  

 

 

 et dire que ce sont les mots employés par la loi pour définir certains délits y

 

compris sexuels.

 

Récit fictionnel : toute ressemblance avec...

1.Dans une petite cité de la région Aquitaine, nous faisons partie d’un club de canoë-kayak, en tant que bénévoles mon épouse et moi pour aider à l’encadrement des rencontres sportives : essentiellement des courses. Moi, modeste « dirigeant » j’aide. Quand je conduis le minibus du club je mets toujours du Nougaro pour que la route soit agréable, con, c’est mieux, con, que leur rap à la con, con, oui je suis jeune et surtout en esprit et si je me lâche j’ai ce parler de chez nous, con.

Parmi les participants il y a toutes les catégories des benjamins aux séniors, et même aux vétérans. Nous sommes fans de nos équipes et les accompagnons dans tous leurs déplacements et je suis souvent le chauffeur du minibus. Il ne fait pas encore très chaud et se mettre dans l’eau froide demande un bel effort. Au fait vous ne connaissez pas les Astart qui sont membres du club au même titre que nous pour « encadrer » — je n’aime pas ce mot — leur fils Rolland, un beau garçon roux frisé et musclé de près de 18 ans qui veut se qualifier en Équipe nationale sénior, sa catégorie court en dernier. On a le temps : nos enfants ont couru leur première manche et Rolland et nous attendons le départ des premiers séniors. Il n’est pas en tenue, et pour avoir chaud il a conservé son survêt ». Assis dans les rochers qui bordent la rive, nous formons comme une parenthèse autour du jeune athlète, les yeux tournés vers le calicot de la ligne de départ. Soudain il se lève et, debout entre nous sur un rocher plat, se met en devoir de se mettre en tenue. Ça suppose de tomber le survêt. Il le tombe. Selon lui il faut aussi tomber le boxer… Il le tombe ! Il va enfiler un minislip serré qu’il a à la main. Maman !!! Comme on dit chez nous pour exprimer la peur ! On s’était assis comme on pouvait, un peu près les uns des autres, il sort un sexe é. n. o. r. m . e, vraiment hors du commun. Un beau levier quoi ! (la maman et le papa peuvent être fiers de leurs œuvres — lol —) Et il s’est tourné vers moi : je l’ai juste sous le nez sa bite demi-bandée. Je suis forcément pas mal gêné et assez troublé vu la présence des parents et de ma femme. Il est clair que c’est intentionnel. Les témoins mettent-ils ça sur le compte du sans-gêne habituel de nos jeunes sportifs ? Il vaudra mieux, car comment ne pas se poser de questions sur ce geste ? Je sais que je dois trainer des rumeurs homos sur mon compte, mais quand même,,, ! On se regarde sans se voir je baisse les yeux. Lui debout, moi assis, s’’il se tournait un peu plus j’aurais sa bite aux lèvres. Je n’arrive pas à dire si j’aurais eu ouvertement envie de le sucer voire plus, en d’autres circonstances de provoc', et si on était seuls je ne sais pas s’il ne m’aurait pas dit déjà : – « tiens, suce-la ! » avec ce regard arrogant. Mais ici ce serait nettement une « offense publique à la pudeur ». Pour moi c’était trop à la fois. Personne ne disait rien. Je ressentais ce geste lent comme dirigé contre moi, j’en pressentais des raisons proches de l’insulte et d’un désir de faire perdre le contrôle au bimarié que je suis. C’était fou et pervers de l’imaginer peut-être même pas prémédité. Le simple hasard d’une situation favorable. Et pourtant, tout le monde fait semblant de rien. Bien sûr il sait quelque chose et, dans une certaine mesure, les autres aussi, non ? Les battements précipités de mon cœur ont à ce moment plusieurs explications. Je ne laisse rien voir et j’attends que ça cesse, yeux et tête baissés. De temps en temps je lève les yeux et regarde au loin. Euh, je me demande si je ne suis pas rouge et si je ne dévoile pas mon trouble. Ça doit finir. Ouf ! Ça y est il est pour ainsi dire « habillé » avec ce minislip bleu qui a du mal à contenir sa bite considérable. Il a — d’un certain point de vue réussi son coup : pendant un moment mes pensées, mes sens, mes défenses ont été chamboulés, mis à rude épreuve.
C’est ce genre de chose qui s’autoverrouille. Comment en parler ? Il s’est foutu à poil et il a approché sa bite de mon visage, de mes yeux, de mes lèvres même ! Comment le dire ça : c’est à la fois insignifiant et Enaurrrhme ! L’occasion de clarifier se présenta très vite. Le retour fut triomphal pour l’équipe et surtout pour Rolland, qui avait réussi à se qualifier pour les championnats de France. Il eut le triomphe modeste le cher enfant et comme d’habitude il vint s’assoir tout près du poste de conduite que j’occupais en tant que chauffeur, le brave gosse, doux comme un enfant et fort comme un homme. Je lui dis : – « Bientôt c’est toi qui conduiras le minibus : tu auras ton permis incessamment sous peu ! » - « J’espère, je fais tout pour » - « Tu te rappelles quand tu étais si minot qu’on t’appelait trois kilos ? Pas moi en tous cas, hein, j’aime pas les surnoms » - « ... »(Silence) — « tu es un homme, un vrai maintenant... » - « Pas comme certains ! » Me répond-il plein de sous-entendus… – « Pourquoi tu dis ça ? Aujourd’hui, à ton âge on ne pense pas qu’on a le droit de vivre sa vie comme on veut ? » - « Pas certaines choses ! » Je conduis, j’ai charge d’âmes et lui qui me capte toute mon attention. Puis exactement dans le style de sa séance de strip du matin il me lance un brûlot : « Quelqu’un m’a parlé de toi. » Je serre le volant du Minibus — « QUI, “quelqu’un” ? Et d’abord, en bien ou en mal ? » - « il m’a fait jurer de rien dire et si je te dis qui c’est » ce merdeux n’est pas aussi joli dedans que dehors. - « Là, c’est TOI qui viens de te mettre en question : un traitre est un traitre, tu voudrais que je mendie les infos d’un traitre ? » - « C’est Pierrot. » J’ai forcé Rolland à abattre sa carte maîtresse, Il faut que je garde la main, mais tout d’un coupje suis moins inquiet. – « Pierrot n’a pas pu te dire du mal de moi » (gros sous-entendu dans ma tête) — « non... mais,,, » — « Tu me dis ça pkoi ? Moi, je vais dire à Pierrot le bon marché que tu fais de ses confidences. » Je l’ai cloué. Il ne répond rien puis : – « non il a pas dit du mal... » - « Bon, écoute : c’est la journée des journées : ta copine n’est pas là, tu me fais deux attaques en règle, on arrive bientôt au local du club, si tu es d’accord on se voit au club une aprèm pour une séance de coaching privé. Mardi aprèm 14h y a personne » lui dis-je en martelant mes paroles d’autorité et d’énergie — « OK je serai là »

2
- « moi faut pas me lancer des défis de ce style ! »
14h mardi, Il est dans l’eau depuis demi-heure il s’est fait emmener vers 13h30, on se connait avec son père, mais suffisamment peu, et c’est mieux comme ça !
Avec Rolland (de Roncevaux comme, par jeu je le surnomme) il faut s’attendre à un évènement toutes les demi-heures… Je plaisante ! De son kayak aux couleurs multicolores (aïe ! Arc-en-ciel c’est seulement maintenant que je le note) il me salue et m’explique qu’il est arrivé en avance qu’il a commencé les séries, qu’il en a fait trois déjà et qu’est-ce qu’il fait après ? Les yeux dans les yeux je lui en dis, il boit mes paroles. Mais qu’est-ce qu’il est chouette ce jeune ! Oh encore un truc ! est-ce depuis aujourd’hui ? ou est-ce avant ? et ça lui va si bien au visage que ça ne se remarque pas : il a un pendant à chaque oreille ! Je m’engueule silencieusement de ce manque d’observation, surtout que ce nouvel Estanguet ne manque ni d’allure, ni de talent sportif, ni d’attrait sexuel*.
- « moi faut pas me lancer des défis comme ça ! »

Il est très essoufflé par les séries d’entraînement que je lui ai infligées. Il sue et se défait rapidement de ses vêtements. Le minislip bleu vole dans les airs aussi. Le voilà nu intégralement. Il dit viens on se douche. Bien sûr ! Me dis-je me voilà piégé. C’est lui qui dirige ! Sa grosse pine il veut me la mettre, j’en suis sûr. On se douche, bien sûr dans la même cabine. Nos corps s’étreignent sous l’eau, C’est lui qui l’a voulu, qui l’a manigancé soudain c’est quoi ? Il se met à genoux ; il me suce. Non c’est pas vrai ! Penché au-dessus de lui je le branle. Il est bien long à bander avec sa grosse queue. Moi non, je bande avant lui tandis qu’il me suce encore. À quatre pattes, avec force il me dit, sans même penser que quelqu’un pourrait entendre : – « Prends-moi, baise-moi ! » Je ne pourrai pas dire que c’est moi qui l’aurai voulu : il se saisit de ma queue et la présente à son derrière. Je dois accomplir mon agréable devoir. Bon, il s’est révélé tel qu’en lui-même, qu’il ait une grosse bite ou non. Là ma bite nage dans le plaisir et moi dans l’allégresse. Vaguement en lui tapissant les entrailles de mon nectar, je repense à cette histoire de Pierrot... et c’est là, encore essoufflé (cette fois par l’amour) qu’il me lance : – « Je veux… qu’on se fasse... un plan à trois… avec Pierrot » je n’en reviens pas : c’est Rolland qui a tout fait et, bien sûr, tout ça s’est réalisé, Ne dois-je pas, en fin de compte, me féliciter des indiscrétions de Pierrot ?

Et là, maintenant je l’attends ce plan à trois, les conduites sexuelles de chacun de nous se révèleront encore plus précisément. Comment cela va-t-il se passer entre nous trois ? Ça ne peut pas être une simple addition de nos comportements, mais plutôt une remise en question de chacun pour nos bonheurs respectifs. J’espère qu’aucun de nous, moi tout le premier, n’aura la place du con !... Celui qui ne fait que regarder sans rien faire et vu la beauté de chacun de nous ça ne serait pas forcément la plus mauvaise place. Une chose me tiendrait à cœur c’est de voir Pierrot se prendre la queue énorme de Rolland... et ça ne me déplairait pas non plus de me la prendre... Une chose est acquise : il n’y aura pas de (connerie de) pudeur entre nous ! Plusieurs athlètes olympiques et autres viennent de prouver que le sport de haut niveau et l’homosexualité se concilient à l’aise, il est passif, mais je ne me fais aucun souci pour les futures performances de Rolland.

* pourquoi ce serait mieux de dire le mot anglais « sex- appeal ? » au lieu d’attrait sexuel non ! : pour moi Pierrot et Rolland ont un très fort attrait sexuel ! Attrait sexuel attrait sexuel attrait sexuel, ne vous déplaise !

 


commentaire :

 

 

le fun des kayakistes au vestiaire :

Image associée Image associée

 

 

 

...Parfois à la muscu on se croisait dans les vestiaires et j’en profitais vraiment. À chaque fois il venait taper la discussion alors qu’il était en boxer et rien d’autre. Et à chaque fois j’avais du mal à garder mon regard sur ses yeux. Et à l’époque je pensais être grave discret quand je regardais son paquet, bien gros je dois dire, ou ses abdos bien dessinés.

 

 

  PLUS OU MOINS "LICITE" :

NOTES:

 

Un coach sportif très populaire dans son collège de Penn State a été arrêté le mois dernier aux États-Unis pour viols et autres abus sexuels...

Le Blog "case des hommes" :

http://case-des-hommes.blogspot.com/2011/12/la-curiosite-sexuelle-des-garcons.html

 

La curiosité sexuelle des garçons, l'attitude des adultes

Un coach sportif très populaire dans son collège de Penn State a été arrêté le mois dernier aux États-Unis pour viols et autres abus sexuels sur une quarantaine de garçons entre 7 et 13 ans (au moins huit victimes avérées). Des responsables de l'école auraient couvert ces délits. Samedi, le New York Times publiait une interview dans laquelle le présumé coupable (libéré sous caution) clame son innocence: "J'étais pour eux un substitut paternel". Blogueur invité, Robert G. se souvient. -- André.
Dans l’affaire d’abus sexuels envers des garçons par l'entraîneur de Penn State, je me méfie; certains Américains tendent à voir de la pédophilie dans des photos de bambins nus sur une plage. S’il ne s’agissait que de douche collective, partagée en tout bien tout honneur entre un adulte et une équipe de garçons même pré-pubères, je ne suis pas certain qu’il y ait de quoi crier au scandale. Quoi qu'il en soit, elle a réveillé des souvenirs d'enfance (années 1960). Est-ce que je me pose rétroactivement en victime?

Comme scout louveteau (8-12 ans) j’ai participé à un camp dont le responsable procédait chaque soir personnellement à la douche individuelle de chaque garçon à poil, passant consciencieusement son éponge savonneuse partout... Lui portait son short de bain, et je n’ai jamais rien remarqué d’inconvenant, même si nous disions que c’était curieux et étions soucieux d’éviter d’avoir le piquet. Je pense néanmoins qu’aucun de nous n’en a jamais parlé à ses parents: nous ressentions que cela ne se faisait pas. Cela ne m'a pas traumatisé (mais ce serait certainement l’effet d’en parler et de voir les réactions horrifiées que cela susciterait!). Pensez: dans le même camp circulaient entre les louveteaux des bandes dessinées pour adultes (petit format) barbotées aux parents. Ni chattes, ni bites, ni sperme, mais des belles filles seins nus et des beaux gosses (dont le slip noir faisait mon désespoir) dans des situations suggestives...

Au même âge et en d’autres circonstances, je n’avais qu’une envie, celle de voir les moniteurs jeunes adultes à poil. Mais ils attendaient (eux!) que nous ayons fini de nous rhabiller après la piscine. Une fois, j’ai oublié volontairement ma montre pour faire irruption plus tard dans le vestiaire... À l’internat, je me suis intentionnellement mis à bander dans une douche collective pour voir si cela déclencherait je ne sais quoi. Mais rien, hélas! (Aujourd'hui je serais probablement signalé à un service éducatif.) Et je conserve un souvenir ému de ma dernière colo de pré-ado où un garçon, qui avait déjà commencé sa puberté, présentait des organes transformés ornés d’une collerette de poils.
 
Si j’ajoute que, quelques années plus tôt, j’étais attiré par la pissotière du quartier dans laquelle je me rendais seul, on se dira que je suis totalement dépravé. En réalité pas du tout: je vivais alors dans une innocence inconcevable aujourd’hui, ignorant des choses du sexe et a fortiori de l’homosexualité, ou des pervers à l’affût... Je devais avoir 10-11 ans lorsqu'un copain a tenté de me faire croire des choses dégoûtantes sur ce que font le père et la mère pour avoir un enfant. À 13 ans, après notre première leçon d’éducation sexuelle donnée par une doctoresse, mon voisin de banc et moi-même avons bien compris que le nom scientifique du zizi était “anus”... Et je garde un regret éternel de mon déniaisement raté: à 12 ans, je me suis enhardi à dire au fils du boucher, gros vantard, que mon piquet remontait plus haut que le nombril. Mais la fin de la récréation a sonné et nous n'avons pas eu le temps de nous rendre aux WC pour comparer.
 
L’affaire de Penn State prend évidemment une toute autre coloration que ces souvenirs si l’entraîneur (père de six enfants) a réellement sodomisé un garçon de 10 ans dans un vestiaire et abusé de nombreux autres jeunes en situation familiale difficile. La curiosité sexuelle des adolescents fait partie de la construction de soi. La condition de leur épanouissement futur repose sur le fait qu'elle ne sera pas suivie d’un passage à l’acte. C’est aux adultes de savoir y résister, d’assumer la différence de rôle qui est le leur.

Robert G. sur case des hommes

 

 


 

COMMENTAIRE :  à mon avis ton gars savait très bien ce qu'ils faisait en te faisant de l'exhib "sous le nez"

 

 

Par GLAUDOUN - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 6 mai 1 06 /05 /Mai 07:31

 avec des témoins sidérés d'entendre des choses pareilles :

    Résultat de recherche d'images pour "gif max boublil""ce soir tu vas prendre"

 

 

 

   Image associéeMEURTRE EN DOUCEUR

 

Oh ! Ce soir tu vas prendre m'a dit Jo  

 

"J'étais prévenu. Cette nuit, il y a eu un tremblement de terre corps. Ici, chez moi. Tout a été dévasté. J’ai été touché, trop. Ma peau en garde un souvenir rouge éclaté. Je voulais qu’il entre mille fois en moi. Il l’a fait. Jusqu’à ce que chacune des parcelles de mon corps ne puisse plus, se sature, s’overdose. « Tu es la pire des choses que je connaisse » disait-il. Je riais et je gémissais aussi. L’épuisement faisait de nous des chiffons mouillés. Mon cul me faisait mal à force de jouir. Les secousses étaient si fortes, comme pour dire au désir de se calmer : "Ça va maintenant, tu exagères ! Tu n’en as pas eu assez ? L’excès n’a pas de sens". "Je me tords maintenant. Je laisse résonner les caresses et mon coeur fibrille*  tout seul .J’ai chaud  dans tout ce désordre"

    * "un infini recelant peut-être d’oniriques bactéries susceptibles de fibriller en travers de quelque horizon inimaginable". — (Ray Bradbury Unterderseaboat Doktor, traduit par Hélène Collon, dans Meurtres en douceur et autres nouvelles, page 26, 1997, Denoël)

    Est-ce que tu te rappelles, quand on prenait le temps
De s'aimer vraiment
Est-ce que tu te souviens, tes sourires innocents
On était des enfants
Ce soir je suis là pour toi, j'ai coupé mon téléphone
Je n' veux voir personne
Je veux qu'on soit comme avant
Qu'on ait les mains qui tremblent
Je ne veux plus attendre

Oh ! Ce soir tu vas prendre
Mais tu vas prendre

Comme si je sortais de prison
Après vingt ans de réclusion

Oh ! Tu vas prendre
Oui tu vas prendre

J'ai vu des culs toute la journée
Tant pis c'est toi qui va payer

Oh ! Tu vas prendre

Je suis fragile comme une fleur
Fragile comme la soie
J'ai besoin de toi
Je n'tarderai pas mon cœur
Glisse-toi dans les draps
Mais surtout ne t'endors pas
Parce que ce soir tu vas prendre

Oh ! Tu vas prendre

Je vais t'en mettre pour dix ans
Tu l'raconteras à tes enfants

Oh ! Tu vas prendre
Oui, tu vas prendre

J'espère que t'es véhiculé
Parce que tu pourras plus marcher

Oh ! Tu vas prendre

L'amour c'est un peu ça
C'est comme au cinéma
D'ailleurs j'ai pris la caméra

Et ce soir tu vas prendre
Oh! Tu vas prendre

Je sais, t'as bouffé chez ta mère
Mais je t'ai ram'né le dessert
Oh! Tu vas prendre
Oui tu vas prendre
Et si jamais t'as encore faim
J'ai ramené deux, trois copains

Oh ! Tu vas prendre
Oui tu vas prendre

Lalala Lalala

Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre

Lalala Lalala
J'te promets qu'tu vas prendre.  Max Boublil

 

 Protestation :  celui qui me détruit mes images chez erog est un enculé

 


commentaire :

 

  Admirez la fougue ci-dessous : Résultat de recherche d'images pour "MAGIC ENTICING gay secret stroking"

 

  mais qui les arrache du blog ces belles images que j'ai mis tant de temps à trouver il m'arrive de penser qu'erog c'est NUL comme ce carré noir, comme un trou noir qui(vous)aval sans espoir de retour....Zappez le noir et voyez la passion.

    fresque :  

   

 

   

 

 

 

l'amour est l'amour ❤
Les garçons aiment les garçons, les filles aiment les filles
  «Et je ne peux pas changer, même si j'ai essayé. Même si je voulais »

  

Par D. Vasté - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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