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Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 00:26

   BAISé JUSQU'AUX AMYGDALES par une bite hyper longue   

   

Il faut que je vous raconte cette histoire qui s’est passée une après-midi il y a quelques jours.
Pour commencer, j’ai 38 ans, je m'appelle Cédric et je suis avec un mec depuis 11 ans. Je dois vous dire que avant lui j’étais actif et passif. Mon copain est exclusivement passif, donc évidemment moi seulement actif. Il a essayé plusieurs fois de me pénétrer sans sucer, il débande de suite. Quand l’envie de me faire prendre me taraude, et comme je suis fidèle, j’ai trouvé un moyen de me donner du plaisir anal grâce a des godes, mais je ne m'affiche pas quand je le fais. Au début c’était pour pimenter notre vie de couple. J’adore défoncer le cul superbe de mon mec avec des godes. Voir des godes de différentes tailles disparaître dans le cul de mon mec et l'entendre gémir me rend fou de désir.
Jusqu’à une certaine après-midi il y a un mois,  nous n’avions jamais rien fait sexuellement avec d’autres mecs. Nous apprécions beaucoup aller sur X... dans des saunas gay pour profiter des bienfaits du sauna, hammam et des bains bouillonnants. Et bénéficier des installations mises a disposition, tels que le sling et la table du docteur avec les étriers, où je peux voir le cul de mon mec écarter et voir son anus bien ourlé de désir attendant d’être pénétré par ma bite. Bien sur, il y a aussi le coté un peu voyeur.
Dans le sauna où nous allons il y a aussi les fameux « glory holes ».  Cet espace a été créé de telle sorte, que les mecs qui se font sucer sont debout face à un film porno et les mecs qui sucent sont debout eux aussi. Cela facilite la pratique, plutôt que de devoir se plier en deux pour sucer un type.

fagsmut: Gay gloryhole sleaze: Big dick shoved through a sauna glory hole for servicing. (Freaks 3 | Wurstfilm 2006)

Mon ami et moi aimons bien ces trois glory holes. En fait, mon mec suce hyper bien et moi j’adore quand il le fait. Donc, on choisit un trou de libre puis je me met coté sucé et lui de coté suceur. Quand il passe ses doigts dans le trou, j’y mets ma bite et il me suce avec toute l’habileté que je lui connais. Un jour il y a mis tellement d’ardeur que je lui ai giclé dans la bouche, il a tout avalé avec avidité. 
Il arrive très souvent que suceur ou sucé se touchent. Mon mec aime ça, surtout que la salle des suceurs est plongée dans le noir, mais il ne va jamais plus loin que les attouchements.  Moi, au dessus, le corps collé à la paroi, la bite bien en érection passée dans le trou et coincée dans la bouche de mon copain, parfois certains mecs me caressent. Au début cela me déplaisait, mais mon mec m’a dit de me laisser faire, car il est vrai que c’est très excitant de se faire toucher par un autre. 
Mais dernièrement mon envie de me faire prendre me démangeait sérieusement. Mon fantasme était de tomber sur un beau mec, gentil, pourvu d’une grosse bite, et de me faire pénétrer alors que je fais de même à mon copain.  
L’occasion de le réaliser s’est présentée une après midi. J’étais en train de me faire sucer par mon copain, alors qu’un mec s’est placé à coté de moi et a inséré sa bite dans le trou voisin du mien. Je ne l’ai pas de suite regardé, mais quand il m’a passé sa main dans le dos, je me suis retourné pour le voir. Il doit avoir mon âge, brun et il est plutôt pas mal. Donc, je me laisse aller à ses douces caresses qui descendent bien vite de mon dos à mes fesses. La serviette que je porte à la taille, m’est très vite enlevée. L’excitation prend le dessus et je commence moi aussi à le caresser. Il a un très beau corps bien musclé, mais pas trop comme je les aime, mais à partir de là, la question de sa beauté a été oubliée : la surprise est de taille.
Il recule et retire son sexe du glory hole. Et là je distingue une queue énorme, je ne peux m’empêcher de la prendre de suite en main. Elle est magnifique, très longue : elle doit faire deux fois mes mains en rond sur la tige, grosse, veinée encore luisante de salive, je ne peux même pas en faire le tour avec ma main. Je la branle un peu, mais il se colle derrière moi et place sa belle bite entre mes fesses et la fait lentement coulisser ente mes fesses sans sembler vouloir me pénétrer. 
A ce moment je n'arrive plus à penser. C'est mon cul qui pense pour moi. Mon fantasme risque bien de se réaliser. Je sens mon anus se dilater et gonfler, excité par son gland qui frotte délicatement l’entrée de mon cul.
Je suis extrêmement excité, ma bite est tendue à mort, je sens mon copain qui me suce de plus belle. D’un coup, je ressens une vive douleur dans mon dos. Il vient de me mordre, il m’a fait mal. Je le lui dis, il me répond :
- Tu es trop excité, je ne veux pas que tu jutes trop vite.
En effet je suis si excité que j’ai peur de jouir tout de suite.  Je lui dis :
- C’est mon mec qui me suce.
- oui, je le sais je vous ai vus dés votre arrivée.
- je pense que t’as envie de me prendre ?
- ouihh !
- Si tu veux on peut aller dans une salle mais avec mon mec.
- OK
On se remet les serviettes autour de la taille et on se met à la sortie de la salle noire pour attendre mon copain qui vient de suite. En voyant le mec, il comprend la situation et il est d’accord.
A vrai dire, j’en ai très envie, mais vu l’engin j’ai peur que cela ne rentre pas et que cela me fasse mal, en plus il est si long que, s'il vous prend à fond, son gland va toucher vos amygdales !!!
On rentre dans une salle, le mec bande déjà très dur. Les serviettes enlevées, on s’allonge tous les trois sur la banquette, moi au milieu. Puis on se caresse, on s’embrasse, et mon mec nous suce. Je vois qu’il prend un énorme plaisir à sucer cette grosse queue. Moi j’ai essayé mais je n’ai pas pu la mettre en bouche, c'est dire !
Mon mec se relève et me dit de me mettre en position. Je me mets à quatre pattes avec le mec derrière moi et il recommence à faire glisser sa queue entre mes fesses.  Je demande à mon copain de venir devant moi pour que je puisse le pénétrer avec ma queue hyper bandée, mais il refuse et me dit :
- Non, prends ton pied et profites-en. Il sait de quoi il parle.
Il se couche perpendiculairement devant moi de sorte que je puisse le sucer et l’embrasser alternativement et lui me caresser le cou, le torse, le dos...m'embrasser aussi ! 
Ça y est : mon mec me passe du gel sur l’anus. Ce geste marque son propre consentement à ce que je me fasse baiser par un étranger à notre couple. Je suis émoustillé et nerveux à la fois. Je dis à mon baiseur :
- Vas-y doucement ça fait longtemps que je l’ai pas fait. Et puis elle est grosse ! 
- Ne t’inquiète pas je serai doux
Puis, il place son gourdin entre mes fesses, son gland chaud tout contre mon anus et force l’entrée. Il pousse fermement, je respire fort et cambre mon cul au maximum et mon copain me rassure et encourage à me détendre. Le gland rentre et il m’envahit lentement mais entièrement. Aucune douleur, plutôt une sensation étrange de gêne (vu la grosseur c’est normal) mêlée de plaisir. Il dit :
- C’est vrai que ça fait longtemps ? Tu es bien ouvert pourtant !
Je lui réponds :
- D’autres choses sont passées par là.(les godes !)
Il se met à rire mais ne répond rien et continue à s'insinuer en moi. Diable que c’est bon, il s’y prend vraiment bien, je ressens bien sa grosse bite qui rentre inexorablement dans mon cul, et dilate mon anus, passe mon premier sphincter, me fait sursauter pour franchir l'autre. J’ai l’impression d’avoir une grosse massue dans mon bas ventre. Mon copain fait tout ce qu'il peut pour me caresser et me distraire d'une éventuelle douleur. M'a-t-il entièrement pénétré de son sabre ? Je pose mon front sur la poitrine de mon copain et je risque une main sous moi. de l'index je frotte le pénis de mon baiseur.Il reste encore une bonne douzaine de cm. Mais là, je reviens rapidement en appui : une étrange engoisse m'a saisi tandis qu'il progresse encore. C'est physique. Mon intestin est investi très haut. Je transpire à grosses gouttes. Qu'est-ce qu'il m'encule bien. Comme jamais je n'ai eu cette sensation. Un vertige. Ma respiration est en attente. Abandonnantmes hanches, il me tient aux épaules et il tire. Doucement il me dit à l'oreille, tu l'as toute maintenant. Tu es bien ?  Je ne sais que gémir mon aquiescement. Là, retrait total puis retour total. Je perds la tête, les yeux perdus dans un nuage peut-être j'y vois, peut-être non. Mon copain regarde avec gourmandise ce que le mec me fait subir. Alors que je commence à gémir bruyamment l’enculeur me dit :
- alors c’est mieux qu’un gode non ?
D’une voix étranglée et essoufflée je réponds :
- oui, c’est cent fois mieux, continue
hh!

Il reprend ses allées et venues sans se presser. Il a l'air de savoir que je suis au ciel. Il me laboure en allant un peu plus vite, mais toujours avec douceur. Sa queue, chair contre chair, glisse et reglisse dans le velours de mon fourreau, elle-même étant très douce, de mon anus où il plonge et replonge, en passant probablement par ma prostate et en allant tout en haut de mon intestin. Je suis à lui. Totalement. J'aimerais qu'il m'inonde de sa semence nacrée là haut tout en haut qu'il prenne une possession totale de mon être. Je le lui donne.  Je ne sais plus ou donner de la tête entre embrasser mon copain, ou lui sucer la bite. A chaque coup de bite, j’ai le souffle coupé et j’ouvre bien grand la bouche pour respirer, tout en poussant des gémissements. Mon mec a la bonne idée de me prendre la bite pour la branler. Le mec est très endurant, moi le plaisir monte vite et dans un cri de bête en rut je jouis en maculant la banquette et les doigts de mon copain d'un sperme abondant. Il se retire, il n’a pas joui, mais il nous dira qu’il aime baiser plusieurs culs sans juter, pour faire monter la pression.
J’ai pris un plaisir immense à me faire sauter de la sorte par un mec endurant mais aussi respectueux du plaisir de l’autre.
Par contre, mon copain n’a pas joui et s’est forcément senti mal à l’aise. Voyant que j’avais pris beaucoup de plaisir à me faire prendre, il a dû être troublé car il est incapable de me donner ce plaisir, de plus c’était la première fois qu’il me voyait dans le rôle de passif. 
Je vous avoue que, bien que je venais de jouir avec force je n'étais pas lassé de la pénétration profonde. Surtout parce qu'elle était profonde.Un peu déçu de ne pas avoir été fécondé, j’avais à nouveau envie, mais mon mec risquait de l'avoir mal pris. Oh, que ç’est compliqué ! moi qui joue toujours le rôle actif je me sentais comme une lopette. Sans volonté. Je ne voulais pas briser mon couple pour cette histoire de sodomie, alors…

QU'AURIEZ-VOUS FAIT  OU PROPOSé A MA PLACE CE JOUR-LA ?

(Je répondrai à vos commentaires imaginatifs et sagaces) 

 

un apès-midi au sauna...

 

 

 

 

la fin vous appartient ! 

   

 

 

 

 


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Par CEDRIC - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 18:26

 tkt on reviendra te baiser 

 

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Une aubaine pour un vieux comme moi Violé par des chasseurs,

[Je m'appelle Emile, je suis un pacifique et] je n’aime pas la chasse, ces hommes qui tuent des animaux pour leur plaisir ne sont en général pas très intéressants à mon point de vue mais ça ne regarde que moi, il ne faut quand même pas généraliser, il y a certainement des exceptions. J’ai un terrain avec un petit bois à une dizaine de kilomètres du village où je vis , à flanc de colline et j’y vais souvent pour me détendre, personne n’y va habituellement il est assez isolé il y a sur ce terrain une petite cabane et une caravane avec une vue magnifique qui donne sur une petite vallée. C’est tellement calme et reposant que j’y vais le plus souvent en début de matinée pour avoir tout le temps de profiter de la journée ça me change aussi de l’air de la ville, je me libère l’esprit.
Un lundi matin, je passe au bar boire un café comme je le fais presque tous les jours, je dis bonjour à quelques connaissances qui se trouvaient à la terrasse sans prêter attention aux autres personnes qui se trouvaient là, je fais la bise à deux amis arabes[qui ont fait quelques travaux chez moi et, à cette occasion on a fraternisé] et après quelques mots échangés et mon café bu, je prends mon véhicule pour aller au terrain. J’étais seul ma femme étant partie pour la semaine avec une de mes filles, je savais que personne ne viendrait me voir où ne s’occuperait de savoir ce que je pourrais bien faire de la journée. Rares sont les personnes qui connaissent cet endroit, je n’en parle jamais.
Arrivé à destination Je me mis à l’aise, c'est-à-dire en short et torse nu, je n’aime pas trop être habillé surtout l’été avec la chaleur. [Des fois je me masturbe longuement en plein soleil ; c'est pas parce que je commence à être vieux que mes désirs sont éteints] Une fois tous mes préparatifs terminés et m’être bien installé, j’ai entendu un léger bruit de moteur et un bruit de voix pas très loin de moi mais sans y prêter trop d’attention, il arrive quelquefois que des randonneurs se perdent dans ce coin. Il y a aussi, quand c’est la période, des chasseurs.
Il ne me semblait pas que la chasse soit encore ouverte et bien que ce soit une propriété privée , mais sans clôture, les promeneurs peuvent traverser le terrain par un sentier.
J’allais me préparer un autre café quand trois hommes [en tenue kaki et coiffés de casquettes de chasse]m’abordèrent en me disant  alors, on est copain avec les arabes, tu as l’air de bien les aimer, ça doit être même plus que copain dit un autre, (il leur fait la bise ) les sarcasmes allèrent de plus belle. Le troisième en rajouta encore, c’est plus que copain je suis sûr, il va nous montrer ce qu’il fait avec eux, il doit au moins leur servir de femme, je suis sûr , ça ne peut pas être autre chose quand on embrasse quelqu’un c’est qu’on est très proche. Je les remis à leur place en leur disant qu’ils n’avaient rien à faire sur ce terrain et de bien vouloir passer leur chemin mais deux autres types que je n’avais pas vus arrivèrent , l’ un d’eux avait un fusil braqué dans ma direction, on va s’occuper de toi on va te faire ta fête et c’est pas tes copains arabes qui vont te défendre : ils ne sont pas là. Allez fous toi à poil plus vite que ça. Il n’était pas question que je me déshabille, je n’avais rien d’autre sur moi et ne portais pas de sous vêtement aussi voyant ma réaction et comprenant que je n’allais pas me laisser faire , quatre se saisirent de moi et eurent vite fait de m’arracher mon short, et je me retrouvai complètement nu devant eux. Seul contre cinq,et à poil c’était sûr que je ne pouvais pas résister et ne faisais pas le poids.
Voyant que je n’avais pas peur, ils m’attachèrent les mains et les pieds écartés entre deux arbres.Qu'est ce que tu dis de ça vieux con, qu’est ce que tu croyais, qu’on allait repartir? Nous n’aimons pas trop les mecs comme toi alors on va s’amuser un peu, nous défouler sur ton corps tu vas voir ce que des blancs peuvent faire et tu vas faire exactement tout ce que nous allons te demander , nous avons tout notre temps.
Un baillon sur la bouche et un sac de toile sur la tête, entièrement nu, ne sachant pas ce qui allait m’arriver je me retrouvais, me posant des questions,  à la merci de ces cinq énergumènes : qu’allaient ils bien pouvoir me faire, à part me sodomiser peut être.
Ils riaient tous de moi en passant leurs mains sur mon corps, me caressant le ventre, la poitrine, tirant sur mes poils ,pincant le bout de mes seins, me touchant et écartant mes fesses, quel cul il a, on n’aurait pas pensé qu’il pouvait avoir un cul pareil sous son short trop grand. Et à cet âge là!  Quelques petites claques sur les fesses et le traitement appliqué à mes seins me firent de l’effet , aussitôt je me mis à bander. "En plus il aime ça, je sens qu’on va bien s’amuser, oui on va lui en mettre plein le cul."
L’un d’eux se mit à genoux derrière mes fesses,les écarta pour cracher bien au milieu sur mon trou faisant entrer la salive avec ses doigts, un puis deux, et les réflexions suivirent : "il se dilate vite, il doit avoir l’habitude de se faire mettre par ses copains, les arabes ça doit avoir de grosses bites bien dures et ils doivent lui en mettre plein le cul à cette salope".

 "Et moi de penser : quelle aubaine, voilà bien longtemps que ça ne m'est pas arrivé de me faire baiser !"

-"Nous, nous ne sommes pas arabes mais on a aussi de grosses bites que tu vas sentir et prendre bien profond dans ton trou. Je te mets déjà trois doigts facilement et quand nous serons passés tous les cinq sur toi tu auras le trou tellement large qu’on pourra y mettre la main."
Avec du lubrifiant ça glissera mieux et il se dilatera un peu plus,tiens mets lui ça , j’aimerais bien le baiser en même temps que toi, deux queues dans le même trou ça doit être super excitant.J’avais déjà une bite dans le cul mais c’était pas très excitant pour eux qui devaient attendre chacun leur tour pour me baiser [pas de danger que je m'échappe mais] ils décidèrent de me détacher et de m’attacher à plat ventre sur la table entre la caravane et la cabane ce qui leur permettait de pouvoir se faire sucer pendant qu’un autre s’occupait de mon trou.
Ce fut littéralement une orgie, ils se succédaient les uns après les autres qui dans ma bouche à se faire sucer m’étouffant presque c’est vrai qu’ils étaient bien membrés, enfonçant en moi leur bite énorme, leur bas ventre venant frapper contre mes fesses en poussant des cris de bûcheron : han ! han !
Si pour eux c’était un viol à ce qu’ils pensaient pour me punir de mes soi-disant mauvaises fréquentations, pour moi c’en était tout autrement et maintenant ç'était du plaisir, j’entrais dans leur jeu leur faisant croire par mes cris que je souffrais terriblement. -"Crie salope ça nous excite tu cries autant quand tes copains te baisent ?"
Ils me passèrent dessus tous les cinq et certains plusieurs fois[j'admirais leur performance et en profitais], eux se réjouissant de m’humilier à cinquante ans passés
Leurs sodomies étaient brutales, mais je supportais très bien cette situation, j’avais l’anus élargi et tellement ouvert que celui qui dirigeait cette bande de rustres remonta le sperme qui me coulait sur les cuisses pour le faire rentrer dans mon anus qui s’ouvrit sous ses doigts faisant presque pénétrer sa main à l’intérieur : -" putain qu’il y a de la place , quelle ouverture, il faut que je l’enfonce complètement cette main et elle va rentrer. Regardez , elle y est putain que c’est excitant, j’aurais jamais pensé faire ça à un mec !" et plusieurs essayèrent, l’un d’eux alla même à mettre sa main et sa queue en même temps, me dilatant davantage.
Au bout d’une heure ils me détachèrent pour me coucher sur le dos sur la table puis se masturbèrent sur moi surtout sur mon visage.
- "Nous reviendrons pour l’ouverture de la chasse pour un jeu de rôle , tu seras notre gibier, ce sera toi que nous chasserons et nous espérons bien que tu seras là. Tu passes au bar si ça te dit, tu peux dire à tes camarades de venir se joindre à nous. Tu nous ouvriras ta caravane et ta cabane, nous nous chargerons du reste. Avec ce que tu viens de subir, nous sommes certains que tu peux faire mieux !"
Je bandais tellement fort qu’il leur prit l’idée de vouloir me faire jouir pour prouver que j'étais pédé et il m’ont sucé, masturbé et enfoncé une bouteille de bière dans le cul.
J’en ai joui tellement fort que mon sperme n’a jamais giclé aussi loin, je suis prêt à recommencer dès leur retour. Merci à ces chasseurs, j’en ai maintenant une toute autre vision.
Ah Lex



 

 

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elvaroncitopr: “Lengua en el boquete. ”
                                                           

 

 

         

 

 

 

 

d  

si nos femmes savaient....

 

 

 

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Par EMILE - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 18:14

      deux copains chasseurs au cabanon de chasse  

 

d

  cabanon de chasse où on a tout,

tout le confort, sauf nos femmes qui ne ssavent rien deu gibier qu'on chasse

-lol-   

 

 

 

 

                                                                                    
                                                                                    

 

      2 chasseurs qui me disent attention risque de coups de feu et que les balles ne sont pas a blanc!  1 des 2 rigole! : nous on tire pas à blanc  

 

  Mes 2 chasseurs sont en train de se tripoter la queue au travers de leurs tenues
Hummmmmm je vois déjà les grosses formes se dessiner
l' 1 des 2 s'approche et me roule une super pelle,et me tripote le cul en même temps,puis une troisieme langue vient se mettre au milieu
Putain,2 chasseurs hyper poilus crane rasé pour moi seul? J'hallucine
D'un seul coup je me retrouve à genoux,2 queues méga monstre a sucer,pas de soucis j'engloutis! 

 

 

 

 

 

 

 

Que(ues) de chasseurs

Vivant dans le Cher nous sommes entourés par les bois
Besoin de sortir de Bourges (prise de tete avec le taff) j'ai pris le chemin des bois

Je me gare tranquille,j'allume une clope,le chemin et plein de boue mais je m'en fous
4 voitures etaient déjà garées a coté de moi.......
J'entendais au loin les coups de feux,merde,c'est la chasse!
Pfou,je continu,et là je tombe sur 2 chasseurs qui me disent attention risque de coups de feu et que les balles ne sont pas a blanc!  1 des 2 rigole! : nous on tire pas à blanc

Et il me dit: Nous ont est comme les balles,ont tires pas a blanc!
Je rigole aussi
Je tire sur ma clope et un des 2 me balance: tu devrai plutot fumé une autre clope qui donne plus de fumée
Ah ouais laquelle?

Mes 2 chasseurs sont en train de se tripottés la queue au travers de leurs tenues
Hummmmmm je vois déjà les grosses formes se dessinées
1 de 2 s'approche et me roule une super pelle,et me tripotte le cul en meme temps,puis une troisieme langue vient se mettre
Putain,2 chasseurs hyper poilus crane rasé pour moi seul? J'hallucine
D'un seul coup je me retrouve a genoux,2 queues méga monstre a sucer,pas de soucis j'engloutis!

Ils se roulent des pelles pendant que je les suces  ces salaups
J'avale queue aprés queue,puis les 2 en meme temps,ça gémit au dessus
Ca sent le jus qui monte,j'arrete!
Le plus costaud en muscles me baisse le pantalon et il me suce a son tour,son pote lui,me dévore le cul,TROP BON

Et en 1 coup je sens une brulure me déchiré le trou,il me baise comme je ne l'ai jamais été
Je suis en train d'en prendre plein le Q pendant que je suce son pote
Ils continuent a se roulés pelles sur pelles
Celui qui me baise (Gillles) me tiens ferme par les hanches et me laboure comme jamais,quand a son pote (Eric) commence a sentir le jus qui monte
Je gueule comme une salope quand Gilles m'envois tout son jus dans les intestins,lui aussi rale de plaisir,quand a Eric je lui pompe tout son jus,jusqu'a la derniere goutte!
Eric et sensible du gland aprés avoir joui mais je ne veux pas en perdre une goutte
Quand a Gilles,lui il boit son sperm qui me coule du Q
Ensemble ils descendent sur ma queue et me pompe chacun leurs tour,je crache une dose massive comme d'habitude,ils n'en reviennent pas,mais ils n'ont rien perdu de mon nectar
Nous nous roulons des pelles a 3,putain que c'est bon!
Voilà,nous échangeons des banalitées,et quand ils apprennent que je suis Militaire,là c'est la joie pour eux

Ils sont mariés tout les 2 mais nous nous voyons chaque semaine chez moi (je suis celibataire) et nous dormons ensemble chaque week end depuis 2 mois
3 ours qui dorment ensemble!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Si vous en voulez encore + dites le moi

ourson18 sur cyrillo.com

 

Par MAXOU - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 31 octobre 1 31 /10 /Oct 06:59

 

Un récit de visite médicale 7 Septembre 2016

Un récit de visite médicale

Bravo à Joshua pour ce texte          

À 25 ans, j'ai décidé de reprendre le sport. Plus jeune, j'avais été sportif (un peu de volley et d'athlétisme), mais les études m'avaient un peu accaparé et j'avais progressivement abandonné. Pour m'y remettre, j'ai donc opté pour le footing : simple, pratique et pas trop exigeant pour un démarrage en douceur. Mais au bout de 2 semaines, une douleur chronique s'est mise à se manifester au niveau du pied gauche. Comme je voulais faire les choses correctement, je décidais d'aller consulter un médecin du sport qui pourrait vérifier ça et éventuellement me donner quelques conseils.

Je l'ai donc choisi au hasard, dans l'annuaire, pas très loin de mon boulot.

Le jour dit, après avoir attendu longtemps dans la salle d'attente, sa porte s'ouvre enfin et le patient précédent sort. Il appelle mon nom.

Il a probablement un peu moins de 40 ans, est plutôt agréable à regarder sans pour autant être une bombe : les cheveux bruns et courts, dans les 1m75, la peau plutôt claire et rasée de près. Il porte un pantalon beige et une chemise claire qui permettent de voir qu'il est plutôt mince, avec quelques poils drus qui dépassent par l'échancrure de sa chemise. Il me fait asseoir et après avoir pris les renseignements nécessaires (25 ans, 1,77 m, 68 kg, etc.), il me demande de lui expliquer l'objet de ma visite. Il saisit immédiatement le problème et m'explique que la reprise de sport doit être supervisée. Il me propose donc de faire un test d'effort.

Jusqu'à là, l'entretien est plutôt normal.

Il me demande alors de me mettre en sous-vêtements et de m'asseoir sur la table d'auscultation pour prendre ma tension et écouter mon cœur. Ses gestes sont précis et professionnels, mais le contact de ses mains chaudes est très agréable. Ensuite, il me fait m'allonger sur le dos pour tester mes articulations : je dois plier les jambes et ramener mes genoux vers le torse, l'un après l'autre. En faisant ces étirements, je me dis qu'avec mon slip blanc plutôt slim, ça bâille probablement un peu au niveau de l'aine. Je suis sûr qu'il pouvait voir la base de mes couilles et quelques poils (châtain foncé, je suis quasi imberbe, sauf au niveau des jambes plutôt fournies, et autour du sexe, que je taille). En plus, comme mon sexe est plutôt épais, on le distingue facilement au travers. Je trouve qu'il insiste beaucoup pour chaque jambe, mais me dit que c'est peut-être mon imagination.

L'étape suivante est le test d'effort en tant que tel. Toujours en slip, il me fait faire des « jumping jacks » et je sens que ma bite gigote à chaque saut. Je crois surprendre quelques regards discrets vers mon entrejambe sans en être totalement sûr. Ensuite, il me demande de me coucher par terre sur le dos, les jambes pliées, et de faire des abdos. Il se place à mes pieds, presque entre mes jambes et me maintient les cuisses écartées et vers le sol. Il doit avoir une vue plongeante sur la bosse que forme mon pénis. Entre chaque exercice, il prend mon pouls et le note.

Mais la consultation s'arrête là. Il m'invite à me rhabiller et retourne à son bureau. Il m'explique rapidement les résultats des tests et note rapidement une ordonnance. Lorsque je le rejoins, il me la tend en disant :

« Tenez, je vous ai prescrit une pommade. Revenez la semaine prochaine, je vous ferai un massage avec. »

Je le remercie, paie et m'en vais.

Toute la semaine, j'hésite à y retourner. Après tout, j'en avais envie et peut-être même besoin médicalement. Je sentais de l'excitation mais aussi une légère angoisse : le problème, c'est qu'en sortant du rendez-vous, il m'était impossible de savoir concrètement les intentions de ce médecin. Après tout, rien ne s'était passé et peut-être même avais-je fantasmé son intérêt pour mon entrejambe. Un médecin, c'est quelqu'un de sérieux, il n'y a que dans les films pornos que ce genre de choses arrivent (et en plus c'est pas très crédible...) D'un autre côté, j'étais venu pour mon pied, et repars avec un rendez-vous pour un massage ; et le test d'effort, pourquoi me le faire faire en slip ? M'étais-je fait des idées ? Peut-être que je m'étais moi-même « auto-excité ». Ce qui est sûr, c'est que je me suis soulagé dès que je suis rentré chez moi !

La semaine passe et je me décide finalement à aller au rendez-vous, avec la pommade. Cette fois-ci, il me tutoie. Étrange, mais comme il m'avait expliqué travailler avec beaucoup de jeunes athlètes, je me dis que c'est peut-être simplement une habitude un peu paternaliste...

Il me demande la pommade prescrite la fois précédente et me dit de m'allonger sur la table d'auscultation, sur le ventre et en slip. Il commence par me masser les épaules et le dos. Déjà, je sens que je risque d'être excité et de me mettre à bander. Il continue d'étaler la pommade vers les reins et sans rien dire (à peine en marmonnant un : « ça sera plus facile si... »), il tire sur l'élastique de mon slip. Je l'aide et fais glisser le slip le long de mes jambes en essayant de rester face à la table. En me recouchant, je me dis que rien qu'en touchant mes cuisses, il va déclencher une érection. Ma bite est d'ailleurs déjà un peu gonflée mais je me rassure en me disant qu'il n'a pas dû la voir. Et là, il commence à me masser les cuisses en remontant vers l'intérieur. Il me demande : « Ça va ? »

Je lui réponds, en essayant de garder un ton détaché : « oui oui, très bien... »

Il continue le massage en alternant entre les reins et les cuisses et là, il n'y a plus de doute : à chaque fois, il faut qu'il passe par mes fesses et qu'il m'effleure l'anus. Je me dis que là, il a bien dû sentir que mon périnée était tout dur, signe de mon érection. En me prenant les hanches, il me dit alors : « Mets-toi sur le dos ».

Je n'ai plus le choix : j'obtempère et découvre mon sexe tout durci en bredouillant un : « je suis désolé, je suis très sensible... ». En plus, comme mon pénis a une forme assez particulière en érection (courbé vers le bas et assez long, dans les 18 cm), il ne repose pas sur mon ventre mais se redresse lorsque je suis couché. Pas moyen de le cacher !

« Oui, en effet, tu es très réactif, dis donc ! » me dit-il, alors que je rétorque en moi-même : « Je le serais peut-être moins si tu ne m'avais pas massé ma rondelle ! »

Et là, naturellement, il saisit mon pénis entre trois doigts et lentement, le décalotte complètement. En faisant ça, mon pénis se contracte et de la mouille coule le long du gland. Je suis un peu gêné, parce qu'à sa base, dans le pli du prépuce, je constate qu'il y a quelques petits bouts blanchâtres. C'est parce qu'au cours de la journée, j'avais été pas mal excité en fantasmant ce rendez-vous... et j'avais oublié de vérifier qu'il n'y avait pas de traces. En faisant passer ça pour un geste médical, il glisse un doigt pour récupérer un peu de matière et le porte à son nez. « Tu produis beaucoup de smegma, tu es visiblement très excité... Est-ce que tu veux que je m'occupe de ça aussi ? »

« Je veux bien... », dis-je d'une voix étranglée.

« En tout cas, tu as une verge de belle taille », reprend-il en serrant ses doigts autour et en faisant coulisser mon prépuce. Il sent bien que le simple fait qu'il prenne mon sexe dans la main me fait beaucoup d'effet, mais il le lâche aussitôt.

Couché sur le dos, nu et avec le sexe dressé, avec un médecin qui me manipule, j'ai vraiment le sentiment d'être à sa disposition. C'est à la fois excitant et un peu humiliant... Il en joue et reprend donc son massage comme si de rien n'était. Il commence par le haut des cuisses en insistant sur l'aine. À chaque passage de sa main, son bras effleure ma bite dressée. On pourrait croire que le contact n'est pas intentionnel, mais je sais maintenant que c'est pour m'exciter ! Signe que ça marche, il y a d'ailleurs un filament de mouille qui s'étire entre mon gland et le dos de sa main. Il me fait écarter les jambes et me masse les adducteurs. Ses mains insistent sur la zone, en allant de la base des couilles (je ne les rase pas parce que je trouve que c'est plus sensible comme ça !) à l'anus. Je vois bien qu'en insistant sur la zone, il s'amuse à faire gigoter ma bite.

Je sens d'ailleurs qu'il a repéré ma rondelle et joue avec en y rentrant le bout de l'index. J'écarte encore plus les cuisses pour l'inciter à rentrer plus profondément.

Alors qu'il se met à me doigter (la pommade aide bien...), il se penche et commence à goûter le suc qui sort de ma bite, juste avec les lèvres et le bout de la langue. Ma bite tressaute dans tous les sens sous l'excitation. Il joue à ça un bon moment jusqu'à ce que finalement, je ne résiste plus : je relève mon bassin et enfonce mon gland dans sa bouche. Il ne s'y attendait pas mais referme ses lèvres dessus et je sens qu'il savoure le goût. Du coup, il se met à me sucer franchement, penché sur moi. Puis, il change de tactique : il reste immobile au-dessus de moi et en glissant une main sous mes fesses, il m'incite à faire coulisser mon pénis dans sa bouche. Il met beaucoup de salive et passe bien sa langue au niveau du frein et sur le gland (le mien est assez large : il a vraiment la forme d'un champignon). C'est la première fois que je « baise la bouche » de quelqu'un et c'est délicieux : la simple vue de ma bite baveuse qui rentre et sort de sa bouche me rend dingue.

Au point où on en est, je ne veux pas que ça soit juste une pipe, j'en demande plus ! Je me redresse et lui demande : « je peux ? », en regardant son entrejambe. Il retire mon sexe de la bouche pour me répondre : « Avec plaisir, si tu veux... » Je remonte alors mon bras le long de sa cuisse et attaque la boucle de sa ceinture. Je déboutonne son pantalon et le baisse un peu, pour voir apparaître une barre tendue sous un caleçon gris rayé. Quand je la prends dans ma main, je constate à travers le tissu qu'elle est vraiment rigide. Je tire son caleçon vers le bas pour pouvoir la contempler ; en sortant, sa bite rebondit et tape contre la table d'auscultation. Elle est plutôt longue et fine, entourée d'une touffe de poils noirs bien fournie. Le prépuce est suffisamment long pour recouvrir presque tout le gland, même en érection. Sa bite se redresse vers le haut et penche beaucoup vers la gauche.

Sans trop bouger pour qu'il n'arrête pas de me sucer, j'approche mon visage de sa bite. Je tire doucement sur le prépuce et le décalotte : un beau gland allongé et très humide apparaît, et avec lui une odeur de mâle insistante. Ça me dégoûte un peu mais m'attire en même temps.

Sans l'aide de ses mains, il enlève complètement son pantalon, son caleçon et ses chaussures et pose un pied sur la table en gardant l'autre au sol. De là où je suis (couché sur la table) et avec sa position (les jambes bien écartées), j'ai une vue super excitante de sa bite, ses couilles, et une rainure de poils très dense qui sort de sa raie.

Vu l'invitation, je glisse ma main entre ses jambes et un doigt entre ses fesses. C'est chaud, moite, et visiblement sensible parce qu'il pousse un petit gémissement alors qu'il a toujours la bouche pleine. Je recouvre mon majeur de salive et retourne le glisser dans sa raie velue. Je fais doucement rentrer le doigt dans son anus et me sers de ce levier pour rapprocher son corps de mon visage et son pénis de ma bouche. J'ai envie de goûter et tends la langue. Sentant la chaleur de ma bouche toute proche, il donne un coup de reins pour la pénétrer mais la courbure de son sexe le fait manquer sa cible. Il laisse un peu de sa mouille sur mon nez, et l'odeur puissante de son sexe m'entête à chaque respiration. Elle me chavire complètement. Je saisis son gland décalotté et le frotte dans la paume de la main comme pour le lustrer. Je me dis que ça me fera un petit souvenir odorant au creux de la main... La mouille luisante et visqueuse qu'il y laisse m'indique qu'il semble bien apprécier les mouvements de mon poignet.

Finalement, je me décide à enfin goûter. Alors qu'il est à présent presque couché sur moi en 69, concentré à lécher mes testicules, je fais rentrer son sexe dans ma bouche le plus possible, jusqu'à avoir une vue très précise de ses couilles. Elles sont bien tombantes et entourées d'un duvet noir très bouclé. Alors qu'il commence à coulisser dans ma bouche, elles viennent me taper sur le visage. Elles sentent vraiment fort et ça m'excite énormément !

De son côté, plutôt que faire de francs va-et-vient, sa manière de me branler est tout en effleurements et en attouchements, et c'est plutôt efficace ! Il sent que je ne vais plus tenir très longtemps. Je commence à gémir pour lui faire comprendre que je vais jouir. Il me demande : « Tu vas éjaculer ? »

J'écarte encore plus les cuisses et me cambre pour lui faire comprendre que je veux qu'il me doigte encore, que ça va déclencher l'explosion. Je prends carrément mes genoux dans chaque main pour écarter mes fesses et m'ouvrir complètement. Je vois qu'il se penche pour pouvoir contempler ma rondelle. Jusqu'à présent, il ne la connaissait que par le toucher mais sa vue semble le réjouir tout autant (elle est très sombre, avec une petite couronne de poils qui se densifie en remontant de chaque côté du périnée). Alors qu'il la contemple, je vois que sa queue se contracte et les pulsations la recourbent encore plus vers le haut.

Il grimpe alors complètement sur la table, en 69 sur moi, et commence à lécher mon anus à découvert. La sensation de sa langue qui me pénètre, la vue de ses fesses écartées et de son trou au-dessus de moi, ma bouche complètement remplie par son sexe raide... Tout ça me fait gémir et l'excitation est presque douloureuse !

La respiration coupée, je dégage ma bouche pour lui souffler : « Je vais jouir, je vais jouir ! » Je pensais l'alerter pour qu'il s'éloigne, mais à la place, il remplace vite sa langue par un doigt qu'il enfonce profondément dans mon cul, et approche son visage de mon pénis. Je ne peux plus me retenir et une première giclée de sperme vient l'atteindre sur les lèvres et une aile du nez. Immédiatement, il gobe le bout rougi d'excitation, histoire de ne pas en perdre davantage. D'autres jets suivent et viennent taper contre son palais. Je continue à coulisser dans cette bouche où sa langue masse mon gland enduit de sperme. Il a l'air de bien aimer le goût parce qu'il tète avec application.

Je suis gêné parce que je ne pensais pas qu'il avalerait mon sperme, et en même temps, c'est tellement bon ! Alors qu'il continue à me sucer et me doigter avec application, j'ai immédiatement envie de reprendre son sexe dans la bouche. Après lui avoir demandé : « tu me préviens, hein, quand tu éjacules ? », je me remets à le sucer, sans l'aide de mes mains toujours occupées à lui faciliter l'accès à ma rondelle.

Gardant en bouche mon pénis maculé de salive et de sperme, il me répond juste par un « hum... » et se met à donner des petits coups de reins qui enfoncent à chaque fois son sexe plus profondément dans ma bouche.

Tout d'un coup, je sens un premier jet de sperme sur ma langue. J'essaye de faire sortir son sexe de ma bouche mais, avec ma tête coincée entre ses cuisses et la position de sa queue (avec sa forme très arquée vers le haut mais coincée vers le bas dans ma bouche), impossible de me dégager. Lui est concentré sur son orgasme. À chaque spasme, je vois son anus se contracter et sens de puissantes coulées de sperme me remplir la bouche. Il doit y en avoir 3 ou 4 mais j'ai l'impression d'être inondé. Impossible de ne pas avaler, surtout si je veux reprendre ma respiration. Je finis par lâcher prise et avale la semence qui est très compacte et grumeleuse.

Immédiatement je pense : « Il a fait exprès de ne pas me prévenir, il voulait me jouir dans la bouche... »

Très vite après avoir joui, il reprend la posture du médecin et enfile en vitesse son pantalon. Alors que je m'essuie la bouche, il me dit avec un certain aplomb : « Tu as bien éjaculé, je pense que ça t'a bien décontracté. C'est bien, ça va contribuer à relaxer tes muscles. » Avec une mauvaise foi aussi assumée... eh bien je n'ai rien trouvé à répondre !

Il retourne rapidement à son bureau en refermant les boutons de sa braguette. En descendant de la table d'auscultation, je vois son caleçon par terre, qu'il n'a pas remis. Pour la peine, en me rhabillant, je le mets discrètement dans mon pull, que je garde à la main. En revenant à son bureau, je récupère mon sac laissé sur la chaise et, prenant l'excuse de saisir mon chéquier, je glisse mon pull et son précieux contenu dedans.

Il me propose de reprendre un rendez-vous dans un mois, pour voir comment ma douleur au pied évolue. Je lui réponds que « oui, pourquoi pas ? » et lui tend mon chèque. Il me raccompagne à la porte.

Je n'ai jamais osé y retourner, mais j'ai toujours son caleçon dont l'odeur entêtante m'a beaucoup servi les semaines d'après !

 

 

 

 

 

 

Par Dr PD - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 9 octobre 7 09 /10 /Oct 07:18

  je savais que cette calanque près de Marseille avait une forte fréquententation homo pour y avoir goûté  de mon plein gré  

« L’hypnose, c’est une relation pleine de vie qui a lieu dans une personne et qui est suscitée par la chaleur d’une autre personne. »

— Milton Erickson

 

 

 

Résultat de recherche d'images pour "gros joint de weed"            aux abords de ce qu'il faut bien appeler une drague,  il s'y passe ce que l'on voit des dragues de la périphérie des grandes villes, certes, mais Marseille c'est Marseille et il s'ajoute ici un petit frisson que vous n'aurez pas             Résultat de recherche d'images pour "gros joint de weed"   à Trifouilly-les-oies  -lol-      

 

  

Résultat de recherche d'images pour "surin arme"  Résultat de recherche d'images pour "promeneur randonneur calanques"

insécurité certes  et gens qui n'ont rien à voir avec la drague (pas toucher, hein !)

 

Mais pour les tentations, elles sont bel et bien là ! 

   

  

 

 

 

 

Afficher l'image d'origine voyeurs arabes qui matent jusqu'au bout et attendent qu'on ait juté dans votre trou (ou l'inverse) et partent frustrés mais contents!

 

 

 

 

 

 

Rochers autour de la plage de Maldormé à Marseille

 

 

 

  Ce jour là j'ai marché un moment pour rejoindre mon coin de "bulle" 

 

 

 

 

[calanque+des+Queyrons.JPG]

 

  vous voyez là, l'encoignure ? je m'y désape et je m'étends  

 

 

quand surgit ce mec au type arabe, bien fait, mais au regard étrange

Afficher l'image d'origine

  « L’hypnose, c’est une relation pleine de vie qui a lieu dans une personne et qui est suscitée par la chaleur d’une autre personne. » (— Milton Erickson) et c'est ça : une chaleur étrange m'envahit, en fait j'étais tout (bien) disposé à me faire enculer et j'ai compris, après coup, que lui croyait le contraire. Et il a exercé sa force magnétique sur moi. Comme Kaa dans le livre de la jungle. Oui, mais pourquoi puisque j'étais consentant. Le regard et l'esprit déjà embrumés j'ai entrevu son membre en érection comme celui d'un cerf :     

 

j'avais l'explication, il savait que je n'aurais jamais dit oui !  sa queue brune d'arabe était démentielle !

 

      Afficher l'image d'origine  il m'a fourré son 49/3 de bien 30 cm sans anesthésie...un peu de salive...j'ai tendu mon tube de gel, il s'en foutait... 

  je n'oublierai jamais ce regard dévorant 

096.           Résultat de recherche d'images pour "snake hypnotising a small being"        Kaa dans le livre de la jungle.   

  J'ai joui, joui, joui, joui, et puis il m'a beurré,  beurré, beurré,  -lol-  

  depuis je retourne à la calanque dans l'espoir de le rencontrer encore  

Par CALANK-OHé - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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