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elle dépeint - non sans humour - son métier.

infirmière...soyons sérieux ! mais elle a fait un sketch ...ça rappelle(un peu)  Mado la niçoise

elle dépeint - non sans humour - son métier.

Les urgences, c'est pas du House, du George Clooney, du Grey's Anatomy." Caroline Estremo, 28 ans, est infirmière à l'hôpital Purpan, à Toulouse (Haute-Garonne). Dans une vidéo, intitulée "Quand tu es infirmière aux urgences !" et postée vendredi 16 septembre sur Facebook, elle dépeint - non sans humour - son métier. Sa profession a été récemment touchée par une inquiétantE vague de suicides qui a poussé la Coordination nationale infirmière à appeler à la grève. 

Cette ancienne étudiante en droit a décidé de changer d'orientation pour "aider les gens" et "être utile". "J'ai couché sur le papier en un quart d’heure les meilleures histoires que j'ai vécues aux urgences et qui sont toutes vraies, je me suis filmée et j'ai posté la vidéo", explique la jeune femme à la Dépêche du Midi.

"Ce moment où t'as la dalle, la vessie pleine"

Dans son sketch, Caroline Estremo imite donc tour à tour ses parents dépités devant son choix de devenir infirmière, ses proches qui l'appellent pour un conseil médical et ses patients parfois peu reconnaissants. 

"Les urgences c'est plutôt :

- Oui je viens vous voir car je suis inquiet. J'ai des boutons sur l'ensemble du corps et ça me gratte fortement.

- Donc ça manifestement, monsieur, ce sont des boutons de moustique."

 "Il y a ce moment où tu cours dans tous les sens, tu n'as pas mangé, tu n'as pas bu, t'as la dalle et la vessie pleine", raconte encore la jeune femme, égrenant les anecdotes. "Et puis un jour, tu tombes sur la femme adorable qui te dit 'Heureusement que vous êtes là, vous faites un métier incroyable'. Et cette femme-là, tu la kiffes !" 

franceinfo

  UN SOIR  

Bonjour, si vous appréciez cette histoire qui est vraie, écrivez-moi. J'aime bien savoir ce que pensent mes lecteurs et auditeurs ! Que peut bien vous apprendre mon récit ?

 - Eh bien il existe un orgasme que beaucoup ne connaissent ni ne connaîtront jamais, à moins d'une audace sans pareille 

Cela étant, je me promenais et cherchais des yeux un mec si possible beau -lol- prêt à se faire sucer. C'est ce que je voulais ce soir là: sucer une bonne bite, mettre mon nez dans un pubis humide et me faire défoncer la gorge par un gland énorme qui cracherait son foutre. C'était la première fois que je tentais l'expérience de la balade au parc et je doutais que cela  fonctionne. Puisque j'étais de nature timide, je voulais laisser un mec se lancer à me suivre en premier et être le 2ème à donner des signes d'accord.(un peu de fierté bête !) Cependant, quand j'ai vu ce mec arriver à vélo, je n'ai pu résister! Il n'était pourtant pas mon type, mais j'avais tellement le désir de sentir une bite dans ma bouche que je lui ai lancé un bonjour accompagné d'un signe amical. Dès l'instant d'après, j'étais plutôt mal à l'aise. Qu'est-ce que j'allais faire si ce mec ne voulait pas me baiser, s'il ne me trouvait pas intéressant ou pire, s'il n'était pas gay...là c'était un peu la honte !

Je continuai à marcher et j'entendis un bruit de pièce métallique tomber à côté de moi. Je me retournai et je l'aperçus revenir vers moi avec son vélo. Oh, dis-je -" vous avez tombé une pièce de votre vélo" Je pensai tout de suite qu'il l'avait fait exprès pour entrer en contact. Je vous ai dit que cette allée est un lieu consacré à la drague homo. Je commençai à ressentir plus d'excitation sexuelle aussitôt.  Il débarqua de son vélo, s'approcha et commença à m'embrasser. J'étais au beau milieu d'une allée qui m'était inconnue. Il était plutôt grand, assez foncé du type moyen-orientalavec une bouche superbe, des lèvres fines, mais bien définies et des yeux bruns perçants. Il avait une barbe d'un jour ou deux et sentait l'homme qui avait transpiré(pas trop, seulement une odeur d'homme). Il était mince et semblait assez athlétique. Je continuai à l'embrasser dans le cou tout en déboutonnant son jeans. Je baissai son jeans juste en bas de ses fesses et je pris sa queue à travers son slip pour la masser. Il ne gémissait pas mais sa respirarion devint plus forte et s'accéléra. Heureusement l'allée était déserte car j'étais décidé à brûler les étapes.  Je me mis à genoux et je lchai sa queue à travers son slip. Il commençait à bander tranquillement. Je sortis sa bite de son slip et enfilai sa demi-molle dans ma bouche  en prenant soin de sucer toute sa bite qui se mît à durcir. Chaque fois que j'atteignais le bout de sa bite, je prenais une grande respiration par le nez pour humer son odeur. Son poil était crépu, noir et court. C'était vachement bon et j'y prenais plaisir. Je sortis ma bite de mon jeans et je commençai à me masturber en même temps. il appuya son dos sur la clôture derrière lui et leva la tête vers le ciel tout en mettant ses mains derrière ma tête en poussant celle-ci vers sa verge. Je prenais maintenant en bouche ses 20 cm.

Il donnait des coups de bassin en va-et-vient et haletait maintenant à chaque coup. Je sentais qu'il allait éjaculer vite. Je prenais soin de tout garder en bouche, mais c'était trop. Impossible. De la salive mélangée avec du jus de queue me coulait sur le bord de la bouche. Il continuait à me pénétrer. C'est alors que je glissai ma main entre ses jambes et que je commençai à lui masser la rondelle doucement. Sa respiration cessa d'abord, puis se fit de plus en plus courte et rapide. Il sortit sa queue de ma bouche et commença à la masturber. Quand il cria de jouissance, je poussai mon doigt dans son cul et je sentis la contraction de son anus autour de mon doigt. Il jeta deux grandes giclées de sperme dans ma figure. La troisième arriva dans ma bouche et sur mes lèvres. Je continuai à lui malaxer le cul avec mon doigt et je pris deux autres giclées sur la joue. Je me mis à lui lécher son gros gland pour avaler le sperme qui y restait accroché. Son liquide était épais et avait très bon goût. Il remonta ses pantalons rapidement, reprit son cycle et me laissa là avec ma queue qui jutait doucement et qui ne demandait qu'à exploser. Ce jour-là était forcément placé sous un signe :  .

Je continuai à marcher. Mon envie était encore plus forte qu'avant cette rencontre. Je devais trouver un autre mec au plus vite pour me vider de ce sperme qui me brûlait les couilles. J'avais peu d'espoir cependant. Je me disais que la possibilité de trouver deux mecs dans la même soirée était assez faible. Après quelques minutes de marche, je sentais toujours l'odeur du sperme dans ma figure et l'odeur du pubis qui me restait collée sous le nez et je devais me vider les couilles. Je décidai d'aller dans une ruelle de l'autre côté de la rue pour me masturber.

En entrant dans la ruelle, j'aperçus un groupe de jeunes qui fumaient, riaient et parlaient un peu plus loin. Certains très jeunes et très beaux

 j'ai su que lui c'était "julien"

Je me dis que je devrais trouver une autre ruelle ou un buisson pour pouvoir me vider. Je retournai sur mes pas et commençai à marcher vers la rue. J'entendis un bruit derrière moi. Je me retournai et un des mecs me souriait. Je m'approchai doucement et il me dit: - "on planque ?". Je lui demandai où est-ce que l'on pouvait aller et il me dit que nous pouvions rester à cet endroit. Je ne voulais pas baiser devant ses amis! Il me dit que c'était un groupe d'amis inséparables...J'vais compris ausitôt. Je me sentais tout d'un coup assez mal à l'aise. Je n'avais pas l'intention de baiser avec les... Je pris le temps de compter... 6 mecs qui m'entouraient maintenant.  

Un des mecs me demanda d'enlever mon pull. Puisque je n'avais pas le choix, j'enlevai mon pull et ce ne fut pas très long que je me retrouvai nu devant les 6 mecs. Ils s'approchèrent de moi et l'un d'eux appuya sur mes épaules pour que je m'agenouille. J'étais à la fois ému et inquiet. Je ne savais pas comment réagir et je ne savais pas comment tout cela allait finir. J'avais mal aux couilles tellement j'avais aimé mon expérience précédente, mais là, le stress m'empêchait même de bander! Un premier mec approcha sa bite flasque près de ma bouche et me donna des coups de queue à plat sur la joue. Par la suite, il me l'enfila dans la bouche pendant que je voyais les autres se masturber pour se faire bander. Il faisait des va-et-vient de telle sorte que je n'avais qu'à faire des succions sans même bouger la tête. J'aimais bien avoir une bite molle dans la bouche et la sentir durcir tranquillement.

Après une minute ou deux, il se retira et c'est son voisin qui mit sa bite dans ma bouche. La sienne était énorme. Il la rentrait jusqu'au bout et je sentais son gland au fond de ma gorge, ce qui me donnait envie de vomir. Je m'étouffais et les autres trouvaient ça drôle. Je m'efforçais de tout prendre et tentais de reculer le plus ma tête lorsqu'il sortait sa bite. Il me fit bouffer ses couilles. Je les suçais tellement fort que je croyais lui faire mal, mais il semblait adorer. Il était rasé autant du pubis que des couilles et j'aimais bien la douceur de ses couilles surmes lèvres et ma langue. Je continuai alors à sucer les quatre autres mecs pendant quelques minutes jusqu'à ce que tout le monde soit en érection complète. Deux des mecs me mirent leur deux bites dans la bouche en même temps, ce qui ne manqua pas de m'exciter. La peur que je ressentais au début disparaissait maintenant pendant que je me faisais traiter de grosse salope. Les six commencèrent à m'insulter en rond autour de moi pendant que je passais d'une bite à l'autre et me les enfilais dans la bouche avec empressement et goulûment. J'adorais sentir le gland au bord de mes lèvres et la salive qui coulait le long de leur bite. Je léchais tout ce que je pouvais et je semblais assoiffé.

Un des mecs m'ordonna de me mettre à quatre pattes. J'étais très excité et je savais que j'allais bientôt me faire défoncer le cul. Un premier mec s'agenouilla devant moi et me mis sa bite dans la bouche. J'en aurais bien pris quelques unes si j'avais pu. Un autre se coucha sous moi parterre, du côté gauche et commença à me lécher les couilles. C'est alors que je sentis une langue près de ma rondelle. Je ne pouvais que gémir. La langue allait de plus en plus vite et de plus en plus profond. Un doigt se mêla à la langue et me massait gentiment l'anus. Je n'en pouvais plus. C'était trop bon. J'arrêtai de sucer le mec à genoux devant moi, mais il me fourra sa bite dans la bouche aussitôt. Il me pénétrait encore plus fort. J'avais la langue qui lui frottait le gland et il semblait apprécier. On me crachait au cul et je sentais la salive qui coulait sur mes couilles. Le mec qui me suçait léchait la salive et continuait à me sucer. Mon dos était arqué vers l'arrière et mon cul sortit. C'est alors qu'un autre mec se glissa sous moi et j'avais maintenant ce mec entre les jambes. Il me léchait les seins et mordillait mes mamelons. J'en avais des frissons.

Le mec qui me suçait se retira et celui qui me léchait le cul le poussa vers le bas. C'est alors que je sentis la bite de celui qui était maintenant couché sous moi s'activer au bord de ma rondelle. Il poussa d'un seul coup et y enfila sa bite. Je criai et gémis en même temps. Il commença tranquillement à me pénétrer. Je me retrouvai maintenant avec deux bites devant moi et je les suçais à tout de rôle. ce qui pouvait suffire à m'occuper en actes et en pensée. Deux autres mecs se masturbaient à mes côtés. Un de ceux-ci ne prit que quelques secondes à jouir et il m'envoya son foutre dans la figure et dans les cheveux. L'odeur m'excitait au plus haut point. Je pris quelques secondes pour lui lécher le reste de sperme coulant de sa queue. Le mec qui m'enculait y allait maintenant allègrement. Il me cognait son pubis au cul et je sentais mes couilles lui taper sur le ventre. Il était tout en sueur et son odeur était exquise. Je sentis que, couché sous moi, il prenait maintenant son temps. C'est à ce moment que je sentis quelqu'un s'installer au dessus de mes jambes, puis de mes cuisses, puis de mon cul. Pendant que j'avais une bite dans le cul, je sentais une autre bite pousser le long de la première sur ma rondelle. A force de salive et de lube la bite fut fourrée avec puissance et entêtement dans mon cul, alors qu'inquiet, n'ayant pas vue directe sur mon cul, tous mes sens également occupés par ailleurs, tout basculait.

     J'avais peur : c'était ma première double-pé' et ça me faisait souffrir en même temps que nous jouissions de ce qui se passait J'arrêtai de sucer les deux mecs devant moi et ils me foutaient des coups de bites pleines de jus sur les joues. J'étais tout mouillé de jus dans la figure et maintenant que les deux bites avaient pris leur place dans mon cul, et c'est là que se passait l'essentiel. Je suçais sans plus y penser les deux bites devant moi. Même si après deux minutes de pénétration de ces quatre bites, un des mecs que je suçais éjacula dans ma bouche et je bus tout son foutre jusqu'à la dernière goutte tout ça n'avait plus exactement la même importance. Ma vision se brouillait progressivement comme sous l'effet d'une puissante drogue.  Vaguement dans ma mémoire, je me souviens qu'encore, pendant ce temps, un des mecs qui se masturbait à côté de moi m'éjacula dans la figure à son tour. Il me restait maintenant une bite dans la bouche et deux autres dans le cul. Un des mecs me prit la queue et commença à me masturber. Peu de temps après, je sentis des giclées de sperme dans le fond de mon cul et des hurlements de plaisir dans mon dos. Le mec sur le dessus éjacula dans mon cul  

Au même moment, j'eus moi-même un orgasme dévastateur. Je déversai une quantité impressionnante de sperme par terre. Les contractions de mon anus eurent pour effetde faire jouir mon autre enculeur. Il sortit sa bite et tout son foutre rejoignit celui de son copain dans mon cul. Je sentais sa semence chaude me couler sur l'anus et sur les couilles. Avec son doigt il alla chercher son sperme pour le goûter. Il embrassait un des mecs et partageait le tout. Je n'en pouvais plus. J'aurais dû être mort de fatigue. je commençai à avoir des visions. J'étais redevenu un petit enfant dans la main immense d'un géant. Mon esprit refusa. Je pressentais un danger à me laisser aller au délire.  

    Insensible, lui et les autres, à ce qui se passait en moi, le dernier à ne pas avoir éjaculé me baisait toujours la bouche. Un des amis se mit derrière lui et l'enfourcha dans le cul. Au bout de quelques minutes, il m'éjacula dans la figure en me foutant ses couilles sur le menton. J'en avais plein mon dos et mon anus était aussi plein. Chacun des 6 mecs se rhabilla tandis que je restais couché sur le sol. Les mecs quittèrent la ruelle sans trop se soucier de moi. J'avais vraiment été leur salope! mais peu à peu je perdais conscience  

j'avais des visions 

il me fallait passer d'une rive à l'autre et c'était plein de dangers

je devais rejoindre le premier mec, l'arabe, que j'avais rencontré et qui m'avait laissé sur ma faim

il m'apparaissait sous forme de tableau de peinture

j'étais redevenu le gosse, l'ado innocent

l'arabe et moi étions redevenus vierges et dans une autre vie....

j'étais devenu son pote absolu

les visions ont recommencé dans un tournis incessant

C'est à ce moment que je me suis réveillé.

  Je tentai d'enlever le plus de sperme possible sur mon corps et mon visage , mais l'odeur était partout. Je marchai jusqu'à la maison  

En arrivant, je pris une douche chaude en pensant à ma soirée ...je m'aperçus que j'étais marqué...

et je me disais que j'allais continuer à marcher le soir. C'est si plaisant de marcher!  

     J'avais bien besoin d'une douche ce matin-là!

  vais-je le revoir ?    

 Je ne sais pas ce qui m'a pris d'accepter ce

rendez vous avec un inconnu. 

Aimez-vous les jeux de rôles? c'est un peu ce qui m'arrive dans ce récit que j'ai voulu le plus fidèle possible. Depuis, d'autres aventures me sont arrivées mais comme j'étais puceau, celle-ci, pas du tout banale, m'a marqué à vie.

  Je dois me rendre aujourd'hui au parc, rencontrer un homme que je ne connais que par les discussions échangées en tchat. Je ne sais rien de lui, sinon nos dialogues de plus en plus suggestifs pour ne pas dire quelque peu érotiques. On se chauffait, on parlait sans cesse de rencontre, de baise au lit, de baise n'importe où, de jouissance éperdue, de son expérience et savoir-faire et il avait réussi à mobiliser mon attention sur le forum, au point que je recevais maintenant des invitations de mes contacts habituels et je n'y répondais plus. Je me masturbais à longueur de temps, je me réveillais la nuit, commençais à penser à lui et allais à l'ordi voir s'il n'était pas connecté. Je crois pouvoir dire que j'étais mûr pour qu'il cueille sans difficulté ma virginité.  

Il m'a demandé de l'attendre sur un banc près de la statue avec un journal. J'attends. Cela ne va pas sans angoisse. Et s'il était différent de ce que j'imagine. Gros, sale, ignoble dans son attitude. 

Il me semble que cela fait une éternité que je suis là, et mon appréhension ne fait qu'augmenter au fil du temps qui s'écoule. Dans ce genre de situation je sens toujours un picotement au creux des paumes de mes mains. Curieux, non ? vous avez déjà ressenti ça ? C'est la peur qui le fait. Je le crois. Cette peur mêlée de désir jusqu'à souhaiter qu'on vous fasse (du)mal. Une vraie confusion de sentiments. 

 
C'est le crépuscule et la nuit va tomber. Brr est-ce une heure pour se promener ?  Le parc est désert, ou presque. Tout respire une tranquillité pleine d'inconnu. Le silence m'entoure au point que je sursaute lorsque j'entends la sonnerie de mon portable. Un message , étrange, tout du moins pas un de ceux auquels je ne m'attendais , et qui pourtant a un effet électrique sur moi.

"Enlève ton short et ton boxer" sont les seuls mots qui apparaissent.

Je suis surpris, et à la fois intrigué... cette phrase ressemble à nos dials, mais jusqu'à présent appartenait au monde du virtuel, 
je me sens électrisé, moi qui pensais le voir maintenant, je me rends compte que le jeu de nos discussions virtuelles va peut être devenir réel. Oui, mais vais-je obéir ? Il pourrait se montrer au moins. Il oublie nos mots d'amour sur le tchat.

Je regarde autour de moi, et lorsque je suis sûr que personne ne me porte vraiment attention, discrètement je fais glisser mes vêtements, le long de mes jambes, et je les range rapidement dans mon sac. Étrange l'impression que me sentir nu. Je mts le journal sur mes genoux comme si j'étais convaincu que tout le monde me regarde...sauf lui !!!

"Dépose ton calbut sur le banc,, et dirige-toi vers la barrière face au lac." tel est le message suivant... le jeu commence à m'amuser du fait qu'il ne se passe strictement rien et je me dis que je peux le tenter,.. d'autant que c'est excitant comme un polar.

Je me dirige donc vers la barrière, un peu gêné malgré tout de laisser ainsi mon sous vêtement. Un léger vent caresse mes jambes et mes cuisses, et j'ai peur de croiser un promeneur. Mais il n'en est rien, seules la crainte et l'excitation se disputent mon esprit.

Je regarde discrètement autour de moi, et les quelques étrangers que je vois ne semblent pas vraiment s'intéresser à moi, Où est donc mon inconnu ?

"Enlève le reste"

Dans les vestiaires de gym je me contorsionne pour préserver ma pudeur alors imaginez l'horreur pour moi d'imaginer me déshabiller ainsi en public , mais il n'y a personne...ça y est je suis à poil, une main devant une main derrière !  

"Maintenant, dirige toi dans le petit bois et assieds-toi sur un rondin de bois et attends moi"

De nouveau la crainte mêlée à l'excitation de le rencontrer, il faut voir comme il me parle, lui si excitant sur le net, allez, on va dire si doux dans les tchats. Par moments j'ai envie de détaler. Et toujours ce picotement au creux des mains. Il me file la trouille.

Le bois sur lequel je m’assois est dur et rugueux, mais ce contact est comme viril... je sens que mon corps s'échauffe de plus en plus, et bien que je ne pensais pas à cela en acceptant notre première rencontre, je reconnais que je me sens de plus en plus subjugué par ce jeu nouveau et inquiétant.

J'entends des pas derrière moi, mais je n'ose me retourner. J'attends fébrilement et mon coeur se met à battre de plus en plus fort... Une main effleure mes cheveux, en douceur. Ce doit être lui, mais je ne fais aucun mouvement... la main caresse mon visage ,ma nuque , mon cou... je me sens trembler sous ses doigts.Il était donc là tout le temps, m'a observé et suivi... et moi, je ne l'avais pas vu.

Je sens maintenant un tissu sous mon nez qu'il me fait respirer et je découvre... mon odeur, l' odeur de mon slibar laissé sur le banc... il m'en caresse le visage, la bouche et revient le poser sur mes yeux, il l'attache comme un bandeau. Il me place maintenant les bras dans mon dos, et, avec une corde, me lie les mains. 

Je ne m'y attendais nullement. Est-ce bien nécessaire?  Je n'avais pas l'intention de me dérober à ses assauts. Car c'est ça que j'attends.

Les yeux ainsi fermés, les mains liées, je me sens totalement à sa merci.

Ses mains glissent le long de ma poitrine et pincent le bout de mes seins qui se durcissent à son contact... Il malaxe ma poitrine avec douceur mélangée de fermeté... c'est électrisant.

Je ne peux le voir, mais je devine maintenant qu'il s'est déplacé pour me faire face... ses mains ouvrent maintenant mon entre cuisse pour mieux m'écarter et palper, presser mon trois pièces... mon sexe est offert à ses jeux de doigts, que je sens me frôler, se glisser, pénétrer sous mon périnée. Il joue avec mes bourses. Pince légèrement puis fortement mon gland devenu très sensible... fait pénétrer deux doigts dans mon anus qui est une véritable petite chatte tout en glissant furtivement son autre main dans un va et vient continu dans la raie de mes fesses... je sens mon désir monter et je m'ouvre et me cambre de plus en plus...

Il se redresse lentement et joue maintenant avec ma bouche. Ses doigts caressent mes lèvres et les fait s'ouvrir, il pénètre ses doigts, qu'il fait aller et venir ... avant que je sente son membre plus important y pénétrer à son tour... Son sexe est dur, et commence un jeu léger de va et vient. J'attendais ce moment depuis de nombreuses minutes déjà et c'est avec un énorme plaisir que je me mets à le sucer... j'aime que sa puissance me remplisse et me posséde... Je le sens se gonfler encore plus... ses mains m’agrippent alors les cheveux et m'emprisonnent... Il me prend de plus en plus profond et me maintient... j'ai peur d'étouffer mais il se retire juste à temps pour mieux reprendre son mouvement... J'aime comme il joue de son sexe sur mon visage et me pénètre de plus en plus fort, de plus en plus sauvagement... Maintenant ma bouche n'est plus qu'un gouffre pour son plaisir... et il prend son temps tout en me maintenant fermement ou jouant aussi à pincer de plus fortement la pointe de mes seins... tout mon corps est électrisé...

Lorsqu'il s'arrête, c'est pour me soulever et me retourner ventre sur le rondin de bois... je me retrouve ainsi maintenant, sur le ventre, les mains liées dans le dos et les genoux à terre. Mes fesses sont offertes à son regard et à son désir...

Il prend de nouveau son temps et me fouille avec sa main. Il m'écarte et glisse un puis deux puis trois doigts dans ma "chatte" brûlante... je me fais l'impression d'être une chienne en chaleur qui n'attend que d'être prise par son mâle.

Tout à coup, je sens son sexe me prendre, violemment. Il agrippe mes épaules, fortement, et me donne des coups violents dans le bas ventre... ses mouvements sont brutaux, comme pour me punir.   Je le sens s'enfoncer et tenter de me pénétrer encore plus profond... c'est douloureux et à la fois je sens la jouissance déferler en moi.... surtout lorsqu'il maintient la pression très fortement dans le fond de mon rectum... il cogne ainsi à me faire autant de mal que de bien, à me faire atteindre la jouissance extrême... et lorsqu'il se retire, c'est pour se vider sur moi.... je sens alors toute la chaleur de son sperme glisser sur mon dos, m’inonder... nous restons ainsi encore quelques minutes, le temps je pense de reprendre nos esprits, mais je commence à sentir la douleur dans mes articulations


Lentement, il se glisse de nouveau derrière moi. Il délie les liens, et ôte mon bandeau des yeux... Le silence est là, mais je n'ose pas me retourner. Je laisse passer de nombreuses minutes avant de comprendre que mon inconnu est parti comme il est venu.


Je ne sais toujours pas qui il est, et pourtant, je viens de vivre ma plus grande expérience de sexe avec lui... je suis épuisé, honteuxet pourtant heureux comme jamais je ne l'ai été...

Son dernier message, je l'ai reçu lorsque je suis rentré chez moi... Il disait simplement "La prochaine fois, on ira plus loin, tiens-toi prête chienne ! "

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Cela faisait maintenant une dizaine de jours que mon aventure au parc s'était déroulée, et j'en venais à me demander si je ne l'avais pas purement et simplement rêvée... J'en gardais un souvenir bien vivant qui échauffait mes nuits de plaisirs solitaires, mais ma messagerie restait en mode silence, et je commençais à perdre tout espoir... et ce, jusqu'à hier... car en effet, hier, mon coeur a failli exploser à la lecture de mon nouveau message, et mon désir a atteint son comble... le nouveau rendez vous me semblait encore plus délirant que le précédent, puisqu'il était dans un lieu ouvert au grand public, mais mon impatience m'interdisait de ne pas m'y rendre... et c'est pour aujourd'hui...
Autant dire que je n'ai pas dormi de la nuit tellement mon imagination vagabondait. Le message était clair et tout à la fois sans explication précise, il disait simplement : "rendez vous demain à 15h à la brasserie de la gare. Tu seras habillé de vêtements légers. Tu ne porteras aucun sous vêtement. Assieds toi sur un tabouret de bar et commande toi une boisson fraîche". C'était tout.
Il est bientôt 15 heures, et j'arrive ainsi vêtu. Est ce simplement mon imagination ou ai je vraiment l'impression de ces regards d'hommes me déshabillant. Ce que je porte cache à peine ma nudité... je me sens tout à la fois gêné et très excité...
Je m'installe sur un tabouret du bar.

Je sirote maintenant depuis quelques minutes mon diabolo lorsqu'un serveur, au sourire entendu me tend un papier même pas plié... assorti d'un billet de train. Je dois maintenant me rendre au premier wagon du train en partance pour la prochaine gare, et aller à la fenêtre. Y rester ainsi et attendre tout simplement.

Quelque peu fébrile, je suis les consignes et tremblant je me tiens maintenant à la fenêtre du train que je sens démarrer... je sais que de nouveau je ne verrai pas mon inconnu arriver, mais peut être aurai je la chance de l'entendre me parler...?
Le vent glisse sur mes cheveux à travers la fenêtre entrouverte... et je remarque à peine le paysage commencer à défiler... de même que je ne l'entends pas s'approcher... je sens juste sa présence derrière moi... je me crispe un peu et par réflexe ferme mes yeux... j'attends, le coeur battant...

Une main se glisse alors entre mes cuisses tandis que l'autre remonte jusqu'à mes fesses... je le sens m'écarter et venir fouiller ma rondelle bien propre. Je ne peux m'empêcher de me cambrer..

Sa main me fouille brutalement, je sens ses doigts me pénétrer et s'enfoncer, caresser fermement mon intimité... le plaisir monte irrésistiblement en moi et cambre encore plus mon échine

La main remonte alors, le long de ma raie et un doigt s'arrête sur mon petit anneau... j'ai en mémoire qu'à la fin de notre première rencontre il m'avait clairement exprimé que je n'avais d'autre choix que de m'ouvrir totalement à lui. Je savais ce que cela signifie, et malgré mon inquiétude, je ne veux pas le décevoir. Je tente de ne pas résister lorsque je sens un doigt tenter de forcer le passage, mais je ne peux malgré tout m'empêcher de me contracter... Sûrement s'en rend il compte car il enserre ma taille pour la maintenir fermement. Sa main alors se fait alors plus pressante au niveau de la raie de mes fesses et lentement, maintenant, je sens mon petit orifice s'ouvrir sous sa volonté. Les mouvements sont lents et fermes, par petits à coup. Ils forcent progressivement la résistance...

La sensation devenant presque agréable et je commence à me laisser aller...

Je sens maintenant comme une sensation froide que mon anneau, peut être une crème ? Un gel ? qu'il prend soin d'appliquer aussi bien sur l'extérieur qu'à l'intérieur. Le passage devient plus facile et bien plus agréable... je commence à vraiment aimer... lorsque tout à coup, quelque chose de plus rigide commence à me caresser intimement.... Il s'agit d'un god, d'un volume modeste mais bien ferme néanmoins... Je comprends que ce god va venir s'y loger et m'écarter bien plus qu'un simple doigt... Je ne dois pas résister, il me faut m'ouvrir complètement à lui...

Je sens maintenant l'objet tenter d'ouvrir le passage toujours un peu difficile pour lui... Je ressens une douleur réelle tant il doit forcer pour m'écarteler... J'ai l'impression qu'il force une résistance et que tout à coup la douleur s'évapore... le god s'est enfoncé et je n'ai plus mal... au contraire... un plaisir jusqu'alors inconnu me submerge et c'est maintenant avec une certaine impatience que j'attends les va-et-vient... le mouvement de ce "membre" enfoncé en moi, ce passage encore et encore forcé m'électrise, je me cambre encore plus et je ne peux être que déçu lorsqu'il s'arrête.

La main l'a ôté mais continue de me caresser... les doigts sont maintenant devenus source de plaisir, et j'aime... ils me prennent et m'écartent, encore et encore, jusqu'à ce que je sente maintenant quelque chose de doux dur et ferme, bien plus imposant que le god précédent... Je sens un sexe tendu, en érection, qui ne demande que ce qu'il est en droit de réclamer... mon petit cul dépucelé juste pour lui... ce membre que je sens à la porte de mon orifice et qui doit forcer un passage encore trop étroit...

Les mains sont maintenant sur mes hanches et impriment leur force pour me rapprocher... j'ai de nouveau mal, je me sens comme déchiré et pourtant, lentement très lentement, il s'enfonce en moi... les mouvements lents du début commencent à s’accélérer et devenir de plus en plus profonds... la douleur s'efface et le plaisir de me sentir pris ainsi s'amplifie... je suis en train de me faire prendre profond, comme une vraie petite chienne que je suis en train de devenir. Maintenant il va et vient en moi librement, sans effort , en totalité.... il me remplit de toute sa largeur et de toute sa longueur.... je le sens et je jouis maintenant d'un plaisir encore plus intense que ce que je n'avais connu...

Dans un dernier sursaut, il se retire et je sens son sperme inonder mon dos, ma chemise... il se vide sur moi dans un dernier souffle...

Nous restons quelques instants ainsi, puis il se sépare de moi, et glisse un papier à la ceinture...

Le temps que je reprenne vraiment mes esprits, je réalise qu'il est parti... et à ma ceinture se trouve juste mon billet de train retour, sans un mot.

Je me suis ouvert à lui, je me suis offert, ou plutôt il m'a pris... alors maintenant, vais je de nouveau le revoir ?