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Lundi 6 juin 1 06 /06 /Juin 22:05

 

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  • Turning 26 today, and this is coming off :) Can’t wait for my main present!! Love you, Dad! .tim

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      clique et fais "lecture" pour te branler !

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  • “Take it easy, boys,” I heard Dad grumble from his chair, “No fucking just yet.” Sander and I was performing again, while Dad and Arnault watched, and Sander was getting real worked up. I’ve learned now that putting on a show before his man has...

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      Sander has come a long way since that time he fucked me for the first time. He had not done it before, but unlike me, he had no wish to try it in the first place. It was his “dad” who made him do it, and it was so awkward to open my boyhole to...       

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  •       To all dads and boys and everyone else: Dad and I wish you a Happy New Year! May 2016 be your best year ever!

     

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                    “Say it, uncle Tim!” he demanded, “Tell me!” Danny’s become so dominating since he moved in with Dad and me, that I hardly feel like I’m his uncle at all anymore. In fact, when he calls me that, I feel he does it only to mock me. Dad’s granted him...

 

 

 

Par GENERAL SURVEY - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 23 mai 1 23 /05 /Mai 08:22

mais l'envie est plus forte...et si Lou est shooté et bourré, Harry l'est encore plus ! Y a de l'amour ? yes y en a ! Y a de la baise ? yesssss y en a ! 

http://seemsliketruth-larry.skyrock.com/tags/9Qztsh4bV0Y-Gay-is-OK_2.html

extrait hyper cho !

Cowboy

 

Cowboy

[...//...] Avec Harry le « normalement » n'est jamais trop de mise. Il tourne la tête à ce moment-là et se retrouve juste au niveau de mon entrejambe, qui n'est pas encore tout à fait calmée.

— Ohhhhh, dit Harry de sa voix grave, en fait tu veux t'amuser comme ça ?
Il se redresse de toute sa hauteur, l'eau dégoulinant le long de son visage et sur ses lèvres magnifiques. Le regard qu'il m'adresse ensuite est pas légal, j'ai l'impression de m'embraser. Il m'attire à lui et je ne peux refuser son baiser langoureux. Harry se recule ensuite pour me demander :
— T'as envie de moi, Lou ?
La seule réponse qui s'échappe de mes lèvres est un gémissement.
— T'as envie de moi.
Son sourire s'agrandit et devient presque démoniaque.
— Mais on va pas faire ça ici... Parce que je pourrais pas te faire ce que j'ai en tête, là, et ce serait dommage.
— Et à quoi tu penses, exactement ?
Harry se penche à mon oreille pour chuchoter sa réponse, son souffle me fait frémir :
— Tu as vu ce que j'ai fait sur ce taureau, hein ? Bah imagine, c'est toi que je vais chevaucher. Je suis un très bon cavalier, tu le sais. Mais ce soir je vais me surpasser, mon loulou. Vu comment tu es déjà excité, je te promets que tu vas venir trois fois grâce à moi, et peut-être même qu'après t'en redemanderas encore. Ça te tente, Louis ?
PU.TAIN.DE.MER.DE. Vite, qu'on se barre d'ici et qu'on rentre à l'hôtel, ou même dans le bus ça fera l'affaire. J'ai perdu toute notion de patience et de discrétion à partir du mot « chevaucher », le reste c'est du bonus.
— Harry... Tu me rends dingue.
— Je prends ça pour un oui ?
Je l'embrasse même à perdre haleine pour le lui confirmer. Après ça, on se met d'accord pour sortir à tour de rôle des toilettes et se rejoindre à l'entrée dans dix minutes, histoire de fausser compagnie à tout le monde et de concrétiser les idées de Harry... Elles vont être longues, ces dix minutes. Mais putain, je pourrai attendre toute une vie juste pour quelques heures avec lui.
 
Cowboy 
 
Harry a tenu parole. Il a fait exactement tout ce qu'il m'avait promis dans les toilettes du bar et à l'heure qu'il est, j'approche dangereusement de mon troisième orgasme, ce que je ne pensais pas possible en si peu de temps. Mais Harry est vraiment un très bon cavalier*, j'en ai encore la preuve tandis qu'il se déhanche nu au-dessus de moi, en nage, avec son chapeau de cowboy sur la tête.
Il n'a jamais été spécialement réservé pendant nos moments intimes, à part peut-être un peu au début. Il s'est toujours lâché avec moi et ensemble, on a testé beaucoup de choses. La position n'a donc rien de nouveau pour nous mais je sais pas, ce soir y'a un truc différent.
Je le vois au fond de ses yeux, la flamme qui y brille est encore plus intense que d'habitude. Harry gémit sans aucune retenue, allant même jusqu'à crier parfois quand mon sexe atteint le bon endroit au fond de lui. Il est tellement excitant... et tellement excité aussi, je sais pas comment il a réussi à me faire jouir deux fois sans exploser. Faut croire que le joint a également décuplé son endurance.
— Lou... iiiiis, il dit alors et sa voix part presque dans les aigus. J'peux plus... tenir.
— J'suis proche, attends juste un tout petit peu...
Il ferme les yeux, lèvres pincées. Pour accélérer les choses, je me redresse comme je peux sur la banquette du bus et je saisis ses hanches à pleines mains. Le changement d'angle et la vision de Harry comme ça, accroché à moi et crispant ses muscles internes autour de moi suffisent à soulever cette vague de chaleur et de plaisir au creux de mon ventre. La seule chose qui me manque, maintenant, c'est de le voir s'abandonner à son orgasme, alors je lui murmure :
— Vas-y, bébé, viens pour moi maintenant.
Il rouvre les yeux quand j'enroule ma main autour de son sexe et s'envole au septième ciel en criant. Je le rejoins là-bas en le serrant dans mes bras le plus fort possible, jusqu'à sentir les battements endiablés de son cœur contre mon propre torse.
Je laisse Harry reprendre son souffle entre mes bras, caressant doucement son dos tandis qu'on s'apaise peu à peu. Il s'allonge ensuite à côté de moi et, après quelques secondes de silence, il grogne :
— Putain, j'ai troooop faim.
J'éclate de rire, c'est un des effets du joint et ça me prouve que c'est en train de se dissiper. Je pense pas que j'aurais pu survivre à un quatrième round après une soirée pareille.
— Qu'est-ce qui te ferait plaisir, bébé ? je lui demande, en me disant mentalement qu'il doit rester quelques bananes dans le coin cuisine.
— Un cheeseburger, il répond aussitôt.
Autant au bar j'ai eu des doutes sur ma vision, autant maintenant j'en ai sur mon audition. Il a bien dit cheeseburger ? Le truc tout gras qu'il me reproche en permanence de trop manger ?
— Euh, Harry ?
— T'as bien entendu, Lou. Et je suis affamé.
— Je vais te trouver ça, mon amour. Putain, c'est la plus belle soirée de ma vie.
C'est à son tour de se marrer. Je l'embrasse encore une fois et on se redresse maladroitement. On ressemble à rien, entre le concert et la fête, on a vraiment la tête à l'envers mais y'a rien de meilleur que ce moment, là, quand nos regards se croisent et que l'amour et le bonheur que je lis dans ses yeux correspondent exactement à tout ce que je ressens.
Note à moi-même : faire fumer Harry plus souvent

* il a chevauché un taureau de rodéo plus de 3 minutes sans être désarçonné ...là c'est son amant Lou qu'il chevauche   -lol-

 

 

Par LOUIS RACONTE - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 13:06

 

J'ai toujours dans ma poche
Un vieux billet qui s'effiloche
C'est tout mon rêve abandonné
Je n'ose pas le déchirer

Petite anthologie du Gay- Marseille

 

ce n'est pas Marseille c'est imaginaire sans doute...mais très évocateur  

 

Chanson Tais-toi Marseille - Barbara

Auteurs - compositeurs : Vidalin Maurice & Jacques Datin    

   

  sinon...autre chanson à évoquer :     Je n'ai pas changé (par Julio Iglesias)...

 

 

Un étudiant homo* agressé sauvagement à Marseille :  David a été attaqué par un groupe de jeunes, vendredi soir au Prado.

Vendredi soir, quartier de Saint-Giniez à Marseille. David, 26 ans, étudiant en AES, et son ami Alain, qui mesure 1,95 mètre, se promènent au Prado. On est à quelques pas du parc Borély, du parking de l'école de danse et de la cité Etienne-Milan, hauts lieux de rencontre nocturne de la cité phocéenne. On y croise des hommes qui cherchent des hommes. Plus loin, c'est un lieu prisé par les échangistes. Le quartier, de l'avis d'un connaisseur, est «assez chic, arboré, on peut facilement s'y planquer». Un autre Marseillais le décrit comme un secteur assez «chaud».

Course poursuite. Pour David, ce soir-là, c'est allé bien au-delà de l'adjectif. «Nous marchions dans la cité Etienne-Milan, quand un groupe de huit à dix jeunes déboule entre deux immeubles, a écrit David dans un communiqué, qui a servi au dépôt de plainte. Ils sont âgés de seize à vingt ans. Vu leur agressivité à mon égard, je prends peur et me mets à courir pour tenter de rejoindre ma voiture.» Alain connaît David, il sait qu'il court vite. Il pense qu'il va pouvoir les semer. Il ne s'inquiète pas outre mesure.

Mais David ne connaît pas bien le quartier. Il se retrouve rapidement dans une impasse. Et ses agresseurs s'en donnent à coeur joie. Ils lui tombent dessus, le passent à tabac. Courageusement, à huit contre un, en lui lançant notamment : «Sale pédé, on va t'arranger.» La violence des coups ne lui laisse aucune chance. Ils le frappent à l'aide de casques de moto et de barres de fer. Ils se concentrent sur le visage. Bilan : nez cassé, quadruple fracture à la mâchoire, pommette enfoncée. «Cela a été très violent, note une source proche de l'enquête. Il a toute la face cassée.» «Ils l'ont laissé raide mort, il avait perdu connaissance», complète l'avocat de David, Alain Molla.

Gueule cassée. Alain, l'ami de David, qui devait être entendu hier, a rapidement alerté d'autres homosexuels qui se trouvaient sur place, pour leur demander de l'aider à le rechercher. Finalement, trois jeunes qui «sortent d'une voiture» alerteront les secours. David a été conduit à l'hôpital Sainte-Marguerite par les pompiers. Hier, il devait subir une opération de chirurgie maxillo-faciale à l'hôpital de la Timone. «Il aura les mâchoires collées pendant quatre semaines. Je ne sais pas s'il pourra bouger les lèvres», dit un de ses proches, qui ajoute qu'il n'a pas de lésion au cerveau, mais l'oeil gauche bien amoché. David doit s'alimenter en mangeant des bouillies à la paille.

Il a porté plainte mais son avocat veut rester «prudent» sur le caractère homophobe de l'agression. Même si, selon lui, «avant les coups il y a peu de mots, il n'y a pas de mobile, pas de vol et cela se passe sur les lieux de drague homosexuelle : c'est une agression qui sent de très près l'agression homophobe». Il avait un portefeuille, un téléphone portable avant l'agression. Après aussi. Une enquête préliminaire a été ouverte, pour «violence volontaire en réunion avec armes ayant entraîné une ITT supérieure à huit jours». En l'occurrence un mois.

la mer, la mer toujours recommencée....Valéry le cimetière marin
ambiance marseillaise : HOMOPHOBIE ET AGRESSSIONS...

La semaine dernière (Libération ), une agression de voisinage avait eu lieu dans le quartier du Panier, mais son caractère homophobe restait plus que sujet à caution. Ce type d'agression «n'arrive pas toutes les semaines, mais reste ponctuelle», précise une source policière. L'avocat : «Ce n'est pas une caractéristique marseillaise, même s'il y a un machisme ambiant, l'homophobie ne s'y exprime pas plus qu'ailleurs.»

Insultes. Pourtant, le communiqué rédigé par les amis de David fait état d'une autre agression «dernièrement» dans le même quartier, et de témoignages où il est question d'«insultes, de jets de pierre et crachats» auprès d'homosexuels. Dans ce quartier, les riverains se disent «excédés» par les allées et venues des voitures et de ceux qui les conduisent. «Nous prenons l'affaire au sérieux dès lors qu'il s'agit d'une atteinte à personne d'une particulière gravité», a expliqué une source judiciaire. Qui a ajouté : «L'enquête doit permettre d'identifier les auteurs et de déterminer le mobile.»

Le responsable de la Ligue des droits de l'homme de Marseille, Philippe Dieudonné, s'est déclaré «choqué de ce qui vient d'arriver». Il a ajouté : «Nous sommes profondément révoltés de cette barbarie pratiquée par des jeunes et cette haine homophobe.»

homo* stigmates...ça explique ? ça justifie l'agression ?  ...On dirait? NON ?...

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PARIS MATCH ...

 

Photo d'illustration.
Photo d'illustration. Christian Hartmann / Reuters

Déjà 18 morts depuis le début de l’année. Nos reporters sont entrées dans les cités. Un an d’enquête

« Celui qui vous dira qui vend de la drogue et qui est impliqué dans les règlements de comptes, soit il est fada, soit il est suicidaire. Et moi, je ne suis ni l’un ni l’autre. » Samir avale une gorgée de whisky on the rocks – un peu fondus les glaçons. C’est un caïd, est-il permis de penser. Personne ne se risque à le désigner comme un des responsables du trafic ou des -tueries. La quarantaine, beau gosse, séducteur, grand, musclé, longiligne, bras et jambes tatoués, Samir concède avoir passé quelques années aux Baumettes, parce qu’il a du caractère, qu’il serait d’une trop grande générosité et qu’il souffre d’une passion maladive pour les « belles femmes », qui l’ont souvent laissé tomber. Samir a aussi des soucis d’argent. Un ami lui a volé des billets, beaucoup, plusieurs milliers d’euros. Plus peut-être. Samir jure qu’il n’essaiera pas de se venger, même s’il admet qu’il peut se montrer violent : « Si on me cherche, je peux m’énerver et faire des trucs sales aux gens. » Samir parle haut et vite, avec un fort accent chantant. Pendant qu’il bavarde, évoquant avec prudence les trois éléments clés de la tragédie locale – came, fric, mort violente –, il est debout dans la rigole du trottoir, en tee-shirt et bermuda, la -casquette à l’envers. Il porte des « méduses », ces chaussures de plage en plastique transparent. Et Samir prend un bain de pieds dans le caniveau. « Avoir les arpions mouillés, j’adore ça ! » Un rire, un clin d’œil, une autre gorgée de scotch noyé. Bienvenue à Marseille.

Ce soir, les quartiers Nord, de sinistre réputation, respirent après de longs jours de canicule. Soulagés par le vent du -désert. Le sirocco, sec et chaud, souffle sur les cités aux noms fleuris mais aux décors et aux mœurs peu champêtres. Bâtiments gris, façades taguées, délavées, commerces fermés, et réseaux de drogue prospères. Marseille compte 150 cités, à peu près autant de lieux de vente. Ici, on les appelle les « magasins ». De shit, d’herbe, de cocaïne, d’héroïne, d’ecstasy, que sais-je encore. Chacun d’eux « emploie » une quinzaine de personnes. L’organisation est toujours la même. Des « guetteurs » surveillent, des « nourrices » cachent les produits, des « charbonneurs » les distribuent, des chefs ramassent les bénéfices. Et des dizaines de milliers de personnes -vivraient du trafic. Leur nombre est difficile à évaluer. Comme le chiffre d’affaires annuel du business. En moyenne, un -réseau marseillais rapporte quotidiennement entre 30 000 et 40 000 euros. Jusqu’à 80 000 euros par jour, dit-on, pour certaines cités comme la Castellane. Derrière elle, il y aurait Bassens, le haut lieu de la vente de shit, avec 60 000 euros. Des « entreprises » lucratives qu’il convient de protéger, parce qu’elles sont vite convoitées. Faibles, elles sont victimes du racket et paient un « loyer » aux bandes organisées, comme celle des frères Bengler, des Gitans, spécialistes en la matière. 

Le bling-bling est obligatoire. Le luxe est un pare-feu

Le principe de base de la sécurité, c’est l’information. Alors, sans arrêt, autour de nous, des gamins circulent à -scooter. Aucun n’a le permis et personne ne porte de casque. Ils font des rondes, le plus loin possible du cœur du réseau, plusieurs centaines de mètres, pour donner l’alerte au plus vite. Les patrouilles de police semblent indifférentes. Il y a deux ans, un agent nous avouait qu’elles ne contrôlaient que des conducteurs casqués : « Ils ont quelque chose à cacher. » Force est de constater que les consignes n’ont pas changé. 

A Marseille, si la vie n’est pas toujours drôle, elle est « tranquille », dit-on en appuyant sur chaque syllabe. Une tranquillité qui se paie parfois au prix de l’aveuglement. Les -Marseillais des arrondissements chics ont beau jeu de dire qu’ils ne voient rien des magouilles des cités. Et ceux qui y assistent tous les jours préfèrent vivre dans le déni. « Je ne me mêle pas de ce qui se passe dans mon quartier, prétend Karim, un commerçant. Je ne veux pas savoir qui fait quoi. Je n’ai pas envie d’avoir des problèmes. » Karim a 30 ans, des traits sévères. Il sculpte sa silhouette dans un club de gym, raffole des soirées dansantes et craque pour les costumes noirs. Il ne veut surtout pas les froisser et tient sa langue. Autour de lui, pourtant, les travailleurs du deal ne sont pas discrets. Ils ont transformé les entrées d’immeuble en checkpoints. Attentifs, prévenants avec les habitants, mais hostiles quand approchent intrus et curieux. Les bavards ont du souci à se faire. 

Près de l’autoroute du Soleil, vers 13 heures, Killian, un peu moins de 20 ans, déambule en short de bain à fleurs avec une serviette de plage sur l’épaule. Une gourmette en or au poignet, et des lunettes italiennes, une marque de luxe, pour dissimuler ses yeux vert clair. Il a la peau mate et bronzée, des cheveux bruns épais et ondulés, le ventre arrondi. Il nous lance un joyeux : « Vous êtes mariées ? » Killian est un dragueur, maladroit. C’est un beau parleur, un « barbot », comme on dit ici ; il badine… sauf sur son travail. Il se contente d’exhiber ses sandales blanches usées : « Regarde, j’ai plus de semelles, pas d’argent pour en racheter, preuve que je ne deale pas ! » Killian et ses copains éclatent de rire. Le « magasin » de shit n’est pas loin, à quelques mètres, sous le porche de l’immeuble, caché dans le faux plafond. Devant nos yeux et ceux des habitants, habitués et indifférents, les acheteurs -défilent. La résine de cannabis est importée du Maroc en -Espagne par hélicoptère. Un pilote toucherait 50 000 euros pour 500 kilos de fret. Puis la marchandise est convoyée jusqu’à Marseille par voiture, des « go-fast » qui effectuent la livraison pour 8 000 ou 10 000 euros. Dangereux, mais rémunérateur...

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" vous êtes protégés  -lol-"

sortir d’un club gay de Marseille ça autorise l'agression

 

Un jeune homosexuel s’est fait tabasser dimanche matin en plein Marseille par un groupe de cinq personnes alors qu’il sortait avec un ami d’un club gay. 

Les faits se sont déroulés dimanche, au petit matin. Ce jour-là, Paul, âgé de 26 ans, sort d’un club gay de Marseille avec un ami, Tony, âgé de 25 ans. Mais alors qu’ils auraient dû tranquillement rentrer chez eux, ils ont été pris à partie en pleine rue, dans le premier arrondissement de la ville par un groupe de cinq personnes.

C’est Paul qui a été le plus violemment agressé, rapporte « La Provence». «Ils l'ont balayé et roué de coups au sol», a confié un enquêteur au quotidien régional. Tony a bien essayé de s’interposer, mais en vain. Lui aussi a été violemment frappé. Le tout ponctué d’insultes homophobes. «Ils ne leur ont rien volé mais ont balancé d'emblée des insultes du genre "sales PD". Depuis, mon fils en fait des cauchemars et craque parfois dans de grosses crises de larmes», a déploré le père de Paul dans «La Provence».

Les agresseurs recherchés

Son fils se trouvait toujours à l’hôpital mercredi. Il devait être opéré d’une fracture au poignet et souffre d’un hématome au cerveau ainsi que d’une entorse à la cheville. Tony pour sa part a été blessé au nez.

Les enquêteurs tentent désormais de retrouver le groupe des cinq agresseurs le plus vite possible.

Refrain:}
Marseille, tais-toi Marseille
Tu cries trop fort
Je n'entends pas claquer
Les voiles dans le port

...

Par LIBERATION & PARIS MATCH - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 20 mai 5 20 /05 /Mai 07:00

    On visionne avec joie ce clip vidéo de ces gars  : le copain fait tout ce qu'il peut pour se prendre la queue de son ai visiblement surdimensionnée pour son petit cul ! Le gars a trouvé des mots pour encourager celui qui baise son copain chair contre chair en utilisant son trou !  tout culmmine avec la décharge de l'actif en profondeur. C'était parfait !
    USA  Loved watching this guy video tape his boyfriend struggling to take a dick that was clearly much bigger than his. He even encouraged the guy fucking his boyfriend raw to, “Use his hole.” It all culminated with the guest top shooting his load all over this guy’s boyfriend’s hole then fucking his cum deep inside of him. Perfect.

  notes

 

 

 

 

Par TRASHCLUB - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 16 mai 1 16 /05 /Mai 18:01

17 ans et il pose pour un magazine gay «  » 

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À 17 ans, un candidat de «X Factor» pose nu

Lloyd Daniels a accepté de se dénuder pour le compte d'un magzine gay…

1|7
Malgré ses 17 ans, Lloyd semble très à l'aide dans le plus simple appareil.
  
Lloyd Daniels (X Factor) naked photoshoot for the magazine Gay Times!!!
les rushs

 



On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.
- Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants !
- On va sous les tilleuls verts de la promenade.

Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !
L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière ;
Le vent chargé de bruits - la ville n'est pas loin -
A des parfums de vigne et des parfums de bière...

II

- Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon
D'azur sombre, encadré d'une petite branche,
Piqué d'une mauvaise étoile, qui se fond
Avec de doux frissons, petite et toute blanche...

Nuit de juin ! Dix-sept ans ! - On se laisse griser.
La sève est du champagne et vous monte à la tête...
On divague ; on se sent aux lèvres un baiser
Qui palpite là, comme une petite bête...

III

Le coeur fou robinsonne à travers les romans,
- Lorsque, dans la clarté d'un pâle réverbère,
Passe UN PETIT MEC  une demoiselle aux petits airs charmants,
Sous l'ombre du faux col effrayant de son père...

Et, comme IL elle vous trouve immensément naïf,
Tout en faisant trotter ses petites bottines,
Elle se tourne, alerte et d'un mouvement vif...
- Sur vos lèvres alors meurent les cavatines...

IV

Vous êtes amoureux. Loué jusqu'au mois d'août.
Vous êtes amoureux. - Vos sonnets La font rire.
Tous vos amis s'en vont, vous êtes mauvais goût.
- Puis l'adoré, un soir, a daigné vous METTE UN SMS écrire !...

- Ce soir-là..., - vous rentrez aux cafés éclatants,
Vous demandez des bocks ou de la limonade...
- On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade.

 

Par GAY TIMES - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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