mais l'envie est plus forte...et si Lou est shooté et bourré, Harry l'est encore plus ! Y a de l'amour ? yes y en a !
Y a de la baise ? yesssss y en a !
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extrait hyper cho !
[...//...] Avec Harry le « normalement » n'est jamais trop de mise. Il tourne la tête à ce moment-là et se retrouve juste au niveau de mon
entrejambe, qui n'est pas encore tout à fait calmée.
— Ohhhhh, dit Harry de sa voix grave, en fait tu veux t'amuser comme ça ?
Il se redresse de toute sa hauteur, l'eau dégoulinant le long de son visage et sur ses lèvres magnifiques. Le regard qu'il m'adresse ensuite est pas
légal, j'ai l'impression de m'embraser. Il m'attire à lui et je ne peux refuser son baiser langoureux. Harry se recule ensuite pour me demander :
— T'as envie de moi, Lou ?
La seule réponse qui s'échappe de mes lèvres est un gémissement.
— T'as envie de moi.
Son sourire s'agrandit et devient presque démoniaque.
— Mais on va pas faire ça ici... Parce que je pourrais pas te faire ce que j'ai en tête, là, et ce serait dommage.
— Et à quoi tu penses, exactement ?
Harry se penche à mon oreille pour chuchoter sa réponse, son souffle me fait frémir :
— Tu as vu ce que j'ai fait sur ce taureau, hein ? Bah imagine, c'est toi que je vais chevaucher. Je suis un très bon cavalier, tu le sais.
Mais ce soir je vais me surpasser, mon loulou. Vu comment tu es déjà excité, je te promets que tu vas venir trois fois grâce à moi, et peut-être même qu'après t'en redemanderas encore. Ça te
tente, Louis ?
PU.TAIN.DE.MER.DE. Vite, qu'on se barre d'ici et qu'on rentre à l'hôtel, ou même dans le bus ça fera l'affaire. J'ai perdu toute notion de patience
et de discrétion à partir du mot « chevaucher », le reste c'est du bonus.
— Harry... Tu me rends dingue.
— Je prends ça pour un oui ?
Je l'embrasse même à perdre haleine pour le lui confirmer. Après ça, on se met d'accord pour sortir à tour de rôle des toilettes et se rejoindre à
l'entrée dans dix minutes, histoire de fausser compagnie à tout le monde et de concrétiser les idées de Harry... Elles vont être longues, ces dix minutes. Mais putain, je pourrai attendre toute
une vie juste pour quelques heures avec lui.
Harry a tenu parole. Il a fait exactement tout ce qu'il m'avait promis dans les toilettes du bar et à l'heure qu'il est, j'approche dangereusement
de mon troisième orgasme, ce que je ne pensais pas possible en si peu de temps. Mais Harry est vraiment un très bon cavalier*, j'en ai encore la preuve tandis qu'il se déhanche nu au-dessus de
moi, en nage, avec son chapeau de cowboy sur la tête.
Il n'a jamais été spécialement réservé pendant nos moments intimes, à part peut-être un peu au début. Il s'est toujours lâché avec moi et ensemble,
on a testé beaucoup de choses. La position n'a donc rien de nouveau pour nous mais je sais pas, ce soir y'a un truc différent.
Je le vois au fond de ses yeux, la flamme qui y brille est encore plus intense que d'habitude. Harry gémit sans aucune retenue, allant même jusqu'à
crier parfois quand mon sexe atteint le bon endroit au fond de lui. Il est tellement excitant... et tellement excité aussi, je sais pas comment il a réussi à me faire jouir deux fois sans
exploser. Faut croire que le joint a également décuplé son endurance.
— Lou... iiiiis, il dit alors et sa voix part presque dans les aigus. J'peux plus... tenir.
— J'suis proche, attends juste un tout petit peu...
Il ferme les yeux, lèvres pincées. Pour accélérer les choses, je me redresse comme je peux sur la banquette du bus et je saisis ses hanches à
pleines mains. Le changement d'angle et la vision de Harry comme ça, accroché à moi et crispant ses muscles internes autour de moi suffisent à soulever cette vague de chaleur et de plaisir au
creux de mon ventre. La seule chose qui me manque, maintenant, c'est de le voir s'abandonner à son orgasme, alors je lui murmure :
— Vas-y, bébé, viens pour moi maintenant.
Il rouvre les yeux quand j'enroule ma main autour de son sexe et s'envole au septième ciel en criant. Je le rejoins là-bas en le serrant dans mes
bras le plus fort possible, jusqu'à sentir les battements endiablés de son cœur contre mon propre torse.
Je laisse Harry reprendre son souffle entre mes bras, caressant doucement son dos tandis qu'on s'apaise peu à peu. Il s'allonge ensuite à côté de
moi et, après quelques secondes de silence, il grogne :
— Putain, j'ai troooop faim.
J'éclate de rire, c'est un des effets du joint et ça me prouve que c'est en train de se dissiper. Je pense pas que j'aurais pu survivre à un
quatrième round après une soirée pareille.
— Qu'est-ce qui te ferait plaisir, bébé ? je lui demande, en me disant mentalement qu'il doit rester quelques bananes dans le coin
cuisine.
— Un cheeseburger, il répond aussitôt.
Autant au bar j'ai eu des doutes sur ma vision, autant maintenant j'en ai sur mon audition. Il a bien dit cheeseburger ? Le truc tout gras
qu'il me reproche en permanence de trop manger ?
— Euh, Harry ?
— T'as bien entendu, Lou. Et je suis affamé.
— Je vais te trouver ça, mon amour. Putain, c'est la plus belle soirée de ma vie.
C'est à son tour de se marrer. Je l'embrasse encore une fois et on se redresse maladroitement. On ressemble à rien, entre le concert et la
fête, on a vraiment la tête à l'envers mais y'a rien de meilleur que ce moment, là, quand nos regards se croisent et que l'amour et le bonheur que je lis dans ses yeux correspondent
exactement à tout ce que je ressens.
Note à moi-même : faire fumer Harry plus souvent
* il a chevauché un taureau de rodéo plus de 3 minutes sans être désarçonné ...là c'est son amant Lou qu'il chevauche -lol-
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