Faut-il qu'il ait de l'affection pour moi ! Mon copain a organisé un plan à trois. J’en suis tout chose. Entre ,nous trois c'est
la décontraction cependant...
ROLLERBI A ÉCRIT UNE BELLE HISTOIRE SUR REVEBEBE
Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/ UNE SOIREE REUSSIE
àla portée de toutes les bourses -lol- et même des hommes mariés qui ont besoin d'évasion !
Résumé des épisodes précédents :
Depuis quelques semaines, j’entretiens une relation sexuelle très osmotique avec Patrick, un quadragénaire hypermembré. Lors d’une virée
nocturne, à peine à l’écart de la ville, garé sur un parking, nous avons vécu des ébats plus que rythmés.
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Patrick, n'avait pas eu besoin de beaucoup insister pour me convaincre
Alors que cette personne se lève pour me serrer la main, Patrick nous présente. Je m’assois en face de ce charmant jeune homme pendant que Pat me
sert le traditionnel whisky. Tout naturellement, la conversation s’engage. Il s’agit de Franck, trente ans, commercial dans la grande distribution. Plutôt musclé, il est vêtu d’un jean, de
Converses. Des manches courtes de sa chemise à carreaux s’échappent des bras assez noueux. Un regard franc, une barbe taillée style « 4/5 jours » qui lui donne un air un peu plus dur.
Son visage est un peu anguleux, à la Javier Bardem, cet acteur hispanique très viril, le rend… séduisant, le piège à fille parfait.
Je ne suis pas au bout de mon étonnement : lorsque je demande s’ils se connaissent depuis longtemps, le piège à fille prend la
parole :
— Par téléphone, deux jours, sinon, un peu plus d’une demi-heure !
Je manque de m’étrangler en avalant ma gorgée. C’est alors que Patrick, devant mon étonnement, m’explique comment il a procédé pour contacter ce
jeune homme. Je lui ai à maintes reprises évoqué mon désir d’avoir un deuxième sexe viril à disposition lors de nos ébats.
En effet, malgré la très puissante performance de « mon mec », lorsqu’il décharge entre mes reins – chose dont je raffole, je n’ai pas son
doux breuvage à déguster. Et bien sûr, s’il me remplit la bouche, une petite frustration me titille au fond de mon ventre. Bien que le plus souvent, il me mette un but de chaque côté…
Bref, constatant notre évidente complicité, notre confiance et notre respect l’un envers l’autre au fil des semaines, il s’est mis en quête d’un
partenaire digne de mes critères pour combler cette… lacune. J’en suis sur le cul : j’en rêvais, il l’a organisé !
Frank nous explique qu’il est bi, et que sa sexualité est à 90 % basée sur l’hétérosexualité, mais qu’il ne rechigne pas à s’autoriser un bon plan
de temps en temps avec un homme, également dans le respect et l’hygiène. L’annonce qu’avait formulé Pat lui a plu, il répondait aux critères, il est donc rentré en contact, puisque… il est
là.
En même temps que l’alcool et l’excitation, mes pensées arrivent au cerveau, et c’est un début d’érection qui me rappelle que je ne rêve
pas.
— Je sais de quoi tu es capable, je commence à te connaître ! ironise alors Patrick. Je lui ai expliqué que tu avais un cul… n’ayant d’égal que
ta bouche gourmande. Tu n’en es pas fâché au moins ?
— Pourquoi voudrais-tu que je sois fâché ? répondis-je, rougissant tout de même un peu. Est-ce que je serai à la hauteur ? Ça ne m’est
jamais arrivé.
Je trouve cette initiative plutôt agréable, et je souhaite véritablement assumer de me retrouver « au milieu ». Car ce sera bel et bien ma
position.
— Je n’ai pas l’ombre d’un doute, gourmand, me lance Pat en accompagnant sa phrase d’un clin d’œil. Moi non plus, je ne l’ai jamais fait. Bon, tu
veux bien que Franck se joigne à nous.
Notre invité surprise ne fait pas attendre. Avec une élégante décontraction, il dépose son verre sur la table basse et vient se placer tout contre
moi, visiblement à son aise, sa main vient naturellement se poser sur l’intérieur de ma cuisse.
— Rassure-toi, moi non plus, me dit-il. En fait, si, une fois. Avec un copain, on a passé la soirée autour de sa femme. Mais à trois bonhommes,
c’est une première ! D’ailleurs, dès que j’ai lu l’annonce…
Le ton est donné, Mon copain a bien organisé un plan à trois. J’en suis tout chose. Comme presque tous les fantasmes à caractère sexuel, ils nous
obsèdent, mais à l’instant de passer à l’acte, un méli-mélo d’excitation et d’appréhension nous vrille les boyaux.
— Désolé, je ne me sens pas femme et n’ai aucune poitrine à te proposer ! plaisantai-je.
— Je ne suis pas là pour ça, répond-il. Tu es plutôt mon style. Patrick m’a longuement parlé de toi. Il m’a expliqué que tu étais un bon vivant
plutôt du genre insatiable.
— Eh bien lorsque je suis à l’aise avec un mec… je n’ai pas beaucoup de limites, mis à part le fait que je déteste embrasser un homme.
— Et qu’attends-tu d’un plan comme ce soir ? continue-t-il.
— Au risque d’être cru, je dirai jouir par les deux bouts. Patrick est un amant fantastique tant par ses mensurations extraordinaires que par son
extrême douceur. Alors… être entre deux hommes qui me comblent avec la même délicatesse serait fantastique.
— Est-ce indiscret de vous demander comment vous vous êtes trouvés, tous les deux ?
— En buvant l’apéro dans un bar avec des amis. Je l’ai bousculé sans le faire exprès, son verre s’est renversé sur son pantalon. Lorsque j’ai vu
cette bosse, continuais-je en la caressant de la main, j’ai cru défaillir.
— Tu l’as dragué en plein bar ?
— Non ! continue Patrick. Malin, il a prétexté être fatigué pour ne pas suivre ses amis. On a bu un verre ensemble avant de sortir dans la rue.
Tout en bavardant, je l’ai emmené jusque dans ma boutique. C’est là que je l’ai « entrepris ». Quel bon souvenir !
— Cool comme rencontre, dit-il, son plus beau sourire au coin des lèvres. En général, c’est sur un parking ou derrière un arbre.
— Ou dans un appartement ! dis-je.
Par où commencer, je n’en ai aucune idée, la situation n’est tout de même pas banale. Déjà, il n’est pas timide puisque sa main remonte vers mes
attributs, je décide de déposer les miennes sur chaque braguette à ma disposition : Franck à gauche, Pat à droite. Deux beaux paquets bien pleins, et si je suis sûr de ma main droite, la
gauche n’a pas l’air décevante.
Ce ne sont pas des gamins, tous deux ont plus d’expérience que moi. De toute évidence, ils savent ce qu’ils veulent. Très synchrones, ils ouvrent
leur pantalon, déballent leur beau matos. À cet instant, une pensée me traverse l’esprit : action, moteur, on tourne !
Le rêve d’un jeune homme bi. Ils se lèvent pour se débarrasser rapidement de leurs vêtements. Je les attrape par les couilles pour les attirer
contre mon visage. Leurs deux grosses queues frottent contre mes joues. Bien que très différentes, elles sont très impressionnantes. Franck a un très beau sexe circoncis, Assez épais à la base,
il est très long, et se termine par un gros gland violacé jouant au pendule devant une bonne paire de couilles.
— Le menu te convient-il ? ironise-t-il. Elle n’est pas aussi grosse que celle que tu as de l’autre côté. D’ailleurs, je n’en ai jamais vu
d’aussi épaisse ! Putain de morceau !
— Et comment qu’il me convient ! Quelle veine, j’ai les deux modèles, je vais pouvoir comparer.
— D’abord, à poil ! lance Patrick.
Sans temps-mort, je me retrouve entre eux. Ils me dévêtent de leurs mains agiles en simultané tout en me pelotant un peu. Je me retrouve à poil sans
avoir eu quoi que ce soit à faire, quatre mains parcourant mon corps, leur objet ce soir. Ils me palpent délicatement, vantent mes atouts… m’excitent terriblement.
— Il faut que je suce, là, tout de suite ! dis-je en me laissant tomber à leurs pieds.
Mes deux amants de part et d’autre me présentent leur virilité. Saisissant leurs belles queues, je les présente à ma bouche et commence par goûter
Franck. J’entoure son bout entre mes lèvres afin d’en découvrir la texture, et m’imprégner de son odeur de mâle.
Il est propre, sa toison pubienne taillée. La chair de son beau gland est plus ferme que celle de Patrick, moins lisse, mais son méat beaucoup plus
marqué. Sa circoncision me déroute quelque peu, jouer avec un prépuce est toujours agréable. Ma bouche part à la conquête de cette longue hampe avant qu’elle ne soit trop dure.
Je viens vers « mon mec », comme j’aime à le dire, ouvrant grand la bouche pour qu’il puisse s’immiscer entre mes lèvres. Je change de
queue, de texture, de volume. Le seul point commun, c’est qu’en les tenant à pleine main, elles dépassent laaaaaargement pour que je puisse les sucer. Je glousse de plaisir, accélère ma succion,
varie les rythmes, passe de l’une à l’autre avec avidité. Ils bandent bien maintenant, et Franck tend une sacrée gaule. Je peux le pomper et le branler en même temps sans interférences !
Sous ma caresse buccale, la verge de notre compagnon s’est énormément allongée, quelques belles veines se dessinent à sa surface, le large gland prend la forme d’un champignon bien congestionné.
Je la pompe bruyamment tant je salive, et son propriétaire n’hésite d’ailleurs pas à venir à ma rencontre lorsque je l’enfourne. Son diamètre « plus conventionnel » que celle de mon
complice de jeu habituel donne à cette fellation une possibilité de jeu plus aguichante, et ma langue s’exprime ici pleinement.
— Hummm… tu as une sacrée bête de concours ! dis-je en la secouant fièrement. Vous allez me déformer avec vos King Size. Quelles queues !
Je n’en reviens pas, je vis un rêve !
— Attends de la sentir entre tes fesses… car je compte bien m’y présenter !
Je change de bite pour retrouver celle qui me comble régulièrement. Pat est très calme, comme à son habitude.
— Mais quand tu veux. Vous me chauffez grave, il va me falloir de l’action !
— Nous sommes là pour ça. répond Patrick. On va te sauter à tour de rôle, et je n’ai posé que deux règles. Le respect et impérativement jouir en
toi.
— Donnez-moi un apéritif, les garçons. Donnez-moi une première dose, vous tiendrez plus longtemps après, comme ça vous pourrez profiter de moi
plus longtemps.
Je m’évertue à leur donner la meilleure prestation possible. Je sais très bien comment faire jouir mon régulier assez vite, accompagnant mon
embouchure de grands mouvements de poignet. En revanche, une queue circoncise est plus coriace. Je lui agrippe les couilles et propulse le gros bout loin en moi, puis le branle fort en le pompant
fort, ce qui le fait frémir.
Depuis que nous baisons ensemble avec Patrick, nous pratiquons du sexe- plaisir, pas de l’amour passionnel à s’embrasser à pleine bouche ! Nous
avons le même trip, et la magie, c’est que notre conception de l’amour entre hommes s’accorde. Nous nous complétons sans préjugé. Et justement, là, je suis aux anges, la bouche bien pleine,
salivant et pompant deux très beaux spécimens. Cela correspond à mes désirs, et eux m’en offrent la possibilité.
Ils m’encouragent, me disent qu’ils vont bientôt décharger, que je me prépare à boire la tasse ! Je me déchaîne sur leur vit, recevant
également toutes les ondes positives que me communiquent mes partenaires. Le rythme augmente, nous y sommes.
Patrick craque le premier ; il émet le son rauque typique d’un homme s’oubliant, et commence à décharger d’interminables jets de sirop, n’en
finissant plus – comme d’habitude – de se déverser. Je m’empresse de déglutir son nectar, conscient qu’une certaine logistique s’impose. Tandis que Franck me dit de le branler plus fort, je
termine avec tendresse la queue de Pat entre mes lèvres, alors qu’encore quelques spasmes la font tressauter, déversant les dernières gouttes sur ma langue.
— Ohhhhhh oui, je vais jouir ! Viens vite ! crie-t-il soudain.
Le temps de prendre son gros gland violacé entre mes lèvres, la belle pompe de notre invité se met en mode vidange, déversant également plusieurs giclées de foutre contre mon palais. Son éjaculation est moins
abondante et légèrement plus épaisse, de même qu’un goût un peu plus âcre et salé le différencie également. Je me repais de cette deuxième superbe éjaculation avec beaucoup de plaisir, gardant sa
belle queue en moi quelques instants aussi encore avant d’alterner de nouveau, les nettoyant amoureusement toutes les deux, les accompagnant dans leurs replis. J’aime le sexe, j’aime les belles
queues, et n’ai jamais assez de sperme à avaler. Ce sont deux gros donneurs, avec de bonnes réserves !
— Merci les garçons. Vous m’avez bien comblé. Que c’est bon d’avoir deux mecs pour soi ! ne puis-je m’empêcher de leur dire en reprenant un peu
de souffle. Et quels mecs !
— On m’a toujours rassuré quant à la grosseur de ma queue, mais là, je dois reconnaître que tu es é-nor-me ! lâche Franck. Je n’en reviens
pas.
— Tu n’as pas de complexe à avoir, tu es monté comme un âne aussi, le rassurais-je. Je vais la sentir passer aussi !
Patrick, toujours pragmatique, pense que je dois être impatient de me faire prendre, et propose de ne pas me faire trop attendre. Le propriétaire
des lieux nous emmène dans la chambre ; nous allons continuer sur le lit… que je connais déjà très bien. Il est vrai que mon cul « a faim », et qu’il réclame à son tour beaucoup
d’attention, et surtout d’être investit. Ce soir, je vis un paradoxe : c’est MA soirée, mais je serai LEUR jouet !
À peine posés sur le lit, mes compères s’emparent de mon corps. Je suis au centre, certes, mais aussi le centre d’intérêt. Nos mains jouent
agréablement à nous découvrir. Les premiers doigts s’introduisent entre mes fesses, je n’en attendais pas moins, et m’installe directement à quatre pattes, le cul offert, bien cambré, les jambes
largement écartées. Afin d’être explicite, je me trémousse sans aucune pudeur en implorant d’être entrepris.
C’est juste à ce moment que Franck parcourt ma raie de sa langue, avant de bien insister sur mon œillet palpitant. Nageant en plein rêve, j’ondule
instinctivement pour mieux m’offrir. Sa langue lape, lèche et pénètre mon petit trou avec application, Tantôt, ce sont mes couilles qu’il aspire. Patrick nous stimule avec des propos hards – mais
sans aucune vulgarité –, tout en venant me présenter ses belles burnes à ma bouche. Toutes ces sensations se percutent dans mon esprit, générant un délicieux climat d’excitation et de
bien-être.
— Oh ouiiii, là, j’ai besoin d’une grosse queue entre les fesses, m’écriais-je, excité comme jamais. Sautez-moi, j’en ai mal au ventre tant j’en ai
envie.
Patrick sort le gel de derrière les coussins, il a tout prévu. Le moment tant attendu arrive enfin. Franck m’en applique rapidement, puis enfin son
gros champignon pointe mon anus. Pour la première fois de ma vie, je vais sentir une queue fouiller mes reins tout en en savourant une deuxième en simultané ! Sucer, donner, prendre,
recevoir, tout s’emballe ! Je décide de me laisser porter ce soir, et de m’en remettre à mes deux complices, incapable de trancher pour quelque priorité que ce soit. La seule chose que je
peux faire est d’accompagner leurs mouvements pour « fluidifier les étreintes ».
Je pousse pour ouvrir mon anus alors que le gland force ma porte arrière pour lentement pénétrer mon sphincter, puis se cale ainsi un petit moment,
tenant mes fesses largement ouvertes. J’ai très souvent remarqué que les gens bien montés, voire très bien montés, marquent toujours un arrêt une fois le gland passé, afin de laisser le temps aux
muscles de se détendre, ce qui est logique, en plus d’être une délicate attention.
— Oh putain, que c’est bon de se faire enculer ! ne puis-je m’empêcher de crier. Ouiii, glisse en moi.
Cette bonne queue, déjà très impressionnante, ne peut cependant pas rivaliser avec celle que j’ai pris l’habitude d’engloutir ces derniers temps. La
fonction crée l’organe, et comme Pat me sodomise plusieurs fois par semaine, je commence à être aguerri à cette pratique.
— Merci ! Merci Patrick. Que c’est bon, d’avoir des queues de partout ! m’écriais-je en attrapant la sienne pour l’emboucher. Baisez-moi,
embrochez-moi !
Ne résistant plus, je m’écarte les mandibules au maximum et suce mon complice à m’en démettre les cervicales. J’envoie quelques légers coups de
bassin afin de bien lui faire comprendre mon désir « d’être sauté », il y répond immédiatement en glissant en moi par de douces poussées. J’arrête de sucer le temps de bien me sentir
investir par cette longue barre, remerciant Patrick sans cesse pour ce qu’il est en train de me faire vivre.
— Tu devrais avoir ce que tu désires depuis quelque temps, on va te remplir toute la soirée et essayer de te donner un maximum de plaisir ! me
lance-t-il.
Et tandis que ce long cylindre pénètre mon fondement, j’insinue un doigt au cul de mon « pompé », lui provoquant un petit
grognement.
— Quel cul tu as ! savoure mon enculeur, ses couilles touchant les miennes. Quelle souplesse ! Tu as trouvé une perle rare, tu ne m’avais
pas menti. Ohhh que c’est bon !
Si sa bite est bien moins large, elle est par contre un peu plus longue, mais trouve néanmoins terre d’asile ! Je suce une queue, gobe ce gland
turgescent, et ressens cet autre membre me distendre l’ampoule, commençant à me limer doucement.
— Oh oui, remplissez-moi bien, comme ça, j’aime bien vos queues de partout en moi. J’en veux partout.
Il m’est difficile d’exprimer ce que je ressens, mais là, je suis rassuré de connaître ceux qui me possèdent. Euphorique car ils sont tous deux
montés comme des étalons, mais des plus concentrés sur mon plaisir… Ils prennent plaisir à m’en donner, ne cherchant pas à baiser pour vite décharger et s’enfuir !
Le ballet qu’effectue leur splendide organe en moi me procure une incroyable jouissance, mentale pour l’instant, certes, mais quel plaisir ! Me
livrant sans aucune retenue, je m’entends leur parler, leur exprimer ce que je vis, ce qu’ils me font vivre en s’emboîtant ainsi au plus profond de mon corps.
Ainsi stimulés, mes amants savent ce que j’attends. Pat joue à dominer ma bouche en tenant sa hampe à la base, donnant des coups de rein pour
« baiser ma bouche », s’empalant chaque fois sur mon doigt. Franck, lui, coulisse librement, me remplissant jusqu’à la garde, puis ressort pour tapoter sa lourde hampe sur mes fesses,
en disant qu’il voudrait bien se refaire sucer.
Je n’ai qu’à peine le temps de réaliser que mes deux mecs se retirent. C’est au tour de Patrick de m’appliquer une bonne dose de gel, ne voulant pas
que je souffre ce soir, puis s’allonge en m’invitant à venir contre lui ; il veut me prendre en cuillère. Franck se place face à moi en 69, et en attendant d’être enculé, j’embrasse
sensuellement les bourses de ce dernier, m’enivrant de ses effluves de mâle en rut.
— Tu veux pouvoir comparer nos queues ? Tu veux vraiment que je t’encule ? ironise mon régulier.
— Plus que jamais, baise-moi vite !
Il ne me fait pas plus attendre. Mon cul est hyper relâché et son nœud trouve immédiatement sa place. Puis vient la partie énorme de sa hampe,
« la partie dure à avaler ».
— Vas-y, Patrick. Vas-y, prends-moi, je te veux. Fais-moi du bien, comme tu sais si bien le faire.
Devant tant d’enthousiasme, il envoie la pression nécessaire pour forcer l’obstacle. Une fois de plus, je redécouvre ce que j’appellerai « la
classe affaire », le summum des transports aérien. Un Dieu du cul. Il m’encule en deux poussées, puis s’immobilise lorsque ses couilles me collent au cul.
— Vous êtes tous les deux monstrueux, mais que c’est bon de vous avoir en moi ! Vous me faites vraiment du bien, les garçons, leur dis-je
encore une fois.
Alors que Patrick s’active derrière moi, je reprends la belle queue de Franck bien au fond de ma gorge en même temps que la mienne se plante dans sa
bouche, mes couilles pleines sur son nez. Ses yeux sont à quelques centimètres de mon anus ouvert et lubrifié à souhait, il ne doit rien manquer et s’en mettre plein la vue. De main ferme, Pat
tire ma cuisse bien haut pour me posséder complètement. Il sait que j’affectionne particulièrement cette position, qu’elle génère mes plus belles éjaculations spontanées.
Ses coups de queues sont appuyés, il me transperce autant qu’il me transporte, s’amuse à me dire qu’il va s’arrêter rien que pour m’entendre lui
répéter qu’il me faut leur queue. Il la sort et Franck qui la récupère pour la sucer un peu en exprimant sa surprise face à un si gros morceau. Puis je la retrouve en moi, la ressens juste
derrière mon nombril à me faire délirer.
— Ohhhhhhh Patrick, ce que tu me sautes bien ! Je… Ouiiii, je vais décharger ! N’arrête pas ! Encule-moi… Oui, que j’aime ! Bien
au fond !
Complètement désinhibé, et surtout, comme nous tous, surexcité par l’intensité de la scène, j’émets de sons bestiaux au fur et à mesure que ma
jouissance augmente. Il est difficile d’exprimer ce que je ressens à cet instant. Trois hommes libres de toutes entraves – qu’elles soient physiques, morales ou psychologiques – qui s’entendent
et s’accordent parfaitement, s’adonnent aux plaisirs de la chair. Tous mes désirs sont comblés : deux gros sexes, un dans chaque orifice, de la tendresse, beaucoup de sperme…
Mon ventre ondule sous les allers-retours de Patrick ; les milliers de terminaisons nerveuses qui tapissent mon rectum bombardent mon cerveau
de bonheur brut. Ma queue coulissant entre les lèvres de Franck est au paradis, j’ai dans mes mains de grosses couilles à malaxer, et une très belle verge me bâillonne. Incapable de résister, je
pars dans un orgasme d’une force inouïe, à en perdre haleine. Je me déverse dans la bouche de Franck d’un flux quasi continu, sa queue toujours contre ma bouche. Je jouis, voyageant aux limites
de la perte de conscience, le corps traversé d’ondes de bonheur, de spasmes, le tout ponctué de cris rythmés par les coups de bite de mon amant.
Franck a consommé cet orgasme, et n’a pas éjaculé, malgré l’intensité de ma fellation. Je m’allonge lourdement sur sa cuisse, béat de plaisir, ma
bite mollissante toujours entre ses lèvres très câlines. Je rassemble mes esprits et leur demande de me laisser quelques instants de répit. Très délicatement, Pat se retire, laissant la porte
grande ouverte, comme toujours.
— Regarde un peu si ce n’est pas beau, ça ! Vise un peu ! fait Pat à son invité. Tu comprends pourquoi je craque à chaque fois ?
Comment résister à un cul pareil ?
— Tu lui mets le compte avec ta matraque ! La queue que tu as, sans déconner ! Elle est lourde, elle me fait saliver.
— Fais-toi plaisir ! Il ne sera pas jaloux, j’en suis certain.
Ces quelques mots me réveillent d’entrée, et voilà un des aspects auquel je n’avais pas pensé : le piège à fille qui suce la queue de mon mec.
Je me retourne doucement pour admirer la scène. Un regard plein de complicité de Patrick croise le mien. Franck s’applique à le sucer, et je devine dans ces gestes la même fascination pour ce
monument que moi. Sa bouche est visiblement moins grande que la mienne, mais il sait faire du bien à un trois-pièces, il n’oublie pas les bourses.
— Tu te remets j’espère ? me lance Patrick. On n’a pas encore fini avec toi.
— Tu viens de me faire planer, comme à chaque fois. On a tous déchargé une fois, on est à égalité sur ce coup. Lequel va me sauter,
maintenant ?
— Si vous êtes d’accord, je veux bien continuer. Franck suce si bien, je ne vais pas tenir trop longtemps.
— Moi non plus ! dit Franck. J’ai mal à la mâchoire. Mais qu’elle est bonne !
Je reste sur le dos, les genoux dans mes mains, outrageusement ouvert, offert. Après une petite dose de gel, Patrick vient « me couvrir ».
Une main complice guide la lourde verge vers sa destination en lui disant de bien me remplir, ce qui est à peu près certain. Monsieur m’encule d’une seule poussée, faisant valser son gros paquet
contre mon sacrum. Là, c’est à lui de jouir. Mes jambes se croisent dans son dos, mes bras se referment en emprisonnant ses épaules pour un accouplement que je désire fusionnel.
— Viens vider tes belles couilles dans mon ventre, il est à toi. Baise-moi comme tu en as envie, jouis comme tu viens de me faire jouir.
Ses fesses remontent pour mieux redescendre, il me projette sa virilité coup après coup en criant qu’il va vite décharger, que mon cul est fait pour
en prendre. Franck, penché sur lui, semble lui lécher l’anus. Excité comme rarement par cette situation, j’envoie mon bassin pour aller au-devant de son sexe en me contractant de toutes mes
forces autour de sa hampe. Je râle de bonheur, lui hurle que j’attends son foutre, qu’ensuite je voudrai celui de Franck. La tête m’en tourne, mes couilles sont comprimées contre son pubis, les
siennes martèlent mes fesses.
Soudain, il jouit, les dents serrées, tétanisé au fond de mon ventre. Son foutre gicle si fort que j’en ressens l’impact. Accroché à son corps comme
un petit singe, je le pompe en une série de contractions anales et de coups de reins en le remerciant du cadeau qu’il est en train de me déposer.
— Vide-toi bien dans mon cul, encore, oh ouiii. Ne puis-je me retenir de lui chuchoter à l’oreille. Oui, encore ! Tu sais qu’il est à toi, que
tu peux y venir autant que tu veux. J’adore comme tu me baises. J’aime tout de ta grosse queue.
Telle la vapeur d’une locomotive, son souffle brûle mon cou. Il est allongé de tout son long sur moi, collé à moi par notre sueur. Le battement
de son cœur résonne dans ma poitrine alors que je caresse son dos tendrement, presque amoureusement. Il met un long moment à reprendre le court des choses, et sa queue a commencé à débander
lorsqu’il se retire de mon intimité.
Franck est là pour la récupérer. Sans hésitation, il s’emploie à la lui nettoyer. Je n’ai qu’un quart de tour à faire pour prendre sa queue
circoncise en bouche. Une main sous ses couilles, l’autre autour de sa hampe, je l’engloutis avec gourmandise afin de le faire bander. L’homme est des plus réactifs, sa belle queue s’allonge
sans se faire prier.
— Vous ne baisez pas, vous deux, nous dit-il en se redressant, vous faites l’amour ! Il y a tant de délicatesse quand on vous
observe !
— Disons que l’on s’apprécie beaucoup, et que l’on s’entend bien aussi ! lui réponds-je. Tu as l’air d’être un gentil garçon, toi aussi. En
quelques jours, qui sait, nous serions certainement aussi complémentaires !
— Peut-être, c’est vrai.
— Tu n’en es pas jaloux, au moins. lui demande Patrick.
— Non, pas du tout, bien au contraire.
— Alors, tu voudrais bien venir « me faire l’amour », toi aussi ? Ce soir, j’ai besoin d’amour.
— Hummmmm… tu veux de ma semence aussi ?
— Oui, j’adore ! Viens, prends-moi dans la même position, que je n’en perde pas une goutte. Avec ce qu’il vient de me mettre, on n’a pas
besoin de gel.
La queue raide, son nœud hyper gonflé, il se glisse entre mes jambes écartées. Mes pieds encore sur le lit ne lui laissent pas encore accès à mon
anus, sa verge repose donc sur mon pubis. Je la saisis et la plaque contre mon ventre. Elle est chaude, longue, très longue.
— Tu vois jusqu’où elle va aller ? lui fais-je remarquer.
Ses testicules reposent sur ma verge molle, et son gland se termine bien au-dessus de mon nombril. No comment.
— Suce-moi encore un peu, s’il te plaît. J’adore ta bouche.
Il s’agenouille au-dessus de mon torse, je n’ai plus qu’à ouvrir la bouche. Puis il prend appui sur ses mains, et peut ainsi gérer la façon dont
je le suce. Je savoure chaque instant de cette soirée, et mesure la chance que nous avons d’avoir avec nous un homme aussi bien que Franck.
À quelques reprises, il s‘enfonce en moi jusqu’à m’étouffer, mais nous ne sommes pas dans le bon sens pour une gorge profonde. Et puis je le veux
entre mes fesses. D’une pression de la main, je l’invite à se retirer.
— Prends-moi, s’il te plaît. J’ai envie de toi, de ta queue.
Son corps athlétique se glisse de nouveau entre mes jambes qui cette fois viennent se refermer sur ses fesses, offrant un accès direct pour son
vit. Le chaud mandrin trouve son chemin, il s’immobilise contre mon anus encore grand ouvert et gluant de sperme.
— Fais-moi l’amour, plonge en moi. J’en ai besoin.
Sa verge force mon anneau pour s’inviter en moi, m’arrachant un soupir de soulagement. J’attire son buste contre le mien et lui pose une main sur
la nuque pour qu’il pose sa tête dans mon cou. Son bassin entame une danse, sans chercher à s’enfoncer tout de suite, il bouge de bas en haut, de gauche à droite, coulissant à peine de quelques
centimètres. Il tire avantage d’avoir un gros champignon au bout de sa verge pour exciter les milliers de récepteurs de mon rectum.
J’aime beaucoup ce qu’il me fait, et s’il n’est pas aussi gros que mon amant régulier, il est largement au-dessus de la moyenne. Je me contracte
autour de lui, vais à sa rencontre, l’obligeant à me pénétrer pour mieux le sentir. Mais il joue avec mon cul, ressort pour ne laisser que l’imposant bouchon de champagne pour mieux revenir,
affolant mes sens en glissant au fond de moi pour me faire vibrer de surprise.
— Tu aimes ma queue ? demande-t-il à voix basse. Tu la veux encore ?
— Je l’adore, vous êtes des amours, tous les deux. Si différents, mais si grands, si forts !
J’ai la chance, l’honneur et le privilège de disposer de deux genres de queues totalement différentes ; en effet, l’une, même si son gland
est hyper gros, devient beaucoup plus épaisse, pour ne pas dire renflée, un peu à l’image d’une longue torpille avec option « prépuce ». L’autre est bien plus longue, veinée,
circoncise, avec un gland bien plus large que sa hampe. Et les deux sont des bêtes de concours.
Franck manie sa dague avec finesse. Pat, par la grosseur de sa verge, me lamine délicieusement le rectum dans sa totalité. Le simple va-et-vient
de sa massue suffit à mettre le feu aux poudres, alors que le sexe de notre invité « travaille » sur différentes zones de pressions, et je peux beaucoup plus aisément me contracter
autour de sa hampe.
Je jouis de sa tendresse, de la prévenance de ses mouvements. Il ne cherche pas à m’en mettre plein le cul, mais bien à nous donner du plaisir.
Mon ventre l’aspire, mes fesses grimpent se lover contre lui pour mieux le recevoir, le ressentir. Ses couilles pèsent agréablement contre mes fesses, son gland stimule ma prostate à chaque
passage, lorsqu’il ne s’arrête pas directement dessus, comme s’il la ressentait. Et lorsqu’il vient s’écraser tout au fond de mon ventre pour baigner dans la jouissance de son prédécesseur, de
délicieuses bulles explosent en feu d’artifice.
Mes pieds glissent sous ses fesses pour que je puisse l’entraîner dans une roulade. Docile, il se retrouve sur le dos, j’ai trop envie de
participer. Droit sur lui, j’entreprends un langoureux mouvement de bascule du bassin pour bien sentir mon homme si dur en moi en lui caressant les bourses.
— Que c’est excitant de vous voir ! s’exclame notre voyeur, sa virilité bien en main. Vous me faites déjà rebander.
Je le sens si grand en moi… puis me place en arrière, appuyé sur mes bras. Cet angle me donne l’impression qu’il remonte jusque
pour :
— Hummmm… viens vers moi. Donne-moi mon biberon !
Sans hésiter, il se dresse pour m’offrir sa demi-molle, encouragé dans ma démarche par sa main sur ma nuque. J’aspire sa queue le plus fort
possible en caressant ses fesses, dansant régulièrement sur cet immense sexe qui travers mon ventre. L’un dans l’autre, nous ne faisons qu’un. Mes deux merveilleux amants me parlent, flattent
mon corps en me remplissant de leur chair, de bonheur et de leur sperme.
De ses mains puissantes, Franck écarte mes fesses en guidant mon bassin, probablement est-ce son besoin de jouir qui l’emballe. Cela me convient,
et me fait m’activer sur la queue qui me bâillonne. Un doigt trouve son anus sensible, et je branle son gourdin en pompant fort son gland. Je sais qu’il est à l’écoute, et qu’il peut jouir
facilement quand il le veut.
Ce faisant, je chevauche avec beaucoup plus d’amplitude mon autre queue, qui elle-même se plante plus fort en moi. Je la serre fort pour bien la
masser, mais aussi pour ne rien perdre du sperme déjà en moi. Des sons de plaisirs sourdent de ma gorge, véritables onomatopées d’appel à la jouissance. Frank me prévient qu’il ne peut plus
tenir, qu’il doit décharger sur le champ.
Son nœud me semble aussi gros qu’une boule de pétanque lorsqu’il se tend pour se vider. Ses doigts enserrent mes fesses, ses bras puissants me
soulèvent pour mieux me planter sur sa queue lorsque sa chaude semence se répand dans mes entrailles en puissants jets. Je me contracte comme pour bien le vider, en extraire chaque goutte,
jusqu’à ce qu’il termine de me transpercer.
C’est ce moment que choisit Patrick pour me remplir la bouche comme s’il jouissait pour la première fois de la soirée. Mes amants, une fois de
plus, me comblent. Si je n’ai pas d’orgasme physique, un véritable orage cérébral enivre mon cerveau. Un homme finit de tressaillir entre mes reins, n’effectuant plus que de petits mouvements,
tandis qu’un deuxième largue sa dernière giclée entre mes lèvres. Le temps se dilate, les saveurs d’homme tapissent ma bouche, mon ventre se remet des assauts qu’il a subis cette
nuit.
La pression retombe. Je libère la verge de Patrick et entraîne Franck dans ma chute sur le côté.
— Non, reste encore un peu en moi, l’implorais-je alors qu’il semblait reculer. J’en ai encore besoin un petit moment.
Pat s’allonge contre mon dos, sa main sur mon ventre, son sexe contre mes fesses. Vaincu de tant d’amour, je gis entre mes deux valeureux
guerriers. Le monde peut s’écrouler, plus rien en dehors de cette chambre n’a d’importance. Toujours solidement empalé, je peux aller au Walhalla l’esprit en paix.
— Comment te sens-tu ? s’inquiète à voix basse Patrick. Tu n’as pas souffert ?
— Souffert ? Vous vous êtes si bien occupé de moi que retrouver ma routine va être moralement éprouvant !
— Voilà ce que j’aime chez toi : tes facultés d’adaptation. Je suis très heureux de t’avoir rencontré.
— Inutile de vous dire que je ne pensais pas vivre quelque chose d’aussi agréable en venant ce soir ! ajoute Franck. Je m’attendais à un plan
cul, et…
— Et ? m’inquiétais-je en contractant mon sphincter autour de sa verge.
— Vous m’avez bluffé. J’ai l’impression que nous connaissions déjà nos corps, comme si nous avions l’habitude de coucher ensemble.
— Merci les garçons. Je me sens bien entre vous, plein de vos grosses queues et de votre sperme. J’en ai si souvent rêvé, jamais je n’aurai pensé
que cela puisse être si bon et si agréable de… disons d’en prendre de partout.
Nous ne bougeons plus et restons ainsi peut-être une demi-heure à parler. Nous sommes bien tous les trois, aucune gêne, aucun tabou. Même
débandée, la queue de Franck, de par son anatomie, ne cherche pas à sortir. Je leur explique que je suis tellement plein de foutre qu’ils vont pouvoir me suivre à la trace. Avec douceur, je me
défais de mon « habitant » dans un bruit assez significatif. Sa queue brille, une écume la couronne à la base de sa hampe et sur ses bourses. Incapable d’en perdre, je l’attire à moi
et le nettoie amoureusement.
Ils ont beaucoup ri de me voir marcher les fesses serrées lorsque nous sommes allés à la salle de bains.
— Aucun doute pour qui ne sait pas : tu t’es fait casser le cul ! ironise Franck.
— Vous avez vu ce que vous déchargez, tous les deux ?
— À qui la faute ?
Chantonnant l’air connu de Joe Cocker « You can leave your hat on », les mains contre le carrelage de la douche, jambes écartées, cul
cambré bien en arrière en roulant du bassin, il me suffit de contracter mes abdos à plusieurs reprises pour que de mon anus béant s’écoule leur sperme le long de mes cuisses.
C’est également la première fois que je prends… une douche avec et entre deux mecs. Sucer leur queue toute fraîche et proprette sous un déluge
d’eau tiède est un délire que je souhaite à toute personne fan de fellation de vivre au moins une fois.
Ma dernière volonté est accueillie sans problème : me coucher entre mes deux grosses queues préférées.
— Bonne nuit les étalons. Merci pour tout, leur dis-je. Et si vous rêvez que vous vous faites sucer, ce n’est peut-être pas un rêve !
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