ils rivalisaient de beauté africaine
Derrière des rochers que je voyais à une centaine de mètres de moi, des rires se faisaient entendre. Je me rapprochai et les rires se changeaient parfois en mots incompréhensibles. Ce devait être sûrement un dialecte local.
J'étais collé enfin tout près des rochers quand les bavardages cessèrent et laissèrent place à des bruits... douteux. Des râles. Des grognements
!
Doucement, je sortis de l'eau et grimpai sur les rochers. Stupeur ! Derrière les rochers, il y avait une toute petite plage sur laquelle un beau
black était en train de sodomiser un autre mec. Le black allait et venait de plus en plus fort et l'autre mec gémissait.
Que faire ? Ca faisait des jours que je n'avais pas baisé, mais déranger ces deux jeunes hommes serait déplacé de ma part... Awwwwh, j'avais
tellement envie de me faire prendre ... Tant pis ! Je décidai d'y aller, au risque de me faire rejeter.
Je m'allongeai à côté d'eux, comme si de rien était et je m'aperçus que le mec qui se faisait défoncer était le jeune métis de l'Hôtel !!!! Les mecs
s'arrêtèrent dans le feu de l'action.
-Tu veux quoi, toi ? demanda le black. T'as un problème ?
Le jeune métis dit alors :
-Il veut p't-être participer...
J'acquiesçai. Le black se retira du métis. Je fus très impressionné : le mec avait un sexe énorme ! Au vue de nez, il devait faire au minimum 30 cm
!!!! Et il était si large que lorsque je me mis à le branler je n'arriver pas à refermer ma main !!!!!!! J'enlevai mon maillot de bain et mon sexe se redressa d'un coup. J'étais si excité qu'il
était dressé et dur comme du béton.
Le beau black me pris alors violemment la tête et me força à le sucer. Le sexe était trop gros. J'avais du mal à l'avaler. C'est tout juste si
j'arrivais à avoir son puissant gland foncé. Au même moment, je sentais le métis qui me léchait l'anus. C'était divin.
Le black devenait de plus en plus violent. Je faisais mon possible pour le satisfaire. Et l'autre commença une douloureuse pénétration. Le métis
aussi avait un sexe impressionnant. Il devait être long et gros comme un bras d'adulte !!!!! Heureusement il commença, après de douloureux va-et-vient, à mouiller. Ce qui servit de lubrifiant et
la douleur se transforma en plaisir intense. Je me demandais toutefois comment mon petit cul pouvait supporter cet énorme engin qui me défonçait.
Un long moment après, le black déversa dans ma bouche de grosses giclées de sperme. Je sentais les jets épais, gluants et chauds taper au fond de ma
gorge. Tout en vidant ses énormes testicules poilus il me disait, et son copain aussi, des mots très gentils. . Il retira sa queue d'éléphant de ma bouche et continua à déverser sa
semence sur mon visage. Ces couilles étaient si grosses qu'il aurait pu remplir une canette entière avec son foutre. Il y eu au moins 6 ou 7 longs et puissants jets sur mon délicat visage de
jeune français.
Quand au métis je sentais qu'il allait jouir. Je le supplia de se retirer avant l'éjaculation, mais il n'en fit qu'à sa tête et cracha son foutre
brûlant dans mon intestin ! Il y en avait tellement que ça dégoulinait et je sentais le sperme gluant couler le long de mes cuisses.
Le soleil tapait. Tous les trois nous transpirions comme des boeufs ! L'odeur de la sueur se mêlait à celle du sperme. C'était trop bon. J'étais
pris en sandwich entre un jeune métis et un puissant black trop bien monté. Mon corps était couvert du produit de leur testicules.
Le black m'ordonna alors :
-Met-toi sur moi, ! Je veux t'défoncer ton petit cul de blanc !!!
Je m'exécutai. Son corps d'ébène était allongé sur le sable blanc. Et son pénis gigantesque se dressait et semblait monter jusqu'aux cieux. Le gland
brillait et un liquide transparent coulait encore le long de sa verge. Je pensais que tout à l'heure il avait déversé l'équivalent de ce que produit un homme normal pdt un an et qu'il était
rassasié, mais apparemment non. Il en voulait encore.
Je me mis au-dessus de lui et me mis à descendre ma croupe. Je sentais son gland frôler mon trou qui commençait à se refermer sur la partie de sa
queue déjà engagée. C'était serré ! Et doucement je descendis de plus en plus. J'ai fini avec plus de 30 cm en moi !!! Je commence un délicat va-et-vient. Il commençait à gémir de
plaisir et insista pour que j'accélère.
En face de moi, le métis me présenta son beau cul que je mis à lécher. Ma langue s'engouffrait parfois dans son trou foncé.
En même tps, le grosse queue du black me faisait mal. Il me dit d'arrêter. Il se releva, me retourna et me culbuta avec force. La douleur était
atroce. Et je continuais à lécher le trou de balle du jeune métis qui prenait son pied et se branlait en même temps.
Le black me défonçait si fort que les larmes et les cris me venaient. Pour que je ne crie plus, et de peur d'attirer du monde, son complice
m'obligea à lui bouffer le cul. Je ne pouvais presque plus respirer. Et je sentais l'odeur parfumée de son anus... Il aimait. Le métis éjacula alors sur le sable.
Le gros black me plongea alors le visage dans le sable, sur la semence encore chaude. Je sentais qu'il allait jouir. Il se retira et je sentis de longs jets de sperme gluant atterrir sur mon dos.
C'était fini. Les deux compères s'en allèrent en me laissant assis sur le sable, couvert de foutre
Je n'en pouvais plus. J'étais si fatigué que je ne sentais plus mon corps...ni mon cul.
Le lendemain on recommençait à l'hôtel :
bgsvideos
http://www.cyrillo.biz/histoire/idylle.htm
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