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Samedi 20 août 6 20 /08 /Août 08:16

  ils rivalisaient de beauté africaine

 

quel souvenir d'Afrique !
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   Derrière des rochers que je voyais à une centaine de mètres de moi, des rires se faisaient entendre. Je me rapprochai et les rires se changeaient parfois en mots incompréhensibles. Ce devait être sûrement un dialecte local.

J'étais collé enfin tout près des rochers quand les bavardages cessèrent et laissèrent place à des bruits... douteux. Des râles. Des grognements !
Doucement, je sortis de l'eau et grimpai sur les rochers. Stupeur ! Derrière les rochers, il y avait une toute petite plage sur laquelle un beau black était en train de sodomiser un autre mec. Le black allait et venait de plus en plus fort et l'autre mec gémissait.

Que faire ? Ca faisait des jours que je n'avais pas baisé, mais déranger ces deux jeunes hommes serait déplacé de ma part... Awwwwh, j'avais tellement envie de me faire prendre ...  Tant pis ! Je décidai d'y aller, au risque de me faire rejeter.
Je m'allongeai à côté d'eux, comme si de rien était et je m'aperçus que le mec qui se faisait défoncer était le jeune métis de l'Hôtel !!!! Les mecs s'arrêtèrent dans le feu de l'action.
-Tu veux quoi, toi ? demanda  le black. T'as un problème ?
Le jeune métis dit alors :
-Il veut p't-être participer...
J'acquiesçai. Le black se retira du métis. Je fus très impressionné : le mec avait un sexe énorme ! Au vue de nez, il devait faire au minimum 30 cm !!!! Et il était si large que lorsque je me mis à le branler je n'arriver pas à refermer ma main !!!!!!! J'enlevai mon maillot de bain et mon sexe se redressa d'un coup. J'étais si excité qu'il était dressé et dur comme du béton.
Le beau black me pris alors violemment la tête et me força à le sucer. Le sexe était trop gros. J'avais du mal à l'avaler. C'est tout juste si j'arrivais à avoir son puissant gland foncé. Au même moment, je sentais le métis qui me léchait l'anus. C'était divin.
Le black devenait de plus en plus violent. Je faisais mon possible pour le satisfaire. Et l'autre commença une douloureuse pénétration. Le métis aussi avait un sexe impressionnant. Il devait être long et gros comme un bras d'adulte !!!!! Heureusement il commença, après de douloureux va-et-vient, à mouiller. Ce qui servit de lubrifiant et la douleur se transforma en plaisir intense. Je me demandais toutefois comment mon petit cul pouvait supporter cet énorme engin qui me défonçait.

Un long moment après, le black déversa dans ma bouche de grosses giclées de sperme. Je sentais les jets épais, gluants et chauds taper au fond de ma gorge. Tout en vidant ses énormes testicules poilus il me disait, et son copain aussi, des mots très gentils. . Il retira sa queue d'éléphant de ma bouche et continua à déverser sa semence sur mon visage. Ces couilles étaient si grosses qu'il aurait pu remplir une canette entière avec son foutre. Il y eu au moins 6 ou 7 longs et puissants jets sur mon délicat visage de jeune français.
Quand au métis je sentais qu'il allait jouir. Je le supplia de se retirer avant l'éjaculation, mais il n'en fit qu'à sa tête et cracha son foutre brûlant dans mon intestin ! Il y en avait tellement que ça dégoulinait et je sentais le sperme gluant couler le long de mes cuisses.

Le soleil tapait. Tous les trois nous transpirions comme des boeufs ! L'odeur de la sueur se mêlait à celle du sperme. C'était trop bon. J'étais pris en sandwich entre un jeune métis et un puissant black trop bien monté. Mon corps était couvert du produit de leur testicules.
Le black m'ordonna alors :
-Met-toi sur moi,  ! Je veux t'défoncer ton petit cul de blanc !!!
Je m'exécutai. Son corps d'ébène était allongé sur le sable blanc. Et son pénis gigantesque se dressait et semblait monter jusqu'aux cieux. Le gland brillait et un liquide transparent coulait encore le long de sa verge. Je pensais que tout à l'heure il avait déversé l'équivalent de ce que produit un homme normal pdt un an et qu'il était rassasié, mais apparemment non. Il en voulait encore.

Je me mis au-dessus de lui et me mis à descendre ma croupe. Je sentais son gland frôler mon trou qui commençait à se refermer sur la partie de sa queue déjà engagée. C'était serré !  Et doucement je descendis de plus en plus. J'ai fini avec  plus de 30 cm en moi !!! Je commence un délicat va-et-vient. Il commençait à gémir de plaisir et insista pour que j'accélère.
En face de moi, le métis me présenta son beau cul que je mis à lécher. Ma langue s'engouffrait parfois dans son trou foncé.
En même tps, le grosse queue du black me faisait mal. Il me dit d'arrêter. Il se releva, me retourna et me culbuta avec force. La douleur était atroce. Et je continuais à lécher le trou de balle du jeune métis qui prenait son pied et se branlait en même temps.
Le black me défonçait si fort que les larmes et les cris me venaient.  Pour que je ne crie plus, et de peur d'attirer du monde, son complice m'obligea à lui bouffer le cul. Je ne pouvais presque plus respirer. Et je sentais l'odeur parfumée de son anus... Il aimait. Le métis éjacula alors sur le sable.

Le gros black me plongea alors le visage dans le sable, sur la semence encore chaude. Je sentais qu'il allait jouir. Il se retira et je sentis de longs jets de sperme gluant atterrir sur mon dos.

C'était fini. Les deux compères s'en allèrent en me laissant assis sur le sable, couvert de foutre
Je n'en pouvais plus. J'étais si fatigué que je ne sentais plus mon corps...ni mon cul.

 

Le lendemain on recommençait à l'hôtel :  

bgsvideos

 

 

http://www.cyrillo.biz/histoire/idylle.htm

 

praisemybigblackcock: “praisemybigblackcock.tumblr.com ”

 

                                                                                                              
                   après il m'a présenté des amis 
        
                                                 
                          

 

Par lu dans Cyrillo - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 12 août 5 12 /08 /Août 15:54

   c'était nul avec ta bite,  moi les bites il faut que je les sente bien MARSEILLE quartier Endoume il y a 10 ans.

 

090

 

En fouillant sur le net, j'ai trouvé la photo ci-dessus et il m'a semblé retrouver un garçon que j'ai eu il y a quelques années.

Il était allemand, il était venu faire des études en France et était champion de natation. Venu faire un entraînement au cercle des nageurs de Marseille. Il était l'amant d'un copain et avait des problèmes de logement.

A ce moment là à Marseille j'avais un appartement où je vivais seul  après ma séparation avec ma troisème femme et je ne fréquentais que des hommes.

J'avais une vie assez dissolue, je buvais pas mal et ne pensais qu'au sexe.  Et surtout au sexe des hommes. C'était après une aventure assez dramatique avec mon patron précédent qui avait tres mal tourné, puisqu'après qu'il m'ait séduit*  nous nous sommes mis en ménage , au vu et au su de tout le monde, moi ayant officiellement quitté ma femme (qui en fait m'avais foutu dehors dès qu'elle avait appris mon aventure avec ma maitresse, puis avec ce gars)). Mais cela n'a pas plu dans la société . Lui s'est fait virer et moi muter et rétrograder dans un autre service, dans une autre ville...

Là j'ai complètement basculé et me suis laissé aller. Au bureau j'avais sucé la moitié du service. Au début les gars  se" foutaient de moi et me traitaient de tapette. je faisais tout pour leur donner raison de par mon habillement et mes attitudes. Mais quand j'en ai eu sucé un ou deux et qu'ils ont vu ce que c'était, ils se sont passé le mot et même les plus machos venaient donner leur queue!.

J'ai jamais autant sucé de bites qu'à cette époque là...

Au bureau je m'en faisais un ou deux par jour, des fois plus, entre midi et deux j'avais des rendez vous coquins avec des hommes mariés que je draguais par annonces, j'avais fini par avoir des habitués, dont un dont je ne pouvais plus me débarrasser et qui n'arrêtait pas de me faire des cadeaux. Et le soir, après avoir fait 2 ou 3 heures dans un magasin de vêtements pour hommes comme vendeur (la ,non, je ne sucais pas, sauf l'amant de la patronne qui aimait jouer le macho avec moi), j'allais dans un bar gay où, le whysky aidant, il pouvait arriver n'importe quoi, et c'est souvent le patron qui me ramenait chez moi, non sans avoir profité de mes faveurs bien sûr.

Comme j'avais une chambre libre dans cet appartement , j'ai invité l'étudiant dont vous voyez la photo à en profiter. Le seul loyer demandé était que je puisse le cajoler quelquefois, ce qui n'avait pas l'air de le déranger bien au contraire.

Comme sur cette photo, il avait un corps musclé magnifique et une bite d'enfer dont je me régalais.

C'était de par ailleurs un amant formidable, jamais à la peine et toujours disponible. Dès qu'il entrait dans mon cul je tobais en transes. Il est resté chez moi un peu plus de six mois puis est reparti sur Berlin.

Je ne l'ai jamais revu, c'est pour cela que j'ai été surpris de trouver cette photo au hasard sur le net ...Qu'a-t-il fait depuis ? je sais pas. S'il veut revenir c'est quand il veut. 

 

*(je ne couchais presque plus avec des hommes à ce moment là, mais j' avais une maîtresse dominatrice que j'allais voir régulièrement et dont je peux vous raconter ma relation si vous le demandez)

 

 

 

Par P'TITANICK - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 11 août 4 11 /08 /Août 01:06

    (à mi-voix, chuchotant, implorant presque) : -allez, viens !

 

Gavin, étudiant en architecture, hébergé gratuitement en échange de quelques services   

 

 

Par AUPAIR - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Mardi 19 juillet 2 19 /07 /Juil 01:41

  l'épilogue de ce récit vous sera envoyé par email si vous le demandez à

claudemodou@gmail.com    

À Fond Les Formes Capture 4

Daprès :   http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,blockhaus,2601.html

    Nous étions à la mi juin, l'orage grondait, menaçant, mais j'étais bien couvert. Bien sûr les sentiers devaient être  déserts. sans espoir de rencontre, je décidais d'aller faire une promenade dans les collines qui surplombaient la mer ou j'avais passé d'agréables moments dans ma jeunesse.
Autrefois je venais ici avec des copains.nous nous y sentions et étions libres, les anciennes casemates nous servaient de refuges pour nos "jeux". C'est ici aussi que j'avais fait mes premières découvertes sexuelles, et les premières branlettes avec des copains. Les lieux semblaient être restés immuables. Je reconnaissais chaque rocher, chaque coin, chaque blockhaus. J'en visitai un ou deux. Des traces récentes de visites montraient qu'ils étaient encore utilisés, sans doute par des sdf ou des jeunes en mal d'isolement et de tranquillité. Les cendres d'un feu de bois à l'entrée et des herbes sèches au sol montrent que les lieux avaient été occupés il y a peu de temps. Des revues Gay pas très propres et salies traînent au sol...pas très propre non plus. 

 

                                                               

                Pour te donner l'idée :           vu la queue il la lui met jusqu'à l'estomac !                                                    

 

Un couloir central aboutit à deux grandes salles. Ces dernières disposent de grandes ouvertures rectangulaires avec ' vue sur mer ', dues aux canons de défense côtière de la guerre. Ici j'ai vu pointer d'autres canons, plus pacifiques vers la mer :

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C'était dans ces dernières salles que nous préférions nous retrouver, les plus claires et les plus spacieuses. Comme l'orage approchait je me décidais de me mettre à l'abri et en même temps d'y faire une visite pèlerinage. Je m'avançais prudemment dans le couloir mal éclairé de crainte d'un obstacle invisible.

    Malgré les bruits du vent et entre deux coups de tonnerre, j'entendis un bruit provenant de l'une des salles. J'avançai la tête. Je ne voyais encore personne, bien que je sentais une présence.

J'avançais un peu plus la tête. Rien n'avait changé ici, sauf qu'à contre-jour, quelqu'un était debout, le corps nu, la queue dressée, raide, qu'il massait lentement en regardant à la fois une revue, et le spectacle de l'orage sur la mer. Je frissonnai. Je ne sais si c'est de peur ou de plaisir. Les deux je crois. 

    Il me tournait le dos, je ne voyais pas son visage, mais ses cheveux roux et son corps lisse, ses jambes fines imberbes. Apparemment un jeune gars, il ne m'avait pas vu ni entendu, Je l'observais, et je commençais a bander, je sortis ma queue pour me masser de concert, ce petit salopard m'excitait déjà, surtout que, plus de doute possible, j'avais vu qu'il lisait une revue Gay.

Pour le moment je restai discret et, frissonnant, je profitais du spectacle. Je me massais doucement au même rythme que le gars. Il faisait doux et  pourquoi se presser de briser cet instant ? .

Cela durait depuis un moment, quand je me décidais a signaler ma présence. Je toussotai et sans se retourner le gars demanda :

    -" c'est toi ?"  
car il attendait visiblement quelqu'un, comme je n'ai pas répondu il à tourné la tête.  D'abord surpris, il sembla vite rassuré de voir ma bite tendue que je caressais. Il était jeune, une touffe de poils roux encadrait ses couilles de belle taille.

J'avais avancé de quelques pas, il fixait ma queue. Je m'étais rapproché.  J'ai amorcé une caresse sur sa tête, puis sur son torse, il me laissait faire. Je me débarrassai de mes vêtements et cherchai un endroit propre pour les poser. Il m'observait sans un mot. Il me montra les siens et je mis les miens dessus.

    Dans notre monde de la drague gay, les présentations sont vite faites; il ne semblait pas gêné par ma cinquantaine sonnante. Il ne regardait que ma bite plus courte mais plus épaisse que la sienne, terminée par un beau gland dont j'étais fier, que l'on apprécie d'habitude.

Aussitôt mes mains fébriles parcourent tout son corps, jouant avec ses tétons durcis , ou courant sur ses cuisses fermes, puis enserrant sa bite. Visiblement il appréciait et se décida lui aussi à mieux découvrir mon corps. Ses mains provoquaient des frissons agréables sur ma peau. Il se colla contre moi, je lui massai les fesses, il me le rendit aussitôt.

Le premier il me glissa un doigt dans la raie du cul, pour aller jouer avec mon petit trou. Il se saliva le doigt avant d'aller le plonger dedans. Il appréciait que je lui facilite le passage, attendant visiblement que je lui rende la pareille. Je me plaçai contre lui après avoir enfourné sa queue entre mes lèvres, je le fis tourner, écartai ses fesses et lui léchai l'anus.

Il me rendit la politesse, et après m'avoir bien salivé, il m'enfournait deux doigts dans mon cul bien ouvert par mes godages  fréquents avec des engins de taille appropriée. Sur des revues je me plaçai à quatre pattes et lui demandai :

- viens me prendre j'ai envie de toi ! défonce moi !

Il m'enfourna sa bite jusqu'aux couilles, ce jeune mandrin qui me fouillait le ventre me plaisait beaucoup. Pendant qu'il me pistonnait je lui lâchai, haletant :
     -"Je m'appelle Jacques et toi ?

    -" Vincent !

     -"Je venais ici avec des copains de rencontre il y a quelques années.

     -"Avec deux amis, on vient ici depuis trois ans.... Un d'eux devrait venir mais il pleut .

J'allais d'étonnement en étonnement. Malgré son jeune âge, il savait y faire le gamin. Il me prenait lentement à petits coups, en vrai habitué, une main passée sous moi agaçait mes tétons puis venait masser mes couilles.  Son ventre chaud contre mes fesses était une excitation supplémentaire. Il accélérait me prévenant qu'il n'allait pas tarder a décharger. Je lui demandai de tout me lâcher dans le cul, de me remplir de foutre. Il pistonna plus fort, se cabrant il me serrait aux hanches pour me coller contre son ventre, je sentis les palpitations de la giclée venir m'inonder.



Vincent soufflait un peu, puis il me demanda de le prendre à mon tour. Placé à genoux les fesses relevées, je lui léchais le cul en salivant bien sa rosette. Je me régalais de ses rondeurs fermes, de sa peau douce, de son odeur de rouquin. J'aimais aussi beaucoup son coté de petit initié sans manières, sans complication.

Je me plaçai derrière lui posais mon gland sur sa rondelle et poussai doucement. Mon gland était entré, le reste suivait aisément, mes couilles collaient a sa raie. Je commençais mes aller-retour. Vincent me dit :
    "- Allez, plus fort !...... Défonce moi !......... Encule moi, vieux vicieux !.... Plus fort salope !..... Ca te plaît, hein, vieux cochon de baiser un petit jeune ?...... Allez dis le ! !"

J'aurais eu du mal à dire le contraire, pourtant je me taisais. 

Ses paroles me valaient des coups de fouet, je le prenais plus durement. C'était la meilleure réponse à ses questions. Il aimait ça et serrait violemment mes fesses dans ses mains. Tendant ses fesses vers mon ventre accompagnant chacun de mes coups de reins, d'une poussée opposée comme pour se faire prendre plus fort encore. A ce moment j'entendis une voix derrière moi :

  - " Ben mes cochons ! Vous avez l'air de vous régaler tous les deux ! Je peux participer aussi ? - "

  - "   Bien sur profites-en, ...à ta disposition.

Lui ais je répondu. En un tournemain Lucien, l'ami de Vincent se déshabillait. Grand presque filiforme, brun, les cheveux très courts, le corps musculeux, il exhibait une très belle a queue aussi longue que celle de Vincent, et plus grosse que la mienne. Il bandait déjà, présentant son dard sous mon nez, il dit :

- "Allez vieux salopard suce moi avant que je te baise ! !

   

Identifiant : Tintin29 - FRANCE

      http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,blockhaus,2601.html 

 

 

 

 

Par TINTINFINISTERE - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 14 juillet 4 14 /07 /Juil 00:56

ils baisent sans arrêt

Le camping comme je l’aime
Le camping comme je l’aime
Le camping comme je l’aime
Le camping comme je l’aime
Le camping comme je l’aime
Le camping comme je l’aime
Le camping comme je l’aime
Le camping comme je l’aime
Le camping comme je l’aime
Le camping comme je l’aime

 

c'est folie de les voir !

 

 

 

Par jpolZEBB - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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