Partager l'article ! blockhaus les mêmes qu'en rade de Marseille : -" Je me régalais de ses rondeurs fermes, de sa peau douce, de son odeur de rouquin. ": l' ...
l'épilogue de ce récit vous sera envoyé par email si vous le demandez à
Daprès : http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,blockhaus,2601.html
Nous étions à la mi juin, l'orage grondait, menaçant, mais j'étais bien couvert. Bien sûr les sentiers devaient être
déserts. sans espoir de rencontre, je décidais d'aller faire une promenade dans les collines qui surplombaient la mer ou j'avais passé d'agréables moments dans ma jeunesse.
Autrefois je venais ici avec des copains.nous nous y sentions et étions libres, les anciennes casemates nous servaient de refuges pour nos
"jeux". C'est ici aussi que j'avais fait mes premières découvertes sexuelles, et les premières branlettes avec des copains. Les lieux semblaient être restés immuables. Je reconnaissais chaque
rocher, chaque coin, chaque blockhaus. J'en visitai un ou deux. Des traces récentes de visites montraient qu'ils étaient encore utilisés, sans doute par des sdf ou des jeunes en mal
d'isolement et de tranquillité. Les cendres d'un feu de bois à l'entrée et des herbes sèches au sol montrent que les lieux avaient été occupés il y a peu de temps. Des revues Gay pas très propres
et salies traînent au sol...pas très propre non plus.
Un couloir central aboutit à deux grandes salles. Ces dernières disposent de grandes ouvertures rectangulaires avec ' vue sur mer ', dues aux canons de défense côtière de la guerre. Ici j'ai vu pointer d'autres canons, plus pacifiques vers la mer :
C'était dans ces dernières salles que nous préférions nous retrouver, les plus claires et les plus spacieuses. Comme l'orage approchait je me
décidais de me mettre à l'abri et en même temps d'y faire une visite pèlerinage. Je m'avançais prudemment dans le couloir mal éclairé de crainte d'un obstacle invisible.
Malgré les bruits du vent et entre deux coups de tonnerre, j'entendis un bruit provenant de l'une des salles. J'avançai la tête.
Je ne voyais encore personne, bien que je sentais une présence.
J'avançais un peu plus la tête. Rien n'avait changé ici, sauf qu'à contre-jour, quelqu'un était debout, le corps nu, la queue dressée, raide, qu'il
massait lentement en regardant à la fois une revue, et le spectacle de l'orage sur la mer. Je frissonnai. Je ne sais si c'est de peur ou de plaisir. Les deux je crois.
Il me tournait le dos, je ne voyais pas son visage, mais ses cheveux roux et son corps lisse, ses jambes fines imberbes.
Apparemment un jeune gars, il ne m'avait pas vu ni entendu, Je l'observais, et je commençais a bander, je sortis ma queue pour me masser de concert, ce petit salopard m'excitait déjà, surtout
que, plus de doute possible, j'avais vu qu'il lisait une revue Gay.
Pour le moment je restai discret et, frissonnant, je profitais du spectacle. Je me massais doucement au même rythme que le gars. Il
faisait doux et pourquoi se presser de briser cet instant ? .
Cela durait depuis un moment, quand je me décidais a signaler ma présence. Je toussotai et sans se retourner le gars demanda :
-" c'est toi ?"
car il attendait visiblement quelqu'un, comme je n'ai pas répondu il à tourné la tête. D'abord surpris, il sembla vite rassuré de voir ma bite
tendue que je caressais. Il était jeune, une touffe de poils roux encadrait ses couilles de belle taille.
J'avais avancé de quelques pas, il fixait ma queue. Je m'étais rapproché. J'ai amorcé une caresse sur sa tête, puis sur son torse, il me
laissait faire. Je me débarrassai de mes vêtements et cherchai un endroit propre pour les poser. Il m'observait sans un mot. Il me montra les siens et je mis les miens dessus.
Dans notre monde de la drague gay, les présentations sont vite faites; il ne semblait pas gêné par ma cinquantaine sonnante. Il
ne regardait que ma bite plus courte mais plus épaisse que la sienne, terminée par un beau gland dont j'étais fier, que l'on apprécie d'habitude.
Aussitôt mes mains fébriles parcourent tout son corps, jouant avec ses tétons durcis , ou courant sur ses cuisses fermes, puis enserrant sa bite.
Visiblement il appréciait et se décida lui aussi à mieux découvrir mon corps. Ses mains provoquaient des frissons agréables sur ma peau. Il se colla contre moi, je lui massai les
fesses, il me le rendit aussitôt.
Le premier il me glissa un doigt dans la raie du cul, pour aller jouer avec mon petit trou. Il se saliva le doigt avant d'aller le plonger dedans.
Il appréciait que je lui facilite le passage, attendant visiblement que je lui rende la pareille. Je me plaçai contre lui après avoir enfourné sa queue entre mes lèvres, je le fis tourner,
écartai ses fesses et lui léchai l'anus.
Il me rendit la politesse, et après m'avoir bien salivé, il m'enfournait deux doigts dans mon cul bien ouvert par mes godages fréquents avec
des engins de taille appropriée. Sur des revues je me plaçai à quatre pattes et lui demandai :
- viens me prendre j'ai envie de toi ! défonce moi !
Il m'enfourna sa bite jusqu'aux couilles, ce jeune mandrin qui me fouillait le ventre me plaisait beaucoup. Pendant qu'il me pistonnait je lui
lâchai, haletant :
-"Je m'appelle Jacques et toi ?
-" Vincent !
-"Je venais ici avec des copains de rencontre il y a quelques années.
-"Avec deux amis, on vient ici depuis trois ans.... Un d'eux devrait venir mais il pleut .
J'allais d'étonnement en étonnement. Malgré son jeune âge, il savait y faire le gamin. Il me prenait lentement à petits coups, en vrai habitué, une
main passée sous moi agaçait mes tétons puis venait masser mes couilles. Son ventre chaud contre mes fesses était une excitation supplémentaire. Il accélérait me prévenant qu'il n'allait
pas tarder a décharger. Je lui demandai de tout me lâcher dans le cul, de me remplir de foutre. Il pistonna plus fort, se cabrant il me serrait aux hanches pour me coller contre son ventre, je
sentis les palpitations de la giclée venir m'inonder.
Vincent soufflait un peu, puis il me demanda de le prendre à mon tour. Placé à genoux les fesses relevées, je lui léchais le cul en salivant bien sa
rosette. Je me régalais de ses rondeurs fermes, de sa peau douce, de son odeur de rouquin. J'aimais aussi beaucoup son coté de petit initié sans manières, sans complication.
Je me plaçai derrière lui posais mon gland sur sa rondelle et poussai doucement. Mon gland était entré, le reste suivait aisément, mes couilles
collaient a sa raie. Je commençais mes aller-retour. Vincent me dit :
"- Allez, plus fort !...... Défonce moi !......... Encule moi, vieux vicieux !.... Plus fort salope !.....
Ca te plaît, hein, vieux cochon de baiser un petit jeune ?...... Allez dis le ! !"
J'aurais eu du mal à dire le contraire, pourtant je me taisais.
Ses paroles me valaient des coups de fouet, je le prenais plus durement. C'était la meilleure réponse à ses questions. Il aimait ça et serrait
violemment mes fesses dans ses mains. Tendant ses fesses vers mon ventre accompagnant chacun de mes coups de reins, d'une poussée opposée comme pour se faire prendre plus fort encore. A ce
moment j'entendis une voix derrière moi :
- " Ben mes cochons ! Vous avez l'air de vous régaler tous les deux ! Je peux
participer aussi ? - "
- " Bien sur profites-en, ...à ta disposition.
Lui ais je répondu. En un tournemain Lucien, l'ami de Vincent se déshabillait. Grand presque filiforme, brun, les cheveux très courts, le corps
musculeux, il exhibait une très belle a queue aussi longue que celle de Vincent, et plus grosse que la mienne. Il bandait déjà, présentant son dard sous mon nez, il dit :
- "Allez vieux salopard suce moi avant que je te baise ! !
Identifiant : Tintin29 - FRANCE
http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,blockhaus,2601.html
Aucun commentaire pour cet article
Derniers Commentaires