Partager l'article ! "voilà j'ai besoin d'une bite plus grosse que la tienne qui m'écarte l'anus me fasse mal me remplisse complètement comme celle de ce garçon qui re ...
c'était nul avec ta bite, moi les bites il faut que je les sente bien MARSEILLE quartier Endoume il y a 10 ans.
En fouillant sur le net, j'ai trouvé la photo ci-dessus et il m'a semblé retrouver un garçon que j'ai eu il y a quelques années.
Il était allemand, il était venu faire des études en France et était champion de natation. Venu faire un entraînement au cercle des nageurs de Marseille. Il était l'amant d'un copain et avait des problèmes de logement.
A ce moment là à Marseille j'avais un appartement où je vivais seul après ma séparation avec ma troisème femme et je ne fréquentais que des hommes.
J'avais une vie assez dissolue, je buvais pas mal et ne pensais qu'au sexe. Et surtout au sexe des hommes. C'était après une aventure assez dramatique avec mon patron précédent qui avait tres mal tourné, puisqu'après qu'il m'ait séduit* nous nous sommes mis en ménage , au vu et au su de tout le monde, moi ayant officiellement quitté ma femme (qui en fait m'avais foutu dehors dès qu'elle avait appris mon aventure avec ma maitresse, puis avec ce gars)). Mais cela n'a pas plu dans la société . Lui s'est fait virer et moi muter et rétrograder dans un autre service, dans une autre ville...
Là j'ai complètement basculé et me suis laissé aller. Au bureau j'avais sucé la moitié du service. Au début les gars se" foutaient de moi et me traitaient de tapette. je faisais tout pour leur donner raison de par mon habillement et mes attitudes. Mais quand j'en ai eu sucé un ou deux et qu'ils ont vu ce que c'était, ils se sont passé le mot et même les plus machos venaient donner leur queue!.
J'ai jamais autant sucé de bites qu'à cette époque là...
Au bureau je m'en faisais un ou deux par jour, des fois plus, entre midi et deux j'avais des rendez vous coquins avec des hommes mariés que je draguais par annonces, j'avais fini par avoir des habitués, dont un dont je ne pouvais plus me débarrasser et qui n'arrêtait pas de me faire des cadeaux. Et le soir, après avoir fait 2 ou 3 heures dans un magasin de vêtements pour hommes comme vendeur (la ,non, je ne sucais pas, sauf l'amant de la patronne qui aimait jouer le macho avec moi), j'allais dans un bar gay où, le whysky aidant, il pouvait arriver n'importe quoi, et c'est souvent le patron qui me ramenait chez moi, non sans avoir profité de mes faveurs bien sûr.
Comme j'avais une chambre libre dans cet appartement , j'ai invité l'étudiant dont vous voyez la photo à en profiter. Le seul loyer demandé était que je puisse le cajoler quelquefois, ce qui n'avait pas l'air de le déranger bien au contraire.
Comme sur cette photo, il avait un corps musclé magnifique et une bite d'enfer dont je me régalais.
C'était de par ailleurs un amant formidable, jamais à la peine et toujours disponible. Dès qu'il entrait dans mon cul je tobais en transes. Il est resté chez moi un peu plus de six mois puis est reparti sur Berlin.
Je ne l'ai jamais revu, c'est pour cela que j'ai été surpris de trouver cette photo au hasard sur le net ...Qu'a-t-il fait depuis ? je sais pas. S'il veut revenir c'est quand il veut.
*(je ne couchais presque plus avec des hommes à ce moment là, mais j' avais une maîtresse dominatrice que j'allais voir régulièrement et dont je peux vous raconter ma relation si vous le demandez)
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