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Vendredi 14 avril 5 14 /04 /Avr 00:03

— Mon Dieu, je Vous en prie... Je Vous en prie...suppliait le père de Guiseppe

-- Alors c'est entendu, n'est-ce-pas, Padre ? FICTION 

 

  

 

 

  gaymmaradiation: “ Beautiful, and look at those ears ” 

  aboutmyguiltypleasure: “ from Twinklight ”   

   

  Ah vous me ferez mourir Padre !  

 

L'homme courait.

En de longues enjambées puissantes et régulières, il courait, foulant la terre lourde et sombre des bois et la tourbe humide des sillons dans les champs, courant sans jamais s'arrêter. La nature s'extirpait avec peine de la torpeur de la nuit et le soleil, au ras de l'horizon rouge encore, commençait seulement à sécher la rosée de l'aube, la transformant en une brume légère qui s'attardait au ras du sol. La campagne Toscane, en cet automne de la fin du 19ème siècle, s'éveillait à une nouvelle journée chaude et dorée.

Les paysans qui voyaient passer l'homme chaque matin ne relevaient la tête qu'un instant, retournant aussitôt à leur tâche ingrate après s'être signés rapidement. Lui ne les voyait pas, courant toujours. Épuisant son corps et son esprit, s'efforçant de dominer le feu qui embrasait l'un et l'autre en consumant inexorablement son être tout entier, il courait sans relâche.

Parvenu aux confins du village, il ne ralentit pas son allure, cependant, avant d'atteindre le vieux portail qui tenait clos le petit jardin de sa maison. Là seulement, hors d'haleine, trempé de sueur, son mince pantalon de toile et son maillot de coton blanc étroitement collés à sa peau brune qu'ils laissaient deviner, il s'adossa au bois vermoulu du vantail. Les yeux clos, le corps en feu, le cœur emballé, il tentait de reprendre son souffle.

Mon Dieu, je Vous en prie... aidez-moi !

Au bout de quelques minutes et sans qu'il semblât avoir reçu l'aide espérée, l'homme se dirigea à pas lents vers sa demeure sans un regard pour les carrés de légumes du potager, si bien ordonnés, avec leur bordure de buis taillé et leurs hautes rames où mûrissaient lentement des tomates aussi rondes et rouges qu'un cardinal. Sa maison, adossée à l'église, n'était jamais fermée à clef. Il poussa donc la porte et entra dans la cuisine qui constituait, avec la chambre, l'unique pièce de son humble demeure.

Debout devant le vieil évier de pierre, il se déshabilla entièrement, quittant ses vêtements mouillés et ses sandales de corde. Nu et tout luisant de sueur encore, il actionna la pompe rouillée et s'aspergea longuement d'eau froide. inondant le carrelage vétuste, créant une flaque qui allait s'élargissant sous lui. Grand et large d'épaules, presque un colosse, l'homme était puissamment charpenté et chacun de ses muscles se devinait sous la peau sombre. Son large poitrail s'ornait d'une toison plus brune encore, tout comme ses cuisses épaisses et ses forts avant-bras. Son visage aux traits réguliers et virils était beau et, sous les cheveux noirs et drus, les yeux doux, presque tristes, y contrastaient singulièrement avec la dure mâchoire dont on pouvait voir les muscles crispés sous la barbe bleuie. Le sexe massif de l'homme lourdement gorgé de sang et dressé en une érection spectaculaire, palpitait contre son estomac au même rythme que ses tempes.

L'homme l'ignora et, ouvrant la haute armoire de bois sombre et luisant, en sortit du linge propre et frais, un pantalon noir, une chemise de lin immaculé, un caleçon un peu élimé mais d'une propreté irréprochable et qui portait encore le parfum des champs où il avait séché, comme tout son linge. Il s'en vêtit puis, avec grand soin, enfila la soutane noire et redevint le Padre Joseph.

Bien qu'il ne fût qu'à peine 9 heures, le soleil était déjà haut et la chaleur étouffante. Dans l'église, cependant, la pénombre demeurait, tout comme l'odeur de cire, d'encens et de poussière. Deux visiteurs attendaient le Père Joseph, assis en silence sur l'un des bancs de bois. Un homme aux cheveux noirs en bataille mais dont la courte barbe était taillée en pointe avec grand soin, vêtu d'un pantalon de grosse toile et d'une veste de velours côtelé, son chapeau sur les genoux, tenait la main d'un jeune garçon assis en silence près de lui. La paroisse était bien trop pauvre pour qu'aucun bedeau ou sacristain n'ait pu les annoncer. Ce fut donc le Père Joseph lui-même qui vint à eux.

— Bonjour, mes amis, bonjour...

L'homme se leva sans lâcher la main du garçon, l'entrainant dans son mouvement.

— Bonjour Padre...

Il mit un genou à terre et prit la main du Père qu'il baisa. Puis il se tourna vers l'adolescent qui s'agenouilla à son tour et se saisit de l'autre main du Père Joseph sur laquelle il posa ses lèvres. A la surprise de celui-ci, le garçon inclina alors son visage sur le côté et posa doucement sa joue sur les doigts du Père qu'il tenait toujours entre ses deux mains fines et pâles. Les yeux fermés, il resta ainsi un long moment pendant lequel il sembla au Père que le temps s'était arrêté. Dans l'ombre de la nef, toutefois, le Père Joseph ne distinguait pas nettement les traits de l'adolescent. Lorsque celui-ci releva la tête, tournant son visage vers le prêtre qu'il dévisageait maintenant de ses grands yeux clairs, le Padre sursauta et retira sa main plus vite qu'il ne l'aurait voulu, le cœur battant.

— Venez, venez mes amis... suivez-moi.

L'homme et le garçon suivirent le Père jusqu'à la sacristie, où le Père Joseph, après avoir refermé la porte, les fit asseoir. L'homme, son chapeau à la main, s'assit sur un banc raide qui courait le long du mur, tandis que l'adolescent restait debout. Le Padre prit place sur un siège de bois sombre et poli à haut dossier, ses yeux errant de droite et de gauche dans la pièce qu'éclairait un vitrail multicolore, évitant l'homme et le garçonnet. En de brefs instants, une étrange lueur rouge dansait dans les yeux sombres de l'homme à la courte barbe, disparaissant soudain pour réapparaître aussitôt, comme la flamme d'une chandelle vacillant dans le vent et que l'on croit toujours sur le point de s'éteindre. Le Père Joseph le nota sans vraiment s'y attarder. Il s'agissait sans doute du jeu de la lumière traversant le vitrail.

— Que... que puis-je pour vous, mes amis ? Qu'est ce qui vous amène, Don Vincenzo ?

— Padre... Mon Père... nous ne sommes pas riches, vous savez, mais nous sommes de bons croyants. Nous sommes très pieux et nous voulons... notre famille voudrait... vous témoigner notre attachement et notre reconnaissance...

L'homme s'exprimait lentement, non pas, comme on eût pu le croire, parce qu'il hésitait ou cherchait ses mots mais plutôt, et le Père Joseph le comprit, parce qu'il guettait les réactions de celui-ci sur son visage.

— C'est trop aimable... vous... vous êtes trop aimable, Don Vincenzo, mais je ne...

— Si, si Padre... écoutez-moi, je vous en prie. J'ai pensé... nous avons pensé, ma famille et moi-même.. Padre Joseph, il vous faut quelqu'un.. un enfant de chœur, pour vous aider... pour la messe... et tout le reste.

L'homme avait baissé la voix et chuchotait presque, à présent, comme s'il confiait quelque secret au prêtre.

— Don Vincenzo, vraiment... c'est... vous êtes trop gentil, mais...

Le souffle du Père Joseph était court et de fines gouttes de sueur perlaient à son front. Pourquoi le nier ? Il savait... il avait su dès qu'ils étaient entrés dans la sacristie, ce que l'homme venait lui offrir. Ses yeux le transperçaient, pénétraient jusqu'au tréfonds de son âme, y lisant les secrets les mieux gardés.

— D'ailleurs... d'ailleurs, j'ai déjà... quelqu'un..., parvint enfin à articuler dans un souffle le Père Joseph.

Sa voix était presque inaudible et pourtant il semblait au Padre Joseph qu'il hurlait, que le village entier, la terre toute entière pouvaient l'entendre. Le sang battait à ses tempes, à ses oreilles, dans ses yeux même, qu'il s'efforçait de tenir au loin.

L'homme sourit doucement.

— Je sais, je sais, Padre... Paolo ! Mais il est trop âgé pour vous, il a déjà presque 15 ans. Et puis... tous ces boutons sur son visage... Tandis que... Approche, Giuseppe !

Les doigts crispés à se rompre sur les accoudoirs de bois lisse, leurs phalanges blanches tant le sang s'en était retiré, le dos raidi contre le haut dossier, le Père Joseph ne put faire autrement que poser les yeux, finalement, sur le garçon qui s'était avancé vers lui et dont il venait d'apprendre qu'il se nommait Giuseppe.

— C'est mon dernier né, Padre. N'est-ce pas qu'il est beau ?

Le garçon était bien autre chose que beau. Son visage, qu'il avait tourné vers le Père, aurait pu être né sous les doigts miraculeusement habiles d'un peintre préraphaélite. Les traits purs et sans défaut étaient ceux des anges tels qu'on les voit aux plafonds des chapelles et ses yeux immenses étaient du même bleu limpide que le manteau de la Vierge dont la statue se trouvait au-dessus de l'autel. Ses cheveux bouclés étaient si blonds qu'ils en étaient presque blancs, une rareté dans une contrée où les garçons aux yeux comme des olives noires ont la peau et le poil brun. Les lèvres roses du garçon, pleines et rondes, étaient finement ourlées et, entrouvertes, elles esquissaient un sourire que le Père Joseph ne savait pas interpréter.

L'homme s'était levé et, sans quitter des yeux le prêtre, il défit le garçon de sa chemisette sans prendre la peine de la déboutonner, la passant simplement par-dessus sa tête, tandis que l'adolescent levait docilement les bras. Un genou à terre, il entreprit ensuite de débarrasser le jeune Giuseppe du pantalon court qu'il portait. Il lâcha le bouton de la ceinture et, le vêtement tombé à ses pieds, le garçon fit un autre pas en avant. Il ne portait aucun sous-vêtement et c'est entièrement nu qu'il se tenait à présent devant le Padre, souriant toujours et sans gêne apparente.

Le Père Joseph voulut parler, demander que ... non, s'il vous plait... mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il ne put que répéter mentalement, une fois encore, sa muette prière.

— Mon Dieu, je Vous en prie... Mon Dieu, s'il Vous plait... Aidez-moi, aidez-moi !

Le corps du garçon, divinement formé, était lisse et pâle et doux au regard comme du lait de brebis. Ses petits tétons roses, pointant sur des seins ronds, paraissaient presque bruns sur sa peau à la blancheur crémeuse et dépourvue de toute pilosité. Giuseppe n'était que rondeurs sensuelles et courbes affolantes, de ses fesses rebondies à son nez petit et retroussé, de sa jeune virilité imberbe à ses doigts de pieds juvéniles.

La lueur rouge apparut à nouveau dans les yeux de l'homme, plus vive.

— Et vous savez, Padre... continua-t-il... avec ses cinq frères à la maison, sans parler des garçons à la ferme... j'ai eu bien du mal à vous le garder vierge ! C'est bien simple, je n'osais plus l'envoyer à l'école, Nom de Dieu... Oh pardon, Padre ! Mais il est vierge, Padre. Giuseppe est vierge, je peux vous l'assurer. Tourne-toi, Giuseppe... là, penche-toi, à présent...

Sous les yeux du Père qui ne respirait plus qu'à peine, l'homme avait fait pivoter l'adolescent qui offrait maintenant à la vue sa croupe ouverte, les cuisses légèrement écartées, les reins cambrés, les mains en appui sur ses genoux. L'homme posa ses deux grandes mains sur les fesses offertes du garçon. Il les caressa longuement, son regard toujours fixé sur le Padre, comme pour mieux en souligner, à son intention, la douceur et la fermeté. Puis il les écarta davantage, exposant plus encore l'intimité de Giuseppe. Comme halluciné, le Père Joseph pouvait voir la fine humidité qui faisait luire le petit anus lisse, rose et serré. Il lui vint à l'esprit que, s'il faisait fort chaud au dehors, l'atmosphère de la sacristie était fraiche. Cette moiteur - il se sentait perdre pied - ne pouvait qu'être l'expression du désir du garçon. Le corps de Giuseppe, en sa partie la plus intime, réagissait à la caresse impie de son père et réclamait davantage. L'homme fit d'abord aller et venir sans vergogne son majeur de haut en bas, lentement, tout au long de la raie, arrachant des gémissements à Giuseppe, prometteur des plus incroyables plaisirs. Son doigt s'arrêta bientôt sur l'orifice et, souriant toujours au prêtre, le père appuya doucement comme s'il cherchait à le pénétrer, mais il y renonça et, avec deux de ses doigts épais, il entrouvrait maintenant les lèvres douces, dévoilant un peu plus encore l'intérieur du jeune garçon. Celui-ci gémit faiblement et amena lentement sa main à son entrejambe.

— Il est vierge... répéta-t-il.

L'homme abandonna le petit anus et, alors que Giuseppe soupirait de désir inassouvi, il fit glisser sa main un peu plus bas entre les cuisses et se saisit des parties du garçon qui tressaillit légèrement. Entre ses doigts, il fit rouler les jeunes testicules, le membre raidi de Giuseppe se nichant de lui-même dans la paume ouverte de son père. Il laissa ainsi quelques instants sa grande et forte main où le garçon, en de légers mouvements de ses hanches, faisait à présent aller et venir son sexe en gémissant, son père complice de son plaisir incestueux. Lorsqu'il la retira et, tendant le bras, l'offrit aux regards du Père, celui-ci y vit une autre marque du désir brûlant qui habitait le garçon, cette trace luisante et visqueuse. En son devant aussi, Giuseppe mouillait.

L'homme éclata de rire et, devant le Padre pétrifié, il lècha sa main ouverte, puis il ajouta :

— Vous ne pouvez le refuser. Vous ne pouvez nous refuser, Padre. Comment pourrais-je m'en retourner et leur dire à tous que vous n'avez pas voulu de notre petit Giuseppe... que vous ne l'avez pas trouvé à votre goût ? Que diraient ses frères, Padre ?

Pétrifié, le souffle court, le Père Joseph restait muet, contemplant en lui-même les flammes de l'enfer qui le dévoraient et dont le feu semblait se concentrer en son sexe dur et douloureux qui mouillait sans relâche son sous-vêtement, son pantalon même, sous la soutane noire.

— Mon Dieu, je Vous en prie... Je Vous en prie...

Alors c'est entendu, n'est-ce-pas, Padre ? Je vous amènerai le petit ce soir, après les vêpres. Vous lui montrerez... tout ce qu'il doit savoir... comment vous satisfaire. L'homme n'attendit pas d'autre réponse du prêtre. La lueur rouge, telle une braise, flamboyait plus vivement que jamais dans ses yeux noirs. Tandis que l'adolescent se rhabillait sans hâte, Don Vincenzo s'agenouilla devant le Père dont il détacha avec peine l'une des mains toujours crispée sur l'accoudoir du siège pour la baiser. Giuseppe se contenta d'une rapide génuflexion et les deux sortirent sans bruit, sans rien ajouter, refermant derrière eux la porte de la sacristie, laissant le Père Joseph aux prises avec les tourments de l'enfer.

Sept heures sonnaient lorsque l'homme et le garçon pénétrèrent dans l'église pour la seconde fois ce jour-là. Tout le jour, la chaleur avait été terrible. Elle était suffocante, à présent que l'après-midi touchait à sa fin et tandis que, sur la petite place déserte, tourbillonnait la poussière emportée par de subites bourrasques, l'on pouvait entendre au loin les premiers grondements d'un orage qui ne tarderait plus. A l'intérieur de la bâtisse, tout était sombre et calme et frais, pourtant. L'homme ôta son chapeau et, lâchant la main de son fils, tendit à Giuseppe le panier de pommes rouges et brillantes qu'il portait.

— Tiens, Giuseppe... tu donneras ceci au Padre Joseph, n'est-ce-pas... de la part de notre famille.

L'homme s'effaça dans l'ombre des voûtes et laissa aller le garçon. Giuseppe, son panier à la main, remonta l'allée centrale. Le Père Joseph, agenouillé au pied de l'autel, seul, priait. Giuseppe hésita, ne sachant que faire. Il ne pouvait interrompre le Padre dans sa prière. Il s'assit alors au banc du premier rang, le panier en équilibre sur ses genoux nus.

Le Père Joseph sentit sa présence et se releva. Saisissant la main du garçon, il l'entraina presque brutalement.

— Viens.

Le panier tomba et les pommes roulèrent sur le dallage ancestral de l'église que tant de pas, tant de génuflexions depuis des siècles, avaient poli jusqu'à l'usure. Giuseppe, navré, se retourna pour considérer le désastre puis, emmené dans le sillage du Père qui l'entrainait rapidement, décida que ce n'était pas bien grave, après tout.

Le Padre, une fois dans la sacristie, décrocha dans l'armoire une des robes destinées aux enfants de chœur. Rejetant le long vêtement rouge sang, il ne garda que le surplis de dentelle brodée, blanc et diaphane. Fébrile, les mains tremblantes, sans un mot, il déshabilla entièrement le garçon comme son père l'avait fait ici le matin-même. Giuseppe, docile comme à son habitude, souriait doucement. Lorsqu'il fut nu au milieu de la pièce, le Père Joseph le revêtit du surplis transparent. Le garçon, nimbé de blancheur arachnéenne, semblait plus nu encore que s'il avait été nu, plus vulnérable aussi. Le vêtement, malgré les larges plis qui se drapaient autour de lui, ne dissimulait en rien le corps parfait de Giuseppe. Les fleurs de la broderie se dessinaient sur sa peau lisse en de fines guirlandes immaculées s'enroulant à ses épaules, ses cuisses, son ventre. Les larges manches découvraient ses avant-bras et ses poignets délicats. Plus que jamais, Giuseppe, ainsi vêtu, semblait sorti d'une fresque de la Renaissance, du moins de quelque version érotique et perverse de celle-ci, peut-être voulu par un Prince d'alors pour orner les murs de son palais à Venise ou à Florence.

Le tenant fermement par la main, le Padre Joseph entraina avec force, à grandes enjambées, l'adolescent qu'il ramena dans l'église, à l'autel dont il gravit en hâte les marches. En un geste large du bras, il balaya tout ce qui était disposé en un ordre immuable, séculaire et parfait sur l'autel de marbre, juste au moment où retentit le fracas du tonnerre. En un vacarme épouvantable, le ciboire, le calice, l'ostensoir roulèrent au sol où se brisa aussi un vase de verre coloré qui contenait de grands lys. Le ciel, dehors, était d'un noir d'encre à présent, bien que la nuit de fût pas encore tombée. A l'intérieur de la vieille église, l'obscurité était quasi totale à présent. Le premier éclair illumina la voûte toute entière, révélant un court instant le père de Giuseppe, adossé à l'un des piliers, qui avait sorti son sexe de son pantalon et, le tenant à la main, contemplait la scène qui s'offrait à ses yeux.

Le Père Joseph saisit Giuseppe par la taille et, le soulevant sans effort, le déposa sur l'autel froid et lisse, le couchant sur le dos. Il se hissa à son tour et contempla un instant le garçon si beau, si docilement offert, puis il remonta brusquement le surplis de dentelle, le découvrant presque entièrement. Ouvrant les cuisses du garçon, il se pencha avidement sur son entrejambe. Giuseppe eut à peine le temps de sentir le souffle brûlant du Père sur son ventre, que déjà celui-ci refermait ses lèvres sur son membre dressé, avalant sa jeune virilité toute entière. La langue chaude et mouillée contournait les testicules serrés du garçon, caressait la tige dressée, mettant le gland décalotté au supplice.

Giuseppe, à la recherche de son souffle, gémissait, sa tête roulant de droite et de gauche, froissant quelques lys qui jonchaient encore le marbre froid, répandant le parfum sucré, doucereux que contenait leur pistil jaune. La langue, les lèvres, la bouche du prêtre enflammaient son entrejambe et leur chaleur se répandait dans tout son corps, irradiant jusqu'à ses seins qu'il sentait gonfler et se dresser, gagnant aussi cet endroit, entre ses fesses, tout au fond. Là, il sentait cette moiteur l'envahir, comme lorsque son père le touchait parfois, comme ce matin devant le Père Joseph.

Le Padre se défit de sa soutane, puis, levant les yeux, il se signa plusieurs fois de suite, rapidement.

— Mon Dieu, mon Dieu... pardonnez-moi car je vais pécher...

Ouvrant son pantalon, il libéra son sexe énorme et mouillé et l'amena à l'entrée du garçon qui, instinctivement, ouvrit encore les cuisses, plaçant ses pieds délicats sur les larges épaules de l'homme. Là, l'anus serré et palpitant embrassa le gland turgescent, d'un rouge sombre et leurs moiteurs se mêlèrent, ne formant plus qu'une. Sans excès de ménagements, le Père Joseph s'enfonça en Giuseppe lentement, profondément, implacablement et, bientôt, ils furent étroitement unis en un seul corps.

— Dis-le Giuseppe. Dis-le...

Le garçon, ahanant, restait muet.

— Dis-le, Giuseppe...

— Notre Père...

— Oui, Giuseppe...

— ... qui... qui êtes aux Cieux...

Le Padre, les yeux clos, commença ses allées et venues entre les cuisses du garçon.

— Que Votre volonté...

Lentement d'abord, puis de plus en plus rapidement, le Père s'enfonçait dans l'intimité de Giuseppe, en ressortant presque entièrement pour y entrer à nouveau, forçant le passage des lèvres distendues autour de son membre énorme et luisant, laissant à chaque fois plus de traces humides de son passage à l'intérieur des cuisses.

— ...soit faite...

Giuseppe, délirant, accusait chacun des coups de reins puissants du Père, sa tête blonde et bouclée cognant dangereusement sur le marbre de l'autel. Le Père le maintenait par la taille de ses grandes et fortes mains, l'immobilisant, le tenant à la merci de son plaisir. Il le touchait au plus profond de son jeune corps, là où il n'avait jamais été touché. Presque chaque coup de boutoir de l'homme qui, comme pris de folie, s'activait entre ses jambes, au-dessus de lui, l'amenait à un orgasme et Giuseppe avait déjà joui plusieurs fois sous les assauts du prêtre depuis qu'il le pénétrait.

— Que Votre règne...

Le Padre Joseph, déjà, sentait toute conscience, tout contrôle l'abandonner. La caresse étroite du canal de Giuseppe sur son sexe en feu, à chaque fois qu'il s'enfonçait toujours plus profondément en lui, le rendait fou, lui procurant un plaisir qu'il n'eût jamais cru possible en ce monde. Sans lâcher la taille fine du garçon, il se pencha et mordit l'un des tétons, puis l'autre, arrachant à chaque fois un cri à Giuseppe. L'adolescent porta les deux mains à ses seins, sans les couvrir toutefois, offrant au Padre plus qu'il ne les lui dissimulait les tétons soudain rougis qui pointaient entre ses doigts.

— ... arrive... arrive...

Les testicules énormes dans lesquels bouillaient la sève de l'homme s'écrasaient encore et encore à la fourche du garçon, cognant avec violence, touchant le garçon en un endroit si sensible qu'ils lui arrachaient des gémissements. Giuseppe était si mouillé, le Père le mouillait tant aussi, que les bruits humides et obscènes de leur accouplement résonnaient jusqu'en haut de la nef, au-dessus de leur tête.

— ... sur la terre...

Une fois encore, le Père Joseph amena le garçon à une jouissance brutale, violente, complète, lui offrant un autre orgasme qui lui fit presque perdre conscience. Giuseppe se cabra comme un jeune poulain que l'on monte de force , se cambra pour recevoir le sexe de l'homme plus profondément encore en lui, contracta son anus en un spasme, une succession de spasmes violents.

— ... comme au Ciel !

Le Père Joseph se répandit au fond, tout au fond du garçon en un flot épais, bouillant, impétueux, incontrôlable dont le trop-plein s'écoula entre les cuisses de l'adolescent. Tandis qu'il chevauchait la crête de son orgasme, et avant même que ne l'engloutisse le sentiment du péché, le tonnerre éclata à nouveau, plus proche, plus violent encore cette fois, son fracas résonnant sous la nef de l'église. Les yeux clos, l'esprit chaviré, le corps anéanti dans la jouissance, il n'eut jamais conscience des premières pierres, puis de la voûte toute entière qui s'effondraient sur eux, les ensevelissant sous un enchevêtrement de poutres et de moellons, les noyant sous le torrent de l'orage mêlé de poussière qui s'engouffra par l'ouverture du toit, par celles des vitraux qui volèrent en éclats, de la porte dont les deux battants, ouverts à la volée par la bourrasque, se fracassèrent soudain en un vacarme assourdissant contre les murs de pierre.

Dans l'ombre, on ne voyait du père de Giuseppe que les yeux illuminés de la lueur rouge ardente, pas les deux cornes que ne dissimulaient plus qu'à peine les cheveux noirs en bataille, ni les sabots fourchus de ses pieds, sur lesquels se répandait interminablement son sperme noir et fumant.

La mort du Père Joseph attrista grandement le petit village de Toscane. Tout le monde l'aimait, même si tous durent reconnaître qu'ils avaient peu connu, finalement, le colosse brun et solitaire qui contraignait chaque jour son corps et son esprit en d'interminables courses à travers la campagne. Un nouveau prêtre envoyé par l'évêché, sans surprise, remplaça bientôt le Padre Joseph et l'église fut reconstruite l'année suivante.

Chacun, toutefois, s'accorda à dire que cela avait été une bénédiction, une faveur du Ciel, une manifestation de Sa bonté sans limite, que l'orage eut ainsi réduit à néant la petite église après les vêpres, à une heure où seul s'y trouvait le Padre Joseph dont on avait sorti le corps horriblement mutilé des décombres. Personne d'autre, Dieu merci, non personne.

Le Diable en rit encore.

  concupiscentboys: 

 

   

 

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Le curé luttait contre ses démons... "Padre Joseph, il vous faut quelqu'un.. un enfant de chœur, pour vous aider... pour la messe... et tout le reste..."

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Par C-MAPRIERE - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 18:56

 

Histoire envoyée par Julien le 07/07/2008

Ma femme et moi aimons les randonnées. C'est un loisir agréable qui nous permet de nous ressourcer et que nous veillons à pouvoir pratiquer pendant nos vacances.

Ce jour là, nous étions en randonnée de moyenne montagne, dans les Alpes, en route vers le Lac Bleu. Nous étions partis tôt le matin pour pouvoir passer la journée là-haut. C'était en juin, hors saison, et pour ainsi dire désert. Après 4 heures de marche à un bon rythme, nous arrivâmes sur notre objectif. C'était splendide. Nous étions ravis.

Nous nous installâmes donc pour pique niquer au bord de ce lac d'un bleu incroyable. Tout autour de nous, les montagnes rases nous surplombaient. Quel bel endroit.

Notre déjeuner terminé, seuls au monde et avec le soleil qui donnait à plein, on s'était finalement effeuillé un peu pour profiter de ses rayons bienfaisants, caché par un énorme rocher qui nous surplombait de deux trois mètres. Je ne portais plus que mon string et ma femme était seins nus. Un parfum d'excitation flottait dans l'air. Je la sentais réceptive et en ce qui me concerne, j'étais déjà tout à fait excité par la situation.

- On se baigne ?

- Tu es fou, elle doit être à 10 degrés.

- Il fait si bon dehors, ça donne envie. J'ai envie de toi, je me sens …. prêt à tout !

- Je sais que tu es toujours prêt à tout, obsédé, je pourrais te demander n'importe quoi !

- Exactement, demande moi n'importe quoi !


Elle ferma les yeux sans répondre. Elle souriait et était sans doute en train d'imaginer le gage qu'elle allait me donner.

- J'aimerais que tu fasses le tour du lac tout nu.

Le lac n'est pas si grand pensais-je en l'observant. Et puis on n'est pas sur les champs elysées, ça doit être possible.

- J'attends, il faut me mériter.

Je tombai le string, ma queue affichait une semi érection qui attira le regard de ma femme. Elle fit une moue dubitative.

- Mouais, pas mal.


Je partis donc par la gauche pour faire le tour de ce lac, sous le regard amusé de mon épouse qui resta à se prélasser au soleil. Je marchais d'un bon pas. Je la vis se lever et sans doute pour me narguer, elle retira son short puis son string. Elle était maintenant nue. Quel bonheur !

Soudain, j'aperçus au sommet d'une butte quatre hommes. Ils étaient dans son dos, elle ne pouvait les voir. Quant à moi, j'étais nu. J'allongeais la foulée. Les hommes entamèrent la descente vers le lac, et donc vers elle qui, toujours pour me narguer, faisait mine de se caresser la poitrine.
J'avais encore une boucle de 200 mètres à faire. Je lui fis signe.
Elle passa la main entre ses cuisses, tenant un sein à pleine main pour le relever vers sa bouche.
Les hommes l'avaient en point de mire. J'étais tenté de me mettre à courir. Je réitérais mes signes. J'entendis sa voix atténuée par la distance : - viens vite me prendre, je t'attends, je suis toute mouillée.
100 mètres. Je trottinais en évitant les cailloux.

- Viens vite me baiser, j'en peux plus !!

Les hommes étaient maintenant sur le rocher et observaient ma femme.
En me voyant courir vers elle, elle s'installa au sol, cuisses largement ouvertes, en appui sur les coudes.

- Allez viens me prendre  ! Je veux ta queue !

- Bonjour Messieurs ! Dis-je à l'adresse des quatre types patibulaires qui observaient ma moitié en pleine extase.


Elle se retourna, leva la tête, poussa un petit cri et attrapa ses habits pour se cacher.

- Quel dommage ! dit une grosse voix, nous sommes arrivés trop tôt.

Je pris mon string et le passai. Ils disparurent et je les entendis rire en faisant le tour du rocher. Ils débouchèrent devant nous. Quatre types robustes, plutôt jeunes, vêtus comme des bergers et d'allure un peu rustique.

- Regardez comme ils sont mignons, les gars

-  Ouais, c'est pas tous les jours qu'on voit ça.

- Depuis deux mois que je n'ai pas vu un autre cul que les vôtres, les gars, ça fait du bien !

- Tu vois l'monsieur, il s'apprêtait à en profiter et puis à cause de nous y peut pas !

- Oh moi jm'en fous y peut y aller.

L'un deux me jeta un regard soudain glacial :

- Ça vous dit plus, elle en voulait ya pas deux minutes.

- Et vous ma petite dame, vous gueuliez pour avoir une queue, c'est fini ?

- Écoutez, laissez nous maintenant, c'est du harcèlement ! répondit-elle fâchée.

- Ouais, c'est vrai, on a bien envie de vous harceler un peu. L'homme tendit son long bâton et le glissa habilement dans les vêtements que ma femme maintenait contre elle. Elle semblait apeurée. D'un geste précis de ce bâton, il fit tomber les vêtements de ma femme qui se retrouva donc nue face à eux.

- Ou est l'intérêt de cacher un corps que nous avons déjà vu ? Madame se doigte devant nous, s'allonge les cuisses grandes ouvertes en gueulant « baise moi », et après elle joue sa sainte-nitouche.


Ils s'approchèrent d'elle. Je fis un pas pour m'interposer.

C'est bien, nous avons aussi un beau chevalier au string protecteur ….

Ma femme se leva et se colla contre moi.

Le premier des bergers, le regard braqué sur ma femme, lâcha ses affaires et ouvrit les boutons de sa chemise, tout doucement, sur un torse musculeux.

- Les gars, dit-il, ce qui les gêne c'est d'être à poil alors que nous sommes habillés, alors on ne va pas les gêner plus longtemps, c'est pas poli.

Il lança sa chemise et se pencha pour défaire ses chaussures. Puis il défit son pantalon. Les trois autres l'imitèrent et bientôt tout le monde fut nu. Je sentis le corps de ma femme se coller encore plus au mien. Elle avait chaud.

- On ne vous fera pas de mal, vous aviez une furieuse envie de baise et ça nous convient tout à fait !

- Faut nous comprendre, on n'a pas une vie facile en montagne 5 mois par an, entre hommes.

- On s'arrange bien entre nous mais une femme ! C'est pas pareil.

- Vous n'avez qu'à vous branler, ça passera, dit-elle furieuse.

- Mais c'est ce qu'on fait, mais se branler devant une femme qui vient de crier « Viens vite me baiser, j'en peux plus !! », ce serait cracher dans la soupe.

- Ouais … et une femme, un nouvel homme, ç'est très tentant …

- T'as raison, le monsieur aussi avait envie de baiser, faudrait pas le laisser sur le carreau.


Ma femme était tétanisée …

- Ecoutez, je veux bien vous branler, et puis vous partez !

Mon cri résonna dans la cuvette et surtout dans ma tête.

Ma femme me regardait stupéfaite.

- Une simple branlette ?

- Ouais, faudrait au moins nous sucer.

- Chéri, suce les, qu'on en finisse ! En plus ……….. tu en rêves.

- C'est vrai ? Regarde nos grosses queues, elles sont bonnes à sucer, on a les couilles bien pleines et on va te remplir la bouche.

- Oh oui, mon chéri, fais le !


Ses seins pointaient. Peur ou excitation ? Elle s'approcha de moi. Son regard avait changé.

- Allez fais le, sinon ils vont vouloir me baiser moi. Tu ne veux pas qu'ils me baisent devant toi ?! Elle passa derrière moi et baissa mon string faisant surgir ma bite tendue.


Elle posa ses mains sur mes épaules et appuya.

- Ca m'excite, dit-elle doucement en m'accompagnant à genoux. Fais le pour moi, c'est l'occasion.


Je fléchis les jambes.
Elle me tenait par les hanches. Son bas ventre était collé à mes fesses. Elle bouillait littéralement, je sentais la chaleur de son sexe contre mes fesses.
Un homme s'approcha, sa bite qui me parut énorme se balançait devant son ventre.

- Regarde cette bite, je n'en ai jamais vu une comme ça. Ça va être bon.

L'homme était devant moi. Au bout de son gland turgescent perlait une grosse goutte translucide.

- Allez, suce moi, ma salope.

Il posa sa main sur mes cheveux et m'attira. Son gland se posa sur mes lèvres. Sa goutte s'étala dessus.

- Vas-y, mon chéri


Je fermai les yeux, ouvris la bouche. L'homme y glissa sa queue.
Ma femme se releva.

- Je vais filmer, ça ne vous dérange pas ?

 -Tout ce que tu veux ma belle, on va te donner un beau spectacle !

- Oh oui, s'il vous plaît, qu'il s'en souvienne ! Elle installa le caméscope sur un rocher et le déclencha.


L'homme commençait à coulisser dans ma bouche, jusqu'au fond. Il me baisait.

- Chéri, un effort, lance toi !

Je levai une main tremblante vers la hampe.

- Oui, c'est bien, dit-elle.

Je caressais les couilles velues et arrachai un soupir à l'homme. Petit à petit ma bouche se fit de plus en plus active.

Un verrou venait de sauter.

Je salivais abondamment, trempant la bite. Ma langue virevoltait autour du gland baveux, glissait sous la hampe fortement veinée. Je la lançais sous les couilles, vers le périnée. Je savais ce que moi j'aimais, alors j'y allais.
L'homme gémit, se cambra, m'ouvrit ses cuisses.

- Ah mon chéri, mais tu aimes ça !?

- Putain oui il aime ça, la dernière qui m'a sucé comme ça, c'était une pute à Grenoble, elle m'a coûté deux cent balles.

Les trois autres m'entouraient maintenant. Ils présentaient la même raideur que leur acolyte.
Les flashs prouvaient que ma femme immortalisait tout.
La proximité de ces queues tendues pour moi me rendait fou. Ma langue glissa plus loin sur le périnée de ma victime.

- Quelle salope ! La feuille de rose ? J'adore, allez lèche moi le cul !

L'homme se retourna et écarta ses fesses à deux mains. Je vis son œillet et fondit dessus langue en avant. Je lapais cet endroit avec passion.
Soudain, une nouvelle queue arriva contre ma joue. Je la pris en main et la caressai vigoureusement. Abandonnant un peu mon activité bucco anale, j'avalais ce nouveau prétendant.

- Ah mon chéri, tu m'excites continue, donne leur tout ce qu'ils veulent, lâche toi !


Ce commentaire, s'il me fit plaisir, était inutile car j'étais lâché. De la queue et encore de la queue sous les yeux de mon épouse. Voilà ce que je voulais maintenant.
J'entendais les commentaires graveleux de ces quatre types qui se plaisaient à me traiter de salope et de pute.

-  Je crois que je vais lui faire le cul, dit le meneur.

- Oh oui, prenez le, je veux l'entendre gémir !

Ma femme semblait dans un état d'excitation incroyable. Je ne cessais de sucer la belle queue coulante et alternais avec l'œillet que j'avais réussi à dilater pour le lécher en profondeur pour faire haleter l'homme de plaisir.

- Je veux que vous le baisiez bien tous les quatre !


Je jetai un coup d'œil à ma moitié qui m'offrait aux désirs de ces inconnus. Elle se massait les seins avec passion. Elle était surexcitée. Tout en la regardant faire, j'avalai une nouvelle queue. J'y mis toute ma fougue, exagérant mes gestes pour qu'elle perçoive bien mon intention.

- Laissez moi le préparer, dit-elle alors, je ne veux pas que vous l'abîmiez !


Elle prit place derrière moi et je sentis sa main caresser ma raie. Je me cambrais plus encore. Elle étala un produit lubrifiant : du beurre qui restait de nos sandwiches.
Elle me tartina la raie puis glissa un doigt dans mon anus.

- Je sais que tu aimes, ils vont bien te sodomiser. Je vais te mettre un deuxième doigt pour bien t'ouvrir.

Elle commença à m'enculer avec ses deux doigts et petit à petit la douleur disparut totalement. Elle écartait ma rondelle que je laissais s'ouvrir. Les hommes la regardaient faire en branlant leurs bites géantes pour se tenir raide.

- Bon allez, je crois qu'il est prêt dit alors le meneur.

- Toi, je te baiserai bien aussi, dit-il en s'agenouillant derrière moi.

Je sentis ses grosses mains m'attraper aux hanches.

- Laissez moi vous mettre dans son cul.

Elle prit la hampe et frotta le gland contre mon œillet.

- Mon chéri, tu sais il est gros, tu vas aimer.

Je sentis le gland pousser et pénétrer mes reins. J'étais cambré au maximum, tête rejetée en arrière, extatique, attendant le moment où il allait disparaître en moi.
La bite me pénétra lentement. L'homme m'attirait à lui, ses doigts cramponnés à mes hanches. Et je me laissais aller. J'entendis la respiration haletante de ma femme.
Un homme vint s'agenouiller devant moi. Il n'eut rien à demander et je le pris en bouche avec gourmandise. Ma femme se pencha vers moi :

- C'est bon mon chéri, je t'adore en salope ! Tu vas me faire jouir !

Je suçais propulsé au rythme des coups de reins qui me baisaient. La bite me perforait les reins. Le ventre se collait à mes fesses, les mains étaient maintenant crispées sur mes épaules.

- Ah putain, il va me faire jouir, prend ma place !

Un nouveau venu prit possession de mon cul et le quatrième de ma bouche.

Je ne sais combien de temps ni combien de fois les types m'enculèrent ou profitèrent de ma bouche accueillante mais leur désir ne cessait de grandir, leur ardeur et même une certaine violence. Je n'avais plus aucune retenue et les incitais à plus de force.

Ma femme sentit venir le moment crucial.

- Je veux vous voir éjaculer sur son visage !


Je fus mis sur le dos. Deux types prirent place. Je les repris en bouche un moment. Leurs sexes étaient gras de mes sécrétions anales, je les nettoyai parfaitement.
Le premier manifesta des signes de fatigue. J'ouvris la bouche et le branlai de ma main, faisant tourner ma langue sous le frein. Soudain, l'explosion. Sa semence gicla et je la reçus sur ma langue et mes joues. Ma femme me regardait, passionnée.
Le second eut droit au même traitement avec le même résultat, tout aussi abondant.
Pour parfaire le spectacle, je regardais ma femme et jouant avec ma langue qui baignait dans les semences qui m'avaient inondées, mais sans avaler. Les deux autres vinrent se soulager sur moi.

Les types, soulagés, s'écartèrent et ma femme approcha. Elle me chevaucha, saisit ma queue et la dirigea vers son sexe. Elle était tellement trempée et ouverte que je m'y plantai à fond d'un coup. Elle se pencha, approcha sa bouche de la mienne et m'embrassa, tout en ondulant sur ma bite. Nous nous partageâmes tout le plaisir de ces quatre hommes, jusqu'à l'orgasme final.

Nous regardons parfois le film, dernier souvenir réel de cette expérience que ma femme avait secrètement organisé.

 

 

Par ALBERT - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 27 janvier 5 27 /01 /Jan 13:24

 

Nino approche la trentaine. Il produit ses récits genre jeune adulte et grand adolescent dont il est spécialiste avec talent

J'ai cru entendre  "s'il te plaît, dessine-moi un mouton..."

Tout un joli petit vaudeville gay...

A lire : http://www.gai-eros.org/w/index.php/Flo,_mon_petit_voisin 

tout Nino (Baptiste, Victor...etc) : http://www.gai-eros.org/w/index.php/Accueil 

 

Flo, son voisin a grandi et le drague en ces termes :

 

...[...]  Max : — Flo, arrête, je ne suis pas du genre à tirer un coup, en passant, et encore moins avec un gamin.

Je sentis Flo se brusquer. Il se leva soudainement et me lança :

— D’abord, je ne suis pas un gamin. Et tu ne peux pas dire que c’est juste un coup en passant. Ça fait deux ans que je pense à toi tous les jours. J’ai couché avec Matt en pensant que c’était toi qui faisais mon initiation. Je suce Antoine en espérant te sucer toi. Je te veux toi. Pas en passant… Et ne me sors pas le coup de l’âge. Je les ai bien vus les petits mecs à peine plus âgés que moi arriver le soir et repartir au petit matin. Et Matt, tu crois que je ne suis pas au courant ? Hein Matt, il n'avait que 20 ans à l'époque.

[...] Max : — Écoute-moi, continuai-je tout en le forçant à me regarder. Tu viens chez moi pour me draguer. Tu tentes de m’embrasser, alors que je ne vois en toi à ce moment-là que le petit garçon.

— Mais je ne suis plus un petit garçon, poursuivit-il. J’ai grandi. Je ne suis même plus vierge. J’ai grandi en pensant qu’un jour, peut-être, je serais celui qui occuperait tes soirées, hanterait tes nuits et aurait le bonheur de te réveiller chaque matin.

It is simply the best way to wake up!! Waking up to see the young horny 18 years old boy giving my boyfriend a “good morning” blow job. My boyfriend met the boy yesterday night at the club and brought him home: the perfectly smooth and boyish looking...

 

Flo s’était redressé en me disant cela. Il pleurait tout en me regardant.    [...]

 

 

 

 

Par NINO - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 18 janvier 3 18 /01 /Jan 23:01

 

1. il ne m'a jamais baisé mais j'en rêve/ 2. il joue trop les indifférents alors que je suis sûr qu'il aimera se faire baiser une fois accroc il ne pourra plus s'en passer ! 

              chchutttt    pas un bruit...                                                            

 
 conscient mais il se veut passif et ne pas intervenir :                        

 

raté le coloc se réveille vite....mais par chance il a l'air d'aimer !

 

 

 

 

      

  Hétéro retourné par un viol à son insu :  

       

d  

 

 

 

 

rVIDEO FICTION Un fantasme largement partagé par actifs et passifs : réaliser les attentes (???)du passif pendant son sommeil

Par FELINCK - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 1 janvier 7 01 /01 /Jan 01:30

 

A 22 ans, je vivais depuis six mois avec Florian, mon colocataire de 18 ans, tous deux gays nous partagions souvent de bons moments ensemble, nous avions chacun notre chambre… mais bien souvent l’une des deux chambres restait inoccupée pour la nuit….

Ce soir là, j’étais allé fêter un anniversaire entre potes, mais Florian n’était pas invité car n’avait jamais eu l’occasion de faire leur connaissance, donc j’y étais allé seul.

De retour vers 3h30 du matin je rentre discrètement dans l’appart que nous partagions, et j’essayais d’être le plus discret possible afin de ne pas le réveiller.

Je trouvai la porte de sa chambre légèrement entrouverte, sa chaîne hifi diffusait une musique zen très douce et presque en sourdine, je m’avance pour voir s’il dormait ou s'il lisait…sa lampe de chevet avec modulateur de lumière était restée allumée avec peu d’intensité, je le découvre nu,  allongé à plat ventre sur son lit avec seul le drap qui lui couvrait une petite partie du corps, il avait la jambe droite sortie et légèrement repliée et je pouvais voir sa fesse droite et son dos totalement découvert, de toute évidence il dormait profondément.

Il était super bien foutu, ce n’était pas un paquet de muscles mais il était bien proportionné,  imberbe des fesses rebondies comme je les aime et comme il pratique régulièrement le naturisme, son corps avait une couleur uniforme miel doré…. Un corps de rêve qui me faisait souvent partir au septième ciel lorsque nous faisions l’amour ensemble.

Je m’approche de lui, je passe la main dans ses cheveux blonds mi-longs… il ne bouge pas, je lui caresse les épaules… tout juste un petit mouvement….plein d’idées me traversaient, je ne pouvais résister à ce corps allongé sur ces draps blancs, cette lumière tamisée qui semblait mettre encore plus en valeur les courbes de ce corps parfait…. Son sommeil était très profond, j’en étais persuadé par le rythme de son souffle libéré… il ne simulait pas le sommeil, j’en étais certain.

Devant cette situation je n’avais franchement pas envie de rentrer dans ma chambre, me déshabiller et me coucher seul, sans chaleur humaine près de moi… mon jeans commençait à me serrer, ma braguette se tendait, mon cœur commençait à battre la chamade…. Et si je me faisais Florian maintenant ? alors qu’il est dans son plus profond sommeil…. Je n’avais encore jamais fait ça… me faire un mec alors qu’il dort….je retire mon teeshirt, il faisait chaud dans sa chambre malgré la fenêtre entr’ouverte… j’enlève mes baskets sans bruit, je déboutonne ma braguette, défait ma ceinture et je fais glisser mon jeans à mes pieds…. Mon boxer est tendu, je décide de le faire tomber lui aussi…. Me voici debout, nu à admirer Florian dormir, je tire légèrement le drap vers la gauche afin de découvrir ce beau mec de 18 ans, nu comme un ver, une paire de fesses à faire bander un hétéro, sa jambe droite légèrement pliée laisse entrevoir ses couilles écrasées sous son corps.

Je me surprends à me branler lentement…. Ma queue est super tendue… j‘ai envie de me faire le cul de Florian…. Mon envie devient pressante, j’approche ma main droite et la glisse dans la raie de ses fesses…puis je commence à y introduire mon doigt préalablement mouillé… et je l’introduis lentement en pratiquant de petits va et vient…. Toujours avec l’angoisse qu’il ne se réveille…. Cette situation  me faisait bander encore plus fort et plus raide… il ne se doutait pas qu’il était à quelques instants de se faire violer…

Je me souvenais où il rangeait son tube de gel, sous sa table de chevet, je récupère le tube à moitié plein et m’enduis le doigt et je lui étale le gel dans sa rosette qui curieusement donnait l’impression de s’être dilatée… il faut dire que Florian est un passif affirmé, son trou a déjà accueilli nombreuses queues de toutes tailles et toutes longueurs !

Je m’enduisis la queue de gel aussi, je voulais que tout glisse parfaitement afin de ne pas perturber ses rêves… puis je monte sur le lit à califourchon sur lui, mes jambes de part et d’autre des siennes et je commence l’introduction de mes 17 cm dans son petit cul rond et lubrifié…. J’enfonce tranquillement mon membre et je le sens écarter ses jambes comme pour me faciliter l’introduction, puis à nouveau il ne bouge plus, je fais mes va et vient dans une lenteur hyper bandante, la quantité de gel que j’avais mis facilitait le mouvement, je bandais comme un salaud…. Cette situation inédite pour moi était un must !

Puis j’accélère le mouvement et là…à ma grande surprise tout en dormant, Florian s’est mis en position de levrette, j’ai dû enlever précipitamment ma queue de son trou très dilaté et me repositionner à la bonne hauteur, je le pensais réveillé mais il n’en n’était rien, il dormait toujours très fort…. Il devait vivre cette enculade dans son rêve et sa position de petite salope qu’il adore prendre durant nos ébats était évidente…. Il gémissait à chaque mouvement en profondeur de mon membre en furie….je l’ai limé pendant six à sept minutes, il tortillait son cul afin d’en profiter un max… et soudain après un fort gémissement de plaisir il s’est trouvé surpris par son propre cri et s’est réveillé….

Mais que se passe-t-il ? me demanda-t-il totalement paumé et les yeux vitreux d’un réveil perturbé….. Je lui réponds « Ne t’inquiète pas c’est moi ! » et je me mets à rire tout en continuant mon introduction dans son cul humide…..

« Je ne comprends rien, j’étais en plein rêve et je me faisais prendre par un grand noir… », je lui réponds « Désolé le grand noir c’est moi mais ce n’est pas un rêve… ton cul est parfait ce soir ! »….

Toujours dans un état second Florian m’a repoussé ma tige et l’a aussitôt engloutie dans sa bouche pour me finir….. Quelques secondes après je larguais mon sperme chaud dans sa bouche et sur son visage.

Après ce réveil particulier, nous nous sommes endormis l’un et l’autre entrelaçant nos corps humides de plaisir

Depuis, Florian et moi reparlons souvent de ce « viol de nuit » en rigolant de ces rêves gay qui finissent par se transformer en réalité !

________________________________________________________________________________________

commentaire : ce fantasme était d'avance partagé vu le rêve que vivait Florian dans son sommeil...il l'a bien pris ! (double sens)

Par CORENTIN - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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