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Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 02:32

      Résultat de recherche d'images pour "a fox and a wolf fuck"Renart le malin et Ysengrin le naïf...XXXXXXème épisode :  YSENGRIN BAISE PAR SON COMPERE RENART 

      Résultat de recherche d'images pour "a fox and a wolf fuck"Nous nous sommes connus au début de notre puberté. Le sexe nous tenaillait Bien sûr ! Jo, d'entrée, était mieux doté physiquement que moi qui étais son copain de collège et de voisinage. Oh, je n'avais pas à me plaindre, j'avais mes qualités, intellectuelles surtout, et elles m'ont permis de faire mon chemin, mais en caractère comme en force physique jo était dominant.    Le temps a passé, Jo a grandi comme j'ai grandi et chacun dans sa voie, mais lui, au quartier est devenu, par le sport, une petite célébrité en tant que champion et leader dans le club d'aviron du quartier proche de la mer. Il faut dire que la seule chose qui compte pour les gars comme Jo c'est leur sport, et rien d'autre. Ca l'a rendu un peu arrogant, il croit avoir toujours raison et devient parfois agressif et stupide dans son parler, et bagarreur. En dehors du sport il a des loisirs virils genre BTP, grosses machines etc... Il est très entouré d'hommes admiratifs et de femmes amoureuses qui rêvent d'un amant qui leur fasse recroqueviller les orteils de jouissance ! C'est resté un très bon ami et nos relations n'ont pas sensiblement changé. Il nous arrive encore de sortir ensemble quand il n'est pas pris par ses entraînements ou ses compétitions ou quand il baise une fille... En dehors  de ces écarts de l'adolescence, on s'est tous les deux considérés comme hétéros et avons chacun eu nos aventures avec des filles    

    Image associée Je ne sais toujours pas comment cela s'est passé exactement. A part ça je me suis considéré tout le reste de ma vie hétéro  mais d'une façon ou d'une autre, à cause d'une nuit de folie, excusez-moi, mais je suis devenu(e) la pouffiasse la plus dégueulasse pour tous mes amis. Laissez-moi vous expliquer comment.

Je m'appelle David, Dav' pour les amis, . Il y a environ un mois, j'étais chez mon ami Jo, nous sommes tous les deux en première et deuxième année de fac. J'ai 19 ans et Jo vient d'avoir 20 ans. 
et il ressemble déjà beaucoup à l'homme typique que l'on voit dans les publicités. Il est grand, bronzé, poilu et couvert de muscles. Les filles autour de lui rêvent à ses couilles comme à des friandises. Moi par contre, je suis plus mince que lui. Je suis très tonique, presque entièrement rasé à cause  de mes compétitions de natation que je fréquente, cheveux blonds en bataille que je devrai raser, j'ai un super cul m'a-t-on dit, je suis moi aussi  un peu une star, mais des bassins. J'ai gagné quelques "compettes". Je ne suis pas comme Jo  mais je me suis bien débrouillé, au moins jusqu'à présent et avant la sombre histoire que je vous raconte : 

    Image associéerave-party secrète et...bide 

  Nous étions censés aller à une rave-party dans une vieille usine brûlée, mais un connard qui n'était pas invité avait dû le dire aux flics et lorsque nous y sommes arrivés il y avait des voitures de flics partout. On a donc filé pour ne pas être fichés. Donc, c'était fin mai, un samedi soir, on était chauds, on avait commencé à écluser des bières "améliorées" comme des dingues,  et fumé sans arrêt. On a atterri dans le sous-sol des parents de Jo tous les deux coincés en train de regarder des films, et nous fumons de l'herbe.
   
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Je suis un peu excité quand je fume, mais je peux habituellement le cacher. Quoi qu'il en soit, il est bien entendu nous sommes tous les deux hétéros taillés dans le roc, donc je ne m'inquiète pas que Jo attaque ma camelote. Nous avions aussi deux «pilules mystérieuses», que nous avions eues par ce type à l'extérieur d'un bar, tout ce qu'il nous a expliqué c'était que les pilules nous feraient faire la fête toute la nuit. Donc, nous regardons un film  de cul horrible, en attendant que les pilules fassent effet afin que nous puissions secouer notre dépression, quand Jo eut son idée "géniale".
    
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"Hé, Dav', on va baiser avec ma soeur." Jo et sa soeur Amy se détestaient, et Amy était aussi chaude que putain, mais je la détestais moi aussi.
Alors je dis ok et nous quittons le sous-sol et nous dirigeons vers sa chambre. Nous ne nous en faisons pas parce que leurs parents sont endormis. Sa chambre est vide, elle est chez un ami. Jo le renart me dit : - "On va enfiler chacun une paire de ses shorties, nous  transpirons dedans toute la nuit, puis nous les replacerons avant qu'elle ne rentre à la maison, comme ça dès qu'elle ouvrira son premier tiroir, elle sera giflée au nez par l'odeur de nos bites !"
 

- Moi"Mettre des panties ? non mais tu m'as vu ? putain de mec!" Mais Jo a un moyen de me convaincre de faire des choses qui semblent folles. Il dit que nous sommes tous les deux tellement hétéros que ça serait désopilant de les enfiler , et, rien qu'à l'idée de la tronche qu'elle fera en reniflant l'odeur de notre queue dans son vêtement on se marre déjà. Alors, comme je suis perché comme un cerf-volant, je ris et je prends une culotte rouge dans sa salle de bains et je la mets, il dit "moi je vais porter cette culotte en soie" et  nous redescendons les escaliers.

Nous fumons encore de l'herbe et Jo décide qu'on se fasse un porno. Je me sens un peu mal à l'aise, mais quel genre de gars dit non à des grosses bites porno? Alors on regarde, il fait tellement chaud ici dessous au sous-sol. Jo enlève sa chemise. Dieu qu'il est bien bâti ! et il est si poilu, si masculin, je suis trop perché. Dix minutes plus tard, nous avons enlevé tous deux nos chemises. Jo retire son pantalon et, comme toujours, je suis son exemple. Juste deux mecs hétéros qui se rafraîchissent par une chaude journée , et je remarque le renflement massif de Jo à travers ce que je crois être cette fameuse culotte de soie, putain de dieu que cette chose doit être énorme, attends ...oh merde ! il porte un jock strap!

-"Putain!" alors, tu devais pas mettre un panty en soie ?

-"HA HA HA HA HA HA HA HA, je ne vais pas mettre de culottes t'es pas un peu fou ? Je t'ai eu!"

Je suis mal à l'aise et un peu humilié qu'il ait cherché à me leurrer. Je retourne au film. Cette blonde à gros seins se la prend en levrette avec la plus grosse queue que j'aie jamais vue. Oh Dieu !  je suis tellement excité. Je laisse échapper: -"Regarde cette énorme bite!"  j'ai trop fumé, je suis trop "haut".

"Tu parles de cette merde de bite ? ça c'est rien !" Jo laisse tomber son jock et je mate, ébahi. Je connaissais sa queue d'ado, mais maintenant i Il a un monstre : 22 bons cm en semi érection, non circoncis, et si épais, la tête est comme une cloche massive. Il le secoue avec raillerie, ça grossit!  Je me tourne et regarde le film, je dois sortir le gros wang de Jo pour l'instant que de ma tête.
        
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 Jo caresse sa bite, la faisant pleine et dure. Oh mon dieu c'est épais. Putain de merde, sous la culotte rouge je commence à caresser mes  modestes 16 cm. Pour me rassurer je me dis que les hétéros -ou non- font ce genre de choses tout le temps, rien d'étrange jusque là. Une demi-heure passe et aucun d'entre nous ne peut "descendre", c'est à dire reprendre pleine conscience. C'est tellement frustrant que nous en devenons fous. Je réalise que ces pilules qu'on a prises étaient dangereuses à prendre. Le porno, l'herbe, les pilules, nous ne pensons pas clairement. Ma bite est si dure que ça fait mal et je ne peux pas jouir. Allongé, je tends le bras pour atteindre le pot de crème pour les mains et surprends le regard de Jo qui mate mon cul .

-"Mon dieu, mec ton cul est plus chaud que celui de ta mère."

-"Putain de toi. Laisse ma mère."

-"Je suis un homme sérieux, Ta mère je ne peux pas dire combien de fois je me suis faufilé dans son cul, si lisse et rond. Nous sommes tous les deux hétéros , pourquoi ne m'aiderais-tu pas? Branle-moi. C'est pas une affaire." 

-"Je ne suis pas gay, je vais pas la toucher ta bite", je pensais qu'il voulait que je le prenne à la main, je me trompais. Oh, cette énorme bite ondulante, c'est si gros, je ne peux pas m'empêcher d'y penser, pas d'une manière gay, c'est juste impressionnant. Qu'est-ce que ça fait? merde je suis haut perché par la fumée et l'alcool.

-"Tu n'auras pas à la toucher, assieds-toi dessus, allez!" J'étais si chaud et dérangé, et Jo a marqué un point : j'aurais pas à la toucher. Sooté comme je suis ça me suffit comme argument ! Je m'assieds sur ses genoux pour pouvoir profiter de sa chaleur, pas grave, je suis trop haut. Je me demande ce que ça fait.

-"Assieds-toi sur mes genoux, ce n'est pas grave. Comme quand nous avions l'habitude de partager une place dans la camionnette de ton père sur le chemin de l'entraînement de foot, quand nous étions minots. "-"ouais,
à l'époque on aimait faire les cons. Tu m'as plaqué sur la mousse dans les bois et tu as commencé à me limer à travers  nos shorts. -"Tu te souviens de tout alors ? Le short je te l'ai baissé..." - "Ouais connard, mais je me suis retrouvé avec ta jute sur les couilles et ça puait ! T'aurais pas pu me baiser avec ton phimosis".  - " j'ai pas voulu c'est tout..." Même s'il ment ça me fait mal que ça ait pu être un refus de sa part.   

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Quand je repense à ce soir-là, lui c'est le Renard malin (compère Renart) et moi je suis le loup naïf, Ysengrin ! avait-il qq chose à rattraper ce con ?


 -"Rien de bizarre, n'est-ce pas? Ca ne change rien à ta ligne hétéro et ne devrait pas faire problème, non ? juste aider un ami. C'est parce que c'est toi ! Je ne laisserais pas un pédé pervers s'asseoir dessus et tu vas pas me laisser avec cet horrible sensation d manque? "En disant ça il se met une grosse noix de cette crème pour les mains sur le bout de la bite et se branle avec.
    
C'est quoi cette histoire de pédé? Je suis trop haut en ce moment. Je suppose que je vais faire semblant de le faire, le taquiner, l'exciter , puis me moquer de lui pour demander si ça lui a plu. Je fais un peu de danse, le taquine, je remue mon cul devant la bite comme un danseur. Puis, sans prévenir il il attrape mes hanches et me tire dessus. Il me force à m'asseoir sur son énorme "sonde, l'écrasant entre son ventre et mes fesses. C'est tellement énorme et puissant sous moi et il me maintient de force .

-"Voilà, salope."gémit-il.

-"C'était ton idée, ne me dis pas  'salope'

-"Je plaisante ! Dieu ! te fâche pas".  Ta petite salope de trou du cul sensible ne proteste pas. T'occupe ! Regarde juste le porno. "

Pendant que je regarde les gros seins se balancer d'avant en arrière à la télé, je commence à me balancer d'avant en arrière sur sa queue. Jo gémit. Alors que mes fesses moites glissent de haut en bas sur sa queue, je commence à profiter de la sensation de son graissage pré-éjaculatoire sur mon trou, il coule comme un robinet qui fuit, je dois arrêter ça. Mark dit en appuyant plus fortement sur mes hanches : " Allez, reste assis ! T'es pas bien là ?" , il abaisse mon string et place sa perche graissée à droite dans mon trou du cul.

"Jo .. hein?" Il commence à me tirer vers le bas, la tête de la bite massive qui tend à entrer dans mon trou vierge serré. "Jo, non!" Et la tête se fraie un passage en douceur. Jo laisse échapper un énorme gémissement.

"Je suis désolé, j'ai besoin de ça Dav'. Détends-toi."

"Sors, ​​Jo ! Pouah, c'est gros, putain ! SORS-LA !!!.

Goupil-le-Renart répond -"Juste une minute, j'ai juste besoin de la sentir là-dedans. Nous ne sommes pas en train de baiser ou quoi que ce soit, oh, ooh dieu qu'elle se sent bien là-dedans ma bite. Ah petite salope. "

Mes genoux qui me maintiennent commencent à faiblir et lentement sa bite glisse à l'intérieur de moi en suivant mon glissement vers le bas.

"Oh mon dieu non! OW, c'est dégueulasse ! Oh mais tu es dans mon cul, sors Jo, SORS ! . Sors ta bite de mes fesses, je ne veux pas de ça salaud ! "

-"Va te faire foutre, j'ai besoin de ça ! Oh mec, laisse-toi un peu faire !"

Soudain, je suis assis sur ses genoux, mes boules en sueur sont sur les siennes, et il est tout à l'intérieur de moi, nous restons assis là pendant un moment, Jo réalisant soudain ce qu'il a fait. Il viole son meilleur ami.

"Euh, regardons le film, c'est pas un gros problème" poursuit-il avec désinvolture, comme s'il n'avait pas forcé sa bite entre mes fesses. Comme si elle n'était pas encore là! En fait il ne bougeait pas afin que je m'habitue à son énorme engin.

-"Hou! tu l'as si grosse !" Je m'habitue à avoir sa bite en moi. Nous continuons à regarder la femme se faire pilonner, je réalise que je suis devenu cette femme, oh mon dieu. Jo s'allonge sur son dos pendant que je reste empalé sur sa bite, trop effrayé pour bouger.
  Jo  commence à pousser des hanches vers le haut, lentement au début.

-"Arrête Jo, oh jésus, ça fait bizarre." Je transpire. Il commence à pousser de plus en plus vite. C'est tellement bizarre, je le supplie d'arrêter et il me tape le cul, laissant probablement une grosse empreinte de main rouge. D'un coup de reins brusque, les mains me maintenant par les épaules, il me pousse dans une position à genoux avec sa bite encore à l'intérieur de moi et commence à se mouvoir comme un fou, comme un animal sauvage. Il a dû atteindre et toucher quelque chose au fond de moi, ma bite commence à gonfler  c'est comme s'il me tirait dessus mais aucune main n'est sur ma bite. C'est mieux, ça va beaucoup mieux. Avec ce nouveau sentiment bizarre je regarde le porno sur l'écran et je commence à me sentir dans la vidéo. Je suis brisé, humilié... mais c'est si bon.

-"Putain putain de putain!"

-"Jo !?" Il ne m'a jamais parlé comme ça. Il me parle comme si j'étais un personnage de conte ou un alien  et pas son meilleur ami. Je le regarde de nouveau alors qu'il me soulève, mon expression effrayée semble l'exciter davantage.

-"Prends ma bite à fond putain de putain. "Il ralentit et glisse lentement sa bite hors de mes fesses jusqu'à ce que seule la tête reste dedans. C'est tellement bon mais je dois arrêter ça : j'ai maintenant peur de trop aimer.

-"Ne joue pas avec moi, Jo ! Pour l'amour du ciel ne me lâche pas ta purée dedans.  Beurk, oh mon dieu". Je sens que, si je n'arrive pas à l'arrêter, il va jouir en moi. "

Jo a toujours été comme ça : cynique et jusqu'auboutiste. -"Sûr Dav', et quoi que tu en  dises!" Il me tape sur le cul, attrape mes joues fessières avec les deux mains qui me tirent jusqu'à ses couilles. S'il ne jouit pas en moi, ce sera moindre mal. Il pousse une fois de plus et, malgré moi, c'est moi qui jouis : je tire ma charge sur le sol. C'est le sentiment le plus fou de tous les temps. Puis Jo me lâche sa crampe dans le cul et, en même temps,   j'essaie de m'éloigner de lui.

-"Non, non, non, non, non, non, noooon !!! 

-"OUI! Prends le tout ce putain de jus ! Tu aimes ça, tu es ma chienne maintenant, tu es à moi ! "Jo me tient en place avec ses mains fortes. Il continue à remplir mon cul avec son sperme chaud, en poussant avec chaque giclée massive, je peux le sentir chaud et jaillissant au fond de moi. Il continue de tirer du sperme et de tirer du sperme et cela ne semble pas possible. Le jus coule de mon cul sur mes couilles, le sperme de Jo et putain ça sent comme autrefois quand il frottait sa jeune queue contre mon ventre juvénile et m'inondait le sexe, les couilles et la rondelle sans jamais me pénétrer. Là ça coule de mon trou jusque sur le sol, sa bite encore dure en moi, pendant toute la nuit. Je sais que tout a changé. Il a marqué son territoire comme le fait une bête.

Dans la matinée, il s'excuse, promettant de ne le dire à personne. Il m'a regardé comme sa propriété, ça m'a mis mal à l'aise. Il a dit que c'était de ma faute, mais il ne le dirait à personne, il mentait. Il l'a raconté à qui voulait l'entendre. Ca m'a fait perdre tous mes amis qui ne voulaient pas passer pour pédés.  La suite sera une autre histoire pleine de nouveaux épisodes". 
¤

-"Voilà, les jeunes, c'est leur véritable histoire :     

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                   faites-en votre profit".  


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Par CAVAILLONGAY - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 07:02

Cinq heures du mat', j'ai des frissons/Je claque des dents et je monte le son/Seul sur le lit/Dans mes draps bleus froissés
C'est l'insomnie/Sommeil cassé/Je perds la tête/Et mes cigarettes/Sont toutes fumées/Dans l' cendrier/C'est plein d' Kleenex et d' bouteilles vides/J' suis tout seul, tout seul, tout seul/ (chagrin d'amour)

 

Une heure du mat et le sommeil vient pas. J'ai la teub qui me démange et rien à me mettre sous la dent. Pas question d'aller draguer dans les rues chaudes de Paname, il fait zéro degré dehors et j'ai pas envie de me geler les couilles pour rien. Je passe un coup de fil à mon pote Momo pour qu'il me lâche sa caisse histoire d'aller roder un peu en restant au chaud dans la caisse. Trankil mon pote, j'ai juste à descendre les deux étages qui nous sépare et je me retrouve avec les clés de sa merco dans la main… en route pour l'aventure !
Il neige dehors et le vent pousse les flocons comme dans un doc sur le pole Nord. C'est pas gagné pour trouver un keum par un froid pareil. N'empêche que je voudrais bien pouvoir me faire sucer l'eskimo !
Je trace sur le périph et j'arrive au nord de Paris. Les maréchaux sont blidés de tepus qui se gèlent en attendant leurs clients. Des blacks vers Porte de Bagnolet, des meufs de l'est vers porte de Charenton, en un tour de périph t'as fait le tour du monde du cul !
C'est là que j'ai vu un p'tit lascar en train de se geler le cul en marchant le long du boulevard. Arrêté au feu rouge, je le mate droit dans les yeux. Une petite balle ce rebeu : une vingtaine d'années, survête/skets de rigueur pour les lascars en chasse et une bonne bouche bien ourlée qui me met le barreau direct. Je lui fais signe de monter et il arrive direct.
On tchatche mine de rien et Mourad m'explique qu'il voulait se taper une tepu mais qu'avec 10 euros en poche y'a pas eu moyen. C'est la galère et je lui réplique vite fait qu'on peut toujours se dépanner entre zincous. Vu le sourire qu'il me lâche, je sens que je vais pas regretter mon petit tour en bagnole. Je trace en dehors de Paname et je vais poser la caisse sur un parking désert mal éclairé dans le début du 93.
On fume tranquille dans la caisse et Mourad me raconte les histoires de taspés qu'il s'est tapé avec des potes. Il me chauffe bien avec ses souvenirs et il se vante d'être un roi de la baise avec une teub hors du commun : le Rocco Sifredi du 93 !
- “Vas y Mourad, tu charies. Tu serais pas un peu mytho, toi !
- Tu me crois pas, vas y mate”
Et le keum baisse son bène direct pour me coller sous les yeux sa teub bien raide. Elle est pas mal mais on est loin des mensurations de la star du X hétéro. Je charie Mourad qui m'explique que c'est à cause du froid qu'elle fait pas plus de 19cm. Il me balance un peu vénère de mon speed sur sa face :
-“Fais le caïd, toi, t'as mieux a proposé ?
- Bien sûr que j'ai mieux ! On parie ?
- On parie quoi man ?
- T'es joueur , toi. Je te propose un "qui perd suce” ok ?
Après quelques secondes d'hésitation ou ses yeux cherchent à deviner la taille de mon zeub sous le survête, il me fais signe qu'il est ok. Je déballe tranquillement le matos et ma teub jaillit au dessus de l'élastique. Je bande à moitié et on est pour l'instant exaequo.
On se matte avec nos teubs à l'air dans la caisse et ça bande de plus en plus dur. Devine qui va gagner ? Bien en érection, on approche nos teubs l'une de l'autre et je dépasse Mourad de deux centimètres.
-“Perdu man, fallait pas jouer avec oim, au boulot maintenant !”
Le zincou est beau joueur et il se penche vers mon zeub bien raide. Sa langue chaude vient titiller mon gland circoncis et il aspire ma teub comme une vraie petite salope. Je sais pas s'il a niqué beaucoup de meufs avec ses potes de téci, mais vu la façon dont il s'y prend, il a du en pomper u paquet dans les caves de sa cité.
Il se branle en même temps et pousse des petits gémissements quand je commence à donner des petits coups de reins pour bien lui défoncer la bouche. Il malaxe mes boules avec sa main libre et la caisse résonne des bruits de suscion de la sucette d'enfer qu'il est en train de me faire. Il arrive à avaler toute ma teub et je sens son menton mal rasé qui vient taper sur mes boules.
Comme je suis pas un chien, je chope sa teub dans ma main et je le branle pendant qu'il me suce. Sa teub est chaude et son gland mouille déjà. Je suis tellement och qu'après à peine cinq minutes de pompage intensif, je sens que mes boules sont en ébullition. J'ai à peine le temps de retirer mon zeub de sa bouche qu'il crache son jus sur le tableau bord et sur ma main. Vas y il va ruiner la caisse de mon pote cet amar ! Je lui chope la tête pour la mettre au niveau de ma teub et je lui arrose le coup de sperme en râlant comme un fauve. Après ça on s'essuie vite fait et on balance nos mouchoirs en papier sur le parking. Tous les deux dans la nuit froide, on ressort nos teubs molles et poisseuses pour pisser ensemble sous la pleine lune. Alors, elle est pas belle la vie après une bonne sucette dans la caisse !

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Par ABDER - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 8 mai 2 08 /05 /Mai 16:08

 

Touche ta bite et sens tes doigts. C'est pareil chez les autres mecs.Sans que ce soit ni tout à fait la même ni tout à fait une autre, Y a toujours une (agréable) odeur chez-nous les hommes. 

 

Joachim Löw est un grand du football allemand et, à son  siège de dirigeant important, lors des matches, il  ne se cache guère d'aimer sa propre odeur : en public, il se caresse les couilles et le sexe ouvertement, puis, il savoure en humant longuement ses doigts. 

Image associée  Il est normal pour un homme d'aimer sa propre odeur d'entrejambe. Admettons ensemble que quelquefois elle est trop forte, mais ceux qui grimacent et disent que"ça sent le fauve", ceux-là, en disant ça, renient un peu leur nature...animale !

       ultrastarfakes: “Dylan o Brien from Teen Wolf. ” 

   

  Moi je parle de fragrance, c'est du Dior ou plutôt du Jean-Paul Gaultier... 

Résultat de recherche d'images pour "man# sniffing my own cock good smell in my finger"  celui qui hume comme  ça est un fin connaisseur, qui comprend mieux le titre  "prélude à l'après-midi d'un faune"   

 

Image associée Ces grands prépuces sont propres à devenir les recéleurs de choses qu'on ne révèle qu'aux intimes  

 

Image associée Faut-il faire en sorte qu'il s'aperçoive que tu le humes ? Moi je dis que oui, à moins que tu aies affaire à ce genre de crypto pédé qui va t'insulter, ne voir qu'une chose, se faire sucer, t'enculer etc...L'approche entre deux hommes c'est bien plus que ça. Non, pas compliqué, non, mais subtil, voire plein de poésie et de finesse.  

 

Image associée Ta langue entre la peau du prépuce et du gland le fera frissonner et gémir et toi tu voudras essayer d'autres choses, à commencer par le décalottage et triturer cette peau humide dans un baiser 

 

 

Image associée c'est l'approche de ce sexe par son odeur parce garçon qui fait ce gif intéressant. IRRéSISTIBLE FRAGRANCE !  

 

Image associée il y a un moment où on ne fait plus attention à ce qui a provoqué en nous ce désir violent de l'avoir en nous  : le parfum est entré, maintenant c'est au tour de la bite  

 

Image associée comment pourrait-on la désirer aussi grosse si l'odeur ne nous avait  pas enivré ? 

 

Image associée besoin d'ambiance ?... et voilà !  

 

Résultat de recherche d'images pour "man# sniffing my own cock good smell in my finger" Respire fort ! tu ouvres de grands yeux, mais tu comprends : en ce moment je t'injecte du désir dans les veines !  

 

 

 


RECIT

 

  Image associée Daniel était comme un plant de tomate carencé 

 

    "DANG" (Daniel) ELEVé HORS SOL EN MILIEU STERILE
Tous les efforts accumulés par ses parents pour empêcher  ce " BEL-AU-BOIS-DORMANT" de s'éveiller à la VRAIE VIE  vont-ils être anihilés par un petit con d'étudiant à la fac ?
 
     "DANG", Daniel avait grandi tellement à l'abri. Il était le seul enfant dans un ménage strict, et a été scolarisé à la maison tout au long de l'école élémentaire jusqu'à sa dernière année de lycée.

Sa famille le laissait rarement regarder la télévision et il ne pouvait jamais regarder des films au-dessus du contrôle parental, ni naviguer sur Internet sans filtre porno.

Pour le moins, ses parents étaient un peu inquiets quand, parforce,  ils l'ont envoyé à l'université dans une petite université à environ trois heures de chez eux. Ils téléphonaient tous les jours pour le surveiller, s'assurant qu'il n'était exposé à rien de maléfique ou de sexuel.
    
Cependant, comme tout garçon américain normalement constitué,  Daniel ne pouvait s'empêcher de fantasmer et de s'interroger sur les corps des autres, en particulier les garçons qu'il voyait jouer au basket dans son quartier ou à l'église le dimanche matin
.
 
 
 
Jamais il n'avait vu un homme nu auparavant, sauf quelques fois quand il était petit, et la seule vraie compréhension était que ce corps nu ou ces parties intimes dans le miroir étaient les siens.

Pour ses premiers mois à l'université, il resta très proche des instructions de ses parents pour garder son esprit «pur» et ne s'exposa au sexe, à la drogue ou à l'alcool. Cela signifiait seulement qu'il participait à des organisations académiques et religieuses sur le campus, pas de fraternité ou d'équipes sportives qui aimaient faire la fête tout le temps.

Après s'être joint à un club universitaire de  formation en management à l'automne, il gravit les échelons de l'organisation et a été choisi pour représenter son école en tant que leader de première année lors d'une conférence nationale. Le second  représentant de son école était le président du club, Marcus Reynolds.

De tous les garçons du campus, Marcus était celui qui faisait le plus battre le cœur de Daniel. Il était si calme et cool, confiant et intelligent. Et surtout, Daniel pouvait dire que Marcus avait un corps incroyablement bien formé sous ses vêtements. Daniel pouvait voir les muscles de Marcus gonfler dans sa chemise et cela mettait toujours  Daniel dans un état d'agitation interne qui se marquait chez lui par une forte érection.

Lors d'une réunion, quand Marcus parlait au groupe, Daniel remarqua un grand renflement dans le pantalon serré de Marcus, qui descendait tout le long de sa jambe de pantalon. Daniel se demandait si cela pourrait être son pénis? En ce cas, cela signifierait que le pénis de Marcus était deux fois plus grand que le sien. Mais peut-être que c'est autre chose ? Daniel n'avait eu que deux pénis de référence de toute sa vie. La pensée que Marcus cachait une grosse queue dans son pantalon fit tellement transpirer Daniel  qu'il dut quitter la pièce.
          

 

  L'approche des jours de conférence rendait  Daniel nerveux. Il devait partager sa chambre avec Marcus et il avait peur d'être intimidé et l'dée même d'avoir une conversation avec Marcus le mettait sens dessus-dessous.

Arrivés à la chambre d'hôtel après une longue matinée de voyage, ils déposèrent rapidement  leurs affaires dans leur chambre et se dirigèrent vers leurs sessions du soir. Les deux gars étaient fatigués et auraient bien voulu simplement se détendre, mais ils savaient que la conférence exigeait quelques heures de préparation ce premier jour.

Dans leur chambre après la dernière session, Daniel et Marcus étaient tous deux "crevés". Alors qu'ils entraient dans la chambre d'hôtel Marcus commença par desserrer sa cravate, sauta rapidement sur le lit et se débarrassa de ses chaussures.

"Dang, il est déjà 22h00," dit Marcus, "et nous devons nous lever à 7 heures du matin pour le petit-déjeuner."

"Ouais, je ne savais pas que cette conférence allait être si éprouvante," répondit Daniel.

"Eh bien, je vais prendre une douche ce soir, j'en ai besoin d'une bonne," dit Marcus, vérifiant les messages sur son téléphone.

"Ouais, j'en ai besoin aussi," dit Daniel.

"Eh bien, pourquoi ne pas y aller en premier, si tu es ok, je vais répondre à un message et me relaxer pendant une minute?" suggéra Marcus.

Daniel hocha la tête et se dirigea vers la salle de bains avec sa trousse de toilette et son pyjama.
    

Le fait d'être en présence de Marcus signifiait pour Daniel avoir une grosse érection. Et le voilà qui se déshabillait dans la salle de bains. Dang, est-ce que cette chose va jamais tomber? se demandait-il .

Une partie de lui voulait se branler sous la douche, ce qu'il faisait rarement, mais l'autre partie de lui-même s'inquiétait aussi que Marcus se méfiât de la raison pour laquelle Daniel serait resté si longtemps sous la douche.

Daniel prit une profonde inspiration et décida de se doucher rapidement, de revenir à des pensées pures et se coucher.

Au moment où l'eau chaude frappait son corps, Daniel ne put s'empêcher de frotter sa bite dure et de penser à la façon dont Marcus était sexy. Il se massa la tête en pensant aux belles lèvres de Marcus, à ses yeux doux et à ses gros muscles. Et la taille de sa queue le fit de nouveau rêver !

Daniel s'extirpa rapidement de son monde imaginaire et se lava rapidement. Il ne voulait pas que Marcus s'impatiente.

Daniel se sécha, jeta son t-shirt et son short, se brossa les dents et sortit de la salle de bain.

Alors qu'il laissait tomber son sac de toilette sur le lit, Daniel fut frappé par le spectacle le plus étonnant. Debout à côté de la table de conférence dans leur chambre, Marcus, nu, nu, avec son plus beau corps en pleine exposition. Marcus était toujours en train de vérifier son téléphone, et leva les yeux pour voir Daniel qui le fixait.
"Comment était la douche?" Demanda Marcus, tranquillement.

Daniel était stupéfait et ne pouvait pas parler. Il n'avait jamais vu un homme nu comme ça et il était totalement dépassé.

"Oh désolé, je suppose que d'avoir grandi avec quatre frères a créé l'habitude d'être nu tout le temps sans problème," dit Marcus en riant.

"Non, j'ai juste ..." Daniel essaya de parler mais rien ne sortit. Marcus avait le corps le plus étonnamment beau: de gros muscles, des tatouages, et un satané "démonte-cul"  entre les jambes.

"Eh bien, si tu as fini de regarder, je peux aller à la douche," dit Marcus en riant et en lui décochant un sourire assassin.

Daniel continua à rester muet et laissa échapper, "C'est juste que je n'en ai jamais vu un comme ça ..." puis s'interrompit, ses yeux toujours collés à la queue massive de Marcus.

Marcus partit d'un grand rire. "Je savais que tu avais eu une enfance isolée et tu as grandi en dehors de tout ça, alors je comprends tout à fait. Ma bite ? hein, tu emploies ce mot toi aussi !  C'en est une grande sans doute, elle recueille beaucoup de  regards "en dessous", à la dérobée, des gars dans les vestiaires ",  déclara Marcus en saisissant la tête de sa verge avec sa main.

Il y eut un silence de pierre dans la pièce alors que Daniel détournait les yeux. Il était seulement en pyjama et sans doute en train de bander"à mort"dans son pyjacourt.

Marcus rompit le silence, alors que Dang voyait la queue clairement, il dit de façon aberrante : "Tu veux y jeter un coup d'œil?"

Daniel leva les yeux et rencontra les yeux de Marcus. Il ne dit pas un mot. Mais tout sur son visage disait oui.
 
 
"Viens là," dit doucement Marcus, assis sur l'accoudoir du fauteuil. Daniel rejoignit Marcus près du fauteuil tandis que Marcus attrapait la main de Daniel et l'attirait doucement à genoux. Daniel regarda l'énorme bite de Marcus "droit dans les yeux"  et avait du mal à respirer.
      Ce moment, Daniel se souvient, fut décisif
«Rapproche-toi un peu et prends le tout,» ordonna Marcus, alors que Daniel se penchait. La première chose que Daniel remarqua fut l'odeur unique du paquet de Marcus. C'était une odeur qu'il reconnaissait, une de son propre corps et les corps d'amis en sueur. C'était tellement à la fois attirant, séduisant et envoûtant qu'il a commencé à renifler l'air. S'en apercevant, le jeune homme dit :
"Ouais, je parie que ça sent bon après la longue journée que nous avons passée," dit Marcus en guidant le visage de Daniel plus près de sa tige. "Tu aimes cette odeur?"

Se libérant un peu des forces coercitives qui le tenaient comme "en laisse", Daniel a émis un doux gémissement dans l'affirmation.

"C'est l'odeur d'un homme. Pas plus. C'est ce que sent une grosse bite enfermée dans des pantalons serrés et des boxers toute la journée ", a ajouté Marcus. "Renifle là," ordonna Marcus en pressant le nez de Daniel entre ses couilles et sa cuisse. Daniel n'a pas touché la peau de Marcus, il a juste eu le nez assez proche pour sentir l'odeur musquée et salée des boules de Marcus. Daniel laissa échapper un autre doux gémissement .

Après quelques instants, Marcus guida la tête de Daniel loin de son paquet pour qu'il soit face à sa queue toute dressée.

«Tu n'as jamais vu une bite comme celle-ci?» Demanda Marcus avec amusement.

"Non monsieur," dit Daniel, un peu embarrassé mais aussi complètement submergé d'excitation. 
"Tu peux y toucher," dit Marcus, tandis que Daniel, hésitant encore un peu, tendait la main et saisissait la verge chaude et dure de Marcus. C'était comme une brique, si ferme, mais elle recelait aussi la vie comme Daniel pouvait sentir le sang s'y précipiter.

"Frotte-la un peu," dit Marcus, et Daniel commença à caresser lentement le manche de Marcus. Il pouvait entendre Marcus gémir de plaisir alors qu'il se penchait sur la chaise. Ne voyant aucune transqression dans ce qu'il était en train de faire, Daniel était ravi par la vue et l'odeur de la queue et des couilles de Marcus, et sa bouche était grande ouverte d'émerveillement.

Après quelques bonnes frictions, une perle de pré-sperme a jailli du gland de Marcus. Daniel l'a regardé hypnotisé.

"Donne-lui un coup de langue, goûte-le," dit Marcus à Daniel. Daniel, soudain redevenu conscient, regarda Marcus dans les yeux, un peu incertain s'il devait le faire ou non. Il n'avait jamais goûté ce qui sortait du pénis de Marcus, et ne savait même pas vraiment ce que c'était, bien qu'il ait déjà vu sa propre queue en produire avant.

A cet instant, Daniel se pencha et lécha le liquide pré-éjaculatoire de la tête massive de la bite de Marcus, et son visage s'éclaira. Le liquide était salé et délicieux, et plus encore, la sensation de la tête chaude du pénis de Marcus sur sa langue rendait Daniel plus gourmand.

"Allez-va, donne-lui un coup," dit Marcus et, en lui poussant la nuque, il pressa doucement les lèvres de Daniel contre son gland. Daniel ouvrit soudain plus grand la bouche, anticipant la sensation de ce membre chaud et dur dans sa bouche. Il ferma les yeux quand ses lèvres s'ouvrirent et accueillirent le membre dur, la tête couverte du liquide pré-éjaculatoire et de la salive de Daniel.
    Poussant de ses jambes, Marcus alors se pencha plus loin en arrière dans le fauteuil et un autre gémissement, cette fois-ci bien plus fort, provint de sa bouche. Daniel garda ses mains sur ses côtés et accueillit avec gratitude dans sa bouche l'épaisse bite de de l'étudiant de plus en plus profondément. Le sentiment que ça remplissait sa bouche, se pressant contre le fond de sa gorge, donna des frissons à Daniel.

Il était assailli par tant de sensations nouvelles ! Jamais il n'avait  imaginé que la présence d'un pénis dans sa bouche pût être aussi gratifiante, que le sexe qu'il ingérait pût être aussi grand, ou qu'il puisse lui-même  se sentir si rempli et plein d'orgueil de le faire, ou que cela puisse avoir un goût délicieux sur sa langue.

Daniel commença vraiment à sucer la bite de Marcus, déplaçant son cou de haut en bas et glissant sa main contre le manche. Il n'avait aucune idée de comment sucer une bite, mais, instinctivement il agissait à l'imitation de ce qu'il faisait en se masturbant lui-même. il devinait que c'était probablement un bon début. Et au son de Marcus qui gémissait, Daniel dut penser faire un super boulot.

Daniel sentit que la main de Marcus,  peut-être plus très lucide lui-même, pessait lentement de plus en plus fort alors que Daniel dévorait le moindre centimètre de la bite de Marcus.

"Oui! comme ça, mec, tout le long de cette grosse bite," ordonna Marcus. Presque bâillonné par l'épaisseur de la verge qu'il ingurgitait, Daniel respirait lourdement par le nez . Il s'étonnait d'avoir autant de salive en bouche jusqu'à ce qu'il se rendît compte que c'était le liquide pré-éjaculatoire qui coulait librement du méat de Marcus.

Daniel pouvait sentir sa propre queue s'écraser contre son short et il eut conscience  qu'il était près d'exploser. Il plongea la main dans son short et découvrit qu'il avait une flaque de liquide pré-éjaculatoire dans son pyjacourt. Il caressa furieusement sa propre bite, tout en continuant à gorger profondément Marcus. D'après les sons de la respiration de Marcus, ils étaient tous les deux bien proches du plaisir.

Daniel sentit Marcus se redresser, et d'une manière ou d'une autre, le sexe de Marcus devenait encore plus dur, et de plus en plus plein et ce sentiment d'une telle queue remplie de sang dans sa bouche déclencha son basculement vers la jouissance. Daniel serra fortement ses lèvres sur la bite de Marcus et commença à lâcher son propre chargement dans son short de pyjama.
  

 

 

Ce fut la sensation des lèvres de Daniel si serrées sur sa hampe qui fit exploser les couilles de Marcus, lançant des cordes de sperme chaud dans l'arrière-gorge de Daniel. Par un réflexe naturel de désir de fécondation chez un garçon, Marcus attrapa la nuque de Daniel et enfonça plus le loin possible sa queue dans la gorge de Daniel. Si ce garçon n'avait jamais sucé de bite auparavant, Marcus allait pouvoir jurer et assurer qu'il avait l'expérience complète !

Daniel n'avait auparavant aucune idée du goût du sperme, mais là n'était pas la question : il s'en fichait d'une manière ou d'une autre, il savait instinctivement vouloir accueillir avec gratitude chaque nouvelle décharge de sperme de Marcus. Puis sa langue lécha et ramassa chaque goutte et la sensation de sperme chaud continuant à couler dans sa gorge donna à Daniel de la fierté pour la place qu'intantanément il  avait prise dans la vie de Marcus.

Marcus des deux mains saisit la tête de Daniel retira sa bite du visage de Daniel. Son regard était lumineux, rempli de grâce. Marcus le regarda droit dans les yeux et se pencha pour donner  à Daniel son aveu :  son premier baiser, juste sur les lèvres, doux mais passionné, et complètement inondé de sperme.¤ 

 


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Par CAVAILLONGAY - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 22:17

    Tous les jours, pour une leçon de boxe,après les classes, je me dirigeais prestement chez Pierre-Louis, mon entraîneur volontaire qui voulait faire de moi un champion, . extrait

 

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...Sa chambre était située à la cave. Elle occupait un grand espace à moitié aménagé.  Le plafond absent laissait voir des poutres métalliques d'où était suspendu un 'punching bag'. Sur les murs, il y avait des affiches de voitures de sport et de filles aux nichons joufflus en bikini. Dans un coin, un grand lit défait accaparait le plancher près d'une commode couverte d'autocollants. Et dans l'autre un canapé et des fauteuils usés.

Je me déshabillais jusqu'au caleçon. Pendant une heure, j'exécutais les instructions de mon mentor : une centaine de pompes, des redressements assis et des jabs sur le sac de sable. Pierre-Louis provoquait un face à face. Il m'empoignait et pliait mon corps souple facilement. Je ricanais et hurlais quand il me faisait mal. J'adorais ce moment intime. Pierre-Louis conservait son jean et son t-shirt, mais je pouvais tout-de-même sentir la vigueur et la solidité de ses bras et de ses jambes musclées à travers les vêtements.

Il me donnait des taloches, espérant que je me défende, espérant allumer en moi une violence instinctive et primaire qui ne venait malheureusement jamais. À la fin de la leçon, je suais de partout.
Mes cheveux blonds collaient à mon front. Mon petit caleçon blanc était trempé.

 Pierre-Louis indiquait candidement :- "Va prendre une douche et après tu viendras me remercier",
J'obéissais, me savonnais dans la cabine de douche et revenais complètement nu dans la chambre de Pierre-Louis qui m'attendait, assis dans un fauteuil, son jean et son slip autour des chevilles.

- Bon, viens-ici me remercier, il réitérait en souriant.

La nature de la compensation requise pour ses services de formateur était devenue claire dès la première leçon. Je m'agenouillais entre ses jambes poilues. Sa queue se dressait déjà droite et dégoulinante. Une verge énorme. Pas moins de vingt-deux centimètres de viande gonflée. Son pubis était rasé aussi lisse que son crâne. Puisque circoncis, le pénis de Pierre-Louis me rappelait à chaque fois les longs champignons à la tige obèse et au chapeau charnu que j'avais vus au fond des bois. 

Résultat de recherche d'images pour "les longs champignons à tige renflée et au chapeau en boule que j'avais vus dans les bois" les longs champignons à la tige obèse et au chapeau charnu que j'avais vus au fond des bois.   sélection photo claudio 


    Quel fut le premier test ? une compétition inter-gym de boxe. Le jour de l'affrontement, mon entraîneur, Pierre-Louis me répéta les consignes. Être toujours en mouvement, deviner le prochain coup, frapper de toutes mes forces. Il avait confiance et affichait même de l'orgueil pour le travail qu'il avait accompli avec moi.

J'allais monter sur le ring et rejoindre mon adversaire quand Pierre-Louis choisit ce moment pour me chuchoter à l'oreille quelque chose qui me déstabilisa. Comptant sur ma terreur, Pierre-Louis débita ces mots d'un ton décisif : "Si tu perds, je vais t'enculer..."

Un souhait jamais exprimé ni par lui ni par moi se transforme en soi disant "punition" : 

Je ne parvins pas à passer le premier round, mis K.O. par une gauche redoutable. À la fin de la leçon suivante chez lui, au milieu de mes remerciements, Pierre-Louis se leva du fauteuil.

- Monte sur le coussin, place-toi à genoux, ton cul dans les airs.

Je cessai de sucer sa bite et exécutai sa demande. Je n'étais plus innocent et devinais ce qui m'attendait : ce qui arrivait légitimement aux pédés. Nerveusement, je jetais des regards derrière moi. Pierre-Louis enduisait de l'huile sur sa queue. Elle était en pleine expansion et jaillissait de son aine aussi longue qu'un gourdin.

Je sentis sa main sur ma fesse et son index huileux suivre le contour de mon anus. Puis, il se mit à l'introduire dans mon trou serré. Je couinais à chaque douloureuse exploration.

- Relaxe un peu, ouvre ta rondelle, ça sera mieux, il indiqua avant de m'insérer le majeur.

Bientôt, il employait deux doigts pour dilater le passage. Je serrais les dents afin de ne pas paraître faible. Lorsque le bout de sa bite se posa contre mon orifice, je commencai à respirer lourdement. Le jeune, surexcité, poussait entre mes fesses encore et encore, avec détermination. Le large gland s'enfonçait puis, entêté, glissait à l'extérieur. Pierre-Louis recommençait de manière plus combattive. Jusqu'à la dernière seconde, il m'apparut impossible qu'il puisse m'enfiler un membre aussi gros dans le derrière. Mon sphincter bloquait l'entrée. Puis d'un coup, sa bite me transperça, m'arrachant une plainte stridente. Pour sa part, Pierre-Louis exhala un long soupir de triomphe.
Il attrapa mes hanches et entreprit un coït retenu. Même si sa verge glissait doucement dans mon trou-du-cul, j'avais l'impression qu'il m'enfonçait un tronc d'arbre en entier. Graduellement, il augmenta la cadence. De minute en minute, je couinais de plus en plus fort, les orteils crispés, l'écoutant marmonner :

-" Ohhh c'est chaud, ouais, Ohhhh putain ! c'est trop bon !"

Heureusement, Pierre-Louis ne me baisa pas avec toute sa longueur et sa vigueur. Il fut assez gentleman pour un jeune homme au sommet de sa forme qui dépucèle un garçon soumis. Après cinq minutes, l'excitation le fit frissonner. Je lançai un cri de soulagement en sentant les pulsations de sa queue dans mon cul. Marquant la fin, elle me tapissait le boyau d'une abondante crème chaude.

Après cette "punition" pour avoir perdu mon premier match, je pensais que mon postérieur serait exempt pour un bon moment. Mais, une autre compétition vint rapidement, puis une autre, avec les mêmes conséquences. Le nombre de compétitions de boxe au calendrier me médusait. Pratiquement une chaque semaine. Chaque fois j'étais battu .

En dépit des leçons de Pierre-Louis et de mes efforts personnels, il n'y avait pas d'amélioration. L'étendue de mon talent se résumait à sautiller sur le ring et esquiver les attaques. Mes adversaires étaient tous plus âgés et costauds. Je n'étais pas de taille. Les insuccès ne m'abattaient pas. Ma soif de vaincre mes lacunes physiques demeurait indéfectible. Ce qui signifiait que je devais continuer les leçons et être l'esclave sexuel de mon mentor.

Le lendemain d'une défaite, il m'insérait un suppositoire, voire 2 qui déclenchai(en)t une vidange totale de mes intestins.

NOTE DE L'EDITEUR :


  

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À la fin de la leçon de boxe, je le remerciais avec ma bouche. Mais, après quelques minutes, il repoussait mon front et disait simplement,

- Dans ton cul maintenant...

Le gentleman de la première fois n'usait plus de la même délicatesse. Habituellement, j'étais sur le dos dans son lit. Pierre-Louis me saisissait sous les genoux pour retenir mes jambes pliées. J'étais totalement à sa merci. Mes fesses entrouvertes exposaient mon anus plissé. Les choses se passaient si vite que je n'avais pas le temps de me préparer. Pierre-Louis s'emparait de son érection lubrifiée et l'enfouissait dans mon petit cul. Il ramonait aussitôt.

La session de sodomie s'intensifiait dès les premiers instants.Mon corps était tendu et mon visage traversé de grimaces par l'inconfort d'avoir une bite aussi grosse dans le rectum. Le boxeur athlétique se démenait au-dessus de moi sans laisser paraître qu'il allait s'épuiser. Je demeurais sous lui à recevoir sa queue encore et encore, plus vite et toujours plus loin en moi. Jusqu'à ce qu'elle disparaisse en entier dans mon petit trou serré.

- Anngghh, Pierre-Louis! Angggh! Annggh! je gémissais sans cesse.

Il n'y avait pas que ses poings qui étaient d'acier. Au plus fort, je criais comme une fillette sans que personne n'entende ma litanie plaintive. Son père arrivait du boulot tard dans la soirée. Pierre-Louis pouvait donc m'enculer bien au fond.

Durant de longues minutes, ses couilles rebondissaient sur mes fesses. "Ohhrrh ouii! Orrrhh!" il grognait en remuant son bassin comme un taureau. Puis, il jouissait et s'effondrait sur moi, sa bite encore plantée dans mon cul. Il jouissait tellement fort, qu'il tremblait en éjaculant dans mon derrière. Je me branlais et frémissais aussitôt de mon petit orgasme.

Avec le temps, se fit généreux. Il invitait deux copains du gym pour une tournante. Les élus arrivaient enthousiastes et crâneurs puis se dégonflaient, réticents à baiser un garçon de leur voisinage quand je me déshabillais. Leurs regards se détournaient de ma nudité.

- Il nous fait perdre des compétitions alors il le mérite, non ? justifiait Pierre-Louis    [ils appartenaient au club, certes, mais ce fut un peu comme si Pierre-Louis m'avait vendu à des inconnus, mais toujours au prix que je perdisse le match ce qui me fait-aujourd'hui- douter que j'aie toujours souhaité le gagner. Jamais punition ne ressembla davantage à une récompense ! ]          

Pierre-Louis raisonnait avant de leur montrer comment il m'avait entraîné à sucer une bite et la prendre dans le trou-de-balle. Voyant mon consentement total, les conviés se ragaillardissaient et sautaient sur l'occasion de se taper un bon petit cul.  

Les trois me prenaient par derrière, l'un après l'autre, ou parfois par les deux trous. J'avais constamment une bite dans la gorge ou dans le trou-du-cul. Ils m'enculaient de manière agressive en me tirant par les cheveux. En rut ils laissaient libre cours à leurs pulsions, sans contrainte morale. Les ordres pleuvaient autour de moi,

- Lèche mes couilles.
- Suce ma bite.
- Écarte tes fesses.

J'entendais aussi leurs commentaires :

- Oh, c'est vraiment une pute ! -
- Ah la vache, je pensais pas que ça serait aussi top de baiser un mec ! Je crois que je vais devenir pédé!
- Tu la sens ma grosse bite ? J'vais te gicler dans ton p'tit cul, moi. Tu vas voir !
- T'aimes ça hein? T'aime ça te faire enculer? Petite pédale !

Ma popularité croissait en flèche parmi les membres du gym. De nombreux autres jeunes boxeurs participèrent à ces orgies. Même les deux frères blacks. Et je dus faire la fille pour eux tel qu'ils avaient souhaités.[A défaut d'avoir réussi mon éducation sportive, j'avais atteint une éducation sexuelle haut niveau]  

Les tournantes me ravageaient à chaque fois. Sur le chemin du retour à la maison, ma gorge était irritée et mon anus brûlait comme un charbon ardent. Le fond de ma petite culotte baignait dans la semence. Je boîtais, déboussolé, surtout estomaqué du fait que j'avais pu trouver mon plaisir et atteindre la jouissance.

Après une année et quarante-trois défaites sur le ring, mon père  renonça à croire que la boxe me rendrait viril. Il ne sut jamais ce qui s'était passé. Je conservai le secret. Je savais qu'il ne pourrait pas apprécier l'ironie du sort. Que son désir de transformer son gamin en véritable mâle hétéro l'avait au contraire astreint à être le petit vide-couille de tous les garçons d'un club de boxe.FIN.  Dolmancé a écrit avec talent ce texte qu'on peut lire au complet sur le site:   https://www.asstr.org/~Histoires_Fr/txt2016/dolmance_-_gaie_enfance_-_texte_complet.10.html  

      Quelques modifications ont été apportées pour que ce récit réponde aux exigences de la charte erog, mais son esprit et son charme demeurent 

 


commentaire :

 

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Par DOLMANCé - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 29 avril 7 29 /04 /Avr 15:31

 

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Par GAYDITOR - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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