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Un récit de visite médicale 7 Septembre 2016
Bravo à Joshua pour ce texte
À 25 ans, j'ai décidé de reprendre le sport. Plus jeune, j'avais été sportif (un peu de volley et d'athlétisme), mais les études m'avaient un peu accaparé et j'avais progressivement abandonné. Pour m'y remettre, j'ai donc opté pour le footing : simple, pratique et pas trop exigeant pour un démarrage en douceur. Mais au bout de 2 semaines, une douleur chronique s'est mise à se manifester au niveau du pied gauche. Comme je voulais faire les choses correctement, je décidais d'aller consulter un médecin du sport qui pourrait vérifier ça et éventuellement me donner quelques conseils.
Je l'ai donc choisi au hasard, dans l'annuaire, pas très loin de mon boulot.
Le jour dit, après avoir attendu longtemps dans la salle d'attente, sa porte s'ouvre enfin et le patient précédent sort. Il appelle mon nom.
Il a probablement un peu moins de 40 ans, est plutôt agréable à regarder sans pour autant être une bombe : les cheveux bruns et courts, dans les 1m75, la peau plutôt claire et rasée de près. Il porte un pantalon beige et une chemise claire qui permettent de voir qu'il est plutôt mince, avec quelques poils drus qui dépassent par l'échancrure de sa chemise. Il me fait asseoir et après avoir pris les renseignements nécessaires (25 ans, 1,77 m, 68 kg, etc.), il me demande de lui expliquer l'objet de ma visite. Il saisit immédiatement le problème et m'explique que la reprise de sport doit être supervisée. Il me propose donc de faire un test d'effort.
Jusqu'à là, l'entretien est plutôt normal.
Il me demande alors de me mettre en sous-vêtements et de m'asseoir sur la table d'auscultation pour prendre ma tension et écouter mon cœur. Ses gestes sont précis et professionnels, mais le contact de ses mains chaudes est très agréable. Ensuite, il me fait m'allonger sur le dos pour tester mes articulations : je dois plier les jambes et ramener mes genoux vers le torse, l'un après l'autre. En faisant ces étirements, je me dis qu'avec mon slip blanc plutôt slim, ça bâille probablement un peu au niveau de l'aine. Je suis sûr qu'il pouvait voir la base de mes couilles et quelques poils (châtain foncé, je suis quasi imberbe, sauf au niveau des jambes plutôt fournies, et autour du sexe, que je taille). En plus, comme mon sexe est plutôt épais, on le distingue facilement au travers. Je trouve qu'il insiste beaucoup pour chaque jambe, mais me dit que c'est peut-être mon imagination.
L'étape suivante est le test d'effort en tant que tel. Toujours en slip, il me fait faire des « jumping jacks » et je sens que ma bite gigote à chaque saut. Je crois surprendre quelques regards discrets vers mon entrejambe sans en être totalement sûr. Ensuite, il me demande de me coucher par terre sur le dos, les jambes pliées, et de faire des abdos. Il se place à mes pieds, presque entre mes jambes et me maintient les cuisses écartées et vers le sol. Il doit avoir une vue plongeante sur la bosse que forme mon pénis. Entre chaque exercice, il prend mon pouls et le note.
Mais la consultation s'arrête là. Il m'invite à me rhabiller et retourne à son bureau. Il m'explique rapidement les résultats des tests et note rapidement une ordonnance. Lorsque je le rejoins, il me la tend en disant :
« Tenez, je vous ai prescrit une pommade. Revenez la semaine prochaine, je vous ferai un massage avec. »
Je le remercie, paie et m'en vais.
Toute la semaine, j'hésite à y retourner. Après tout, j'en avais envie et peut-être même besoin médicalement. Je sentais de l'excitation mais aussi une légère angoisse : le problème, c'est qu'en sortant du rendez-vous, il m'était impossible de savoir concrètement les intentions de ce médecin. Après tout, rien ne s'était passé et peut-être même avais-je fantasmé son intérêt pour mon entrejambe. Un médecin, c'est quelqu'un de sérieux, il n'y a que dans les films pornos que ce genre de choses arrivent (et en plus c'est pas très crédible...) D'un autre côté, j'étais venu pour mon pied, et repars avec un rendez-vous pour un massage ; et le test d'effort, pourquoi me le faire faire en slip ? M'étais-je fait des idées ? Peut-être que je m'étais moi-même « auto-excité ». Ce qui est sûr, c'est que je me suis soulagé dès que je suis rentré chez moi !
La semaine passe et je me décide finalement à aller au rendez-vous, avec la pommade. Cette fois-ci, il me tutoie. Étrange, mais comme il m'avait expliqué travailler avec beaucoup de jeunes athlètes, je me dis que c'est peut-être simplement une habitude un peu paternaliste...
Il me demande la pommade prescrite la fois précédente et me dit de m'allonger sur la table d'auscultation, sur le ventre et en slip. Il commence par me masser les épaules et le dos. Déjà, je sens que je risque d'être excité et de me mettre à bander. Il continue d'étaler la pommade vers les reins et sans rien dire (à peine en marmonnant un : « ça sera plus facile si... »), il tire sur l'élastique de mon slip. Je l'aide et fais glisser le slip le long de mes jambes en essayant de rester face à la table. En me recouchant, je me dis que rien qu'en touchant mes cuisses, il va déclencher une érection. Ma bite est d'ailleurs déjà un peu gonflée mais je me rassure en me disant qu'il n'a pas dû la voir. Et là, il commence à me masser les cuisses en remontant vers l'intérieur. Il me demande : « Ça va ? »
Je lui réponds, en essayant de garder un ton détaché : « oui oui, très bien... »
Il continue le massage en alternant entre les reins et les cuisses et là, il n'y a plus de doute : à chaque fois, il faut qu'il passe par mes fesses et qu'il m'effleure l'anus. Je me dis que là, il a bien dû sentir que mon périnée était tout dur, signe de mon érection. En me prenant les hanches, il me dit alors : « Mets-toi sur le dos ».
Je n'ai plus le choix : j'obtempère et découvre mon sexe tout durci en bredouillant un : « je suis désolé, je suis très sensible... ». En plus, comme mon pénis a une forme assez particulière en érection (courbé vers le bas et assez long, dans les 18 cm), il ne repose pas sur mon ventre mais se redresse lorsque je suis couché. Pas moyen de le cacher !
« Oui, en effet, tu es très réactif, dis donc ! » me dit-il, alors que je rétorque en moi-même : « Je le serais peut-être moins si tu ne m'avais pas massé ma rondelle ! »
Et là, naturellement, il saisit mon pénis entre trois doigts et lentement, le décalotte complètement. En faisant ça, mon pénis se contracte et de la mouille coule le long du gland. Je suis un peu gêné, parce qu'à sa base, dans le pli du prépuce, je constate qu'il y a quelques petits bouts blanchâtres. C'est parce qu'au cours de la journée, j'avais été pas mal excité en fantasmant ce rendez-vous... et j'avais oublié de vérifier qu'il n'y avait pas de traces. En faisant passer ça pour un geste médical, il glisse un doigt pour récupérer un peu de matière et le porte à son nez. « Tu produis beaucoup de smegma, tu es visiblement très excité... Est-ce que tu veux que je m'occupe de ça aussi ? »
« Je veux bien... », dis-je d'une voix étranglée.
« En tout cas, tu as une verge de belle taille », reprend-il en serrant ses doigts autour et en faisant coulisser mon prépuce. Il sent bien que le simple fait qu'il prenne mon sexe dans la main me fait beaucoup d'effet, mais il le lâche aussitôt.
Couché sur le dos, nu et avec le sexe dressé, avec un médecin qui me manipule, j'ai vraiment le sentiment d'être à sa disposition. C'est à la fois excitant et un peu humiliant... Il en joue et reprend donc son massage comme si de rien n'était. Il commence par le haut des cuisses en insistant sur l'aine. À chaque passage de sa main, son bras effleure ma bite dressée. On pourrait croire que le contact n'est pas intentionnel, mais je sais maintenant que c'est pour m'exciter ! Signe que ça marche, il y a d'ailleurs un filament de mouille qui s'étire entre mon gland et le dos de sa main. Il me fait écarter les jambes et me masse les adducteurs. Ses mains insistent sur la zone, en allant de la base des couilles (je ne les rase pas parce que je trouve que c'est plus sensible comme ça !) à l'anus. Je vois bien qu'en insistant sur la zone, il s'amuse à faire gigoter ma bite.
Je sens d'ailleurs qu'il a repéré ma rondelle et joue avec en y rentrant le bout de l'index. J'écarte encore plus les cuisses pour l'inciter à rentrer plus profondément.
Alors qu'il se met à me doigter (la pommade aide bien...), il se penche et commence à goûter le suc qui sort de ma bite, juste avec les lèvres et le bout de la langue. Ma bite tressaute dans tous les sens sous l'excitation. Il joue à ça un bon moment jusqu'à ce que finalement, je ne résiste plus : je relève mon bassin et enfonce mon gland dans sa bouche. Il ne s'y attendait pas mais referme ses lèvres dessus et je sens qu'il savoure le goût. Du coup, il se met à me sucer franchement, penché sur moi. Puis, il change de tactique : il reste immobile au-dessus de moi et en glissant une main sous mes fesses, il m'incite à faire coulisser mon pénis dans sa bouche. Il met beaucoup de salive et passe bien sa langue au niveau du frein et sur le gland (le mien est assez large : il a vraiment la forme d'un champignon). C'est la première fois que je « baise la bouche » de quelqu'un et c'est délicieux : la simple vue de ma bite baveuse qui rentre et sort de sa bouche me rend dingue.
Au point où on en est, je ne veux pas que ça soit juste une pipe, j'en demande plus ! Je me redresse et lui demande : « je peux ? », en regardant son entrejambe. Il retire mon sexe de la bouche pour me répondre : « Avec plaisir, si tu veux... » Je remonte alors mon bras le long de sa cuisse et attaque la boucle de sa ceinture. Je déboutonne son pantalon et le baisse un peu, pour voir apparaître une barre tendue sous un caleçon gris rayé. Quand je la prends dans ma main, je constate à travers le tissu qu'elle est vraiment rigide. Je tire son caleçon vers le bas pour pouvoir la contempler ; en sortant, sa bite rebondit et tape contre la table d'auscultation. Elle est plutôt longue et fine, entourée d'une touffe de poils noirs bien fournie. Le prépuce est suffisamment long pour recouvrir presque tout le gland, même en érection. Sa bite se redresse vers le haut et penche beaucoup vers la gauche.
Sans trop bouger pour qu'il n'arrête pas de me sucer, j'approche mon visage de sa bite. Je tire doucement sur le prépuce et le décalotte : un beau gland allongé et très humide apparaît, et avec lui une odeur de mâle insistante. Ça me dégoûte un peu mais m'attire en même temps.
Sans l'aide de ses mains, il enlève complètement son pantalon, son caleçon et ses chaussures et pose un pied sur la table en gardant l'autre au sol. De là où je suis (couché sur la table) et avec sa position (les jambes bien écartées), j'ai une vue super excitante de sa bite, ses couilles, et une rainure de poils très dense qui sort de sa raie.
Vu l'invitation, je glisse ma main entre ses jambes et un doigt entre ses fesses. C'est chaud, moite, et visiblement sensible parce qu'il pousse un petit gémissement alors qu'il a toujours la bouche pleine. Je recouvre mon majeur de salive et retourne le glisser dans sa raie velue. Je fais doucement rentrer le doigt dans son anus et me sers de ce levier pour rapprocher son corps de mon visage et son pénis de ma bouche. J'ai envie de goûter et tends la langue. Sentant la chaleur de ma bouche toute proche, il donne un coup de reins pour la pénétrer mais la courbure de son sexe le fait manquer sa cible. Il laisse un peu de sa mouille sur mon nez, et l'odeur puissante de son sexe m'entête à chaque respiration. Elle me chavire complètement. Je saisis son gland décalotté et le frotte dans la paume de la main comme pour le lustrer. Je me dis que ça me fera un petit souvenir odorant au creux de la main... La mouille luisante et visqueuse qu'il y laisse m'indique qu'il semble bien apprécier les mouvements de mon poignet.
Finalement, je me décide à enfin goûter. Alors qu'il est à présent presque couché sur moi en 69, concentré à lécher mes testicules, je fais rentrer son sexe dans ma bouche le plus possible, jusqu'à avoir une vue très précise de ses couilles. Elles sont bien tombantes et entourées d'un duvet noir très bouclé. Alors qu'il commence à coulisser dans ma bouche, elles viennent me taper sur le visage. Elles sentent vraiment fort et ça m'excite énormément !
De son côté, plutôt que faire de francs va-et-vient, sa manière de me branler est tout en effleurements et en attouchements, et c'est plutôt efficace ! Il sent que je ne vais plus tenir très longtemps. Je commence à gémir pour lui faire comprendre que je vais jouir. Il me demande : « Tu vas éjaculer ? »
J'écarte encore plus les cuisses et me cambre pour lui faire comprendre que je veux qu'il me doigte encore, que ça va déclencher l'explosion. Je prends carrément mes genoux dans chaque main pour écarter mes fesses et m'ouvrir complètement. Je vois qu'il se penche pour pouvoir contempler ma rondelle. Jusqu'à présent, il ne la connaissait que par le toucher mais sa vue semble le réjouir tout autant (elle est très sombre, avec une petite couronne de poils qui se densifie en remontant de chaque côté du périnée). Alors qu'il la contemple, je vois que sa queue se contracte et les pulsations la recourbent encore plus vers le haut.
Il grimpe alors complètement sur la table, en 69 sur moi, et commence à lécher mon anus à découvert. La sensation de sa langue qui me pénètre, la vue de ses fesses écartées et de son trou au-dessus de moi, ma bouche complètement remplie par son sexe raide... Tout ça me fait gémir et l'excitation est presque douloureuse !
La respiration coupée, je dégage ma bouche pour lui souffler : « Je vais jouir, je vais jouir ! » Je pensais l'alerter pour qu'il s'éloigne, mais à la place, il remplace vite sa langue par un doigt qu'il enfonce profondément dans mon cul, et approche son visage de mon pénis. Je ne peux plus me retenir et une première giclée de sperme vient l'atteindre sur les lèvres et une aile du nez. Immédiatement, il gobe le bout rougi d'excitation, histoire de ne pas en perdre davantage. D'autres jets suivent et viennent taper contre son palais. Je continue à coulisser dans cette bouche où sa langue masse mon gland enduit de sperme. Il a l'air de bien aimer le goût parce qu'il tète avec application.
Je suis gêné parce que je ne pensais pas qu'il avalerait mon sperme, et en même temps, c'est tellement bon ! Alors qu'il continue à me sucer et me doigter avec application, j'ai immédiatement envie de reprendre son sexe dans la bouche. Après lui avoir demandé : « tu me préviens, hein, quand tu éjacules ? », je me remets à le sucer, sans l'aide de mes mains toujours occupées à lui faciliter l'accès à ma rondelle.
Gardant en bouche mon pénis maculé de salive et de sperme, il me répond juste par un « hum... » et se met à donner des petits coups de reins qui enfoncent à chaque fois son sexe plus profondément dans ma bouche.
Tout d'un coup, je sens un premier jet de sperme sur ma langue. J'essaye de faire sortir son sexe de ma bouche mais, avec ma tête coincée entre ses cuisses et la position de sa queue (avec sa forme très arquée vers le haut mais coincée vers le bas dans ma bouche), impossible de me dégager. Lui est concentré sur son orgasme. À chaque spasme, je vois son anus se contracter et sens de puissantes coulées de sperme me remplir la bouche. Il doit y en avoir 3 ou 4 mais j'ai l'impression d'être inondé. Impossible de ne pas avaler, surtout si je veux reprendre ma respiration. Je finis par lâcher prise et avale la semence qui est très compacte et grumeleuse.
Immédiatement je pense : « Il a fait exprès de ne pas me prévenir, il voulait me jouir dans la bouche... »
Très vite après avoir joui, il reprend la posture du médecin et enfile en vitesse son pantalon. Alors que je m'essuie la bouche, il me dit avec un certain aplomb : « Tu as bien éjaculé, je pense que ça t'a bien décontracté. C'est bien, ça va contribuer à relaxer tes muscles. » Avec une mauvaise foi aussi assumée... eh bien je n'ai rien trouvé à répondre !
Il retourne rapidement à son bureau en refermant les boutons de sa braguette. En descendant de la table d'auscultation, je vois son caleçon par terre, qu'il n'a pas remis. Pour la peine, en me rhabillant, je le mets discrètement dans mon pull, que je garde à la main. En revenant à son bureau, je récupère mon sac laissé sur la chaise et, prenant l'excuse de saisir mon chéquier, je glisse mon pull et son précieux contenu dedans.
Il me propose de reprendre un rendez-vous dans un mois, pour voir comment ma douleur au pied évolue. Je lui réponds que « oui, pourquoi pas ? » et lui tend mon chèque. Il me raccompagne à la porte.
Je n'ai jamais osé y retourner, mais j'ai toujours son caleçon dont l'odeur entêtante m'a beaucoup servi les semaines d'après !
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