DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Vendredi 12 mai 5 12 /05 /Mai 17:13

    « Mes amis, je me marie, j’ai rencontré le plus riche des partis : M. Hetzel ! » Simple plaisanterie ou cette boutade cache-t-elle une plus grande intimité ?   

                        

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Personnage homosexuel célèbre de notre histoire,           

Jules Verne écrit  à son éditeur Pierre-Jules Hetzel :

« J’éprouve un vif plaisir à vous embrasser, mon cher Hetzel. Voilà longtemps que nous n’avons frotté nos épidermes l’un contre l’autre, et ça me démange… » Jules Verne, à son éditeur

«J’avais emporté votre cravate, cher ami, c’est presque aussi drôle que si j’avais emporté votre caleçon… » « J’éprouve un vif plaisir à vous embrasser, mon cher Hetzel, voilà longtemps que nous n’avons frotté nos épidermes l’un contre l’autre, et ça me démange… » Ce sont hélas les deux seules lettres manuscrites qui subsistent. Est-ce Verne lui-même qui a détruit toute sa correspondance, ou son fils Michel, soucieux de l’« honorabilité » de son célèbre (et riche) père ?

À l’âge de 11 ans, Jules rêve déjà de voyages. Clandestinement, en 1839, il s’embarque à Nantes sur un trois-mâts en partance pour les Indes. Mais un matelot le reconnaît et informe Pierre Verne qui réussit à rattraper son fils à la première escale. Jules, sévèrement corrigé, fera désormais ses voyages en imagination.

En 1848, Jules se rend à Paris pour y faire son droit. Au restaurant Chez Vachette, rue du Faubourg-Montmartre, il fait partie du club des "Onze sans femmes". Que signifie cette réunion de misogynes qui jurent de ne jamais se marier, composent des poésies à double entente, avec une nette connotation homosexuelle comme ce manuscrit, trouvé à L’Enfer de la Bibliothèque nationale et attribué à Verne ?

« L’matin d’un mal de gorge /

Ami tu te plaignais /

J’avais un sucre d’orge /

Sans tarder tu le suçais. »

Jules ne s’intéresse guère au droit, il préfère écrire des opérettes. Il a la chance de rencontrer Alexandre Dumas, propriétaire du Théâtre Historique, qui accepte de donner sa chance au jeune auteur. Mais le succès n’est pas au rendez-vous. Jules se console en dévorant à la B.N. tous les ouvrages scientifiques qui le passionnent.

Il rencontre l’explorateur Jacques Arago, et de nombreux voyageurs, savants et géographes qui déterminent sa véritable vocation. Perfectionniste, il étudie la géographie, la physique, les mathématiques, pour acquérir le vocabulaire nécessaire à l’écriture de romans scientifiques. Il a trouvé sa voie.

Mais, trahissant ses amis du club des Onze sans femmes, une lettre à sa mère prouve qu’il décide de se marier uniquement par convention sociale : « C’est le moment de me marier, ma chère mère. Munis-toi de tout ce qu’il faut pour me présenter comme un garçon très conjugal, en un mot, fais l’article “fils à marier”, et place-moi entre les mains d’une jeune fille bien élevée, et bien riche. » Madame Verne choisit donc la bru idéale à ses yeux et, le 10 janvier 1857, Jules épouse Honorine Deviane, une riche veuve, mère de deux enfants. Valentine, 6 ans, et Suzanne, 4 ans, qui vont s’installer chez leur beau-père.

Pour fuir le tapage de ces petites filles et l’humeur détestable d’Honorine, Jules s’installe dans un autre appartement, où il peut s’isoler. En 1861, Honorine est enceinte, l’accouchement est prévu pour août. Jules promet de revenir à temps mais part pour la Scandinavie avec son ami Aristide Hignard, le compositeur de ses opérettes. Il rentrera à Paris le 8 août, le lendemain de la naissance de son fils Michel.
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Honorine ignore l’objet de l’infidélité de son mari mais se plaint à ses amis : « Quand le ménage l’ennuie, Jules prend son bateau et le voilà parti. Le plus souvent je ne sais où il est ni avec qui... Mon mari me glisse entre les doigts. »
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En 1862, Verne apporte à Hetzel Voyage en l’air. L’éditeur est enthousiasmé, trouve un nouveau titre – Cinq semaines en ballon – au roman qui paraîtra en 1863. Extraordinaire succès ! Le 1er janvier 1864, Hetzel signe avec Verne un contrat d’exclusivité pour vingt ans !

Jules s’exclame : « Mes amis, je me marie, j’ai rencontré le plus riche des partis : M. Hetzel ! » Simple plaisanterie ou cette boutade cache-t-elle une plus grande intimité ? Verne peut désormais abandonner sa charge d’agent de change et se consacrer à l’écriture.

Il fréquente les salons les plus huppés, et côtoie George Sand, qui, fervente lectrice de ses romans, lui suggère un sujet : « J’espère que vous nous conduirez bientôt dans les profondeurs de la mer. » Verne va la satisfaire en écrivant Vingt mille lieues sous les mers, et les succès vont s’enchaîner pendant quarante ans pour cet inventeur du roman scientifique. Son oeuvre est traduite dans toutes les langues.

Avec qui ??? eh ben le neveu Gaston... !!!

Il devient millionnaire, s’achète un yacht, le Saint-Michel, ancré en baie de Somme, tout près d’Amiens où il s’est installé avec sa famille en 1870. Il part en croisière avec son neveu Gaston, en admiration devant son oncle, qui lui témoigne peut-être un peu plus que de l’affection. Ce lien avec Gaston console Verne des excentricités de son fils Michel, qui, à 16 ans, traîne dans les milieux sordides et accumule les dettes. Verne est contraint de faire condamner et d’exiler son fils. Pour le « remplacer », Jules ne se contente pas de l’affection de Gaston.

En 1878, il s’attache à un autre garçon de 16 ans : Aristide Briand,

oui, le futur homme politique, qu’il va chercher au lycée et ramène chez lui pour discuter. Les liens étroits qui se nouent entre l’écrivain âgé de 50 ans et le jeune lycéen sont-ils de simple amitié ? L’entourage de Jules affecte de le penser, mais, dans son oeuvre, l’auteur se trahit :

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« Je ne suis pas à l’aise avec les personnages féminins, le seul mot “amour” pour une femme m’effraie à écrire, je me tortille pour n'arriver à rien. »
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Jamais une intrigue homosexuelle n’est décrite, mais les protagonistes sont le plus souvent un homme âgé qui porte son affection à un jeune garçon beau, dévoué et fidèle. Cette intrigue calquée sur le modèle du couple amant-aimé de l’Antiquité grecque se retrouve dans Les Enfants du capitaine Grant et Les Naufragés du Jonathan.

Dans cette apologie de « l’amour pur », l’auteur s’enflamme et se trahit : « Le jeune Halg avec sa beauté resplendissante était le seul capable d’émouvoir cet homme qui ne connaissait pas d’autre amour, hors celui qu’il éprouvait pour un enfant… » Verne révèle, malgré lui, ses goûts secrets qu’il a toujours dissimulés.
 

Gaston devient fou ? ou est fou d'une colère jalouse?
Il faut un attentat pour que le voile se soulève. Le 9 mai 1880, Verne entre dans son bureau. Derrière les rideaux, un garçon caché tire sur lui deux coups de revolver. L’écrivain est blessé au tibia. Le garçon est arrêté. Surprise : il s’agit du propre neveu de l’auteur. A-t-il agi parce que Verne a tenté d’avoir avec lui des relations sexuelles ou par jalousie d’avoir été délaissé au profit d’un autre favori ? Le scandale est grand, mais par solidarité bourgeoise avec le notable, l’affaire est étouffée. On déclare Gaston fou et on l’enferme.(il mourra en asile en 1938 après 58 ans d'enfermement !!!)*  L’auteur, âgé de 58 ans, désormais infirme, refusera toujours de parler de ce drame. Il vivra en ermite, jusqu’à sa mort en 1905, et se « défoulera » en imaginant des personnages de jeunes et jolis garçons tendres, dévoués et complaisants…

un homme...(ô) parmi les plus influents du monde !

                       L’influence de Jules Verne sera immense. Son oeuvre a toujours été considérée par les éducateurs comme une lecture qui exalte le goût de l’aventure. Les enseignants n’ont peut-être pas compris que l’auteur y confessait [aussi] les secrets de sa vie privée. Voilà un curieux paradoxe : la « bonne lecture », considérée comme un modèle d’éducation bourgeoise, contient en réalité un message [subliminal] homosexuel !¤                    

Afficher l'image d'origineHonorine, son épouse, ignore l’objet de l’infidélité de son mari mais se plaint à ses amis : « Quand le ménage l’ennuie, Jules prend son bateau et le voilà parti. Le plus souvent je ne sais où il est ni avec qui... Mon mari me glisse entre les doigts. »
eh ben il est à nous, à notre communauté-à-travers-les-âges, à nous, homo, bi, le maître du monde !


commentaire : Verne ? un amour d'aventurier...en chambre. (wouaou) 
* Gaston quelle horrible vie (si l'on peut dire) QUELLE HORRIBLE ET CRUELLE FIN AUSSI 

 

Par ROBUR - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 24 mars 5 24 /03 /Mars 07:45

   un site-frère que cavaillongay vous recommande, il y a des photos....hummmmhhhhhh que cavaillongay ne publie pas     

 SITE OBLENU SUR LA RECHERCHE GOOGLE" récit gay ma grognasse de femme" http://ma-zone-gay.erog.fr/  

 "- Oui comme ça, tu me fais du bien mon mignon ! Dire que ma femme elle veut même pas en entendre parler la grognasse !"

 

1.Il me retourne, m’écarte les cuisses et vient enfouir sa langue dans ma raie, la sensation chaude de sa langue sur ma rondelle me fait vite perdre les pédales, très vite je sais [plus] où je suis, la seule chose que j’arrive à dire c’est :"ouihhh  Nique moi à fond..."

2.Tu sais mon beau me dit il, je te proposerais bien quelque chose, moi les mecs c’est pas trop mon truc mais là je suis excité grave.
T’aurais pas envie de me sucer ? Si ! j’en suis sûr,ton regard est rivé sur ma braguette !
Je suis un peu surpris par ce que j’entends, ce dont je rêve depuis si longtemps me tombe dessus! Lui, il prend les choses en main, il descend la fermeture de son pantalon, sort sa queue et ses couilles, se branle tout en s’approchant de moi.
-"A genoux bogoss !Suce moi bien à fond !"
J’ai sous le nez une grosse bite rouge qui sent le foutre, je la regarde deux secondes et ma bouche s’ouvre et il l’enfourne à fond, je suce ! Il me tape sur le crâne en me disant de ranger mes dents et de bouger la langue !

" - Je vais t’apprendre à bien sucer un mâle, ma salope , les mecs en général ils sont plus doués que les meufs, elles font cela à contre coeur, les mecs eux ils savent ce qui fait du bien aux mecs !

 

 
                    "- Oui comme ça, tu me fais du bien mon mignon ! Dire que ma femme elle veut même pas en entendre parler la grognasse !"

Sans mentir ça fait au moins six mois que je me suis pas fait sucer aussi bien, à l’époque c’était déjà un homo !
Il me saisit la tête entre ses mains et me baise la bouche, ma bouche s’habitue à sa queue qui glisse au fond de ma gorge, les premiers coups j’ai cru vomir et puis je me suis détendu et quand il s’enfonce à fond j’avale tout sans problème.
Il grogne et il gémit,
Oh oui avale bien ! C’est trop bon, bouffe moi les couilles ! Aspire les bien ! Tu me mettrais pas un coup de langue sur ma rondelle ! T’inquiète pas, elle est propre, j’ai pas chié depuis ma douche.
J’ai déjà vu faire ça plein de fois dans les films porno, j’ai toujours trouvé ça excitant mais sale !

 

3.

J’attends ce moment là depuis trop longtemps : baiser avec un beau mâle ! Alors ma langue timidement pointe vers son anus, que je léchouille, c’est salé de sa sueur, sa raie est toute humide
Oui c’est bon. Il baisse son futal et son slip et me tend son cul. C’est une merveille, il est rond et avec une petite couche de poils qui glissent dans sa raie.
J’y enfonce mon visage et me mets à lui bouffer le cul, il gémit en remuant le cul comme une salope.

Arrête-toi je vais exploser ! Fous toi à poil je vais te niquer ton petit cul de puceau.
T’as des capotes ?
J’ai ce qui faut dans ma sacoche, gel et capotes, cela le fait marrer. J’enlève mon pantalon et mon caleçon et je me met à quatre pattes, enfin je vais me faire enculer. Et je pense à la grosseur de sa queue.
 Vas-y doucement je suis vierge..
 T’inquiètes, je vais être gentil avec toi. Putain je vais me faire un cul qu’a jamais servi. Merci du cadeau,tu vas voir je vais gentil avec ton petit cul, je suis pas un salaud faut que je te fasse aimer ça sinon tu voudra plus que je te nique.

Tu vas voir après ça tu oubliera jamais la sensation d’une bite dans ton cul. Tu vois moi avec mon air de macho super baiseur, je me suis fait niquer vers 18 ans par mon parrain, il m’a éclaté la rondelle avec sa queue de fou.

J’ai aimé ça très vite et même maintenant que je nique plutôt des meufs, j’ai le cul sensible, t’as vu quand tu m’a bouffé la rondelle comment j’aime çà. C’est sûr ma bonne femme elle comprendrait pas cela. Allez laisse faire le pro.

Retourne toi je vais te baiser comme une femelle, je veux te voir prendre ton pied !


 

 Il me retourne, m’écarte les cuisses et vient enfouirsa langue dans ma raie, la sensation chaude de sa langue sur ma rondelle me fait vite perdre les pédales, très vite je sais où je suis, la seule chose que j’arrive à dire c’est : Nique moi à fond

Lui il perd pas la tête, il me doigte avec le gel, j’ai un peu mal mais quand il me dit qu’il m’en mis trois à fond je me dis que se n’est pas si douloureux que çà.
Je n’avais rien vu, il enlève ses doigts et je sent quelque chose de chaud et dure qui appuie sur ma rondelle.

Alors la je déguste, à mes grimaces et mes soubresauts réponds par des caresses et des mots doux, ce n’est plus le macho qui est devant moi mais un gentil garçon un peu gauche mais très déterminé, il continue à s’enfoncer, son gland écarte mon anus avec force, je me dis qu’il va craquer, je vais me mettre à saigner, j’ai peur, je lui dit.
Disant cela, je sent ma rondelle qui cède et laisse passer la bête. Mon initiateur s’arrête et ne bouge plus, il me dit que je dois me faire à la grosseur de sa queue.

Il me parle doucement,en me flattant les flancs comme si j’étais une bête. Je souffle comme une bête, comme un cheval qui refuse son cavalier. J’ai mal au cul. Il le voit à mon visage et me dit des choses gentilles et cochonnes qui m’excitent.

 

Mais tout d’un coup, un coup de rein il s’enfonce en entier en moi, là je hurle.Il me fout mon caleçon dans la bouche. Ca fait, je sais mal mais valait mieux que je te fasse mal une bonne fois pour toute plutôt que plusieurs fois. T’es un enculé mon pôte, je suis sur que tu pourra plus t’en passer après, c’est toi qui sautera sur ma queue dès que tu la verra.
Il me fille un coup de rein. Il se penche sur moi et me roule une pelle, je le sers dans mes bras, son corps est musclé, je me fait niquer par un paquet de muscle viril. Je ne lui dit pas que la douleur a été accompagné d’une décharge qui a couru le long de ma colonne vertébrale et ce n’était pas de la douleur.
On reste quelques instants comme cela, je lui caresse ses belles fesses, et puis il se met à bouger, j’ai encore mal mais la jouissance monte, il le voit sur mon visage, il s’enhardit et très vite il me nique avec fougue. Il me traite de pute et de salope, de trou à bites, tous ces mots je sens que cela l’excite autant que de m’enculer, je me joins à lui l’encourageant à me considérer comme une chienne.
Et puis il se raidit et je sent son sperme qui gonfle la capote. Il s’affale sur moi et me prend la bouche tellement brusquement que j’ai l’impression qu’il va m’avaler la langue.
Il sort de mon cul, se relève, remonte son pantalon et s’en va...

 

 

suce au ciné :

Envoyé en stage dans une ville que je ne connaissais pas, je cherchais dès la première soirée, les salles de cinéma. Dix neuf ans, je décidais d'aller voir un film d'arts et d'essais, car en ayant entendu parler, je voulais découvrir.
Il y avait peu de monde dans la salle et le peu qu'il y avait pouvait avoir l'âge de mon père pour les plus jeunes et d'autres de l'âge de mon grand père. Je m'installai donc dans un fauteuil sur une rangée tranquille et attendais le début du film.
Au bout de cinq minutes un homme, la soixantaine est venu s'assoir à côté de moi. Vêtu d'un costume trois pièces, les cheveux blancs, de taille moyenne, il présentait bien et son parfum sentait bon.
Le film se mit en route, un film des années 50 aux images vieillottes et aux jeux d'acteur passés. Enfin je persistai à rester et essayer de comprendre. Au bout de cinq minutes mon voisin appuya sa jambe contre la mienne. J'ai pensé qu'il voulait prendre ses aises et effacai la mienne. Deux minutes après je ressentis cette même jambe contre la mienne et aussitôt je me mis à gamberger et pensai qu'il me draguait. Je voulus jouer le jeu et résistai à la pression. Voyant que je n'étais pas farouche à ses avances, il posa sa main sur ma cuisse. Je fus aussitôt excité par cette main d'étranger, posée là, sur ma cuisse alors que je ne le connaissais pas.
La main était sûre et douce et je décidai rapidement de me laisser faire, écartant même les cuisses pour l'encourager dans son périple. Sa main lentement caressa très lentement le gras de ma cuisse et remonta vers mon entrejambe. Je bandais déjà comme un malade et sa main passa avec légèreté sur ma bosse.Je respirais fort, et voyant que je ne me défilais pas continua ses investigations. Toujours en regardant l'écran, il baissa le zip de mon pantalon jusqu'en bas, puis caresa mon sexe tendu à travers le tissu de mon slip. Il prenait mesure de mon sexe à taton, allant des boules et suivant la tige jusqu'au gland. Puis il baissa l'élastic du slip et je sentis sa main chaude atteindre directement mon sexe hyper raide. J'ai cru que j'allais éjaculer tout de suite, il le devina et arrêta sa caresse un instant, puis fit passer l'élastic de mon sous-vêtement derrière mes boules pour bien dégager mon sexe de mes vêtements. Il finit ensuite par me décalotter complètement et son pouce caressa le bout de mon gland étalant la petite goutte qui suintait. Il regarda à droite et à gauche pour s'assurer que personne le guettait et glissa avec souplesse entre les rangées de fauteuils pour se mettre à genoux entre mes jambes écartées. Je sentis son souffle chaud sur mon gland puis le titillement de sa langue sur le méat puis sur le frein et enfin il aspira mon gland dans sa bouche et commença à le sucer gentiment.
C'était délicieux et la situation dans laquelle il était, m'excitait terriblement. Il suçotait mon gland puis avalait d'un coup toute ma tige pour revenir ensuite à mon gland. Je savais que j'avais à faire là, à un homme expérimenté. Il tenait mon sexe d'une main en le branlant doucement et avec une légère aspiration me pompait. J'ai bien essayé de me retenir, mais pas longtemps, et je lui ai lâché tout le jus que j'avais dans la bouche. J'ai entendu des petits gémissements de plaisir à chaque saccades de sperme qu'il déglutit aussitôt, et il continua à sucer jusqu'à ce que ma queue ramolisse.
Il se redressa, toujours avec souplesse et revint s'assoir sur son fauteuil. Il prit ma main et l'attira vers son entrejambe et je fus surpris de rencontrer directement son sexe tendu. Il avait discrètement ouvert son pantalon et baissé son caleçon pendant qu'il me pompait...
Ma main parcourait son sexe long et énorme au gland décalotté. Il était chaud et très tendu, et à mon tour je me glissais entre les fauteuils pour me mettre entre ses jambes. J'attirais son sexe vers ma bouche et gobais ce gland qui remplissait ma bouche.
Je jouais de ma langue et suçais ce beau morceau de cet inconnu.
Il avait posé ses deux mains sur ma tête et me donnait le rythme de mes va et vient. Je me régalais, même si parfois j'avais l'impression d'étouffer... Il finit par lâcher tout son jus dans ma bouche, un jus épais en grande quantité, que j'avalais avec délice. Nous n'attendîmes pas la fin du film pour sortir de la salle et il m'offrit un verre. Il m'avoua qu'il ne pouvait pas me recevoir dans sa chambre d'hôtel car il attendait sa femme qui devait arriver dans l'heure qui suivait.
Adrien

histoire extraite du site  histoires-de-sexe.net

 

 

 

 

 

Par NICOLAHHH - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 22 mars 3 22 /03 /Mars 00:39

BIENVENUE AU BLOG      Je suis Julie, une femme de 29 ans, en couple depuis 5 ans, et nous habitons à Toulouse. Je n’ai jamais été très portée sur le sexe par le passé. Petit à petit, Thierry, mon mari, a abandonné ses efforts « pour me rendre cochonne », comme il dit.

   ll a fini par me tromper il y a quelques mois, lors d’une soirée chez un ami à lui. Ce n'est que quelques temps après que j'en ai eu certains détails]. Certains diront qu’il a bien fait, de se soulager étant donné que la grande majorité de nos rapports se résumaient à une branlette vite fait, histoire de le calmer et d’éviter qu’il soit trop demandeur.  

 

Moi, cela m’a mise en rogne. Je l’ai découvert par hasard, même si je le soupçonne d’avoir fait exprès, pour me faire payer mon inactivité sexuelle.

  J’ai tourné cette histoire longtemps dans ma tête, lui rappelant à chacune de ses tentatives le mal qu’il m’avait fait.  

     Il a longtemps essayé de se justifier, me jetant qu’il a fait ça à cause de moi… Nous avons eu de nombreuses et longues discussions, souvent houleuses. Il a fini par me dire que son rêve était simplement de me voir « avoir envie ».  

  Le temps a passé ; nous n’avions plus de rapports sexuels du tout. Je m’échauffais dans mon esprit, me disant qu’il allait recommencer.    

Je me rendais compte que je devenais de plus en plus agressive avec lui, et j’avais conscience de faire exactement ce qu’il fallait pour qu’il recommence. Mais la rage ne me quittait pas et je n’arrivais pas à me contrôler. Il semblait de plus en plus évident que notre couple n’avait plus d’avenir !

  Tout a basculé un samedi après-midi. Il était parti chez un ami à nous. Un ami à moi, pour être exacte. Seule à la maison, je tournais et retournais mes angoisses et mon anxiété dans ma tête. J’ai fini par démarrer son ordinateur, à la recherche de preuves pour conforter mon sentiment de malaise.  

  J’ai longuement fouillé, et j’ai fini par trouver… des choses. Pas de preuves ni de relations secrètes. Mais j’ai découvert qu’il consultait quotidiennement des sites pornographiques. Des choses que je ne soupçonnais même pas. Moi qui ai toujours considéré le sexe comme une obligation de couple, je découvrais un univers totalement étranger.  

Mon mari se branlerait devant toutes ces horreurs ? Comment dois-je le prendre ? On connaît tous l’histoire d’une femme qui a découvert que son mari est bisex voire gay ; mais trouver de l’excitation dans ces situations n’est-il pas pire ?  

  Totalement incapable de gérer mes émotions, j’ai tenté d’appeler Thierry. Il n’a pas répondu, et je savais déjà qu’il me trouverait une bonne excuse pour ça. Mais ça m’avait donné à moi une bonne excuse pour faire « ce que je veux ».  

  Sauf que je ne savais pas quoi faire.  

  Après avoir parcouru mon répertoire téléphonique, j’ai finalement appelé Amandine, une fille que j’avais croisée dans un précédent boulot. J’avais gardé peu de contacts, mais on s’était bien entendues, même si elle était mon opposé : de sortie 2 ou 3 fois par semaine, une réputation de chaudasse, et une capacité naturelle à placer des allusions osées dans n’importe quelle situation.Elle est venue me chercher chez-moi et nous sommes allées chez des amis à elle dans une réception un peu "collet-monté"  

  Au bout d’une bonne heure, j’ai beaucoup trop bu. Malgré mon état, j’ai bien conscience que c’est de l’inconscience. Il me propose d’aller prendre l’air dans le jardin. Sans sentir le loup venir, je me dis que c’est une bonne idée pour me rafraîchir et reprendre un peu mes esprits.  

  Nous nous sommes baladés un peu pour nous retrouver finalement sur une balancelle, tout ce qu’il y a de plus romantique au milieu du jardin[...].  

 

Malin, il avait dans sa main qui ne me tenait pas la hanche une bouteille de champagne et deux verres… Je n’avais même rien vu. Rien vu venir non plus. Et j’ai accepté de reboire…

  Les choses étaient tellement floues et emmêlées dans ma tête que, alors qu’il espérait certainement autre chose, j’ai complètement craqué. Je me suis mise à pleurer et à lui raconter tout ce que j’avais sur le cœur. Le vrai, le faux, les faits, mes angoisses et ce que je m’imaginais…  

 

Dans mon état tout ne devait pas être très clair, mais il a dû comprendre l’essentiel. Et, contrairement à ce que je me serais imaginé, il ne s’est pas du tout enfui. Au contraire. Il m’a écoutée, et nous avons parlé longtemps, longtemps… Il est reparti chercher des bouteilles à plusieurs reprises, mais je ne saurais pas dire combien…

  Bien sûr, j’étais blottie contre lui pendant nos discussions, et ses mains commençaient à se faire plus baladeuses que je n’aurais dû le laisser faire. Mais, de sentir sa chaleur, de pouvoir lui parler, de pouvoir vider mon sac sans jamais qu’il me contredise… J’aimais ça.  

    Heureux hasard,quand la discussion ayant bien entendu dérivé sur le sexe, il a adoré quand je lui ai dit que je faisais ça « par derrière » pour éviter de prendre la pilule. Il m’a fait sentir son érection à travers son pantalon à plusieurs reprises. Je me laissais faire, me laissais aller. Sans savoir l’heure qu’il était, le temps passait. Au petit matin, alors que le jour commençait à poindre, nous étions tous les deux aussi épuisés et vaseux l’un que l’autre.  

  Soit par faiblesse, soit par impatience, soit à cause de l’alcool, il a commencé à sortir son sexe en me disant qu’il bandait depuis bien trop longtemps pour le laisser encore enfermé. Nous continuions à discuter pendant que je le branlais doucement. Il m’a doucement suggéré de la main sur ma tête de le sucer. J’ai refusé, d’autant que j’aurais certainement vomi si je l’avais tenté. Et j’ai commencé à lui dire que nous ne pouvions pas faire plus, que j’avais déjà fait bien trop de choses, que ce n’était pas bien…  

  Il a alors changé d’approche. Il a commencé à me dire que c’est une juste vengeance, que tant que je ne serais pas allée jusqu’au bout, ça n’irait pas, que de toute façon mon mari fantasme d’être cocu. J’ai fini par lui dire qu’il avait raison. Sans perdre de temps, il s’est levé et m’a guidée pour me mettre à quatre pattes, genoux par terre et poitrine collée contre l’assise de la balancelle. Je ne savais pas trop ce que je faisais, mais je me laissai faire lorsqu’il commença à me lécher l’anus. Il avait simplement relevé ma jupe et baissé un peu ma culotte. Je laissais mon cerveau flotter dans un monde fictif pendant que mes fesses se détendaient sous l’action de sa langue et de ses doigts. J’étais proche de l’endormissement quand son gland vint se placer à l’entrée préparée.  

 

Il entra doucement, lentement mais sûrement. Il ressortait de temps en temps pour remettre un peu de salive. Une fois au fond de moi, il se pencha pour s’approcher de mon oreille. Il me murmura :

 

— Lààà… Tu sens ma bite au fond de toi ? C’est ça que tu voulais ? Te sentir salope pour te venger de ton homme ? Ça te plaît de savoir que tu vas rentrer le voir la conscience tranquille et le cul plein ?

 

Il commençait à bouger en moi, et sa main s’est glissée entre mes jambes pour chatouiller mon clitoris. Je commençais à y prendre goût. Et lui commençait à dire des choses de plus en plus osées, certainement encouragé par mon silence et mes soupirs.

   — Ça te plaît de savoir que tu vas enfin pouvoir rentrer et lui montrer que tu t’es vengée ? Tu aimes savoir que c’est une autre bite que la sienne en toi ?  

  À force de me poser des questions, j’ai répondu, doucement au début.  

  — Oui, je crois ; je sais pas trop, c’est agréable bon ! .  

  Sure, she “knows” that Daddy owns her body, But occasionally she needs to be pushed very hard to fully remember what that means. 

Et effectivement, c’était agréable ! Dans l’état second où j’étais, sentir ce sexe coulisser en moi et ces doigts branler mon clitoris me procurait une extase douce… Et si au début je ne pensais pas à Thierry, les paroles de mon amant finirent par me faire prendre également un plaisir sadique à le tromper.

 

Je ne sais pas combien de temps le rapport a duré. Mais mon amant semblait très excité de baiser une femme en couple.

 


  — Je vais te remplir les fesses ; tu lui feras constater ton état. Tu sens ton petit trou tout dilaté ? Tu pourras lui dire de te baiser sans te prévenir : tu seras toute chaude, ouverte, et lubrifiée…  

  Et mon esprit de s’échauffer :  

  — Oui, je lui ferai tester sa chienne déjà saillie ; je lui ferai sentir ton odeur…  

  Finalement, il a joui en moi sans que je ne le sente vraiment. C’est quand il s’est affalé sur moi que j’ai compris. Nous sommes restés comme ça un moment, profitant de l’instant. Le jour était presque levé. J’étais toujours dans la même position, mais le soutien de la balancelle avait évité que je ne sois mal. Mes genoux commençaient tout de même à souffrir, et je le dis à mon amant.  

  — J’ai mal aux genoux un peu ; enlève-toi.  

— Attends, reste comme ça.

  Il s’est retiré lentement, laissant mon anus béant… Puis il a attrapé un bouchon de liège, vestige de notre nuit alcoolisée, et l’a introduit dans mes fesses avant de remonter mon string.  

 

  — Voilà : comme ça, tu resteras bien pleine pour ton homme !  

     Je me suis relevée et nous sommes retournés vers la maison. Tout le monde dormait évidemment ; je ne savais pas où était passée Amandine, ni même si elle était revenue… Jean-Claude, mon cocufieur improvisé, a proposé de me ramener chez moi, ce que j’ai accepté vu l’heure et mon état.  

Le trajet s’est fait sans commentaires, mais il a insisté pour me raccompagner jusqu’à ma porte.

 

— Ça m’excite de savoir que tu es pleine pour ton homme. Ça t’excite, toi ?

— Je ne sais pas. Je ne sais plus. De toute façon, il ne sera pas là avant au moins midi ; donc d’ici là, je me serai lavée.

— Non, tu n’as pas le droit : reste comme ça et attends-le. Couche-toi et attends qu’il te réveille !

— Mais de toute façon, il n’y aura plus rien d’ici là !

  Toujours l’esprit dans le flou, je répondais mécaniquement sans trop réfléchir.  

Il a commencé à me caresser les fesses, glissant sa main sous ma jupe pour titiller le bouchon toujours en place.

 

— Un petit remplissage de dernière minute pourrait améliorer les choses non ?

  — Tu sens le sexe. Je ferai ce que tu veux, mais raconte-moi ce qui s’est passé.  

    Je ne savais plus quoi faire

N’ayant pas réellement joui, j’étais toujours un peu réceptive et ma volonté n’avait toujours pas décidé de revenir… Je n’ai pas répondu, mais il a pris ça pour un oui.

  — Entrons chez toi…  

  — Non !  

  Un mouvement de panique me prit. Tromper Thierry, pourquoi pas ? Ce n’est qu’un juste retour des choses. Mais le faire chez nous, ça, je n’en étais pas capable.  

  — OK, pas de soucis…  

    Sauf que du coup, je me suis retrouvée avec mon débardeur relevé, les seins à l’air, la jupe levée, le string baissé, et tout ça sur mon palier de porte alors qu’il devait être 6 h du matin…  

  Jean-Claude a retiré mon nouveau bijou des fesses et me l’a mis dans la bouche pendant qu’il me reprenait par derrière. Sa pénétration était nettement moins douce que précédemment, mais mon derrière y était aussi nettement mieux disposé, encore dilaté et lubrifié de la nuit.  

  J’ai fait mine d’enlever ce bouchon malpropre et odorant de ma bouche, mais Jean-Claude me l’a tout de suite remis, se lâchant dans des commentaires salaces :  

  — Non, garde ça dans ta bouche ; ton homme devra sentir le sexe se dégager de tout ton corps. Je vais te remplir et tu ne te laveras pas. Ou plutôt, ce sera à lui de te laver. C’est ça : tu lui feras lécher ton corps plein de mon sperme.  

     — Je veux juste me venger, pas qu’il me quitte. Il n’acceptera jamais.  

  — Oh, détrompe-toi ; je te connais maintenant, et je le connais aussi un peu. Tu verras qu’il adorera.  

  — Non, je pense pas. Et je ne saurais même pas comment lui demander ça.  

      Mais tu ne dois pas demander : tu dois exiger. Tu verras, un mari cocu, y’a pas plus fidèle. Ça changera ta vie !  

  — Mais c’est sale !

Rien n'est sale en amour!  

  — Arrête un peu avec tes principes idiots. Comment veux-tu t’amuser si tu t’interdis tout ce qui est sale ? Et puis, c’est sale tant qu’il n’a pas fini ; une fois qu’il t’aura bien nettoyée avec sa langue, tu seras propre !  

  Il continuait à faire des va-et-vient en moi, a priori très excité par nos propos, mais plus long à venir car c’était un « deuxième coup »… J’avais échappé à avoir le bouchon dans la bouche, et je me forçais à lui répondre pour qu’il ne le remette pas.  

  — Quand il arrivera, tu lui diras de te lécher partout.  

     — Mais j’ai jamais fait ça, il va savoir.  

  — Bien sûr ; mais il sera trop excité pour te demander quoi que ce soit, et bien trop content que tu montres de l’envie pour refuser.  

  — Mais quand il comprendra que je l’ai trompé ?  

  — Fais-moi confiance, ça lui plaira !  

     — Mais je vais lui dire quoi ? « Lèche-moi le cul maintenant ! » ?  

  Cette dernière parole a provoqué son éjaculation… Il s’est planté le plus au fond possible, et cette fois j’ai senti les spasmes de son sexe qui se vidait en moi. Après quelques secondes, il s’est retiré et, bien sûr, m’a remis le bouchon et replacé le string. J’avais eu de la chance qu’aucun voisin ne soit passé !  

  Je me suis rhabillée en lui disant que maintenant il devait y aller. Il n’a pas insisté et il est parti.  

  J’ai sorti la clé de mon sac à main, ouvert la porte, et je suis rentrée… Ouf, enfin chez moi !  

 

J’étais dans le couloir de l’entrée. Décoiffée, sale, les bas mal mis, le cul encore tout ouvert et bien plein grâce au bouchon… Je tentais de reprendre mes esprits, le front appuyé contre le mur. 

  Surprise ! devine qui est là?  

— Chérie, t’es là ? Mais t’étais où, putain ? J’étais mort de peur !

  Moment de presque panique dans ma tête. Presque, car mon état général ne me permettait plus de penser très vite. Je n’ai pas bougé. Il s'est approché, changeant de ton :  

  — Ça va ? Tout va bien ?  

  Je sentais une vraie inquiétude dans sa voix.  

  — Oui, oui…. Ça va… Tout va bien.  

  Diplomate, il s’est mis contre moi, m’embrassant doucement dans le cou.  

  — J’ai eu peur ; je suis revenu au milieu de la nuit car tu ne répondais toujours pas…  

  Il a tourné légèrement ma tête pour m’embrasser sur la bouche. Je me suis laissé faire, et j’ai laissé sa langue entrer et jouer avec la mienne. Il a eu un sursaut de recul.  

  — Mais, putain, tu sens la bite !  

 

Ses yeux étaient remplis de colère, d’inquiétude, mais aussi peut-être d’autre chose… Son ton énervé, ma lassitude de fatigue… Je ne sais pas ce qui m’a pris. Jamais je n’aurais pensé que ça pouvait arriver…

  — Je suis fatiguée, et je n’ai rien fait que tu ne mérites pas. Alors, lèche-moi le cul ; maintenant!  

  — Quoi ?  

  Et voilà. Je savais que ça ne marcherait pas. J’ai reposé ma tête contre le mur, désespérée.  

  J’ai senti ses mains sur mes hanches. Et quelque chose frotter doucement sur mes fesses. J’ai tourné la tête : il était agenouillé, les mains de chaque côté de mes fesses, le nez contre ma jupe.  

  Il n’a pas osé me regarder dans les yeux.  

 

     Je me sentais sale, j’avais honte de ce que j’avais fait et, s’il m’avait engueulée, je n’aurais probablement pas répondu grand-chose. Mais de le voir ainsi… J’étais vexée qu’il ne fasse pas de scandale. Moi, je lui avais fait chèrement payer son infidélité ; et lui, il me laissait faire ? Non seulement il me laissait faire, mais il acceptait « tout »?

 

« Tu veux faire le fier ? Allons-y ! »

  — Tu veux savoir ce qui s’est passé ? Je me suis fait baiser le cul ; deux fois ! Et on m’a même demandé de tout garder en moi pour te montrer.  

  J’ai soulevé ma jupe et cambré mes fesses sous son nez. Il ne pouvait pas rater le bouchon bien planté dans mon petit trou.  

  — Tu vois, ça ? On me l’a mis pour être sûr que tu ne rates rien.  

  Toujours à genoux, en caleçon, il se produisit un déclic décisif dans notre relation : j’ai vu son érection prendre forme à une vitesse surprenante ! J’ai reculé mes fesses vers lui. Par principe, il a reculé la tête en même temps. J’ai donc reculé jusqu’au mur opposé, à moins d’un mètre. Sa tête bloquée contre le mur, j’ai poussé mon bassin contre son visage. J’ai senti sa langue commencer à jouer avec mon sexe. J’étais cambrée au maximum pour qu’il puisse atteindre mon clitoris. Je sentais son nez appuyer sur le bouchon. Il me léchait profondément et je sentais même sa langue remonter de temps en temps jusqu’au bord de mon anus.  

Je n’arrivais pas à savoir si le fait qu’il fasse ce que je demandais m’excitait ou m’énervait. J’ai décidé de « pousser le bouchon trop loin », en enlevant le bouchon justement.

Ce que je n’avais pas prévu, c’est que j’étais réellement pleine et que, dès le bouchon enlevé, j’ai senti que j’allais me vider sans rien contrôler… Par pur réflexe, j’ai collé mon anus contre sa bouche. Je sentais que la situation était compliquée pour Thierry aussi, et qu’il ne savait pas trop s’il devait aller aussi loin. Mais, sans que je comprenne pourquoi, je me suis mise à jouir doucement à mesure que mon fondement se vidait dans sa bouche.

  — Lèche !  

     J’ai senti sa langue commencer à remuer autour et dans mon anus.  

Déjà en temps normal, je trouve cette pratique un peu sale ; mais je l’ai laissé faire car, après tout, ce n’était pas désagréable pour moi.

Mais là, la situation était bien au-delà de n’importe quel fantasme que j’ai pu avoir. Je me suis appuyée sur le mur en face, les fesses complètement en arrière, et je me suis laissée aller complètement. J’avais l’impression que Thierry roulait une pelle des plus baveuses, sauf que c’était avec mon cul et le sperme de mon amant pour salive…

Je me suis caressé le clitoris jusqu’à la jouissance…

  Une fois cet instant passé, toute la fatigue et le sommeil ont choisi de me tomber dessus. Sans un mot, le string toujours baissé, la jupe à moitié relevée, je me suis dirigée vers la chambre. Cette andouille avait le sexe à l’air : il s’était branlé pendant qu’il me léchait le cul ! Je ne savais pas s’il avait joui, et n’étais pas en état de m’en préoccuper.  

Je me suis affalée sur le lit sans même me déshabiller.

Il est arrivé, le sexe raide, et m’a demandé s’il pouvait me faire l’amour. Il n’avait pas joui, donc.

  — Tant que tu ne me demandes pas de bouger, fais ce que tu veux !  

  Je me suis endormie pendant que je sentais son sexe entrer en moi sans difficulté.  

 




« ’tain, t’es une sacrée salope, en fait… »

« T’es vraiment une chienne de rentrer pleine à la maison ! »

« T’es contente ? Tu t’es bien vengée. »

« Putain, il est tout gluant, ton cul ; c’est trop booonnnn… »

 

J’ai vaguement entendu ces phrases et j’ai senti, à la force de son bassin, qu’il se vidait à son tour en moi. Il s’est retiré et j’ai senti mon cul rester ouvert et les semences mélangées s’écouler doucement contre ma cuisse. Il est parti se doucher, me croyant certainement endormie.

À son retour, sans ouvrir les yeux, j’ai murmuré :

 

— Tu t’es lavé, mais moi je suis à nouveau sale. Alors nettoie-moi.

 

Je m’attendais à ce qu’il aille chercher une serviette ou quelque chose ; mais non, il s’est docilement agenouillé sur le lit pour lécher mon sexe et mon cul tout ouvert, et m’a complètement nettoyée, allant jusqu’à aspirer mon cul et ma chatte… Ce que je trouvais profondément dégoûtant, mais aussi parfaitement excitant… Il m’a laissée dormir, et je ne me suis réveillée qu’en fin d’après-midi…

 

Au réveil, un tourbillon de sentiments contradictoires tournait dans ma tête. J’étais en pleine confusion, n’osant même pas sortir de la chambre et affronter son regard. Je suis sortie à pas de loup, espérant même que Thierry soit parti faire un tour…

Aucun bruit dans l’appartement. Je me dirige vers les toilettes et, passant devant le bureau, j’entends un léger bruit. J’entrouvre la porte tout doucement et… le vois se masturber devant son ordinateur.

Monsieur se masturbe de la main gauche, se servant de la main droite pour passer de vidéo en vidéo, ne restant jamais longtemps sur la même.

Je ne vois pas son sexe mais je peux savoir exactement quelle scène lui plaît plus ou moins, car la cadence de son bras est variable en fonction de chaque moment.

D’où je suis, je vois parfaitement les images à l’écran. Je reste hypnotisée. Des femmes sont prises d’assaut par des hommes bien, voire très bien membrés. Et systématiquement, un acteur fait office de mari et regarde la scène.

    Je n’ose pas bouger et je suis curieuse de voir sur quoi il cliquera pour les prochaines scènes.  

Une femme qui jouit de son amant devant son mari attaché… Le bras de Thierry ralentit.

Une femme à quatre pattes qui embrasse son mari pendant que l’amant la baise en levrette… Légère accélération.

Une femme qui se fait prendre à côté de son mari endormi… Accélération. Un amant qui inonde la chatte de la femme devant son mari : forte accélération. La femme se place au-dessus de la bouche de son homme et laisse couler la semence de sa chatte rougie : accélération.

Une femme se fait prendre à la chaîne devant son mari : ralentissement.

Une femme demande à son mari de lui lécher la chatte pendant que son amant fait des va-et-vient dedans : accélération.

Un amant crache sur le mari qui porte une ceinture de chasteté : branlette quasi stoppée.

Un mari qui suce la bite de l’amant chaque fois qu’elle sort de la chatte de sa femme : accélération.

 

Cela doit faire une demi-heure que je regarde toutes ces horreurs, mais qui ne me dégoûtent plus, vu la soirée passée. J’ai une terrible envie d’uriner mais je me retiens. Je suis curieuse de voir la suite.

Finalement, il lance une compilation où les scènes s’enchaînent très vite. Je reste interloquée devant le thème de la compilation : chaque scène présente un mari qui lèche la semence de l’amant sortant de la chatte ou de l’anus de sa femme ; de l’amant, ou même des amants…

Thierry se cale au fond du dossier de son fauteuil et je comprends qu’il compte « conclure ». Sachant qu’après chaque éjaculation il a un moment où toute libido le quitte, je m’approche de lui, place mes mains sur ses épaules et colle ma tête contre la sienne, l’empêchant de me regarder mais me permettant de lui murmurer des choses à l’oreille. Il n’ose pas bouger et je le sens gêné que les vidéos continuent à défiler à l’écran. Il ne se masturbe plus.

Ma main droite s’approche de son sexe et je le prends délicatement.

Je lui fais une branlette très, très lente et lui murmure à l’oreille :

  — Alors, c’est ça qui te plaît ? Lécher ma chatte et mon cul pleins de foutre ?

— Mmmmmm.

  Il n’ose pas répondre, et se contente d’un petit « oui » marmonné. Je m’en contenterai !  

  — Tu aimes que je me fasse baiser par d’autres ? Ça te plaît d’être cocu ?    

  Je sens bien à sa bite que tout ça ne lui déplaît pas.  

  — Tu veux que je me fasse baiser par d’autres ?

— Mmm…

— Dis-le, je veux l’entendre.

— Oui… Ça me plaît…

— Quoi donc ? Dis-le !

— Que tu te fasses baiser par d’autres…

— Tu voudrais être présent ?

— Je sais pas. Je sais pas si je pourrais. Tu pourrais, toi ?

— Je t’ai vu te branler devant des maris qui suçaient l’amant…

— Mmm…

— Tu sais, moi qui n’aime pas sucer, tu me rendrais un fier service si tu t’occupais de ça !

— Mmm… Quoi ?

— Arrête : j’ai bien vu ce qui t’excitait. De toute façon, notre vie sexuelle était morte. Soit on arrête tout, soit on essaie cette nouvelle direction, non ?

— Cette nouvelle direction ? Me faire sucer tes amants pour qu’ils te baisent ?

— Oh oui, entre autres. Et me nettoyer après aussi.

 

À cette phrase, j’ai senti son sexe durcir un peu plus… Je décidai d’accélérer la branlette.

  — Tu me lécheras avant, pendant, après, et tu t’occuperas de ce que je ne veux pas faire ; d’accord ?    

— Mmm…

  Je décidai de le laisser à la limite de l’explosion pour lui faire dire clairement ce que je souhaitais.  

  — Alors, dis-le-moi, si c’est ce que tu veux !    

  N’y tenant plus, il se mit à me dire :  

  — Oui, je veux te servir et servir ton plaisir. Je ferai ce que tu veux : je te lécherai quand tu veux, avant, pendant, après ; je ferai tout ce que tu veux… Tu m’excites trooooooooooopp…    

  Les jets de sperme ont maculé son tee-shirt et ma main.  

J’ai approché ma main de sa bouche ; et sans que je le lui demande, il a commencé à lécher.

  — C’est bien, mon chéri ; on va bien s’amuser maintenant. Tu aurais dû me dire plus tôt que tu avais ce genre de fantasme. Mes règles sont simples : pas de changement dans notre vie quotidienne ; et en dehors des moments sexe, on ne parle pas de tout ça. Par contre, dans le sexe, je décide tout, et tu exécutes. Si tu me trompes ne serait-ce qu’une fois, je te quitte. Et moi par contre, je te garantis que je vais rattraper les occasions perdues de cette vie et de toutes mes vies antérieures. Je te laisse, je vais aux toilettes. Si tu es d’accord, rejoins-moi au salon comme si de rien n’était.    

  Je suis partie, le laissant essoufflé et pensif.  

Après m’être soulagée, je suis retournée au salon, craignant que l’éjaculation ne lui ait trop refroidi sa libido. Il est arrivé, mal à l’aise, et m’a dit :

    — Je peux demander une règle ?    

  Je ne savais quoi répondre, et tout cela était bien trop nouveau pour que je sache ce qu’il avait en tête. J’en étais presque à me dire que tout était fini… Comme je ne répondais pas, il a continué :  

  — Si tu baises sans que je sois là, je veux que tu me racontes tout…    

  J’ai éclaté de rire en disant :  

  — C’est tout ? Mon chéri, c’est une nouvelle vie qui commence !  

  cocu et parfaitement heureux ! 

Voir tout le texte, auteur Julie2     http://revebebe.free.fr/histoires/rvb161/reve16105.html


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  à la recherche de preuves  Il a longtemps essayé de se justifier, me jetant qu’il a fait ça à cause de moi… j’ai découvert qu’il consultait quotidiennement des sites pornographiques homos et bisex

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commentaire :

Par JULIE - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 01:56

  une histoire aussi belle que le secret de Brokeback mountain, mais elle est  vraie 

Résultat de recherche d'images pour "tumblr a gay fuck by a tractor" image du net  rien d'exhib entre VALERY ET SERGUEI toutefois 

 

 Dans un village perdu près d’Ochmyansk, dans l’oblast* de Grodnensk en Biélorussie, un couple de conducteurs de tracteurs gays vit heureux. Alena Soïko, du journal en ligne Colta.ru a recueilli leur histoire qu'on n'attendrait pas dans la Russie de Poutine !    

Note à l’attention du lecteur : Cette histoire, qui peut vous paraître incroyable (c’est ce qu’il nous a semblé à nous aussi au début), est pourtant tout à fait véridique. Les noms des personnages et du lieu de leur résidence n’ont pas été changés (le village, sur leur demande, n’est désigné que par la première lettre de son nom, mais l’oblast* est indiqué tel quel).

  * oblast*-> division administrative russe dont je n'ai pas pu établir l'équivalent en français

 

Avertissement de la rédaction  : Cet article est déconseillé aux moins de 18 ans. [mais comme d'hab cavaillongay recommande ce qui est interdit ! ] 

Valery Sidorenko (35 ans) et Sergueï Ostaptchouk (33 ans)

Valery : Eh bien, je suis moi-même originaire de ce village où je vis aujourd’hui : B****. Je suis allé à l’école mais j’étais mauvais élève, je suis resté travailler ensuite dans notre kolkhoze : j’ai terminé ma formation au bahut technique du coin. Sergueï est arrivé chez nous quand j’étais en classe de neuvième (équivalent de la troisième, ndlr), il était genre deux classes en-dessous. Tout petit.

Sergueï : Nous vivions avant ça dans le village voisin, après mes parents ont obtenu un logement et nous avons déménagé ici.

Valery : Bon, à l’école comme à l’école. Alors, on se connaissait bien sûr mais on n’était pas dans les mêmes bandes. Même quand moi j’étais en onzième et lui en 9ème, on ne se parlait pas. Pour les soirées discothèque de l’école, évidemment, tout le monde allait aux mêmes mais nous ne traînions pas avec les plus jeunes.

*Nous nous sommes rapprochés quand nous avons commencé à travailler ensemble dans le même kolkhoze

Sergueï : Nous nous sommes rapprochés quand nous avons commencé à travailler ensemble dans le même kolkhoze. D’autant que nous vivions l’un en face de l’autre. C’est comme ça qu’on nous avait donné les logements. Et bon, nous étions amis comme ça, en bons voisins. Lui avait une femme et des enfants, moi j’avais une femme et des enfants. C’était, genre, un mec normal, en plus, nos femmes étaient copines, les gamins allaient dans le même jardin d’enfants. On fêtait ensemble les anniversaires. Comme tous les voisins, en gros.

Valery : J’ai rencontré Iana dès après l’école. Elle ne me plaisait pas plus que ça. Non, c’était une fille bien mais me marier, je ne voulais pas trop. Sauf qu’elle est tombée enceinte. Elle arrive, elle dit : « c’est le tien ! ». Ma mère était dans tous ses états. Il faut te marier, elle crie. Je me suis marié. Bon et puis, il s’est trouvé que le deuxième enfant a été lancé au bout de deux ans. Une bonne femme "de chez bonne femme". On ne se faisait pas de mamours. Le romantisme, là, tout ça… Bon, coucher avec elle au début, c’était bien. C’est après qu’ont commencé les problèmes avec ça. Le reste – qu’est-ce que je peux dire, elle cuisinait, elle lavait le linge, surveillait les enfants, elle ne me prenait pas particulièrement la tête, elle m’autorisait à boire dans une certaine mesure. C’était pas la mégère de Sergueï : pour 2 petits verres de trop, elle pouvait piquer de ces crises de nerfs, hystéro comme ça. Celle-ci, alors, elle nous en a refilé des hémorroïdes ! -"Sergueï,  ne le prends pas mal !", il se vexe toujours sur cette histoire, mais je lui ai dit et je lui dirai qu’il s’est choisi pour bonne femme une putain de tarée, plus tarée y a pas. La mienne, quand je faisais la fête, elle n’aimait pas. Là oui, elle se fâchait. Pour le reste elle était calme, compréhensive.

Sergueï : Mais toi, tu veux quoi aussi ? une femme vit sa vie tranquille et un jour elle regarde dans la salle de bains et nous y voit. La tienne aussi, elle a tout appris, mais elle n’a pas eu ce choc. C’est plus simple pour elle. Ma Katya, elle a pété un plomb, mais ça se comprend. Même si elle était nerveuse, oui. Mais là, elle aurait pu carrément nous enfermer et foutre le feu. Alors ne raconte pas trop de saloperies sur elle. En général, je gueule peu mais quand il commence à s’en prendre à Katya, c’est dur pour moi.

Valery : C’est un sensible.

Sergueï : Va te faire foutre, Valera !

Valery : Mais putain, même pour moi c’est difficile d’expliquer sans dire de la merde. Vous avez de ces questions, vous aussi, [les journalistes], forcément. Chez les bonshommes, tout est plus simple dans cette affaire : elle [la bite] est debout, ça veut dire quelque chose, à quoi bon se raconter des conneries ? Tout est clair, pas vrai ? Tu ne te dis pas que t’es malade. Ce serait pas bien logique. C’est comme ça, avec la queue. J’ai déjà dit qu’avec Iana, la baise, c’était bien. Mais ensuite, j’ai arrêté d’être chargé bandé ? . Des maîtresses, j’en ai toujours eu beaucoup, mais même là tout ne collait pas. De plus, j’ai toujours voulu tout essayer, bon, le sexe anal. Mais toutes mes gonzesses considéraient ça comme une espèce de perversion. Ma femme, j’ai souvent tenté de la brancher là-dessus. Elle aimait se moquer après, elle disait comme ça que j’étais pédé. Mais et quoi ? Le sexe, c’est le sexe. Elle aurait cédé, peut-être, je n’aurais pas filé[été cherché ailleurs]  . Bien que tout ce manège, ça a troublé Serioja [diminutif de Sergueï, ndlr]. C’est lui qui m’a coincé dans la cour un soir de beuverie. Bon, je ne l’ai pas repoussé à ce moment-là. Ensuite, je me suis dit, putain, qu’est-ce que c’est que ce mec qui m’a serré et embrassé. J’ai halluciné grave mais je comprenais que, bordel ! ça ne me dégoûtait pas, j’avais pas la nausée de toutes ces idées et ces sensations, c’était même agréable.

*Je n’ai jamais été particulièrement attiré par les filles

Sergueï : Le corps masculin m’a toujours plu davantage. C’est maintenant, je me dis comme ça que peut-être, si j’étais né en ville, où il y a des gens comme ça, ça se serait manifesté plus tôt. Mais ici… avec qui pouvais-je en parler ? Ma mère, même si c’était une femme avec du cœur, n’aurait pas compris. Et mon père ? C’était un campagnard grossier typique. Je suis différent. Faites pas attention, là, au fait que je sois machiniste et sans instruction. Je ne suis pas un idiot. Simplement, j’avais la flemme d’étudier. Bon, mais comment vous expliquer ? Je n’ai jamais été particulièrement attiré par les filles. Je me souviens qu’à 13 ans, j’ai été franchement effrayé quand j’ai compris que, par exemple, en cours de gym, quand nous nous changions, ça me plaisait beaucoup d’observer les garçons. Je ne pensais pas du tout au sexe, non. Mais vous savez, quand, bon, je ne sais pas moi, les mecs, en discothèque, aiment faire des blagues vulgaires, du genre :–" quels nibars ou quel cul elle a, cette fille"  je comprenais que ça leur plaisait, mais moi c’est comme si je ne captais pas ce qu’il y avait d’amusant là-dedans. Ça me faisait peur. Mais je me disais, tout arrive.

Katia, disons, m’a mis le collier toute seule. Elle était venue ici sur une mission, travailler comme comptable dans notre kolkhoze. Bon, et voilà, nous nous sommes rencontrés. Elle était gentille. Mais je ne ressentais rien de spécial. Le sexe, je ne veux pas en parler. Nous avons des enfants. C’est-à-dire j’assurais avec tout. Mais sans ce truc particulier[qu'est l'amour]. Et puis, le sentiment que le corps des hommes me plaisait plus n’a fait que grandir avec le temps. Mais ici, dans le village, personne ne me plaisait spécialement. À l’école, tous les garçons étaient beaux gosses. Mais pas les hommes adultes. Il y avait seulement Valera [diminutif de Valery, ndlr]. Pour le reste, je me disais comme ça : voilà, je regarde des films, par exemple, bon et là, il y a beaucoup d’hommes beaux. Et oui, ils me plaisaient beaucoup. Je pouvais m’imaginer des tas de choses.

Avec ma femme, je ne couchais pas souvent. Et elle, elle ne se demandait pas s'il y avait un problème. Elle pensait, certainement, que je me fatiguais beaucoup au travail. Ça me convenait. Mais je faisais toujours attention aux hommes. Sauf que vous faites quoi avec ça, ici, au village ? Je faisais simplement semblant de rien.

*Allez, raconte comment tu as fait de moi un pédé

Valery : Bon,Serioja, tu as assez bavassé. Allez, raconte comment tu as fait de moi un pédé.

Sergueï : Je n’ai rien fait de toi. Tu ne m’as pas frappé après ça, que je sache. Bon, en gros, Valera, je l’ai remarqué tout de suite, dès que nous avons commencé à travailler. Et toutes ces années, il était mon plus puissant fantasme. Ici, au village, le premier et le dernier. Bon, il est grand, bien taillé, joyeux. Et à chaque rencontre, je comprenais ce qui se passait chez moi. L’été, là, quand il enlevait son maillot et que je le voyais, je comprenais que ça m’excitait. C’étaient des émotions fortes. Je vous l’ai dit, je n’ai jamais eu envie de Katya. Mais là, je comprenais que tout était clair dans ma tête. Je me retenais. Chaque jour, je me sentais de plus en plus merdique. Je ne jure pas d’habitude, mais comment veux-tu le dire autrement ? Et le trouble grandissait, je n’avais pas le contrôle. Même, à cause de tout ça, je me poivrais. Je chassais tout ça comme je pouvais avec l'alcool. Mais Valera vous l’a dit déjà : si elle se lève[la bite], qu’est-ce que tu veux faire ?

*on le fait maintenant ou jamais

 

Bref, c’était le jour où les Nepotchilovith, ils habitent à l’entrée du village, ont donné leur fille en mariage. Tout le village a fait la fiesta. J’étais sévèrement cuit et déjà l’idée, c’était ça :[je voulais Valera]   rien à battre, en gros, s’il me frappe, je m’en vais et je me pends. Je pensais sérieusement comme ça. Je comprenais que, putain de merde, j’avais 31 ans, et que quelqu’un dont j’avais envie était apparu. J’ai compris comme ça, pour la première fois, ce que c’est qu’avoir envie de quelqu’un. Avant, j’entendais seulement les hommes sans véritablement comprendre de quoi ils parlaient. Mais lui, putain, c’était un homme. Bref, oui, si tout ne s’était pas bien passé, je serais mort, c’est sûr. Et je l’aurais fait, parce que vous comprenez : comment est-ce que j’aurais pu vivre ici après ça ? Bon, je l’ai fait sortir, derrière la maison il y a leur potager et un petit jardin, c’est là que je l’ai emmené. Il était saoul aussi et ne s’inquiétait pas particulièrement de savoir où je le conduisais. Bon, et j’ai attaqué. Il était ivre mais il ne m’a pas repoussé.

Valery : Bon, et nous nous sommes becottés. Ensuite, déjà, je me suis arraché, je lui ai crié genre qu’il était taré et je me suis enfui. Putain, ça sonne vraiment ridicule – un grand garçon comme ça qui s’enfuit. Mais c’est ce que j’ai fait à l’époque.

Sergueï : Mais à ce moment, ça m’a libéré. J’ai compris que lui aussi était tout tendu et qu’il était aussi excité. Je me suis dit, rien à battre de ce qui va se passer ensuite. Dans tous les cas, je n’ai pas eu besoin de me pendre !

Valery : Oui, j’ai pété un putain de plomb à ce moment-là. J’étais saoul, oui, mais je comprenais ce qui se passait. Et ça ne me répugnait pas. Après ça, bien sûr, nous ne parlions pas du tout, bon, on se saluait, mais comme ça – nous ne nous regardions même pas. Tout ça a traîné un mois et demi. Mais souvent, je me souvenais, c’était putain de bon. Ça foutait la trouille : quand je baisais Iana, eh bien, je pensais à lui. Et j’étais tout tiraillé : qu’est-ce que c’est, il s’était décidé et maintenant, il détourne les yeux. Mais c’est quand même lui qui m’a emmené là-bas. Bien que je me disais, peut-être que lui aussi était murgé  à mort à bout de nerfs. Mais quand même, putain, il s’est pas bourré la gueule à ce point, pour se prendre à grimper sur un bonhomme. Ça veut dire, je me disais, il a fait ça sciemment, ce pédé de mes deux. Et les fantasmes ça y allait, chez moi, à fond de train. Nous ne nous sommes pas retenus longtemps. En gros, je l’ai appelé tout simplement, le dimanche, pour m’aider à réparer le service d'eau chaude. Les miens étaient justement partis chez la belle-mère. Je me disais, bon, on verra là-bas. Et puis, c’est là que ça s’est passé.

Sergueï : Après, quand nous étions allongés, nous en avons un peu discuté. Je lui ai parlé de mes sentiments – pareil qu’à vous. Il m’a parlé de ses fantasmes. Vous comprenez, c’est pas que chez nous c’était l’amour – nous ne nous tenions pas par la main, au travail nous nous comportions comme il faut, bon, mais oui – nous nous rencontrions régulièrement. Dans sa salle de bains. Mais nous étions bien ensemble. Nous n’avions pas l’intention de vivre ensemble. Mais ma Katya nous a découverts. Dans la salle de bains. Bon, elle était nerveuse et, oui, elle s’est toute répandue en hurlements.

*un outing à la russe !

 

Évidemment, c’était la putain de merde ! Elle a retrouvé la femme de Valera et l'a dit à tout le monde, l’un après l’autre, que nous étions des pervers. Ensuite, elle a pris les enfants et elle est partie chez sa mère. La femme de Valera a fait pareil. À vrai dire, nous ne savons pas où sont ses enfants maintenant. Où elle est partie ? Aucune idée. Ma femme ne me laisse pas entrer dans la maison de la belle-doche. J’ai essayé d’y aller mais c’est l’hystérie et les larmes.

Valery : La mienne avait certainement un matou amant. Seulement, où est-elle partie ? Aucune idée. Mais même si j’avais su, la situation aurait été la même que pour Serioja. Bon, vu qu’elles se sont arrachées, nous nous sommes dit : qu’est-ce qu’il y a d’autre à faire, nous allons vivre ensemble. De toute façon, tout le monde le sait, qu’est-ce qu’il y a à cacher. Oui et puis il ne nous restait personne à part nous.

*Abandonner les enfants pour une bite ?

Sergeï : Abandonner les enfants pour une bite ? Au final, oui, c’est ce qui s’est passé. Mais l’histoire, c’est que personne ne voulait abandonner personne. Nous aurions vécu comme ça si on ne nous était pas tombé dessus. Il y a bien des couples qui vivent, où le mari a une maîtresse. Bon, seulement là c’était un amant. Si Katya m’avait vu avec une quelconque Macha, vous croyez que ça aurait été un problème ? Mais là, évidemment, c’était le drame. Mais je ne vais pas me mettre à juger. Moi, je ne sais pas ce qui se serait passé avec moi si j’avais vu ma femme avec une autre femme. Bon, et donc quand tout a été révélé, il ne nous est rien resté d’autre que de nous mettre ensemble. Nous sommes restés quand même vraiment tout seuls, en fait.

Valery : Évidemment, il fallait que nous nous mettions ensemble. De toute façon, foutu pour foutu. Nous avions honte. Eh, comment vivre avec un mec et tout ça. On est gays, on n’est pas gays ? Va savoir, bordel ! Avant, je prenais du plaisir quand même avec les gonzesses, lui, c’est clair, il a dit que non, mais moi, c’est différent – j’étais un mec disons " normal"… Mais quoi, le sexe avec un bonhomme t’excite, bon, ça veut dire tu es gay. Et nous vivons bien. En fait, nous avions toujours eu de bons rapports. Qu’est-ce qu’il y a : nous travaillons, nous savons cuisinier, là on vient de terminer des travaux à la maison. Oui, tout va bien. Ça fait déjà deux ans comme ça. Pour les enfants, ça fait mal. Ça oui. Et qu’est-ce qu'il va se passer, va savoir ? Nous ne voulions pas les abandonner. Seulement tout a été révélé – et c’est comme ça que c’est sorti. Bon, c’est pas que nous soyons des amoureux romantiques. Oui, bon, nous voulons coucher l’un avec l’autre. Mais abandonner les enfants et détruire la famille, nous ne le voulions pas. Pourtant, c’est ce qui s’est passé. Vous voyez vous-même. Des scènes que nous ont fait les femmes après tout ça, même pas besoin d’en parler. Elles étaient toutes en pleurs, la mienne a pris les enfants, voilà, elle dit, papa est un pervers et elle leur décrit en détails pourquoi. Je me suis dit, je vais la tuer, la chienne. Pas parce qu’elle ne disait pas la vérité. Non, mais juste, ça sert à quoi de traumatiser les enfants ? Celle de Serioja a carrément hurlé, au point de se demander s’il n’avait pas rêvé toute sa vie de violer son fils. En gros, c’était le bordel pour nous, la vraie merde.

Sergueï : Et maintenant, qu’est-ce que tu veux dire – je n’ai pas plus cher que lui. On n’a pas toutes les conneries romantiques, là. Passé l’âge. Mais je l’aime. Et pourquoi je ne l’aimerais pas. Il est ma famille.

* Qui aurait prédit ...?

Valery : Y a de quoi devenir taré, celui qui m’aurait dit que ce serait comme ça, je l’aurais frappé, ou je sais pas, pour qu’il ne raconte pas des putain de conneries. Et nous voilà.

Et le village ? Le village a accepté. Bon, accepté, c’est-à-dire… Si vous voulez savoir si on nous a humiliés, alors non, on n’a rien eu de tel ici. Et qui va nous humilier ? C’est un village mort ici, il n’y a que des retraités. Pour nos mamies locales, évidemment, c’était étrange : elles soupiraient, poussaient des oh-là-là et elles aimaient geindre un peu : « qu’est-ce que c’est que ça, Valera, il paraît que vous vivez maintenant avec un homme ? ». Ensuite déjà, ils ont dit que, bon, ça va, ils ont fait des enfants, pour les bonnes femmes quand même c’est important, les enfants, là, les petits-enfants tout ça. Bon, et on a fait ce qu’il fallait, et maintenant, c’est rien – on peut pardonner et merde !

Sergueï : Mais sur le moment, quand c’était tout chaud, on a tout eu. Quand ma femme nous est tombée dessus, elle a couru tout le village et fait du scandale. Mais ensuite, tout s’est à peu près arrangé. Ici, les gens ont assez de problèmes : la vache est tombée malade, les enfants ne mangent pas, les retraites ne sont pas versées, tout augmente. Personne ne va pas pester contre nous en permanence.

Valery : Ils s’en battent tous les couilles, maintenant, en gros. Les gars au boulot – on peut leur régler leur compte. Bon, ils ont demandé, bien sûr, qu’est-ce que c’est que cette merde que vous avez balancée, les gars ? Mais nous avons dit tout de suite que nous n’allions discuter de ça avec personne, c’est pas leur affaire. Et s’il y a des problèmes – alors il faut encore savoir qui va la mettre à qui. Personne ne nous a jamais attendus sous les porches. Mais, si nécessaire, nous ne sommes pas des lopettes, vous nous avez vu vous-même.

Sergueï : Nous ne nous sommes même pas inquiétés pour le travail. Notre chef, c’est pas un agité. Il a un seul tracteur pour tout le kolkhoze, là c’est l’automne, il n’y a pas d’arracheuse, rien pour ramasser les patates. On lui bouffe en permanence le cerveau dans le district. Lui, il s’en tape, en fait. La mienne, là, quand elle a pété un plomb, elle a couru chez lui aussi, genre, aidez-moi, faites quelque chose. Bon, pour qu’il menace, qu’il influe. Mais lui, il a quoi à y voir ? C’est quand même pas ma Katya qui s’assoit sur le tracteur. Un mec pratique, en gros.

*Je ne crois pas en Dieu. Serioja non plus.

Valery : Ah, oui. Il y avait encore une tarée. Direct, quand elle nous a vus, elle a commencé de se signer, elle hurlait la prière de toute sa voix, dans toute la rue. Et chez nous, ici, comme dans tous les villages, toutes les bonnes femmes sont assises dehors dans les échoppes, elles regardent. Et elle, elle s’applique, hein : bon, que du cirque, quoi. Une dingue, elle a toujours été comme ça. Mais elle n’est plus là maintenant. C’est même nous qui lui avons creusé sa tombe. Bon, il n’y a pas de quoi s’offenser. Une malade complète. Ah-ah oui, bon mais ça c’est carrément le gag : un prêtre est venu depuis le district. Il faut sanctifier la maison, qu’il dit. Et vous, il dit, vous devez aller à l’église. Dieu n’est pas en vous, il dit quelque chose à propos de Satan. Je ne voulais quand même pas être grossier. Mais il m’a cassé les couilles. Serioja, il est plus calme, mais moi, non, il m’a gonflé, je l’ai envoyé se faire foutre et j’ai dit que s’il réapparaissait encore une fois sur le seuil, je lui mettrai direct sur la gueule. Je ne crois pas en Dieu. Serioja non plus.

 

Il n’y a jamais rien eu comme ça, si je déteste les gays ? Je sais pas, moi, je m’en fous de qui couche avec qui. S’il y a de la violence et qu’on s’attaque aux enfants qui ne comprennent encore rien, pour ça oui, on peut fusiller. Mais d’ailleurs, des gays, je n’en ai même jamais vus. C’est vrai, viennent parfois ici, chez les mamies, les petits-enfants. Bon, et oui, souvent tu ne comprends même pas, de dos, si la personne est un garçon ou une fille. Habillés tous pareils, vous savez, des habits moulants, et des couleurs bizarres. Ça, ça ne me plaît pas, à moi, quand un bonhomme ressemble à une bonne femme. Ça oui, c’est un peu de la saloperie. Mais le sexe, c’est l’affaire de deux personnes.

Résultat de recherche d'images pour "tumblr a gay fuck by a tractor" image du net  pour  illustrer "ce qui se passe dans ma chambre c'est mon affaire" et ça le fait, non ?  

 Je ne ressemble pas à une bonne femme et c’est bien. Et ce qu’il se passe dans ma chambre, c’est mon affaire et ça ne concerne personne. Je parle bien, non ? Seulement quand même je vous le raconte à vous, c’est-à-dire c’est déjà plus personnel… Mais vous avez insisté, vous m’avez traqué, on ne se débarrasse pas de vous comme ça. Non non, le prenez pas mal :[j'ai accepté] si je n'avais pas voulu, je n’aurais pas parlé.

 

LES PHOTOS SONT DU NET

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    BISEX->La Russie a aussi son brokeback...(toundra au lieu de mountain ) Bien malgré eux Sergueï et Valery ont été abandonnés par leurs femmes homophobes et vivent ensemble. Un mal pour un bien. 

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  commentaires : "Poutine a dit un jour qu'il n'y avait pas d'homosexuels en Russie et il pratique une répression combattue par tout l'occident"Dodo-la-praline

"les pays arabes sont terribles pour les homos. Allah ne leur pardonnera jamais et là, la communauté villageoise réagit bien...c'est vrai que s'ils les bannissaient qui conduirait le tracteur ? -lol-" Dodo-la-praline  

     "leurs femmes auraient pu tolérer leur (petit) bonheur et ne pas faire de leurs enfants  des orphelins de pères" Justine

COURRIER DU BLOG / claudemodou@gmail.com  

Par Alena Soïko journaliste - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 06:46

  Je baise avec mon beau-frère :  

      daddysbottom: “ My brother-in-law Jon was pounding my ass viciously. The sound of his grunts and the slapping of his hips against my butt intermingled with the loud banging of the bed against the wall. I was glad that no one but us was home that...

Ça s'est passé un weekend où ma sœur n'était pas là. Depuis longtemps je fantasme sur le mari de ma sœur. Même si personne ne sait que j'ai envie de lui, tout le monde sait que je suis homo. J'assume entièrement et je suis un homo très chaud  .

Bon revenons à l'histoire. Ce jour là, je devais passer la journée avec lui pendant que ma sœur était en voyage avec une amie. Plus la journée passait, plus son corps musclé me tentait. Je résistais autant que je pouvais mais je sentais bien que j'allais finir par craquer et partir me branler pour moins y penser.

On a fini par s'installer sur le fauteuil à discuter, surtout de sexe !!! Quand il a commencé à me dire que ma sœur ne voulait pas le sucer,  et encore moins faire du sexe anal, j'ai senti que c'était le moment de tenter ma chance. Je lui dis alors que, pour ma part je ne connais rien de mieux que la sodo entre hommes. Intrigué, il m'a demandé pourquoi ?--"Nous les hommes, avons un trou plus petit que celui des femmes, ce qui fait que pendant la pénétration l'homme sent sa queue frémir à chaque instant." Je lui parle ensuite de la fellation et, sans nous vanter, je lui dis que, pour ça aussi, le meilleur c'est les mecs. Ils ont l'habitude avec leur queue, et savent comment s'y prendre pour donner du plaisir à un homme. Je le sens très excité, et je lui demande alors s' il est prêt pour tester ? Malheureusement il n'est pas décidé, et je continue d'argumenter.

Il finit par me demander si je suce aussi bien que je le prétends. Je lui réponds que je suis prêt à lui en faire la démo ! Sans me répondre il sort sa queue de son pantalon. Pas totalement dure, il l'exhibe devant moi, et, sans plus penser à ma soeur, il passe le rubicon et m'attire à genoux devant lui.

Ma bouche s'ouvre en grand pour laisser passer le monstre que j'avale temps bien que mal. Sa queue est énorme, et je n'imagine même pas ce que je vais ressentir quand il baisera mon petit cul. La fellation ? je ne vous ferai pas un mystère que j'en ai l'habitude, et il le remarque dés le départ.

Je le sens gémir en sentant sa grosse queue grossir davantage dans ma bouche. Ma langue s'enroule autour de sa queue, et ma bouche fait des va-et-vient, la pompant jusqu'au bout. Ma langue titille ses couilles, mes lèvres les mordillent, naturellement il aime ça. Il pousse des cris de plus en plus intenses, et mon autre main me sert à branler ma queue !

Je me branle, pendant que je lui suce la queue jusqu'aux couilles. Sa queue s'enfonce dans ma gorge, et il se croit en plein film porno. Il m'attrape la tête, et me fait bouffer sa queue... Les mecs virils ? Hum, j'aime beaucoup ça !

Sans que je comprenne, je me retrouve debout, il me déshabille, et me fout à 4 pattes sur le fauteuil. La brute ne pense à aucun préliminaire, il m'écarte les fesses avec ses mains, et enfonce avec violence sa queue en moi. Je ne peux m'empêcher de pousser des cris de plaisir, quand je sens que ses couilles claquent contre mon cul.

Mon beau frère ? C'est tout le contraire d'un mec tendre ! Laissez-moi penser que ma soeur a fait un bon choix ! Il se croit en pleine baise porno, et me tire les cheveux en baisant mon cul à mort. Il soulève une de mes jambes, et me baise de plus belle.

Sa queue perfore mon cul jusqu'aux plus profond de mes entrailles, me faisant hurler à pleins poumons. Quand il ralentit le rythme, c'est uniquement pour récupérer son souffle avant de reprendre de plus belle. J'en profite pour respirer !

Ses doigts s'agrippent fermement à mes hanches, tandis que les miens s'accrochent au canapé. Je pousse des hurlements, et je le supplie de ne pas arrêter. Je joue les chiennes à merveille, et visiblement c'est loin de lui déplaire. Mon cul plus étroit qu'un vagin lui masse la verge à merveille : il a des appels désespérés, il me claque les fesses en me disant " répète ? ... "encore !"  "...plus fort !!!".

Quand, essoufflé, il n'en peut plus, il sort, je me tourne rapidement, et me mets sur le dos. Je lui dis de prendre son temps : "alors c'est bon hein! fais durer !" Il m'écoute à peine et se branle en poussant des grognements très excitants...si je n'arrive pas à ralentir ce taureau fou, il va rapidement se rassasier alors que moi, à demi étourdi de plaisir je mesure ma chance à la longueur en cm de la folle pénétration dont il vient de me gratifier ! -lol- je lui chuchote des mots d'amour mais pas possessifs pour ne pas le sortir de son rêve éveillé...je l'attire à deux mains entre mes cuisses offertes. Comme elles sont douces ses fesses musclées ! J'espère  que lu il voit mon trou dilaté encore en attente d'autres prouesses. Je guide son doux bâton vers mon conduit. --" attends, c'est bon, non ?" --"ouaihhh" me souffle-t-il sur le visage. Enfin il me reprend. --"c'est bon pour toi, ça te plaît ? " Pour oute réponse je le serre aux côtes, je lui frotte les flancs. C'est lui qui dit --"ouais, putain c'est bonhhhh" Depuis qu'il connaît ma soeur on se fait la bise tous les jours, mais combien c'est différent en cet instant...Putain, langue dehors il me vire une pelle d'enfer dans le feu de l'action. Cette langue je l'aspire, je la suçote, je la carresse de ma propre langue.

A regret je sens qu'il va finir, qu'il est déjà au ciel. Quelle fierté pour moi son homologue , son beauf et sa pute ! JE L'AIMAIS...JE L'AIME ET jE L'AIMERAI. Surtout un souci : si je veux une suite il faut protéger sa fierté, ne pas le laisser penser que ça fait de lui un gay...--"je peux venir comme ça ? " il me dit. Je lui réponds en le serrant plus fort dans mes bras. Je ne veux faire résonner aucune parole sur cette minute. Son râle profond succède instantanément à ma muette approbation. Dans les bras l'un de l'autre on reprend nos souffles. Mon rectum doit-être bourré de ce qui me fera sans doute des neveux un de ces jours!!! Mais ne déconnons pas : faut se reprendre en rigolant... --"ouaihhh!!! putain qu'est-ce que tu m'as mis !!!" Je lui gifle une fesse ! une gifle de potes complices. Faut déjà plus y penser....jusqu'à la prochaine fois -lol- on cherchera des coins, des occases...vive le mariage hétéro de ma soeur !!!

La seul chose que j'espère, c'est que ma sœur ne se séparera jamais de son notre bel étalon..

   

 

 

MOI-MOI  chutttt !

 

LUI-LUI

 

__________________________________________________________________________________________________

commentaire : " en fait, mec, t'as intérêt que ta frangine reste dans les mêmes dispositions pour lsuce et la sodo" LUCERRAND 

Par LENCULé - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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