DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Vendredi 4 novembre 5 04 /11 /Nov 17:11

fameuse soirée ! moi qui passais auprès de tous et de

 

Solène pour hétéro pur sucre, elle m'a gardé, et en même temps

 

m'a jeté dans les bras de Romain. [A quand trois dans le même lit ?

 

j'en rêve maintenant...]

 

ce qui me hante et que John Dos Passos appellerait "Newsreel" : actu : 1 seule nouvelle :

Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »

belles-images-d-amourréaliser tout ce qui en moi est gay

je m’assois en tailleur à côté de lui. Je roule un deux-feuilles, je l’allume tout en sirotant ma bière. Romain soulève mon sexe puis pose la paume de sa main droite sur mes couilles

Romain se penche et dépose un baiser sur mon sexe. Je lui passe le joint. Il me sourit.  — Je t’aime, Cédric.

Nous allons dans ma chambre, sur mon lit. Je le prends par la main et je l’y emmène. Nous nous asseyons tous deux sur le lit, nous continuons à nous caresser. Je lui lèche les couilles et je le suce. Après quelques délicieux instants, il s’écarte, puis se met à quatre pattes sur le lit, les genoux bien écartés. Je contemple quelques instants le spectacle. Il tend ses fesses, son anus semble s’offrir à moi. Je prends de la crème hydratante et j’en introduis un peu avec mon majeur. Puis ensuite, je m’en badigeonne le sexe. Je me mets derrière Romain puis je le pénètre. Il pousse un gémissement et écarte encore davantage les cuisses. Je commence à bouger en lui, d’abord lentement puis de plus en plus vite. La jouissance tarde à venir, mais je viens en même temps que lui. Quelques minutes après, Romain vient blottir sa tête sur mon épaule puis nous nous endormons.

 

Le lendemain matin, nous prenons tous les deux un café, puis je lui propose que nous prenions notre douche ensemble.

 

— Ce n’est pas pour aller plus vite, je n’ai cours qu’à 11 heures. C’est pour le plaisir.

— Tout le plaisir est pour moi. Moi, je n’ai cours qu’à 10 h 30.

 

Dans la douche, je savonne Romain de façon telle que j’ai le plaisir de voir très rapidement son sexe se dresser fièrement. Alors que l’eau coule sur mon dos, je le savoure à pleine bouche, longuement. Ma langue dessine des arabesques sur son gland et je ne me lasse pas de le sucer.

 

— Attention, ça vient, me dit-il en essayant de se retirer de ma bouche.

— Non, laisse, c’est pas grave.

 

Puis je le reprends dans ma bouche. Je le suce avec de plus en plus de frénésie jusqu’à ce qu’un jet chaud vienne inonder mes lèvres et ma langue. Je l’avale d’un trait.

 

Nous prenons le métro ensemble, direction la fac. Nous arrivons vers 10 heures, puis nous allons boire un café à la cafétéria. Puis il s’en va à son cours. Je l’embrasse sous le regard éberlué de certains étudiants qui me connaissent et il sort. Caro et Théo, un couple d’amis qui font tous les deux Histoire, viennent s’asseoir à ma table.

 

— Salut, Cédric !

— Salut, les amoureux ! Vous allez bien ?

— Ça va, dit Caro. Toi aussi, ça a l’air d’aller. J’ai bien vu ce que j’ai vu ?

— Tu as bien vu.

— Tu sors avec Romain ?

— Disons que je ne m’en cache plus.

— C’est pour ça que Solène t’a quitté ? demande Théo.

— N’importe quoi ! Ça s’est passé après. C’est quoi, toutes ces questions ?

— Rien, on s’inquiète pour toi, se défend Caro. Ça n’avait pas l’air d’aller, ces derniers temps.

ce qui me hante et que John Dos Passos appellerait "Newsreel" : actu : 1 seule nouvelle :

Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »

Je me garde bien de leur faire part du deal étrange de Solène.

 

— C’est effectivement le cas. Je ne peux pas me l’enlever de la tête, je l’aime.

— Et Romain est amoureux de toi depuis qu’il te connaît.

— Maintenant, je sais… oui.

 

Mon téléphone vibre. Je regarde, c’est un SMS de Solène : « Je t’aime. On se voit quand ? »

Réponse : « Quand tu veux. Je t’aime. Je t’appartiens ».

ce qui me hante et que John Dos Passos appelle "Newsreel" : actu : 1 seule nouvelle :

Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »

Je me reprends un café avec Caro et Théo. Ils ont la délicatesse de changer de sujet de conversation. Nous parlons de nos cours respectifs. Comme ils sont en Histoire, je les branche sur la Rome antique, je leur pose des questions sur les institutions. Caro est plus calée là-dessus ; Théo, son truc, c’est plus l’histoire contemporaine. Je finis mon café, je prends congé, je pars à mon cours.

 

Cours magistral en amphi. Je me mets au fond, je sors mon portable discrètement. J’attends un message de Solène, je mets en silencieux et je le pose à côté de mon carnet de notes. J’écoute le type en train de parler. Pas inintéressant, mais j’ai du mal à suivre. Je n’arrive pas à me concentrer, je pense à Solène. Mais pourquoi diable a-t-elle mis comme condition que je reste avec Romain ? Je me remémore ses rares crises de jalousie, quand je matais une autre nana par exemple. Que dit-il ? Je retiens une phrase par-ci par-là : « Pour Platon, nous pouvons, en partant de la beauté corporelle et sensible, progresser jusqu’à la beauté de l’âme. » « Solène, je t’aime ! » Ou encore : « L’amour est, pour Platon, penía, ce qui signifie pauvreté ; c’est donc un manque qui nous pousse à remplir notre incomplétude, un élan vers ce que nous ne possédons pas, une aspiration à la Beauté elle-même. »

ce qui me hante et que John Dos Passos appelle "Newsreel" : actu : 1 seule nouvelle :

Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »

Je jette un œil sur mon portable. Toujours pas de nouvelles de Solène.

Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »

 

J’ai encore deux cours dans l’après-midi. À midi, reçois deux SMS. Un de Solène, quasiment identique à celui que j’ai envoyé à Romain : « Samedi 14 heures chez moi pour le café. Bises. Je t’aime. »

belles-images-d-amour revivre ce que nous avons vécu avant Romain et notre deal

« Putain ! Je vais devoir attendre samedi ! » Puis celui de Romain : « À ce soir. »

ce qui me hante et que John Dos Passos appellerait "Newsreel" : actu : 1 seule nouvelle :

Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »

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Une femme féminine,  chaude n'est pas une salope. Elle est intelligente, sexuellement éveillée, créative, engagée, auto-possédée, attentionnée, curieuse et puissante.
Si elle dort à la fois avec vous et votre petit ami est sans importance ou même une chance !
Si vous avez le bonheur de la trouver, ne la laissez jamais partir.

       

 

Par CEDRIC - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 23:15

 

N° 1257 Il a de la chance le cocu, il peut participer !

  N° 1248 Tout le monde il est content !!! 

 

N° 1247 Ça c’est sûr, tous les gentils cocus font ça !

 

Par SEGUEUR - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 21:52

Elle me raconta toute sa vie, seule la partie sexuelle m’intéressait. Elle s’en rendit compte, je bandais à chaque fois qu’elle me détaillait une de ses relations, ce qui l’incitait à me donner toujours plus de détails, puis après je la baisais comme elle l’avait fait avec un autre.

 

Et il y en eut beaucoup, des autres.

 

Ca c'est avant qu'on se rencontre :

inventaire à la Prévert : entre les officiels, les occasionnels, les coups d’un soir ou d’une fois, en boîte, au bar, à la fac, en stage, au boulot, les inconnus, les amis, les collègues, les blancs, les noirs, les asiatiques, les Arabes, les grosses bites, les petites, les longues, les larges, les bizarres, de seize à cinquante-cinq ans, de deux minutes à deux ans, dans un lit, un champ, une voiture, un camion, les toilettes, la forêt, le bureau, une tente, l’hôtel, des couloirs et des escaliers, des apparts et des apparts, des pipes, des missionnaires, des levrettes, debout par-devant, debout par derrière, elle au-dessus, à deux, à trois, à quatre, des dizaines d’hommes sont passés par là où je suis devenu un homme. L’experte et le candide.

 

Elle avait débuté sa vie sexuelle huit ans avant la mienne. Elle en avait bien profité, abusé diraient certains, mais je dis profiter. Abuser, c’est lorsqu’une activité devient préjudiciable à l’une ou l’autre des parties en cause. Elle avait pris beaucoup de plaisir, en avait donné à beaucoup d’hommes. C’est une salope ? Oui, et alors ! C’est pour ça que je l’aime. Ma salope à moi. Elle aime que je le lui dise. Elle m’en fait souvent la démonstration.

    

         

   

   

 

 

 

 

 

 


Par VINGT CENT - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 21:27

Je tombe mon pantalon et présente ma queue. Elle me paraît petite maintenant. Je pénètre avec une facilité déconcertante. Je la sens à peine autour de ma bite. C’est chaud, c’est bouillant, mais je ne sens pas la pression habituelle. Celle que je connais si bien. Je ne bute pas non plus dans le fond, toute ma longueur y est, mais mon gland reste libre et sans contrainte. Je suis cocu, je le ressens physiquement.

http://revebebe.free.fr/histoires/rvb140/reve14043.html 

Un homme fantasme pour être cocu. Sa femme, plus audacieuse , devine ses fantasmes et les réalise. Il en voit sent les preuves sa bite nage maintenant dans le vagin de sa femme.

À pas de loup, elle était entrée jusque dans le petit bureau de l’appartement que nous occupions depuis huit mois. Celui-là même où se trouve l’ordinateur. C’était un samedi de shopping. Sauf qu’elle était devant moi, penaud, la queue à la main devant un porno et un récit de femme infidèle. Pas de scandale, pas d’esclandre, pas son genre. Elle tire l’autre chaise, s’y pose. Sa main attrape ma virilité devenue molle. Elle se met à lire silencieusement le texte. Silence perturbé par les gémissements du film. Mon sexe est serré, griffé, agité, il reprend vie. À la fin de la lecture, elle clique sur le site, observe les textes signalés comme lus. En lit quelques extraits. En me jetant parfois un regard que je ne saurais décrypter.

— Pourquoi tu ne m’as jamais dit que tu voulais être cocu ?

— Je… je sais pas trop ! C’est gênant !

— Oui ! C’est gênant, tu as raison. Mais je crois que nous allons rapidement remédier à cette gêne.

— C’est-à-dire ! On va faire quoi ?

— Toi rien ! Moi, je vais aller me faire baiser. Tu sais que j’adore ça et j’ai envie de faire plaisir à mon petit mari. Tu sais aussi que je t’aime comme une folle. De toute façon, je me doutais bien que tu étais comme ça. Je connais bien les hommes, tu le sais aussi, ça ! Depuis qu’on est ensemble, les fois où tu es le plus excité, c’est quand je te raconte mes parties de cul avec d’autres mecs ou quand on croise un de mes ex. J’en ai connu des mecs et des bites, donc un peu plus, un peu moins, si toi et moi on prend du plaisir, je suis OK. J’y pense depuis un certain temps, alors voilà comment je vois les choses. Je viens de me faire mettre deux nouveaux piercings, ils sont sur chacune de mes lèvres. Voici un petit cadenas, quand tu auras envie que je baise avec un autre mec, tu l’enlèveras. Si tu ne veux pas, tu me le remets. Je choisis qui et où. Et ce n’est pas parce que tu me l’enlèves que je le ferai forcément, il faut que j’en aie envie et qu’un mec me plaise. Si tu es d’accord, tu prends le cadenas, sinon, laisse-le sur le bureau et passons à autre chose.

 

Pendant son long monologue, elle m’avait exposé les deux anneaux dorés posés sur les grandes lèvres glabres de sa chatte. Elles étaient gonflées par le traitement qu’elles venaient de subir. Il lui faudrait une à deux semaines pour s’en remettre. Elle accrocha et décrocha le petit cadenas, pour montrer la manœuvre. Je m’y essayai, faisant très attention de ne pas faire mal à ses lèvres endolories. Ce qui fut difficile. Elle me dit qu’elle était excitée. Que la douleur lui donnait envie de baiser, mais que le mec qui lui avait fait lui avait déconseillé de le faire pendant quelques jours. J’avais le cadenas en main :

 

— Alors, tu me le mets, tu le gardes ou tu le reposes ?

— Je le garde !

 

Ses yeux brillaient d’excitation. Elle plongea sur ma bite et me suça comme une furie. Elle me fit jouir sur mon ventre.

 

— Je retourne voir le perceur. Tu sais, c’est celui qui est à l’angle de la rue. Il a bandé pendant toute l’opération. Il a dû m’essuyer plusieurs fois le minou tellement je mouillais. Il a fait du bon travail, il mérite bien une petite gâterie, tu crois pas ? Tu seras bientôt cocu, mon chéri, plus que quelques minutes. Ne te branle pas, je reviens tout de suite

 

Elle retira son soutien-gorge et quitta l’appartement sans me laisser répondre. Moi, je bandais de nouveau.

 

Effectivement, elle ne fut pas longue. Elle revint un quart d’heure plus tard. Elle me roula une grosse pelle qui sentait la bite. Elle-même sentait le sperme. Elle ouvrit sa veste et je la découvris souillée de semence. Son décolleté en était recouvert. Elle le retira ainsi que mon t-shirt et se colla et se tortilla contre moi, comme pour me faire partager ce jus d’homme. Je bandais toujours. Elle m’installa dans le fauteuil du bureau et entreprit de me faire ce qu’elle avait fait à l’autre. Une bonne fellation, elle me mit entre ses seins pour me finir en branlette espagnole, comme lui, sauf que moi, je baignais dans sa semence. J’ai joui entre les seins de ma femme, mélangeant nos gènes. Elle recueillit du liquide poisseux dans sa main et m’en badigeonna les couilles et l’anus. Ma bite tressautait encore de ce traitement.

 

Elle me tira dans le salon, retira sa jupe et s’allongea impudiquement, jambes écartées. Elle était merveilleuse, j’étais cocu. Je me précipitai pour dévorer le bel abricot bien mûr. Stoppé dans mon élan, Sophie me rappela l’impossibilité de toucher son minou, mais qu’elle avait besoin de plaisir, qu’il fallait que je m’occupe de sa jolie poitrine. Je le fis avec beaucoup de tendresse. Je caressai ses seins, j’en enduisis le moindre recoin de crème masculine. Jouant avec les tétons, les serrant l’un contre l’autre, les pressant comme elle me l’avait montré lorsqu’elle m’avait guidé sur les chemins du plaisir.

 

— Tu sais que j’aime quand tu me les lèches, que tu me les suces !

— Mais, je…

 

Je la regardai, interrogatif. Ses seins étaient pleins de sperme. Je n’allais quand même pas… Elle ne me laissa pas le temps de finir ma pensée qu’elle m’attira par la nuque et écrasa mon visage contre son sein droit. Mon visage se barbouilla de cette substance. La bouche sur le téton dardé, je l’ouvris et en appréciai le goût. Le mauvais goût, mais qui m’excitait. J’entrepris de le lui lécher. Je faisais ce qu’elle ne faisait pas. J’avalais. Elle aimait et se tordait en gémissant de désir sous mon corps.

 

Elle se tira de côté, je sentis sa main descendre sous mon ventre, caresser un peu mon chibre prêt à exploser, continuer sur mes bourses encore recouvertes de jus, les flatter, les soupeser, puis poser un doigt sur ma rondelle, elle aussi toujours crémeuse. Sophie aimait me taquiner la petite étoile, parfois avec la langue, parfois avec le doigt. Elle y aventurait ce dernier, mais jamais plus d’un. J’aimais. Elle me disait alors qu’elle aimerait me baiser, qu’elle aimait mon cul, qu’elle aimerait avoir une bite pour m’enfiler. Moi je ne répondais pas, je rêvais à ce jour. Cette fois, elle dut sentir mon relâchement dû à l’excitation, le lubrifiant était déjà posé entre mes fesses. Après quelques va-et-vient de son doigt, un deuxième se fraya un chemin. Je fus étonné et je crois que Sophie aussi, de la facilité avec laquelle il était entré. Elle se redressa et me demanda de me mettre à genoux sur le canapé. Les bras sur le dossier, ses doigts toujours fichés en moi.

 

Ma femme m’enculait en me pétrissant les boules et la queue. J’adorais ça, elle aussi. Elle me disait que le temps que sa chatte puisse recevoir de la bite, elle pourrait au moins jouer avec mon petit trou. Alors qu’elle tentait d’en insérer un autre, je me répandis en ajoutant de nouvelles taches, déjà nombreuses sur le convertible.

 

Son sexe ne put rien supporter pendant dix jours. Je profitais de sa bouche, elle de mes fesses. Au bout de deux jours, elle était revenue avec un gode ceinture, heureusement pas bien gros. Elle m’a baisé avec. C’était divin. Je me faisais sodomiser, pas elle. J’étais l’enculé de la maison, elle aimait me dire ça pendant qu’elle me prenait. Moi aussi, j’aimais. Je ne lui ai pas remis le cadenas durant cette période, histoire qu’elle guérisse plus vite. Elle ne profita pas de sa liberté, trop occupée à torturer ma petite rondelle. Je pensais qu’elle sucerait bien un mec,, mais non. Elle préférait attendre pour les recevoir en elle, comme elle me disait. « Les recevoir », me répétais-je sans cesse, en bandant.

 

Le soir du dixième jour, après la deuxième abstinence la plus longue de sa vie sexuelle, la précédente avait duré trois semaines – elle s’était concentrée à l’époque pour avoir son bac – elle me fit une surprise. Non au fait de sa nouvelle disponibilité sexuelle, elle me le signifia en m’accueillant après le travail par un gémissement que lui procurait un grand type tatoué de partout. À quatre pattes derrière elle, il semblait lui pilonner très vigoureusement la chatte. J’estimais enfin être cocu pour de bon. Sucer n’est pas tromper, selon un grand philosophe contemporain. Je bandais. Je m’approchai.

 

— Ton cocu est là, ma chérie !

 

Elle se redressa et me sourit :

 

— Regarde chéri, il a un nouveau tatouage sur la queue ! Il est gentil, il a voulu que j’en profite la première.

 

Il sortit une belle grosse queue bien lourde de ma femme et me présenta son œuvre. Effectivement, la bite et même les couilles étaient couvertes de dessins. Il replongea la chose dans des profondeurs marécageuses. Je n’avais pas touché, ni baisé le sexe de ma femme depuis dix jours, et c’est un autre qui profitait de cet antre. J’en savais la douceur, la chaleur. J’imaginais l’excitation et l’étroitesse, la jeunesse vaginale retrouvée, anéanties par un colosse à la bite multicolore. J’étais cocu. Je bandais.

 

Il était puissant ce gaillard. La sueur luisant sur les tatouages dépourvus de toutes pilosités faisait ressortir une musculature imposante. Je voyais clairement les muscles du dos, des fesses, des cuisses onduler sous la peau au rythme des coups de boutoir. Boutoir multicolore, boutoir épilé, mais boutoir quand même. Et pas des moindres. Détail anatomique qu’elle n’avait pas mentionné lors de nos premiers ébats le concernant. Elle voulait m’en faire la surprise.

 

Peu importe, je suis cocu, je bande, je l’aime ma salope. Je regardai la chose imposante coulisser en elle. Elle en avait connues de bien plus grosses par le passé, elle l’encaissait bien, en jouissait même bruyamment. Colonne colorée, luisante des saintes sécrétions, encadrée par des lèvres gonflées d’excitation, ornées de dorure. Fasciné par le spectacle, j’attendais de dénouement. Le bâton disparut complètement, je voyais juste les hanches du tatoueur collées aux fesses de Sophie. Il éjaculait profondément en elle. Elle criait sa jouissance, bien plus fort qu’avec moi me semblait-il, bien trop fort pensais-je. J’étais cocu.

 

Elle paraissait évanouie. Lui se rhabilla. Un petit signe de la main et il nous quitta sur un :

 

— À la prochaine, les amoureux, c’est quand vous voulez.

  N° 1241 Finalement, le cocu sert quand même à quelque chose… 

Il est sympa l’amant de ma femme, il la fait jouir et nous appelle les amoureux. Je l’aime bien, il pourra revenir quand il voudra, ou plutôt quand elle voudra. Si je devais donner un double des clés du cadenas, ce serait à lui. Elle émerge doucement. Toujours sur les genoux, la tête dans les coussins, elle laisse s’échapper les preuves de son infidélité par la béance que me propose cette vue. Les filets de sécrétions et de sperme viennent rejoindre d’autres souvenirs sur le canapé.

 

— Prends-moi, chérie ! Vite !

 

Je tombe mon pantalon et présente ma queue. Elle me paraît petite maintenant. Je pénètre avec une facilité déconcertante. Je la sens à peine autour de ma bite. C’est chaud, c’est bouillant, mais je ne sens pas la pression habituelle. Celle que je connais si bien. Je ne bute pas non plus dans le fond, toute ma longueur y est, mais mon gland reste libre et sans contrainte. Je suis cocu, je le ressens physiquement.

 

Elle se met à gémir. Ses organes sont sensibles, rougis, irrités d’avoir été pilonnés par le colosse multicolore après dix jours de vide. Je regarde mon sexe aller et venir dans ce con si large. J’ai du sperme jusqu’aux burnes. Elle a un orgasme, je la sens de nouveau, elle se serre autour de moi. Le jus de notre ami s’en trouve expulsé, ça me coule le long des jambes. Je ne tiens plus et me laisse aller en elle. Alors que je m’effondre de sommeil :

 

— Tu ne vas pas me laisser dans cet état, mon chéri ?

— Comment ça ?

— Tu vas pas me laisser pleine de la semence d’un autre ? C’est pas bien ! Ça pourrait me rendre amoureuse de lui. Et puis tu ne m’as pas léchée depuis des siècles. C’est pas très gentil ça !

 

Comme d’habitude, ne prenant pas de décision, elle m’attrapa par la nuque et me plaqua le visage contre sa chatte spermeuse. Elle me garda bloqué ainsi. Elle attendait que ma langue se mette en action. J’obtempérai. Je bandais.

 

Je partis explorer cette chatte que je redécouvrais. Dilatée, rougie, ornée, spermée. Je la nettoyai consciencieusement, sa chatte, sa petite rosette, ses cuisses. Même ses seins, ils avaient joué assez longtemps ensemble, attendant mon retour. Selon Sophie, je suis arrivé pour la troisième et dernière salve. Ses seins et deux fois son minou ont été honorés par le colosse multicolore. Deux heures et demie de baise intensive. Je comprends les irritations vaginales. Je suis cocu, je bande.

 

Je décidai de lui remettre le cadenas pour plusieurs jours afin que son vagin reprenne forme. Mais excité par cette première expérience, je rendis sa liberté à cette jolie petite chatte. Elle-même très excitée, elle courut en cette soirée vers les bars du quartier, sans culotte, sans soutien-gorge et jupe ras-la-touffe. Je me suis caché dans le bureau et j’ai attendu.

 

Une heure plus tard, elle revenait avec un gars d’une quarantaine d’années. Un costaud qui riait fort. Il ne fit pas dans la dentelle, il l’a poussée sur l’accoudoir du canapé, le cul tendu. Il releva la jupe et la fourra directement. Il la bourra dans une cadence infernale pendant très longtemps, ma petite femme avait orgasme sur orgasme. Décidément, elle savait les choisir. Au moment de jouir, il l’attrapa par les cheveux et lui fourra sa belle queue dans la bouche. Il lui maintint la tête et se répandit dans sa gorge. Bon sang, il avait osé, il l’avait fait. Elle n’a même pas bronché. Elle a juste avalé en le regardant, un beau regard de salope gourmande. Moi, je bandais à me faire mal.


    N° 1268 Tu l’as voulu cocu, tu l’as eu !
    N° 1266 C’est tellement bon d’être cocu…

 


Par DIVAGATION - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 9 octobre 7 09 /10 /Oct 15:09

Charles -pékin13 sur xhamster- tes hésitations sont tout à ton honneur j'y va-t-y ?  j'y va-t-y pas ?

le commencement d'une autre vie

si c'était possible (1) c'est le fantasme de bien des bisex : le consentement quitte à devenir "libertins"(2) 

Afficher l'image d'origineRésultat de recherche d'images

ta femme serait heureuse de te voir comblé ! (1) à négocier-lol- 

Grand FUN :

"Chez eux ils se déshabillèrent
Et soufflèrent la lumière
 Charles  monta dans le grand lit
Hésitant Marc dit : 

J’y vas t’y, j’y vas t’y pas, j’y vas t’y
Tu viens t’y, tu viens t’y pas qu’il lui dit
Comme il disait plus rien dans les draps,
 Charles  dit : Prends moi dans tes bras
Y’a t’y quelque chose qui va pas, mais qu’est ce que t’as
-Ce qui me dérange un peu , qui dit le gars Marc
C’est que c’est la première fois que je fais ça
Dans un lit, sur un matelas !
- Ah ! mais Charles lui dit : t’en fais pas
J’y vas, j’y vas t’y pas ? ah oui i i ¡ Qu’il dit t’y vas
Tu’y vas !"

chanson de Marie Bizet 1939

 

 

"Après nos 2 premiers rendez-vous très chauds, j'ai été assailli de doutes, est-ce que avec un mec, c'était tromper sa femme ? Est-ce que ma femme méritait ça ? Est-ce que ma vie sexuelle hétéro était si pauvre que ça ? A chaque fois que je me branlais je pensais à Marc,[recevoir] sa queue en moi, ou lui, un peu soumis, à attendre mon éjaculation, à me sucer dès que je lui demand[er]ais, chose inconnue jusqu'ici pour moi.
Nous avions convenu de plusieurs rdv mais à chaque fois j'annulais sous un prétexte quelconque.
Au bout d'un certain temps, je décidais de ne pas renouveler l'expérience, mon couple battant de l'aile, le mieux n'était pas d'aller voir ailleurs mais de tout tenter pour le sauver. Nous avions convenu que Marc viendrait ce mercredi matin, et le lundi soir, je lui envoyais un mail lui expliquant ma position et que je souhaitais en rester là. Il comprit mon problème et me dit que pour lui, il s'agissait plus de passer un bon moment avec un pote que de tromper sa femme, de satisfaire ensemble des besoins que nos femmes ne pouvaient pas satisfaire : sucer une bite et la sentir dans son cul ! [tu prends rien à personne, ta femme te retrouvera tel quel et c'est ni vu niconnu]
Le mardi soir, ma femme se coucha tôt et j'allais voir quelques vidéos porno, excité, le sexe en main, j'écrivais à Marc :
"Tant pis pour ma femme, viens demain, je veux ta queue !! "

Puis le lendemain matin tôt, j'annule à nouveau notre rdv. On se recontacte par mail, il comprend, essaye de me convaincre que ce n'est pas comme si j'allais voir d'autres femmes, ses paroles ne trouvent pas de résonance en moi mais l'envie de me faire sucer, de vivre un moment de sexe sans tabou, me donne envie de le voir. On se redonne donc rendez-vous chez moi le mercredi suivant, encore une fois j'annule la veille, lui expliquant que je suis perdu. Il me dit qu'il est près de chez moi toute la matinée, et qu'il peut venir si je le veux. Je lis son message et je bande, l'imagine nu, son sexe gonflé, il me suce, je le suce, on se prend à tour de rôle, bref, la machine à fantasme marche à plein régime, je le veux !!

"Viens, pour me faire pardonner, je serai ta pute !!". La réponse ne tarde pas, "Je suis chez toi dans 30 minutes".
Je l'attends, je suis hyper excité, on ne pourra pas aller dans le lit, pas le temps de tout nettoyer, ce sera la douche mais ça lui va.
Il arrive enfin, il sonne je lui ouvre. A peine entré, je ferme la porte d'entrée, me met à genoux et ouvre son pantalon. Je sors son sexe, je lui ai promis d'être sa pute, je commence direct !!!

Je prends son sexe dans ma bouche et commence à le sucer"...

 

 

ainsi soient-ils !

bien du bonheur à toi Charles       

  "libertins"(2) en voilà une idée qu'elle est bonne !   

Par pour honorer Charles , claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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