Partager l'article ! Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c ...
fameuse soirée ! moi qui passais auprès de tous et de
Solène pour hétéro pur sucre, elle m'a gardé, et en même temps
m'a jeté dans les bras de Romain. [A quand trois dans le même lit ?
j'en rêve maintenant...]
ce qui me hante et que John Dos Passos appellerait "Newsreel" : actu : 1 seule nouvelle :
Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »
réaliser tout ce qui en moi est gay
je m’assois en tailleur à côté de lui. Je roule un deux-feuilles, je l’allume tout en sirotant ma bière. Romain soulève mon sexe puis pose la paume de sa main droite sur mes couilles
Romain se penche et dépose un baiser sur mon sexe. Je lui passe le joint. Il me sourit. — Je t’aime, Cédric.
Nous allons dans ma chambre, sur mon lit. Je le prends par la main et je l’y emmène. Nous nous asseyons tous deux sur le lit, nous continuons à nous caresser. Je lui lèche les couilles et je le suce. Après quelques délicieux instants, il s’écarte, puis se met à quatre pattes sur le lit, les genoux bien écartés. Je contemple quelques instants le spectacle. Il tend ses fesses, son anus semble s’offrir à moi. Je prends de la crème hydratante et j’en introduis un peu avec mon majeur. Puis ensuite, je m’en badigeonne le sexe. Je me mets derrière Romain puis je le pénètre. Il pousse un gémissement et écarte encore davantage les cuisses. Je commence à bouger en lui, d’abord lentement puis de plus en plus vite. La jouissance tarde à venir, mais je viens en même temps que lui. Quelques minutes après, Romain vient blottir sa tête sur mon épaule puis nous nous endormons.
Le lendemain matin, nous prenons tous les deux un café, puis je lui propose que nous prenions notre douche ensemble.
— Ce n’est pas pour aller plus vite, je n’ai cours qu’à 11 heures. C’est pour le plaisir.
— Tout le plaisir est pour moi. Moi, je n’ai cours qu’à 10 h 30.
Dans la douche, je savonne Romain de façon telle que j’ai le plaisir de voir très rapidement son sexe se dresser fièrement. Alors que l’eau coule sur mon dos, je le savoure à pleine bouche, longuement. Ma langue dessine des arabesques sur son gland et je ne me lasse pas de le sucer.
— Attention, ça vient, me dit-il en essayant de se retirer de ma bouche.
— Non, laisse, c’est pas grave.
Puis je le reprends dans ma bouche. Je le suce avec de plus en plus de frénésie jusqu’à ce qu’un jet chaud vienne inonder mes lèvres et ma langue. Je l’avale d’un trait.
Nous prenons le métro ensemble, direction la fac. Nous arrivons vers 10 heures, puis nous allons boire un café à la cafétéria. Puis il s’en va à son cours. Je l’embrasse sous le regard éberlué de certains étudiants qui me connaissent et il sort. Caro et Théo, un couple d’amis qui font tous les deux Histoire, viennent s’asseoir à ma table.
— Salut, Cédric !
— Salut, les amoureux ! Vous allez bien ?
— Ça va, dit Caro. Toi aussi, ça a l’air d’aller. J’ai bien vu ce que j’ai vu ?
— Tu as bien vu.
— Tu sors avec Romain ?
— Disons que je ne m’en cache plus.
— C’est pour ça que Solène t’a quitté ? demande Théo.
— N’importe quoi ! Ça s’est passé après. C’est quoi, toutes ces questions ?
— Rien, on s’inquiète pour toi, se défend Caro. Ça n’avait pas l’air d’aller, ces derniers temps.
ce qui me hante et que John Dos Passos appellerait "Newsreel" : actu : 1 seule nouvelle
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Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »
Je me garde bien de leur faire part du deal étrange de Solène.
— C’est effectivement le cas. Je ne peux pas me l’enlever de la tête, je l’aime.
— Et Romain est amoureux de toi depuis qu’il te connaît.
— Maintenant, je sais… oui.
Mon téléphone vibre. Je regarde, c’est un SMS de Solène : « Je t’aime. On se voit quand ? »
Réponse : « Quand tu veux. Je t’aime. Je t’appartiens ».
ce qui me hante et que John Dos Passos appelle "Newsreel" : actu : 1 seule
nouvelle :
Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »
Je me reprends un café avec Caro et Théo. Ils ont la délicatesse de changer de sujet de conversation. Nous parlons de nos cours respectifs. Comme ils sont en Histoire, je les branche sur la Rome antique, je leur pose des questions sur les institutions. Caro est plus calée là-dessus ; Théo, son truc, c’est plus l’histoire contemporaine. Je finis mon café, je prends congé, je pars à mon cours.
Cours magistral en amphi. Je me mets au fond, je sors mon portable discrètement. J’attends un message de Solène, je mets en silencieux et je le pose à côté de mon carnet de notes. J’écoute le type en train de parler. Pas inintéressant, mais j’ai du mal à suivre. Je n’arrive pas à me concentrer, je pense à Solène. Mais pourquoi diable a-t-elle mis comme condition que je reste avec Romain ? Je me remémore ses rares crises de jalousie, quand je matais une autre nana par exemple. Que dit-il ? Je retiens une phrase par-ci par-là : « Pour Platon, nous pouvons, en partant de la beauté corporelle et sensible, progresser jusqu’à la beauté de l’âme. » « Solène, je t’aime ! » Ou encore : « L’amour est, pour Platon, penía, ce qui signifie pauvreté ; c’est donc un manque qui nous pousse à remplir notre incomplétude, un élan vers ce que nous ne possédons pas, une aspiration à la Beauté elle-même. »
ce qui me hante et que John Dos Passos appelle "Newsreel" : actu : 1 seule
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Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »
Je jette un œil sur mon portable. Toujours pas de nouvelles de Solène.
Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »
J’ai encore deux cours dans l’après-midi. À midi, reçois deux SMS. Un de Solène, quasiment identique à celui que j’ai envoyé à Romain : « Samedi 14 heures chez moi pour le café. Bises. Je t’aime. »
revivre ce que nous avons vécu avant Romain et notre deal
« Putain ! Je vais devoir attendre samedi ! » Puis celui de Romain : « À ce soir. »
ce qui me hante et que John Dos Passos appellerait "Newsreel" : actu : 1
seule nouvelle :
Mes pensées divaguent. Je me vois encore à genoux sur mon lit, pétrissant les fesses de Romain tandis que je le pénètre. Fameuse soirée ! Que c’était bon, ces coups de boutoir dans son cul, de plus en plus insistants, de plus en plus violents, cette frénésie des hanches qui remuent avec la régularité d’un métronome, cette sensation de plénitude que j’ai éprouvée à le pénétrer, à le faire gémir sous mes assauts. Je reprends mon portable, je lui envoie un SMS : « Ce soir 21 heures chez moi ? »
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