Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 05:29

Peut-être ce sont les bisex et les hétéros indécis qui 'peuplent' le plus les dragues, les saunas, les wc publics et d'autoroutes ainsi que les applications et sites de rencontres... peut-être, mais, quand je rencontre un gars, je ne lui demande pas ses 'données personnelles' -lol- je me contente qu'on se plaise en tout ou en partie et c'est pas pour un mariage...  

 

 

 VRAI : Au grand Dam des hétéros  et des furies la population gay-bisex augmente à grandes enjambées depuis 2013. Comme ça reste très personnel de le dire ou pas, les statistiques  demeurent incertaines quoiqu'en dise l'IFOP. Nous à cavaillongay oon fait partie des gens qui disent à quoi bon ranger les gens dans des catégories : vivons heureux et on verra après...!

 

Résultat de recherche d'images pour "pêche à la ligne" je veux tout ! Et je suis patient… très patient…

l'original :  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2013-Ah-ces-heteros-01.php

Ah... ces hétéros...

Salut à vous chers lecteurs. Les récits qui vont suivre sont nés dès suite de l’excitation éprouvée à ma propre lecture de certains récits d’auteurs anonymes tels que vous. Lecture qui m’a donné l’envie de communiquer à mon tour le désir et le plaisir par ma plume. Ces mêmes histoires que je vais vous conter sont nées de certaines expériences, ou de fantasmes… parfois même, elles mélangeront les deux.
Je me nomme Daniel, j’ai 27 ans. Physique plutôt agréable… voir très agréable ! 1m78, 75kg tout en muscles, que mon travail dans la métallurgie me permet de cultiver sans perdre mon temps à la gym. Cheveux noirs corbeau, yeux bleus-gris. La nature a été diront nous, quelque peu généreuse avec moi. Je suis passionné par la musique, la nature, j’aime cuisiner et je peins des corps nus. J’ai une allure plutôt hétéro, comme le milieu dans lequel j’évolue… Et j’aime ce milieu, j’aime les hétéros…. C’est ça mon truc… ! Je kiffe les détourner du droit chemin ! Quel intérêt de me taper des mecs qui bavent déjà sur moi … même si ça reste agréable. Mais tellement simple quand ils n’attendent que ça. Non, vraiment, la vraie victoire est d’aller dénicher de bonnes salopes chez ceux qui s’ignorent voire se l’interdisent et luttent contre leur nature profonde. Même s’il n’en a pas toujours été ainsi. Les tous débuts n’étais pas si drôles, laisser moi vous raconter ces histoires…

I / Edouard

La première histoire m’est arrivée il y a 8 ans, c’était en Février et j’étais dans cette boite depuis un peu plus d’un an seulement, un an dans le métier que j’exerce aujourd’hui, j’étais donc plus jeune moins baraqué… mais pas moins sexe ! Et je savais déjà utiliser mon pouvoir de séduction, bien que plus maladroitement… Cela a bien changé… Bref ! Une journée d’octobre, démarrait comme toute autre journée de travail il est 5h, et j’entends parler de l’arrivée d’un nouvel intérimaire qui venait remplacer celui parti le vendredi précédent. 8h00, l’équipe de journée arrive, et quelques dizaines de minutes plus tard, accompagné d’une pure bombe, le directeur du personnel qui vient nous présenter ce beau mec comme notre nouveau collègue, Edouard. Environ 1m75 corps taillé comme un athlète, blond foncé, les yeux bleus… et à priori très beau paquet et cul sublime moulé dans un jeans bien serré… Edouard me sert la main et mon chef me demande de le former… Quel pied ! Pas de problème !

Je commence par lui expliquer les quelques informations concernant la sécurité… Cela aurait été tellement dommage d’abîmer un si joli corps ! Puis on commence la formation et les jours passent, le collègue devient un personnage plutôt sympathique et nos journées de travail sont mafois bien agréables. On plaisante l’un avec l’autre, on commence à se voir en dehors du travail, je lui montre mes toiles de mecs et nanas à poil. Il me félicite et on apprend à se connaitre. Il se moque pas mal d’un des mecs de la boite qui fait très efféminé… pour ne pas dire carrément folle ! Je lui cache donc mon homosexualité. Et puis Edouard est un mec assez secret, je sais qu’il aime le reggae et le dance hall. L’univers festivalier, comme moi. Je sais qu’il a une copine depuis près de 4 ans… mais à part ça je n’en saurai jamais plus. Alors me taire sur ma vie sexuelle me paraît une assez bonne idée… les quelques réflexions qu’il peut faire sur les pédés  sont peu reluisantes… il n’a pas l’air d’aimer les homos… quel gâchis ! me disais-je…
Et un beau jour au taf, monsieur décide d’en livrer davantage sur sa personne…

« Je kiffe la baise ! me dit-il.
_ Ben oui moi aussi, comme tout le monde je pense.
_ Nan je veux dire je kiffe vraiment ça, c’est une drogue !
_ Ah t’es une nympho, tu veux dire !!!
_ D’une certaine manière… Même me faire sucer par un mec, ça me plaît… Tant que j’ai la queue bien raide, ça me va… »
Je me suis senti mal à cette révélation… m’avait-il percé à jour, et prêchait-il le faux pour avoir le vrai… Après toutes les saloperies qu’il avait pu balancer sur Yann (la folle…) Un long silence demeurait…. Puis il revint à la charge.

« Tu dis rien…
_ Tu veux que je dises quoi… ?
_ Ben je sais pas moi, tu t’es déjà fais pomper par un mec ?
_ Pourquoi t’as envie de ma bite !!! en riant pour masquer mon malaise et surtout ne pas répondre…
_ Tu réponds pas à ma question… Mais non je suis hétéro et je ne suce pas. T’es malade ou quoi… Y’a que les pédés qui taillent des pipes… »
Décidément il ne lâche pas le morceau et en plus il joue les gros cons… Du coup je la joue franc jeu.
« Si tu veux savoir si je suis gay, la réponse est oui… mais, toi tu t’es vraiment fait pomper par un mec… ?
_ Oui, et pas qu’un. Y’avait même un mec, quand j’étais en internat à l’âge de 17-18 ans avec qui j’avais essayé plus… mais j’ai pas aimé. Du coup il me suçait, je lui défonçais le cul… mais c’est tout.
_ Ouais, j’ai bien compris… t’es un mec, un vrai !
_ C’est ça… Pas trop déçu…
_ Pourquoi… le monde grouille de beaux mecs… au cas ou tu pensais être le seul mec attirant de la planète… Pas trop déçu ?! »

Du coup il rit et la tension redescend. On continue notre journée de taf, et deux semaines passent sans que le sujet revienne sur le tapis. Jusqu’à un vendredi de Juillet où il me propose de l’accompagner pour un festoche dans un département voisin. Un groupe qu’on adore tous les deux se produit ce soir là. Je lui dis qu’évidement je suis partant. Et on part du boulot ensemble pour aller préparer notre week-end à ce festival. On passe juste chez moi, puisqu’il a, me dit-il, déjà tout ce qu’il lui faut. Je prends un sac à dos dans lequel je glisse deux calbuts et deux paires de chaussettes, un t-shirt et quelques capotes que je prends soins de planquer… on sait jamais ! Je prends mon portefeuille, J’ouvre le frigo et je prends quelques bières… un bon festoche c’est class, mais leurs bières sont dégueulasses lui dis-je. Il se marre et me confie qu’il est d’accord. Je prends ma toile de tente, mon sac de couchage, et ma caisse curver « spéciale festoche » que je lui demande de prendre, un bidon de 5 litres d’eau et on part.

Je vous passerai les détails des concerts de la première soirée… tout est cool on danse bien, on picole bien. Super première soirée qui se termine et on s’en va comme tout le monde vers le camping. Là, près de la voiture, on se prépare à installer notre campement.

Je prends donc ma « 2 secondes » que je déplie en deux secondes… Edouard me regarde… complètement saoul, et me dis…
« La vache, faudrait que je m’en achète une comme ça, ce serait moins galère que ma vieille tente de merde… il se dirige vers le coffre de sa bagnole, l’ouvre et ajoute… ben de toute façon je l’ai zappée…
_ C’est con ça… tu vas faire comment ?
_ Ben t’as l’air d’avoir de la place pour 4 dans la tienne…
_ Ben c’est pas gratuit… lui dis-je avec un petit sourire au coin des lèvres.
_ T’es sérieux là… visiblement gêné.
_ Mais non, c’est bon, amène-toi. »
On se couche donc, et la première nuit se passe ainsi, en dormant comme deux simples potes, à l’hôtel des culs tournés comme dirait ma frangine.

Le lendemain, au réveil, je me lève laissant ce sublime mec en train de cuver quasi à poil dans ma quechua, je n’avais évidement pas rater le spectacle de cette magnifique trique matinale qui mettait en valeur son boxer… quelle belle queue. Un bon 19cm à vue d’œil, que je léchais des yeux en préparant le café dont l’odeur réveilla le beau mec qui me grilla en train de mater la bite…

« Le spectacle te plaît coquine ? me dit-il en se caressant la tige…
_ Ma foi… c’est plutôt un beau morceau !
_ Ben une bonne pipe au réveil, ça me le ferait bien…
_ J’imagine bien… mais tu devras attendre de rentrer chez toi pour voir ça avec ta meuf ! Avec moi, c’est donnant-donnant !
_ Ok… dommage. En tout cas cool pour le café… c’est ça qu’il y avait dans ta caisse « spéciale festoche »… carrément class, t’es vachement bien équipé !
_ Et t’as pas vu l’équipement sous le pantalon ! »

Il se marre, prend le café que je lui tends et se roule un joint. Sans prendre la peine de relever ma petite réflexion. Et la journée se passe sans un mot concernant le sujet qui nous met mal à l’aise, moi crevant d’envie de baiser avec lui, mais le faisant mariner, car je sais que plus t’as du mal à avoir quelque chose, plus tu le veux… et lui voulant se faire pomper mais sans rien donner de plus… et même si je kiffe ce mec… ce que je veux, c’est certainement pas être juste sa pute… je veux tout ! Et je suis patient… très patient… Il ne me faudra pourtant pas atteindre plus d’une journée pour voir Edouard se révéler enfin ! Le soir même, après la deuxième et dernière soirée de festoche, le beau gosse encore bien bourré, se désape entièrement pour se coucher… Je matte et tousse, lui demandant s’il n’enfile pas un calbut pour la nuit…
« Ben vu que t’as l’air d’apprécier sa présence, je te la laisse à l’air, tu finiras bien par craquer et me pomper…
_ L’espoir fait vivre lui dis-je… C’est donnant-donnant, souviens-toi… ?
_ Je me rappelle… t’inquiètes ! Et au passage, ton équipement sous le pantalon, j’ai vu aussi… j’suis juste plus discret que toi.
_ Ah bon… Ben heu…
_ Bon tu te mets à poil, ou on discute toute la nuit… ? »

Il fallut quelques secondes pour assimiler ce que je venais d’entendre… alors que je lui tournais le dos. Etre sûr… Après tout j’en avais un bon coup dans le nez aussi… Est-ce que je n’étais pas en train de me faire un film, de rêver tout éveillé… Mais ses mains en train de me dessaper me confirmaient que j’avais bien entendu.
Il m’enleva d’abord mon T-shirt. Je le sentais là , derrière moi, tout contre moi. Ses mains douces et fortes à la fois, caressant chaque parcelle de mon torse, puis de mon ventre. Elles prirent la direction de mon jeans, où elles dégrafèrent ma ceinture en moins de temps qu’il ne faut pour le dire… ma respiration s’accélérait de même que les battements de mon cœur. Sa respiration aussi s’intensifiait, et je sentais son souffle chaud dans ma nuque. Une de ses mains se glissait alors dans mon pantalon et y attrapa ma queue déjà bien raide. Il me massa un moment puis me déshabilla entièrement après m’avoir mis sur le dos. Nous nous retrouvions nus tous les deux, lui, à genoux entre mes deux jambes, me regardant dans les yeux et ne disant mot. Moi allongé sur le dos, le regardant, n’en disant pas davantage. Ses mains caressèrent mes cuisses de chaque coté de lui et remontèrent en direction de ma queue aussi longue et large que la sienne…

il me branlait lentement et longuement avant de se décider à s’en approcher et de me sucer enfin. Sa bouche était juste divine. Il léchait, branlait et pompait mon chibre de plus en plus vite et de plus en plus profondément… De temps en temps il ressort ma queue de sa bouche et reprend haleine en léchant mes couilles, et me branle lentement ma tige dégoulinante de salive… il est doué ce con… et il pourra bien me dire ce qu’il veut… mais il y a maîtrise de l’art de la pipe là… Alors le coup de l’hétéro pur jus… à d’autres ! J’en peux plus et lorsqu’il reprend ma bite en bouche, il faudra peu de vas et vient dans sa gueule pour la remplir… je le préviens par courtoisie, mais il me garde en lui et je crache tout mon jus au fond de sa gorge.

« Et il avale en plus… Donner un mec comme toi à une meuf, c’est du gaspillage !
_ Ah ah ah ! Ferme ta gueule et rends-moi la politesse salope !
_ Ok… mais pour info, les insultes et la soumission n’a aucun effet aphrodisiaque sur moi… donc t’es mignon et tu me la refais poliment s’il te plait… Ou tu te la mets sur l’oreille !
_ Comme tu veux… Ferme ta gueule, et rends moi la politesse salope, S’il te plaît !!! »
J’éclate de rire, et me jette sur lui, le retourne et m’allonge sur lui…. Je l’embrasse dans le cou et lèche chaque partie de son anatomie tout en descendant le long de son corps. En passant sur son torse, je tète ces beaux tâtons, je les lèche, les mordille, les pince… il aime ; il gémit… sa queue est bien dure contre moi… je continue alors ma lèche-descente vers son beau chibre… je l’ai en main et le branle… et à mon tour m’apprête à le pomper aussi magistralement qu’il le mérite…
« - Par contre j’avale pas moi…
_ M’en fous, suce ! »

Et d’une main derrière ma nuque, il avance ma tête vers sa grosse queue. Ca y est, je l’ai en bouche, je le pompe lentement, et je lèche, putain qu’elle est bonne, putain qu’elle sent bon, je la branle contre ma joue, pendant que je lèche la base de sa belle pine et ses couilles. Je le reprends en bouche et suce et lèche encore et encore, alternant les deux, j’aime son bon gros gland bien rond, dur et juteux… je salive, je suce et tète encore et encore, de plus en plus vite. Il adore ma bouche et me donne de légers coups de reins pour que la lui fasse gorge profonde… j’étouffe et manque de gerber… je cale ma main à la base de sa queue et le laisse continuer à donner ses coups de reins qui l’excitent tant… il vient, je le sens se crisper, il me tape sur l’épaule et se retire et m’envoie la sauce dans la gueule dans un râle énorme… Là il me met sur le dos, s’allonge sur moi et lèche son propre jus sur ma gueule… je m’apprête à l’embrasser mais il me repousse et me dit qu’il n’embrasse pas. Mais continue de lécher jusqu’à la dernière goutte de son foutre. Puis me lèche le cou, puis le torse et me dit…
« Putain, t’as encore joui… Elle est bonne ma queue hein !? Attends je vais te nettoyer… »
Et il reprit sa lèche afin d’avaler mon jus à nouveau sur ma queue qui se raidissait une troisième fois…
« Ben mon salaud… tu m’kiffe hein ! »

Il mit quelques coups de langue sur ma bite puis vint s’allonger contre moi et me branla jusqu’à me vider les couilles complètement et avala mon foutre et le sien qu’il avait déchargé sur mon ventre une dernière fois. Il s’allongea à nouveau près de moi après m’avoir remercié de l’avoir si bien pomper…
« Ben écoutes, je sais qui doit remercier l’autre… t’étais je pense bien meilleur que moi…
_ Je n’avais pas le choix… je la voulais ma pipe… »
Genre, le mec, il fait ça juste pour se faire pomper… En tout cas… il aime le jus. Aucun doute à ce sujet. Le lendemain au réveil, il m’ignore, genre il regrette… Il évite le sujet comme mon regard. On rentre, il me dépose chez moi, refuse une bière et repart direct chez lui. Les semaines passent, taf sans problèmes mais vraiment pas d’échanges entre nous, il esquive pour ne pas bosser avec moi… Bref l’ambiance entre nous c’est pas ça. J’aimerais avoir une discussion avec lui et régler le problème, mais il évite de se retrouver seul avec moi et ne répond pas au téléphone ni aux texto…

Ça devient particulièrement tendu entre nous… Jusqu’à cet évènement, ma bagnole tombe en rade. J’allais bosser en stop ce jeudi là de septembre, j’arrivais avec près de deux heures de retard. Pour rentrer, même galère pour rentrer… je partais à pied, et après seulement quelques mètres hors du parking de l’usine, Edouard s’arrête à mon niveau et me dit de monter, qu’il me ramène chez moi.
« Tu vas pas te taper encore 30 bornes à pieds…
_ Parce que t’en as quelques chose à foutre… ?
_ C’est bon, monte je te dis… »
Je monte, et le remercie. On ne dit rien ni l’un, ni l’autre dans cette foutue voiture pendant la moitié du trajet… Puis malgré la boule au ventre…
« Faut qu’on parle Edouard.
_ J’vois pas pourquoi, on a rien à dire, ni l’un ni l’autre.
_ Je ne suis pas d’accord… Ce qui c’est passé au festoche, je comprends pourquoi ça te met mal à l’aise, mais tu…
_ Il s’est rien passé, on était bourré, on a fait une connerie, c’était naze…
_ Ben écoute, jouir trois de suite, je trouve pas ça naze du tout !
_ Arrête, on en parle plus ! OK ?
_ Comme tu veux, mais ne m’ignore plus s’il te plaît…
_ Ça marche »
On arrive chez moi et il repart aussitôt après m’avoir dit qu’il passait me chercher à 4h30 le lendemain pour le boulot.

Ainsi notre relation redevint peu à peu ce qu’elle était avant cette folle nuit. Il était venu me chercher le lendemain et m’avait ramené après le travail. Il était resté pour l’apéro puis était reparti, après m’avoir dit de lui envoyer un texto si j’avais besoin qu’il vienne me chercher pour le taf dans le cas où ma voiture ne serait pas réparée lundi.
Ce fût le cas, trop de frais à faire pour la réparer, ça ne valait absolument pas le coup, je devais en changer. Et du coup il se proposait de me servir de chauffeur jusqu’à ce que je change de voiture. Ce qui prit environ deux semaines. Une semaine de plaisir avec lui. Il s’attardait de plus en plus le soir. La vérité c’est que j’étais en train de tomber amoureux de lui. Plus j’en apprenais sur lui, Plus je fondais littéralement. Devais-je aborder le sujet, ou réfréner mes sentiments naissants… ? Le plaisir d’être avec lui était gâché par la torture de ne pas lui dire ce que j’éprouvais pour lui. Durant ces deux semaines, il se trouvait présent ce vendredi après-midi où je recevais un coup de téléphone d’un homme qui me commandait un tableau de nu masculin pour mettre dans son salon, je pris la commande sous les yeux ébahis d’Edouard, qui de toute évidence, se demandait comment une personne pouvait passer ouvertement une commande si particulière. Et surtout comment il pouvait être prêt à y mettre le prix que je lui avais annoncé…

L’homme en question me demandait un tableau de 1m20 par 65cm en peinture à l’huile, représentant un homme jeune au physique agréable et imberbe se masturbant et se doigtant. Sa position devait être aussi excitante que possible… J’expliquais à Edouard que le plus dur n’allait pas être de peindre le sujet, mais de le trouver… ! A ma grande surprise, Monsieur se proposa comme modèle…

«  C’est gentil, mais je ne trouve pas que ce soit une très bonne idée…
_ Je te jure que ça me gène pas…
_ Moi si !
_ Mais tu m’as bien dit que tu peignais, que t’aies une pomme ou un mec ça te faisais le même effet… non ?
_ Là c’est différent…
_ Ouais je suis mieux qu’une pomme c’est clair, mais en quoi je différent des autres mecs que tu as peins la pine à l’air…
_ Parce que c’est toi…
_ Oui… et ? Parce qu’il y a eu cette histoire… ?
_ Pas seulement…
_ Dis moi… ?
_ C’est gênant Edouard. Mieux vaut changer de sujet…
_ Nan, je veux savoir pourquoi tu ne veux pas de moi comme modèle…
_ Parce que je suis en train de tomber amoureux de toi… »
Un long silence, puis il me dit que si je changeais d’avis, ou si je ne trouvais personne d’autre, il resterait dispo…
« C’est tout ce que ça te fait ? J’viens de te dire que…
_ J’ai entendu ce que tu as dit… j’ai bien compris. Qu’est ce que tu veux que je te dise… C’est normal… j’suis une bombe… Et j’ai une super bonne queue… Normal que tu me kiffes…
_ T’es con ou quoi ?
_ Ecoutes… ça me gêne pas, mais faut juste que tu gardes à l’esprit que toi et moi, c’est mort… il se passera plus rien. C’était top mais une fois c’est suffisant…
_ Et tu crois que je me contenterais de ça… ? De cette explication de merde pour passer outre ce que je ressens… ?
_ Il va bien falloir… T’inquiète pas… ça te passera avec le temps. »

Je secouais la tête, il ne comprenait rien, ou ne voulait pas comprendre. Mon téléphone sonna, je décrochai. C’était ma banquière qui m’annonçait que le crédit auto était accordé. Et que les fonds seraient sur le compte sous 24h. J’appelais donc le propriétaire de la Seat Leon que j’avais vu la veille et qui m’intéressait que je prenais bien son véhicule… Ce jour là il me proposait de passer la soirée ensemble et de m’emmener le lendemain aller chercher ma nouvelle voiture. Ce vendredi soir, nous passâmes la soirée chez lui. Sa copine était en week-end chez ses parents. En arrivant à son appart, il alla prendre une douche. Quand il en sortit, avec une simple serviette autour de la taille, je ne savais où me mettre… son corps encore mouillé, l’odeur de son gel douche noix de coco… il passa près de moi en se dirigeant vers sa chambre et me sourit… je me demandais à quoi il jouait…J’étais troublé… et lui demandai donc si je pouvais aller à mon tour prendre une douche.
« Fais comme chez toi… Je t’apporte une serviette propre… vas-y, je te la mettrai sur le lavabo… »

Il me demandait d’aller me foutre à poil sous la douche, et me dit qu’il entrerait pendant que j’y serais pour y déposer une serviette… Je trouvais ça étrange… il aurait pu de la même manière me donner la serviette avant d’aller se changer et avant que j’aille me doucher non ?... Bref, je partais me doucher, et me mis à poil, m’attendant à le voir débarquer pendant que je me savonnerais… Après m’être déshabillé, je commençai à me doucher. Mon imaginaire se mit alors en route pendant que je me savonnais avec son gel douche…
Je me dessapais posant mes vêtements à l’arrache sur le sol, me restait seulement mon boxer quand Edouard entra dans la salle de bain, nu avec ma serviette… et me demanda s’il ne me manquait rien…
« Si… toi !
_ Ben voilà je suis là beau mec... »

Il me prit alors par la taille et m’embrassa langoureusement tout en m’enlevant mon calbut. Puis il me conduit sous la douche, et mis l’eau à couler doucement. Il m’embrassait toujours en me caressant les fesses avec force. Je lui en faisais autant, puis le fis se retourner afin d’entamer ce qui deviendrait sa meilleure branlette. Ainsi tout en frottant ma queue entre ses fesses, j’astiquais la sienne vigoureusement en continuant de lui rouler une bonne pelle… Puis doucement je commençai à lui enfoncer doucement ma tige sans qu’il ne me repousse…

« Ben dis donc, c’est mon gel douche qui te met dans cet état ??? »
Edouard, était là près du lavabo, où il venait de déposer ma serviette comme convenu. Il n’était pas à poil, comme je venais de me l’imaginer… moi j’avais une trique monumentale… il souriait…
« T’inquiètes pas mec ! Y a pas de mal à se faire du bien !!! Hé hé… Continue !!! Et il sortit de la salle de bain. »
Je finis ma douche sans prendre la peine de finir de m’astiquer le manche, m’habillai et l’ai rejoint dans le salon où il m’avait préparé un apéro qu’il me tendit :
« Sky sans glace, sans coca !
_ J’vois que tu me connais bien ! en lui souriant…
_ Dis-donc tu t’es finis rapidement…
_ Wouaip… j’ai rien fini du tout.
_ Merde, désolé si t’ai coupé ton envie…
_ Pas grave ! Santé, Bonheur…
_ Et pipe à toute heure…
_ Hé hé hé… on va l’éviter celle là !!! Inutile de remuer le couteau…
_ Ok… ben joie dans ta sœur alors…
_ Nan ben je préfère l’autre finalement ! »

Et on continue la soirée en se marrant de la même manière…
Je prépare le repas, et il ressert un apéro… j’en ai déjà tellement bu que je ne saurais dire à combien on en est ! Ce que je sais c’est qu’on s’en tient une bonne une fois encore et qu’il vient d’enlever son t-shirt prétextant qu’il avait chaud. On mange tranquillement, devant un film qu’il a choisi. Un film d’action à la con genre hyper tension…
« A part les muscles de l’acteur, y a pas grand-chose qui me plaît dans ce film… mais bon faut savoir faire plaisir à son homme… lui dis-je sur le ton de l’humour…

_ Ben t’aura qu’à mater mon torse et mon paquet pendant que je regarderais le film…
_ Heu… wouais si c’est le ton de la soirée… ça risque de déraper…
_ Nan je t’assure ça risque pas ! »
Il nous ressert un verre chacun… puis réalise qu’il a loupé une émission … je ne me souviens plus du nom de l’émission en question, c’était une connerie du genre l’ile de la tentation ou du même genre… Et la soirée prend une tournure bizarre… bref je lui dis à ce moment là…
« Mais non, c’est le samedi.
_ Non, non… c’est le vendredi. Je la regarde toutes les semaines.
_ Ben écoutes, mon chéri… soit ils passent ton programme adoré deux soirs de suite… Soit c’est bien le Samedi, ça tombe le même soir que Poltergeist… je le sais, je zappe dessus pendant les pubs.
_ Nan, j’te dis, tu dois te planter… c’est le Vendredi… J’suis pas fou.
_ T’énerves pas. J’te dis pas que tu es fou, J’te dis juste que Poltergeist, c’est tous les Samedis, en deuxième partie de soirée, que je regarde cette série, et que pendant les pubs, quand je zappe, je tombe sur ta merde… sans vouloir être malpoli !!!!
Il s’énerve…
_ Arrête de dire de la merde et de me faire passer pour un con, j’te dis que c’est le vendredi et que je l’ai loupé…
_ OK, ok… t’énerve pas. Déjà ça vaut vraiment pas la peine de se prendre la tête pour ça, et puis entre nous, si tu savais comme je m’en tape…
_ Tu me crois pas… ? Tu veux qu’on parie… ?
_ Tu sais bien que je ne parie jamais Edouard.
_ T’as pas envie de perdre hein…
Là c’est moi qui commence à perdre patience, et il commence un peu à me gonfler avec son histoire de pari sur le jour d’un programme… en plus un programme aussi naze…
_ Non, je suis sûr de moi, mais admettons, si on pariait, on parirait quoi ?
_ Je suis tellement sûr de moi, que je te laisse choisir… me dit-il d’un air hautain pas franchement agréable.
Je bous intérieurement…
_ Ok… je souris
_ Alors… ? Tu veux parier quoi… ?
_ Le perdant devient l’esclave du gagnant tout le Week-end…
Il a un moment d’hésitation, puis me tape dans la main… et me dit :
_ Tu vas bientôt regretter… il a un sourire nerveux. »

Il attrape près de lui le magazine télé et commence à chercher son programme sur la journée du Vendredi, et ne trouve pas ce qu’il cherchait… Il blêmit… Bafouille en me disant que son programme a sûrement été remplacé depuis cette semaine… Ce à quoi, je lui réponds, que c’est peut-être parce que son émission est tout simplement diffusée le Samedi et qu’il devrait plutôt jeter un œil du coté de cette journée de la semaine… Il cherche la journée en question… et ne la trouve pas… ben Merde ils ont fait un magazine qui ne couvre que Six jours sur Sept… c’est naze comme concept !!!! J’attrape le magazine et effectue la recherche moi-même pour le mettre face à son échec… Ce qui est fait en deux secondes !

Il admet sa défaite… et me demande ce qu’il doit faire… je lui demande donc de me masser les pieds, j’ai aperçu un flacon d’huile de massage dans sa salle de bain… Il s’exécute en me souriant. Pendant plusieurs minutes il me masse les pieds… Et je dois dire qu’il s’y prend divinement bien… Si bien que je lui demande de me masser le dos et les épaules… J’enlève mon t-shirt et m’allonge sur le BZ. Il se met à califourchon sur moi et commence son massage… contre mon cul, je sens sa bite… c’est trop bon. Plus les minutes passent et plus le massage m’excite… et de toute évidence, lui aussi, vu la dureté de sa queue contre mes fesses. Je me retourne pour me trouver face à lui. Il reste sur moi, et je lui demande de me masser le torse et le ventre. Il obéit. Et longuement il me masse le torse en passant de temps à autre sur mes épaules et ma nuque, puis il descend vers mon ventre qu’il caresse longuement…
« Edouard…
_ Oui ?
_ Oui, Maître ! Appelle-moi Maître. dis-je en lui souriant.
_ Oui Maître ?
_ Tu bandes encore… ?
_ Non, Maître.
_ Mais bandais tout à l’heure quand j’étais sur le ventre… ?
_ Mais, euh, non, pas du tout… Maître.
_ Menteur… Dessape-toi ! »

Il enleva son jeans et laissa apparaitre une queue bien raide comme je le savais, pas de sous-vêtement, et rougit de honte.
« Allez esclave, reprends ton massage à poil…
_ Oui Maître… t’es content hein !
_ Oui, mais vu comme t’as la trique, je dirais que toi aussi ! Masse ! »

Il reprit donc mon massage à califourchon, toujours, mais cette fois complètement nu, et le dominer me plaisait, je prenais vraiment goût à ce pouvoir que j’avais sur lui… Le voir obéir à tous mes ordres était vraiment très excitant. Il commençait à faiblir à force de me masser, je ne m’en étais pas aperçu, mais il me palpait depuis déjà depuis plus d’une heure. Je décidai donc de passer à la vitesse supérieure et lui en fis part… suite 1

Ramon

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Par RAMON - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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