DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Samedi 8 octobre 6 08 /10 /Oct 00:14

    TU ES DE CAVAILLON OU DE NOTRE REGION ? SI TU ES ATTIRE PAR SON PROFIL TU PEUX JOINDRE CHARLES  

 

Je suis: charles, 60
De: lancon provence, France
Cherchant: Homme
Langue: Français
Information personelle
Relation: Pris
Enfants: Oui, nous vivons ensemble
Occupation: rien
Education: Un peu de lycée
Religion: Christianisme
Signe zodiacal: Lion
Fumeur: Régulièrement
Boisson: Occasionnellement
Drogues: Jamais
Salaire: Petit
Information physique
Origine ethnique: Latin
Corpulence: Moyenne
Hauteur: 176 cm (5 pied 9 pouce)
Longueur de cheveux: Court
Couleur des cheveux: Autre
Couleur des yeux: Vert
A propos de moi
salut, je suis bi-sex, j'ai découvert la sexualité vers 13 ans avec des garçons de mon age, puis avec les filles vers 17 ans.
j'ai baisé avec les deux sexes toute ma vie et encore maintenant, bien que cela soit plus difficile de draguer les jeunes à mon age, seuls des hommes jeunes sont encore accessibles, j'ai eu des blancs, beurs, gitans il me reste les blacks et asiats.
j'ai essayé une fois un trans ! je cherche un mec actif sur salon de provence et alentours pour plan cul direct, régulier ou non !
ce que je voudrais maintenant c'est faire l'amour avec une jeune beurette, c'est mon voeux le plus cher !!
quelqu'un peut-il me mettre en relation avec une beurette ?
si vous en connaissez une ....!

VOILA POURQUOI MES GALERIES SONT DIRIGES VERS TOUTES LES SEXUALITES , SAUF CRADE ET BRUTALE !

hello, i'am bi-sexe since the age of 13, so i like younger women, younger men than me and transsexuals.
i love people of all ethnicities, all races.
that is why you will find photos and vidéos of all genres concernants my desires and cravings.
scéances goods to you all !!!
http://ept.xhcdn.com/000/116/793/187_160.gif
IL PUBLIE CETTE IMAGE sur son compte X hamster :
et celle-ci aussi :

 

 

SUR SON COMPTE HAMSTER  IL PUBLIE DES HISTOIRES 

celle-ci a des accents de vérité : ENTRE HOMMES  

  Après nos 2 premiers rendez-vous très chauds, j'ai été assailli de doutes, est-ce que avec un mec, c'était tromper sa femme ? Est-ce que ma femme méritait ça ? Est-ce que ma vie sexuelle hétéro était si pauvre que ça ? A chaque fois que je me branlais je pensais à Marc, sa queue en moi, ou lui un peu soumis à attendre mon éjaculation, à me sucer dès que je lui demandais, chose inconnue jusqu'ici pour moi.
Nous avions convenu de plusieurs rdv mais à chaque fois j'annulais sous un prétexte quelconque.
Au bout d'un certain temps, je décidais de ne pas renouveler l'expérience, mon couple battant de l'aile, le mieux n'était pas d'aller voir ailleurs mais de tout tenter pour le sauver. Nous avions convenu que Marc viendrait ce mercredi matin, et le lundi soir, je lui envoyais un mail lui expliquant ma position et que je souhaitais en rester là. Il comprit mon problème et me dit que pour lui, il s'agissait plus de passer un bon moment avec un pote que de tromper a femme, de satisfaire ensemble des besoins que nos femmes ne pouvaient pas satisfaire : sucer une bite et la sentir dans son cul !
Le mardi soir, ma femme se coucha tôt et j'allais voir quelques vidéos porno, excité, le sexe en main, j'écrivais à Marc :
"Tant pis pour ma femme, viens demain, je veux ta queue !! "

Puis le lendemain matin tôt, j'annule à nouveau notre rdv. On se recontacte par mail, il comprend, essaye de me convaincre que ce n'est pas comme si j'allais voir d'autres femmes, ses paroles ne trouvent pas de résonance en moi mais l'envie de me faire sucer, de vivre un moment de sexe sans tabou, me donne envie de le voir. On se redonne donc rendez-vous chez moi le mercredi suivant, encore une fois j'annule la veille, lui expliquant que je suis perdu. Il me dit qu'il est près de chez moi toute la matinée, et qu'il peut venir si je le veux. Je lis son message et je bande, l'imagine nu, son sexe gonflé, il me suce, je le suce, on se prend à tour de rôle, bref, la machine à fantasme marche à plein régime, je le veux !!

"Viens, pour me faire pardonner, je serai ta pute !!". La réponse ne tarde pas, "Je suis chez toi dans 30 minutes".
Je l'attends, je suis hyper excité, on ne pourra pas aller dans le lit, pas le temps de tout nettoyer, ce sera la douche mais ça lui va.
Il arrive enfin, il sonne je lui ouvre. A peine entré, je ferme la porte d'entrée, me met à genoux et ouvre son pantalon. Je sors son sexe, je lui ai promis d'être sa pute, je commence direct !!!

Je prends son sexe dans ma bouche et commence à le sucer doucement. Il bande rapidement et se laisse faire, je m'applique, je le regarde dans les yeux, lèche son gland, puis tout son sexe et l'engouffre à nouveau entier dans ma bouche, lui offrant une gorge profonde. Il est maintenant bandé au max, je le suce depuis quelques minutes seulement quand il me dit :

— Tu vas me faire jouir
— Non, je la veux d'abord dans le cul
— Tu la veux dans ton cul ?
— Oui, viens

Me souvenant des fois précédentes ou il avait eu un peu de mal à rebander après une éjaculation, un de nos fantasmes communs était qu'il me prenne, sans capote cette fois-ci, car tous les 2 sains, et qu'il jouisse en moi. Hors de question de louper ça. L'autre fantasme était qu'il me suce jusqu'à me faire jouir avant de me prendre.
Je l'emmène donc à la salle de bains, nous sommes nus en un temps record, nous passons sous la douche, je me mets du gel sur l'anus et m'enfonce une brosse de massage que j'utilise quand je suis seul. Je me baise quelques secondes ainsi sous ses yeux puis je lui demande de me sucer. C'est trop bon de sentir coulisser un gode en soi pendant qu'un homme vous suce. Je me baise le cul tout en lui baisant la bouche. Il a un regard de pute

— Tu aimes me sucer ?
— Ouais, j'adore, surtout quand tu te prépares pour ma queue en même temps

J'accélère le mouvement, ma jouissance monte. Je sors la brosse de mon corps, puis me branle énergiquement gardant mon gland dans sa bouche et je jouis intensément, il aspire mon gland pendant toute l'éjac et prend mon sexe entier dans sa bouche. La sensation est extraordinaire, mon gland ultrasensible ressent comme des décharges dès que sa langue passe dessus, je suis aux anges. Il recrache mon foutre, se rince la bouche pendant que je lave mon sexe.

— Tu as aimé ça, jouir dans ma bouche ?
— C'était énorme

Je prends son sexe et je le masturbe doucement en le regardant dans les yeux, il se colle à moi, je me retourne, je prends du gel, me l'applique sur l'anus, m'enfonce 2 doigts, doucement, en le regardant. Il sourit, je reprends le gel, en étale sur son gland et me penche en avant, guidant son sexe vers mon trou. Je me recule et sens sa bite entrer doucement, il ressort son sexe, remet du gel et revient à la charge. Cette fois la pénétration est assez rapide et se fait sans aucune douleur. Je sens bientôt sa queue entièrement en moi. Je me penche un peu plus pour mieux la sentir et commence des va-et-vient, il prend rapidement le relais et me prend d'abord doucement puis de plus en plus profondément. Contrairement aux fois précédentes, il bande dur et je sens toute l'épaisseur de sa bite en moi, le plaisir monte petit à petit, je perds doucement pied et ressens d'étranges sensations dans le bas de mon dos. Il se saisit de mon sexe, mais je le repousse, je ne veux sentir du plaisir que par le cul. Il accélère, appuyé sur le mur depuis le début, j'ai maintenant le visage collé au carrelage mural et je gémis à chaque poussée de sa part. Il me baise maintenant comme j'ai toujours souhaité l'être, sans sentiment, juste être une salope qui se fait prendre, un trou à défoncer, une pute qui veut que l'autre se branle dans son cul.

— C'est bon, continue, plus fort. Je suis ta pute tu vois ?
— T'aime ça salope ? Ma grosse bite en toi ?

Ses mots me rendent dingue, je ne peux m'empêcher de dire :

— Oui, oui, encore, encore plus fort, je suis ta chienne !

Je suis surpris par mes mots, mais je les pense de tout mon coeur, je suis sa chienne, il peut me faire ce qu'il veut à ce moment-là. Il me défonce maintenant et me préviens :

— Je vais jouir

J'aurais voulu que la sodomie se prolonge encore, le plaisir ne faisant que monter, il accélère encore, gémit et je sens son sexe tressauter en moi et un liquide couler dans mon anus. Il jouit, ses mains serrent mes hanches, ses couilles restent appuyées sur mes fesses tandis qu'il se vide en poussant son gland au plus profond de mon être. Il se retire. Il semble épuisé.

— C'est fantastique, me dit-il, l'extase

J'ai moi aussi ressenti énormément de plaisir. On se nettoie, puis à nouveau nous nous touchons le sexe, le mien durcit rapidement, j'ai envie de lui

— J'ai envie de te prendre, tu veux bien ?
— Bien sûr

J'enduis son anus de gel, puis mon doigt et mon majeur entre facilement sans son anus, bientôt rejoint par mon index, je tourne, je rentre, sors, bref je prépare son trou pour ma queue qui est maintenant en pleine forme. Je le positionne face au mur et présente mon gland à l'entrée de son cul. J’ai du mal a du mal à rentrer, je remets du gel. Il me dit qu'il a mal, cela me perturbe, j'ai du mal à rester dur, mais je me reprends rapidement et présente à nouveau mon sexe dur et l'enfonce maintenant doucement dans son cul. Je le laisse faire quand il essaye de s'empaler, le laissant gérer cette introduction qui semble bizarre pour lui. Bientôt mes couilles touchent ses fesses que je caresse, il a un superbe cul. Je ne bouge pas pendant quelques secondes, et c'est lui qui donne le rythme, avançant et reculant son cul pour se baiser avec ma bite. Je prends ses hanches et les choses en main, je le prends profondément, doucement et accélère petit à petit le rythme, mon but : jouir en lui. Mais après quelques minutes, il me dit :

— Arrête, j'ai l'impression que je vais chier
— T'inquiètes c'est normal, détends toi et le plaisir va venir, laisse-moi te baiser

Et je reprends de plus belle, il se penche un peu plus, je le prends maintenant franchement, mon pubis claque contre ses fesses, il gémit, je le branle, lui pince les tétons, mais il me demande d'arrêter, la sensation est trop bizarre. Je sors de son anus, j'ai le gland souillé, je le nettoie, il passe sous la douche à son tour, je bande encore et commence à me branler doucement.

— Tu veux que je te suce, me demande-t-il
— Oui, vas-y fais-moi jouir.

Il se met à genoux et me fais une superbe pipe, il me regarde droit dans les yeux et me branle franchement. Je prends mon sexe en main, je me branle énergiquement, pose ma main libre sur son front, repousse sa tête à quelques centimètres de mon gland

— Ouvre ta bouche

Il s'exécute et quelques secondes plus tard, je jouis sur sa langue, sa bouche et son visage. Il reprend mon sexe en bouche et me le nettoie, recrache tout et se relève. Nous nous nettoyons, on se rhabille en discutant de nos sensations. Il part. 

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ICHAM, BEUR GAY  est une autre histoire qu'on peut croire vraie, en ce cas l'histoire a 10 ans

Laissez faire le hasard, et vous verrez qu'il fait parfois bien les choses. « tu es comment? Petit, grand, mince... et...quelle longueur? Et tu aimes quoi?, la liste est inépuisable. Mon annonce précise mon age ou l'age maxi recherché, le fait que je suis actif et passif, et le reste basta. On verra bien et si le feeling ne passe pas en face à face, on a rien signé. Chacun reste libre. Et cela fonctionne assez bien. Pour preuve j'ai reçu une réponse à mon annonce d'un mec qui me disait: «Moi 30 actif, peut recevoir». Je n'ai pas cherché à en savoir davantage.

Nous avons échangés nos numéros de portables et nous sommes mis d'accord pour un rendez-vous le lendemain, sur le parking du stade. Une fois sur place je l'ai contacté. Dix minutes plus tard, je l'ai vu arriver à pieds. Un rebeu de 30 ans vêtu d'un jogging marron qui laissait présager une belle découverte sous la bosse du tissus. Taille moyenne, mince, brun, démarche tranquille. Il est monté dans ma voiture et nous sommes allé chez lui. Je l'avais précédemment chauffé par sms. Il m'avait demandé de le faire bander en lui expliquant ce que j'aimais. J'arrive dans la cour d'un atelier d'un tailleur de pierres. Il me demande de le suivre. Entre dans un hall. Il y a plein de gros blocs qui jonchent le sol. Un peu lugubre je me dis dans ma tête. En me demandant s'il ne s'agit pas d'un traquenard. Il est devant moi et bifurque sur le coté pour emprunter un escalier sans rambarde, qui ouvre sur le vide. Nous montons au deuxième étage, en même temps je vois qu'il veut être le plus discret possible. Je le suis sans penser à autre chose. Il ouvre une porte avec sa clé et nous entrons dans son appart, qui est dans la pénombre. Seule la télé est restée allumée , le temps qu'il vienne à ma rencontre. Je vois qu'il doit avoir un enfant en bas age car il y a un trotteur dans un coin.

Il m’entraîne vers la chambre, plongée dans le noir et me demande de me mettre à l'aise. Autant vous dire que je bande déjà. Rien qu'à le suivre dans l'escalier mon zob est déjà dressé. Moi j'ai 50 ans , physique relativement banal, un peu rond mais avec un sexe bien proportionné de 19x5. Je suis donc essentiellement actif, mais j'avoue avoir plaisir à me faire prendre parfois et ce soir, je suis venu pour cela. Il est parti dans la salle de bain attenante et revient en boxer. Icham, c'est le prénom que je lui donne pour mon récit, car je ne saurais rien de plus. Nous avions conclu: pas de blabla. Icham s'approche en me disant : - Tu es déjà à poil, et il att**** ma queue pour la découvrir sur toute sa longueur.
Moi je pose ma main sur ses épaules et descend lentement pour caresser son corps longiligne. Il a des petites pointes de seins et des poils sur les jambes, mais pas sur son torse glabre. Son ventre est bien plat, sa musculature est fine, sans être particulièrement proéminente. Un beau corps. Il avance sa bouche vers moi et nous nous mordillons les lèvres, avant que nos langues se cherchent.
Ma main droite caresse son boxer, je sens son sexe impatient de s'en échapper, la bosse est vivante. Il grossit sous les caresses que je prodigue par dessus l'étoffe. Et mes doigts sont trop curieux, ils glissent le long de sa peau pour venir écarter l'élastique. Son sexe jailli au moment ou ma main entrait dans le boxer. Belle bête. Circoncis, ça je l'avais deviné il est bien veiné et fait environ 21 centimètres, sa base est large, et sa rigidité bien visible.
Je me penche pour venir le prendre dans ma bouche. Ma langue en parcourt chaque parcelle pour le découvrir en douceur, avant de le prendre en bouche. J'avoue que seuls 18 à 19 cm entrent et glissent au fond de ma gorge.

Icham ne f***e pas sur ma tête pour m'obliger à plus. Il joue avec ma queue, bien rigide elle aussi. Il impr[ime] de larges coups de poignet, charmé par sa vigueur également. Et il me caresse le dos, sans pour l'instant toucher mes fesses. Et il feule. Ma bouche lui apporte manifestement du plaisir et je branle la base de sa bite que je ne peux pas entrer dans ma bouche. Je ressort cet engin et ma langue descend parcourir ses testicules rasés, tout comme son sexe d'ailleurs. A chaque coup de langue, je le sens frémir. Il m'invite maintenant à m'allonger et vient s'allonger à son tour sur moi.

Son corps est léger, nos sexes se joignent, comme s'ils se jaugeaient. Mais la main d'Icham ne peut s’empêcher de venir me toucher mon sexe. Et il glisse sa queue entre mes cuisses serrées . Et nos bouches se réunissent à nouveau. Que de volupté. Je connais un autre Marocain, car je suis certain qu'il l'est, qui est autant doux et attentionné que lui. C'est un régal, un mec si câlin. Il veut mener la danse, mais il aime plein de trucs. Il va très vite me le montrer car sa bouche descend le long de mon corps, et se pose sur mon sexe.
Va t'il, ne va t'il pas ? A peine le temps d'y réfléchir qu'il me lèche le gland , pour très vite me sucer goulûment. Actif peut être, mais relativement attentionné à son plaisir et à celui du partenaire. En fait il aime la queue je pense, il veut rester macho et viril, mais depuis mon arrivée ses gestes trahissent sa préférence sexuelle. Je titille ses petits seins entre le pouce et l'index, et il semble apprécier. Il me fait glisser sur le coté et commence à caresser mes fesses. Il revient coller son sexe contre mon pubis comme pour s'y affronter.

« Viens on va dans la salle de bain». Il semble avoir perçus des sons dans la pièce de l'appartement d’à coté. Je le suis. Je me mets à genoux et reprends son sexe en bouche. Il n'a pas frémis, et est toujours aussi ferme. Je le suce à une cadence rapide, et lève mes yeux vers lui. La salle de bain est éclairée. A genoux sur le carrelage, je peux admirer son corps à la lumière vu d'en bas. Je caresse la peau velue brune de ses jambes. Je suis la courbe, de ses mollets jusqu'à son fessier. Pendant ce temps ma bouche goûte à tout ce quelle découvre. Ses burnes, son gland massif, rien ne la laisse indifférente. Et je lâche: « ta bite est trop belle et bonne je la veux»
Icham m'invite à me redresser et me fait pencher au dessus de la machine à laver. Il enduit mes fesses de salive , et commence à me doigter fermement. Mon cul s'écarte sous ses doigts fureteurs. Je cambre mes reins pour lui offrir mon intimité. On sort le gel, je m'en enduit les parois. Il vient positionner très vite son sexe capoté sur mon trou. La tache va être délicate. J'écarte mes deux fesses de chaque main. Il commence à entrer en poussant en douceur. Je me sens écarté, c'est vraiment l'impression que l'on va me déchirer. Je cambre davantage, je pousse un max pour l'aider à progresser. Et petit à petit il gagne du terrain en de petits cadencements d'avant en arrière. Icham est doux et précautionneux. Il chope mon sexe par en dessous et me branle. Et son sexe entre davantage en moi, et cette sensation de déchirement disparaît. Il n'est pas entré entièrement. Mais moi je suis affalé sur la machine à laver, et il me bourre le cul. Je suis venu pour cela de toutes façons et j'y prends du plaisir.

Comme il ne me possède pas entièrement. Il ressort et me fais basculer contre le mur couvert de carrelage sur la gauche. Et il me plaque en me faisant écarter les jambes.
«Il est trop bon ton cul, mais tu es très serré» me lâche t-il.
Et il revient dans mon trou et choppe ma queue qu'il branle avec vigueur par en dessous mes fesses. Il branle bien, vite et ferme. Et l'action sur ma queue fait que mon cul s'ouvre davantage. Il me lime et je sens bien passer son calibre. Mais ses couilles ne battront pas mes fesses. La largeur de son zob, l’empêche de pénétrer davantage. Dommage, mais mon cul n'en peut plus. Il m'a éclatée la chatte.

Icham se dégage et att**** sa queue qu'il branle. Je me retourne et me branle également. «Je ne vais pas tarder» me dit-il.
Juste le temps de m'accroupir , un premier jet passe par dessus mon oreille, sa main s'active toujours, je rate le second, mais je gobe son gland et c'est une large rasade de crème que je reçois en bouche. Une bonne liqueur de couilles. Épaisse et suave, je déguste, ma langue évite d’être trop pressante, car je connais la sensation désagréable que cela peut provoquer après la jouissance. Je m'écarte à regret et me relève pour à mon tour m'astiquer le jonc. Icham n'a pas cessé ses mouvements de poignet, sur son propre sexe, mais ils sont moins amples, plus mesurés. Et je sens le jus monter, et me submerger. Je suis haletant, je ralenti le mouvement pour faire retomber la pression puis repars de plus belle, et là c'est l'apothéose, je me délivre et lance quatre à cinq jets. Pour Icham le jet était plus long et continu. Ces derniers vont s'écraser sur le sol de la salle de bain. Je suis vidé. Icham aussi apparemment. Je regarde mon image dans le miroir en me penchant au dessus du lavabo pour me nettoyer. Je suis écarlate. Méconnaissable. La salope qui sommeille en moi est comblée.

Par PEKIN13, CHARLES - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS
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Lundi 19 septembre 1 19 /09 /Sep 19:01

"— Putain, tu te la prends bien, t'aimes la bite kiné ! " 

AVEC UN SOUVENIR EMU DE FABIEN avec qui j'ai eu des relations fréquentes mais, hélas, virtuelles. Fabien qui campe bien dans une armure, mais que j'ai senti bien vulnérable avec ce patient...    

 

      gay-massage: “Skipping the massage, right to oral…. ”

 Kiné très professionnel, il y a à peu près un an, malgré mes principes, l'armure déontologique professionnelle a fondu, je me suis fait "allumer". Et bien allumer. Il était l'heure de partir quand on sonna.

       

Salut je m'appelle Fabien. J’ai un peu plus de trente-cinq ans et je suis marié depuis plus de dix ans à une femme que j’aime et avec qui je trouve du plaisir. Je suis installé comme kinésithérapeute  à Lyon depuis plus de cinq ans, et j’aime mon métier avec passion. Je sais que certains croient que le kiné peut être soumis à des tentations de chair en voyant ses clientes ou ses clients dévêtus. En fait, cela n’est qu’un mythe, un fantasme très fort, puisque par nature l’acte de kiné est d’ordre anatomique et non sexuel. Je n’ai donc jamais ressenti devant ces corps dont certains étaient parfois offerts avec provocation, ce qu’on appelle "se faire allumer".

Pourtant, malgré mes principes, l'armure déontologique professionnelle a fondu il y a à peu près un an. Je ferme habituellement mon cabinet vers dix-neuf heures. Il était l'heure de partir quand on sonna. Je retirai ma veste, enfilai à nouveau ma blouse et allai en salle d’attente accueillir le patient qui choisissait bien mal son heure.

 

 

L’homme était assez grand, les cheveux courts, [la trentaine]. Je ne l’avais jamais vu auparavant. Comme pour chaque nouveau malade, je lui demandai si je devais lui ouvrir un dossier, carte vitale, prescription... Il me répondit qu’il était de passage à Lyon et que ce n’était pas la peine. Il poursuivit en m’indiquant qu’il venait me consulter pour un mal au genou. Je me suis levé pour l’examiner. Il commença à se déshabiller sans attendre que je le lui demande et il s'appuya à la table de massage. Il portait un slip très minine ne cachant pratiquement rien. Sans doute son attitude provoqua-t-elle chez moi un malaise, puisque je ne me sentis plus très maître de moi. Mais il fallait rester praticien et ne rien laisser paraître. J’ai palpé son genou qui ne montrait rien d’anormal. Il avait l’air décontracté et je commençais à me demander pourquoi il était venu me voir. "J’ai aussi mal de temps en temps, mais un peu plus haut.

Sans attendre ma réaction, il baissa son slip. Il m’exhiba un sexe assez long et surtout bien épais; il se décalotta d’un geste rapide. Le gland mesurant au moins cinq centimètres me rendit encore plus gêné. La personne que j’examinais était en train de me provoquer, et moi, qui d’habitude conserve mon sang-froid, je me sentais pris dans un piège. Il ne fallait surtout pas que je montre mon trouble. Je l’ai palpé d'un geste machinal, technique et professionnel. C’est ce moment qu’il choisit pour glisser sa main entre mes jambes, passer sous la blouse et plaquer mes fesses. J’ai compris tout de suite que je ne pourrais pas résister. Je me suis mis à bander comme un fou. Nous ne disions pas un mot. J’avais du mal à respirer, lui semblait assez calme. Il baissa mon pantalon, mon slip, sourit en constatant ma bite dressée.

— Suce ma grosse bite!

J’ai penché mon visage vers son membre. Me tenant par les cheveux, il m’a alors plaqué le visage contre son sexe.

— Suce bien!

Le ton était sec, d'une autorité virile,. J’ai ouvert la bouche et j’ai avalé cette bite au moins deux fois plus grosse que la mienne. Il ne restait pas inactif et devait s’exciter en soulevant ma blouse jusqu'à la raie des fesses. Je sentis un doigt cherchant à s’enfoncer. J’ai tendu mes fesses en arrière pour l’aider dans sa manœuvre.

— Mais c’est que t’es salope, on dirait!

J’ai continué à le pomper, encore plus excité de me faire traiter de salope par un mec que je ne connaissais pas, moi le kiné ! Je me mis sur lui en soixante-neuf et il en a profité pour me bourrer les fesses avec son doigt puis avec deux.

— T’as un joli petit cul, tu te fais mettre?

Je ne pouvais pas répondre, mais j’en avais très envie, et je crois que machinalement, sans même y penser, j’ai tortillé mes fesses.

— Ouais, bouge bien ton cul! Hum, bouffe-moi, salope, après je vais te le casser ton cul!

Son langage de plus en plus direct m’excitait au plus haut point. Je n’étais plus ce kiné qui parlait avec assurance et qu’on respectait. Il se leva, alla vers sa veste et sortit un préservatif. Je n’avais pas besoin de dessin pour comprendre. Il se l'enfila lui-même. Je l’ai regardé comme si j’étais ailleurs, les yeux fixés sur cet engin qui allait bientôt me faire connaître quelque chose de bien particulier. J’étais complètement passif, attendant le mâle, soumis à son envie. Il me mit assez brutalement à quatre pattes.

— Tends ton cul, salope!

J’obéis à cet ordre brutal sans un mot. Je me laissais dominer et j’y trouvais un vrai plaisir. Il avait enduit mon anus d’un peu de gel et posa son gland. J’ai fermé les yeux. La sensation était vraiment inconnue et délicieuse. Il poussa. Je dus serrer les dents pour ne pas laisser passer le cri qui montait. Ça faisait mal, trop mal. Et pourtant, j’en avais une envie irrésistible. C’est alors que je pris les devants. Je le fis allonger sur la table de massage, et c’est moi qui me suis accroupi sur sa queue dressée. Tout doucement, je me suis empalé sur sa bite. Ça rentrait mieux et je ne ressentais plus aucune douleur, seulement une chaleur qui me fit décoller. J’avais réussi à m’empaler complètement jusqu’à ses couilles.

— Putain, tu te la prends bien, t’aimes la bite, kiné !

Il continuait son monologue et moi je prenais mon pied. Je me suis retiré. Il m’allongea sur la moquette:

— Écarte tes fesses !

Sa bite vint s’enfoncer sans aucune difficulté. Le passage était fait. Il me mit à nouveau en levrette et s’enfonça d’un coup. Ses mains claquaient mes fesses. Je me donnais totalement, sans retenue, vibrant sous les coups de sa bite bien dure. Il fourra son pouce dans ma bouche. Ma réaction fut, je crois, naturelle. Je me mis à sucer son pouce comme s’il s’agissait d’une autre queue.

— Salope, t’es une vraie chienne! T’es un mec à bites, toi. Il t’en faut d’autres, hein? Partout?

Je commençais à sentir mon sperme bouillonner. J’allais, je le sentais venir, jouir, éjaculer comme ça, sans que j’aie besoin de me toucher le sexe. Je lui ai demandé d’arrêter.

— Pourquoi, tu prends plus ton pied?

— Si mais je vais jouir, lui répondis-je, presque confus.

— T’es une vraie chienne, toi, une salope qui jouit du cul. Je veux voir ça!

Il accéléra le mouvement au lieu de s'arrêter. Je me suis mis à jouir, sa bite dans les fesses, son pouce dans la bouche. Il comprit ce qui m'arrivant et vérifia avec sa main, s'enfonçant encore plus profondément. Il déchargea. Je me suis écroulé par terre, les cuisses ouvertes. Quand il se retira, j’eus un sursaut qui provoqua encore une émission de sperme. Me voyant sans ressort, vidé, il manifesta son inquiétude d'un: "Ça va?" Je l’ai regardé et je suis arrivé à lui sourire. Il avait retiré sa capote. J’ai vu son sexe et j’ai pensé: "Dire que j’ai pris tout ça en moi!"

J’en avais encore envie. Je me suis placé à genoux et lui ai léché la queue, puis je l’ai pompé. La bite se redressa.

— T’aimes la bite, toi, ça fait combien de temps que t’en a pas eue? Il enclipsa les étriers sur les supports. Viens, monte sur la table et mets tes pieds dans ces machins!

Ces machins sont les étriers qu’on utilise pour écarter les cuisses des femmes en position gynécologique. J’ai obéi malgré l’impudeur de la situation. Je me sentais littéralement envoûté par ce mec et surtout par ce qu’il avait entre les jambes. Il remit une capote, et là, sans aucun ménagement, il me baisa comme si je n’étais qu’une pute, me traitant de tous les noms. Il dut me ramoner pendant un bon quart d’heure. C’était un costaud qui savait ce qu’il voulait. Je bandais à mort et je voulus me branler pour arriver à la jouissance. Il saisit ma main et hurla presque:

— Non, salope, pas de branlette, je veux te voir gicler par ma seule bite dans ton cul!

Il était assez vicieux pour se retirer et rentrer à nouveau d’un coup jusqu’aux couilles que je sentais plaquées contre mes fesses.

— Tu la sens bien jusqu’au fond, hein? T’aimes te faire mettre, hein? Avoir une queue dans le cul, hein?

— Oui, même plusieurs à la suite répondis-je inconsciemment !

— T’es un mec à partouzes, un cul à bites, un vrai vide-couilles soumise!

— Oui!

— Ton cul est maintenant aussi ouvert qu’une chatte de nana, c’est bon!

C’était la première fois que j’étais comparé à une femme. L’excitation fut si forte que je me suis mis à jouir encore une fois, par cette seule pénétration anale. Il se retira, enleva sa capote et balança son sperme sur moi. J’avais envie d’en prendre partout, d’avaler ce liquide chaud, épais, crémeux. Il me massa le corps avec. Un comble pour un kiné !  Je bandais encore et je n’ai pas résisté à me branler devant lui sans aucune gêne et à jouir encore. Je n’avais jamais joui autant, jamais trois fois de suite et jamais avec cette force. Même deux fois de suite, je ne pouvais pas y arriver quand je baisais ma femme. Mais là, ce n’était pas pareil. La jouissance que j’éprouvais était inimaginable, incomparable, une jouissance forte, extraordinairement forte. Je me sentais finalement assez fier de ma performance. Le mec se lava, caressa mes fesses, les écarta pour regarder mon anus béant. Je l’ai laissé faire. Ça devait être beau. Je me sentais complètement ouvert et c’était très agréable. Je me suis lavé à mon tour et j’ai constaté effectivement que ce n’était pas qu'une impression. L’empreinte de son sexe se maintenait.

Il partit en me disant que j’avais un cul d'enfer à prendre et qu’il reviendrait sans doute. Dès qu’il fut parti je suis allé regarder dans la glace le résultat de cette baise forcenée. Mon anus était complètement ouvert, complètement rond. Je me sentais complètement heureux de ma capacité à donner du plaisir à un mec, d’en avoir tant pris moi-même et de m’ouvrir aussi bien.

Les jours qui ont suivi ont été assez difficiles à vivre, car un sentiment de culpabilité associé à l’envie de recommencer m’envahissait. À la maison, ma femme le remarqua assez vite. Je n’osais plus la toucher, n’ayant en fait pas envie de la prendre. J’avais envie d’être pris, de servir d’objet de plaisir. Je ne pouvais rien lui dire, à cause d’elle et de nos enfants. Je ne me sentais pourtant pas homosexuel, c’est-à-dire capable d’aimer d’amour un autre homme. Seul m’importait le goût, le plaisir d’un sexe d'homme en moi.

Il devait bien y avoir deux mois qui s’étaient écoulés quand le même scénario s’est reproduit. Même motif de consultation, la main aux fesses à un moment particulier et une nouvelle baise.

Quand deux jours après, il y eut le même "protocole", je compris que le bouche à oreilles avait joué. Je ressentais toujours autant d’excitation à être sollicité ainsi et surtout à recevoir leurs belles queues en moi.

Il fallait pourtant que je sache comment il se faisait que des mecs connaissent mes penchants et viennent en profiter, d’ailleurs pour mon plus grand plaisir. On me parla d’un réseau téléphonique où on se passait discrètement le tuyau sur "ce kiné dont il suffisait de toucher le cul pour qu’il montre sa nature de salope".

Ah je comprenais tout...

Mon baiseur, à qui j’avais posé la question, était gêné, ne sachant comment arrêter le processus. Je le pris à la rigolade en disant que, de toutes façons, je ne pourrais jamais provoquer un type, mais que si on me touchait, eh bien finalement, il fallait surtout en profiter. Nous étions encore nus et je me suis penché pour le sucer encore une fois, et ainsi le rassurer. M'interrompant, je lui dis calmement que j'aimerais bien me faire attirer dans un traquenard en visite à domicile où je me ferais baiser par plusieurs mecs à la suite.

— Ok mec, t'es vraiment une salope, j'y penserai! Montre ton cul, tu m'excites!

Je le lui offris encore une fois avec passion. Comme c’est bon de sentir une bite en soi! Il me baisa vite et à fond, et il jouit sur moi.

Depuis, il y en a eu d’autres qui sont venus me voir, n’osant pas aller jusqu’au bout, attendant que je fasse un premier geste qui n’est jamais venu. Dès leur départ, je leur en voulais de n’avoir pas osé me toucher et je m’empalais sur un gros godemichet que j’ai acheté pour jouir.

J'ai trouvé un nouvel équilibre, vivant ce que je nomme une ambisexualité véritable puisqu’à nouveau je prends du plaisir avec ma femme, mais avec elle seulement à mon profond étonnement ! ¤

 

Séquence vidéo : on n'a pas toujours des capotes au cabinet de massage ...  

 

Par PHYSIO - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 18 septembre 7 18 /09 /Sep 07:42

un point c'est tout

inconditionnalité à l'amant, sans véritable exclusive

SI ELLE SAVAIT COMBIEN JE SUIS HEUREUX, LA, ...SI ELLE M'AIME ELLE ME PARDONNE  

est-ce qu je m'occupe dee ses amants à elle, moi ???

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par ALTERBI - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 7 septembre 3 07 /09 /Sep 19:27

  bien sûr si on veut avoir des enfants, il y a des limites d'âge qui tiennent à la durée d'une vie et on est obligés de faire des choix...mais sinon il est toujours trop tôt pour "prononcer des voeux définitifs" -lol- 

 

Et surtout que la société arrête de nous coller des équiquettes ! 

    -lol-

Support Gay Rights, this post is for all those I love and care about who have not been treated fairly.:

 pour éviter au max le chantage affectif, quand on établit son couple il faut absolument organiser à l'avance des portes de sortie, pouvoir changer...et l'admettre pour son/ sa partenaire Et tant mieux si , par ses propres forces le couple tient !  Inch Allah  ! -lol-

Bonjour,
Gros problème je pense, je suis marié, 3 enfants, super heureux dans mon couple, mais voilà, j'ai eu à 14 ans des rapports avec un copain, ca a duré plus de 6 mois, et j'ai vraiment pris du plaisir. Depuis, je ne cesse d'y penser. Je fait ma vie comme tout le monde, mais mon plus cher désir serait d'avoir une relation avec un hommme. Dois je le faire???

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Eh bien, cela fait 12 ans que je suis marié, et ma bisexualité remonte à avant mon mariage. Ma femme n'y est pour rien et elle n'est pas au courant. Elle ne l'accepterait pas et ne le comprendrait pas. Je suis toujours resté fidèle à mon couple. Les rapports que j'ai eu avant n'ont rien à voir avec la vie que je mène maintenant. Je me suis posé dans la vie comme quelqu'un de "normal", mais ce désir me poursuit depuis toujours. Je suis heureux mais il me manque quelque chose. Et le fait de le fuir constamment me hante. Alors je me dis que si ça se passe sans quelle le sache et que ça puisse me faire du bien, je ne ferais que satisfaire un désir qui me tient à coeur.

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20 ans de mariage, des aventures avec des hommes, avant et pendant le mariage, aujourd'hui j'ai sauté le pas, j'ai rencontré un garçon et cette relation a pris le pas sur ma vie de couple, je divorce, je vais vivre avec lui, je suis prêt aujourd'hui à assumer "mon homosexualité" .........faut être honnête dans la vie, et en ce qui concerne, je ne pouvais plus me regarder devant ma glace, mes filles sont grandes, elles peuvent comprendre même si cela est très dur pour tout le monde, un jour ou l'autre la vie prend le dessus sur tout, et ce jour là il faut assumer.............merci pour vos réactions, et vos témoignages

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cavaillon gay arrête de recenser les témoignages  qui sont trop nombreux ! 

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666 ! c'est elle !  planquez les gays !

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Par BRAZILEIRO - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 7 septembre 3 07 /09 /Sep 15:14

tu trouveras même des hét'qui t'embrasseraient jamais ...mais qui t'enculeraient sans capote...question d'hygiène ! ah les mecs !!! 

cet article n'est pas une critique des hétéros "curieux"...

 

Un mec qui vous suce donc ne trouve pas sale votre queue par où vous pissez et ne veut pas rapprocher ses lèvres, permettre à vos langues de tourner autour l'une de l'autre, vous faire fermer les yeux parce que le baiser vous rapproche pour un instant du ciel et de l'éternité... C'est  tristounet  une  relation sans embrasser,  le  baiser apporte au  moins  40 % de plaisir en  plus  ,  les  hommes  mariés qui, entre hommes, s'y refusent vous  ne savez  pas ce que vous  perdez , le baiser et  le sexe c'est  indisociable  goutez  y, amis hét', vous comprendrez
On sait bien à quoi il rêve, allez !

 

 

Jean-Charles : "Salut a tous, alors voila, j'ai 26 ans, j'ai toujours vécu avec des femmes, et j'adore les femmes, je suis sur de mes sentiments pour elles, et quand je vois une belle femme, ca me retourne le cerveau. En revanche, depuis quelque temps, j'ai des pensées homosexuelles", mais sans aucun sentiment, purement sexuel, et ca m'exite grave. Je me couche le soir et je me vois avec un mec, plutot éféminé, plutot imberbe en fait, qui est doux, et je fantasme que je le suce, et j'y prend un plaisir fou. je fantasme même depuis hier qu'il éjacule dans ma bouche, et je prends mon pied. Je fais plein de choses avec lui, mais en fait, je ne l'embrasse jamais, ca, ca bloque. Voilà, je me pose des questions sur ces fantasmes, suis-je normal? est-ce juste l'envie de decouvrir une nouvelle forme de sexe? je sais pas. Bref, j'y pense de plus en plus, et j'aimerais bien essayé tout ca. A votre avis, dois-je le faire ou pas? "
jusque-là tout va bien...

  là aussi...    

    

  

Stick It Back In His AIDSHole Raw  

mais là je t'arrête ! j'embrasse pas !!    

 


Eric : "Je suis dans la même situation que toi.  26 ans aussi et j'ai essayé.  J'ai ressenti une grande satisfaction après l'avoir fait.  Mais j'ai pas considéré avoir eu une super aventure de sexe.  Mais je me suis rendu compte que j'aimais ça, mais jamais comme avec une femme.  
Je crois que ce qu'on aime nous les gars, c'est le sexe, peu importe avec qui.
J'ai alors fait fellation, masturbation sur un gars rencontré sur le net, qui est comme moi.  Il a une femme, famille...
Je n'ai jamais embrassé non plus.  Pour moi, c'est un signe d'amour et quand je fais ça... ce n'est pas de l'amour, mais du sexe.
Essaie et tu verras, c'est plus fort que tout quand on y pense bien sur il faut le faire, à toi de te lancer, peut etre que tu en redemanderas et, de suite ou à terme tu voudras recommencer ou bien tu arreteras, tu auras tenté l'expérience et après tu ne te poseras plus de questions, qui ne tente rien ne peut savoir
Bonne chance et raconte nous tes aventures!

Thomas " Salut moi aussi je suis dans le même situation que vous deux: 28 ans, vivant avec ma femme et sur le point d'avoir des enfants.
je ne sais pas pourquoi mais j'en ai très envie, juste pour essayer une autre forme de plaisir. je ne sais pas jusqu'où je serais pret à aller mais cette idée m'excite terriblement !!

Philippe : 'je suis pareil ke toi, j'avais ce fantasme, de me faire sucer par un mec, et ça a été très facile dans un WC public. J'ai aimé et surtout admiré le savoir-faire du mec. J'avais très envie de le faire moi aussi. Et bien tu parles le jour ou je suis passer à l' acte jai grave aimer ca c'été exactement comme je l' imaginer dans mes fantasme c a dire trop bon le problème cque maintenant j ai envie de sucer tous les bo mec que je vois passer dans la rue le plus dur c'est au sport sous la douche (les mecs connaissent pas mes tendances)une fois, sous l'exitation j ai meme cru que ma main partait toute seule...
                                               
              
ça se discute hein ?
là, alors au sport... 

 

 

 

 

 

Par PHIL-THOMAS-ERIC-JC - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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