Dimanche 31 juillet
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Le jeu avait commencé par un paquet cadeau, déposé un soir sur la table du salon. En l'ouvrant, j'avais découvert un
plug anal, long de 15 centimètres, accompagné d'un message : Ça doit rentrer ! Je reviens à 19 heures.
Il était 18 heures.
Je me rendis dans la salle de bains et y trouvai le lubrifiant que j'utilisais d'habitude. Je me dévêtis entièrement. J'étais excité, bien sûr ! Le
plug noir pesait lourd. J'enduisis copieusement l'objet puis m'introduisis un, puis deux doigts dans l'anus en guise de préliminaire. Oh ! J'étais bien prêt, car aussitôt ma rondelle s'élargit
!
Je posai le plug sur le bord de la baignoire et m'assis dessus en descendant lentement. Il pénétra jusqu'à la moitié, puis se bloqua. J'avais un peu
mal et hésitais à forcer, mais la tentation de pousser cet objet entre mes reins m'incita à persévérer. Je me détendis et descendis encore sur le plug, qui forçait littéralement son passage.
Brusquement, ma gaine avala l'objet. Le passage du plus gros diamètre me fit gémir de douleur. Une délicieuse douleur. Il me remplissait totalement et la sensation était énorme. J'étais presque
fier de ma performance, mais surtout heureux de satisfaire au désir de mon épouse dont je devais attendre fiévreusement le retour pendant encore une demi-heure.
Quand j'entendis le bruit de la serrure, j'étais assis dans le canapé. Ma femme jeta ses clés sur la table, posa son sac et se tourna vers
moi.
— Fais-voir, ordonna-t-elle.
Je me levai et présentai mes fesses pour l'inspection. Elle eut un murmure de satisfaction.
— As-tu bien lubrifié ?
— Oui, j'ai tout mis.
— Tu as bien fait.
Elle s'approcha et écarta mes fesses, découvrant la partie du plug qui émergeait de mes reins. Elle s'en saisit et exerça une traction.
— Doucement, dis-je, en découvrant que la sortie présentait aussi quelques difficultés.
— Oui, mon chéri.
Elle était juste derrière moi et me mordillait doucement la nuque. Son autre main passa devant mon ventre et se saisit de ma queue
bandée.
— Hum, tu aimes ça !
Elle manœuvrait le plug en moi, le rapprochant de la sortie. Je la laissais faire en commençant à trouver cela très bon.
— Allez, laisse-le sortir maintenant et montre-moi ton cul, tu sais que j'aime le voir
béant !
Elle tira et le plug sortit, puis elle me poussa sur le canapé et contempla mes fesses.
— J'adore voir ton orifice dévasté. Il est prêt, maintenant. C'est bien, tu auras moins
mal.
Je la vis s'agenouiller sur le sol et sa main caressa mes fesses.
— Tu vas être gentil avec moi ?
— Oui, ma chérie.
— Tu vas me laisser te faire ce que je veux ?
— Oui.
Elle glissa un doigt. Aucun problème.
— Tu sais ce que j'aime. Tu veux que je t'encule ?
— Oui, ma chérie.
— Supplie-moi.
— Je t'en prie ma chérie, baise-moi.
— Plus fort, mieux que ça. Gémis fort !
— Je t'en supplie, prends-moi le cul !
Sa langue passa dans ma raie. C'était divin !
— Je veux que tu me sodomises tout de suite ! Baise-moi !
Sa langue passa le cercle ouvert et s'enfonça entre mes sphincters. Je crus défaillir et jouir sous l'effet de cette langue gourmande. Deux doigts.
Je me tournai vers elle et vis qu'elle avait ouvert son tailleur et son chemisier pour sortir ses beaux seins aux galbes généreux. Les tétons pointaient. Elle aimait la scène. Trois
doigts.
— C'est bon, ronronna-t-elle. Allez, encore une supplique !
— Mets-moi tout ! Je veux ta
main entière dans le cul !
Je commençais à perdre la raison tellement la scène prenait un tour porno. Je me mis à penser que quelqu'un nous regardait. Les trois doigts
glissaient, nageaient dans le lubrifiant et entre mes muqueuses distendues.
— Lève-toi, je veux te voir
! Installe-toi sur la table !
Je me couchai, le dos sur la table basse du salon, puis relevai les jambes pour qu'elle reprenne sa pénétration. Je parvins à glisser une main entre
ses cuisses et la remontai sous sa jupe. Divine surprise ! Elle ne portait rien et sa chatte était trempée.
Cet attouchement fouetta son désir et elle poussa quatre doigts, réunis en cône, qui me massèrent la prostate et me mirent en transe. Je tentai de
lui baiser le ventre, car je voulais sentir sa mouille et la boire. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Elle avait un étrange sourire. Chaque avancée de sa main en moi provoquait un
gémissement.
— Oui, vas-y, mets-moi tout
! Baise-moi ! Baise-moi !
Je sentis son pouce venir s'ajouter au reste des doigts.
— Je vais te baiser avec mon
poing, je vais te fister !
De sa main libre, elle se caressait un sein. Elle en pinçait le téton et je la voyais se mordre parfois les lèvres.
— Tu veux voir ?
— Oui, je t'en
prie.
Elle sortit un miroir du tiroir de la table basse et l'installa en face, sur le canapé. Je pus, enfin, découvrir mon cul transpercé par la main de
ma femme, et prêt pour une visite complète ! Les cinq doigts poussaient. Je lançai ma main pour attraper son poignet et l'attirer encore plus profondément.
— Oh ! Gourmand, tu aimes
jouir par le cul ! Ça va rentrer encore un peu, un tout petit peu.
— Oui, j'aime me faire
baiser, Maîtresse !
— Un jour, je te ferai
baiser par un homme.
— Fais ce que tu veux, je
veux tout. Aaaaah !
Le poing était entré entièrement.
— Ah, putain, c'est bon
!
Je jouissais de cette sodomie profonde, le corps agité par des spasmes si violents que je craignis de tomber de la table. Mon épouse resta immobile,
contemplant son poignet fiché entre mes fesses. Lentement, elle ferma le poing. Ma bite coulait comme une fontaine et mes sécrétions translucides mouillaient mon ventre. Avec délicatesse, elle
massait l'intérieur de mes reins. La pression s'exerçait sur ma prostate*. J'étais aux anges, autant par plaisir physique que par la réalisation de ce fantasme.
ndlr: prostate*( quel vilain nom n'est-ce pas pour un organe aussi magique et important ! )
Elle attrapa ma queue en semi-érection. J'étais au bord de l'orgasme. Elle approcha son visage et lécha mon membre par petites touches. Chaque
effleurement me faisait tressaillir. Elle jouait avec moi, s'amusait de mes soupirs, jouissait de mon excitation.
— Je t'en supplie,
achève-moi.
Le poing se mit à bouger doucement entre mes fesses. Elle mit la main entre ses cuisses et je compris qu'elle avait, elle aussi, atteint les
limites. Je la regardai s'enfoncer trois doigts dans la chatte. J'entendais les bruits, je voyais ses doigts gluants aller et venir. Ses yeux étaient dans le vague, mais braqués sur mon cul. Plus
son plaisir augmentait, plus le poing allait vite.
— Je te baise, rugit-elle,
je t'encule comme une chienne !
— Oui, encule-moi plus
fort.
Ma semence surgit au bout de ma queue raidie. Ma femme se pencha, sans cesser de se baiser, et trempa la langue dans ma semence en
gémissant.
— Vas-y ! Allez, vas-y,
gicle sur ma langue !
Je continuais à couler, doucement, sans arrêter. J'étais en train de fondre. Je vis qu'elle jouissait elle aussi, et qu'elle avalait tout mon
sperme.
Je souffris durant quelques jours, mais nous fîmes le serment de bien vite recommencer ce genre de petit jeu.
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