le talent d'un bisex
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le talent d'un bisex
cette expérience a changé ma vie. Mais par-dessus tout, j’aime ma femme, nos enfants ! ! juste un petit écart de temps en temps ni vu ni connu…comme on se fume un bon cigare en cachette !
http://revebebe.free.fr/histoires_/rvb154/reve15481.html
Pour notre deuxième rencontre au lit, Jeremy a réussi mon initiation
oui, là j'ai la mousse à la bouche et autre que la mousse !
Dans ma tête le final de "Can't fight the seether
Can't fight the seether
Can't fight the seether
I can't see her till I'm foaming at the mouth Yeah"
Je viens de jouir d'un homme et, comme un appel au pardon, comme si ma femme pouvait être contente ...que je sois content... je prononce par deux fois son prénom.Elle planait au-dessus du lit, au-dessus de mon extase ! et là, comme après la nage, sur une plage...pas inquiet, mais qu'est-ce qui m'arrive ?
Couché sur le lit, exténué, au septième ciel… J’étais bel et bien bi ! Mais là, tout changea. Jeremy se leva et ouvrit la porte de son placard. Deux autres hommes étaient dedans, leur queue à l’air, durcie.
— Mais… Qu’est-ce qu’ils font là, eux ?
— Oh, tu le sais bien : je vais t’initier à…
— Ah, mais non ! C’est quoi, ce plan à deux balles ?
— Tu vas goûter aux hommes.
— C’est hors de question !
— Pourtant, tu n’as pas le choix.
— Bien sûr que si, et je pars maintenant.
— Tu n’iras nulle part… Que je sache, personne ne sait pour toi ; et Joris à ton taff ?
— Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
— Un plan à quatre et on se tait.
— Du chantage ?
— Non : je n’appellerais pas ça comme ça, moi. Gaëtan et Gilles vont te faire découvrir le bonheur.
Je n’avais plus le choix ; ils me tenaient…
Gilles m’a mis direct sa queue en bouche ; ce n’était pas moi qui le suçais, mais lui qui faisait les mouvements. Il bougeait comme si ma bouche était une chatte. Jeremy et le deuxième mec regardaient. Sa grosse bite allait jusqu’au fond de ma gorge ; c’était une brute. Gaëtan m’a mis dans la position qu’ils avaient vue et m’a pénétré direct, sans capote. Dans des gémissements de plaisir, il ne retenait pas ses mouvements : il voulait me bourrer, et c’est tout. Mais cette bite dans mon cul, cette bite qui prenait du plaisir dans mon anus m’en donnait aussi. Ma queue commençait à durcir encore.
— T’aime ça, cochonne !
Je ne pouvais pas répondre à ça.
Jeremy bandait à nouveau lui aussi et se branlait. Il s’est approché, et Gaëtan s’est arrêté de me prendre. Jeremy s’est penché pour me sucer. En plus, il suçait vraiment bien. Sans me contrôler, j’ai joui dans sa bouche, et il a tout avalé. Mon sodomiseur avait repris juste après sa cadence accélérée.
Moi, Damien, 35 ans, marié depuis 6 ans, père de famille… Je ne comprends pas… Je suis là, un soir de semaine alors que je devrais être avec mes enfants et ma femme… Et à la place, je suis allongé sur un lit, les jambes en l’air avec un homme me pénétrant et un autre prenant du plaisir dans ma bouche. Mais comment je me suis retrouvé là ?
J'avais chaque trou pris… J’étais une femme… Gilles prenait ma tête dans la main, apparemment un peu précoce, puisqu’il ralentissait pour faire redescendre le plaisir. Je ne bougeais plus, je les laissais faire. Dans la salle, le sexe pouvait se sentir et s’entendre, une vraie partouze. Les deux nouveaux n’allaient pas tenir longtemps puisqu’ils ont dû se branler en me voyant me faire prendre déjà une fois.
Gaëtan commençait à avoir des gestes saccadés, donnant des coups plus brusques. Il n’allait pas jouir comme ça en moi ? Sans capote ? Mais si : après un grand coup de reins et un hurlement de plaisir, il lâcha son foutre en moi. Après un « Coquine ! » avec ce dernier cri, il est sorti de moi et est parti s’asseoir en me regardant, content de lui.
Joris prit sa place, prenant mon cul dégoulinant. Une bite bourrinant ma bouche s’approchait de l’extase. Le mec serrait ma tête de ses mains. Sa bite s’est gonflée une dernière fois et a tout éjecté dans un râlement d‘homme. De puissants jets éclaboussaient ma bouche ; il y en avait beaucoup et ça dégoulinait partout. J’étais rempli de sperme par tous les trous. Jeremy était chaud, très chaud ; il me renchaîna sans rien me demander, et j’aimais ça. J’aimais me faire prendre, et comment…!
Les deux autres nous regardaient ; ils étaient assis là, matant une scène pornographique gay. Bouche encore dégoulinante, cul bourré, je prenais mon pied même si j‘aurais préféré dans d‘autres conditions. Jeremy venait à nouveau et remplit à son tour mon intérieur.
Les deux hommes sont partis juste après ; moi je n’avais plus qu’à me rhabiller et à partir. Je me sentais souillé, sale. Mais le plaisir que j’ai eu !!!
35 ans, je découvre, je peux considérer que j'ai encore la vie devant moi !
Certes, cette expérience a changé ma vie. Malgré cet énorme succès, j’ai décidé de déménager, changer de boulot, ne pas prendre de risques pour moi et pour ma famille. Repartir du bon pied. Et oublier tout ça. Je ne mourrai pas bête, c’est sûr ; mais je préfère ma famille à des plans cul. Pour moi, rester bisex c'est ça.
il me baise comme s'il avait quelque chose à rattraper... nous y voilà encore ! Il a ce regard éperdu qu'il peut lui arriver de prendre quand on est ensemble. Il se sent coupable ? Marié, deux enfants, il aime sa femme...Mais voilà, quand il est avec moi, il me fait des choses que sa femme ne peut assumer. J'entoure son incroyable queue de mes lèvres et me l'enfonce jusqu'à la gorge, ses couilles à mon menton. Et là je lui fais des choses que sa femme ne peut même pas commencer à imaginer...
Moi Il me baise implacablement - et j'en suis avide- Et là, aucun besoin de douceur J'ai besoin de sa queue, jela veux et je me rends disponible pode ur lui quand il a besoin de moi.
Avec moi il peut se permettre de dépasser les limites que la nature de sa femme lui impose et défoncer, écarter comme une bête sauvage ce que j' appelle "mon étroitesse"
Les sons gutturaux et rauques qu'il émet quand ses couilles de tauteau déversent la lave brûlante de sa fertile semence qui me remplit, ce sont ces grognements sauvages qui me disent et me répètent : Il se peut qu'il n'ait aucune affection pour moi, mais je sais qu'il reviendra.pour se satisfaire et me dévorer sauvagement.
Ce beau morceau a été adapté et traduit "au blog": ""The guttural sounds he makes as his big, bull balls fill me with hot, potent seed tell me all I need to know. He may not love me, but he’ll be back".
There it was again - that far off look he sometimes gets when we’re together. Guilt? He’s married with two kids, and loves his wife. But when he’s with me he gets to go to places that she can’t take him. I wrap my lips around his impossibly thick cock and take him, balls deep, down my throat doing things that she couldn’t begin to imagine. He fucks me relentlessly - and I crave it - no need for gentleness here. I need it, want it and I make myself available to him whenever he needs me. With me he can breach the hole that’s off limits with his wife and he pounds my tightness like a wild, hairy beast. The guttural sounds he makes as his big, bull balls fill me with hot, potent seed tell me all I need to know. He may not love me, but he’ll be back.
qui me baise implacablement
il a besoin de se sentir sûr de lui
ce regard éperdu du bisex
bisex en congrès sur Paris, je n’étais en général pas long à décrocher mon téléphone et à proposer une bonne partie de baise aux hommes présents sur la messagerie
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb098/reve09860.html
C’était il y a deux ans, j’étais de nouveau de passage à Paris pour un congrès et avais réservé une chambre d’hôtel pour la semaine. J’avais alors trente ans, désormais marié avec une jolie femme dont j’étais très amoureux et mes rencontres homosexuelles étaient devenues plus rares, une fois ou deux fois par an maximum. Mais lorsque je me trouvais seul sur Paris, je n’étais en général pas long à décrocher mon téléphone et à proposer une bonne partie de baise aux hommes présents sur la messagerie. Cette fois-là, je n’attendis même pas la fin de la première journée. Très vite, j’entrai en contact avec un homme de cinquante-quatre ans, de passage à Paris comme moi pour son travail, et qui cherchait un bon moment de détente en compagnie d’un homme plus jeune que lui et entièrement passif. Il me demanda de venir à son hôtel, près de la Gare de Lyon, et me dit qu’il allait tout de suite sortir acheter une boîte de préservatifs et du gel dans une pharmacie. Avant de raccrocher, il me dit d’un ton presque sévère :
— Ne me pose pas de lapin hein ! Et tu vas voir, je suis bien monté, je vais te remplir le cul....GROS FANTASME DU GENRE :
Ce langage cru m’excita encore plus. Je me dépêchai de finir de m’habiller et je partis rapidement le rejoindre à son hôtel.
Comme convenu, je l’appelai sur son portable en franchissant la porte de l’hôtel, à 17h précises. Il me donna son numéro de chambre et je montai directement le rejoindre. Lorsque la porte s’ouvrit, mon excitation monta d’un cran.
Marc était bel homme, grand et fort, les cheveux grisonnants, musclé, des grands yeux bleus et un joli sourire. Surtout, il me reçut entièrement nu et son sexe à moitié bandé était déjà d’une taille plus que respectable. Surprenant mon regard sur son entrejambe, il me dit en souriant :
— 22 par 6 en position de travail… tu vois, je ne t’ai pas menti… mais ne t’inquiète pas, on va prendre notre temps… tu es pressé ?
— Non, lui dis-je, je n’ai rien de prévu de particulier.
Il m’invita à me déshabiller puis me fit signe de m’allonger à côté de lui sur le lit.
— Tu as un très beau corps, me dit-il en me caressant les épaules, le torse et les cuisses, tu es vraiment bien foutu.
Il est vrai que sans être un mannequin, je ne suis pas trop mal foutu, un visage plutôt joli, des yeux clairs, 1m75, mince, avec des fesses assez charnues qui pourraient presque être féminines…De plus, je fais attention à mon corps et fais régulièrement du sport. Ses caresses et le ton de sa voix achevèrent de me décontracter tout à fait et, pour la première fois, je me surpris à répondre à ses baisers et à prendre du plaisir lorsque sa langue se mit à fouiller ma bouche. Après quelques minutes d’embrassades, je décidai cependant de passer à ma position favorite. Après lui avoir longuement léché les tétons et le ventre, je me mis à genoux entre ses cuisses et commençai une fellation dans laquelle je mis toute mon énergie et mon savoir-faire.
Ses soupirs me signalaient qu’il appréciait particulièrement lorsque j’enfonçai sa bite au plus profond de ma gorge, en laissant s’écouler les filets de salive sur ses testicules que je massai en même temps. Sa bite avait désormais atteint sa taille maximum, je n’arrivais plus vraiment à la sucer sur toute sa longueur sans m’étouffer.
Je voulais me donner entièrement
Je sortis un préservatif et lui déroulai sur le sexe tout en continuant à le sucer. Je remontai alors doucement le long de sa poitrine et vins l’embrasser en souriant. J’étais moi-même surpris d’avoir envie de l’embrasser et de lui faire l’amour comme si j’étais une vraie femme. À ce moment-là, j’étais surexcité, mais en même temps, plein de tendresse pour cet homme très beau, si sûr de lui. Je voulais me donner entièrement, lui appartenir, me sentir complètement possédé. Tout en l’embrassant, je positionnai mon anus sur le bout de sa queue et je me mis à pousser doucement. Au début, cela me fit mal et je dus recommencer plusieurs fois avant que son gland ne finisse par pénétrer ma rondelle. Je m’enfonçai doucement et commençai quelques allers-retours tout en continuant à l’embrasser. J’avais encore un peu mal, mais la douleur commençait à s’atténuer, sous l’effet notamment de l’excellent gel dilatant qu’il avait acheté en pharmacie, à un prix assez élevé m’avait-il même précisé. Finalement, la douleur disparut complètement, et je me mis à le chevaucher sans plus de retenue, assis sur son ventre, la tête rejetée en arrière. Lui me caressait le ventre et les seins et me répétait sans cesse :
— Hmm, c’est bon, t’as un joli corps, t’es vraiment bien foutu… hmm.
J’étais bien, empalé sur sa grosse queue, mon sexe frottant sur son ventre, ses mains me parcourant le corps.
Après un temps relativement long, il m’arrêta, et me dit :
— Tu la veux bien profond ?
— Oui répondis-je dans un souffle, totalement abandonné à ses pulsions et aux miennes.
Il me fit mettre à quatre pattes sur le lit tandis que lui se mettait debout à côté. Mes fesses étaient ainsi juste à la hauteur de son sexe. Il m’encula d’une seule poussée, jusqu’à ce que ses couilles viennent toucher les miennes. Après déjà un quart d’heure de pénétration, mon anus était bien ouvert et je ne ressentis aucune douleur. Par contre, je ne pus retenir un cri de surprise et de plaisir mélangé. Jamais de ma vie je n’avais été à ce point rempli, écartelé, jamais je ne m’étais senti aussi bien possédé, jamais je n’avais eu autant envie de m’offrir entièrement à mon partenaire. Commença alors ce qui reste encore aujourd’hui pour moi mon meilleur souvenir de sodomie. Il se mit à me pilonner à un rythme rapide et régulier, en me donnant de temps en temps de petites claques sur les fesses. Il m’excitait aussi de la voix, me traitant de « bonne salope », de « chienne », me disant qu’il prenait son pied, qu’il adorait mon cul, qu’il aimait me défoncer, etc. Il est difficile de décrire mon plaisir à ce moment. Mon cul parfaitement lubrifié et dilaté accueillait son gros sexe sans problème. Avec le gel, j’avais l’impression de mouiller comme une femme. J’étais secoué par ses coups de reins, dans un état second, lui caressant les couilles d’une main, me branlant de l’autre et je sentais mon sexe se gonfler et se tendre. Je le prévins que je n’allais plus pouvoir me retenir très longtemps. Il me demanda d’attendre encore quelques minutes et finalement, au moment où je sentis son préservatif se remplir dans mon cul, je partis dans un orgasme incroyable, inondant littéralement de sperme la serviette que j’avais placée sur le lit.
Il s’écroula sur moi en m’embrassant le cou, et nous restâmes ainsi un long moment immobiles tous les deux, dans un état second. Après être passés tous les deux sous la douche, il me proposa de m’emmener dîner près de l’hôtel. J’acceptai avec enthousiasme et nous passâmes une très bonne soirée, discutant de presque tout, sauf de sexe, sans presque aucune allusion aux moments forts que nous avions vécu quelques heures auparavant. J’appris ainsi qu’il était cadre supérieur dans une entreprise d’informatique, marié, père de deux enfants dont l’un était à peine plus jeune que moi, qu’il aimait rencontrer de jeunes hommes imberbes et passifs de temps en temps lorsqu’il était de passage dans la capitale. Au moment de se quitter, il me demanda de venir passer la nuit avec lui à l’hôtel. L’idée me plaisait, mais je devais me lever tôt le lendemain et craignais d’être en retard pour un rendez-vous important. Il me restait par ailleurs peu de temps pour attraper le dernier métro. Tout en lui expliquant la raison de mon refus, je lui proposai donc de nous revoir vite et, avant de partir, de le faire jouir encore une fois.
— D’accord, me dit-il, mais alors, ne remonte pas dans ma chambre, car je t’empêcherai de partir et tu n’auras pas ton métro.
Comprenant qu’il me lançait un défi, j’avisai un couple qui pénétrait dans un immeuble à côté de nous. Je les laissai entrer, mais retins la porte avec mon pied, de façon à pouvoir pénétrer dans le hall derrière eux. Dès que la lumière du couloir s’éteignit, j’entrai en tirant mon amant par la main. Je le poussai le long du mur, et, en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, je commençai une pipe frénétique, sans aucune pudeur ni peur d’être surpris.
— Après tout, me dis-je, qu’est-ce que je risque ?
Mon compagnon, bien que surpris au début de ma réaction, était ravi. Il s’amusa à me guider les mains appuyées sur ma tête, me faisant parfois hoqueter tant sa bite pénétrait loin dans ma gorge. Excité comme il était, il ne fut pas long à jouir. Alors que j’avais, par précaution, presque toujours refusé de recevoir une éjaculation dans ma bouche, je m’appliquai cette fois-là à ne pas en laisser perdre une seule goutte. Je lui nettoyai parfaitement la queue, en pressant même légèrement ses couilles pour recevoir les toutes dernières gouttes. Je me relevai et vis qu’il avait encore les yeux embués de plaisir. Il m’embrassa à pleine bouche et me demanda quand nous pourrions nous revoir. Le lendemain étant impossible pour lui, rendez-vous fut pris à son hôtel le surlendemain. J’avais hâte d’y être. Mais je ne me doutais absolument pas à ce moment-là que mon amant allait aussi devenir un initiateur pour des situations encore plus osées.
Notre deuxième rencontre débuta comme la première. Nous passâmes un long moment sur le lit à nous embrasser, moi à le sucer et lui à me doigter le cul avec un puis deux puis trois de ses doigts qu’il avait enduits de son gel miracle. Curieusement cependant, Marc ne semblait pas pressé de me prendre. À un moment, il s’arrêta et me demanda si une partie à trois me plairait. Un peu surpris, presque jaloux, je lui demandai alors ce qu’il avait en tête. Il m’avoua avec un sourire coquin qu’il s’agissait d’un pur hasard. Il avait surpris récemment l’un de ses collègues et subordonné en train de regarder un site gay sur son portable dans son bureau. Son collègue ne l’ayant pas entendu arriver, il avait eu tout le temps de l’observer en train de se masturber devant des photos de jeunes mecs se faisant sodomiser en direct. Finalement, lorsque son collègue s’était aperçu qu’il n’était plus seul, il avait bien sûr été horriblement gêné et avait demandé à son supérieur de ne rien dire à personne. Ce dernier en avait profité pour lui poser quelques questions intimes et c’est ainsi qu’il avait su que ce parfait père de famille de quarante-cinq ans fantasmait aussi sur les mecs et à l’occasion, invitait dans sa chambre d’hôtel un jeune passif rencontré sur le net pour profiter de son cul.
— Et le meilleur, me dit-il pour conclure, c’est que mon collègue participe au même colloque que moi et qu’il est descendu dans le même hôtel… je lui ai dit tout à l’heure que j’avais rencontré un super bon plan, et que peut-être, si tu étais d’accord, on se ferait une partie à trois.
— Tu as envie de lui ? lui demandai-je.
— Non pas du tout, mais c’est vrai que je suis voyeur et j’aimerais bien de voir te faire baiser par lui…et puis, je me trompe peut-être, mais tu es tellement chaud que je suis sûr que tu as déjà fantasmé sur une telle situations non ?
Là, il avait touché juste, une queue derrière, une autre devant, c’était un fantasme depuis longtemps.......
VOUS IMAGINEZ DONC LA SUITE !
eh ben, il semble que ouit ...
'Highsexual'."hypersexual"
Il existe d'étranges fumeurs de cannabis hétéros manifestant un comportement homosexuel quand ils ont fumé.
Témoin :
"- A ce moment-là je suis totalement excité et bande "à mort" . Normalement, je ne me sens très attiré par les filles et pas
du tout par les hommes quand je suis à jeun ou dégrisé, mais quand je suis sous l'influence du cannabis, je veux juste une grand e et grosse bite à sucer.''
'
" Y a-t-il Quelqu'un d'autre à qui ça arrive d'avoir les mêmes effets ? Juste la curiosité, pas que ça me dérange vraiment puisque je suis toujours attiré aux filles, mais cela m'intrigue qu'à certains moments je suis bizarrement attiré par mes copains qui, d'habitude, ne m'attirent pas "
Un type a sorti :
" - pas étonnant, pendant ces moments tu deviens "hypersexuel " et quoi, c'est mal ? Quand c'est arrivé ça n'a jamais été une grosse
affaire"
" Vous monsieur, êtes probablement un Hypersexuel à ce moment-là.
Si les participants sont sur la même longueur d'ondes, eh bien vous "échangerez" sans problème ! après aucun d'entre vous n'en
parle en général. Quand il est arrivé cela n'a jamais été une grosse affaire. ' Un certain nombre d'utilisateurs qui ont fait des remarques sur votre message et ont été très positifs sur le
sujet, encourageant que si on affiche la réalité, c'est mieux en se disant qu'on es "crypto bisexuel" plut^t que simple hétéro ou simpe homo et qu'il n'y a rien de mal avec aucune
des perspectives du tout.
Malgré l'étrangeté du terme 'Hypersexuel' je pense que c'est une bonne chose que les gens soient encouragés à explorer leur sexualité et
non en avoir honte. Si en vous "défonçant" en compagnie d'autres ça vous fait vouloir explorer votre sexualité et que d'autres participants sont ouverts et à l'aise avec cela et c'est
du bien-être pour tous."
Application : ce gars qui se clamait hétéro marié tous crins au tél et qui finit par accepter...à condition que ça ne vous dérange pas s'il fume un joint eh ben, c'est paril...
il se crée les conditions pour devenir momentanément gay
Et vous les autres, comprenez la leçon !
.adapté d'un site des USA
il devient gay !
UNE FUMEE qui vous améliore si on considère que vous savez vivre deux vies à la fois ...
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