DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 00:56

     Comment notre libertinage a commencé 

 

 

 

  Internet, c’est génial ! Mais quelquefois, on va un peu plus loin que l'on voudrait et on se trouve piégé volontairement. J'avoue que cela m'est arrivé et que, tout compte fait, je ne le regrette pas. Cela m'a permis une révélation. En l'absence de mon épouse Nadia, je surfe allégrement sur divers "chats" et Forums.
Un jour où je pianote sur un serveur plutôt SM, Nadia mon épouse me surprend. Elle est assez ouverte mais quand même, ça la choque un peu. Elle m'ordonne d'interrompre la communication. Je m'écrie : "Laisse-moi regarder, je discutais avec un annonceur qui proposait de prendre la femme d'un couple devant son mari." Elle me regarde droit dans les yeux et me dit : "Qu'as-tu répondu ?" Je lui dis que je n'ai pas encore répondu. Elle ne me croit pas. J'arrête de surfer et on n'en discute même pas.

Avant de continuer, je veux juste vous dire que Nadia ma femme a 25 ans, mesure 1m68 pour 51 kg et qu'elle est vraiment superbe avec de beaux seins et surtout un "cul de reine" comme j'aime le dire : bien rempli et ferme sans être trop gros.

Quelques jours après, un couple de nos amis nous invite pour dîner. Après un repas bien arrosé, notre hôte nous convie à voir des vidéos un peu scabreuses. Un autre homme baise son épouse devant lui. Ce qui me fait penser à l'annonce sur Internet. On sort de la soirée, bien excités.
Une fois couchée, mon épouse me reparle du film. Aussitôt, je me mets à bander. Elle s'en aperçoit et me dit : "Tiens, cela a l'air de te faire de l'effet, tu aimerais que je le fasse devant Toi ? " Je grogne une réponse incompréhensible, mais ma queue est dure comme une barre de fer. Ma femme l'engloutit et je lui emplis la bouche aussitôt.

Quelques jours plus tard, ma femme me propose elle-même de surfer ensemble. Nous nous amusons comme des fous, et plusieurs jours durant, on taquine les Forums et les "chats".
Nous aimons jouir après nous être excités à dialoguer.
Puis voilà qu'un jour, on tombe sur le même internaute.
Mon épouse tout excitée me dit en m'attrapant les testicules : "Je suis sûre que ça te plairait d'être cocu." Je bande. Elle jubile...

Quelle n'est pas ma surprise quand elle prend un rendez-vous avec ce monsieur. Elle prétend que cela va mettre du piment dans notre vie. Le soir arrive, nous allons au rendez-vous, dans un petit bistrot discret. Le type est là. Grand, mince, d'allure aisée, trente ans maximum.
II déshabille ma femme des yeux. Après avoir pris l'apéritif, il nous propose d'aller dîner dans un restaurant. Le repas terminé, ma femme lui dit tout de go : " Si nous parlions de choses sérieuses, choses pour lesquelles nous nous sommes rencontrés. " Et aussitôt, nous partons pour son appartement.
Afin que la narration de cette escapade ne soit pas trop longue, je passe sous silence la description des lieux, etc.

Mon épouse Nadia n'attend pas qu'on l'invite à se déshabiller. En un clin d'œil, elle est nue. L'homme siffle, admiratif. Ma femme, se tournant vers moi, me dit : "Karim, déshabille-toi, cocu, tu seras plus à l'aise pour me voir baiser." Le gars est bien proportionné, les couilles bien accrochées, la verge assez longue. Ma femme va vers lui et lui caresse la queue. II bande aussitôt. Elle s'apprête à me faire cocu, et ça va se passer sous mes yeux ! Je vois l'excitation lui rougir la figure. Je m'étonne de ma passivité, mais je comprends qu'une certaine curiosité malsaine me retient.
Mon épouse montre un empressement qui me choque un peu, car il me semble qu'elle ne l'a jamais eu avec moi. Elle se colle au mâle et l'embrasse. La verge de son amant est devenue énorme, le gland est largement décalotté et plus gros que le diamètre de la tige.
Elle prend les testicules de l'homme dans une paume et, de l'autre main, attrape le zob et absorbe difficilement dans sa bouche gourmande la pointe du morceau. Je crois que je n'ai moi-même jamais tant bandé. Quelle salope, je ne l'aurais jamais cru capable de faire ça devant moi. On dirait que cela décuple son plaisir. Ils se dirigent tous les deux vers un lit. Le mec se couche sur le dos et dit : "je vois que tu es une belle salope, et bien chevauche-moi, ça ne sera que meilleur et plus excitant aux yeux de ton mari !". Je vois ma chérie, les cuisses largement ouvertes, s'empaler lentement mais profondément sur la verge.
Elle ouvre la bouche, exhale un soupir, s'agite et, au bout d'un moment, crie sa joie, les joues cramoisies et les yeux révulsés. Elle s'affale sur le mâle et l'embrasse à pleine bouche. "Oh, que c'était bon !", s'écrie-t-elle. Le gars lui fait remarquer que son jus a coulé abondamment sur ses couilles, que le lit est trempé. En effet, une large tache de cyprine s'étale sur les draps. Elle n'avait jamais autant joui.
Le retour en voiture est silencieux. Chacun essayant de remettre ses esprits en place. Au lit, on commence à parler de la soirée. Conséquence, une érection terrible. Elle me le fait remarquer et ajoute : "II faudra recommencer."

 This is perfect sex for a cuckold. Look at your little erection trying to stand straight up. You’re turned on watching this guy pumping into your Wife’s pussy just inches away from you. One of the things I enjoy most about cuckolding is my Wife seeing my erection while She has sex with someone else. I love Her knowing how much She’s exciting me by being unfaithful. Being faithful is my job, not Hers.

 

et c'était pas moins bon pour moi qui écoutais et regardais  !
Depuis ce jour, elle s'habille d'une manière plus provocante, plus sexy. Minijupe, porte-jarretelles, string ficelle, soutien-gorge pigeonnant... Et elle rentre plus tard le soir. Un soir, je l'attendais derrière la porte d'entrée. Je lui demandai d'où elle venait ; seule réponse une formidable paire de gifles qui me fit vaciller. Je tombai à genoux en gémissant. Elle me regarda droit dans les yeux et dit : "je vais te dresser !". Soulevant sa robe jusqu'à la taille, elle ajouta : "Tu vas le savoir d'où je viens, lèche salope, tu vas manger tout le sperme de mon aman !". Comme je restais interloqué, je reçus une nouvelle paire de gifles, elle m'attrapa par la nuque et me maintint la bouche contre son sexe démuni de culotte.
Je me sentais vaincu et, servilement, je me mis à sucer. L'odeur forte du sexe et du sperme m'excitait. Je léchais avec avidité, elle s'en aperçut, m'insulta et jouit dans ma bouche. "Puisque tu aimes être cocu, à partir d'aujourd'hui, tu feras ce que j'exigerai de toi. Je veux que mes amants viennent me faire l'amour ici. Tu seras notre servante et comme ma copine me disait: « il faut qu'il soit à ta disposition et pour cela, il te faut le dresser durement à la cravache ou au martinet, même en présence de tes amants ».
Depuis ce jour, ma femme Nadia ne m'appelle plus chéri mais cocu et, à chaque fois, j'ai un début d'érection.

Et puis maintenant, je suis régulièrement fouetté et j'en bande à éclater, surtout lorsqu'elle me bat en présence de ses amants, ils sont parfois surpris, certains s'en vont, d'autres prennent la cravache en main. Le fouet ou la cravache, ça fait mal, Je crie, je supplie, je pleure parfois mais, tout compte fait, ma nature masochiste est comblée de cette situation et je jouis après comme un damné en me masturbant devant eux. Je leur porte le déjeuner au lit le matin.

Son jeu préféré : me prendre la bite pour la rapprocher de celle de son amant afin de comparer les tailles et le degré de rigidité, ça l'amuse beaucoup car je suis court.
Elle a l'intention de me faire prendre par des mecs qui aiment baiser les époux complaisants, elle cherche ces garçons sur internet.

 

 

                                   
 Your Wife’s hand jerks him the final few strokes as he cums in your mouth. My Wife always tells the guy, “When you want, just cum in his mouth. Don’t give him any warning.” Tellng a man to use Her husband’s mouth is routine for my Wife. We met because I told Her about my desire for cock and now she has me making cock sucking dates for myself. She likes men to come by and use me for their pleasure. She loves to watch me eat their load like a good boy.

 

 

 

 

 

                                   

 

 


Vous voyez jusqu'à quel point je suis devenu sa chose !  

   Would you like to be on the bottom, opening your mouth and getting a blob of warm cum leaking from a used cunt? You dirty boys and your taste It’s actually very delicious and it makes your dick hard.  

 

 

    Quand ils baisent je dois juste me taire, écouter et regarder

 

 

          vous n'avez qu'à voir par vous-même : (écoutez-la surtout)                         

 

 

 il est plus fort que moi pour la faire jouir avec sa langue : il sait ne pas arrêter jusqu'à ce qu'elle lâche prise  !   

 

 

 

 

Par KARIM le roi candaule - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 16 février 2 16 /02 /Fév 21:15

    mal doté, la vie ne m'a pas fait de cadeau de ce "côté-là" -lol-

 

 Résultat de recherche d'images pour "pornma bite est une nouille flaccide"  Nadia ...  Résultat de recherche d'images pour "porn ma bite est flaccide"  moi pas terrible ...

Incapable de satisfaire ma femme

 

Je passe mon temps à regarder la télévision, à surfer sur Internet pour me régaler de sites pornos. Surtout ceux où l'on peut admirer d’énormes bites de black en train de baiser des blondes. J'ai toujours été fasciné par leurs engins qui écartèlent leurs chattes ou tiennent à peine dans leurs bouches. Et leurs éjaculations semblent si abondantes, à tel point que je me demande souvent si cela n'est pas truqué. Mais dans certaines scènes, cela se passe sans changement de plan, et l'on voit de près de longs jets crémeux jaillir de leurs glands énormes et puissants.
Il faut dire que je ne tiens pas du tout la comparaison avec eux. Mon zizi est plutôt petit, il atteint au mieux les 8 cm de long en érection et le diamètre ne dépasse pas 3,5 cm. Quant à mes éjaculations, elles ne sont pas aussi puissantes, 2 ou trois gouttes sortent de mon méat, et c'est tout. Et quand ça gicle, cela ne va pas bien loin.
  moi pas terrible ...des envies, mais...
 

 

 

 

Mais il faut que je me présente un peu plus.
Je me prénomme Karim, je suis marié, ma femme s’appelle Nadia. J'ai 32 ans et elle 25, j'ai le corps plutôt frêle et efféminé.
Autant dire qu'à cause de mon sexe, je ne pense pas être un "bon coup" au lit. Pourtant, avec ma femme, nous nous aimons. Elle m'a souvent dit qu'elle préférait un homme doux, caressant, plutôt qu'un mâle brutal. C'est pour cela qu'elle s'est mariée avec moi. C'est vrai que notre vie sexuelle n'est pas extraordinaire. Nadia est très belle, avec une poitrine magnifique, des hanches bien marquées et une chatte très douce. C'est une vraie chance pour moi d'avoir une femme si attirante, qui fait tourner les regards des hommes partout où nous allons. Je sais que j'ai bien de la chance d'être avec elle.
Cela ne m'empêche pas d'être un masturbateur compulsif, surtout depuis que je suis condamné à rester à la maison, à ne rien faire, trop démoralisé pour chercher un nouveau travail. Hier, je me suis masturbé en me godant 4 fois. Enfin, je devrais plutôt dire 3, car la dernière fois, je ne suis pas arrivé à éjaculer. Je n'arrive plus à penser à rien d'autre qu'au sexe.
Je dois avouer que ces masturbations répétées ont commencé depuis quelques temps déjà à interférer sérieusement avec la sexualité de notre couple. Je m'explique, je suis un éjaculateur précoce. C'est ce que ma femme a toujours dit. A chaque fois, elle se plaint qu'elle n'a pas eu le temps de jouir.
Aussi, au début, ces masturbations n'avaient pas d'autres buts que de me "vider" un peu préalablement pour que le soir, je tienne un peu plus longtemps. Mais voilà, il me fallait bien quelque chose sur lequel fantasmer pour me masturber. C'est pour cela que je suis tombé la première fois sur ces sites montrant des étalons noirs en action. Cela m'a fasciné dés le début et ne cesse pas de me fasciner. Au point d'y revenir plusieurs fois par jour. Et d'avoir sans arrêt ces images de gros zobs noirs, écartelant des chattes brutalement dans ma tête, que je ne pouvais chasser à cause de ma complète oisiveté. Cela m'excitait et me donnait envie de me masturber encore et encore. Malheureusement, le résultat ne s'est pas fait attendre.
Le soir, avec ma femme Nadia, j'ai du mal à bander. Et c'est à peine si mon zizi arrive à prendre un peu de rigidité pour écarter ses lèvres et la pénétrer. Ma femme est de plus en plus déçue et de plus en plus agressive avec moi.

 

 

                                   

 

  

 Aussi, j'ai décidé de faire quelques efforts envers elle.


Hier au soir, quand elle est rentrée du travail j'ai été très câlin avec elle. Pour lui montrer ma bonne volonté, j'ai dressé la table, et après le repas, j'ai débarrassé et fait la vaisselle pendant qu'elle sirotait un thé, étendue sur le canapé en déshabillé. Elle était très sexy... Je me suis alors approché d'elle et je l'ai embrassée et caressée, lui demandant si nous pouvions faire l'amour. Elle était distante et froide. Finalement, elle a cédé en me disant : "Alors dépêche-toi ! Fais vite ta petite affaire, j'ai envie d'aller me coucher de bonne heure !"


Ce n'était pas très engageant. J'avais du mal à obtenir une érection. J'avais beau me frotter contre elle, rien n'y faisait. Mon pénis avait certes grossi un peu mais il restait toujours aussi mou. Ma femme s'impatientait :
"Alors, ça vient ? Mon pauvre ami, tu es pitoyable ! Quel Mari ! On peut dire que je suis bien tombée ! Un bon à rien impuissant, voilà ce que tu es devenu ! Tu n'as qu'à t'astiquer ta nouille. Mais je te donne au plus 3 minutes, pas plus. Après, j'irai me coucher, minable !"


Ses paroles me blessèrent profondément. C'est vrai qu'elle avait l'habitude d'être dure avec moi, mais jamais à ce point et jamais de manière aussi blessante. Je me suis senti profondément humilié. Je me mis donc à m'astiquer à genoux sur le sol, devant elle, fixant ses cuisses ouvertes. J'étais stressé, je devais absolument arriver à bander pour lui prouver que j'étais toujours son mari. Je m'activais sur mon zizi toujours aussi mou.
"Ah... Ah... c'est comique ! Si tu te voyais ! Accélère minable, plus que deux minutes !"
En disant cela, elle regardait la trotteuse de sa montre qu'elle avait gardée au poignet. "Je parie que tu ne vas pas y arriver."
De plus en plus stressé, j'accélérais ma cadence. Mais au lieu de sentir un frémissement, je sentais au contraire ma bite se détendre. Je commençais à transpirer...
" Grouille toi, sinon tu iras dormir sur le canapé du salon !"
Je transpirais de plus en plus... Ma bite était complètement rétrécie et semblait ne plus vouloir se mettre en érection.


"Trois minutes ! C'est fini ! Ouste, dégage ! Tu me dégoûtes, minable, bon à rien ! Et dire que tu croyais me donner satisfaction ! Ta saucisse est toujours trop molle, c'est à peine si je la sens ! Et les trois petites gouttes qui en sortent quand tu as fini de t'agiter et de transpirer sur moi, je ne les sens pas plus ! Quand j'étais étudiante, j'avais un amant, un athlète noir avec un sexe monstrueux et des boules énormes aussi qui tenaient juste dans mes deux mains quand je le suçais. Son gland était tellement épais que j'avais du mal à le mettre dans ma bouche. Et il était capable d'éjaculer des litres de sperme chaud et bien gluant ! Il me remplissait le vagin ! Je sentais chacun de ses jets jusqu'au fond de ma matrice !"


Ce discours de ma belle Nadia eut un effet paradoxal sur moi. Frappé de stupeur, j'arrêtai de m'astiquer la nouille. Le rouge envahit mon visage. Et des larmes envahirent mes yeux. Je la suppliais...
"Pitié, Nadia, arrête de me raconter tout cela, je... j'imagine des scènes avec tout ce que tu me racontes... Pourquoi est-ce que tu es si blessante envers moi ?"
 
J'étais sur le point d'éclater en sanglots quand je vis Nadia grimacer de dégoût et m'envoyer un coup de pied dans la poitrine qui me fit basculer en arrière sur le sol. Eberlué, je me relevai, les deux pieds sur le tapis, près d'elle qui pointait le doigt vers mon bas ventre en éclatant de rire. Je baissais les yeux dans la direction où pointait son doigt et je découvris avec effroi qu'en quelques secondes, j'étais arrivé à une pleine érection ! Dans un éclair, je compris que son discours avait éveillé en moi des images... celles que j'avais l'habitude de voir sur ces sites pornos "BBC" (pour Big Black Cock) devant lesquels je n'avais pas arrêté de me masturber toute la journée ! J'étais confus, je balbutiais, tentais de me justifier


"Mais c'est toi Nadia, qui est si belle, qui m'as excité !"
"Menteur ! Pitoyable menteur. En trois minutes, tu n'es pas capable d'avoir la moindre érection en reluquant la chatte de ta femme qui est prête à te faire l'amour, mais dès que je te parle de mon amant noir et de son énorme zob, tu te mets tout de suite à bander ! On dirait que tu es pédé ma parole !"
"Je t'en supplie Nadia, je suis prêt maintenant... Nous pouvons faire l'amour..."
"Ah non ! Pas question ! Tu me dégoûtes ! Il me faut un vrai homme, pas une tapette comme toi !"
"Pitié Nadia, ne sois pas en colère, je t'en prie, ce n'est pas ce que tu crois..."
"Menteur ! Ta bite parle pour toi. Dégage maintenant ! Et pas question de dormir près de moi. Je ne veux plus sentir ta peau contre moi ! Dégage et vas dormir sur le canapé du salon. Et on en reparlera demain matin, crois-moi !"


Dépité et à nouveau complètement flaccide maintenant, je m'installai pour dormir sur le canapé, choqué de tout ce que m'avait dit ma femme, tout cela tournait dans ma tête. Elle allait me quitter c'est sûr. Et j'étais profondément déprimé. Je l'aimais c'est sûr, et j'avais trop besoin d'elle. Sans compter que l’appartement, le salon de coiffure pour dames et la boutique de prêt-à-porter pour femmes lui appartenaient, je n'avais nul endroit où aller, aucun de mes vagues amis ne m'accueillerait, sachant que je n'avais aucune rentrée financière. Je me voyais déjà finir en clochard.
 
Le lendemain matin, afin de ne pas perdre ma chérie et me retrouver dans la rue, j’ai accepté d’être son mari soumis et cocu volontaire !

 

rire de soi c'est bon et douloureux à la fois !

   This is who we are in a snapshot, jerking beside our girlfriend as she fucks. Maybe you start cuckolding with your girlfriend. Maybe your entire sex life you are a cuckold. You lucky, lucky man sitting there enjoying the cuckolding pleasure of watching another guy pumping his hard cock into your girlfriends pussy and all three of you are loving every second. That'sd definitely who we are or who we want to become. I admire you young man.   

 

 

Par KARIM - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 16 février 2 16 /02 /Fév 21:10

et toutes les "miettes" des repas avec ses amants sont bonnes à ramasser !...

 She’s been waiting days for this. Your Wife has been wanting his cock so badly to fill Her pussy. My Wife has men She prefers to fuck. Men with huge cocks that can really fuck Her brains out. Are you ready for your Wife to have men available who She prefers to fuck over you? Are you that kind of husband?

 

 This is perfect sex for a cuckold. Look at your little erection trying to stand straight up. You’re turned on watching this guy pumping into your Wife’s pussy just inches away from you. One of the things I enjoy most about cuckolding is my Wife seeing my erection while She has sex with someone else. I love Her knowing how much She’s exciting me by being unfaithful. Being faithful is my job, not Hers.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

et ne croyez pas qu'elle soit muette quand il lui fait ça !

là elle s'est abandonnée...

oh les "jeunes premiers" ne sont pas les meilleurs à ce job !

eh ben, j'aime la voir jouir

et j'arrive à réprimer ma jalousie envers le mec.

 

 

   

 

c'est bien meilleur à trois !

...

Par LE ROI CANDAULE - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 18:37

bisexuel...je ne m'étais jamais imaginé l'homosexualité sous l'angle des sentiments.

 

 

 

NDLR

 

  • La camaraderie amoureuse qui n'inclut pas les manifestations amoureuses est une camaraderie tronquée; l'hospitalité d'où est absente le sexualisme est mutilée. wikipedia

 

 

 

    

Une révélation progressive/  http://www.cestcommeca.net/temoignage-une-revelation-progressive.php#1123

Bonjour,

Je m'appelle Florent, j'ai 21 ans et je suis bisexuel.

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Je tiens à témoigner même si je ne sais pas trop quoi raconter, si ce n'est qu'assumer ma bisexualité fut un parcours du combattant assez douloureux et qui n'est toujours pas fini.

 

 

 

 

 

 

  LA BLESSURE 

Aujourd'hui, si on me demandait à quel moment j'ai compris être bi, je dirais que je le sais depuis que je suis gamin. Tout petit, vers l'âge de 7-8 ans, je me sentais des attirances pour les garçons autant que pour les filles. De là à dire que je comprenais, que j'avais conscience de ce que ça voulait dire, il y a tout un monde. Mais le fait est que, quand je repense à mon enfance, je ne peux m'empêcher de me dire que c'était déjà là. Puis j'ai grandi, j'ai mûri, et j'ai été confronté à des douleurs que je ne souhaiterais à personne. J'avais 13 ans et j'allais sur mes 14 ans quand j'ai perdu la personne qui a, sans doute, le plus compté dans ma vie pour le moment. Il s'appelait Grégory et il était mon meilleur ami. Je l'avais rencontré en maternelle et l'on s'était tout de suite très bien entendu. Nous étions, avec le temps, devenus inséparables. Je faisais partie de sa famille comme il faisait partie de la mienne, il était mon petit frère en quelque sorte et j'y tenais comme à la prunelle de mes yeux. Seulement Greg était malade, gravement, et à l'âge de 13 ans, il est parti je ne sais où, sans moi.
    Adolescent entrain de lire

13-14 ans   

 

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 UN SEUL ETRE VOUS MANQUE...
      De mon côté, j'ai commencé une sorte de dépression. Je n'étais pas bien dans ma peau, j'étais plutôt cynique, critique, sarcastique envers le monde qui m'entourait et j'ai eu bien du mal à me faire des amis dignes de ce nom. J'ai perdu le sens commun des relations amicales. En fait, j'ai désespérément cherché une relation aussi forte que celle que j'avais eue avec Greg. D'une part parce que ça me manquait et d'autre part parce que je n'avais pas de relations très fortes avec ma famille, ce qui était à l'origine d'une sorte de besoin affectif très important. Je recherchais des amitiés avec tout le monde et n'importe qui, et j'ai bien souvent trouvé n'importe qui. D'un autre côté, l'adolescence fut le moment où j’ai commencé à réaliser l'existence d'une attirance pour les garçons. Si j'en avais conscience, je refusais de l'accepter, me disant que ce n'était pas possible, que je devais devenir dingue. Et ça me paraissait d'autant plus dingue que, dans la cour de récré du collège, les gars se traitaient de pédés, de tapettes, je vous en passe et des meilleures. Difficile d'assumer une attirance pour les garçons quand on se rend compte que ladite attirance est sujette à raillerie et à l'origine d'insultes assez violentes. Je vivais dans un milieu où assumer n'était même pas envisageable.
LA REVOLTE
  -"    A 15 ans, j'ai pris la mesure de mon attirance pour les hommes, sans pour autant l'avoir acceptée. Je pense que je ne m'étais toujours pas remis de la mort de Greg non plus, tant de choses qui font que j'étais incapable d'assumer une quelconque différence. J'ai essayé de calquer mon comportement sur celui d'autres personnes, mais je me suis vite rendu compte que ça ne me menait pas loin. Je rentrais les soirs chez moi avec énormément de peine, de tristesse, je me savais différent et ça me rendait presque malade. J'en pleurais. Je me souviens de certains jours où, dans les cas les moins graves, je me "punissais" en me forçant à manger plus que ce que j'avais envie, dans les moments les plus graves en frappant du poing dans les murs (les murs en ont gardé de sacrés souvenirs d'ailleurs). J'ai même pensé au suicide, très souvent mais heureusement sans jamais passer à l'acte. Je pense que ça aurait causé plus de problèmes que ça n'en aurait résolu. Je ne me reconnaissais plus, je n'avais d'ailleurs plus rien de ce qui faisait que j'étais moi. J'étais de plus en plus irritable, de plus en plus asocial, pessimiste, plus rien n'avait d'importance. J'ai perdu, petit à petit, mes amis et je me suis même éloigné de ma famille, à part peut-être de ma Grand-Mère qui m'a pratiquement élevé et que je n'ai jamais voulu délaisser d'aucune manière. "

-"C'est à 15 ans que j'ai commencé les conneries qui allaient durer presque 4 ans.

J'ai commencé à aller à des fêtes (à l'insu de mes parents). Si je ne buvais pas, je profitais énormément de la consommation alcoolique des autres. Je peux le dire, j'ai couché à droite et à gauche pendant tout ce temps. Femme, homme, parfois les deux en même temps, j'ai fait l'expérience de tout pendant cette période. Dans mon esprit, c'était plus pour me punir que pour me faire plaisir, le pire étant que j'y prenais du plaisir et qu'au bout du compte j'en avais honte. Dans une certaine mesure, cette période m'a aussi permis d'assumer un peu, malgré la honte : c'étaient mes premiers pas vers la libération."
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-"J'avais 18 ans quand j'ai rencontré Marc dans une soirée. J'ai eu une grande discussion avec lui, il m'a confié être gay et en être pleinement satisfait. Il était même fier de l'être. Je l'écoutais parler, me dire qu'il ne se sentait pas différent, qu'il était quelqu'un comme tout le monde et que, comme tout le monde, ça lui arrivait d'être amoureux. Pour moi, ça a été un choc, je ne m'étais jamais imaginé l'homosexualité sous l'angle des sentiments. J'étais comme beaucoup de personnes : gonflé de préjugés et faisant l'amalgame homosexualité=sexualité. J'ai pris conscience que j'avais été idiot et j'ai pu amorcer mon premier coming-out auprès d'un cercle restreint d'amis. C'était un grand pas en avant pour moi. Cependant, je n'avais toujours pas repris espoir, cela faisait plus de 3 ans que je n'avais pas eu de relation stable et, vu mon comportement, je ne me faisais pas vraiment d'illusions. J'ai donc continué à enchaîner les histoires d'un soir. Jusqu'au jour où, en m'éveillant dans une chambre inconnue, au côté d'un inconnu, ne me rappelant pas ce que j'avais fais la veille, comprenant simplement que l'inconnu et moi n'avions pas conté fleurette, j'ai été pris d'une angoisse incroyable. Peut-être que ça paraîtra idiot à certains, mais j'ai eu peur d'avoir attrapé le SIDA... J'ai eu quelques rapports non protégés pendant cette période sombre et, ce jour-là, j'avais réalisé que je m'étais exposé plus que de raison. J'ai fait le test qui, à mon grand soulagement, est revenu négatif. C'est ce jour là que je me suis décidé à me reprendre en main."
LE COMING-OUT certains sont heureux après...
-"J'ai commencé par assumer auprès de tous mes amis. J'ai eu les réactions les plus chaleureuses comme les plus dégueulasses, et au final ça m'a permis de faire le tri entre les bonnes et les mauvaises fréquentations. J'ai eu quelques réactions idiotes et surprenantes (du genre "Ah t'es bisexuel ? C'est comme hermaphrodite, non ?"). J'ai réussi à avoir une relation stable pendant quelques mois, même si ça s'est soldé par une rupture. Je désespère de trouver à nouveau quelqu'un puisque je suis incapable de faire le premier pas vers les gens et que je n'ai pas vraiment l'occasion de faire de nouvelles rencontres. Mais bon, j'ai 21 ans et toute la vie devant moi. Des occasions, j'en aurai bien.

>La seule chose qui m'attriste, c'est d'être incapable de dire à mes parents que je suis bisexuel. Je n'arrive pas à faire mon coming-out devant eux. J'ai essayé, à plusieurs reprises, sans pour autant y parvenir. J'ai fait un pas en avant en le disant à mon grand frère, mais depuis je ne l'ai confié à personne d'autre de ma famille. Je voudrais qu'ils sachent, mais j'ai peur. Les réactions des gens sont tellement imprévisibles. Et puis, j'ai mis tellement de temps à construire une véritable relation avec mon père que je ne voudrais pas, à cause de ça, perdre tout. Ma mère, elle, a l'air de se douter de quelque chose, mais je n'en mettrais pas ma main à couper. C'est, aujourd'hui, ma seule douleur encore vive : mes parents ne savent pas qui je suis vraiment. Autour de moi, il ne me reste qu'un ami gay et on ne peut pas dire qu'il ait vraiment eu le choix de le dire à ses parents, il a plutôt été victime d'un outing. Je n'ai pas "d'expérience" sur laquelle me baser pour le dire aux miens. Et j'ai tellement peur de casser une relation que j'ai mis des années à construire que je subis une sorte de blocage.
      CE N'EST PAS ICI QUE FLORENT FERA UN CHOIX DE VIE DEFINITIF
      -"Ce qui rend difficile mon coming out auprès de mes parents, c'est peut-être d'avoir été en grande partie élevé par ma grand-mère. Ça a donc restreint grandement les relations que je pouvais avoir avec mon père et ma mère. Je les voyais assez peu et, par conséquent, arrivé au moment de me découvrir, de comprendre qui j'étais réellement et d'accepter ma bisexualité, je me suis rendu compte que je les connaissais peu, finalement. Mieux les connaître aurait sans doute facilité la communication. J'ai essayé, à plusieurs reprises, de le dire mais les mots me sont toujours restés dans la gorge. Pourtant, plus le temps passe, plus je construis une relation solide avec mes parents (ce depuis deux ou trois ans maintenant), je les connais mieux et je les imagine de moins en moins avoir une réaction déplacée à la nouvelle de mon coming out, mais je bloque toujours. Je n'ai qu'une explication à cela : c'est la peur de voir ce que j'ai construit avec mes parents se détruire par une remarque, un regard, une réaction qu'ils pourraient avoir lorsque je le leur dirai. Je suis de nature pessimiste, non pas que je vois toujours les choses du mauvais côté : en fait j'envisage toujours toutes les possibilités dans une situation donnée, m'obligeant à examiner la meilleure comme la pire des possibilités. Obtenir la pire situation dans un contexte est toujours un risque et, suivant les tenants et les aboutissants de la situation, je prends le risque ou non. Ici, dans ma situation, je suis incapable, pour le moment, de prendre un tel risque. Sûrement est-ce un tort de ma part de penser ainsi, mais j'ai tellement subi de la part des gens durant toute ma vie que j'ai dû trouver un moyen efficace de me protéger et c'est le seul que j'ai trouvé.

>Sur le fond, mes parents ne m'apparaissent pas comme homophobes. Ils ont toléré bien trop de choses pour se choquer de ma sexualité. Cependant, il y a ces petites phrases de rien du tout, ces remarques qui, loin d'être outrancières ou dégradantes, me bloquent, me blessent à chaque fois. Ce sont des remarques du quotidien mais elles sont très incisives lorsque l'on est dans ma situation, ou même dans la situation de n'importe quel homosexuel ou bisexuel, je suppose. C'est un peu comme dans la pub pour MacDo qui passait pendant la coupe du monde de football, où l'on voyait un garçon dans un restaurant de la chaîne avec son père discuter avec son petit-ami par téléphone et dont le père, revenant après que son fils avait raccroché, lui dit qu'il aurait toutes ses chances avec les filles si seulement sa classe n'était pas composée uniquement de garçons. Mine de rien, l'espoir du père de voir son fils trouver une petite-amie est blessant, je trouve, pour le garçon et son petit-ami. C'est un peu ça que je vis et qui me bloque. Ma mère, parfois mon père, me posent souvent la question de savoir quand je vais ramener "une bonne amie" à la maison. Ou alors c'est la remarque sur de probables futurs petits-enfants "Surtout ne me fais jamais une petite-fille". Le fait est qu'il est fort peu probable que je lui fasse un quelconque petit-enfant : je suis bisexuel, certes, mais avec une attirance plus prononcée pour les garçons. Du moins c'est l'impression que j'ai (je regarde plus facilement les garçons que les filles), même si une histoire avec une fille ne me dérangerait absolument pas (négliger cette possibilité serait dommageable, ça pourrait me faire louper des occasions).

      >Je redoute aussi ce que la surprise ferait dire à mes parents et qui serait de toute façon blessant pour moi. J'ai remarqué cela en l'annonçant à mes amis : je me rendais compte que chaque fois que quelqu'un manifestait une réaction (positive ou négative), j'en étais vexé. Je considère ma bisexualité aussi naturelle que l'hétérosexualité et je n'ai aucun problème à l'assumer publiquement (sauf devant mes parents !), en allant parfois jusqu'à plaisanter, à faire des sous-entendus, à faire de l'autodérision à ce sujet. Le fait de manifester une quelconque réaction me laisserait à penser que je suis différent d'une certaine manière, alors que je ne me sens pas du tout comme ça. Ainsi le "mais c'est génial !" d'une amie m'a autant blessé que le "c'est dégueulasse" d'un autre. C'est peut-être un peu trop radical, je m'en rends bien compte. Au final, la meilleure réaction fut celle d'un ami qui, en se proclamant purement hétérosexuel, me faisait redouter sa réaction. Je m'attendais presque à une réaction de rejet et lorsque je lui ai annoncé, il m'a regardé et m'a dit : "Et alors ?". C'est la seule fois où j'ai été transporté par la réaction d'une personne à qui je faisais mon coming-out."
LE PESANT REGARD DES AUTRES
- " Je tiens enfin à dire que je ne vois pas ma bisexualité comme une faute ou un problème. Bien au contraire, je m'en vanterais presque si je n'étais pas aussi timide. Le dire et l'assumer ne me dérange absolument pas et tant pis pour ceux qui n'aiment pas ça. La seule chose, c'est que j'en ai assez des regards de certains qui me fixent parfois comme si j'étais une sorte de pestiféré ou je ne sais quoi. C'est la seule gêne que je pourrais avoir vis-à-vis de mes attirances et de mes préférences, le regard des idiots peut vite devenir pesant."    

 

 

 

 

 

 

 

 

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difficile d'assumer"le cumul des mandats" ...sexuels

  sauf en tant " qu'électron libre  " NDLR 

   tu peux l'engueuler lui, mec 

il n'y est pour rien. AVANCE  !

 

 

Par FLORENT - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 8 février 1 08 /02 /Fév 19:50

ho, les bisex, c'est un pote !

SIGNATURE....! fuckyeaimgay: Constant Gay Porn - Follow for more

 

 

 

 

 

Par FAKIAH - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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