Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 21:27

Je tombe mon pantalon et présente ma queue. Elle me paraît petite maintenant. Je pénètre avec une facilité déconcertante. Je la sens à peine autour de ma bite. C’est chaud, c’est bouillant, mais je ne sens pas la pression habituelle. Celle que je connais si bien. Je ne bute pas non plus dans le fond, toute ma longueur y est, mais mon gland reste libre et sans contrainte. Je suis cocu, je le ressens physiquement.

http://revebebe.free.fr/histoires/rvb140/reve14043.html 

Un homme fantasme pour être cocu. Sa femme, plus audacieuse , devine ses fantasmes et les réalise. Il en voit sent les preuves sa bite nage maintenant dans le vagin de sa femme.

À pas de loup, elle était entrée jusque dans le petit bureau de l’appartement que nous occupions depuis huit mois. Celui-là même où se trouve l’ordinateur. C’était un samedi de shopping. Sauf qu’elle était devant moi, penaud, la queue à la main devant un porno et un récit de femme infidèle. Pas de scandale, pas d’esclandre, pas son genre. Elle tire l’autre chaise, s’y pose. Sa main attrape ma virilité devenue molle. Elle se met à lire silencieusement le texte. Silence perturbé par les gémissements du film. Mon sexe est serré, griffé, agité, il reprend vie. À la fin de la lecture, elle clique sur le site, observe les textes signalés comme lus. En lit quelques extraits. En me jetant parfois un regard que je ne saurais décrypter.

— Pourquoi tu ne m’as jamais dit que tu voulais être cocu ?

— Je… je sais pas trop ! C’est gênant !

— Oui ! C’est gênant, tu as raison. Mais je crois que nous allons rapidement remédier à cette gêne.

— C’est-à-dire ! On va faire quoi ?

— Toi rien ! Moi, je vais aller me faire baiser. Tu sais que j’adore ça et j’ai envie de faire plaisir à mon petit mari. Tu sais aussi que je t’aime comme une folle. De toute façon, je me doutais bien que tu étais comme ça. Je connais bien les hommes, tu le sais aussi, ça ! Depuis qu’on est ensemble, les fois où tu es le plus excité, c’est quand je te raconte mes parties de cul avec d’autres mecs ou quand on croise un de mes ex. J’en ai connu des mecs et des bites, donc un peu plus, un peu moins, si toi et moi on prend du plaisir, je suis OK. J’y pense depuis un certain temps, alors voilà comment je vois les choses. Je viens de me faire mettre deux nouveaux piercings, ils sont sur chacune de mes lèvres. Voici un petit cadenas, quand tu auras envie que je baise avec un autre mec, tu l’enlèveras. Si tu ne veux pas, tu me le remets. Je choisis qui et où. Et ce n’est pas parce que tu me l’enlèves que je le ferai forcément, il faut que j’en aie envie et qu’un mec me plaise. Si tu es d’accord, tu prends le cadenas, sinon, laisse-le sur le bureau et passons à autre chose.

 

Pendant son long monologue, elle m’avait exposé les deux anneaux dorés posés sur les grandes lèvres glabres de sa chatte. Elles étaient gonflées par le traitement qu’elles venaient de subir. Il lui faudrait une à deux semaines pour s’en remettre. Elle accrocha et décrocha le petit cadenas, pour montrer la manœuvre. Je m’y essayai, faisant très attention de ne pas faire mal à ses lèvres endolories. Ce qui fut difficile. Elle me dit qu’elle était excitée. Que la douleur lui donnait envie de baiser, mais que le mec qui lui avait fait lui avait déconseillé de le faire pendant quelques jours. J’avais le cadenas en main :

 

— Alors, tu me le mets, tu le gardes ou tu le reposes ?

— Je le garde !

 

Ses yeux brillaient d’excitation. Elle plongea sur ma bite et me suça comme une furie. Elle me fit jouir sur mon ventre.

 

— Je retourne voir le perceur. Tu sais, c’est celui qui est à l’angle de la rue. Il a bandé pendant toute l’opération. Il a dû m’essuyer plusieurs fois le minou tellement je mouillais. Il a fait du bon travail, il mérite bien une petite gâterie, tu crois pas ? Tu seras bientôt cocu, mon chéri, plus que quelques minutes. Ne te branle pas, je reviens tout de suite

 

Elle retira son soutien-gorge et quitta l’appartement sans me laisser répondre. Moi, je bandais de nouveau.

 

Effectivement, elle ne fut pas longue. Elle revint un quart d’heure plus tard. Elle me roula une grosse pelle qui sentait la bite. Elle-même sentait le sperme. Elle ouvrit sa veste et je la découvris souillée de semence. Son décolleté en était recouvert. Elle le retira ainsi que mon t-shirt et se colla et se tortilla contre moi, comme pour me faire partager ce jus d’homme. Je bandais toujours. Elle m’installa dans le fauteuil du bureau et entreprit de me faire ce qu’elle avait fait à l’autre. Une bonne fellation, elle me mit entre ses seins pour me finir en branlette espagnole, comme lui, sauf que moi, je baignais dans sa semence. J’ai joui entre les seins de ma femme, mélangeant nos gènes. Elle recueillit du liquide poisseux dans sa main et m’en badigeonna les couilles et l’anus. Ma bite tressautait encore de ce traitement.

 

Elle me tira dans le salon, retira sa jupe et s’allongea impudiquement, jambes écartées. Elle était merveilleuse, j’étais cocu. Je me précipitai pour dévorer le bel abricot bien mûr. Stoppé dans mon élan, Sophie me rappela l’impossibilité de toucher son minou, mais qu’elle avait besoin de plaisir, qu’il fallait que je m’occupe de sa jolie poitrine. Je le fis avec beaucoup de tendresse. Je caressai ses seins, j’en enduisis le moindre recoin de crème masculine. Jouant avec les tétons, les serrant l’un contre l’autre, les pressant comme elle me l’avait montré lorsqu’elle m’avait guidé sur les chemins du plaisir.

 

— Tu sais que j’aime quand tu me les lèches, que tu me les suces !

— Mais, je…

 

Je la regardai, interrogatif. Ses seins étaient pleins de sperme. Je n’allais quand même pas… Elle ne me laissa pas le temps de finir ma pensée qu’elle m’attira par la nuque et écrasa mon visage contre son sein droit. Mon visage se barbouilla de cette substance. La bouche sur le téton dardé, je l’ouvris et en appréciai le goût. Le mauvais goût, mais qui m’excitait. J’entrepris de le lui lécher. Je faisais ce qu’elle ne faisait pas. J’avalais. Elle aimait et se tordait en gémissant de désir sous mon corps.

 

Elle se tira de côté, je sentis sa main descendre sous mon ventre, caresser un peu mon chibre prêt à exploser, continuer sur mes bourses encore recouvertes de jus, les flatter, les soupeser, puis poser un doigt sur ma rondelle, elle aussi toujours crémeuse. Sophie aimait me taquiner la petite étoile, parfois avec la langue, parfois avec le doigt. Elle y aventurait ce dernier, mais jamais plus d’un. J’aimais. Elle me disait alors qu’elle aimerait me baiser, qu’elle aimait mon cul, qu’elle aimerait avoir une bite pour m’enfiler. Moi je ne répondais pas, je rêvais à ce jour. Cette fois, elle dut sentir mon relâchement dû à l’excitation, le lubrifiant était déjà posé entre mes fesses. Après quelques va-et-vient de son doigt, un deuxième se fraya un chemin. Je fus étonné et je crois que Sophie aussi, de la facilité avec laquelle il était entré. Elle se redressa et me demanda de me mettre à genoux sur le canapé. Les bras sur le dossier, ses doigts toujours fichés en moi.

 

Ma femme m’enculait en me pétrissant les boules et la queue. J’adorais ça, elle aussi. Elle me disait que le temps que sa chatte puisse recevoir de la bite, elle pourrait au moins jouer avec mon petit trou. Alors qu’elle tentait d’en insérer un autre, je me répandis en ajoutant de nouvelles taches, déjà nombreuses sur le convertible.

 

Son sexe ne put rien supporter pendant dix jours. Je profitais de sa bouche, elle de mes fesses. Au bout de deux jours, elle était revenue avec un gode ceinture, heureusement pas bien gros. Elle m’a baisé avec. C’était divin. Je me faisais sodomiser, pas elle. J’étais l’enculé de la maison, elle aimait me dire ça pendant qu’elle me prenait. Moi aussi, j’aimais. Je ne lui ai pas remis le cadenas durant cette période, histoire qu’elle guérisse plus vite. Elle ne profita pas de sa liberté, trop occupée à torturer ma petite rondelle. Je pensais qu’elle sucerait bien un mec,, mais non. Elle préférait attendre pour les recevoir en elle, comme elle me disait. « Les recevoir », me répétais-je sans cesse, en bandant.

 

Le soir du dixième jour, après la deuxième abstinence la plus longue de sa vie sexuelle, la précédente avait duré trois semaines – elle s’était concentrée à l’époque pour avoir son bac – elle me fit une surprise. Non au fait de sa nouvelle disponibilité sexuelle, elle me le signifia en m’accueillant après le travail par un gémissement que lui procurait un grand type tatoué de partout. À quatre pattes derrière elle, il semblait lui pilonner très vigoureusement la chatte. J’estimais enfin être cocu pour de bon. Sucer n’est pas tromper, selon un grand philosophe contemporain. Je bandais. Je m’approchai.

 

— Ton cocu est là, ma chérie !

 

Elle se redressa et me sourit :

 

— Regarde chéri, il a un nouveau tatouage sur la queue ! Il est gentil, il a voulu que j’en profite la première.

 

Il sortit une belle grosse queue bien lourde de ma femme et me présenta son œuvre. Effectivement, la bite et même les couilles étaient couvertes de dessins. Il replongea la chose dans des profondeurs marécageuses. Je n’avais pas touché, ni baisé le sexe de ma femme depuis dix jours, et c’est un autre qui profitait de cet antre. J’en savais la douceur, la chaleur. J’imaginais l’excitation et l’étroitesse, la jeunesse vaginale retrouvée, anéanties par un colosse à la bite multicolore. J’étais cocu. Je bandais.

 

Il était puissant ce gaillard. La sueur luisant sur les tatouages dépourvus de toutes pilosités faisait ressortir une musculature imposante. Je voyais clairement les muscles du dos, des fesses, des cuisses onduler sous la peau au rythme des coups de boutoir. Boutoir multicolore, boutoir épilé, mais boutoir quand même. Et pas des moindres. Détail anatomique qu’elle n’avait pas mentionné lors de nos premiers ébats le concernant. Elle voulait m’en faire la surprise.

 

Peu importe, je suis cocu, je bande, je l’aime ma salope. Je regardai la chose imposante coulisser en elle. Elle en avait connues de bien plus grosses par le passé, elle l’encaissait bien, en jouissait même bruyamment. Colonne colorée, luisante des saintes sécrétions, encadrée par des lèvres gonflées d’excitation, ornées de dorure. Fasciné par le spectacle, j’attendais de dénouement. Le bâton disparut complètement, je voyais juste les hanches du tatoueur collées aux fesses de Sophie. Il éjaculait profondément en elle. Elle criait sa jouissance, bien plus fort qu’avec moi me semblait-il, bien trop fort pensais-je. J’étais cocu.

 

Elle paraissait évanouie. Lui se rhabilla. Un petit signe de la main et il nous quitta sur un :

 

— À la prochaine, les amoureux, c’est quand vous voulez.

  N° 1241 Finalement, le cocu sert quand même à quelque chose… 

Il est sympa l’amant de ma femme, il la fait jouir et nous appelle les amoureux. Je l’aime bien, il pourra revenir quand il voudra, ou plutôt quand elle voudra. Si je devais donner un double des clés du cadenas, ce serait à lui. Elle émerge doucement. Toujours sur les genoux, la tête dans les coussins, elle laisse s’échapper les preuves de son infidélité par la béance que me propose cette vue. Les filets de sécrétions et de sperme viennent rejoindre d’autres souvenirs sur le canapé.

 

— Prends-moi, chérie ! Vite !

 

Je tombe mon pantalon et présente ma queue. Elle me paraît petite maintenant. Je pénètre avec une facilité déconcertante. Je la sens à peine autour de ma bite. C’est chaud, c’est bouillant, mais je ne sens pas la pression habituelle. Celle que je connais si bien. Je ne bute pas non plus dans le fond, toute ma longueur y est, mais mon gland reste libre et sans contrainte. Je suis cocu, je le ressens physiquement.

 

Elle se met à gémir. Ses organes sont sensibles, rougis, irrités d’avoir été pilonnés par le colosse multicolore après dix jours de vide. Je regarde mon sexe aller et venir dans ce con si large. J’ai du sperme jusqu’aux burnes. Elle a un orgasme, je la sens de nouveau, elle se serre autour de moi. Le jus de notre ami s’en trouve expulsé, ça me coule le long des jambes. Je ne tiens plus et me laisse aller en elle. Alors que je m’effondre de sommeil :

 

— Tu ne vas pas me laisser dans cet état, mon chéri ?

— Comment ça ?

— Tu vas pas me laisser pleine de la semence d’un autre ? C’est pas bien ! Ça pourrait me rendre amoureuse de lui. Et puis tu ne m’as pas léchée depuis des siècles. C’est pas très gentil ça !

 

Comme d’habitude, ne prenant pas de décision, elle m’attrapa par la nuque et me plaqua le visage contre sa chatte spermeuse. Elle me garda bloqué ainsi. Elle attendait que ma langue se mette en action. J’obtempérai. Je bandais.

 

Je partis explorer cette chatte que je redécouvrais. Dilatée, rougie, ornée, spermée. Je la nettoyai consciencieusement, sa chatte, sa petite rosette, ses cuisses. Même ses seins, ils avaient joué assez longtemps ensemble, attendant mon retour. Selon Sophie, je suis arrivé pour la troisième et dernière salve. Ses seins et deux fois son minou ont été honorés par le colosse multicolore. Deux heures et demie de baise intensive. Je comprends les irritations vaginales. Je suis cocu, je bande.

 

Je décidai de lui remettre le cadenas pour plusieurs jours afin que son vagin reprenne forme. Mais excité par cette première expérience, je rendis sa liberté à cette jolie petite chatte. Elle-même très excitée, elle courut en cette soirée vers les bars du quartier, sans culotte, sans soutien-gorge et jupe ras-la-touffe. Je me suis caché dans le bureau et j’ai attendu.

 

Une heure plus tard, elle revenait avec un gars d’une quarantaine d’années. Un costaud qui riait fort. Il ne fit pas dans la dentelle, il l’a poussée sur l’accoudoir du canapé, le cul tendu. Il releva la jupe et la fourra directement. Il la bourra dans une cadence infernale pendant très longtemps, ma petite femme avait orgasme sur orgasme. Décidément, elle savait les choisir. Au moment de jouir, il l’attrapa par les cheveux et lui fourra sa belle queue dans la bouche. Il lui maintint la tête et se répandit dans sa gorge. Bon sang, il avait osé, il l’avait fait. Elle n’a même pas bronché. Elle a juste avalé en le regardant, un beau regard de salope gourmande. Moi, je bandais à me faire mal.


    N° 1268 Tu l’as voulu cocu, tu l’as eu !
    N° 1266 C’est tellement bon d’être cocu…

 


Par DIVAGATION - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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