Arrête-toi je vais exploser ! Fous toi à poil je vais te niquer ton petit cul de puceau.
T’as des capotes ?
J’ai ce qui faut dans ma sacoche, gel et capotes, cela le fait marrer. J’enlève mon pantalon et mon caleçon et je me met à quatre pattes, enfin je vais me faire enculer. Et je
pense à la grosseur de sa queue.
Vas-y doucement je suis vierge..
T’inquiètes, je vais être gentil avec toi. Putain je vais me faire un cul qu’a jamais servi. Merci du cadeau,tu vas voir je vais gentil avec ton petit cul, je suis pas un
salaud faut que je te fasse aimer ça sinon tu voudra plus que je te nique.
Tu vas voir après ça tu oubliera jamais la sensation d’une bite dans ton cul. Tu vois moi avec mon air de macho super baiseur, je me suis fait niquer vers 18 ans par mon parrain,
il m’a éclaté la rondelle avec sa queue de fou.
J’ai aimé ça très vite et même maintenant que je nique plutôt des meufs, j’ai le cul sensible, t’as vu quand tu m’a bouffé la rondelle comment j’aime çà. C’est sûr ma bonne femme
elle comprendrait pas cela. Allez laisse faire le pro.
Retourne toi je vais te baiser comme une femelle, je veux te voir prendre ton pied !
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Il me retourne, m’écarte les cuisses et vient enfouirsa langue dans ma raie, la sensation chaude de
sa langue sur ma rondelle me fait vite perdre les pédales, très vite je sais où je suis, la seule chose que j’arrive à dire c’est : Nique moi à fond
Lui il perd pas la tête, il me doigte avec le gel, j’ai un peu mal mais quand il me dit qu’il m’en mis trois à fond je me dis que se n’est pas si douloureux que çà.
Je n’avais rien vu, il enlève ses doigts et je sent quelque chose de chaud et dure qui appuie sur ma rondelle.
Alors la je déguste, à mes grimaces et mes soubresauts réponds par des caresses et des mots doux, ce n’est plus le macho qui est devant moi mais un gentil garçon un peu gauche
mais très déterminé, il continue à s’enfoncer, son gland écarte mon anus avec force, je me dis qu’il va craquer, je vais me mettre à saigner, j’ai peur, je lui dit.
Disant cela, je sent ma rondelle qui cède et laisse passer la bête. Mon initiateur s’arrête et ne bouge plus, il me dit que je dois me faire à la grosseur de sa queue.
Il me parle doucement,en me flattant les flancs comme si j’étais une bête. Je souffle comme une bête, comme un cheval qui refuse son cavalier. J’ai mal au cul. Il le voit à mon
visage et me dit des choses gentilles et cochonnes qui m’excitent.
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Mais tout d’un coup, un coup de rein il s’enfonce en entier en moi, là je hurle.Il me fout mon caleçon
dans la bouche. Ca fait, je sais mal mais valait mieux que je te fasse mal une bonne fois pour toute plutôt que plusieurs fois. T’es un enculé mon pôte, je suis sur que tu pourra
plus t’en passer après, c’est toi qui sautera sur ma queue dès que tu la verra.
Il me fille un coup de rein. Il se penche sur moi et me roule une pelle, je le sers dans mes bras, son corps est musclé, je me fait niquer par un paquet de muscle viril. Je ne lui
dit pas que la douleur a été accompagné d’une décharge qui a couru le long de ma colonne vertébrale et ce n’était pas de la douleur.
On reste quelques instants comme cela, je lui caresse ses belles fesses, et puis il se met à bouger, j’ai encore mal mais la jouissance monte, il le voit sur mon visage, il
s’enhardit et très vite il me nique avec fougue. Il me traite de pute et de salope, de trou à bites, tous ces mots je sens que cela l’excite autant que de m’enculer, je me joins à
lui l’encourageant à me considérer comme une chienne.
Et puis il se raidit et je sent son sperme qui gonfle la capote. Il s’affale sur moi et me prend la bouche tellement brusquement que j’ai l’impression qu’il va m’avaler la
langue.
Il sort de mon cul, se relève, remonte son pantalon et s’en va...
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