Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 00:34

    bisex : un coeur plus grand

 

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Image associéeBISEXUELS >APRES SA LIAISON AVEC VERLAINE RIMBAUD NE SE RECONNAISSAIT PAS HOMOSEXUEL

 

Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé. Je jure que Benoît n’est pas pédé et moi non plus. Mais il s’est collé contre moi et ça m'a fait bander.

Je ne suis pas homosexuel, même si je n’ai rien contre. J’ai des copains qui sont pédés. Je m’entends bien avec eux, même s’il n’y a jamais rien eu entre eux et moi. J’ai déjà eu l’occasion de lire des revues Gay chez l’un d’eux, mais je dois avouer que cela ne m’a pas excité. Moi, je n’aime que les filles. C’est du moins ce que je croyais.

Il y a quelques mois, Benoît, un ancien copain de fac, m’a téléphoné. Il avait largué la Sorbonne et plaqué sa copine pour se mettre au vert dans un village paumé de la Drôme. À la fin de la conversation, je lui ai dit que Paris me déprimait. Les sorties en boîtes sont chères et les filles qu’on lève ne sont pas toujours terribles. Il m’a proposé de venir passer quelques jours chez lui en me disant que la campagne me ferait du bien.

Lorsqu'il est venu me chercher en voiture à la gare, j’ai vu qu’il était en pleine forme. Nous avons commencé à nous raconter nos derniers mois. Il m’a appris qu’il vivait depuis peu avec une fille qui avait un gamin. Il avait l’air assez accro, à l’entendre. J’ai pensé qu’il était casé et ça m’a foutu un peu la déprime. Un peu jaloux, peut-être. Benoît est un beau mâle, bien foutu. On a fait pas mal de natation ensemble et, à le regarder, on comprend tout de suite pourquoi il n’a jamais eu de mal à se dénicher des gonzesses. Les épaules carrées, le torse glabre, la taille fine, les cuisses musclées. Un très beau mec. Avec son air de ne jamais y toucher, je l’ai vu emballer en trente secondes. À baver de jalousie! Je n’ai pas autant de succès avec les filles. Lorsque je suis seul, je me branle en pensant à une bouche qui me suce la verge. J’imagine les lèvres humides, la langue qui lèche le gland. C’est bon et j’éjacule. Benoît m’a présenté à sa femme et nous sommes partis, lui et moi pour une grande balade dans la campagne. Cela faisait longtemps que je n’étais pas sorti de Paris et l’air était doux, grisant. On se serait presque cru au printemps. On discutait sur la fac, le boulot, d’un peu de tout, on se racontait nos souvenirs, surtout. J’avais du mal à croire qu’il était heureux dans ce trou perdu, même si c’était superbe. L’hiver, ça devait être dur. Benoît avait trouvé du travail dans une ferme et ça l’avait encore un peu plus musclé.

On est arrivés près d’un petit cours d’eau. Il faisait trop froid pour se baigner mais ça nous disait bien de faire les cons, tous les deux, comme lorsqu’on faisait nos études. On s’est mis en slip, et on a eu froid. On grelottait déjà avant d’entrer dans l’eau. L’eau était glaciale, bien sûr, et nous ne nous sommes pas baignés. Nous nous sommes contentés de nous mouiller jusqu’aux genoux et de nous éclabousser un peu. Finalement, j’ai glissé sur des rivulaires et je me suis retrouvé le cul dans l’eau. On rigolait comme des cons en claquant des dents. Benoît n'est jamais à court d’idées, et il a proposé de faire un feu pour faire sécher mon slip, on a joué au Robinson. On s’est couru après en poussant des cris de guerre. Benoît m’avait assuré qu’il ne venait jamais personne. J’ai enlevé mon slip et remis mon jean en le laissant ouvert, parce que j’avais peur de me coincer la peau de la queue ou les poils des couilles dans la fermeture-éclair. On a réussi à allumer le feu et on s’est serrés l’un contre l’autre pour se réchauffer un peu.

Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé. Je jure que Benoît n’est pas pédé et moi non plus. Mais il s’est collé contre moi et ça m'a fait bander. J’en ai été le premier surpris. J'ai pensé que c’était juste sa chaleur, et j’ai fait comme si rien ne se passait. Mais Benoît avait vu que je bandais, et je crois qu’il fut surpris également. Il m’a dit: «T’as envie de te branler?» J'ai fait non avec la tête, puis je lui ai dit que je ne savais pas ce qui m’arrivait, que ça allait passer. Benoît m’a dit: «Si tu penses à une meuf, dis-moi laquelle, parce que vu comme tu bandes, elle doit être canon!» Mais je ne pensais pas à une meuf et j’étais troublé. Il commençait à faire nuit. Nous étions tous les deux seuls au bord d'un feu. On entendait des bruits tranquilles, de grenouilles ou d’oiseaux. Je me sentais flotter, j’avais envie de me laisser aller. Je l’ai dit à Benoît. Et il m’a dit que ça lui arrivait aussi, ce genre de sensation, quand il était seul dans la campagne. Il m'a dit qu’il aimait se masturber tout seul le soir au bord de l’eau. Il semblait fasciné par ma verge qui ne débandait pas. Il a eu un long moment silencieux, et la nature sembla peu à peu se taire aussi. Je n’ai pas été surpris lorsque la main de Benoît est venue se poser sur ma verge. À un autre moment, dans un autre lieu, j’aurais gueulé. Je crois qu’il n’aurait surtout jamais osé faire un tel geste. Même encore maintenant, quand j’y repense, je me demande ce qui a pu se passer pour qu’on se déconnecte à ce point tous les deux. Il a posé sa main sur ma verge et le contact m’a électrisé. J’ai tout de suite désiré qu’il la laisse et qu’il me caresse. C’était un désir déroutant, j’avais l’impression de ne plus être moi-même, ou bien de découvrir une autre personne à ma place. Benoît aussi semblait soudain différent. Il était grave. Il s’est peu à peu couché sur moi, et je sentis sur mon corps le poids du sien, ses muscles durs, son torse plat. Il m’écrasait un peu et cette sensation n’était pas désagréable. Il me branlait avec vigueur. J'avais fermé les yeux. De toutes façons, on ne voyait plus grand-chose. Je sentais son souffle près de mon visage, chaud, viril. C’était enivrant. Je n’ai pas résisté à l’envie de poser mes lèvres sur les siennes. Il les a ouvertes très doucement et nos langues se sont entremêlées. On s’est embrassés un moment comme ça, mais de plus en plus fougueusement. Je sentais que j'allais jouir et je n’avais pas envie que ça s’arrête. J’ai repoussé sa main et j’ai pris sa verge entre mes doigts pour la branler. Je n’ai jamais branlé un homme de ma jusqu’à ce qu’il jouisse. Il m’a joui dans la main. C’était chaud, âcre. Cela a réactivé mon désir. Ma verge ne débandait pas. J’ai une envie folle d’aller plus loin. Je ne sais pas comment j’ai réussi à le dire à Benoît. Il semblait, lui aussi, prêt à aller plus loin. J’ai sorti une capote de la poche de mon pantalon, comme j’ai l’habitude de faire quand je couche avec une fille, et je me suis senti con. Je ne savais pas vraiment si c’était utile avec un mec comme Benoît. J’ai mis ma capote; finalement c’était un geste qui me rassurait. J’avais un peu la trouille de ce qui allait se passer. C’est Benoît qui a pris les choses en main. Il s’est mis à quatre pattes et ma verge s’est glissée entre ses fesses, jusqu’à la rosette. J’ai fait doucement, comme lorsque j’encule une fille. J’ai sodomisé mon copain tellement doucement qu’il m’a avoué ensuite qu’il n’avait même pas eu mal. J’ai augmenté petit à petit les cadences. De sentir Benoît gémir sous mon poids me donna envie de jouir. Et au moment de tout lâcher, je me suis vu au bord de cette rivière, dans l’herbe, en train d’enculer mon copain. J’ai eu le temps de penser: «C’est pas possible!» Et j’ai joui!

Après on a repris peu à peu nos esprits. Il y avait un peu de lune et nous nous regardâmes en silhouette. Nous nous sommes embrassés encore une fois, nous nous sommes dit quelques mots et puis Benoît a dit qu’il fallait rentrer afin que Camille ne s’inquiète pas. On est revenus comme deux copains, comme s’il ne s’était rien passé entre nous. D’ailleurs, on n’en a pas reparlé ensuite. Juste au moment de se quitter sur le quai de la gare, Benoît m’a demandé si je regrettais ce qui s’était passé au bord de la rivière. Je lui ai dit que non, mais que je ne savais vraiment pas ce qui s’était passé. Il m’a avoué que lui non plus, il n’a pas compris, et qu’il ne comprenait toujours pas mais qu’il ne regrettait pas non plus. Ensuite, mon train est arrivé et je suis rentré à Paris. C’est sûr que nous avons fait l’amour comme deux homosexuels, même si nous n’en sommes pas. Quoique... Mais cette histoire m’a rendu perplexe. Maintenant, je me dis que personne n’est à l’abri d’une histoire comme la mienne et c’est tant mieux. Olivier, un bon copain pédé à qui j’ai plus ou moins raconté l’histoire m’a conseillé de vous l’écrire. Chose faite.

Fred, 24 ans...à l'époque...

 

 

 

 

Relire Verlaine

[...]- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom?
Toujours vois-tu mon âme en rêve? - Non.

Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.

Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles. (Colloque Sentimental) 

Nevermore

(attention j'ai changé elle en" il" et seule en "seul "une seule fois)

Souvenir, souvenir, que me veux-tu ? L'automne
Faisait voler la grive à travers l'air atone,
Et le soleil dardait un rayon monotone
Sur le bois jaunissant où la bise détone.

Nous étions seul à seul et marchions en rêvant,
Lui et moi, les cheveux et la pensée au vent.
Soudain, tournant vers moi son regard émouvant
" Quel fut ton plus beau jour? " fit sa voix d'or vivant,

Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique.
Un sourire discret lui donna la réplique,
Et je baisai sa main blanche, dévotement.

- Ah ! les premières fleurs, qu'elles sont parfumées !
Et qu'il bruit avec un murmure charmant
Le premier oui qui sort de lèvres bien-aimées !

 

Un trio pourrait donner une solution à bien des problèmes : mais je n'arrive pas à m'y résoudre

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et séduction et consommation d'un homme seul à seul  

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Par FRED - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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