DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Samedi 29 décembre 6 29 /12 /Déc 08:48

LE GROUPIE DU COUREUR DE FOND EST DEVENU SON BAISEUR FIDELE !

 

 

 

  d

-RIEN DE PLUS PROPRE ET DE BIOLOGIQUEMENT PLUS SAIN QUE LA PISSE de deux jeunes hommes sains de corps et d'esprit , Boire leur propre urine sera bénéfique pour la santé de chacun de ces deux jeunes qui se découvrent et si, en plus, c'est un plaisir réciproque récompensé par la baise profonde de Martin par Yann', que demander de plus ?  L’urinothérapie est une pratique déjà suivie sans problème par cinq millions d’Allemands, dix millions de Chinois, deux millions de Japonais et un million de personnes aux Pays-Bas

 

  d

 

Martin, je l’avais connu 31 ans plus tôt dans une situation

 

professionnelle réussie,

 

il était grand, blond athlétique mince et, à l’époque, il était champion

 

 cantonal suisse  de décathlon. Je l’avais suivi à plusieurs reprises dans 

 

 

 ses déplacements en compétition et nous avions même eu plusieurs

 

 

plans  cul ensemble. Je me souviens qu’il me disait « je suis amoureux

 

 de ta queue. » Nous couchions souvent dans le même hôtel, dans la

 

 même  chambre et dans le même lit. Son fantasme était que je le fasse

 

 déshabiller en suivant mes  ordres. Il terminait toujours en slip triquant à

 

 mort avant que je le lui baisse avec les dents. Il me fouettait le visage

 

 avec sa queue. Je restais moi même en tenue de ville chaussure, veste,

 

cravate.

 

Alors, il frottait son cul contre ma bite raide. Après que je l’ai extraite par la braguette, il me suçais frénétiquement puis, me déshabillait lentement. Tout les deux à poil, nous nous rendions sous la douche et la  séance de rasage commençait. Je l’enduisais de mousse à raser, le dessous des bras, la bitte, le cul, les mollets, et doucement, je le rasai pour qu’il ne lui  reste aucun poil. Ensuite nu comme un ver, il se lavait en se frottant doucement pendant que je le regardais. Nous avions dans cet instant généralement éclusé quelques bières et l’envie de pisser me torturait. Martin se mettait à genoux dans la douche et je l’arrosais de pisse.

Je lui pissais sur le torse, sur la raie du cul, sur les cheveux, dans la bouche et il se délectait de ce breuvage. Ensuite Martin et moi nous lavions copieusement, nous parfumions et nous glissions sous les draps pour de langoureuses caresses. Plusieurs fois dans la nuit, je présentais ma queue à l’entrée de son fion et il s’empalait sur mon dard. Quant je lui signifiais que j’allais jouir, je retirais ma queue et lui remplissais la bouche de mon sperme qu’il avalait complètement. Ce rituel était immuable et nous l’avons pratiqué pendant de nombreuses années sans nous lasser. Aussi, en attendant le bateau je pensais à cette période révolue depuis une bonne dizaine d’année. Naturellement personne ne se doutait d’ou venait notre complicité, mais nous nous savions que rien de nos corps ni de nos plaisirs ne nous était étranger.



 

 

-J'ai toujours considéré qu'il faut  beaucoup d'amitié et d'affection, voire d'amour et de confiance pour boire LA PISSE de son amant. Du moment que c'est inoffensif cavaillongay ne peut qu'inciter  tous les jeunes qui nous lisent à tenter l'expérience de boire réciproquement leur urine et leur sperme. Perso j'ai bcp aimé le mélange urine + sperme et les sentir dans mon boyau. On peut pas faire un bébé (-lol-) , mais ce type de fécondation crée un lien très fort, -durable ou non-   Une merveille et un délice réservé à ceux qui savent oser ! Belle occasion de tenter ça  la nuit de la st sylvestre !  CG 

 

 

 

  

 


 

commentaire :

 

 

 

 

 

  NOTES : D’après Tal Schaller, il s’agirait avant tout de dépasser le dégoût suscité par l’idée d’absorber sa propre urine, dégoût dicté selon lui par notre éducation. Ensuite, le principe est simple : le corps produit ses propres médicaments, il s’agit d’écouter son « médecin intérieur ». Nul besoin par conséquent de recourir aux médicaments, substances chimiques qui empoisonnent l’organisme, il suffit de « faire confiance à la sagesse du corps», « Une sagesse qui est des millions de fois plus grande que celle de tous les médecins réunis » [2]. Le corps sait ce qui est bon, alors pourquoi faire confiance aux médecins ? Des médecins complices d’une industrie pharmaceutique qui continuerait à cacher les innombrables bienfaits de l’urinothérapie dans le but évident de préserver ses intérêts et ses profits.
Et Tal Schaller d’affirmer : « La médecine est la première cause de mortalité des pays riches ! ».

 

 

 

FRESQUE :

 

jeunes, prenez sperme +pisse par la bouche  

Image associée Image associée 

 attention : pour boire le jus c'est pas la faciale et il faut bien (faire) emboucher la bite et glou et glou !

Image associée Image associée

  

Image associée Résultat de recherche d'images pour "gif porn gay drink piss and sperm"

 

 

 

évidemment si on s'y prend comme ça....

 

 

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On dit qu'un homme peut uriner avec une érection et même tout en ayant des rapports sexuels. Moi non. On dit que cela dépend de l'homme. Lorsqu'un homme endurant a des relations sexuelles pendant longtemps, il a parfois besoin de faire pipi et donc de se rendre rapidement aux toilettes, faire pipi et revenir ; moi qui ai toujours peur de perdre mon érection je ne m'y risque pas, J'arrive difficilement à demander à mes amants de pisser juste après avoir joui et éjaculé. Ils disent que c'est difficile POURTANT POUR LE PASSIF C'EST EXALTANT, surtout si le gars aime ça aussi. Ca le paie de son effort,,
  La plupart des femmes n’apprécieraient pas si un homme urinait en ayant des relations sexuelles avec elles. Certain
es s'en donnent à cœur joie.Eh ben je n'ai pas honte de dire moi aussi. Un gars qui vient de vous féconder et qui attend patiemment de pouvoir uriner c'est le sommet, mais on peut faire très bien avec un plug-tunnel et un entonnoir (image dans l'article). Régalez-vous les jeunes et les djeuns'

    

 

Image associée  

 

 

 

dick-on-me-bitch: “ You like piss in your ass ??? ”

plus efficace

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carrément pro ! :

 

Image associée moi qui aime à la fois l'urine, le sperme et les deux mêlés je peux être comblé.mettez bien du gelpour rentrer le plug dans l'anus... 

 

 

  prenez sperme +pisse par le cul replissez et faites remplir  !

 

Résultat de recherche d'images pour "gif porn gay drink piss and sperm"mais pkoi cette grimace ? laisse-toi aller !

 

 

 

 

 

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  ne me demandez pas de montrer des prolapsus ; merci !

Par YANNIQUE - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 28 décembre 5 28 /12 /Déc 06:44

    PRENEZ LE MEME PLAISIR QUE CAVAILLONGAY A LIRE LA POSTERITE DE DEUX BISEX MARIES AVEC DES FEMMES  : ' J'AI 50 ANS. MARIE ET HEUREUX '     https://cyrillo.biz/histoire/50ans.html

 

    «alors Yannick je me suis toujours demandé à quoi tu rêves ? » je me retournai et découvris Martin tout en sourire, Toujours aussi grand, blond et svelte même si le temps lui avait creusé quelques rides

  Croisière gay à la voile, l'expérience ultime 

 

 

 

Nous nous embrassâmes sur les joues comme nous le faisions toujours. Il aurait été surpris de certaines de mes pensées comme : «Comment Martin a-t-il pu faire, passif comme il est, pour faire un gosse à sa femme ? Et moi d'imaginer des scènes scabreuses pour le faire bander. Et aussi je gamberge au sujet de l'hérédité de nous, homos et bis, transmise ou non à nos descendants...nos fils éventuels je veux dire.» L'arrivée de Martin interrompit le cours de mes réflexions. 
« Salut Martin, en effet j’étais en avance. C’est bien ton bateau celui-ci ? On peut monter ? »   

Image associée

 

 

Martin me confirma que c’était bien son embarcation mais que nous attendions deux autres personnes qui viendraient à la pêche avec nous. Nous étions sur le pont en train de charger nos bagages quant deux jeunes minets d’une vingtaine d’années nous interpellèrent. « Voilà, on est là !  Nous n’avons pas trop de retard ? » Je détaillais les deux minous illuminés d’un sourire éclatant sur des dents blanches de rêve.

L’un était châtain clair, 1m 80 mince, de longues mains blanches au bout de deux bras fins recouverts de petits poils frisés. Son visage était fin, ses yeux marron encadrés par de longs cheveux attachés en queue de cheval. L’autre 1m 80  aussi, blond comme les blés cheveux rasés à la tondeuse, un visage poupin au teint hâlé et des yeux d’un bleu profond qui illuminaient ce beau visage. Les deux minous semblaient sortir tout droit d’un catalogue de mode. Leurs  vêtements dénotaient le  classique des enfants de bobo.

Martin s’avança et embrassa les deux jeunes qui me serraient la main. Martin fit les présentations «  voilà, le beau blond c’est Kévin mon fils étudiant à Marseille et à son bronzage tu vois que c’est un fana de voile et la c’est Serge étudiant en sciences Eco à Marseille et colocataire de Kévin ». Je ne pouvais détacher les yeux de ces deux merveilleux minets. Dés que le bateau fut au large, Kévin ôtait son tee shirt découvrant un corps lisse, musculeux, avec deux superbes tétons bruns posés sur des pectoraux dessinés par de nombreuses heures de sport. Je détaillais cette plastique superbe qui se confirma lorsqu’il enleva son jean pour se mettre en maillot de bain.

Il avait un shorty noir qui lui moulait la  bite qui semblait respectable. Ses jambes étaient musclées et recouvertes de petits poils blonds frisés. Quelques instants après Serge se dévêtait aussi présentant un corps mince et longiligne recouvert de poils soyeux entre les deux pectoraux assez bien dessinés. Sa bite moulée dans son slip de bain semblait plus grosse que celle de Kévin. Pendant toute la journée, chacun pêchait dans une ambiance survoltée alternant blagues, et jeux d’eau.

Vers 19 h Martin nous invita à nous changer car nous étions mouillés comme des rats, afin de pouvoir passer à table sur le pont supérieur. Je descendis dans ma cabine pour chercher des vêtements secs. Je commençais à enlever mon tee shirt quant Kevin rentra. « Excuse moi Yannick mais nous partageons la même cabine !  Le bateau de mon père n’a que deux lits doubles. Ce n’est pas un paquebot mais les lits sont confortables. A ce moment je compris que j’allais passer la nuit avec ce petit minou blond ; »

Je me mis à poil pour enlever mes affaires mouillées en tournant le dos à mon petit mec. Lorsque je me retournai, Kévin était nu en train de fouiller dans son sac pour sortir des vêtements secs. Je pouvais détailler ses deux valseuses sans poils peut être rasées ?  Et sa bite fine non circoncise entourée d’une couronne de poils blonds. Il ne semblait pas gêné du tout d’être en tenue d’Adam.

La soirée se déroula dans un délire complet les deux compères racontaient leur frasques de potache à Marseille la bière coulait à flot, et, vers minuit, je commençais à avoir la tête qui tournait. « Martin, je crois que j’ai abusé de la bière  encore une fois je ne suis pas sortable. » face à moi, je vis Kévin, les yeux rougis qui me dit « si toi tu as abusé moi j’ai dépassé ma dose ! » Martin conclut «  les mecs il est temps de se reposer mais attention que personne ne vienne gerber sur le bateau !  Si vous avez un problème dégueulez par dessus bord. ! »

Je rentrai dans la cabine et me mis en caleçon avant de me glisser dans les draps. J’entendais Kévin pisser par dessus bord juste au dessus de notre hublot.
Quelques instants après il s’engouffrait dans la cabine se dépoila et, complètement nu, se glissa sous les draps. « Laisse moi une place Yannick ne prends pas tout le lit ! » dit il en se plaquant sur moi.
Je sentais sa bite à travers mon caleçon. Et j’avais peur de bander mais rien ne se passa. Je coupai la lumière et couché sur le dos, je sentais le corps chaud de mon petit minou plaqué sur mon coté. Je fantasmais comme un fou en revoyant cette beauté que j’avais détaillée toute la journée. Mais je ne pouvais pas toucher au fils de mon pote.
Je cherchais le sommeil sans véritablement le trouver et bientôt, j’entendais la respiration régulière de Kévin, il dormait. J’étais toujours sur le dos, les bras sous la tête cherchant désespérément à trouver un sommeil qui ne venait pas. Environ une heure après nous être couchés, Kévin remuait dans le lit et se collait à moi en respirant doucement. Je sentais sa bite contre ma cuisse.

Dans un mouvement, il posait sa main sur mon ventre sans autre geste. Je ne bougeais pas mais il me semblait que sa queue devenait dure. Je déplaçai ma main droite pour la placer le long de mon corps. Je rencontrais la cuisse douce et chaude de Kévin plaquée contre la mienne. Puis je rentrai en contact avec sa bite en effet en pleine érection. Kévin respirait toujours doucement comme un dormeur calme. Je sentais les petits poils de sa queue me chatouiller le dessus de la main ; pour ma part j’avais le sexe douloureux depuis le temps qu’il était en érection. Dans un mouvement de dormeur, la main de Kévin se posa cette fois sur ma queue puis ne bougea plus.

 

Cette fois, doucement je remuai ma main droite pour pousser sa bite et je constatai qu’il mouillait. Je pris mon courage et je posais mes doigts sur son gland humide. Sa réaction ne se fit pas attendre il resserra ses doigts sur ma queue et commença à me frotter. Cette fois j’étais sûr, il ne dormait pas. Nous nous pelotions tendrement. Lui 20 ans moi 50 nous partagions une tendresse de collégiens.

Au bout de quelques minutes, Kévin se souleva et déposa un baiser sur mon épaule. Je saisis l’occasion, approchai mes lèvres des siennes et nous nous sommes embrassés goulûment. « Tu ne dormais pas Kévin ?... »

-COUP MONTE« Je sais que tu a été l’amant de mon père il me l'a raconté, Maintenant Martin, mon papa, est amoureux de Serge depuis un an Il vient régulièrement  à Marseille coucher chez nous. Comme nous n’avons qu’un lit nous faisons souvent une baise à trois. Mon père est toujours super passif, Serge super actif, moi c’est suivant.

Souvent mon père nous a parlé de tes performances, Yannick, c’est pourquoi nous avons monté ce coup. Si tu veux nous pouvons appeler Serge et mon père pour une partie à quatre. » Moins d’une ½ heure plus tard nous étions tous dans le même lit ….

 

 

 

 

 


  commentaire :

.Image associée.Mais ce qui m’intéressait c’était aussi de remplir le petit cul de Kévin. Martin se doutait de mon fantasme car il se dégagea de ma queue et me laissa approchER la rondelle de son fils qui n’attendait que ça.

.Résultat de recherche d'images pour "GAY# PORN LOVE FOURSOME GAY # IN A LUXURIOUS YACHT CABIN"..Serge, mon coloc,  est super actif et moi c'est selon 

 

 

 

Par YANN - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 24 octobre 3 24 /10 /Oct 08:02

être passif bisex a de très bons côtés surtout si on a un bon copain pour nous baiser En l'occurence mon beauf' !  

je pense que, sans le dire,  le fait que ça se passe dans notre lit conjugal, encore tout chaud de la nuit, l'excite d'autant plus ET QUE MOI ACCEPTE ET SOUHAITE ETRE PRIS SANS CAPOTE, ENCORE PLUS !

 

 

 

 

Par BUVARD - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 04:47

dans des sociétés hétéronormées comme en France, il n'est pas inattendu que la "bienpensance"* freine des quatre fers pour reconnaître qu'avec les nouvelles lois, internet, la libération des moeurs tous azimuts, il y a, il y aura désormais davantage de gays, plus de bi et de genres indéterminés, ne vous déplaise...... On exulte de savoir que "le rempart moral" constitué par les curés, en secret, a depuis longtemps, succombé à une sexualité déviante et punie par les lois civiles. Forcément les sexualités évoluent, portées par leur VRAIE nature, quand elles sont moins contraintes.  ne vous déplaise......   

NOTES : rele vé sur FRanceinter, L'équipe•Stéphanie TorrePsychanalyste, journaliste à Psychologies magazine*Jean-Jacques Tyszler est psychiatre, psychanalyste et ex président de l’Association Lacanienne Internationale (ALI). Il est aussi l’auteur de « À la rencontre de… Sigmund Freud », éd. Oxus (2013).

"Vous l’avez sûrement remarqué, depuis quelque temps, plus un semestre ne se passe sans qu’une star - souvent féminine et hollywoodienne - affirme haut et fort sa bisexualité, son irrésistible attirance pour les deux genres… successivement ou simultanément. Angelina Jolie, Lady Gaga, Megan Fox, Kristen Stewart, Lily-Rose Depp… Et toutes insistent : le masculin, le féminin, peu importe, pourvu qu’elles aient l’ivresse ! Au point que sur les réseaux sociaux, autant que dans nos conversations quotidiennes, ces coming out à répétition interrogent : dans le fond, « Tous bi… or not tous bi ? »

 

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Ne me demande pas si je suis gay ou hét' : je suis bi...les deux, les trois si tu préfères !  

 

 

Les jeunes bi sont-ils réellement de plus en plus nombreux ?

Il semble que, sur le plan de la reconnaissance publique, les « sans étiquettes » soient de mieux en mieux tolérés. Une forme de liberté qui jouit, c’est vrai, d’une plus large représentativité médiatique. Pour preuve, nos récents hommages appuyés au génie musical de David Bowie, mais aussi à son art de manier l’« ambiguïté ». Progressivement, une certaine tolérance s’est donc imposée."

 

Mais au delà de cette nouvelle « visibilité », qu’en est-il de la proportion d’individus véritablement concernés ? Les jeunes Français sont-ils moins « définitivement hétéros », ou moins « résolument homos », que nous l’étions à leur âge ? En fait, pas si sûr… Selon une enquête de l’IFOP, la proportion des 15-24 ans se déclarant hétérosexuels est ainsi de presque 90 %. Quant aux homosexuels, ils seraient 3 % . Et les bisexuels ? À peu près 10 %, soit le même taux qu’il y a 25 ans et que l’on repère dans tous les pays occidentaux, y compris ceux qui ont une communauté bi plus ancienne et plus active.

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Le récent « sursaut bi » ne serait-il donc qu’un mirage, une illusion d’optique ?

Le psychiatre et psychanalyste Jean-Jacques Tyszler* en est tout à fait persuadé. Il n’y a, côté bi, aucun phénomène de société. Selon lui, en dépit des trous d’air liés aux modifications des rôles et des identités sexuels, impossible de dire, en effet, que les jeunes s’interrogent davantage à ce sujet.

Comme leur aînés, beaucoup évoquent, bien sûr, des fantasmes, des doutes et parfois même des expériences. Et rien d’étonnant à cela : c’est qu’à l’heure de confirmer leur choix d’orientation sexuelle, tous doivent faire face à des modifications qui affectent leur corps et réinterrogent leur psyché : comment composer avec cette « bisexualité psychique » dont Freud disait qu’elle était « innée » ? Mais depuis toujours, filles et garçons se posent les mêmes questions. Et chacun doit inventer sa réponse en fonction de sa propre construction psycho-affective.

Contrairement au fantasme collectif, la « formule bi » ne séduit pas plus que cela

Il convient également de préciser que les « bi-romantiques », comme on les appelle parfois, ne sont pas non plus devenus plus prosélytes, même s’ils font souvent le buzz sur Internet. Faire de leur orientation la “ nouvelle norme sexuelle ” ? Mais pourquoi y tiendraient-ils ? Transgresser, c’est quand même bien meilleur non ?

  •  eh ben on vous le disait CQFD c'est le jeu des sondeurs jusqu'à nier l'évidence !  

  Matrice titre :  Vous y croyez, vous, aux statistiques ? Les jeunes sont nombreux à ne pas choisir une orientation sex' Les "chercheurs"truquent  dans le but d'influencer.Quelle cata si le nombre de gays augmentait

 

 

 

 


  COMMENTAIRE :

 

 

Résultat de recherche d'images pour "old thinking gay young thinking gay together" arrête d'y penser, rejoins-les !

 

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La solution, moi j'ai la solution !

 

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Moi y a longtemps que je l'ai !   

Image associée RV pour tous un soir au sauna !  

 

 

  SCIENCE SONDAGIERE, statistiques   - Brexit, victoire de Donald Trump ou encore de François Fillon à la primaire de la droite... Ces dernières années, les soirs d'élections, les auteurs de SONDAGES se sont régulièrement retrouvés sur le gril, accusés de s'être totalement trompés sur le résultat. 

   

Par FRANCE INTER ET CAVAILLONGAY - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 23:33

         je plaisante...en fait je suis pas si libre que ça...je suis bi, mais marié, comme toi !

  Image associée  Résultat de recherche d'images pour "gay fuck in a truck" Image associée Image associée  Je me pense comme bi, je suis en couple avec une femme, mais j'avoue être parfois être excité par le fait , de baiser avec un homme ou plutôt, pour être honnête, de me faire baiser par un homme.
                                   Bi non assumé,  , c'est pour ça que j'ai si peu de plans…  ici, dans l'anonymat d'un camion, je me dis que c'est la bonne occasion.     

J'étais parti tôt le matin de Paris, je devais me rendre dans le sud de la France.
Voulant voyager pour pas cher, je m'étais résolu à faire du stop.
De véhicule en véhicule, je me rapprochais doucement de ma destination, au niveau de Tours, il était peu avant 11h et j'avais fait plus de la moitié du chemin, parfait.
Cela faisait maintenant 10 minutes que j'attendais sur une aire d'autoroute que quelqu'un s'arrête quand un routier me propose de m'emmener plus au sud. Parfait, on the road again !
Et puis la vue depuis un camion n'est pas mal !
Lui, Serge, la quarantaine, souriant, bien foutu mais avec un petit bide, on se met à discuter, de ma vie de voyages, de sa vie sur les routes… une rencontre banale comme il s'en passe tant.
N'ayant pas l'habitude de monter dans un camion, et plutôt curieux, je lui demande si je peux jeter un coup d'œil, pourquoi pas.
Il y a tout ce qu'il faut pour vivre à l'arrière, sympa.
Quand mon regard est attiré par une pile de magazines gay. Il rougit un peu, je lui dis que je m'en moque. Les a-t-il laissés là exprès, pour ses hôtes de passage ?  C'est efficace comme entrée en matière !
Il m'explique que sur les routes, ce n'est pas toujours facile, qu'avec sa femme il y a des hauts et des bas, des choses qu'elle refuse ( on devine lesquelles)et puis ils ne se voient pas souvent.
Je compatis, nous parlons des problèmes en la matière quand on est loin du foyer.
C'est là que je saute sur l'occasion. Quitte à me répéter, j'ai 30 ans, si j'ai eu mon premier plan gay a 18, je n'ai pas fait beaucoup de rencontres, peut-être 4/5 depuis une dizaine d'années. Je me pense comme bi, suis en couple avec une femme, mais j'avoue être parfois être excité par le fait de baiser avec un homme, ou plutôt, pour être honnête, de me faire baiser par un homme.
Je ne l'assume pas vraiment, c'est pour ça que j'ai eu si peu de plans… Mais ici, dans l'anonymat d'un camion, je me dis que c'est la bonne occasion. On continue de parler de sexe et je dois avouer être pas mal excité, lui aussi d'ailleurs, son pantalon commence à être « bossu ».
Bien qu'effrayé par sa réaction je lui demande alors, poliment, si je peux le sucer. J'espère juste qu'il ne me jettera pas dehors.
Il me regarde surpris, puis rigole, il me dit pourquoi pas…

Oui, c'est un paradoxe : si quand je baise ma copine, je suis plutôt dominateur et actif, je fantasme quand je baise avec un homme, je vais être le soumis, la salope, me faire baiser comme une actrice de film porno.
Quand je vois Rocco défoncer à grands coups de bite une actrice, lui enfoncer sa bite jusqu'à ce qu'elle étouffe, que les larmes lui sortent des yeux et qu'elle se débat pour respirer, l'enculer d'un trait jusqu'aux couilles, lui pilonner les intestins, lui éjaculer des litres de foutre sur la gueule et après ça l'enculer encore, j'en bande et je rêve d'être a la place de la nana, bref, ça ne sera pas aussi intense, mais puisque j'ai la permission de le sucer, je me dis qu'il faut que je me donne à fond, que je m'amuse, c'est l'occasion !
Je commence par enlever ma ceinture de sécurité et me penche vers son entrejambe, je lui masse doucement la bite à travers son pantalon, celle-ci continue de grossir et je sens maintenant une bonne grosse bosse !
Je donne des coups de langue sur son jean et lui embrasse le sexe à travers.
Je pense qu'il aime ça, je l'entends souffler plus fort, il doit être heureux de sa chance, s'il savait combien, moi aussi, je suis content de cette bonne occasion !
J'ouvre sa braguette, et passe une main à travers, maintenant seul son caleçon me sépare de l'objet de mes envies. Hum, je sens une grosse bite, battre au rythme de son excitation, je deviens salope, de ma voix la plus soumise je lui demande si je peux toujours le sucer, si ça ne le dérange pas… Il est tout rouge, concentre sur la route, et me lâche un « putain oui ! »
Il se dégage de son pantalon, celui-ci tombe sur ses genoux, j'extrais sa bite, elle est là, à quelques centimètres de mon visage, un peu moins d'une vingtaine de centimètres, mais épaisse, belle, d'elle se dégage une impression de puissance, le gland est un peu plus gros que la hampe, violacé par le désir, une veine bat sur le coté, je suis super excité, mais me demande quand même comment je vais réussir a tout faire rentrer dans ma bouche, quant à mon cul, ça fait quelques années qu'il n'a rien reçu, j'espère que ça passera ! tout ça m'excite !
Il n'y a qu'une seule première fois, j'ai envie de mettre dans le mille, alors d'une main je branle sa bite, quand de ma bouche, je souffle doucement de l'air chaud autour de son gland, ne le suce pas encore, j'ai envie d'une pipe magistrale, j'accumule de la salive dans ma bouche et ça y est, j'y vais, entrouvre à peine ma bouche, aspire et commence doucement à prendre son gland en bouche.
Je m'ouvre en grand et descends le long de sa tige. Je l'entends pousser un râle de plaisir !
Je serre aussi fort que possible mes lèvres, celle-ci sont déformées par le diamètre, mais je continue et descends aussi bas que je le peux. À peine la moitié, je bloque et doucement remonte jusqu'à ne garder que le gland en bouche. Quel goût, quelle sensation que d'avoir une grosse bite bien dure dans la bouche !

Je joue avec, le suce doucement, tourne ma langue autour de son gland, tout en le masturbant au même rythme. J'essaye d'être synchronise entre ma bouche et ma main, de lui donner le maximum de plaisir.
Je refais la même une chose une dizaine de fois tout en salivant le plus possible, il faut que ça bite soit dégoulinante de ma bave si je veux pouvoir le prendre jusqu'aux couilles.
À chaque fois je descends un peu plus, ouvre ma bouche en grand, je sens le gland qui pousse sur les amygdales, qui descend un peu plus, mais à chaque fois je m'arrête, un réflexe de haut-le-cœur. Je le garde le plus longtemps possible, je sais que les contractions de ma gorge lui donnent du plaisir et que ça me fait saliver davantage, et si je salive plus j'aurai plus de chance de le prendre en gorge profonde. Je dois être masochiste, mais j'ai envie de faire disparaitre toute sa bite dans ma bouche, de l'impressionner ! Alors je continue, mais rien à faire, il en reste toujours dehors !
Il souffle fort, me dit que c'est bien que j'ai une bonne bouche de suceuse, il reste poli dans l'essentiel et j'aimerais bien aller plus loin…

J'arrête et lui demande s'il aime ça, s'il veut que je continue, il me répond que oui, c'est super.
Mais je veux plus, je place mes mains sur ses cuisses, sa main sur ma nuque et lui demande dans les yeux, sa bite contre ma bouche de m'aider, « s'il te plaît, aide moi à tout prendre ! »
Il me regarde et semble réfléchir deux secondes, me demande si je suis sûr, pour toute réponse je recommence à descendre le long de sa bite, bloque aux 2/3, essaye de descendre davantage, impossible, je vais pour remonter, quand je sens sa main me bloquer, ça y est, il a compris. Il me garde comme ça, j'essaye encore, des larmes arrivent, des sensations de rejets, une puis une autre, je commence à me débattre, je veux remonter, mais il bloque bien.
Enfin il relâche sa pression et je peux respirer, j'halète, le visage en larmes, des filets de bave relient sa bite à ma bouche, j'adore, je le regarde dans les yeux, l'air de dire, c'est tout ?…
Il me renfonce sa bite dans la bouche et appuie, appuie encore, centimètre après centimètre, sa bite est pleine de ma salive, je dégouline, je ne sais plus quand est la dernière fois ou j'ai respiré, mais enfin, mes lèvres touchent son ventre, victoire !
Je ne bouge plus, m'immobilise. Je pense à ces actrices video qui une fois ici arrivent à sortir leur langue pour lécher les couilles, putain elles sont fortes. J'essaye, mais je n'y arrive pas. J'ai besoin d'air je me débats, et enfin me redresse, respire. J'ai la tête qui tourne, je cherche mon souffle, mais j'ai réussi à le sucer jusqu'aux couilles !
Je regarde autour, nous sommes arrêtés sur un parking, tellement concentré à pomper sa bite que je ne m'en étais pas rendu compte.

Mais je suis fier, j'ai réussi à prendre toute sa bite en bouche, j'ai mal aux mâchoires, mon visage n'est que larmes, dégoulinant de bave, j'ai failli m'étouffer 10 fois, mais j'adore, ma bite est dure au possible, ma rondelle palpite et veut sa part, je kiffe !
Il me prend la tête à deux mains maintenant et me baise a grands mouvements, sa bite entre et sort presque entièrement, je ne suis qu'un trou, il m'insulte, me traite de bouche à bite, de petite salope…
De temps en temps il me laisse reprendre mon souffle et je ne peux que l'en remercier.
Il me biffle, caresse mon visage de sa bite, me donne des ordres, des consignes, puis entre deux « apnées », provocateur (stupide ?), je lui demande s'il pense être assez dur pour m'enculer ?
Il me regarde et explose de rire, me traitant de sacrée salope, et me disant de ne pas m'en faire, que mon cul aussi va prendre cher, mais que pour l'instant il fallait finir de s'occuper de sa bite, sinon il ne pourrait pas bien me baiser.

Il me décolle donc de sa bite, se lève, et va s'assoir dans la cabine arrière, jambes écartées, le sexe fièrement dressé, dégoulinant de bave, et il me dit de venir la bouffer, de venir bouffer sa bite, j'ai l'impression d'être dans un film, sa voix, ses ordres, tout m'électrise, j'ai envie de le sucer comme si ma vie en dépendait.
Je viens à lui à 4 pattes, m'agenouille à ses pieds (je dois avouer qu'à ce moment, même si je prenais mon pied, je n'en menais plus aussi large, ma gorge, mes mâchoires et ma langue étaient en feu, douloureux !)
Je me penche vers son gland, gros et terrifiant, je vais pour le mettre dans ma bouche quand il écarte sa bite et me bloque la tête, il me fait lever les yeux vers lui, je suis à genoux, la bouche a moins de 5 centimètres de sa bite, hagard, et chienne, étourdi de plaisir, domine et prenant un pied d'enfer…

On voit tant de gens, qui après, voire bien après, après s'être bien régalés, vous accusent de viol !  
     Image associéeIl me demande si je sais ce qui va se passer ensuite, si j'ai vraiment envie de me faire enculer. Je lui réponds que oui.
Il me dit que maintenant il va me baiser, me demande si c'est ce que je veux. Il me dit qu'il va vraiment me baiser et que j'ai intérêt à être prêt.
Il me dit aussi qu'il va gicler et que j'aurai intérêt à tout avaler, il me dit qu'il n'a aucune MST et me demande encore une fois si c'est ce que je veux.
J'ai peur, mais je suis aussi très excité, alors d'une voix timide je lui réponds dans un souffle, oui.
Oui quoi ? il me demande de répéter
Il me demande de répéter que j'ai envie de le sucer encore, que j'ai envie qu'il me baise la bouche, de bouffer son sperme et me faire enculer, de me faire enculer à fond.
Je suis comme pétrifié, je n'ose pas répondre, puis je réalise tout le chemin que j'ai déjà parcouru ,alors quelque chose bascule en moi, une sécurité s'envole, un fusible lâche,  et je lui dis que oui et j'en rajoute, j'ai peur, mais je prends un pied d'enfer !
(je dois préciser que je suis super parano, capote obligatoire, je ne suis pas du genre à prendre de risque, je n'ai donc jamais pu jouer avec du sperme comme j'aurais aimé. Il avait l'air reglo, je lui ai fait confiance, même si j'ai vraiment stressé les 3 mois suivants a attendre pour faire un test MST !)

Il se lève, me domine de toute sa taille, je suis à ses pieds, à genoux, il me dit de mettre mes mains sur mes genoux et de ne pas les bouger, en aucun cas. Il me dit que je dois maintenant le sucer, j'entrouvre mes lèvres pour le sucer, mais il joue avec sa bite, caresse mon visage avec, tapote son gland sur ma langue, sur mes joues, c'et humiliant, mais je joue le jeu, je le regarde dans les yeux et gémis.
Puis il rentre sa queue centimètre par centimètre, j'ouvre en grand, il est tout au fond, j'ai son énorme bite en entier dans ma bouche. Il la sort tout doucement, ne laisse que le gland puis re rentre, c'est lui qui donne le mouvement, la vitesse, moi je ne fais que le regarder dans les yeux et saliver, encore et encore.
Je sens sa bite durcir, bondir, prise de soubresaut, il accélère, puis me dit d'ouvrir la bouche, je pense à ces actrices pornos, ouvre la bouche, tire la langue et gémis comme une chienne, lui demande de gicler dans ma bouche, de me donner son sperme.
Il se branle devant moi, j'ai sa bite entre mes yeux, quand le premier jet part et éclabousse tout mon visage, il appuie sur ma tête et me fait redescendre sur sa bite, aller et venir, son jus me remplit la bouche, je n'arrive pas à avaler assez vite, sous la pression, son sperme coule à la commissure de mes lèvres. Il me bloque la tête en me traitant de bonne chienne, me dit de ne pas en perdre une goutte, de tout avaler, je fais de mon mieux, mais il y en a un peu qui coule sur sa bite, je m'active et lèche tout, je suis déchainé et affame ! J'ai des hauts le cœur, je ne sais pas si c'est dû à la gorge profonde ou à la quantité de sperme qu'il déverse, je ne suis plus là que pour son plaisir. Il reprend ses allers retours, doucement, dans ma bouche, me disant que maintenant qu'il m'a bien mis la dose, qu'il ma giclé à la gueule, il va s'occuper de mon cul, juste le temps de rebander.
Il me conseille de saliver sur sa bite, de la rendre dégoulinante, sinon ça sera dur pour moi !
Alors je m'applique, je le fais durcir à nouveau et bave le plus possible sur sa queue.

Dans un geste plein de soumission et de bonne volonté je m'agenouille sur le sol, penché, le buste en avant, la tête contre le sol, de mes mains j'écarte en grand mes fesses pour lui présenter mon offrande.  Cette cible, il ne pouvait pas la rater.
Et en effet, je sentis rapidement son gland se poser sur ma rondelle, impressionnant, dur et gorgé de sang. Mais il ne chercha pas tout de suite à rentrer, il fit d'abord aller et venir sa bite dans ma raie, peut être pour s'exciter, peut être pour me faire prendre conscience de la taille de son mandrin, pour me marquer de son sceau
 Il vient de poser son gland sur mon anneau et commence à forcer le passage !
Comment quelque chose de si gros peut rentrer dans quelque chose de si petit !? C'est un concours entre la bouche et l'anus, pour savoir celui qui sera le plus permissif -lol-en fait je sais maintenant que c'est toujours le cul qui gagne !   
Il pousse encore et je sens mon anus s'écarter. Je ne peux retenir un cri, son gland, en forme de gros champignon ouvre mon anus, prépare le passage pour la suite.
Je me crispe sous la douleur et lui demande d'arrêter, de m'accorder quelques secondes, un répit. J'ai besoin de respirer.
Je cherche en moi les ressources, reprends mon souffle et respire un grand coup, dans un souffle, je lui dit "vas y".
Alors doucement je sens cette colonne de chair me pénétrer, créer son propre chemin à travers moi, écartant mes organes sur son passage, se faisant une place au fond de mon intimité.
Je suffoque sous la pénétration. Je n'en reviens pas de la sensation.
Sa bite, version saucisse de morteau, imposante, est en moi, je sens le sang pulser le long du gland, les vibrations de sa verge. Je me demande comment j'ai fait pour tout accepter, quand lançant ma main derrière moi pour lui demander de faire une pause, je realise qu'il est encore loin d'avoir tout rentré. Peut être à peine la moitié, mon dieu comment allais je tout encaisser !?
Je n'avais pas fini de me poser la question que déjà il était en train de déculer.
Il ne s'arrête que quand seul son gland reste a l'orée dans mes reins, puis d'une poussée continue, profonde, il me remmanche. Aouch !
Rentrant chaque fois un petit peu plus profond, un petit peu plus loin, m'écartelant et repoussant mes chairs de l'intérieur, il fait doucement son chemin.
Je suis en nage, j'en tremble, sans savoir si c'est de désir ou de douleur. Heureusement qu'il me tient fermement par les hanches, sinon je pense que je me serais dégagé. Mais ça doit l'exciter que je gémisse et gigote sous lui, que je me tortille pour essayer de me dégager de cette queue qui m'enculait toujours plus profondément.

Quand enfin je sens ses couilles battre contre mon cul, son pelvis contre mes fesses, j'en pousse un râle de plaisir, il est là, vraiment, en entier au fond de moi. Enfin.
Je ne peux plus bouger ni respirer.
Les yeux exorbités, la bouche grande ouverte, cherchant mon air comme un poisson hors de l'eau, Je gémis en continu. La sensation est incroyable.

Il me laisse quelques instants m'habituer à la sensation puis se penche vers moi et me demande ce qu'il est en train de faire, en train de me faire.
J'ai peut être été trop long à répondre, il me fesse en me reposant la question.
Alors je lui dis qu'il a sa bite tout au fond de mon cul, qu'il est en train de m'enculer.
Il rit et me demande si j'aimais ça, si j'en veux encore, s'il doit continuer… Il veut que je le supplie de me péter le cul. Le salaud!
Encore une fois je mets un peu trop de temps à répondre et une autre fessée me rougit les fesses.
Je lui dis que oui, j'aime sentir sa bite au fond de mon cul, que j'ai envie qu'il m'encule, profondément.
Il m'ordonne de répéter. Je ne dis toujours rien, une autre fessée s'abat, puis encore une autre et une autre.
Alors je ne me retiens plus et lui demande de m'enculer, profondément, de toute la longueur de sa bite, de me péter le cul, de me défoncer encore et encore.
Il ne repond rien mais sort doucement, inexorablement, sa bite de mon cul (une sensation de vide, horrible, comme la fin du monde) puis il pose son gland sur mon anus et me remmanche, d'un coup jusqu'à la garde, je sens son ventre claquer contre mon cul, je hurle et me relève, les yeux hors de la tête, son tuteur, profondément enfoui au fond de moi, je ne peux pas bouger, rien faire. Je n'arrive même plus à respirer.
Il ressort, a la même vitesse, lente et horrible pour finalement sortir son gland, le poser sur mon anus et encore une fois me pénétrer jusqu'à la garde, d'une longue et dure pénétration à me couper le souffle.
Il me dit en même temps que je le serre bien avec mon cul  (comme s'il pouvait en être autrement) qu'il adore m'enculer, me péter le cul et qu'il va continuer longtemps ! (sympa, mais je suis excité, je l'avoue, je laisse faire )
Effectivement, il poursuit ses pénétrations profondes sur le même rythme, me dilatant à chaque fois un peu plus le cul.

Mais contrairement à avant je ne suis plus sur la défensive, ce ne sont plus ses mains qui me maintiennent en place, sa bite qui s'enfonce dans mon cul mais bien mon cul, mon corps tout entier qui vient à la rencontre de son pieu, essayant de m'empaler le plus loin possible dessus, encore et encore. Je n'en reviens pas, je crois que lui non plus car il en explose de rire et arrête de bouger. Me dit que si je l'aimais tant sa bite, c'était à moi de bouger dessus, de faire ma salope et de venir chercher mon plaisir.
Ce que je fais sans hésiter, après tout je prends un pied d'enfer.
Je lance mon cul à chaque fois en arrière, le plus loin possible, m'ouvrant en grand, je bande comme un fou, j'en tire un plaisir fou, mais justement je n'ai pas envie de gicler tout de suite, en général quand on gicle on n'a plus envie et je voudrais que cette défonce ne s'arrête jamais.

Alors j'arrête mes mouvements et me jette à ses genoux pour engloutir sa bite, pour la faire reluire, la tapisser de bave. Pour le remercier de tout le plaisir que j'ai pris en m'enculant dessus. Je m'étouffe dessus en essayant de tout engloutir dans ma bouche, je suis déchaîné. Dire qu'on vient à peine de faire connaissance grâce au stop !
Et il aime ça ! Il sort de temps en temps sa bite luisante de bave pour la promener sur mon visage et étaler ma bave dessus. . Puis il s'amuse à me baiser la bouche, me bloquant la tête pour une gorge profonde bruyante et agressive. Je le branle des deux mains, j'essaye de lui lécher ses couilles, de les mettre dans ma bouche en même temps, lui comme moi ne sommes plus que baise pure.

 Quand il en eut assez, il s'assit à son tour, son gland luisant, épée dressée vers le ciel et me fit asseoir sur lui.
Je me laisse descendre sur sa bite raide et dure et quand enfin mes fesses sont posées sur lui je sais que toute sa bite est au fond de moi, alors encore une fois je m'amuse à aller et venir dessus, à remonter et redescendre, à me défoncer tout seul sur sa bite.
Mais lui aussi veut me baiser, il se met donc à me donner des coups de bassin, me faisant tressauter à chaque fois et retomber plus profondément sur sa bite, chacun de ses assauts me coupe le souffle.
Je jouis. Je n'en reviens pas, je jouis du cul, mon anus se contracte sur sa bite, il m'a défoncé et j'ai adoré ! Tout mon foutre finit dans sa main, main qu'il porte à ma bouche en me disant de lécher, de sucer, de nettoyer ses doigts. Quel pervers !

Le cul brûlant, toujours emmanché j'essaye de m'acquitter de ma mission, pas facile.
Mais je veux en finir au plus vite, j'aimerais une pause, reprendre mon souffle !
Mais je crois qu'il ne l'entend pas de cette oreille, qu'il veut toujours prendre son pied, car toujours emmanché en moi il me releve et me plaque contre la cabine (se déplacer avec une bite dans le cul, c'est une sacré histoire!) me tenant fermement et me disant au creux de l'oreille que maintenant, il va vraiment me baiser !
Putain, alors ce qu'il m'a mis depuis tout à l'heure, qu'est-ce que c'était, l'apéritif !?

Effectivement, ses coups de reins sont plus profonds, vigoureux, ses couilles claquent contre mon cul à chacun de ses assauts, par moment il me baise si fort que mes jambes ne touchent plus le sol, seule sa bite me maintient en l'air. Quelle dérouillée !
J'essaye de suivre son rythme, de venir à sa rencontre, de faire rouler mon cul sur sa bite, de contracter mes muscles intérieurs pour le faire venir plus vite mais il semble intraitable. Il voulait me défoncer et il tient parole. Un métronome, une machine, un piston, entrant et sortant à toute vitesse.
J'en ai les jambes flageolantes !
Quand enfin il se retire, je m'écroule sur le sol, incapable de me tenir debout, l'anus béant.
Il est devant moi, sa bite dressée, dure, vibrante de sang et de désir, prête à exploser.
Je me mets vaillamment à genoux, ouvre la bouche et l'invite à y déposer son gland turgescent.

Il approche sa bite de mon visage. Celle-ci sent fort mon intimité et son plaisir, il force mes lèvres et se branle dans ma bouche, explose dans un feu d'artifice, son premier jet atteint le fond de mon palais, le second me remplit la bouche, sous la pression sa bite sort, s'envole et les autres finissent sur mon visage, ma poitrine, j'en ai partout, je suis poisseux. J'ai enfin droit à ma faciale, digne des meilleurs films pornos, son sperme dégouline de mon visage.

Il s'écroule cherchant son souffle, à coté de moi, me prend dans ses bras et rigole, qu'est-ce que je t'ai mis me dit-il ! je confirme, je rigole avec lui, lui dis qu'on ne m'a jamais baisé comme ça, que j'ai pris un pied d'enfer. Il me demande si ce n'était pas trop, je lui réponds en prenant sa bite dans ma bouche pour aspirer les dernières gouttes. Quelle salope me complimente-t-il. (pour le coup je dois avoir fait presque aussi bien que ces actrices avec Rocco, je suis ravi)

Nous avons pris deux heures à baiser dans sa cabine, comme des fous, nous revoilà sur la route, à  parler de tout et de rien.
Puis nous parlons de nos fantasmes, de nos envies, faisant des plans sur la comète.
Je l'ai sucé encore une fois pendant qu'il conduisait, je me suis régalé de son jus, j'ai tout avalé en le regardant dans les yeux, non sans lui avoir montré avant ma bouche pleine de son foutre. Je me suis surpris moi-même d'avoir été autant salope et soumise. Il avait l'air d'un gosse tellement il était heureux, ravi et vide.
Mon seul regret, qu'il ne m'ait pas enculé encore une fois, mais je pense que les dommages à mon cul auraient été irrémédiables.

Il me dépose, j'ai en mémoire son numéro de téléphone
Nous avons échangés quelques sms, il me dit qu'il a très envie de me revoir, qu'il peut même m'aider à réaliser certaines de mes envies.
Je lui demande lesquelles, il me parle des plans a trois, c'est vrai, je lui ai dit que j'avais très envie d'essayer, d'être à genoux entre deux bites, de se faire prendre par les deux trous à la fois, que j'avais très envie d'essayer.
Il me dit qu'il aimerait bien me baiser dans la lingerie de sa femme, dans ses ensembles de dentelles, guêpières et bas, qu'il voudrait me mettre des talons et m'enculer à sec, faire de moi sa pute pour la soirée, que je le suce dans la rue, au cinéma… je n'en reviens pas de son langage cru, mais surtout que ça m'excite, à ce point, je mouille d'imaginer sa bite au fond de mon cul, jusqu'aux couilles, et moi de gémir et de hurler, d'implorer et d'en demander davantage. Mince !

Je pense que bientôt nos routes vont se croiser à nouveau !...¤

Conkest sur cyrillo 

 

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      JUNGLE : le récit de Conkest illustré par des fake photos ciblées  

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  NOTES :   Frères ??? Ennemis en ce cas !  

J'ai connu un gay qui, à la découverte que son compagnon était bi, a prévenu la femme et cassé ce couple sans pour autant vouloir poursuivre sa relation homo initiale traitant son ancien copain de faux-cul et de malhonnête. Beaucoup de gays détestent les bisexuels. On comprend ce qui se passe sans excuser.    

  Image associée  Même si, de nos jours, les sociétés occidentales acceptent bien l’homosexualité, la bisexualité, elle, est encore mal comprise et souvent perçue comme un phénomène marginal, que certains associent à une homosexualité refoulée. La bisexualité est également confondue avec la bicuriosité, dont on entend de plus en plus parler chez les jeunes. En fait, la bicuriosité se caractérise par une orientation sexuelle stable (homosexuelle ou hétérosexuelle), mais avec un certain intérêt pour des personnes du sexe envers lequel on n’est habituellement pas attiré. La bicuriosité pousse les jeunes à essayer une relation homo afin de ne pas risquer de "mourir idiot" comme on dit.  


  commentaire : " Il n'y a qu'une seule première fois"dit l'auteur de ce commentaite, mais une telle expérience justifie qu'on parle d'une 2ème première fois " claudio  

Par CONKEST - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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