Régner c'est bien, (aimer) baiser c'est mieux ! aurait pu déclarer Jacques 1er roi de Grande Bretagne pédé. Il dit qu'il n'a jamais touché
aucune femme sinon pour faire 5 enfants à la reine. Son homosexualité est ouverte à la cour et dans le peuple.
Il aimait ses -nombreux- amants et voulait qu'on se dévoue pour eux (médecins, etc) Chaque fois qu'il
avait un nouvel amant, Jacques le faisait comte ou duc. Et il y en a une liste en tête de laquelle se trouvent les deux amants ci-dessous inhumés auprès de
lui.
la nécropole de Westminster abbey renferme la dépouille du roi Jacques 1er "flanquée pour l'éternité de ses deux amants préférés *le duc de
Buckingham, à gauche et Aimé Stuart Duc de Richmond à droite" selon le voeu même du roi Jacques c'est dire si le temps que ce monarque-cet homme- avait passé sur terre à régner a peu
compté pour lui en regard des bonheurs qu'il a connu auprès de cses deux amants-là.
Pédés, certes, mais pas assez pour renoncer à tous leurs avantages et vivre leur vie de
passion.
à G à D
"Le christ avait son Jean et moi j'ai mon George " écrit Jacques 1er
et George-Villiers-Buckingham le flatte en répondant " Naturellement
j'aime votre personne et toutes ses autres parties qui sont bien
davantage que ce qu'aucun autre homme n'a eu"
“Christ had his John,” James(1er) said, “and I have my George.” Villiers wrote flatteringly to James: “I
naturally so love your person, and adore all your other parts, which are more than ever one man had”.
On voit bien que le calcul n'est pas absent des propos flatteurs de Buckingham.
Pour ce qui concerne Aimé(Esme) Stuart, il y a une tonalité aussi amoureuse, un mélange (fatal) d'amour gay et de politique. La
séparation forcée d'avec Aimé a été très douloureuse pour Jacques.
Encore celui-ci a-t-il échappé à un assassinat politique ...fréquent tout au long de cette époque...
l'univers impitoyable de la cour d'Angleterre où, tant que les favoris n'étaient que les amants du roi...ça
allait,
mais dès qu'ils avaient de l'ambition, là ça n'allait plus
Esprit vif, cinglant, Gaveston est généralement décrit comme athlétique et de belle apparence ; plus âgé que le roi, au moins d'une
année, il avait été soldat avant de devenir un proche compagnon d'Édouard. Sa fortune ne cessa de croître à mesure qu'Édouard lui octroyait plus d'honneurs.
PIERRE GAVESTON, 1er comte de Cornwall (1281-83 – 19 juin 1312) : « Je ne me rappelle pas avoir entendu dire qu’un homme
en aimât autant un autre. Mais nous ne lisons pas qu’ils furent immodérés. Le roi, lui, fut incapable de faveur modérée, et pour Piers, s’oubliait lui-même ; et ainsi disait-on de Piers
qu’il était sorcier ». (Vie d' Edouard II). Ci-dessous :
Edward II d’Angleterre et Piers Gaveston
Pas de nom d'auteur. Il est rare que des amants soient représentés ainsi clairement. Cette gravure
ne peut pas être d'époque.
Jalousé, haï, Pierre Gaveston gisant mort aux pieds de Guy de Beauchamp, 10e comte de Warwick. (dessin du
XVe siècle.).
Pierre Gaveston gisant mort aux pieds de Guy de Beauchamp, 10e comte de Warwick. (dessin du XVe siècle.). Et c’est
ainsi que, le 19 juin, Piers Gaveston fut mené à Blacklow Hill (possession du comte de Lancastre), où il fut exécuté, percé par l’épée puis décapité, son corps abandonné au sol sur ordre des
comtes de Lancastre, de Hereford et d’Arundel (le comte de Warwick, qui l’avait pourtant enlevé, n’eut pas le courage d’assister à l’exécution). Les comtes lui avaient cependant fait l’honneur de
mourir décapité comme un noble, étant le beau-frère du comte de Gloucester. Plus tard, son cadavre fut conduit auprès des Dominicains d’Oxford, qui en recousirent la tête avant de
l’embaumer.
Fils d’un chevalier gascon, Pierre avait été élevé à la Cour avec le futur Édouard II dont il devint le favori. Fort, talentueux et très ambitieux,
il acquit une telle influence sur son jeune compagnon qu’Édouard Ier , son père, dut le bannir d’Angleterre. Mais c’était pour mieux revenir après la mort du roi. Installé auprès
d’Édouard II comme conseiller, il n’eut de cesse de recevoir terres, argent, titres et charges. Il épousa Margaret, fille de Gilbert de Clare, comte de Gloucester mais surtout nièce d’Édouard
II.
Il fut régent du royaume durant la courte absence d’Édouard venu en France et prit une part importante à son couronnement en 1308. Tant de
privilèges aiguisèrent la colère et la jalousie des barons dont le courroux ne fit qu’augmenter devant l’attitude arrogante qu’affichait le favori. Ils demandèrent son bannissement et Édouard,
contraint d’accepter l’expédia en Irlande où il resta un an. A son retour en Angleterre, Édouard persuada quelques barons de l’autoriser à rester. Au lieu d’adopter un comportement acceptable, le
favori se montra plus arrogant que jamais réveillant les vieilles rancœurs. Cette fois, Édouard, la mort dans l’âme dut accepter de le bannir à vie. Gaveston se retira en Flandres avant de
revenir secrètement en Angleterre et de réintégrer publiquement sa place auprès du roi.
Trop, c’est trop ! Les barons prirent les armes contre lui. Abandonné par le faible roi, il fut battu et dut se rendre en mai 1312. Amené à
Deddington puis au château de Warwick, il fut décapité à proximité, sur la colline de Blacklow Hill. Excommunié, personne ne voulant de sa dépouille, il fallut attendre l’assurance de
l’absolution papale.
Édouard II était très attaché au prieuré dominicain de King’s Langley qu’il avait fondé dans l’enceinte de son manoir de Langley. Il attendit que
les travaux de l’église du prieuré soient terminés pour y faire transporter les restes de son favori. A la fin de 1314, l’archevêque de Canterbury en personne, quatre évêques et de nombreux
ecclésiastiques se chargèrent de lui organiser des funérailles en grande pompe. Il ne reste,toutefois, rien de sa sépulture.
plus de détails :
L'intimité entre personnes du même sexe n'était pas condamnée, en tant que telle, au Moyen Age (on se souvient de Philippe uguste partageant sa
couche avec Richard-Coeur-de- Lion sans que pour autant les deux souverains fussent soupçonnés de relation à caractère sexuel), même si elle peut donner lieu à plaisanteries ou moqueries. Ce
n'est pas l'objet de l'affection qu'on stigmatise à l'époque, mais les pratiques sexuelles qu'elle pourrait induire. Celles interdites par l'Église sont unanimement condamnées, dont, bien sûr,
la sodomie, pratique dite « contre nature », qu'elle soit effectuée par un couple hétérosexuel ou homosexuel. Les plus violents détracteurs d'Édouard voyaient en lui un roi sodomite
(si tant est qu'ils en aient pu apporter la preuve) ou un roi que son affection démesurée pour ses favoris avait rendu indigne du trône.
Plusieurs sources contemporaines en effet critiquent les relations du roi avec Gaveston, au point qu'Édouard en aurait ignoré et humilié sa femme.
Les chroniqueurs de l'époque définissent cette relation comme « excessive, immodérée, au-dessus de toute mesure et raison » et condamnent le « penchant du roi pour une sexualité
dévoyée et interdite ». Les chroniqueurs de Westminster disent que Gaveston amena le roi à repousser les "douces embrassades" de sa femme. Le chroniqueur de Meaux (qui écrivit des
décennies plus tard) regrette qu'Édouard ait pris trop de plaisir à la sodomie.
Quelques jours avant d’être endeuillée, Tel-Aviv célébrait le 3 juin sa Gay pride. Hymne au plaisir et à la liberté, contre toutes les violences
et tous les interdits.
Juste avant d’être rattrapée par la violence et le drame, avec unattentat qui a tué 4 personnes et fait une dizaine de blessés le 8 juin,
Tel-Aviv, comme tous les ans depuis presque vingt ans, s’est transformée pendant une semaine en oasis LGBT où l’hédonisme le dispute à l’érotisme. Les corps sont beaux, chauds, et fiers.
Pendant une semaine, la fête a battu son plein : aprems gay au parc aquatique, soirées queer extraordinaires, ou encore raout XXL au stade de foot Bloomfield. Le tout culminant bien sûr avec
la Pride vendredi dernier, où 200 000 personnes (dont 35 000 étrangers) ont défilé dans la rue — un record.
La ville, entièrement parée aux couleurs du rainbow flag, était déjà à bloc depuis la tenue du premier concours de beauté trans quelques jours
plus tôt. La lauréate ? Ta’alin Abu Hanna, une danseuse arabe et chrétienne de Nazareth, désormais chargée de représenter son pays lors de l’élection de Miss Trans Star International, qui se
tiendra à Barcelone en septembre prochain.
L’occasion de rappeler qu’en Israël, si le mariage pour tous n’est pas légal (il n’y a pas de mariage civil, seule les autorités religieuses ont
le pouvoir de marier deux individus), la communauté LGBT peut néanmoins adopter, servir dans l’armée, et avoir recours à la PMA et la GPA. Difficile de faire plus progressiste dans ce coin du
monde, où être homo peut vous envoyer en prison 17 ans en Egypte ou encore 10 ans à Gaza.
Comme on dit en chinois : Ni hao Telaweifu
Pourtant, la Pride 2016 ne s’annonçait pas sous les meilleurs auspices. L’année dernière, une ado de 16 ans a été assassinée par un Juif
ultra-orthodoxe récidiviste lors de la marche des fiertés de Jérusalem. Un meurtre qui, couplé à l’Intifada des couteaux de l’hiver dernier, a poussé le ministère du tourisme à investir
massivement dans la promotion du tourisme gay. L’idée : faire d’Israël une destination LGBT incontournable, au-delà de la “bulle” libérale Tel-Aviv et de la semaine dédiée à la marche des
fiertés.
Au total, 11 millions de shekels (2,5 millions d’euros) ont ainsi servi à une solide campagne de communication. La Pride de Tel-Aviv s’est ainsi
offert deux ambassadeurs de choix, les acteurs cultes Alan Cumming (The Good Wife) et Lea DeLaria (Orange Is The New Black), enthousiastes à l’idée de “profiter de la beauté des
Israëlien(ne)s”. La municipalité en a aussi profité pour retaper l’hymne de la ville, Ya Habibi Tel Aviv, en version chinoise.
76 % des Israéliens favorables au mariage gay
Histoire d’enfoncer le clou d’une campagne bien ficelée, il était même prévu que le ministère affrète un avion aux couleurs de l’arc-en-ciel
pour faire venir les journalistes européens sur la Terre promise. Un beau coup de com rapidement dénoncé par les militants LGBT, dont les subventions, elles, culminent à 3 millions de shekels
(700 000 euros). Face à la menace de boycott de la Pride par les assos LGBT, le ministère a rétropédalé et annulé le vol.
Militants, touristes, et fêtards se sont rassemblés dans la rue sans heurt pour célébrer la marche des fiertés. Tout juste quelques balcons
affichaient des bannière dénonçant le “pinkwashing” (faire la promotion de la cause gay pour occulter le conflit palestinien et les avancées réelles des droits LGBT). Comme le souligne la
journaliste Allison Kaplan Sommer dans les pages d’Haaretz, la Knesset, majoritairement à droite, a voté contre cinq lois en faveur des homosexuels en février dernier. Et ce alors même que la
société civile affiche un soutien de plus en plus fort aux homos : selon un sondage paru le 1er juin, les Israéliens sont 76 % à être en faveur du mariage pour tous, contre 64 % l’année
dernière.
Sur le terrain, les militants ne faiblissent pas. “Nous continuerons de marcher dans l’espoir que le pluralisme, la tolérance et le libéralisme
de Tel-Aviv se répande à travers le pays, le Moyen-Orient et le monde”, a ainsi déclaré le maire de Tel-Aviv, Ron Huldai, membre du parti travailliste israélien. Un message d’amour qui a
retentit dans la ville blanche jusqu’aux petites heures du jour, au son d’une electro putassière à souhait. A Tel-Aviv, le plaisir de vivre prime avant tout.
Mathilde Carton les Inrocks
moi qui croyais Israël à la traîne :
Le combat LGBT en Israël en six dates 1975 : Création de l’association LGBT Aguda 1988 : Abrogation de la loi interdisant l’homosexualité 1993 : Loi contre la discrimination des LGBT dans l’armée 1998 : La chanteuse trans Dana International remporte l’Eurovision. Première gay pride à Tel-Aviv. 2005 : Les couples de même sexe peuvent désormais adopter 2012 : Tel-Aviv est sacré meilleure ville gay au monde, selon le site GayCities.com
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BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...
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