1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Vendredi 3 mai 5 03 /05 /Mai 16:48

  Image associée mon ballon rouge à moi ! une façon de compenser la frustration de ne pas avoir de père ? /les furies diront c'est un viol. Mais non, je me suis donné à cette jolie sphère, un bijou initiateur au plaisir pour mon joli cul. 

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 Image associée Image associée les ballons rouges c'est ma passion   Image associée  le vier de Rachid mon Beau Père  allait faire mon enchantement

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Bonjour à Tous…

Cette histoire s'est passée il y a bien longtemps.

A l'époque, je venais d'avoir 18 ans mais j'étais encore tout frêle, je paraissais bien moins que mon âge… On aurait dit que les hormones de la puberté m'avaient oublié.

Ma mère m'avait eu très jeune, par un amant de passage sans doute, et je n'avais jamais connu celui qui m'avait donné la vie.

Elle a eu quelques aventures, des fois qui ont duré un peu plus longtemps, mais vers mes 16 ans, elle s'est entichée d'un arabe algérien, super beau mec et très viril.

Elle avait 34 ans, lui 36 et moi 16… [humhum !] Très vite, il s'est installé à la maison, peu de temps après, ils se sont mariés, et Rachid devenait mon beau-père.

Il était vraiment beau… Le Mâle par excellence, hyper poilu, bien bâti et avec une bosse entre ses jambes qui devait donner beaucoup de plaisir à ma mère.

Très vite, il a été proche de moi, affectueux, câlin, protecteur.

Il lui arrivait souvent de me serrer dans ses bras, de ma caresser le dos, de laisser ses mains s'aventurer sur mes fesses et de m'embrasser au coin des lèvres.

J'aimais ce contact avec cet homme si viril qui était le mari de ma mère et qui me donnait, à ce que je croyais, beaucoup d'affection. Je sentais ses mains puissantes sur moi et son odeur forte de mâle arabe me chavirait.

A l'époque, je n'étais pas encore sûr de ma sexualité, mais je sentais que mes regards se portaient davantage sur les hommes, les vrais, que sur les filles.

J'étais trop content quand Rachid me prenait dans ses bras et que je sentais une barre de chair s'appuyer sur mon ventre de plus en plus fortement.

Ces « jeux » ont duré pendant quelques mois, et les attouchements se faisaient de plus en plus précis, ses mains avaient franchi la barrière de mon short et de mon slip pour caresser mes fesses avec ses doigts qui s'aventuraient autour de mon trou…

A chaque fois que j'étais dans ses bras, son sexe grossissait, et plus il le frottait contre moi en malaxant mon trou, plus je me laissais faire. C'était le mari de ma mère, j'avais honte, mais j'aimais ça…J'étais fasciné par sa virilité, subjugué par son odeur, son sexe que je sentais si gros sur moi… Je poussais même mon ventre sur lui, sur son membre et j'écartais bien les jambes quand ses doigts fouillaient mon intimité.

Peu après, ma grand-mère est tombée malade, c'était grave. Elle vivait loin de nous et ma mère est partie de suite pour s'occuper d'elle, me laissant seul avec Rachid.

J'étais bouleversé, j'aimais beaucoup ma grand-mère et j'étais très content que ma mère soit partie s'en occuper.

Le soir, seul avec Rachid, il s'est occupé de moi, m'a calmé, j'étais trop inquiet. On a mangé tous les deux et regardé un film. C'était la période des vacances scolaires, donc on a pu veiller tard.

A l'heure d'aller dormir, Rachid m'a dit de dormir avec lui, parce qu'il ne voulait pas me laisser seul. J'ai accepté, je ne voulais pas être seul, mais aussi, j'étais trop content d'être avec lui.

Il faisait chaud, alors j'étais en petit slip et lui en caleçon. C'était la première fois où je le voyais presque nu… Des poils partout…. Torse, ventre, jambes… des poils qui sortaient en touffe du caleçon…. Et surtout, c'était la première fois que je voyais cette bosse énorme, lourde, qui remplissait le tissu complètement. Je n'arrivais pas à détacher mon regard de ce mâle…dans toute sa puissance.

Une fois au lit, couchés, Rachid s'est collé à moi, m'a fait plein de bisous dans le cou et partout…. Ses mains se promenaient partout sur moi…

Pour me rassurer me disait-il… Pour me montrer qu'il était là pour moi… Pour me protéger… Et je me sentais bien dans les bras puissants de ce mâle. J'aimais son odeur forte, ses gestes virils et protecteurs.

Puis sa main a pris la mienne pour la mettre sur son torse très poilu, son ventre et enfin, dans son caleçon… Je caressais enfin la bite de mon beau-père… C'était gros… énorme pour moi, encore jeune puceau… Je n'ai pas pu m'empêcher de caresser ce membre de chair, de le faire grossir dans mes doigts qui ne pouvaient plus en faire le tour… Et ça grossissait, encore et encore. J'ai aventuré ma main plus bas pour rencontrer une masse lourde qui pendait, pleine de poils aussi. J'avais l'impression de toucher des œufs. Je commençais à comprendre le pourquoi de cette bosse hyper proéminente que j'avais remarquée dans son pantalon, démesurée à mes yeux et qui devait faire les délices de ma mère.

Il n'attendait que ça. Dès qu'il a vu que je branlais sa bite… Il est devenu hyper dominant….

Il m'a enlevé mon slip et son caleçon aussi… Son sexe est sorti dans toute sa splendeur. Quand j'ai vu ce monstre devant moi, jamais je n'aurais cru qu'un sexe d'homme pouvait être aussi gros… A vue de nez…. 24cm, et hyper épais… (En fait 25cm et 7 cm de large… mais je l'ai su après)

Son corps s'appuyait sur moi, il m'écartait les jambes, caressait de son monstre mon trou vierge, mais il a senti ma peur…. J'avais très envie de lui, mais ça… c'était trop…

Il a remonté son sexe vers ma bouche, a ouvert mes lèvres et s'est introduit en moi

J'ai commencé à le sucer, du plus que je le pouvais… Chaque coup de sa bite le faisait s'enfoncer plus profond… En même temps que je le suçais, ses doigts fouillaient mon cul, l'ouvrant de plus en plus.

J'ai soudain senti son sexe se contracter dans ma bouche, ses mains ont lâché mon cul pour s'appuyer sur ma tête et un flot de liqueur d'homme s'est versé dans moi, à grands jets, encore et encore qui continuaient. J'avalais le sperme de mon beau-père.

 

Une fois vidé, il s'est mis sur le dos, m'a regardé d'un air gourmand et m'a dit…

« T'inquiète… J'ai pas fini avec toi… Je veux ton cul… »

Après que mon beau-père se soit bien vidé dans ma bouche, j'étais assez désemparé, surpris d'avoir aimé ça et de me rendre compte, à mes 18 ans passés, que finalement, ma sexualité se tournait vers les hommes.

En retard de puberté, je n'avais pas trop pensé au sexe, mais je devais reconnaitre que je regardais plus facilement les hommes que les filles, et Rachid m'avait toujours impressionné, par sa virilité si puissante, par son corps débordant de testostérone 'puant'le mâle à plein nez.

Je venais de sucer ce mâle, d'avaler sa liqueur, mais c'était le mari de ma mère. Je me sentais coupable, bien sûr, mais aussi heureux de lui avoir donné du plaisir. Je savourais encore le goût de son nectar, le premier que j'avalais, et j'aimais ça.

Mes mains ont continué à parcourir son torse couvert d'une toison drue, descendre sur son ventre et se perdre dans cette grosse touffe qui entourait ce membre démesuré et qui recommençait à reprendre une certaine vigueur. Continuant mon exploration, j'ai soupesé ce sac plein, gros, qui pendait entre ses cuisses tout aussi velues et mes doigts ont enserré ce pieu, même si je ne pouvais pas en faire le tour.

Ça grossissait, encore et encore… Pour arriver très vite à la taille énorme du manche que ma bouche avait accueilli.

« Je me suis pas trompé… Tu aimes la bite toi… !!! » dit-il, avouant un peu sa préméditation.  

J'étais choqué d'entendre ces mots de sa part, mais je réalisais que j'étais en train de branler sa queue et que mon autre main se perdait dans ses poils.

Je n'ai pas répondu, et d'un coup, Rachid m'a mis sur le dos, m'a écarté les jambes et a pesé de tout son poids sur moi. Tout son torse hyper velu épousait le mien, ses jambes puissantes écartaient les miennes au max, et je me sentais femelle, soumise, offerte… Son membre viril frottait sur mon orifice, me procurant un plaisir inouï, inconnu jusqu'alors et je savais que j'allais céder…. Lui offrir ma virginité anale, malgré l'effroi qui m'envahissait d'être pris pour la première fois et par un tel calibre.

Rachid a senti que je cédais, que je n'opposais plus de résistance et que mon corps lui était offert.

« T'inquiète ma Belle… j'ai prévu… »

Il s'est relevé et a sorti, je ne sais trop d'où, un tube de vaseline… (Et oui… c'était ça à l'époque) et a commencé à m'en badigeonner le trou et son membre démesuré…

J'étais choqué par l'emploi du féminin… Mais je réalisais au même instant, que j'étais là, allongé, cuisses ouvertes, couvert par un mâle dont le sexe hors normes allait posséder mon trou…. Il avait raison finalement, posture offerte, j'étais bien une femelle…

« Tu vas avoir très mal ma chérie… mon zeb est très gros… mais tu sais, c'est bien d'être dépucelée par du gros, tu seras mieux habituée après… »

« C'est ce que tu veux, non ? Donner ton cul aux hommes, comme une vraie chatte… »

« Je vais te faire une belle chatte ma Chérie… Et je vais bien en profiter moi aussi… »

Son gland s'est frotté sur mon trou, et je sais pas pourquoi, je me suis senti m'ouvrir, prêt à accueillir cette énorme barre de chair dans moi.

« Tu vas saigner ma Belle, comme les femmes qu'on dépucelle dans mon pays, mais après, tu vas être heureuse, tu vas être baisée comme la femelle que tu es »

Il m'a écarté les jambes le plus possible, et son sexe s'est enfoncé dans moi. Malgré mes pleurs, il a continué et son gland a franchi la barrière de mon anneau. J'avais l'impression d'être ouvert en deux, malgré la vaseline, mon anus me brûlait… C'était gros… Trop gros…

Rachid est sorti de moi, a remis un peu de crème et son sexe s'est repositionné sur mon orifice encore béant.

« Je vais te dépuceler à l'arabe ma Chérie »

Dès que le début est rentré, Il s'est enfoncé dans moi d'un coup brutal, en entier… J'ai hurlé, j'étais sûr que j'allais mourir, que mon trou allait éclater, j'essayais de le pousser hors de moi, mais mes mains ne rencontraient que ses poils, qui m'excitaient tant.

« Calme toi ma Chérie… Tu es dépucelée maintenant…C'est juste un peu dur au début mais tu vas aimer… Je t'assure… »

Il est resté un moment enfoncé en moi en entier, et petit à petit, il a commencé des va et vient… Pas trop important d'abord, mais de plus en plus fort, insérant des mouvement de plus en plus amples…

Petit à petit mon trou s'est adapté… De la douleur, j'ai commencé à ressentir du plaisir… Ce mélange de plaisir douleur que ressent le vrai passif quand il se fait prendre par du gros calibre.

Quelque chose en moi, dans ma tête a cédé… Mon esprit a cédé, et mon corps a cédé aussi… Tous les neurones de mon cerveau m'ont envoyé le même message…

« Tu es fait pour ça… Offre-toi… Donne-toi… Ouvre-toi… Lâche-toi… !!! »

Ce sursaut d'adrénaline m'a libéré de toutes mes appréhensions, de toutes mes peurs, de cette douleur que je ressentais venant de cet énorme pieu qui me fouillait, et que, je le voulais vraiment, surmontant le feu de cette barre qui me brûlait.

Rachid a ressenti de suite mon relâchement, mon acceptation, ma soumission et que mon corps était maintenant prêt à l'accueillir sans réserve.

Il m'a saisi par les hanches et son monstre de chair m'a possédé, défoncé, violemment, dans toute sa puissance de mâle arabe qui possède sa femelle…

Ça a duré longtemps…il avait joui avant. Mais maintenant, mon corps acceptait de subir les assauts de ce mâle vigoureux… Et j'en voulais encore et encore plus… J'appuyais sur ses fesses poilues pour qu'il rentre encore plus fort en moi… Plus profond…

Son sexe avait ravagé mon trou puceau, caressait les parois de mon boyau… Et j'aimais ça….

D'un coup, Rachid a hurlé… Je l'ai senti s'enfoncer au plus profond de moi, et des jets chauds m'ont rempli… Rachid vidait son plaisir en moi….

Il s'est retourné sur le dos, sexe encore mi mou et m'a regardé en souriant….

« Tu as aimé Salope… J'ai pas fini avec toi…. La nuit fait que commencer… »

« Tu es faite pour être baisée… »

Il avait raison… Je sentais mon cul endolori, saignant, rempli de sperme, douloureux, brûlant… Mais j'étais heureux….

Mon beau-père m'avait appris ma voie, celle d'être pris… de me donner aux mâles. Que le petit appendice qui pendait entre mes jambes n'allait me servir qu'à pisser et que mon vrai sexe c'était mon trou, ce qu'il appelait ma chatte, mon vagin, mon instrument de plaisir pour les hommes.

Et il allait me l'apprendre bien plus que ça, après m'avoir défoncé encore trois fois dans cette nuit… Texte écrit avec un immense talent par CalinChaud sur cyrillo  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2017-BP-01.php   il y a une suite : « Je viens d'avoir ta mère au téléphone… Elle ne reviendra pas avant plusieurs jours… Même 2 ou 3 semaines… »

« Je sais, elle vient de m'appeler… Mamy est mal et elle va rester tout le temps qu'il faut auprès d'elle… Son boss lui donne congé pour ça »

« On va rester seuls tous les deux ma Chérie…. Tu sais ce qui t'attend ? Tu vas remplacer ta mère dans mon lit… Tout le temps… Ok ? »

Un blanc dans cette conversation… Je ne savais pas quoi lui répondre… Sinon un faible…

« Oui »

« Je veux ta chatte jour et nuit… »

 


  aucune de ces photos n'appartient à cavaillongay mais ont été recueillies sur le net pourexhauster notre perception des rapports entre les personnages

 

 

 

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hanté par la peur qu'on nous voie et surtout la peur que ça le fasse arrêter

 

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  Image associée une fécondation qui me tirait à la fois hors de mes doutes virginaux et de ma solitude de jene homme 

 

 


  commentaire :

Par CALINCHO - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 21 avril 7 21 /04 /Avr 06:51

    Je me suis toujours posé des questions sur le sexe et surtout si je savais en profiter.En tous cas je sais (me) donner.

  Image associée  les chaussures de femme  eh ben je les ai eues ... bien que j'aie toujours trouvé pénible de devoir me déguiser en femme pour attirer plus de bites...-lol- 

Le sexe hard avec un  homme grand et fort est quelque chose dont j'avais toujours fantasmé. Aussi loin qu'il me souvienne je me masturbais en pensant être fait pour faire des choses... des choses sales pour ce que la"société" bien pensante attend d'un homme. Je pensais être fessé, fait pour servir un homme, qui soit pas méchant mais très dominant, quelque peu cruel et hors du commun mais pas terrifiant. J'avais souvent ce fantasme-là  dans ma tête.

Image associée oui ... LUI fort autant que je suis faible

Je suis sorti avec des filles, j'ai eu des rapports sexuels avec plusieurs d'entre elles mais ça n'a jamais occupé mon esprit autant que l'idée d'être pris par un homme. Quand j'étais avec une fille, je me souviens avoir pensé que je voulais être la fille, je voulais être celle qui était "dessous". J'ai probablement projeté cela avec tout homme qui aurait voulu profiter d'une transgenre de placard comme moi. Le bon gars bien éduqué que je suis fait attention : je ne me suis pas démené  pour arriver à mes fins et voulais que ça m'arrive tranquillement.

C'est compliqué, mais je ne me suis jamais offert directement aux hommes, j'avais peur de le faire. Je ne voulais certainement pas admettre être gay soumis et passif, ou risquer un "outing" et devenir "homme-pute" de notoriété publique. Mais quand je voyais ou rencontrais  un homme qui m'attirait, il devenait mon fantasme, le pivot de ma masturbation. Et je lui souriais, je lui parlais très poliment... Et j'en ai eu plusieurs qui correspondaient à ce fantasme pour moi : L'un était un très gros, type de la classe ouvrière dans l'entrepôt où je travaillais au bureau de réception. Je lui souriais toujours. Je m'efforçais de le faire et je pensais presque tous les jours à lui.

Et puis c'est arrivé.

C'était un soir après une journée de travail et l'un de nous payait à boire. Nous étions sur le parking. J'étais assis sur le siège passager de sa voiture. Lui, celui auquel je pensais, c'était le contremaître de l'entrepôt. Je lui avais demandé de me conduire au bar. Jamais au grand jamais je n'aurais pensé qu'il était gay. Je voulais juste me rapprocher de lui.

Un petit nombre d'entre nous allions dans un bar après la fête et je lui ai demandé si je pouvais monter avec lui. Je ne le connaissais pas vraiment mais je l'avais déjà vu plusieurs fois au travail. C'était lui ! Il était le type auquel je pensais plus que tout autre, où que je sois, où que j'aille, je pensais être avec lui. Et il semblait  toujours  faire très attention à moi, il a fait des pieds et des mains pour me parler quand nous avons eu la chance de travailler en équipe. Mes réflexes inconscients ont joué quand, sans y penser, je me suis dit que c'était avec lui et personne d'autre que je devais aller en voiture. Il m'a ouvert la portière, debout, comme on fait pour les dames. Je suis monté. Il m'a regardé un jnstant, a souri puis a fermé la porte de la voiture.

 A
ssis, moteur au ralenti, j'ai pensé il ne faisait que réchauffer l'intérieur avant de rouler et rejoindre les autres. Je me souviens avoir vu plusieurs filles nous saluer alors qu'elles montaient dans leur voiture et partaient pour l'after-party. Nous nous sommes restés assis là jusqu'à ce que presque tout le monde ait quitté le parking.
   
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"Enlève tes pantalons!" Il m'a regardé, il l'a dit comme ça purement et simplement.

 
Je n'ai pas cru ce que j'entendais. Même si j'avais pensé à lui, la réalité était complètement différente. Je ressentais une peur totale, j'avais très peur et je voulais sauter de sa voiture.

 
j'ai dit :-"comment ?" Je l'ai regardé.

 
"Enlève ton pantalon, tout de suite." Il a tourné le siège vers moi. J'ai tendu la main saisir pour la poignée de la porte. Je l'ai senti empoigner mon bras de sa main gauche et la crinière de mes cheveux de sa main droite.
    Image associée
 
«Enlève ton pantalon, tire-le complètement. Je sentais sa main se refermer sur mon bras si fort que ça me faisait mal. Il me meurtrissait. J'ai grognoté.

 
C'est c'est alors qu'il ma flanqué une gifle. Deux fois. Il m'a regardé droit dans les yeux.
 
"Ne me force pas à le faire pour toi, enlève ton pantalon."

  Il sourit, tout près de mon visage comme s'il allait m'embrasser. J'ai senti les larmes recommencer à couler sur mes joues. Il a parcouru ma joue de son index sur le chemin de mes larmes. «Je veux te voir.  Maintenant. Enlève ton pantalon, tu sais que tu le veux, tu sais que tu es une petite chienne d'allumeuse, nous le savons tous les deux, maintenant enlève ton pantalon».

Je détournai les yeux de lui, je vis les dernières voitures qui quittaient le parking tandis que je défaisais mon pantalon et le glissais sur mes cuisses. Il avait raison. Je me sentais en même temps
comme si je voulais et comme si je ne voulais pas. Je me sentais terrifié et presque envie de vomir, je n'avais jamais rien fait de tel auparavant mais sa brutalité ne m'avait pas choqué exagérément.

 

Image associée Il venait de casser ma coquille ! 

LES LARMES VONT AVEC UN DEPUCELAGE MENTAL !

J'ai soulevé mon derrière du siège ; en me rasseyant je me souviens avoir alors senti le cuir froid à travers mes sous-vêtements. J'ai fait glisser mon pantalon sur mes genoux et ensuite sur mes chevilles. Il s'est assis sur son siège et a regardé avec satisfaction que j'avais fait ce qu'il voulait. Je sentais de douces larmes couler sur ma joue.

"Le slip aussi, princesse." Il m'a regardé en souriant. "Allez fais-le."

J'ai vraiment commencé à pleurer, je n'avais jamais été aussi intimidé. J'ai pleuré un peu plus fort. Je me sentais honteux, soumis, j'avais l'impression de ne pas pouvoir dire «non». J'ai fait comme il a dit, ai fait glisser mes sous-vêtements et me suis assis nu et exposé à sa vue sur son siège de voiture.

Et j'étais là, nu dans sa voiture. Les chaussures aux pieds, mon pantalon et mes sous-vêtements sur le plancher. Il m'a regardé. Se penchant, il m'a regardé et m'a inspecté. J'ai senti mon visage devenir rouge vif, j'ai senti les larmes me brûler les joues où il m'avait giflé. Il a pris son temps pour me regarder.

"Je le pensais, tu es comme un petit garçon." Il tendit le bras et prit mes poils pubiens dans son poing, les tira de telle sorte que mon dos se souleva du siège.

J'ai crié, j'ai senti sa main droite passer entre le siège et mon derrière avant que je ne retombe sur le siège. Je me suis senti assis sur sa main.

"Je veux que tout soit parti, rasé, la prochaine fois que je te vois. Alors comme ça, tu seras doux comme un bébé. Je sentis ses doigts bouger entre les joues de mon derrière, sa main poussant contre le siège. Il a giflé mon visage à nouveau. "Clair?"

J'ai commencé à sangloter, "oui, oui ... s'il vous plaît".

"Shsssss, sois tranquille." Je le sentis commencer à palper ma fesse gauche, la serrer dans sa grande main, sentir ses doigts frôler mon trou. Je suis demeuré assis et j'ai pleuré doucement pendant qu'il me "visitait". Son autre main se déplaça vers mon pénis, son doigt se déplaçant autour de lui dans un petit cercle. Je me suis senti devenir semi-dur. J'ai regardé par la fenêtre. J'avais si peur que quelqu'un me voit faire ça, je pleurais doucement.

«Nous allons à la fête au bar, ne t'inquiète pas, tu peux remettre ton pantalon pour ça. Il a ri si fort que ça m'a fait peur.

"Maintenant écoute-moi attentivement, ne parle pas, dis un mot et je te giflerai à nouveau. J'ai commencé à pleurer encore plus fort. J'ai juste regardé mon petit pénis exposé devenu maintenant flaccide et couvert de mes larmes .
 

  Son index continuait à bouger autour de ma petite chose douce, se déplaçant lentement. "J'aime mieux quand tu es doux et soyeux comme ç  que quand tu es semi-dur, ça te va bien." Je sentis le majeur de son autre main sonder entre mes fesses quand il dit ça, se frottant juste contre mon petit trou serré.

 
«Je sais que tu es une poule mouillée, je t'ai regardé au boulot, on a parlé avec plusieurs femmes au boulot qui pensent elles-même que tu es une poule mouillée, crois-le, mais j'aime ça, j'aime les sissies comme toi." J'ai senti sa main gauche s'éloigner de mon pénis mou et commencer à caresser le côté de mon visage. «J'aime aider un homme à se transformer en un petit garçon-sissy, et s'amuser comme on joue avec une petite chienne. Si tu veux que je m'arrête, dis-le simplement, dis« je ne veux pas être une chienne-sissy, je ne suis pas un petit garçon homo » Dis-le, je t'attends et je te mets au défi de le nier.

 
Je n'ai rien dit. J'ai regardé par la fenêtre de la voiture et senti mes larmes couler doucement. Je pleurais vraiment.

 
Il se pencha à quelques centimètres de mon oreille. Je vais te guider, tout ce que tu as à faire, c'est ce que je te dis, c'est clair, réponds-moi.

 
"Oh oui, oui ... s'il te plaît, mais ne me frappe plus, s'il te plaît ..." Je levai les yeux vers lui, la peur et les larmes sur mon visage. Je le regardais dans les yeux. Il a juste souri en retour. Beaucoup de douceur s'installait entre nous. Il a retiré sa main de sous mes arrières et s'est remis sur son siège.

 
"Tu as un petit arrière-train  très mignon et très serré, j'aime ça aussi, je peux tenir tout ça dans une seule main." Il défit son pantalon, juste assez pour sortir sa queue, dure comme un roc, et qu'elle pointe au-dessus de la ceinture de son boxer. Ensuite il l'a dégagée afin que je la voie toute raide et toute droite oui, pour que je la voie. Elle était énorme. Ca m'impressionnait sans me dissuader...

 
Il m'a regardé. " Alors, tu la trouves bien?" J'ai senti sa main sur ma nuque et me pousser doucement vers elle. Je l'ai vu faire du regard le tour du parking par sécurité. Nous étions seuls dans sa voiture.

 
Je n'ai pas hésité. J'ai fait tout ce qu'il voulait que je fasse. Je l'ai sucé pendant au moins une demi-heure et je l'ai laissé jouir dans ma bouche. C'était la première fois que je faisais ça. Je n'avais jamais été avec un homme avant comme je l'ai fait pour lui sur le siège avant de sa voiture, je ne voulais pas et pourtant j'avais l'impression de ne pas vouloir que  que  ça se termine, j'avais l'impression de faire ce que je devais faire, d'être à ma vraie place. Par rapport aux "autres"Je me sentais sale et criticable, je me sentais comme une pute soumise. J'ai aussi senti sa main sur le dos de ma tête tout le temps que je l'ai sucé, je l'ai senti me caresser, en me tenant par les cheveux en me déplaçant de haut en bas sur sa queue. Je sentis son autre main caresser mon derrière nu, me rappelant ma nudité devant lui. Il frotta ses doigts de haut en bas dans la fente de mon arrière pendant que je le servais. 

  Quand il est venu, en énormes giclées, tout en le gardant en bouche, j'ai reculé de quelques cm, il fallait du recul à ma langue pour l'apprécier ; il est simplement resté assis, le goût de lui se répandait tout à l'intérieur de ma bouche, j'ai ressenti la poussée-réflexe soudaine qui accompagne une éjaculation. J'ai aimé qu'il fasse comme quand c'est un vagin qu'on pénètre ou un cul : pas question de sortir ou de reculer.... Il tenait ma tête à deux mains. Aucun de nous n'a plus bougé et j'ai fait de mon mieux pour avaler.

 
Il a utilisé ses mains pour déplacer ma tête de haut en bas sur lui, m'a tenu fermement en place, une main sous mon menton. Il a rempli ma bouche. Quand il a fini, il m'a tapoté le cul, a passé sa main dessus et l'a giflé. Là, après avoir déchargé, il était presque complètement mou ; il a soulevé ma tête et sa verge gluante est sortie. Que du plaisir pour moi, aucun recul. Il était énorme même semi érigé.

Je
me suis redressé rapidement sur mon siège. J'étais sous le choc, je regardais par la fenêtre le parking vide. Je frottais mes lèvres et ma langue l'une sur l'autre pour mieux le goûter. 

 -"Alors ?" murmura-t-il doucement, l
à, maintenant, c'était pas si mal, n'est-ce pas?" Son regard me brûlait, me donnait l'impression de devoir ramper sous le siège. Il a souri, m'a caressé le visage. Je n'ai rien dit.

 
"Tu vas t'y habituer, en fait je pense que tu as aimé faire ça et je pense que tu étais probablement décidé à le faire avant, n'est-ce pas?" Il rit doucement.

 
Je n'ai pas répondu. Il bougea si vite qu'il me fit peur, me gifla durement le visage. "Tu n'as pas répondu à ma question. Réponds  quand je te pose une question!"

 
"Oui, j'ai, oui." Son sperme se mêlait à mes larmes sur le côté de mon visage brûlant où il m'avait giflé à nouveau, "Oui, s'il vous plaît, je vais faire ce que vous voulez, je vous veux. S'IL VOUS PLAIT." Je pleurais encore doucement. Ma voix en mode panique, "Je ne veux pas que tu me fasses mal."

 
"Rappelle-toi, rasé, propre et chou la prochaine fois, je parle de tes couilles, de ton entrejambe, de ton derrière, de tes bras, de tes jambes ... Si je sens des poils ou des chaumes, non seulement je te giflerai, mais je vais utiliser ma ceinture sur toi. " Il tendit le bras et caressa l'arrière de ma tête, tout en contraste, je sentis ses doigts jouer avec mes cheveux.

 
«Je ne vais pas te faire de mal, je vais juste commencer à t'honorer comme tu devrais l'être : tu vas être un vrai bon garçon, la prochaine fois que tu viendras, je veux que tu penses à moi, pense à moi comme étant ton grand père fort. " Il a ri quand j'ai commencé à m'habiller. «En fait, tu vas probablement beaucoup penser à moi après que tu sois rentré ce soir, toi et moi allons passer de bons moments ensemble, tu supplieras de pouvoir me rendre visite, compte là-dessus ! 

 
Il se pencha et ouvrit la porte de sa boîte à gants, sortit quelques lingettes humides et les laissa tomber sur mes genoux.

 
"Tu es en désordre, nettoie ton visage avant d'arriver au bar." Il a mis la voiture en marche et a commencé à conduire. Je me dépêchai de me nettoyer, de remettre mon pantalon. Il ne m'a rien dit jusqu'à la fête. Nous avons roulé en silence.
  

 

Arrivés au bar, il s'est garé dans le parking, certains de nos collègues , allaient à leurs voitures et partaient. "Quand nous entrerons, va aux toilettes hommes et lave-toi le visage." C'est tout ce qu'il a dit en sortant de sa voiture. La lumière du plafonnier s'éteignit et je me sentis bien dans sa confortable voiture...comme chez-moi , mon visage piquait toujours où il m'avait giflé. EN MEME TEMPS -lol-  mon visage était rouge et j'avais encore son goût dans ma bouche. C'était  secret et j'en éprouvais de la fierté et EN MEME TEMPS  -lol- de l'angoisse. Hors de la voiture me suis précipité vers les toilettes-messieurs.

 
Tout le temps passé au bar j'étais sous le choc. En discutant avec les autres membres de la fête, j'avais l'impression qu'ils savaient tous ce que je venais de faire. LUI, il me regardait de temps en temps mais faisait comme s'il m'ignorait tout le temps où nous avons été là. Je me suis juste assis dans un coin sombre, répondant gentiment quand on m'adressait la parole, mais je me sentais complètement dans une semi-panique, car en moi c'était une révolution, je ne voulais plus rien que rentrer à la maison et être seul.
 
Après que la dernière personne de notre groupe d'employés ait quitté le bar, il s'est assis à côté de moi, a siroté le dernier verre de sa bière. Il m'a regardé. Il se pencha vers moi et murmura: «Allons, princesse, tu as quelque chose à faire, tu dois rentrer à la maison et t'expliquer à toi-même ce que tu as fait pour moi ce soir, et ce que tu vas faire pour moi à l'avenir.

 
Je sentais la peur, j'avais envie de courir vers la porte. Il savait ce qui se passait en moi d'aussi important que s'il s'était agi d'une cérémonie nuptiale. Il a ri si fort quand il a dit que, plusieurs autres personnes ont regardé attentivement notre table près du bar.

 
Je l'ai suivi jusqu'à sa voiture. Tout le chemin du retour il n'a rien dit. Encore une fois, nous avons roulé en silence. Quand nous sommes revenus à ma voiture que j'avais laissée sur le parking, il s'est garé à côté, il m'a tendu la main, m'a vu flancher quand il a fait ça. Il a ri. Il a ouvert la portière de ma voiture.
 
 
«As-tu vu les chaussures que Mary portait à la fête? - Des talons roses, je pense que ce serait bien si tu en avais une paire la prochaine fois que je te verrai, n'est-ce pas, princesse? Je le sentis fermer sa main dans mes cheveux.

 -
"Oui." A ce moment j'ai juste regardé par la fenêtre, j'ai senti mon visage devenir rouge vif. Je me sentais impuissant devant ce qui allait irrémédiablement se produire..

 
"Souviens-toi, chérie, ma douce et ma coquine, la prochaine fois que je te vois, tu es chez toi, ce sera notre maison de jeu. Tu seras complètement nue et dans tes jolies petites chaussures girly qui me souhaiteront la bienvenue. Ce sera notre point de départ, nous allons partir de là, princesse. Il lâcha mes cheveux et passa sa main sur mon épaule puis sur le côté de mon visage. "Tu vas devenir ce que tu es. Tout ce que tu es !" J'ai frissonné sous sa main et sous l'effet de ses paroles, et j'ai senti la chair de poule me parcourir de haut en bas .

 
"Et si tu n'en as pas encore, tu auras soin d'acheter du gel lubrifiant. Il va peut-être en falloir beaucoup." Il rit de nouveau alors qu'il détournait les yeux.

 
C'est tout ce qu'il a dit alors que je me dépêchais de sortir de sa voiture. La portière claqua derrière-moi et je le regardai partir.

Il gagna rapidement la route. Je me tenais sur le parking en train de regarder les phares de sa voiture. C'était la première fois que je servais l'homme qui, aujourd'hui, me possède.

 
Il avait raison. Je voulais être sa chienne sissy. Je sentis mon petit pénis bouger alors que je réfléchissais à ce que je fferais pour lui :  je me suis persuadé avoir raison sur tous les points. Et comme je roulais vers la maison, j'ai joué avec ma queue. Je pensais à sa taille, il me domine, fort et musclé, ses énormes mains fortes, sa grosse bite. Sa queue est au moins trois fois plus grande que ma petite chose. Je pensais à ce que ça me ferait d'être assis nu sur ses genoux. Et puis j'ai pensé aux baisers . Je me suis instantanément forcé à y penser, j'ai passé ma main sur ma petite chose et j'ai joué avec tout en parcourant le reste du trajet. Je me suis masturbé dès que j'ai franchi la porte.

 
La chose suivante que j'ai faite avant d'aller au lit ce fut de prendre une douche chaude et me raser de haut en bas. La première fois que je le faisais. J'ai pris mon temps, j'ai pensé à lui et tout ce que j'avais fait. Puis je me suis masturbé à nouveau en me regardant devant le grand miroir dans le hall. J'ai joui parterre en fantasmant qu'il me regardait tout le temps. En me regardant fixement j'ai vu la "poule" que j'avais toujours fantasmé être et qu'à partir de là je suis devenu(e). ¤ 
 

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commentaire: "Putain ! ah mais oui c'est bien vrai  : mon JO il n'avait aucune raison objective de se sentir supérieur. En plusieurs points je l'aurais surclassé, d'autant que...mais il me dominait tout naturellement..." 

 

  on lit en marge :   il a un-des- après que vous pouvez imaginer...

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Image associée  C'est justifié qu'il m'appelle Prrincesse

 

 

 

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Image associée Le bonheur est fait pour être partagé. Il me la met et aussi il me la fait mettre et il surveille de près. Et moi j'ai le bonheur que j'ai tant attendu.

 

Image associée ne dites pas que je suis bi. Je suis très émotif(ve) ça se voit et pas la peine de pratiquer une opération : tout est en ordre dans mon corps et dans ma tête !

 

Par cavaillongay - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 6 avril 6 06 /04 /Avr 22:42

  Image associéela tentation homosexuelle de San Mirko

  Résultat de recherche d'images pour "au séminaire" Résultat de recherche d'images pour "séminariste en vacances dans sa famille" en sa nature de communauté d'hommes jeunes le séminaire est déjà un lieu de probation et  de résistance à l'homosexualité Mirko va passer le mois d'août dans sa famille...
 
Mes parents ont eu un problème:

- Ma cousine Irène m'a demandé si nous pouvions accueillir son fils Mirko pour le mois d'août. Ma mère a dit :

- Pourquoi nous?

- Il est en convalescence pour une bronchite et ici, l'air est bon.

Mon père était perplexe: - Samedi 6 nous partons pour ce voyage à Fatima ...

- Je sais, et les deux garçons seraient seuls.

J'intervins : - Si c'est quelque chose qui me concerne, je veux savoir.

- C'est à propos de Mirko, tu te souviens? C'est ton cousin germain qui a ensuite décidé d'entrer au séminaire.

Je me souvenais de lui: plus vieux que moi de deux ou trois ans, grand, maigre, mais… sur la plage, il portait des costumes bien ajustés et on remarqua qu'il avait deux grosses balles. Mon ami Moreno, qui avait la cabine d'à côté, m'avait confié qu'il l'avait aperçu par un trou dans le bois et qu'il avait également vu une belle et grande saucisse:

- Bien sûr que je ne sais pas si c'est très long, mais l'épaisseur y est. En bref, un type de harem.

Au lieu de cela, le type de harem avait "la vocation"du célibat ...
Je dis instinctivement:

- Vous ne serez que deux semaines absents et vous avez déjà demandé à Lisa de faire le ménage tous les jours, alors nous ne serons pas seuls ... Et puis, un séminariste ! Je pense vraiment qu'il va prier toute la journée.

En bref, il a été accepté.Le premier jour au déjeuner, je l'ai observé: poli, épanoui, mais timide et réservé, il a immédiatement imposé une courte prière, mais il a ensuite mangé de bon appétit.

Il évitait de me regarder, je ne pouvais pas commencer une conversation avec lui, parfois même je le voyais rougir, jusqu'à ce que je comprenne : je portais un short et une chemise courte, j'avais donc le ventre découvert. Mon nombril l'embarrassait. Selon lui, sans rien dire, il devait penser quei je me tenais mal.

Je décidai d'y remédier immédiatement: je mis un maillot plus couvrant, un T-shirt à manches courtes et des sandales basses. J'ai remarqué que mes parents approuvaient ce choix: ils partiraient tranquillement.
Le premier jour au déjeuner, je l'ai observé : je le jugeais poli, d'apparence normale, mais timide et réservé, il a immédiatement imposé une courte prière, mais il a ensuite mangé de bon appétit.

Il évitait de me regarder, je ne pouvais pas commencer une conversation avec lui, parfois même je le voyais rougir, jusqu'à ce que je comprenne : je portais un short et une chemise courte, j'avais donc le ventre découvert. Mon nombril l'embarrassait. Selon lui, sans rien dire, il devait penser quei je me tenais mal.

Je décidai d'y remédier immédiatement: je mis un maillot plus couvrant, un T-shirt à manches courtes et des sandales basses. J'ai remarqué que mes parents approuvaient ce choix: ils partiraient tranquillement.

Maintenant, plus détendu, mon cousin germain a commencé à converser avec moi de façon informelle. J'ai pris soin d'étirer le T-shirt quand je me suis assis et de garder les cuisses serrées et couvertes autant que possible.

Heureusement, Moreno était loin, sinon il aurait tenté de tenter Mirko. Un matin, Gabriella et son petit ami sont venus m'emmener à la mer. Ils ont également invité Mirko, mais il a fermement refusé.

Sur le chemin du retour, je lui ai demandé pourquoi il avait refusé. Il a répondu qu'il était nu sur la plage et qu'il ne voulait pas commettre un péché en pensées.

ORANSSI Men's Solid 16-Inch Waterproof Swim Trunks - Aho, Mirko! - Je lui ai dit - mais Adam et Eve n'étaient-ils pas nus?

- Oui, mais ils étaient innocents. Après le péché originel, ils s'habillèrent de peaux de bêtes.

- Je pense - dis-je - que l'attrait entre un homme et une femme est normal, que le sexe est normal et sert à perpétuer l'espèce ...

Le mot "sexe" était suffisant pour qu'il se signât trois fois.

"Ah, oui?" Pensai-je ... "Laisse-les partir et tu vas voir, tu seras servi !."

 

 

À dix-huit ans, je pensais que j'étais maintenant mûr pour mon deuxième amour, ou relation, si vous préférez. Le premier était maintenant loin et oublié.

Mirko fut impeccable pendant les autres jours avant le départ de mes parents. Moi plus que lui: dans l'armoire, j'ai trouvé de longs bermudas dépassant le genou et des chemises aux couleurs tirant sur le gris.

Ma jeune mère n'était pas dupe:

- Je t'en prie, ne le  heurte pas. Je sais que toi tu n'as pas la vocation de Mirko..., souviens-toi qu'il est séminariste ...

- Ne t'inquiète pas, je saurai comment me comporter ...

Tandis que nous les saluions, je savais très bien ce que j’aurais fait: j’aurais rincé ses méninges, avec des faits je l’aurais convaincu de renoncer à sa vocation ou au moins de changer de religion avec une religion sans interdits sexuels.

J'ai commencé cet après-midi-là à me rendre à la bibliothèque, où il lisait et méditait sous le prétexte de dépoussiérer le dessus des meubles. J'ai pris l'échelle, j'ai refusé son aide et je suis monté. Je portais ce petit flottant de basket court choisi ce début d'après-midi. En dessous je n'avais pas de slip.

Je n'étais pas encore arrivé au meuble devant lui, que je l'avais déjà vu remuer. Bien sûr, au haut de l'escalier, mes cuisses ont été révélées, elles ont brillé dans la faible lumière de la pièce.

J'ai réussi à me retrouver exactement devant lui. Je levai les bras pour bien épousseter le haut du meuble, conscient que le petit flottant m'aurait partiellement découvert. Je pouvais entendre sa chaise en bois bouger sur le sol. Je me suis étiré d'un côté, d'une main j'ai fait semblant de maintenir le petit short vers le bas ... eh bien, j'ai senti mon siège du bas complètement respecté, je me suis retourné .. Ca devait lui faire de l'effet puisque.
le cousin se tenait les yeux fermés, le chapelet aux mains récitant ses prières. Je suis descendu, j'ai fermé l'échelle et je l'ai emmenée le grondant:

- Prie à l'église, pas devant mes fesses  !

Ce soir-là, j'ai écouté le discours des prêtres, certain que beaucoup d'entre eux étaient homosexuels. Et c'est prouvé.

- Oui, il se peut que quelqu'un parmi nous le soit: dans ce cas, il appartient aux frères de les aider à trouver le moyen de s'abstenir de pécher.

- Est-il vrai que les prêtres orthodoxes et luthériens se marient sans problème?

- Oui, ils n'acceptent pas le sacrifice de la chasteté.

- Et à quoi sert ce sacrifice?

- A ne pas penser aux plaisirs de la chair.

 

 

- Tu n'y penses jamais? Tu n'as jamais fait de rêve érotique?

J'ai fait du café et nous ai servi: nous l'avons bu en nous regardant dans les yeux, il était un peu gêné. Je lui ai dit:

- Je ne pourrais pas abandonner les plaisirs de la chair ...

Il semblait troublé.

Un matin, je me suis retrouvé sur la terrasse, prenant un bain de soleil dans mon string le plus succinct. Peu de temps après, je suis entré dans la maison pour préparer deux boissons fraîches. Alors que je lui tournais le dos, j’ai délibérément laissé tomber une serviette et me suis penché pour la ramasser, sachant que ça laisserait à découvert le haut de la fente entre les deux fesses et ma rondelle alléchante.

En me retournant, je l'ai surpris en train de marmonner une prière, mais je me suis arrêté immédiatement de le taquiner.

À présent, nous étions en confiance et alors, en sirotant la boisson, il me dit:

- Tu n'as pas de camouflage?

J'ai secoué la tête.

- Tu sais que tu ne devrais pas bronzer comme ça, devant moi.

- vraiment? Mais sais-tu que je le prends d'habitude tout nu ?

Il s'est énervé et moi j'ai dit :

- Ah, mon beau curé, on n'y est pas! La nudité est partout dans les peintures des églises, Giotto, Le Bernin, il Perugino, Delacroix et même les modernes ont peint des saints hommes nus et le Christ, sur la Croix, est nu ou presque ! Moi-même j'aimerais me faire peindre nu par un peintre ... Je suis sûr que l'extase de Sainte Thérèse d'Avila n'est due qu'à une représentation fantasmée d'un Christ devenu son amant virtuel... Quelqu'un t' a-t-il déjà dit que, les femmes, comme les hommes aiment à égalité regarder nos seins, nos fesses et notre entrejambe? et en particulier les tiens, Mirko, dans quel monde vis-tu, Mirko ?

Il s'est enfui en se signant. J'étais le diable personnifié.


Je voulais maintenant le séduire, car je ne pouvais pas accepter qu’un mâle aussi bien fait que celui-là renonce aux joies d’une vie sexuelle saine et satisfaisante. Nous sommes au troisième millénaire!

Et donc, je portais des débardeurs d'été larges et coupés, pour lui faire remarquer ma peau, mon torse, mes speedos et mes maillots Arena et tout ce qu'on pouvait deviner dedans, je lui posais des questions personnelles, de plus en plus curieuses ...

Une fois, je portais un maillot blanc auquel j'avais volontairement enlevé toute trace de doublure. Il faisait très chaud et je lui ai demandé de m'asperger avec le tuyau d'arrosage. Il objecta qu'il risquait lui aussi de se mouiller et je l'invitai à retirer sa chemise.

Bien sûr, l'eau a créé un "regard mouillé", la transparence des maillots mouillés sur mon speedo, ce qui lui a fait remarquer les tétons, mon duvet léger et ma bosse. Soudain il s'arrêta, prit sa chemise et s'éloigna.

Eh bien, l'émotion, je l’avais causée avec la vue partielle de mes tétons, de mon cul et de ma chatte de garçon. Je suis passé aux contacts. J'ai pratiquement profité de chaque occasion pour me frotter à lui avec mes parties érotiques que ce soit des photos de famille ou des images ou ds textes de revues que je l'invitais à regarder avec moi. En faisant une "main morte", j'ai réussi à avoir le contact de ses doigts.

Ensuite, un souvenir m'a aidé et je me suis souvenu qu'avant la vocation, il était bon danseur et je lui ai demandé une valse pour voir si ce talent était intact. Il a accepté volontiers et m'a marché sur les pieds à plusieurs reprises. Puis je l'ai impliqué dans un slow.

Il retint son bassin jusqu'à ce que je m'ennuie, j'attrapai ses fesses et le serrai contre moi: il était excité, je sentais une sorte de courgette de provence  sur mon ventre et sentais en même temps ma bite gonfler et mon cul palpiter.

Je réussis à danser joue contre joue pendant une minute puis à l'embrasser sur les lèvres: il s'enfuit sous le choc. Il n'était pas encore prêt.

 

Un matin, la blanchisserie m'a apporté mon linge hebdomadaire, mais j'ai remarqué qu'il y avait peu de sous-vêtements. Je suis allé lui demander s'il avait remis tout son linge-et donc le mien- à la blanchisserie et il a rougi.
Résultat de recherche d'images pour "sniffing dirty men underwear out of the basket"L'odeur était devenue du piment !
Dans un coin de la pièce, il y avait un panier en osier et j'ai trouvé plusieurs sous-vêtements. Odeur incluse :

Je lui airedemandé s'il avait des pollutions nocturnes?

J'ai baissé la ma in dans le panier : L'odeur était devenue du piment !

- As -tu des rêves érotiques?

Il a marqué un arrêt : - Parfois ...

- Tu rêves de moi? Je pensais et souhaitais qu'il fût gay comme tant de prêtres. (c'est prouvé)

Il a pâli et s'est détourné.

- Ce n'est pas ta faute! - J'ai crié après lui - C'est la faute à l'abstinence!

Le soir je suis allé le voir dans la chambre:

- Si tu n'as jamais fait l'amour, mieux vaut commettre ce "péché" en tant que séminariste qu'en tant que prêtre ...

J'enlevai mon pyjama et restai nu, puis levai le drap et me couchai à côté de lui. Toute sa convoitise, jusqu'alors réprimée, a éclaté.

Je me suis livré à lui mollement et j'étais prêt à écarter les fesses pour l'accepter sans douleur. Il y est arrivé en quelques minutes. Par contre, il n'est pas tout de suite sorti et a continué à me caresser. Il disait :

- Pardonne-moi, pardonne-moi ... - et je reviens:

- Merci, Mirko, merci!

Quand il s'est échappé, je lui ai dit que j'allais boire quelque chose et je suis revenu avec deux cafés froids abondants. Ensuite, nous avons commencé à faire des sorties, puis c'est moi qui l'ai monté.

Cette fois, ça dura un peu plus longtemps et finalement il me remercia.

C'était une sorte de lune de miel jusqu'à la veille du retour des miens. Ce jour-là, il m'a déclaré son amour et qu'il ne prononcerait pas des voeux définitifs pous venir vivre avec moi. Je lui ai demandé de réfléchir.

Le lendemain matin, avant l'arrivée de mes parents, je lui ai dit:

- Je n'avais pas le droit de te tenter. Je ne suis qu'une pute qui a flirté avec le malin. Je ne t'aime pas, je te désire seulement. Je ne voulais que toi et je sais que j'ai péché pour cela. Par contre je te voulais libre dans ton choix et j'ai réussi. Pardonne-moi s'il te plaît et si tu le juges bon, prie pour moi. Ne m'oublie pas, écris-moi. Et si tu juges cela possible, reviens et aimons-nous.

Il me regarda longtemps, sérieux et enfin il dit:

- Je ne suis pas prêtre, je ne peux te bénir, mais tu le mérites. Garde la force de ta convoitise car ce n'est pas un péché mais de la bonté et de l'amour qui en sont sortis. Puisse le Seigneur nous donner la force de nous attendre. ...J'avais brisé sa vocation...mais tant vaut-il mieux qu'il ne renonce pas en route en regrettant plusieurs années d'engagement.
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Par claudio - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 8 mars 5 08 /03 /Mars 06:42

     Au milieu des arbres,


une bonne baise en extérieur; de bons et solides coups de reins, des couilles qui tapent sur tes fesses..tu t'éclates et retrouves ou cherches à retrouver les sensations paradisiaques de ton dépucelage réussi...
 

 

 

 

 

 

 

 

Jeune homme, tu sais forcément que de même que ta bouche conserve , au moins quelques minutes et certaines fois pour toujours, un goût précis (un mets, un fruit, etc... ton anus conserve la sensation inoubliable d'une pénétration marquante. C'est cette sensation que tu vas ressentir et regretter, à partir de ce jour-là les jours de manque. Je ne me suis jamais drogué, mais le manque de bite dans le cul me semble fonctionner pareil qu'une drogue!) Si, après avoir été dépucelé auparavant, tu te fais de nouveau prendre et que ce plaisir dépasse le précédent, alors tu as eu ton 2EME dépucelage, Ma foi, c'est comme ça que le le ressens, le définis et l'ai conçu pour mon cas personnel. Au fond, en a-t-on jamais fini avec ses propres découvertes ? Jeune qui nous lis ici, ne te prive pas de parcourir ta vie. Fais de ce que tu n'as pas encore connu le thème de recherche de ce qui pourrait devenir des regrets ! claudio

 

   Image associée Image associée A la fin des années lycée, il y avait chez moi une tentation que, je crois je ne m'étais jamais avouée. Je n'avais rien contre les filles et je pensais bien qu'un jour je me marierais et aurais des enfants, il n’y avait aucun doute. Mais je me sentais excité par la simple idée d’avoir une relation avec un homme. Non pas des sentiments, mais une expérience sexuelle avec un inconnu. Je n'imaginais rien d'autre qu'une relation anale. Je m'étais déjà inséré des doigts dans l’anus et trouvais la sensation agréable. Je pensais qu’être pénétré par une verge pourrait me provoquer un plaisir encore plus grand même si je  n’en étais pas sûr. Dans ce petit village de la Creuse, difficile de satisfaire ce fantasme sans m’exposer. La crainte que les amis le sachent et en rigolent, que les parents l’apprennent, j'en aurais été mort de honte. Difficile d’exprimer à mon âge des fantasmes comme celui-ci sous peine d'être traité de « pédé »à tous les niveaux. Cette crainte donnait à mes fantasmes un piment encore plus irrésistible quand, dans la chaleur de mon lit, je  fantasmais à l’idée de m’offrir à un homme  bien plus âgé que moi qui profiterait de mon cul, sans lendemain, sans sentiments, juste pour l'expérience.  

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Pourquoi des hommes mûrs ? Ce fantasme, s’il me tourmentait de plus en plus souvent depuis quelques mois, n’était pas pour moi une fierté. Le fait d’avoir une relation sexuelle avec un homme produisait en moi un mélange d’excitation et de honte. Dans l'éducation que je recevais, il n'était pas admis qu’une personne puisse avoir des relations avec une personne du même sexe. Comment imaginais-je cela, et avec un homme plus âgé, pourquoi ? Je crois que l'écart de génération me rassurait davantage que d’être avec un jeune de mon âge. La distance de l’âge aurait été pour moi comme une distance avec cette expérience ne considérant que mes propres risques et ne pensant pas à ceux que je pouvais faire courir à un éventuel partenaire.... A cet égard, je n'étais pas totalement "nunuche" grâce à internet j'avais un appui écrit et des images d'un tel genre "d'accouplement". Je franchissais les interdits des sites pour adultes en mentant sur mon âge. Là je pouvais voir que beaucoup d’hommes mariés cherchent des expériences avec d’autres hommes, et souvent des plus jeunes. Les choses devenaient plus abordables et je m'imaginais moi aussi le sujet du fantasme de certains hommes. Et puis un homme plus âgé aurait aussi plus d’expérience pour que ce moment soit meilleur. Dans ma tête j'avais aussi le désir de me sentir niqué, mais aussi et surtout gâté, protégé.

Les femmes mûres étaient pour moi une autre grande source de fantasmes, je m'imaginais qu’elles aiment les jeunes inexpérimentés comme moi pour leur enseigner les choses du sexe, comme une relation de maîtresse à élève.

 

Interdisez à un jeune de lire un livre, il fera tout pour l'ouvrir en cachette ! Tous ces fantasmes m’accompagnaient souvent le soir avant de m’endormir. La frustration de ne pouvoir utiliser la connexion familiale à internet pour assouvir la vision de scènes homosexuelles m’incitait encore plus à chercher à passer au"vrai réel". J'aurais  aimé voir des films gays, juste pour être sûr que ça pourrait me plaire, mais c’était difficilement possible. Comme pour aborder les filles, le poids de la timidité, de l’éducation et du manque d’expérience bridait ce sexe qui bandait plusieurs fois par jour en attendant de pouvoir donner ou recevoir du plaisir, laissant des traces blanchâtres sur les caleçons. La peur de passer à l’acte nourrissait le fantasme, le fantasme nourrissait le désir.

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    Je savais qu’à quelque distance du village, en bordure de l'autoroute se trouvait un bois connu pour être un lieu de rencontres homosexuelles, le bois de Bourre. On en plaisantait dans les bistrots. Celui qui était soupçonné d’avoir ce genre de goûts tombait sous l’expression « d’aller de temps en temps au bois de Bourre. ». Benjamin se disait que ce lieu pourrait être envisageable. Il n’y avait pas dans la région de lieux de rencontres homos comme des bars ou des discothèques et même si c’était le cas, il ne pouvait s’imaginer pousser la porte seul si de tels établissements. Pendant plusieurs semaines, cette idée d’aller dans ce bois trottait dans sa tête. Le pour et le contre se mélangeaient dans son esprit : l’excitation de la rencontre avec un inconnu, y aller seul, sentir une sexe le pénétrer, la peur des maladies, le goût d’un sexe, le plaisir, la peur que ses proches l’apprennent, être agressé, avoir un orgasme, la honte d’une sexualité différente, toucher un sexe dur, la douleur de la pénétration, le sperme, mettre un préservatif, la gendarmerie qui viendrait faire une descente, le doute sur sa sexualité…

 

Un samedi après-midi, je me suis décidé à y aller. Ce fantasme m'obsédait et  je voulais le satisfaire pour calmer ces films qui se déroulaient dans ma tête. Je me disais bien que j'étais un peu dérangé de faire des choses comme ça mais durant le trajet à vélo, mon cœur battait fort, ma queue grossissait dans mon pantalon en même temps que ma bouche devenait sèche. Arrivé à l’endroit je décidai de planquer le vélo un peu plus loin  dans un fourré pour éviter de me faire trop voir et m'engageai mal assuré sur le petit chemin forestier bien connu des amateurs de plaisirs discrets et furtifs. Le chemin que je faisais à pied pour atteindre la clairière m'avait rendu la bouche complétement sèche à cause de l’excitation. On était en novembre, il faisait froid et le ciel au-dessus des arbres était lugubre. Je pensais qu’avec ce temps, il n’y aurait personne. Ça n’aurait pas été décevant pour moi, le simple fait d’être présent ici était déjà une victoire de ma volonté sur mes peurs. Mais ma queue était loin de bander maintenant, sous le coup d’une légère angoisse qui m’envahissait à mesure que je me rapprochaist du "jardin ds délices ". Les feuilles tombées donnaient plus de visibilité au regard dans cette forêt. Une Opel Corsa grise était garée mais on ne devinait personne.

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    Soudain des  pas se firent entendre  faisant craquer les branches mortes et soulevant quelques feuilles mortes. Je croisai son regard pendant une seconde et l’expression de cet homme ne laissait aucun doute sur ce qu’il cherchait ici. Il m’avait regardé avec insistance, le visage fermé et concentré de celui qui veut et attend quelque chose. Je continuai lentement ma route, sans m’arrêter, le cœur battant la chamade, paralysé par la peur d’être si près d’un homme qui pourrait répondre à mon fantasme. L’homme semblait avoir arrêté de marcher, je n’entendais plus ses pas derrière moi. M’arrêtant à mon tour, je vis l’homme à une vingtaine de mètres qui n’osait plus continuer, sans doute pensait-il qu'un jeune homme comme moi n'était visiblement pas là dans cette forêt pour ce qu’on y fait habituellement. Je fis alors demi-tour. Passer devant lui en faisant mine de s’être trompé de chemin pourrait peut-être provoquer un dialogue, l’excitation me faisait bander, mais mou. Ce n’est qu’en me rapprochant que je vis que ce cinquantenaire avait son sexe sorti de sa braguette . Un gros ver blanc que l’homme touchait de sa main sans s’arrêter de me regarder. L’homme mei demanda simplement :

 

 

— Tu la veux ? en me montrant du regard sa queue et je répondis  « oui » par un hochement de tête, la gorge trop serrée pour émettre un son .

— Alors suis-moi, je connais un endroit tranquille dans la forêt. Tu viens souvent ici ?

— Non, c’est la première fois.

— Tu as quel âge, tu me parais jeune pour fréquenter un lieu pareil…

— Je vais avoir 19 ans en mars, mentis-je. En fait je cherche juste du plaisir .

— Et quoi exactement ?

— J’aimerais bien sucer mais je sais pas si je voudrais aller plus loin…

— Comme tu te sentiras, Ok, on verra bien . Tu es mignon toi, tiens, on est presque arrivés, c’est là, à gauche vers le talus.

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L’homme n’avait rien de bien séduisant à vrai dire. Il était plutôt pas grand, les cheveux bruns dégarnis et un embonpoint qu’on devinait sous son blouson bleu sombre. Il parlait avec le souffle court de celui qui est excité par le plaisir à venir, visiblement habitué à ce genre de rencontres. Il avait un air cochon, vicieux qui n’était pas pour me déplaire car je recherchais du sexe, pas "l'amour".  Seul le plaisir et la découverte sexuelle avaient de l’importance.

 

— Allez, à genoux, suce-moi un peu, fais-moi bander !

 

    A genoux devant cet homme que je ne  ne connaissais pas  je commençai à sucer le sexe pas encore raidi de mon amant du bois de Bourre. C’était chaud et la peau du prépuce était douce et soyeuse quand je la pinçais avec mes lèvres. Il sentait l' eau de toilette bon marché et dans cette situation, elle avait une bonne odeur de propre: celle de l'homme à qui je suçais le sexe. Solennité svp !  C’était le parfum déjà inoubliable d’un moment "volé" en forêt.

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— Il fait froid, hein ! Mais continue à sucer, ça va venir…

 

Lentement, je sentais que la queue prenait de plus en plus de place dans ma bouche et en voulant le branler, je voyais pour la première fois sous mon nez un sexe bandé. C’était chaud, ma main glissait le long du membre avec plaisir et je regardais ce gland lisse et brillant, bien plus gros que le mien. Je regardais tout de même autour de moi si personne ne venait. Mais tout était calme. Suçant de nouveau, je caressais avec plaisir ses bourses remontées sous l’effet du froid sous le pénis de cet inconnu. Sa main était posée sur ma tête et cherchait à donner du rythme à mes allers-retours. Je goûtais avec plaisir l’impression d’être une sorte de jouet sexuel, de sentir l’odeur d’un sexe. De la salive coulait de ma bouche à mesure que la pression de cette main sur ma tête s’accentuait. L’homme soudain s’arrêta, sortit la queue gluante de ma bouche il me demanda de baisser mon pantalon "pour me caresser un peu le cul".

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    J'ai remonté mon blouson pour défaire mon pantalon, baisser mon caleçon et laisser voir ma queue. Trop ému de la situation et peut-être sous l’effet du froid, je ne bandais pas mais ça ne m'empêchait pas d'être excité un max. L’homme caressait son sexe d’une main et de l’autre me caressait l’entrejambe en cherchant à approcher ses doigts de mon anus. Je me retournai alors et, sans seulement réfléchir je me penchai en avant en plaçant mes mains contre un arbre. Je me sentais prêt. Mon initiateur se prépara, sortit un préservatif qu’il plaça sur son gland en le déroulant avec la rapidité que donne l’habitude. Il mouilla le bout de ses doigts pour humidifier  mon trou et le bout de latex. Sans chercher à me pénétrer avec ses doigts au préalable, il plaça son sexe à l’entrée de l’anus et me demanda de plier tout doucement les jambes en basculant le bassin pour faire entrer en douceur sa bite. Après la troisième tentative, je sentis que mon trou s’était élargi et que la queue pénétrait mon intimité, s'y frayant un passage.

 

    Je n’avais pas mal contrairement à ce que j' avais pu lire lire et voir sur internet sur la sodomie. Une douce chaleur envahissait mon bas-ventre, la sensation du sexe dans mon anus me procurait un vif plaisir en me coupant toute possibilité d’avoir une érection malgré les caresses de l’homme qui du bout des doigts caressait mon sexe circoncis. Je sentais sa respiration bruyante de l'homme qui faisait maintenant  de petits allers-retours en me demandant -" ça va ? ça va ?". Il laissa tomber de la salive sur son sexe pour lubrifier encore un peu et accéléra la cadence. Penché en avant, serrant de mes mains le petit arbre qui me servait d’appui, le blouson remonté au niveau du nombril, je me revois goûtant à ma première sodomie, à la bouche une envie de crier ma joie, avec le délice d’avoir eu le courage d’aller jusqu’au bout de l’expérience.

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Les mains calleuses de l’homme sur les hanches (il devait avoir un métier manuel pour avoir des mains aussi râpeuses)me procuraient une agréable et inouliable sensation, bien sûr je me sentais soumis, dominé par la lubricité d’un gars vicieux trop content d’en profiter sur un jeune qui avait l’air de goûter au cul pour la première fois, je n'étais pas mécontent moi non plus. Très content même ! .  Je découvrais  aussi par la même occasion, que mon corps pouvait donner du plaisir à un autre, que je pouvais soulager l’excitation d’un homme en écartant tout simplement mes fesses pour laisser entrer sa queue. Je me sentais un peu salope mais j'aimais ça. Il n’y avait pas de recherche des deux côtés autre que celle du plaisir et on était bien contents. On était venus dans ce bois pour du cul,moi avec ma curiosité et mon émotion, lui avec son habitude.

 

L’homme ne tarda pas à jouir, je sentais ses mouvements désordonnés et ses râles en même temps que sa queue s’enfonçait jusqu’à la garde. Il resta quelques instants puis se retira.

 

 

 

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En me retournant, je vis (avec plaisir) le préservatif rempli de sperme qui pendait au bout de la queue. L’homme l’enleva, fit un nœud et le jeta plus loin. Tout en essuyant sa queue et la mienne avec des kleenex puis il me dit- "attends, laisse-moi faire" et il me nettoya mon anus dilaté comme on fait à celui d'un bébé, il me demanda : - "alors, maintenant, t'as aimé ?"  Résultat de recherche d'images pour "man holding a used condom full of sperm and knotted in his fingers"  J     je trouvai ce geste follement doux et affectueux, totalement déshinibé !   

    Je sentais bien une gêne et une petite douleur dans mon anus mais ce n’était pas désagréable. Je répondis d’un « oui » aussi bref et timide que le « oui » qui avait débuté l’échange avec cet homme qui semblait ne plus faire trop de cas de moi maintenant qu’il avait joui. Il me demanda simplement si j' avais besoin d’être ramené quelque part. Je lui dis merci, non . Je coupe à pied par les champs.  Il me dit alors qu’il venait souvent les samedis ici et que si je  voyais sa voiture, il pourrait me donner de nouveau « des coups de sa pine ». Sans trop savoir pourquoi,je lui demandai s’il était marié. L’homme eut une mine de dégoût avant de me dire que non. On n’avait plus rien à se dire.

Je rentrai content de moi et de mon secret d'avoir été dépucelé comme je voulais. Et puis, il avait été tendre et protecteur comme je le voulais. C'est quand il m'a torché l'anus que j'ai ressenti cette proximité un peu paternelle..

Durant le trajet du retour, alors que la selle massait mon anus dilaté, prolongeant mon plaisir, le terme  résonnait dans  ma tête.Encore ému de ce j' avais réussi à faire, ne pensant pas au départ que j'en aurais été capable. Il m'avait donné du plaisir avec ses « coups de pine » qui me faisaient sourire, et moi j'avais donné du plaisir à un homme et même si moi je n'avais éjaculé, la vision de ce préservatif contenant la semence avait été pour moi une source de plaisir. J'avais eu du plaisir à donner du plaisir. J'espérais simplement ne pas croiser cet homme quand je serais avec ma famille ou mes amis. J'avais peur d'avoir du mal à cacher mon trouble face à cet homme qui m'avait dominé pour mon plus grand plaisir. Je rentrai chez mes parents avec la sensation agréable de mon cul dilaté. Avec le temps, je me rends compte que cette rencontre a déterminé une bonne partie du reste de ma vie. Comment le regretterais-je ?

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commentaire :

 

Françoise Hardy en 1968 , bien qu'ayant un mari disposant

d'un'joujou extra', savait bien de quoi la recherche

d'aventure "sentimentale"  est faite  en chantant :

 
Étonnez-moi, Benoît
Faites la grande roue
Le gros méchant loup, Benoît
Faites le grand fou
Faites les yeux doux
Étonnez-moi

Étonnez-moi
Car de vous à moi
Cela ne peut pas, cela ne peut pas
Durer comme ça
Nous, avec notre bouche et notre fondement, nous savons nous étonner nous-même.  

 


je vais m'en faire vouloir par la bienpensance cavaillonnaise pour incitation de majeurs à la débauche !  bonne baise!  éclatez-vous la jeunesse, sans arrière-pensées !  claudio
 

 

 

 

 

 

 

  

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 Il faudrait montrer ça à tous ces gens qui pensent que le pédé est obligatoirement un mec effeminé, un sous-homme quoi ! ICI c'est un mec viril, un mâle-mâle, qui se fait mettre et il aime ça ! une prochaine fois essaie le bbk tu verras comme c'est doux, avant, pendant, après !  Enfin, moi je trouve !

il me demanda : - "alors, maintenant, t'as aimé ?" 

 

 

 

 BANDER PENDANT LA SODO n'st pas donné à tout le monde  

Ben c'est variable et ça dépend des passifs. ICI :   

"La sensation du sexe dans mon anus m'avait procuré un vif plaisir en me coupant de toute possibilité d’avoir une érection malgré les caresses de l’homme qui du bout des doigts" caressait mon sexe circoncis"

 

 

 

 

 

 Je vous chante Ô nuit enchanteresse la romance de Nadir dans les pêcheurs de perles de Georges Bizet ?

  "Je crois entendre encore,
Caché sous les palmiers,
Sa voix tendre et sonore
Comme un chant de ramier
Ô nuit enchanteresse !
Divin ravissement !
Ô souvenir charmant !
Folle ivresse ! Doux rêve !"

 

Par BIGBEN - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 17:47

j'ai, depuis, et heureusement, cessé de considérer comme sales  -lol-  les jeux de cul, de bouche, et de bite

Jeune étudiant, je n’avais plus d’eau chez moi depuis 2 jours, le réparateur était donc passé dans l’après-midi. J’étais seul chez moi, et quand il a sonné à la porte, j’étais en short sans caleçon en dessous, et avec un tee shirt. Je lui ouvris. Image associée

 

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Il se présenta, me serra la main et je le guidai vers la salle de bain. Arrivé dans la pièce il se baissa sous le lavabo et sa tête se retrouva à hauteur de mon pénis. En tournant la tête, je vis dans le miroir  de ma salle de bain que ma queue dépassait de mon mini short. Du coup, je voulais la coincer discrètement dans mon short, pour ne pas qu’elle se montre et que le réparateur la voie. Hélas, à force de la toucher, elle se raidit et forma une bosse sur mon short. J’étais mal à l’aise. Mais je le fus encore plus lorsque l’homme qui était sous mon lavabo se retourna et vit la forme de ma queue à travers mon short. Il me regarda en souriant et me demanda où était la cuisine. Je la lui indiquai et il s’y dirigea, à cause d’un problème de tuyauterie auquel je n’ai pas tout compris. Il farfouilla dans les tuyaux de ma cuisine et moi j’étais toujours derrière, bandant.

C’est alors que des idées me vinrent. Il m’avait souri après tout. Je ne suis pas gay, mais j’ai toujours voulu sucer un homme par curiosité en fait. Je n’osais pas lui demander mais je voulais … Jusqu’à ce qu’il se baisse de plus belle et que je pus admirer le bas de son dos et le début de sa raie. Parfaitement lisse, aucun poil, quelque peu bronzé. Sans plus réfléchir, je me lançai :
- Excusez-moi, je sais que ma question peut sembler très bizarre mais voilà… Est ce que je pourrais… Vous sucer ? Il ne répondit pas. Pas tout de suite. Il me regarda longuement d’abord puis me dit :
– Si tu veux, mais je veux te voir à poil et qu’on aille dans un lit pour ensuite mettre ma bite dans ton anus. [le deal était posé !]
J’étais surpris, je n’avais pas envisagé la sodomie. Mais pourquoi pas ? De toutes façons, j’avais trop envie de le sucer.

 

Je l’emmenai dans ma chambre, le poussai sur mon lit et enlevai mon tee shirt et mon short. Je me retournai et me baissai pour lui faire admirer mon cul. Sans prévenir, il s’était approché de moi et écartait déjà mes fesses tandis que sa langue tutoyait mon anus. Je tressaillis, le plaisir, [si nouveau], était intense, tellement intense que j’étais obligé de m’appuyer contre le mur pour ne pas fléchir. Il me tira sur le lit, et colla ma tête sur le matelas. J’étais toujours à genoux ce qui faisait que mon cul était toujours surélevé. Il me mit un doigt. J’ai crié de surprise, de douleur, mais surtout de plaisir.

Puis il me dit : T’en veux plus ? Alors viens me sucer d’abord. Il se déshabilla entièrement et je vis enfin sa queue. Il ne bandait même pas. Sa queue ne faisait qu’une dizaine de centimètres à peine mais son trois pièces était tout de même parfaitement rasé. Je n’hésitai pas et pris sa queue entièrement dans ma bouche. Elle était toute molle, et je m’amusais avec ma langue à la faire bouger dans ma bouche. J'ai appris par la suite sur internet qu'il y a deux sortes de pénis, les petits pénis au repos qui gonflent beaucoup en érection, et les pénis de taille moyenne au repos qui gonflent peu en érection, putain, là c'était surprenant ! . (voir note)

Et il se mit à bander. Sa queue grossit rapidement et bloqua entièrement ma bouche, j’étais obligé d’ouvrir complètement la bouche pour continuer à le sucer. Elle faisait maintenant 20 bons centimètres et emplissait ma bouche du goût salé de la semence masculine. Le gland toucha ma glotte, j’étouffai. Il retira sa queue pleine de salive et commença à me frotter le visage avec. Le geste était tellement sale qu’il m’excitait. J’avais de la salive sur tout le visage.

 Mon regard implorant : 

Boy-Gay-20150507-0005Puis, après m’avoir obligé à embrasser sa queue, il la descendit au niveau de mon pénis encore tout dur. Il frottait nos deux bites avec une telle vigueur que je sentais que j’allais éjaculer. Je le lui dis et il s’arrêta donc, me disant qu’il me réservait encore beaucoup de choses. En effet, il me retourna et me demanda de lever mon cul pour qu’il puisse me prendre en levrette. J’obéis. Il me mit un doigt, puis un deuxième et commença à faire des mouvements de va-et-vient, au rythme de mes cris de plaisir.

Puis je le sentis, son gland titillait mon anus. Il le frottait pour qu’il se dilate. Puis il entra. Son énorme queue s’enfonçait dans mon anus assez lentement, puis arrivé à la moitié de celle ci, il l’enfonça d’un coup. Nous avons alors tous deux lâché un cri d’excitation et de plaisir. D’ailleurs, alors qu’il venait de commencer, il éjacula rapidement en moi. Une sensation que je n’avais jamais connue auparavant. C’était chaud et liquide et ça glissait en moi. Par la suite, souvenir délicieux, mes fesses glissaient l'une sur l'autre quand je marchais... Et tout en restant dans mon cul, il prit ma bite avec sa main droite, me mit sa main gauche dans la bouche et me dit :
- Suce ma main, et moi je te branle jusqu’à ce que tu "craches".

Ca n’a pas pris longtemps, je jouis sur le matelas, avec une bite dans mon anus et une main dans ma bouche. [ça y était : j'étais gay à l'évidence et ma curiosité avait payé ! et, l'affaire d'une heure, j'avais expérimenté l'essentiel : mon goût pour les hommes, ma passivité, ma victoire sur mes anciens dégoûts et autres idées reçues].

 Article publié pour la première fois sur Club Jimmy le 22/11/2013

 

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commentaires : "Hyper bon ! Ce site est interdit aux mineurs. Ok mais j'en ai croisé des fois qui reviennent de le visiter et qui ont"triché". Croyez-vous que ce soit mauvais ? A mon avis non. Découvrir d'autres anatomies et d'autres natures que la sienne propre, voir des moeurs et habitudes qu'ils découvrent aussi. D'après moi c'est leur nature qui parlera. Tôt ou tard. Aini ce jeune qui aura attendu la fac pour se "dégonner". Y a pas d'âge, mais comme il ne faut pas attendre trop, si c'est diffusé dans le cadre des règles on ne fait pas d'incitation, juste on correspond entre adultes, mais si les jeunes transgressent...je pense que c'est tant mieux si, incidemment ça se produit" Pif

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notes :

*deux sortes de pénis

http://www.jeuxvideo.com/forums/1-51-30719836-1-0-1-0-penis-de-chair-ou-penis-de-sang.htm

  LES MECS  :

"Un « pénis de chair » n’est pas beaucoup plus grand lors d’une érection qu’au repos. À l’inverse, un « pénis de sang » est nettement plus grand lorsqu’il est en érection que lorsqu’il est au repos. On parle d’un pénis de chair lorsque celui-ci devient au maximum 1,9 fois plus long lors d’une érection, c’est-à-dire lorsque sa longueur double quasiment. Si un pénis devient plus de deux fois plus long (à partir d’un facteur 2), il s’agit d’un pénis de sang."

Exemple d’un pénis de chair (facteur < 1,9) :

Longueur du pénis en érection : 15.8
Longueur moyenne du pénis au repos : 9.9
Facteur : 1.6

Exemple d’un pénis de sang (facteur > 2,0) :

Longueur du pénis en érection : 16.2
Longueur moyenne du pénis au repos : 5.1
Facteur : 3.2

...

Vous avez quoi vous ? :hap:

 

Stark8

Bah je te dis le mien fait 14 pour 17 en érection.
J'ai jamais vu de cas comme le mien :(

 

x-Sickness-x

Pénis de sang largement :hum:

 

maxrapide

ah je me disait pourquoi il doublait de taille en ce moment ' penis de sang...... :ouch:

 

HeinrichHeine

Moi ça passe de 9-10 à 16-17 :(

 

reggie_ray

De chair.

Et j'préfère :oui:

Les femmes regardent au repos comme ça :pf:
Et puis je met mes lunettes :cool: et là leur regard se transforme en :coeur:

Et puis ça m'gêne pas dans la vie de tous les jours.

 

Stark8

Ouais donc t'es pas un " vrai " pénis de chair :hap:
Moi j'ai un monstre au repos ce qui sert à rien :rire: :rire:

 

LordPataponche

Stark8
Posté le 24 juillet 2012 à 12:48:20
Bah je te dis le mien fait 14 pour 17 en érection.
J'ai jamais vu de cas comme le mien

Jerry, il est plus gros au repos que le mien en érection :noel:

 

R0uIeauDeSkotch

J'ai un rapport de 4.9 - 15.7 perso... :hap:

 

Stark8

LordPataponche
Posté le 24 juillet 2012 à 12:50:50
Stark8
Posté le 24 juillet 2012 à 12:48:20
Bah je te dis le mien fait 14 pour 17 en érection.
J'ai jamais vu de cas comme le mien

Jerry, il est plus gros au repos que le mien en érection

C'est plus handicapant qu'autre chose, tu sais :(

 

R0uIeauDeSkotch

Comment tu fais pour courir ? :hap:

 

x-Sickness-x

@Stark8

Au moins les filles seront (ou sont :hap: ) impressionnées quand t'enlève ton caleçon :ok:

 

Le-Smicard-enOr

Après un penis de chair, tu vois la bosse sous le pantalon. Que penis de sang au repos t'as un Z d'enfant.

 

Stark8

x-Sickness-x
Posté le 24 juillet 2012 à 12:55:25
@Stark8

Au moins les filles seront (ou sont ) impressionnées quand t'enlève ton caleçon

Ouais mais je m'en branle total de ça.
Et c'est plutôt handicapant pour courir oui.
Enfin pas trop, faut juste pas mettre de caleçon :-p

 

reggie_ray

Ah je me suis gourré, pénis de sang :oui:

 

Abe_59

En général quand t'es presque à poil t'es déjà en érection :hap:
Enfin sauf si tu fais ça en speed mais où est le plaisir alors ?

 

Pseudo supprimé
24 juillet 2012 à 13:00:56

Sang et heureusement. :hap:

 

 

 

EnterANickname

Penis de chair c'est pas les mec qui bande mou aussi ? :hap:

 

Mr-Walid

penis de sang

3cm au repos

18 en érection :oui:

 

 
bah, c'est mieux dans un lit. C'est plus psychédélique !  

vous voyez pas mon cul mais qu'est-ce qu'il se prend !   

 

Par JIMMY - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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