1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 14:36

    je n'ose pas (encore) dire une chance pour nous? Abdel et moi !

 

 

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Tout d’abord je me présente je m’appelle Alexis et je suis métis antillais de par mon père ma mère est originaire d’Île-de-France pas aussi exotique mais c’est là que je suis né et que j’ai vécu une grande partie de ma vie

 Je vivais dans le 94 au début de cette histoire, 180cm, 100kgs, 25ans, homosexuel, métis antillais plutôt mignon

Célibataire malgré moi je partageais mon temps entre mon boulot de standardiste et mes amis que j’essayais de voir le plus souvent possible pour ne pas avoir à rentrer chez moi où je vivais seul

Quand j’arrivais à trouver un mec pas trop dégoûté par mes kilos je le baisais en général ils finissaient toujours par revenir, mon père m’a légué une bonne grosse bite 20/6 quand les mecs la voient ils se prosternent devant pour la vénérer

C’est ainsi que j’avais quelques plans cul plus ou moins réguliers

Depuis que j’étais parti de chez ma mère (1an auparavant) je vivais dans une cité du 94 dont je tairai le nom pour plus de discrétion, je ne savais pas ce que le destin me réservait

Un jour en sortant de mon taf je croise un voisin rebeu (que je trouvais assez mignon à l’époque) alors que nous rentrons dans le bâtiment complètement trempés à cause de la pluie qui tombait sans cesse depuis le matin :
-       Salut Alex ça va ! me dit-il en me tendant sa main
-       Ah Abdel bien ou quoi ?
-       Ouais, tranquille, je sors des cours là et toi ?
-       Ba moi du taf
L’ascenseur arrive et il me l’ouvre, franchement il me fait trop craquer ce mec je lui laisserais me faire tout ce qu’il veut

     Image associée Brun un style de racaille des yeux verts une bonne gueule de bonhomme. Abdel c’était le mec de mes rêves un peu racaille mais respectueux, bien foutu 20 ans (je l’avais déjà vu jouer au football avec ses potes torses nus) mais il se la pétait pas, le seul défaut si on peut dire c’est qu’il dealait pour se faire un peu de thunes (étudiant ça paye pas beaucoup)

Bref il arrive à son étage on se salue et au revoir moi je vis plus haut.
Arrivé chez moi je me déshabille direct, je me mets en caleçon et t-shirt me pose devant mon pc et mets un film de cul

C’est qu’il m’a bien excité le salop d’Abdel  avec sa gueule d’ange ! Allez hop xtube ! c’est parti un ptit film gay bareback je sors ma bite, me crache dans la main et commence une bonne branlette

J'kiffe me branler devant un bon film de cul la bite bien graissée dans ma salive ou du lubrifiant quand j’en ai oh que c’est bon !

Alors que je sens que je ne vais pas tarder à venir j’entends la sonnerie « eh merde c’est qui ? » je me rhabille et vais ouvrir en oubliant de couper le film de cul :
-       Abdel ?
-       Désolé Alex mais ya personne chez moi et j’suis trempé ça te dérange pas que je me réchauffe chez toi ?
Mon rêve devenait réalité trop bien lol !!!!

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-       Entre j'ten prie reste pas comme ça
Je le fais entrer et vais rapidement mettre le film sur pause parce que ça commence à devenir bruyant et je n’ai pas envie de me faire griller comme ça

Bête comme je suis, je n’avais pas remarqué la grosse tache sur mon caleçon :
-       Je suis désolé si je t’ai dérangé ! dit-il en désignant mon caleçon trempé de salive
Trop gêné pour dire quoi que ce soit je me cache maladroitement.
-       T’inquiètes je sais ce que c’est de se taper une bonne queue en sortant du taf, c’est la meilleure de la journée celle-là !  me dit-il en rigolant un peu.
Je lui donne une serviette propre et le laisse aller prendre une bonne douche chaude ; à son retour la serviette autour de la taille et torse nu il revient dans le salon et s’assoit à côté de moi.
-       J’espère que ça te dérange pas que je reste comme ça mes vêtements sont mouillés je l’ai ai mis sur le radiateur
    Résultat de recherche d'images pour "gay arab fucks half bred caribbean"-       Pas de problème ça ne me dérange pas ! Je n’osais même pas le regarder tellement j’étais mal.
-       Tu mattais quoi avant que j’arrive ?
Et là, avant même que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit il avait déjà tiré le pc vers lui et regardait la vidéo en question

Super mal à l’aise je ne savais pas quoi dire, j’étais nouveau dans le quartier et n’avait pas envie d’être catalogué comme le pédé de service.
-       Pas mal, t’inquiètes je sais que t’es pédé j’ai remarqué les mecs que tu reçois
-       Ah bon ? qui d’autre le sait ?
-       Les autres mecs de la cité s’en doutent  mais n’y pensent pas sérieusement !
Soudain il me tourne la tête et m’embrasse sauvagement, mon sang ne fait qu’un tour et va directement dans ma bite que je sens grossir instantanément, je ne peux y croire ce n’est pas possible complétement désorienté je me lève
-       Excuse moi je n’aurais pas dû tu dois avoir soif je reviens de suite.
« Mon Dieu jsuis un ouf qu’est-ce que je fais, bon du calme je lui ramène sa bière et je fais comme si de rien n’était »
-       Ça va Alex ?
Juste derrière moi je sentais la bosse que formait sa bite sous la serviette au niveau de mon cul, et quelle bosse ! J’avais terriblement envie de lui

Il me retourne me presse contre lui et m’embrasse plus tendrement cette fois-ci, je ne sais pas quoi faire tant je suis surpris. Alors je le laisse prendre le contrôle, il prend les bières de mes mains et les dépose

Je le sens m’attirer vers ma chambre

Une fois dans la chambre il me pousse sur le lit et me retire mon caleçon.
-       T’es sûr de ce que tu fais Abdel ?
-       T’inquiète bébé pose pas de question juste laisse toi faire tu vas kiffer ta race !
-       OK !
Il pose ses lèvres contre les miennes et m’enlace tendrement, jamais auparavant on ne m’avait embrassé de façon aussi tendre et sensuelle je sens que je vais tomber amoureux de ce mec s’il continue comme ça

Il se lève et me pousse vers sa bite que j’admire à présent un bon gros gland circoncis sur une belle bite de 21 cm assez large et des bonnes grosses couilles bien pendantes que je m’apprête à gober avec envie

Je sens son gros gland me travailler la langue à mesure qu’il s’enfonce dans ma gorge, «  je suis au 7ème ciel », je le regarde pendant que je le suce et je le vois les yeux révulsés de plaisir et bavant de plaisir

Il mouille énormément et j’avale sa mouille abondante avec délectation

D’un seul coup il me retourne et me crache sur le trou du cul avant de commencer à me lécher comme si sa vie en dépendait, il s’arrête et me dit :
-       J’ai envie de te faire l’amour bébé, ça fait un moment que je t’observe et je veux ton cul !!
-       Mais tu sais Abdel j'suis plutôt actif en général j'me fait pas prendre !!
-       Ah ouais ben c’est moi le mec ici toi t’es qu’une pédale qui kiffe la bite d’arabe, jvais t’enculer et tu vas kiffer !!
Le ton méchant sur lequel il s’adressait à moi désormais me faisait peur mais je me suis dit qu’il valait mieux lui donner ce qu’il voulait alors sans broncher je me suis saisi d’une fiole de poppers posée non loin de là sur la table et je sniffe trois fois pour bien me chauffer :
-       C’est mon cul que tu veux ? Ben vas-y bourre moi alors !
J’ouvrais en grand mes cuisses et retournais la tête alors que j’écartais mon trou avec mes mains :
-       Attention, fait ça bien !!!
Il n’en revenait pas, que j’ose lui parler comme ça mais ça l’a excité,  il m’a regardé droit dans les yeux et m’a soufflé :
-       Audacieuse la salope ! j’aime ça, j'vais t’en mettre plein le cul
A peine le temps de prendre une capote que je le sentais déjà rentrer en moi. Le poppers que je prenais me dilatait et me rendait bien salope, Il me prenait en levrette de toutes ses forces, je sentais toute sa puissance me perforer les reins et j’avoue que franchement ça me faisait grave kiffer je n’ai pas l’habitude de me faire prendre mais ça m’était déjà arrivé dans le passé et là ça dépassait tout ce que j’avais connu jusqu’à présent, il était juste parfait

Je le sentais souffler comme un taureau quand d’un coup il sort et dit juste « Tourne-toi bébé », je me mets alors sur le dos et lui me pénètre en douceur à présent

 Il est en face de moi je le regarde droit dans les yeux et là il m’embrasse, ça c’est juste le moment que j’ai le plus kiffé j’ai eu l’impression qu’il me chérissait et m’aimait, il a continué à m’embrasser et à me faire l’amour en même temps, puis soudain il a accéléré ses coups de reins sans jamais lâcher ma bouche puis s’est vidé dans la capote, moi de mon côté je me branlais et éjaculais sur mon ventre :
-       Wow c’était vraiment top
-       Merci ! répondis-je humblement
Je voyais la lueur dans ces yeux et c’est à ce moment précis que je compris le pouvoir que je pouvais avoir sur les hommes, mais j’étais plus préoccupé par le plaisir de mon homme qu’autre chose

Enveloppé dans les draps je me levai et me dirigeai vers la salle de bains le laissant là seul sur le lit.
En revenant il était habillé, il me dit qu’il devait rentrer mais qu’il ne tarderait pas à revenir, j’étais très déçu je me doutais bien qu’il allait partir au bout d’un moment ses burnes fraichement vidées n’avaient plus besoin de moi

Il remarqua ma déception et me prit dans ses bras :
-       T’inquiète on se voit bientôt !!
Alors qu’il allait partir je le retins par le bras et lui dit :
-       Reste avec moi ce soir !!!
Ça faisait tellement longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien avec un homme que j’en oubliais toute ma raison, «  peut-être que c’est le bon, si jsuis assez gentil peut-être qu’il oubliera mes kilos et qu’il pourrait m’aimer ? »

Comme vous voyez je devenais fou, fou de lui il me prit dans ses bras et me dit :
-       Ok je reste avec toi ce soir, je passe chez moi vite fait et je reviens dans maximum 1h, fais-moi à manger j’aurai faim.
Il m’embrassait et moi les yeux pleins de gratitude je lui rendais son baiser :
-       Tu veux manger quoi ?
-       Tout ce que tu veux sauf du porc !
-       Ok pizza j’ai compris
Il me claqua les fesses et s’en alla

La porte claquait et j’étais seul dans ma tête tout était embrouillé, est-ce que je pouvais lui faire confiance, qu’allait donner cette histoire naissante, allais-je tomber amoureux de lui et pourquoi ce soudain intérêt pour moi qu’il côtoyait depuis 2ans sans jamais rien laisser transparaitre ? Toutes ces questions allaient trouver réponse dans 1 heure « après tout c’est ce qu’il a dit »… paxton_91@xx.fr

http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2013-toujours-plus-loin.php

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    Image associée une bien belle histoire un soir de pluie

Mais l'argent ne fait pas le bonheur. *soupir* c'est pas à moi que ce serait arrivé ça !  

 

Par ALEXIS IN EXCELCIS DEO - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 23 novembre 5 23 /11 /Nov 08:37

 bien sûr la vidéo et les photos de cet article ne sont que des évocations et des illustrations pour donner une idée  et sont complètement "Fake". La base de e récit est une traduction 'maison' de cavaillongay. L'entraîneur en question a fait l'objet de poursuites et d'une sévère condamnation 

 

"Je peux voir tes pieds? "

    C'était pas un ordre mais une demande. Une demande simple qui à l'époque avait un sens énorme pour moi.

"Sûr."

Je me suis penché et j'ai enlevé mes chaussettes. Je me suis penché en arrière et j'ai mis les pieds en l'air pour l'inspection. Il prit un pied et le berça, le caressa. Il le serra, le tordit légèrement, passa sa paume du talon aux orteils. Il a appuyé sur la voûte. Il lâcha le premier pied et attrapa l'autre. Même chose, une inspection, une analyse lente et profonde de mon pied. Il a regardé chaque pied pendant un long moment. Tout semblait si scientifique, si analytique.

 Tu as de bons pieds. Pieds gros et forts. Ils sont parfaits. Parfaits. "La barrière physique était brisée.

À partir de ce moment, les massages des pieds après l'entraînement sont devenus une partie de la routine. Cela ne me paraissait pas étrange, mais était parfaitement logique après ce qu'il m'avait dit au sujet de la mécanique physique de ce sport. Mes pieds se sentaient si bien après ses massages et je le remerciais de m'avoir fait me sentir mieux et de m'aider à récupérer des douleurs causées par les exercices.

Autrement dit, je le remerciais de m'avoir touché.

Ce nouveau modèle de massage des pieds s'est poursuivi pendant plusieurs mois. Certains massages des pieds duraient plus longtemps que d’autres, certains impliquaient de caler un pied contre sa poitrine alors qu’il ne pouvait utiliser qu’un bras en raison d’une blessure, certains massages semblaient un peu différents des autres, mais rien, absolument rien ne me semblait totalement inapproprié : rien d'autre qu'un massage des pieds.

Mais bien sûr, le coach voulait plus, et finalement le "plus" est arrivé. "Le plus" a commencé comme une séance d'entraînement, habituelle.

"Tiens, pourquoi ne t'allongerais-tu pas comme ça  je soulagerais la douleur de tes pieds."

J'ai senti que quelque chose était différent alors même qu'il commençait normalement, avec mes pieds. C'était lui qui semblait différent, un peu distant, pas complètement présent. Il a commencé à monter au-delà de mes pieds et a lentement remonté mes jambes. J'étais paralysé. Je n'ai rien fait d'autre que de rester allongé là, les yeux fermés, me demandant ce qui se passait. J'avais peur. J'étais confus. J'ouvris les yeux, essayant de me repérer et de comprendre ce qui se passait. Mais tout ce que j'ai attrapé, c'est un aperçu de lui, de son visage, de ses yeux.

Ce sont ses yeux dont je me souviens le plus. Ses yeux sombres et morts, le genre d'yeux qui ne montrent absolument aucune émotion, qui semblent vous regarder comme si vous n'y étiez pas - les yeux d'un requin, des yeux froids, qui cherchent, sans engager, des yeux qui sont toujours à la recherche d'une proie. Je n'oublierai jamais ces yeux. Je ne pourrai jamais oublier ces yeux.

Il a lentement remonté mes jambes sans jamais dire un mot. J'ai fermé les yeux autant que je pouvais après avoir vu ces yeux. Ils m'ont fait peur. Mais c'était trop tard. J'avais vu ses yeux, ses yeux morts, et ils seraient avec moi pour le reste de ma vie.

Je n'avais aucune idée de ce qui se passait. Je veux dire, je savais exactement ce qui se passait, mais je n'avais aucune idée de ce qui allait se passer.
 
 
 
              Les stances du 'baisé'(on dit du sexuellement abusé) par le coach Image associée [image 18+] D'où ça vient que je ne le   repousse pas? Que devrais-je faire? "Que pourrais-je faire?" Hé quoi, pourquoi mon corps réagit-il et voilà que je bande ? En fait je dois vouloir ça. Je dois aimer ça, sinon je banderais pas. Après dix mille interrogations sur moi-même, ai-je là la réponse ? Ce doit être "gay" ce que je suis. Il faudrait que je sorte d'ici. Mais que va-t-il me faire? Que va-t-il me dire? Et moi, que vais-je faire? Mais personne ne peut nous entendre ou nous voir au moins ? Qui va me croire Comment puis-je expliquer pourquoi je suis avec lui ? Comment puis-je expliquer toutes les réunions que j'ai avec lui depuis des mois ? Je n'ai aucun copain à qui je pourrais en parler et qui comprendrait ? Pourquoi ? Pourquoi je bande et ça lui donne l'impression que je suis totalement consentant ?? Si je l'exigeais il s'arrêterait, non ? Pourquoi au point où j'en suis je ne peux plus rien dire? Pourquoi je ne peux NI NE VEUX pas l'arrêter? PUTAIN QU'EST-CE QUE JE SUIS EN TRAIN DE FAIRE ? ET LUI JE VOIS SES YEUX DE LOUP QUI VEUT SE FAIRE PASSER POUR AGNEAU ! 

  naturellement cette vidéo semble relever (sur Xhamster) d'un plaisir partagé à l'insu des parents pleinement satisfaits de l'entraîneur  

  vidéo [-"Par la suite, j'ai pris l'habitude d'être dosé par ses soins et le souhaiter".]... Cette première fois, cette 'initiation' aurait pu se passer dans un silence total sinon qu'il avait allumé une radio, sans doute pour étouffer les sons, mais je ne pouvais plus rien entendre. Tout ce que je pouvais entendre, c’était le sang qui coulait à travers mes tempes, la palpitation dans mes oreilles, la sensation d’être hors du monde qui m'entourait et enfermé dans mon propre espace. Au moins, c'est comme ça que je m'en souviens. Ou peut-être que ce souvenir est venu de centaines, sinon de milliers, de rêves éveillés que j'ai eu depuis . Ce que je sais avec une certitude absolue, c'est que dans ce (ces ) moment(s) je ne peux rien entendre d'autre que nos halètements et nos gémissements.

Il m'a frotté les jambes. Il m'a caressé. Il m'a masturbé. Il s'est exposé. Il s'est frotté contre mon visage et a inséré son pénis dans ma bouche. Il a reporté son attention sur mes pieds. Il s'est masturbé et a éjaculé sur mes pieds et mes jambes.

Je me suis essuyé et habillé le plus vite possible. Mais sans me presser. Je ne savais pas quoi faire. Je suis resté assis jusqu'à ce qu'il revienne. Ensuite, nous avons discuté. Plutôt, il a parlé, j'ai écouté.
  

  "Comme tu progresses vite...et bien ! Tu as tellement de talent, tes jambes sont si fortes, tu as un potentiel illimité. Tu sais, les gens comme nous doivent se soutenir mutuellement. Nous ne sommes pas comme les autres. Ils ne comprendraient jamais Ils ne voient pas les choses comme nous. Je sais que tu es un peu perdu, mais je te comprends. Je vois qui tu es et ce que tu peux devenir. Les gens comme nous doivent se surveiller mutuellement. Nous devons nous soutenir les uns les autres. Mais des mecs comme nous, travaillant ensemble, peuvent tout faire arriver. "

Peut-être qu'il me l'avait toujours dit et que je n'avais tout simplement pas compris. Je pensais que "des gens comme nous" donnent tout son sens à  un talentueux duo "petit neveu à son tonton, tonton à son petit neveu", définissant ainsi ce qu'il voulait qu'on croie de nous. Maintenant, avec ce qui venait de se passer, j'étais à peu près sûr que ce qu'il voulait dire, c'était que j'étais gay.  Et il a ensuite confirmé: "Si notre secret est révélé, tout le monde pensera que tu es gay. Personne ne voudra de toi dans aucune équipe ni aucun programme. Ce serait la fin de tout pour toi car personne ne veut traiter avec des gens comme nous."

Zombie détaché du monde qui m'entoure, je suis rentré chez mes parents. Là, en chemin, j'ai pleuré comme je n'avais jamais pleuré auparavant dans ma vie. C’était une longue marche, un parcours que j’avais l'habitude de faire, mais je ne pouvais pas respirer correctement. C'était très cool dehors, je m'en souviens, mais c'est à peu près tout. Je n'ai rien senti. J'étais dans mon propre monde, loin de celui-ci. Les lumières étaient floues et encore une fois, je n'entendais rien. Étais-je sous le choc? Probablement. J'ai pleuré dans la solitude. Il y a tellement de choses dont je ne me souviens pas, dont je ne veux pas me souvenir, que j'ai activement essayé d'oublier pendant toutes ces années. Mais il y a aussi tellement de choses que je ne pourrai jamais, jamais oublier. ¤[Comme dit Brel : "on n'oublie rien de rien, on s'habitue, c'est tout !"] 

  https://www.goodhousekeeping.com/life/a47949/i-am-nobody-excerpt-greg-gilhooly/


commentaire :

 

 

NOTES:

de 20 minutes en février 2018 : Il a été reconnu coupable de 50 agressions sexuelles à l'encontre de douze garçons qu'il entraînait entre 1979 et 1991...

Angleterre: «Le diable incarné» Barry Bennell condamné à 30 ans de prison pour sévices sexuels    

Steve Walters, Micky Fallon et Chris Unsworth (de g. à d.), trois des anciennes victimes de l'ex-entraîneur de football Barry Bennell, condamné à 30 ans de prison pour sévices sexuelles sur mineurs, le 19 février 2018.
Steve Walters, Micky Fallon et Chris Unsworth (de g. à d.), trois des anciennes victimes de l'ex-entraîneur de football Barry Bennell, condamné à 30 ans de prison pour sévices sexuels sur mineurs, le 19 février 2018. — Anthony Devlin / AFP

L'ancien entraîneur de football britannique Barry Bennell, âgé de 64 ans, a été condamné lundi à 30 ans d'emprisonnement pour des sévices sexuels infligés à des mineurs. Il avait précédemment été reconnu coupable de 50 infractions (43 à l'issue de son procès, en plus de celles déjà avouées), des agressions incluant des viols, des tentatives de viols et d'autres agressions sexuelles à l'encontre de douze garçons qu'il entraînait entre 1979 et 1991.
Par LENCULéducoach - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 12 novembre 1 12 /11 /Nov 09:50

      Image associée  Il y a des lieux où tout en conservant une apparente bienséance, une grosse fraction de la pudeur sociale convenue est oubliée : la plage et la piscine, le bain de soleil, la salle de gym et le sport...Harry est un familier de tels lieux où son voyeurisme gay se donne libre cours...et quelquefois ça ne suffit pas à sa libido débordante... 

  D

Jeff avait-il été contraint à s'initier à la pénétration anale ? Eh bien non car 1,Harry lui a demandé s'il était ok pour un lavement et il a dit oui.

2, Jeff avait un réel malaise et soyons sûrs qu'après le lavement son intestin a repris toutes ses fonctions. UNE VRAIE THERAPIE NATURELLE. Ca c'est positif, et ne relève pas d'une escroquerie, non ?  

3, Cette relation partagée a forcément évacué tout le stress dont souffrent les puceaux avant leur première fois     cavaillongay  

  D

 

  Image associée  Environ quinze minutes après le départ de la mère de Jeff pour faire ses courses, Jeff entendit la porte de la cuisine s'ouvrir.

"Jeff? Es-tu à la maison?"

"Oui, monsieur," dit-il. "Je suis dans ma chambre"

Harry Crawford qui venait de capter la conversation de sa mère avec une voisine se glissa dans le couloir et dans sa chambre comme si c'était un événement quotidien. Il portait 
un short blanc et un t-shirt de tennis rose.
  

     Ce jour-là, Jeff aurait été stupéfait d'apprendre que depuis son point de vue sur le terrain, Harry avait
fantasmé son propre petit scénario. Un jour, son regard avait capté un mouvement sous sa jambe dans son short de sport. Jeff
ne portait pas de boxer, et Harry avait passé une bonne demi
heure à mater son pénis et s'était émerveillé de sa taille démesurée.


 
Il avait décidé à ce moment même que, d'une manière ou d'une autre, il devait trouver un moyen de mettre la main sur ce robuste
spécimen de jeune homme. Et maintenant, comme une bénédiction
du ciel, la mère de Jeff lui avait procuré la plus parfaite opportunité  : Jeff était malade au lit.

Harry s'était propulsé dans le couloir et dans la chambre du jeune comme s'il faisait ça tous les jours .

En s'approchant de son lit, il posa le sac de shopping en papier
qu'il portait et s'était assis sur le bord du lit. Il lui porta un regard professionnel et médical. "Bébé", c'est le premier mot qui lui vint pour qualifier ce grand garçon qu'il couvait des yeux depuis qu'il l'avait découvert.

-"Bébé, ta mère a dit que tu ne te sens pas bien. Quel semble être le problème?"
   Bébé était le nom dont il avait décidé de l'appeler : ça marquait l'écart des âges et ça évitait le chéri ou la chérie trop féminisants.
 Image associéemon estomac ne va pas trop bien. "

"Je vois," dit-il. "Bien, ne bouge pas on va juste un peu regarder. "Il a relevé le haut de pyjama et a commencé à appuyer doucement sur son abdomen. Jeff ne put que s'émerveiller du soyeux contact 
de sa main sur sa jeune peau nue. Quelques percussions comme un toubib

   
Image associée Image associée
Il a demandé : "Est-ce que ça fait mal quand j'appuie dessus?" (Palpations comme il se doit ) :
Image associée
 "Non monsieur ça ne fait pas mal." Cette façon de lui donner du "monsieur" maintenait une distance raisonnable et "professionnelle" entre le jeune et lui et de la crédibilité à son intervention.  
 
 Harry poursuivit son examen. Quand ses doigts se retrouvèrent sous la ceinture élastique de son bas de pyjama, Jeff se raidit.

Il demanda : "Est-ce que ça fait mal?" .

"Non monsieur."
  
 
Harry tenta d'avancer sous l'élastique, petit à petit vers le bas jusqu'à ce que ses doigts effleurent le bord doux des poils pubiens.

"Bébé, quand était-ce la dernière fois que tu es allé aux toilettes ?  "

Jeff rougit. "Je ne sais pas. Je suppose que c'était il y a quelques jours. "
"Je vois," dit-il en hochant la tête. "Je pense que ça explique pourquoi tu ne te sens pas très bien. Bébé, tu es constipé et tu asprobablement besoin de quelque chose pour t' aider à aller
au WC. Ce que je vais faire, bébé, c'est te donner un bon lavement pour t'aider à vider ton ventre. Tu te sentiras certainement mieux après avoir eu une selle. As-tu jamais eu un lavement, Jeff? "

Il rougit profondément. "Je ne pense pas ... ben,
peut-être quand j'étais petit. Je pense que maman m'en a donné un avec une de ces petites choses en caoutchouc qui font un jet quand on les presse" - Ah je vois, une poire à lavement, ok. Les joues de Jeff s'enflammaient à la pensée de Harry le sondant dans cette zone...

"Ces petites choses de caoutchouc à presser  comme tu dis, sont pour les bébés et les petits enfants, "expliqua Harry d'une voix
douce et légère comme l'air lui-même. "J'ai apporté un sac à lavement avec moi. "Du menton il a indiqué le sac en papier sur le
sol. "Tu es assez grand maintenant pour prendre une taille adulte de
lavement, bébé. Il pensa intérieurement ironiquement , se rappelant la vue de son pénis sous ses shorts
 "Mon garçon, es-tu assez grand ? hihi" .

"Détends-toi ici quelques minutes pendant que je vais
dans la cuisine et préparer le lavement et l'au tiède savonneuse et on va te donner un bon lavage. "

Jeff remua, mal à l'aise. "Je ne pense pas avoir besoin de
ça, "dit-il embarrassé." Tout ira bien sans lavement. "

 
Harry posa sa main sur le ventre de Jeff. "Je sais comment c'est. Tu ne veux pas, bébé ? "dit-il d'une voix apaisante
aussi douce qu'un murmure. "Une fois quand j'étais à peu près de ton l'âge, ma mère a dû me donner un lavement, et je n'en avais pas envie du tout, comme toi. Elle m'a montré l'appareil de lavage en l'appelant le "petit assistant de maman". Mais après qu'elle me l'a donné, vraiment je me suis senti mieux. Je te promets que ça ne fera pas mal. D'ACCORD, bébé ?"

"Oui, monsieur," dit Jeff.

 
Harry sourit. "Bien", dit-il en donnant quelques coups doux à son abdomen . En se levant, prémice à davantage de complicité,  il effleura légèrement  de ses doigts  le devant de son pantalon de pyjama et sentit le tube épais et chaud sous le tissu. Jeff a sursauté violemment mais Harry a fait semblant de ne pas remarquer.

Il était étendu, écoutant Harry faire couler de l'eau à la cuisine. En quelques minutes, il est apparu dans la porte de la chambre tenant le sac à lavement rouge, bombé, et entouré de son tuyau.
"Pourquoi ne viens-tu pas avec moi dans la salle de bain,
Jeff, "dit-il." Je pense que nous y ferions un meilleur travail sur ton petit intestin.
       Image associéeUn meilleur travail sur moi! Bon dieu se répéta Jeff !

Jeff se leva docilement du lit et le suivit docilement dans le couloir. Il regarda Harry suspendre le sac à un crochet derrière la porte. Puis il se tourna vers lui.
     
faggybuds: “ Follow FAGGY BUDS ” Holy shit 😮 
"Nous devrons les enlever." Harry avait accroché ses doigts sur la ceinture de son pantalon de pyjama et en un seul geste, les fit glisser sur ses hanches, le laissant tomber autour de ses chevilles.
((Il retint son souffle et entendit son coeur battre plus fort dans sa poitrine et dans sa têtealors qu'il regardait l'épais pénis qui pendait lourdementen dessous de l'entrejambe de Jeff.Le sexe souple au gland couleur prune luisaitsous les lumières fluorescentes de la salle de bains, et il pouvaitvoir de fines veines bleues qui se détachaient sous son fourreau de jeune peau translucide.Harry pouvait à peine résister à un impérieuxdésir de s'agenouiller, prendre cette prune mûre dans sa bouche, et parcourir dela langue le magnifique organe en tension, tremblant derigidité.))

"Maintenant, il n'y a plus rien qui nous gêne"
dit-il en voyant le visage de Jeff prendre une teinte rouge foncé.Au moment de commencer Harry  se sentit aussi embarrassé que Jeff.Il dit : -"J'ai servi comme infirmier et j'ai donné des lavements à beaucoup d'hommes tu es donc loin d'être le premier. En outre, il n'y a personne ici sauf nous deux."

 
Harry s'agenouilla et tapota le doux tapis au sol."Pourquoi ne pas
t'allongersur le dos, ici pour moi ?"Se déplaçant comme un
robot et se sentant comme tel, Jeff s'abaissa maladroitement ausol et se coucha.Il regarda Harry prendre une serviette sur une étagère  et la plia en un compact coussin.

"Lève-toi un peu, bébé, et laisse-moiglisser ça sous tes hanches.Là.Maintenant, je veux que tu relèves tes jambes et poses tes pieds à plat sur le sol. "

Jeff a suivi ses instructions.Ses fessesreposaient maintenant sur le coussinet à environ 7 cm au-dessus du tapis.
Harry se leva et se retourna, soulevant ses orteils alors qu'il
cherchait dans l'armoire à pharmacie et a trouvé un pot de
vaseline.Jeff leva les yeux sur les jambes amples du short de Harry.
scrutant le rouleau qui se manifestait sous le tissu stretch de son boxer.
 
Harry se retourna et plongea un doigt délicat dans
la vaseline.Ses yeux rencontrèrent ceux de Jeff.Il était hypnotisé
comme il le regardait courir son doigt de haut en bas de la
buse noire effilée, en tournant et en tamponnant jusqu'à ce que le
Un petit arbre obscène brillât d'un surplus de lubrifiant. Harrry prenait tout son temps et laissait Jeff voir ostensiblement ce qui allait entrer dans son anus, ce qui tacitement exigeait une certaine acceptation et soumission. Vision érotique et incitative, s'il en est, selon Harry.
 Tout voir. Jeff devait tout voir et ainsi franchir tous les seuils de l'audace.
       
 
 

Résultat de recherche d'images pour "gif close up enema nozzle end coated with vaseline"     Image associée  Image associée
 

  Image associée Image associéePro ! réservoir, tuyau, canule avec ballonnet anti retour 

 

Image associée 

Image associée   Image associée  Image associéeUn meilleur travail sur mon intestin ! Bon dieu!
Image associéebientôt Jeff serait plongé dans des délices nouveaux pour lui pensait Harry qui tournait ce jour-là à toute allure les pages de la vie de Jeff...
Résultat de recherche d'images pour "GAY PORN MALE PRESENCE IN A GAY'S ASS"...Ce besoin de sentir une présence mâle dans son cul, il allait le ressentir toute sa vie ET SE TROUVER SOUVENT EN MANQUE ! 

  #cas is so good at riding Dean’s cock #destiel #otp: gifs #gifs #riding #anal sex #bottom!cas #top!dean (via sinnersdeancas) dans un désir inextinguible    

  HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS  


 

"Nous sommes tout prêts", dit-il légèrement en s'agenouillant
à côté de lui. "Ecarte un peu les pieds...là, dit Harry en lui prenant les chevilles ...là... ça va. Maintenant, je vais insérer l'embout et nous pouvons commencer. Il décrivait les actions à venir selon la déontologie professionnelle :"Ça va prendre un petit moment. Je vais te le donner lentement afin  que ton intestin s'habitue sans le surprendre. "

Le pénis épais de Jeff pendait entre ses jambes,
presque à toucher le sol. Les sens de Harry étaient sur le qui-vive. Jeff tressaillit quand Harry habilement saisit sa bite et la souleva, l' exposant sa "cible" sous un autre angle.

"Détends-toi, bébé," souffla-t-il ; ça ne va pas faire mal sussura-t-il .

 
Il a abaissé sa tête entre ses genoux et Jeff put alors sentir la pointe arrondie de son doigt qui sondait très doucement dans
son anus, qu'il a inconsciemment resserré.

"Détends-toi un peu, allons!" Harry cajolait doucement son "bébé". Jeff essayait de se concentrer sur le relâchement de ses muscles et a été surpris lorsque la buse a soudainement fait iruption et a glissé dans son rectum.

"Làhhhhh,"  Harry  soupira de satisfaction. Jeff entendit un léger déclic lorsque Harry lâcha la pince à clamper du tube de caoutchouc, et il sentit immédiatement la chaude solution de savon qui jaillissait dans son rectum.

 
Harry tenait toujours légèrement son pénis pour éviter qu'il ne tombe sur le périnée et donc sur le tuyau,  et il était tout ému et tremblait un peu de sentir ses doigts bouger sur la lourde, tige molle objet de ses désirs. Il n'y croyait pas ! "Il ne dit rien avec ça, pourtant il doit me sentir! Bon dieu! quoique c'est la canule qui l'occupe le plus !"
    
Image associéeJeff essayait désespérément de concentrer sespensées ailleurs ... lui en train de jouer au basket, chevaucher son VTT, tondre la pelouse. Oh, mon Dieu, priait-il, empêche-moi de bander, ce serait la honte !!

Mais la petite buse glissante pénétrant son le rectum et la chaleur de propagation du lavement combiné avec les douces vibrations que la main experte de Harry impulsaient subrepticement ne pouvaient que  produire l'effet que Jeff redoutait le plus ... et celui que Harry avait toutes les intentions de produire.
Son pénis a commencé à gonfler et à battre l'air, s'étirant et
épaississant bien au-delà de ses dimensions flasques, atteignant rapidement de telles proportions que les doigts de Harry pouvaient à peine l’encercler.
    
Image associée
Jeff voulait dire quelque chose par le biais d' explications ou d' excuses, ou peut-être juste pour distraire l'attention de Harry de ce qu'il pourrait difficilement manquer de remarquer. Mais tout ce qu'il pouvait émettre c'était un petit gémissement au fond de sa gorge.

"Tu n'as pas besoin de te sentir gêné, bébé,"
dit-il doucement en le regardant dans les yeux. "Tu as
une érection, mais c'est normal pour les hommes. Sais-tu que même les petits garçons ont une érection quand on leur donne un lavement? Cela arrivait tout le temps quand j'étais infirmier dans le service pédiatrique de l'hôpital. Parfois leurs pénis devenaient durs seulement avec un thermomètre rectal dans l'anus.
C'est un domaine très sensible. "
  
 Jeff essaya de répondre mais seul un gémissement prolongé sortait de ses lèvres. Il était littéralement sans voix en raison des effets combinés de la stimulation érotique et d'un profond embarras.

 
Harry était impressionné que le sexe du garçon au départ mou et caoutchouteux puisse rapidement se redresser. Dans sa main il était devenu épais et dur comme un manche de hache .
Son esprit vacilla et il pensa, tout en restant debout, se défaire de son short et de son boxer, et s'installer à califourchon sur ce sexe flamboyant et l'engloutir dans son étroit passage dégoulinant du lubrifiant qui'il y avait mis en vue d'être pénétré. 
 
Il a regardé Jeff au fond des yeux et a souri.

"Ne t'inquiéte pas. Nous, les infirmiers, savons tout sur CES
choses ", "comme ça"dit-il , exerçant une pression sur le pénis de Jeff
"Un lavement provoque une tension sexuelle , il est donc normal que tu en sois excité en ce moment-même. -"En réalité,"
et il se mit à chuchoter : "ne le dis à personne, mais quand je me fais un lavement, ça me fait cet effet-là à moi aussi. J'en ai pris un il y a quelques jours. Je suis toujours excité quand cette buse monte en moi ".

L'esprit de Jeff s'emballa à la pensée de Harry sondant son beau derrière avec cette même buse qui lui avait servi.
Cela ajoutait une étrange sensation d'intimité au moment présent.

"Et rappelle-toi," continua Harry, "il n'y a personne ici mais seulement nous, Jeff, et je te promets que je ne dirai pas un un mot de tout ça à qui que ce soit. On peut faire ce qu'on veut, ta mère n'en saura rien. OK? "Harry exerça une autre petite pression sur l'énorme sexe pour accentuer le caractère secret de leur complicité.

Jeff lui esquissa un petit sourire serré et couina : "OK."
C'était, en grande partie, gagné.
 
Harry passa ses doigts sur l'énorme "tronc d'arbre", qui se tenait maintenant debout et rigide sans aucun besoin d'assistance de sa part.

-"Si je te dis parfois des choses très personnelles, Jeff, vas-tu les garder entre nous? "

-"Bien sûr," murmura Jeff.

-"Bien. Quand je me fais un lavement et tout ça, la tension sexuelle s'accumule en moi, je trouve que ça aide si je me masturbe et relâche la tension. Souhaites-tu que je t'aide à libérer cette tension?"

"OK", bredouilla Jeff, son esprit brouillé comme s'il tournoyait à travers l'espace.

"Je vais juste te le faire un peu", dit Harry. "Et
souviens-toi, je ne dirai pas un mot à personne. "
   
Image associée
 
Harry commença à masturber doucement son pénis, étonné, délirant, de sa longueur et de son épaisseur. Il inspectait
la tête violacée et gonflée, notant avec satisfaction sa
forme cagoulée en capuchon, semblable à la tête d'un boa
constrictor il se souvint d'avoir été fasciné par un tel serpent au laboratoire de biologie quand il était au collège.
            
   Image associéeJeff se dit : "mais il me branle !"
Ses hanches se tortillèrent, picotements, sensations rampantes
à travers à la fois son bas ventre et sa tête.
  
 
 Tenant toujours le tuyau du lavement de la  main gauche au plus près de l'anus de Jeff, Harry fit tourner la sonde à plusieurs reprises  envoyant une nouvelle vague de sensations inconnues dans la colonne vertébrale de Jeff. Il intensifia le rythme de sa masturbation de l'énorme sexe avec l'autre main.

"Je sais que c'est délicieux, Jeff," dit-il. Mais chut.
"Il faut juste en profiter et oublier tout le reste. Tu as besoin de relâcher cette tension. "Harry lâcha la canule solidement emboîtée dans les sphincters  de Jeff et retenue par le ballonnet gonflable qui rendait cette pénétration fixe et irréversible jusqu'à ce que Harry décide d'en finir.
et posa son scrotum en coupe dans sa main, laissant
ses doigts balancent doucement ses boules chaudes et lourdes autour
dans leur sac gelé.

Sa main droite pompait rapidement maintenant, mais
avec une prise étonnamment douce. Il a fermé sa main
autour des testicules et appuyé sur ses doigts touffus
dans le tissu charnu sous son scrotum. Jeff fermé
ses yeux et arqué son dos, respirant rapidement à travers
son nez.

Sa main droite pompait rapidement maintenant, mais
avec une prise étonnamment douce. Il a fermé sa main
autour des testicules et appuyé de ses doigts touffus
dans le tissu charnu sous son scrotum. Jeff fermait les yeux et arquait  son dos, haletant et respirant rapidement par la bouche.

"C'est bon, Jeff," dit Harry à bout de souffle.
"Vas-y, mon bébé." Sa main allait et venait dans un flou. Jeff se sentait comme si des vers s'étaient mis à bouillonner
dans tout son ventre et dans son entrejambe, creusant
furieusement sous la base de son pénis. Dans son ventre rempli, la canule exaspérait  son anus de manière insupportable, comme si c’était électrique.
Jamais il n'avait eu une expérience aussi aveuglante en sensations érotiques.

Soudain, Jeff s'est cambré et s'est mis à haleter violemment alors qu'un flot épais de sperme était projeté dans l'air et retombait sur son ventre. La poitrine de Harry s'éleva et retomba avec une forte expiration alors qu'il regardait sa propre, énorme, tête violacée qui palpitait et éclatait encore et encore, baignant sa main dans un fluide épais et nacré. Jamais il n'avait assisté à un orgasme d'un tel volume.

     
Harry ralentit son rythme avec le tempo de Jeff pour humer et 
traire l'immense puits de ses dernières gouttes de sperme. Jeff détourna la tête et garda les yeux fermés, complètement consommé, complètement bouffé. Dans cet état de doux oubli,pris d'un soudain besoin de tendresse Jeff saisit la main de Harry qui conduisit la libération de l'intestin de Jeff assis sur les toilettes et la tête appuyée sur l'épaule de Harry. Une dépendance venait de naître qui effaçait toute notion de pudeur entre ces deux hommes. 
  Image associée

   

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Résultat de recherche d'images pour "enema nozzle" Ce modèle est une buse pour lavement plus ludique de plus grande longueur, de plus grand diamètre, multi-segment, multiforme ou un tube du côlon plus petit avec une pointe de boule surdimensionnée.

 

Il a été conçu pour ceux d'entre vous qui désirent une buse très stimulante qui s'étendra jusque dans le côlon sigmoïde descendant moyen à haut, permettant ainsi l'administration de la solution de lavement dans une position plus haute, au-dessus du rectum, dans la partie médiane du sigmoïde.Le plus grand diamètre des côtes et des vallées devrait former un joint sûr autour du sphincter ano-rectal, permettant ainsi une insertion à différentes positions en fonction de la profondeur souhaitée.

La longueur totale de cette buse est d’environ 26 ", ce qui permet une longueur insérable de 25". C’est une zone à double usage avec une surface de contrôle côtelée pour une prise sèche et sèche qui fonctionne très bien comme poignée lorsque la buse est administrée par une seconde partie.

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unbefreakinlivable: “ Shameless shameless deancas. Well I’m sure if you know what it is all about… Now; SLEEEEEEEP *__* ”  Une chance pour un tel futur ?
HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS  
  

 commentaire :
Image associéeT'inquiète pas Harry,  tu l'as transformé, à l'nsu de sa mère possessive ! un jour prochain c'est lui qui te demandera de recommencer...en mieux...en plus'complet', et il regardera les choses de la vie en face...avec toi :

    

 

Par GERATRICE - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 06:47

   Eh oui, tempus fugit ! profitez tant que vos sens, vos hormones et tout votre être vous le permettent. L'anonymat de ce récit déssert l'amitié profonde que nous portons à Régis, notre compatriote lubéronnais.   Cavaillon étant la porte du Lubéron, parions que nous nous sommes souvent croisés sur la draue du Pont Julien.  claudemodou@gmail.com  merci!   Ce que c'est que nos destinées ! et ce que c'est que les parcours divers qui, tout en s'offrant à nous librement, sont des chemins enchantés, empreints d'une sorcellerie invisible qui a fait de Régis l'un de nos frères chéris et de ses deux potes de bons (ou de médiocres) hétéros. 

Image associée    Romain a  voulu mesurer nos engins. 19 sur 4 pour lui, 18 sur 5 pour moi. Celle de Richard était la plus petite, 17 sur 4, mais c'est lui qui avait de loin les plus grosses burnes. Je sentais que les choses allaient dégénérer, et je fus le premier à y contribuer.

  Nous étions trois potes, Romain, Richard et moi. On nous y appelait les « trois R ». Moi, mon prénom, c’est Régis. Romain, lui, était le plus friqué. Ses parents, toubibs tous les deux, possédaient une superbe maison avec piscine et courts de tennis dans le Lubéron. L'été de nos dix-neuf ans, Romain a passé le mois d’août, seul chez lui. Son père et sa mère étaient partis en vacances aux States. Ce fut l’occasion pour lui d'organiser des grandes fêtes, le soir au bord de la piscine et qui dégénéraient plus ou moins en partouzes. Comme moi, Romain avait pas mal de succès auprès des nanas. En plus de son fric, il était très mignon, blond avec les cheveux bouclés, les yeux bleus et une belle petite gueule avec les traits fins, mais un corps assez musclé avec une peau claire et imberbe. Le contraire de moi qui suis brun avec la peau mate et plutôt velu. À dix-neuf ans, j’avais déjà baisé avec plusieurs nanas, mais je rêvais d’autre chose. Même si mes idées n'étaient pas encore précises dans ma tête, j’étais déjà tenté par une expérience bi. Richard, lui, était beaucoup plus timide avec les filles.

Un soir, on s’est retrouvés tous les trois chez Romain. Après une petite bouffe arrosée de deux bouteilles de vin du Lubéron, Romain nous a proposé de regarder une cassette VHS porno, et nous nous sommes installés dans le confortable salon avec une bouteille d'Absolut, déjà un peu pétés tous les trois.  Image associée

 Image associée  Image associée Il s’agissait d’un « Black anal ».

Dès les premiers plans, je me suis mis à bander comme un dingue. Une nana, avec une énorme paire de nichons, se faisait sauter dans une salle de gym par deux profs, deux athlètes noirs dotés de bites énormes. Elle les suçait tour à tour, se déchaînant comme une vraie furie sur les deux pieux raides. Puis, elle s’est retrouvée empalée sur l'une des bites alors quelle pompait toujours l’autre. Et celui qu’elle suçait a fini par passer derrière elle pour l’enculer. Entre nous, les commentaires fusaient: « Putain, la salope, ça rentre comme dans du beurre entre ses fesses! Moi aussi, je lui mettrais bien ma pine dans le cul! » J’imaginais très bien mes deux potes bander autant que moi. Le film était super-hard. Ils changeaient de position. De temps en temps, la fille se retrouvait avec l'une des bites dans sa bouche pendant que l’autre continuait à lui limer le trou du cul. J’aurais aimé me retrouver à la place de l’un de ces Blacks, mais aussi... à celle de la nana!   

Image associée

Et le Lub' à proximité du Château de Sade, mêlé à l'Absolut, devait contribuer à la magie de l'ambiance entre gars !

Résultat de recherche d'images pour "absolut vodka" -le Lub' comme on l'avait jamais vu !     C’est Romain qui a déclenché les « hostilités ». Il était assis entre Richard et moi. Nous étions tous les trois en short, et d’un coup, en riant, il a plaqué sa main entre les cuisses de Richard: « Salaud! Je crois que tu te la baiserais bien, cette gonzesse, non? » Richard est devenu écarlate alors que Romain lui palpait la queue et les couilles d’un air amusé. Toujours en rigolant, il a ajouté: « Tiens, regarde ce que je lui mettrais dans la bouche et dans le cul, moi! » Il a tiré sur l’élastique de son short pour libérer sa bite et nous l’exhiber. Je l’avais déjà vu à poil, mais jamais en train de bander. Sa queue était fine et longue. Il l’a empoignée devant nous: « Ça vous dit pas de vous branler? Moi, j’en peux plus, elle me fait trop triquer cette garce! » Les verres de vodka que nous buvions cul-sec nous avaient passablement échauffé les esprits, d’autant plus que les scènes de cul s’enchaînaient devant nous de plus en plus hard.  

À mon tour, j'ai libéré ma tige. Le plus gêné, c'était Richard. Au début, il ne voulait pas trop nous montrer son zob. On a dû le forcer un peu, tirer sur son short et le lui descendre jusqu’aux chevilles. Ce salaud bandait autant que nous! On s’est amusé à comparer nos queues, nos couilles. Romain a même voulu mesurer nos engins. 19 sur 4 pour lui, 18 sur 5 pour moi. Celle de Richard était la plus petite, 17 sur 4, mais c'est lui qui avait de loin les plus grosses burnes. Je sentais que les choses allaient dégénérer, et je fus le premier à y contribuer. C’est moi qui ai lancé: « On va faire un concours de branlette, le premier qui arrive à se faire juter, il pourra filer un gage aux autres! » On s’est foutus à poil tous les trois sur le canapé et, la pine en main, on a commencé à s’astiquer.

À ce moment-là, c’est beaucoup plus ce que nous étions en train de faire que le film qui me faisait bander. Je regardais les deux glands gonflés de mes potes. C’est Romain qui a déchargé le premier. Son sperme a giclé sur son ventre et sur son torse en plusieurs saccades. Le seul fait de le voir éjaculer m’a fait jouir à mon tour. Richard fut plus long à venir, mais son foutre n’en finissait plus de se vider. Comme il était le perdant, Romain a voulu lui donner un gage: celui de nous lécher pour nous nettoyer. Au début, il ne voulait pas mais il a fini par accepter. Il a commencé par lécher mon sperme avant de passer sa langue sur le ventre et le pubis de Romain qui lui a ordonné: « Le gland, aussi! »

J’ai pensé que Richard n’en serait jamais capable. Pourtant, je l’ai vu saisir la queue de Romain, tirer sur la peau du prépuce et lécher les gouttes de sperme. Romain s’est remis à bander presque aussi sec, obligeant Richard à le sucer pour de bon: « Vas-y, j’ai très envie de me faire tailler une pipe! Regarde comme elle s’y prend, la nana. Essaye d’en faire autant! » À la télé, une rouquine pompait deux bites, et Richard s’est mis à faire glisser ses lèvres sur le manche encore raide de Romain. À partir de là, plus rien ne nous a retenus. Les trois queues étaient de nouveau raides.  

 

 

  Image associée

J’ai empoigné celle de Richard et je l’ai branlée avant de me glisser entre ses cuisses pour le sucer. Puis j’ai changé. J’ai pompé celle de Romain alors qu’il suçait Richard. Nous sommes même allés jusqu’à nous lécher et tripoter le cul, mais nous n’avons pas osé aller plus loin. Pourtant, j’aurais bien enculé l’un des deux... Romain a joui sur mon visage. Richard s’est reçu le mien sur le ventre, et Romain, celui de Richard dans les cheveux. Le film était fini depuis longtemps. Ce soir-là, nous avons tous dormi chez Romain.

Nous nous sommes réveillés le lendemain avec la gueule de bois et un peu gênés. Par la suite, Richard s’est peu à peu éloigné de nous, mais je suis resté très copain avec Romain. Mes désirs se précisaient dans ma tête. Je baisais encore avec des nanas, mais c’était lorsque je me retrouvais avec une queue dans la bouche que je me régalais le plus. J’aurais aimé aussi enculer Romain ou lui proposer de me baiser, mais je n’ai jamais osé.

Nous avons fini par perdre Richard de vue après qu’il ait réussi le concours d’entrée d’une grande école commerciale de Paris. Romain, lui, a continué à mener une double vie avant de se marier. Il a rencontré d’autres mecs lui aussi, mais vis-à-vis de ses parents, il ne pouvait pas afficher son homosexualité. Son mariage l'a éloigné d’Avignon. Moi, j'y suis resté et ce n’est pas un hasard si mes plus grands fantasmes tournent autour des Blacks. Les nanas ne me font plus du tout bander, et, depuis ce fameux été 90, beaucoup d’eau a passé sous le fameux pont d’Avignon... et beaucoup de belles bites dans ma bouche et dans mon cul.

Régis, 27 ans.   sur   http://www.gai-eros.org/w/index.php/Teub_et_foune:_la_diff%C3%A9rence!

 

Image associée Invention de la bouteille qui rent "gai" -lol- 

     Pub : La collaboration entre la marque Absolut et la communauté LGBT ne date pas d’hier. Au cours des années 80, la marque suédoise était une des rares à oser publier des publicités dans des magazines destinés aux membres LGBT, et Absolut s’est engagée à lutter contre les discriminations. Présentée dans une bouteille arborant fièrement les couleurs de la communauté LGBT, Absolut Colors Pride prend clairement position pour l’égalité et l’acceptation des homosexuels et transgenres.

Le vodka contenue n’est autre que le grand classique de la marque suédoise. Elle est culte depuis longtemps parmi les membres de la communauté des amateurs de spiritueux. Avec son caractère épuré, Absolut Vodka peut se déguster pure ou parfaitement convenir à différents cocktails.

 


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Dimanche 21 octobre 7 21 /10 /Oct 16:32

que devient-il aujourd'hui à 70 ans ?

1990 : Il y a encore un an, si un mec m’avait mis la main au cul, je lui aurais cassé la gueule. J’ai quarante-trois ans et j’étais de la vieille école. L’homosexualité était une atteinte à la virilité, et jamais je n’aurais fantasmé sur un mec. J’étais marié avec une femme qui, disons-le, ne me satisfaisait pas. Je me masturbais souvent devant des revues porno. Chaque année, nous partions en vacances dans un petit village de l’Ardèche. Des vacances bien réglées, où il ne se passait jamais rien d’insolite ou d’imprévu. L’après-midi, ma femme faisait la sieste, et moi j’allais à la pêche. Comme elle ne voulait pas faire l’amour, j’allais oublier ma frustration en taquinant le poisson.

L’été dernier, vers la mi-juillet, deux mecs d’une vingtaine d’années sont venus planter leur tente sur les bords de la rivière. Un après-midi, alors que je coupais à travers champs pour éviter de les déranger, je tombe sur mes deux lascars, complètement nus, dans l’herbe. Ils étaient loin et j’ai d’abord cru qu’ils se faisaient bronzer. J’allais faire demi-tour quand, tout à coup, je vois les deux mecs se mettre l’un à quatre pattes et l’autre à genoux derrière le premier J’ai été choqué. Je suis parti, écœuré. Ce jour-là, je n’ai pas pêché.

Le lendemain, rebelote. Je les ai retrouvés exactement au même endroit, à poil, mais cette fois, ils se tapaient un bon 69, l’un sur l’autre. Je les ai regardés un moment en me demandant comment on pouvait faire de telles choses entre hommes. C’était dégueulasse. Je n’ai rien dit à ma femme. L’après-midi suivant, je fus plus attentif. Une chose était sûre : les deux mecs prenaient du plaisir, surtout le petit blond quand il se faisait enculer par l’autre. Il tortillait son cul et je l’entendais crier de bonheur. Ma femme n’avait jamais hurlé comme ça quand je la baisais. Ne parlons pas de l'enculer, elle avait toujours refusé en me traitant de pervers. J’arrivais à entendre, d’où j’étais caché, ce que disait le blondinet quand il se faisait prendre : “Vas-y... Vas-y, Richard... Elle est bonne, ta queue... Défonce-moi... Casse-moi le cul !... Prends-moi comme une salope !...”

Si je ne ramenais plus de truites à la maison que nous louions, c’est que, désormais, je passais mon temps à épier les deux mecs. Le brun faisait l’homme, le blond la femme. La première fois que j’ai bandé en les regardant, j’ai eu honte et je suis parti.

Mais le lendemain, je suis resté. J’ai sorti ma queue et je me suis branlé en les regardant baiser. Je m’imaginais à la place du brun, en train d’enculer son copain. Le mal était fait. Je délaissais mes revues porno hétéro (que j’amenais toujours en vacances) pour venir me branler comme un fou en regardant ces deux mecs se niquer. Ma femme pouvait se refuser à moi, je m’en foutais. Les mecs me faisaient bander.

En rentrant à Tours, à la fin de juillet, j’ai commencé à chercher des mecs par minitel. Quinze jours après j’enculais mon premier mec, Julien, trente ans. Je l’ai revu pendant un mois, tous les jours de la semaine, entre midi et deux. Au lieu d’aller prendre mon repas à la cafétéria, je baisais avec lui comme un fou.

J’ai eu envie de connaître d’autres hommes. J’ai commencé à traîner dans les saunas, les jardins publics. Mes relations avec ma femme se sont sérieusement dégradées. Je ne lui ai jamais parlé de ce que je faisais avec les mecs. Je prenais de plus en plus de risques. Je m’absentais de mon travail pour recevoir des mecs chez moi. Ma femme a commencé à avoir des soupçons.

En février de cette année, nous nous sommes quittés. Et maintenant, je cherche des mecs pour vivre ma vraie vie. Je sais qu’il n’y a qu’avec un mec que je serai heureux.

Régis, 42 ans.

 


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