Partager l'article ! Baisé(on dit sexuellement abusé) par le coach. Vous voulez du vrai ? ben, c'est vrai que ça arrive plus souvent qu'on croit.: bien sûr ...
bien sûr la vidéo et les photos de cet article ne sont que des évocations et des illustrations pour donner une idée et sont complètement "Fake". La base de e récit est une traduction 'maison' de cavaillongay. L'entraîneur en question a fait l'objet de poursuites et d'une sévère condamnation
"Je peux voir tes pieds? "
C'était pas un ordre mais une demande. Une demande simple qui à l'époque avait un sens énorme pour moi.
"Sûr."
Je me suis penché et j'ai enlevé mes chaussettes. Je me suis penché en arrière et j'ai mis les pieds en l'air pour l'inspection. Il prit un pied et le berça, le caressa. Il le serra, le tordit
légèrement, passa sa paume du talon aux orteils. Il a appuyé sur la voûte. Il lâcha le premier pied et attrapa l'autre. Même chose, une inspection, une analyse lente et profonde de mon pied. Il a
regardé chaque pied pendant un long moment. Tout semblait si scientifique, si analytique.
naturellement cette vidéo semble relever (sur Xhamster) d'un plaisir partagé à l'insu des parents pleinement satisfaits de l'entraîneur
vidéo [-"Par la suite, j'ai pris l'habitude d'être dosé par ses soins et le souhaiter".]... Cette première fois, cette
'initiation' aurait pu se passer dans un silence total sinon qu'il avait allumé une radio, sans doute pour étouffer les sons, mais je ne pouvais plus
rien entendre. Tout ce que je pouvais entendre, c’était le sang qui coulait à travers mes tempes, la palpitation dans mes oreilles, la sensation d’être hors du monde qui m'entourait et
enfermé dans mon propre espace. Au moins, c'est comme ça que je m'en souviens. Ou peut-être que ce souvenir est venu de centaines, sinon de milliers, de rêves éveillés que j'ai eu depuis .
Ce que je sais avec une certitude absolue, c'est que dans ce (ces ) moment(s) je ne peux rien entendre d'autre que nos halètements et nos gémissements.
Il m'a frotté les jambes. Il m'a caressé. Il m'a masturbé. Il s'est exposé. Il s'est frotté contre mon visage et a inséré son pénis dans ma bouche. Il a reporté son attention sur mes pieds. Il
s'est masturbé et a éjaculé sur mes pieds et mes jambes.
Je me suis essuyé et habillé le plus vite possible. Mais sans me presser. Je ne savais pas quoi faire. Je suis resté assis jusqu'à ce qu'il revienne. Ensuite, nous avons discuté. Plutôt, il a
parlé, j'ai écouté.
"Comme tu progresses vite...et bien ! Tu as tellement de talent, tes jambes sont si fortes, tu as un potentiel illimité. Tu sais, les gens comme nous doivent se soutenir
mutuellement. Nous ne sommes pas comme les autres. Ils ne comprendraient jamais Ils ne
voient pas les choses comme nous. Je sais que tu es un peu perdu, mais je te comprends. Je vois qui tu es et ce que tu peux devenir. Les gens comme nous doivent se surveiller
mutuellement. Nous devons nous soutenir les uns les autres. Mais
des mecs comme nous, travaillant ensemble, peuvent tout faire arriver. "
Peut-être qu'il me l'avait toujours dit et que je n'avais tout simplement pas compris.
Je pensais que "des gens comme nous" donnent tout son sens à un talentueux
duo "petit neveu à son tonton, tonton à son petit neveu", définissant ainsi ce qu'il voulait qu'on croie de nous. Maintenant, avec ce qui venait de se passer, j'étais à peu près sûr que ce qu'il voulait dire, c'était que
j'étais gay.
Et il a ensuite confirmé: "Si notre secret est révélé, tout le monde pensera que tu es gay. Personne ne voudra de toi dans aucune équipe ni aucun programme. Ce serait la fin de tout pour toi
car personne ne veut traiter avec des gens comme nous."
Zombie détaché du monde qui m'entoure, je suis rentré chez mes parents. Là, en chemin, j'ai pleuré comme je n'avais jamais pleuré auparavant dans ma vie. C’était une longue marche, un parcours que j’avais l'habitude de faire, mais je ne pouvais pas
respirer correctement. C'était très cool dehors, je m'en souviens, mais c'est à peu près tout.
Je n'ai rien senti. J'étais dans mon propre monde, loin de celui-ci.
Les lumières étaient floues et encore une fois, je n'entendais rien. Étais-je sous le choc? Probablement. J'ai pleuré dans la solitude. Il y a tellement de choses dont je ne me souviens pas, dont
je ne veux pas me souvenir, que j'ai activement essayé d'oublier pendant toutes ces années. Mais il y a aussi
tellement de choses que je ne pourrai jamais, jamais oublier. ¤[Comme dit Brel : "on n'oublie rien de rien, on s'habitue, c'est tout !"]
https://www.goodhousekeeping.com/life/a47949/i-am-nobody-excerpt-greg-gilhooly/
commentaire :
NOTES:
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