Mercredi 26 décembre 3 26 /12 /Déc 00:40

suite ...Les types de la piscine sont revenus…  J’imagine qu’ils savent.  Je me suis rhabillé en vitesse, je suis sorti, comme si de rien n’était.  Et comme je sortais, je l’entends…-   T’aimerais bien te le taper hein?

-Arrête!  T’aimerais bien te le taper hein?

http://www.cyrillo.biz/histoire/many.htm

  -"ET POUR LEUR COUP D'ESSAI VEULENT DES COUPS DE MAITRE" Corneille Le Cid "" MARC TROUVE ICI LA FRATERNITE DES HOMMES LEUR LUBRICITE L'AFFECTION LUMINEUSE DE QUELQUES UNS MAIS IL EST BANNI DE SA FAMILLE ! 

  putain oui, Marc le débutant, "le doux p’tit biscuit d’amour de la haute bourgeoisie" va passer pro! Ils l'ont pris pour le fils de Cahuzac ou de Bolloré ou encore ...que sais-je moi ? 

    Many s’était approché d’un gars.  Celui-ci m’a regardé avec une espèce de regard foudroyant de luxure et de bassesse vicieuse, comme un animal sournois, un prédateur…  Et Many était en train de me marchander avec ce fou…

-Ouais, j’veux me le faire…

            Je commençais à transpirer…  Et Many en rajoutait…

            -Allez, les gars, ça vous dit de vous farcir ce mec?  J’vous le dis, c’est un doux p’tit biscuit d’amour de la haute bourgeoisie.

J’étais dans un état absolument désaxé, plein de malaise, ne sachant quel regard poser sur mon Many…

-Notre petit Marc a besoin d’aventures, qu’il dit…  Alors on va lui faire sa fête!?  Vous auriez dû le voir au taf de pute, il est baisable je vous le dis…  Ouch!  Tendre et sucré, un vrai p’tit biscuit…

Et il se déhanchait en simulant la levrette de tout à l’heure…  P’tit biscuit!?  Qu’est-ce que c’est que cette expression!  J’étais encore plus mal à l’aise.  Alors le gars à qui Many parlait s’est avancé vers moi…

-Ouais, j’vais m’le faire…

-Hep! Hep Hep!

Many l’a retenu.

-Doucement, Don Juan…  Je viens de lui faire goûter à la baise Many…  Il a les couilles et le cul en compote.  Faudrait le laisser se reposer un peu.  Ce soir, quand t’aura fini ta journée de travailleur, tu pourras te faire plaisir.

L’autre type semblait légèrement frustré.

-Bon, c’est pas tout, on a du boulot à finir aujourd’hui.  Alors tout le monde à son poste, bande de salopes…

Je ne savais plus quoi faire.  J’étais abasourdi par tout ce qui m’arrivait.  Many s’est retourné vers moi.

-À ce soir, biscuit!

 

suite-> Ce Many est un vrai obsédé…  Et moi, tu parles d’un con.  Accepter ainsi un « gang bang » presque improvisé…  Mais quelque chose en moi rêvait depuis toujours de se faire mettre par une bande de mâles en rut.  Je suis passé dans la cour en essayant de supporter les regards et les intonations indiscrètes.  Je me suis enfermé dans la maison et je suis allé me laver.  Ce n’est pas que je me sentais sale.  Non, j’avais son odeur sur moi, l’odeur du sexe, son haleine dans mon cou, sa sueur contre mon dos, sa salive dans la bouche et sur la queue, son sperme dans le cul.  Si j’avais pu, je ne me serais jamais plus lavé.  Mais il faisait atrocement chaud et je devais me défaire de ma torpeur.  Une bonne douche froide me ferait du bien.  Et puis, je devais me calmer, parce qu’au soir venu, j’aurais une dizaine de mecs devant ma porte qui viendrait réclamer leur bonbon, la queue bien dressée.  AU SECOURS!!

 

Alors, je suis allé dans la salle de bain.  J’ai enlevé mes vêtements.  Je ne sais combien de temps je suis resté là à me regarder.  Je me suis assis sur le bord du bain, songeur.  J’avais le cul encore ramolli et chaud.  J’essayais de me calmer, mais je n’y arrivais pas.  L’anticipation me rendait complètement fou.  Je venais de me faire défoncer de la façon la plus sensuelle et puis la plus brutale de toute ma vie.  Et ce soir, une bande de mecs voulaient me faire ma fête.  C’était tout simplement trop pour moi.  Je me suis glissé sous une douche fraîche.  Pour purifier mon corps de la luxure, pour me décharger la tête de toutes ces préoccupations sordides.  Mon corps était bouillonnant de vice, engourdis par une sensualité dévastatrice.  Puis, je me suis senti mieux.  J’avais encore des rémanences de ses caresses, de ses râlements, de sa chaleur sur moi, mais ils se dissipaient.  Son sperme a fini par sortir de mon cul et je me suis lavé minutieusement.  Je suis sorti.  Je me suis habillé et je suis allé dans ma chambre, consulter le silence.  Et j’ai eu une idée.

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suite-> Je suis allé chercher nos deux caméras.  Je suis allé dans le garage, j’ai installé les caméras sur leurs trépieds, j’ai ajusté l’éclairage de la pièce.  Je me faisais mon scénario…  J’ai pris les trois caisses de 24 bières qu’on garde pour les occasions, et je les ai foutues dans un bac d’eau et de glace pour les rafraîchir.  Et j’ai passé le reste de l’après-midi à tout préparer.  J’ai sorti la grande table basse au centre de la pièce, je l’ai recouverte d’une couverture.  J’ai sorti mon litre de lubrifiant…  Quand tout fut prêt, je suis retourné dans le salon, m’asseoir et me détendre.  Il était bientôt dix-sept heures quand un toc-toc à la porte arrière me glaça le sang.  C’était eux… 

 

suite-> Je suis allé ouvrir.

 

 

-Coucou, fit Many.  On passe à caisse.

Les autres mecs attendaient derrière lui.  Je leur ai souri et je les ai invités à entrer.  Ils étaient tous trempés de sueur et encore plus bronzés…  Alors je leur ai dit que j’avais de la bière froide qui nous attendait dans le garage.  Les gars avaient l’air contents.  Quand nous sommes arrivés dans le garage, Many a pris la direction des opérations.

-Bon, primo : y a personne qui reste ici sans avoir enlevé toutes ses fringues!  Allez, les mecs, exécution!

L’idée plaisait à tout le monde.  Alors on s’est dévêtus.  On a enlevé chaque bout de linge qui restait.  Et là j’étais étonné de voir tous ces mecs virils avec leurs muscles et leurs attributs qui pendaient impudiquement entre leurs jambes.  Ils se regardaient et, aussi, me dévoraient des yeux.

-Secondo, personne ne reste ici sans avoir calé au moins trois bières!

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suite-> Alors on alla tous se prendre trois bières.  Le première passa comme si de rien n’était.  La seconde commençait à être bonne.  Et la troisième était merveilleuse.  Quand on a tous terminé, Many s’est pris une autre bière.  Il m’a fait asseoir sur la table au centre…

 

            -Alors, les mecs, vous êtes prêts?

            Des exclamations se sont levées avec lubricité.

            -Alors, qu’est-ce que vous attendez!

            Many m’a caressé la tête et m’a chuchoté quelques mots d’encouragement, puis il a laissé les autres venir à moi d’abord.  Ce qui s’est passé ensuite dépasse les limites de tous mes fantasmes.  Ils se sont approchés de moi.  L’un d’eux s’est penché sur mon visage et s’est mis à m’embrasser.  Un autre est venu par derrière me baiser la nuque.  Un autre  mes pectoraux, un autre, mon ventre, deux autres m’ont pris les mains et se sont mis à me lécher, me sucer les doigts.  Deux se sont mis sur mes jambes, deux sur mon dos et un dernier entre mes jambes.  J’étais au cœur d’une masse de chair virile qui se mouvait avec lascivité et douceur.  J’en embrassais un, puis un autre, puis un autre.  J’en caressais un, et un autre.  Il y avait toujours une nouvelle bouche plus délicieuse à embrasser, toujours un torse plus ferme à caresser.  Pendant ce temps, Many a pris une caméra et a décidé de jouer au réalisateur.  Il venait filmer nos contacts les plus intimes, les plus chauds.  Moi j’étais parcouru de mains qui me caressaient.

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suite->    De bouche en bouche, je suis arrivé au type de tout à l’heure qui voulait me baiser.  Celui-ci m’a embrassé goulûment, puis il m’a pris la tête et avec un sourire vicieux il m’a fait descendre jusqu’à sa queue qui durcissait.  Ça a donné des idées aux autres.  J’ai commencé à laper, puis sucer le membre de ce mec fou de vice pour la voir et la sentir s’ériger dans ma bouche.  Et puis, les autres mecs on décidé qu’ils voulaient aussi leur part du gâteau.  Ils se sont mis en cercle, debout autour de moi, leurs queues bien gonflées qu’ils me présentaient.  Moi, j’étais au centre d’une tour de mâles, je suçais, de queue en queue, j’en branlais, d’autres.  Et Many s’est joint à nous avec sa queue gigantesque et ses caméras intimidantes.  Puis, il s’est mis à verser quelques giclées de bière sur leurs queues.  Moi, je suçais encore plus ardemment.  Parfois, même souvent, deux mecs s’approchaient pour que je puisse les prendre tous les deux dans ma bouche alors que les autres admiraient.  Je les regardais, je contemplais leurs expressions extasiées, je les caressais avec douceur et soumission.  D’autres me frottaient leurs gros membres sur le visage, la tête, les épaules et le dos.  J’étais au cœur d’une usine de sperme, confiné dans une odeur de transpiration, un bain enivrant de phéromones.  Ma bouche s’agrandissait, je prenais tout ce que je pouvais de leurs beaux membres, avalant avec saveur leur pré-sperme.  Je parcourais leurs queues avec ma bouche, mes mains, je caressais leurs gros bijoux, leurs couilles pendantes et fermes.  Les hommes me caressaient la tête avec satisfaction, d’autres s’enfonçaient de plus belle dans ma bouche.

 

 

suite->    Et puis, Many a pris une autre bière qu’il a vidée sur moi.  Il s’est mis à me lécher et à boire la bière sur ma peau.  Alors qu’il continuait cette dégustation, je me suis couché sur le dos.  D’autres mecs se sont pris des bières et ont fait pareil, sur mon ventre, sur mes jambes.  Un autre s’est mis à me sucer doucement et quelques hommes se sont agenouillés près de ma tête pour me présenter leurs couilles et leur queue que je suçais avidement.  Je continuais à les branler avec vigueur ou douceur, m’ajustant selon leurs soupirs et leurs gémissements.  Many me mordillait maintenant les mamelons, passait ses mains sur mes pectoraux pleins de bière.  Et puis, avec une main il m’a soulevé le flanc pour me faire tourner sur le ventre.  J’étais maintenant sur le ventre, sur mes coudes et je continuais à sucer les mecs agenouillés.  La bière a de nouveau coulé sur mon dos.  Puis, parmi les mains, des baisers se sont posés sur mes fesses.  De la bière encore, sur ma raie et un des gars m’a écarté les fesses et s’est mis à me lécher.  Ça devenait vraiment fou!  Il passait de mon cul à mes couilles et à ma queue alors que les autres me baisaient le dos.  Et puis, des mains m’ont écarté les jambes.  Une autre main toute glissante s’est mise à me caresser la rosette.  J’ai senti un doigt, puis deux, puis trois.  On commençait à m’ouvrir pour ce qui allait suivre.  Je continuais d’explorer avec mes mains tout ce qui bougeait, toute cette chair lubrique autour de moi qui se tordait de plaisir.  Une grande ombre sur moi.  Le premier mec allait bientôt s’enfoncer.  Il mit ses deux mains de chaque côté de mon corps pour s’appuyer.  J’ai senti quelque chose de dur et lisse parcourir ma raie, sa grosse queue.  Puis, lentement, il a trouvé l’entrée et s’est enfoncé.  Je soupirais.  C’était le premier et non le dernier.  Il n’en finissait plus de s’enfoncer en moi, jusqu’à ce que son pelvis soit entièrement pressé contre mon cul.  Il était profondément en moi.  Puis, il s’est mis à faire vaciller sa queue avec quelques coups de muscles.  Et il a commencé à ressortir, puis à se renfoncer.  Pendant que mon cul était possédé par ce gros intrus, des mains me caressaient partout, on m’aspergeait de bière et des queues se frottaient contre ma tête, des langues me léchaient, me suçaient.

 

 

            -C’est du chic les mecs, fit Many avec sa caméra braquée sur nous.

  suite->   Ils continuaient leurs remous indécents et celui qui était en arrière, me ramonait avidement.  Les minutes passaient et la luxure grandissait toujours.  Il allait de plus en plus fortement.  Ses bons coups de pieu me faisaient me cambrer doucement.  Et puis, il s’est enfoncé suprêmement et j’ai senti les giclées chaudes se répandre en moi, son membre battre avec ferveur et ses râlements doux qui se mêlaient aux soupirs des autres.  Quand il s’est retiré, j’avais le cul bien ouvert, prêt à recevoir les autres.  Et puis un nouveau cavalier s’est empressé de le remplacer.  Il m’a couvert et j’ai senti un gros gland ouvrir le passage à une queue délicieuse.  Et il n’a pas attendu avant de me ramoner prestement.  C’était un peu plus sauvage mais aussi bon, différent.  Il s’est ensuite agenouillé et m’a relevé le bassin.  Il m’a saisi et s’est enfoncé de plus belle.  Alors je me suis mis à quatre pattes et je pouvais maintenant donner un peu d’attention à ces pauvres queues qui cherchaient ma bouche depuis quelques minutes.  Les autres mecs soupiraient, gémissaient.  Et le mec derrière moi me défonçait de plus belle.  D’autres gars me versaient de la bière sur le cul pendant qu’il me le pénétrait sauvagement.  Et puis, les minutes passèrent encore.  Cela paraissait une éternité.  Le mec derrière moi était infatigable.  Et moi, je jouissais à petit feu.  Ma queue était très sensible et un filet de présperme y pendait.  Mais je voulais les faire venir chacun en moi avant de venir moi-même.  Cette fois, je ne me servirais pas de mes mains.  Et puis le mec s’est mis à jouir.  Et hop, d’autres giclées chaudes venaient se mêler à celle de mon premier cavalier.

 

               

 

suite-> C’était tellement bon!  Ensuite, le mec pervers qui depuis le début voulait me faire mon affaire a pris une initiative.  Il m’a retourné sur le ventre.  Il m’a mis les cuisses sur ses épaules et avec un sourire qui tenait du sadisme, il s’est enfoncé.  C’était un homme plus félin que les deux premiers.  Il était plus mince et agile, il avait un visage très mystérieux.  Sa queue était moins épaisse mais plus longue et il savait la manier en moi avec une force inouïe.    Il était penché sur moi, sa sueur gouttait sur mon ventre, sa belle queue chaude m’enflammait la prostate.  Et d’autres mecs le caressaient, lui aussi.  Il se prenait vraiment au sérieux.  C’était un vrai piston dont l’ardeur n’aurait pu être éteinte par aucun océan.  Et j’étais pris dans un plaisir confus comme un orgasme continu mais moins intense, plus chaud.  Un peu de sperme finit par s’écouler de ma queue en pleine rage, et j’eus quelques spasmes, mais ce n’était pas un orgasme,  pas un vrai.  Le mec continuait inlassablement, et des queues s’enfonçaient dans ma bouche, les mecs devenaient de plus en plus avides.  Many trouvait des angles étranges pour nous filmer, il se caressait son gros bazar parfois, puis continuait à filmer.  Le piston devint de plus en plus violent.  Car mon enculeur, lui aussi avait l’intention, un jour, de se vider les couilles.  Et hop, il s’est mis à gémir et à avoir de beaux spasmes et il a joui.  Cela devait faire une éternité que nous étions là à baiser  et seulement trois mecs s’étaient vidés les couilles et leurs spermes se mêlaient dans mes entrailles.

 

 

 

  suite->    Le mec qui a suivi a eu l’idée de me coucher sur le côté.  Puis, il s’est penché sur moi, comme les autres et il s’est enfoncé.  C’était un homme plus robuste, avec une queue bien trapue.  Il n’a pas hésité une seconde à prendre là où mon partenaire m’avait laissé envahi de sperme.  Il était très rapide, agressif.  Ses gros muscles se contractaient avec une virilité absolue alors qu’il m’empoignait pour mieux me ramener à lui et me remplir de sa masculinité.  Ouf…  Je commençais à être essoufflé.  Un autre mec s’est littéralement mis à me baiser la gueule;  il a enfoncé sa grosse teube noire au fond de ma gorge.  Il commençait vraiment à vouloir se soulager.  Les autres, ceux qui s’étaient satisfaits étaient plus doux.  Ils se contentaient de me caresser doucement.  Mais j’avais ce malade au cul qui me défonçait et c’était un plaisir malsain!   Et là, dans une grande violence, il m’a fait ressentir le plaisir de son orgasme avec des coups de butoir tout à fait monstrueux.  Et ses giclées de sperme se répandirent en moi.  Il se retira, exténué et se mit à m’embrasser doucement.  C’était au tour du noir.   

 

 

 

 

   

 

 

 

suite-> Il leur a demandé quelque chose d’intéressant.  Alors, les mecs m’ont pris dans leurs bras.  J'étais étendu face vers le sol avec des beaux membres que je suçais, dans le vide.  Lui, il m’a écarté les jambes et s’est enfoncé avec une lenteur aussi démente que féroce.  C’est qu’il avait une bonne grosse queue.  J’étais maintenu dans le vide par leurs grosses mains viriles, je suçais des membres énormes et un gros bélier forçait, défonçait mes arrières.  Que demander de plus!  Bing Bang, les minutes passaient dans cet océan de luxure et de violence.  Le gros taureau noir s’est enfin mis à jouir et son sperme abondant m’a rempli.  Quand il s’est retiré, le sperme commençait à couler mais je me suis resserré autant que j'ai pu pour tout garder en moi.

 

   

 

 

 

suite-> Et puis le sixième mec a demandé son dû.  J’étais debout, penché vers l’avant et le bel athlète s’est enfoncé en moi avec son pilier ravageur.  Moi, je continuais à sucer les gros membres juteux qui avaient giclé et les membres raides qui n’avaient pas encore joui.  C’était une belle monte bien menée, assez rapide, impétueuse.  Le mec qui me défonçait était le plus jeune de tous, plus jeune que moi, mais le plus grand et un des plus baraqués.  Il tenait mes hanches comme si j’étais une poupée et me ramenait à lui fermement;  c’était un mouvement si mécanique, si précis si fort mais si juste.  Personne ne pouvait l’arrêter.  C’était indéniable, il s’enfonçait avec une force et une précision mathématiques, une puissance contrôlée que personne ne pouvait repousser.  Il était impossible de résister.  J’étais son objet et il m’empalait méthodiquement.  Cette sensation de possession était formidable.  Et pour terminer, il s’est mis à éjaculer fortement, très abondamment d’une semence jeune et fertile…  Évidemment, quand il s’est retiré, je ne pus retenir un jet de tout se sperme qui sortit vivement pour ruisseler le long de ma cuisse.  Le plaisir était si doux, ma queue n’en pouvait plus!

 

    Résultat de recherche d'images pour "fool naked boys bathe in beer"  suite-> On m’a recouché ventre contre sol.  On m’a ensuite écarté les jambes et un corps m’a recouvert en entier.  Il s’est enfoncé en moi avec une belle queue.  C’était probablement la plus petite de toutes, mais elle était pourtant très grosse et assez pour me faire jouir comme un fou.  Son corps me couvrait totalement, sa peau se frottait contre la mienne, il me serrait, m’enlaçait tendrement.  Il me baisait la nuque, me léchait, il allait et venait en moi doucement.  Je sentis tout l’amour qui se dégageait de ses caresses.  Il prenait son temps, absolument dévoué à me faire un plaisir immense.  J’étais au paradis.  Jamais on ne m’avait tant fait l’amour.  Car c’était vraiment tendre.  C’était tellement intense!  Il me pénétrait avec une autorité mêlée de respect et de révérence.  Je me sentais en pleine harmonie avec lui.

 

-Allez Nino, faudrait aboutir un jour, fit Many avec humour.

Les autres rirent un peu.  Ils savait que Nino adore prendre son temps, mais que surtout, Nino m’accorde beaucoup plus d’attention.  Il m’a fait me retourner sur le dos, m’a écarté à nouveau et s’est enfoncé et je pu le voir enfin de près.  C’était un mec svelte avec de beaux muscles, assez grand, mon type physique, un visage plein de tendresse et de beauté, d’amour et de folie.  Son regard était tellement intense, quand il s’est penché pour m’embrasser, je ne pus résister.  Il me caressait comme si je fus l’objet le plus précieux qui existât, ses doigts semblaient m’irradier d’éclairs, de frissons passionnés.  Il se collait sur moi pour mieux fusionner avec moi.  Non, ce n’était pas que du cul, je ne peux pas le croire.  Je me cambrais un peu, je fermais les yeux, nous renforcions notre étreinte j’avais tellement de plaisir.  Je dus lui faire signe de me ménager parce que je voulais me rendre jusqu’à la fin.  Il s’est retiré sans avoir eut d’orgasme.  Mais son plaisir avait été aussi fort que le mien, je le voyais dans ses yeux.

-Okay, fit Many.  Maintenant, on va essayer autre chose.  Hearl et Budd, vous allez lui faire un double…

Alors je les ai regardés.  Eux aussi se sont consultés.  Ils avaient de superbes queues, mais je doutais de pouvoir les prendre en même temps…  Mais qui ne risque rien n’a rien.  Et puis, ils étaient si craquants, ce serait l’apogée que d’être pris en même temps par ces deux mecs.  En fait il ne restait qu’eux et Many.  J’étais au comble de la nervosité et de l’ivresse.  Hearl s’est étendu sur le dos avec son beau membre bien dressé.  Je l’ai chevauché et j’ai lu son plaisir sur ses traits quand je me suis empalé sur sa queue.  Ouf…  Sa queue était bonne mais j’avais peur que n’arrive la seconde.  Je me suis étendu sur lui.  Puis, Budd s’est agenouillé derrière moi.  Il m’a caressé doucement le cul et il s’est mis à enfoncer son bel engin.  Hearl voyait avec plaisir ma douleur et me caressait le dos pour me détendre.  Il fallut quelques minutes pour que Budd fût totalement enfoncé en moi.  Alors, j’étais là dans le garage, chez moi avec deux types de la piscine bien enfoncés en moi en même temps.  C’était incroyable.  Quand Budd a commencé à bouger, j’ai senti toute la chaleur, le plaisir et la douleur confuse bouger en moi.  Les deux types allaient et venaient en moi assez lentement.

-Bravo, les enfants, allez, Marc, fais un sourire à la caméra!

Les autres mecs nous regardaient et se branlaient.  J’avais ces deux forces de la nature qui me pompaient.  C’était incroyable.  J’étais véritablement transporté  La suprématie de la possession de la soumission à la virilité devait être de se faire prendre ainsi par deux mâles, c’était vraiment une sensation follement chaude, rassurante.  Ils se sont mis à me pomper plus virilement encore, il fallait prendre maintenant les choses au sérieux  Après, je serais probablement tellement ouvert qu’un torrent de sperme fuirait de mon cul béant.  Ils me pompaient, me pompaient, me pompaient.  Leurs queues dures et tendres s’imposaient en moi, se battaient ensemble pour me donner un plaisir sans cesse croissant.  Bud me mordillait les oreilles, me caressait et Hearl parcourait mon ventre de ses mains viriles.  C’était l’extase, je planais!!!  Les autres mecs se sont approchés et m’ont donné leurs queues pour que je les branle, que je les suce, ils se sont mis à me caresser, à se branler.  Je sentais que le plaisir approchait.  En moi aussi, le plaisir montait comme une éruption.  Puis, une flèche de douleur et de plaisir me transperça.  Je me suis mis à gueuler tant c’était chaud, brûlant, doux, sucré!  Giclées après giclées, j’arrosais Hearl.  Les autres hommes continuaient à se branler.  Mon orgasme semblait durer des heures.  Budd et Hearl atteignirent ensemble l’orgasme et m’emballèrent violement et râlant avec leurs voix gutturales de barbares, déversant leur semence partout en moi, me remplissant comme un sac à foutre.  Et les autres mecs jouirent en cœur, nous arrosant de leur sperme, tous les trois.  Mon dieu, après tant de plaisir, que reste-t-il à vivre!!!

-C’est géant, les mecs, fit Many.

-Hum hum!!

 


DRAME

Mon sang glaça dans mes veines quand j’entendis ce bruit qui nous surprit.  J’ai levé la tête et j’ai vu avec horreur que la porte du garage était grand ouverte.  Et là, se tenaient Papa, Maman, Petit Frère et Petite Sœur qui rentraient de leur journée.  Mes parents étaient horrifiés de voir leur fils ainsi impliqué dans un gang bang immoral et obscène.  Je constatai avec horreur que depuis quatre heures nous baignions ainsi dans la luxure…  Je n’avais pas vu le temps passer.

Les mecs sont partis se rhabiller.  J’ai eu droit à un sermon fou.  Mes parents m’ont forcé à quitter la maison.  Pour l’amour de mon frère et de ma sœur.  Je sais que les choses vont s’arranger avec eux, ce n’est qu’une question de temps.  De toute façon, je mérite un peu ce qui arrive.  Quand je suis sorti de la maison, rhabillé, lavé, les mecs m’attendaient dehors, dans la rue.

-Alors, qu’est-ce qu’ils vont faire? M’a demandé un des mecs.

-Ils ne porteront pas plainte pour vous.  Mais je dois quitter la maison.  Ils n’acceptent pas que je fasse cela sous leur toit et c’est compréhensible.  Surtout avec mon frère et ma sœur…

J’ai vu Nino qui était près de Many s’approcher avec lui en conciliabule pour lui dire quelque chose.  Many s’est ensuite approché de moi.

Il m’a offert, si je n’avais nulle part où aller, de venir rester avec eux…  Ce devait être une idée de Nino.  En fait, ils restent tous les dix dans un loft en ville.  Un loft assez tenu, très grand, avec plusieurs lits.  Bref, maintenant j’en profite pour approfondir ma relation avec Nino, et Many, et les autres.  Et à l’appart, c’est la partouze générale à la moindre occasion…  Imaginez, presque en tout temps, dix bites, dix culs, dix bouches, vingt mains, et j’en passe…  Dix mecs bandants, prêts à baiser, non stop, 24/7…¤

docdoc. sur cyrillo.biz 

 

 

Par MARC - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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