Partager l'article ! L’étape la plus étrange a été de faire « disparaître » mon sexe. Un spray en pharmacie supprime les sensations du sexe. Je ne peux plus bande ...
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J’ai 18 ans. Ça fait deux mois que je fréquente un mec qui s’appelle Pierre. C’est un homme attirant. La cinquantaine musclée, virile, très poilu sur le torse mais rasé du
pubis. Il dirige toute son attention au lit, il est attiré sur l’acte de dominer. Il est très endurant et puis surtout, monté comme un cheval, Humm !
C’est un très bon amant.
Pierre, est bi. Sa femme sait qu’il me fréquente. Au bout de 2 mois nous avons tous les deux effectué un test VIH et promis d’utiliser une capote lors de chaque nouveau rapport avec un étranger.
Pierre est constamment à la recherche de nouvelles idées pour renforcer notre rapport dominé/soumis. Il en est venu très rapidement à la féminisation, ce qui me convient parfaitement. Je suis donc maintenant donc sa « petite pute », ou encore « salope » et même « chienne », et bien d’autres. Tout m’allait parfaitement. À notre deuxième rencontre Pierre m’avait rapporté un tanga en dentelle noire. Je l’ai enfilé avec joie avant de prendre mon amant, surexcité en bouche.
Cela fait deux semaines que nous parlons d’aller plus loin. Pierre m’a demandé de me travestir totalement - rasage du peu de poils que je possède sur le corps, strings, collants, des prothèses en silicone mammaires et un soutif en dentelle. Je devais également enfiler un haut serré et une perruque coupée carrée. J’avais accepté.
Pierre s’était occupé de trouver chaque article. Il passa un matin chez mon papa (il ne sait pas que je baise avec mon papa et mes frères) pour me remettre l’ensemble des vêtements. Nous nous étions donnés rdv le soir même dans un bar près de son appartement. Je devais venir maquillé. Au lycée je suivais des cours de théâtre. Je savais donc comment appliquer le fond de teint, le rouge à lèvres et le mascara.
Camoufler son sexe peut être inconfortable et troublant les premières fois,
mais la pratique finira par devenir une seconde nature. Aspect banal de la vie quotidienne des femmes trans, pour de nombreux hommes travestis c'est éprouvant de voir leurs testicules
disparaître dans leur abdomen, et ils craignent que cela ne soit définitif ! En faisant remonter les testicules dans le canal inguinal, les parties génitales sont réduites d'un
tiers. Il y a donc beaucoup moins de « chair » à dissimuler. Ca ne se verra pas, même sous des jeans serrés et le trans dispose de tous ses moyens de séduction. |
Je suis du genre minet et le tout me va à merveille. En me voyant dans le miroir j’eus du mal à me reconnaitre. Je suis très belle et je me dis je ressemble à une pute. Il n’y avait rien d’autre à dire. L’étape la plus étrange cependant été de faire « disparaitre » mon sexe. Pierre m’a trouvé un tuto en ligne. J’ai dû m’allonger sur mon lit, remonter délicatement les boules, puis avec du scotch, attacher mon sexe au scrotum à présent vide, avant de remonter le tout entre mes fesses. La sensation est étrange mais à vrai dire, agréable. Pierre m'a même trouvé un spray en pharmacie réduisant temporairement toute sensation au niveau du sexe. Je ne pouvais plus bander.
Le trajet en métro jusqu’au bar fut étrange. Je partis la tête basse, j’avais honte, serrant mon sac à main contre mon torse. Très rapidement, cependant, je me rendis compte qu’on ne me prêtait aucune attention. Au premier regard, je suis une jeune femme de sortie, rien de plus. La réalisation me donna du courage, et a vraie dire m’excita aussi. Je levais donc la tête, arborant un sourire.
En arrivant au bar, Pierre resta bouche bée.
Puis il sourit, s’approcha, et pour la première fois de notre « relation » m’embrassa à pleine bouche. Je lui rendais le baiser, sentant ses mains me
serrer à lui, s’emparer même de mes fesses devant tout le monde.
Notre rencard dura peu de temps. Sa main ne quitta jamais mes cuisses. Mais je restais imperturbable, mes mains croisées sur la table. Mais je ne pensais qu’à une chose - me laisser culbuter par cet amant surexcité. J’allais devoir m’y prendre lentement, au risque de le faire jouir trop rapidement.
Pierre commanda un taxi et je le suivis chez lui.
« Elle n’est pas un peu jeune pour toi l’ami ? » Rit le chauffeur.
Pierre répondit sans attendre, « oh non, croyez-moi, elle cache bien son jeu. »
« Je veux bien le croire ! »
"C’est une vraie salope"
Pierre me fit monter les escaliers de son immeuble la première. Je sentais son regard sur mon cul. Arrivés à sa porte il se retourna. La porte d’entrée se trouvait devant l’escalier.
« Allez montre moi que tu es une bonne salope et suce moi. » Il plaça ses mains sur mes épaules et fit pression.
« Ici ? »
« Suce je te l’ordonne. » Mon amant déboutonna sans attendre son jean.
Je tombai à genoux, remontant légèrement ma jupe. Mon amant sorti sa queue, déjà raide. J’ouvris la bouche et il me fourra son gland entre les lèvres.
« Vas-y petite salope, prend la bien en bouche. »
Oui comme ça ! Va s’y !
J’écartais les lèvres d’avantage et laissai Pierre me limer la bouche. Sans prévenir, au bout d’une minute, mon amant se raidit et je sentis un jet puissant et
chaud se lancer au fond de ma gorge. Déçu, j’avalais le foutre et me reculai.
« Déjà ? »
Ta gueule salope !
« Tu n’inquiètes pas ma belle, on est loin d’avoir fini toi et moi. »
Il me fit lever puis ouvrit la porte.
Nous entrâmes dans le salon. Sa femme lui avait laissé l’appartement.
Pierre alluma une lumière et j’aperçus, dans un miroir au fond de la pièce, mon visage. J’avais du rouge à lèvres tout autour de la bouche. Ma jupe était toujours
remontée autour de mes cuisses.
« Sers-nous à boire, tu veux bien ? » Il indiqua une bouteille de rouge et deux verres sur la table.
Pierre s’installa dans le canapé et me regarda faire.
« Alors, tu te sens comment ? »
« C’est excitant. »
Il sourit. « Je savais que ça te plairait. Pas d’érection ? »
« Non. »
« Parfait ! »
Je me tenais devant lui, les jambes serrées, légèrement déhanchée. J’avais une main sur la taille, l’autre tenait mon verre. Pris d’une envie soudaine, je le vidai puis le reposai sur la table. Je défis ma jupe et la laissai tomber. Puis je me mis à quatre pattes et revins lentement vers mon amant.
« J’ai envie de sucer ta grosse queue. »
« Gourmande ! » Il défit de nouveau son jean.
Je me plaçais à quatre pattes entre ses cuisses et sortis son sexe, mou cette fois, du pantalon. Une fois en bouche cependant, mon amant raidit presque instantanément. Il me laissa le sucer longuement. Puis, sa queue turgescente, tachée de mon rouge à lèvres, il me fit signe d’arrêter. Il se leva et je fis de même.
« Viens. »
Je le suis dans la chambre. J’ai encore mon haut, laissant deviner la courbe de mes faux seins ainsi que mon string. Pierre se dirige vers la table de nuit et en sortit un tube de lubrifiant. En me fixant du regard, il s’applique une lampée sur le gland, puis s’astique le membre.
« Ben qu’est-ce que t’attends ? Mets-toi sur le lit. »
Je me place à quatre pattes sur le matelas.
« Pas comme ça. Sur le dos. Je veux te baiser comme je baise ma femme. »
J’obéis et me retourne. Puis j’écarte les cuisses. Je sens que mon sexe commence un peu à enfler. Mais le scotch le retient encore fermement en place.
Pierre s’approche, se saisit de mes jambes et les écarte davantage. Puis il écarte la bretelle de mon string.
Son doigt, froid de lubrifiant vient se coller à mon anus. Ensuite, je regarde tandis que mon amant positionne son sexe gonflé entre mes jambes. Il sourit et fait
pression.
Je gémis en sentant le bout de son sexe entrer en moi.
« Détends-toi. Laisse-moi te prendre comme une bonne femelle. »
Peu à peu, Pierre s’enfonce en moi. La pénétration devient plus facile une fois le gland totalement enfoncé.
« Tu aimes ça hein ? »
« Oh oui ! »
Mon amant commence les va-et-vient et vient s’allonger entre mes cuisses. Je le tire vers moi, mes mains s’agrippant à ses fesses. Il me baise longuement. Puis il me fait retourner. Il me laisse à peine le temps de lui offrir mon cul qu’il se pousse en moi une nouvelle fois. Au bout de quelques minutes je sens le plaisir monter. Je jouis, laissant échapper un cri aigu.
Pierre continu, ses coups de reins se faisant plus forts et espacés. Il grogne profondément et s’immobilise. Ses mains me tiennent toujours fermement par la taille. Il s’enfonce jusqu’à la garde et je sens un jet chaud se projeter en moi.
« Voilà petite salope, baisée comme il se doit. »
Après je suis rentré chez mon père et j'ai tout raconté à mon papa chéri et aussi à mes frères ce qui leur donne des idées alors chacun leur tour ils m’ont
enculé à fond pendant des heures.
commentaie :
vertige des fringues que m'offre Pierre
Compris ? tu mets une capote à
tous les autres mecs que tu rencontres
c'est la journée mondiale de l'orgasme on voit des orgasmes partout
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