PROSTITUES DE MON COEUR
Rassurez-vous je suis majeur, depuis peu, mais ça y est...et j'ai l'intention d'en profiter !
T-shirt kaki d'où sort une masse de poils noirs... Il a une vraie gueule de vicelard. Je serais capable de jouir là sans me toucher tant je
suis excité. Ce n’est pas un bel homme mais il colle parfaitement à mon fantasme. Me vendre à un bel homme serait moins excitant...
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J’ai toujours aimé le sexe mais jusqu’ici je n’ai connu que des relations assez
classiques. Mon rêve serait de devenir un objet sexuel entre les mains d’un ou plusieurs mâles. Devenir vénal! Depuis plusieurs années, ce fantasme ronge ma libido et je suis fermement décidé à
le vivre.
Je tremble, mon cœur bat la chamade. C’est aujourd’hui que je saute le pas. Je me
suis habillé très... pute... T-shirt moulant et déchiré, short très court, bottines et grosses chaussettes... Je vais enfin me vendre, me prostituer...
J’ai bien réfléchi à propos de l’endroit où j’allais «pratiquer» mon art. C’est sur
une aire d’autoroute très fréquentée par les routiers que j’ai jeté mon dévolu. Ce n'est pas la première fois que je me gare sur ce parking. J’y suis venu souvent pour m’installer devant les
urinoirs et lorgner les queues de mes voisins. J’ai souvent eu envie d’aller plus loin et de m’offrir à certains hommes qui me tâtaient le cul mais... j’ai toujours reculé au dernier moment.
Aujourd’hui, c’est certain, j’irai jusqu'au bout. Je gare ma voiture non loin du bloc des toilettes. La place choisie est idéale, légèrement en retrait mais visible des hommes cherchant une pute.
Je respire un bon coup.
Le doute m’assaille... Les doutes même... Vais-je vraiment oser? Y aura-t-il des
clients potentiels? Vais-je leur plaire? En fin de compte, je ne dois pas me faire trop de souci. Je suis un beau mec de dix huit ans, très désirable et très vicieux. Je sors de ma voiture et
m’expose aux regards des deux ou trois conducteurs installés dans leur voiture. J’ajuste mon short qui rentre dans ma raie chaude et humide. Je dois ressembler à ce que je veux être; une salope
prête à tout! J'espère que cette exhibition affiche bien mon statut: pute à louer...
J’essaie de me détendre, de calmer mes battements cardiaques accélérés... Je
n’arrête pas de me parler à moi-même:
— Relaxe-toi, imagine ce que tu vas peut-être vivre. Tu vas enfin réaliser ton
rêve!
Un nouveau doute! Je le chasse vite en tapotant les poches de mon blouson court.
Les préservatifs, j'ai crû que je les avais oubliés! Je sens ma bite qui gonfle et le cockring qui en serre la base. Mon cul palpite.
Je m’appuie contre la portière côté conducteur. Il ne me reste plus qu'à
attendre... Les bruits des voitures qui passent à côté de l’aire de repos sont étouffés par la végétation. Il y a un petit massif de buissons derrière moi. Ça doit faire un quart d’heure que je
suis là, fébrile et anxieux, et toujours rien. Je commence à envisager la fuite quand un énorme camion s'approche doucement et passe devant moi. Ma queue sursaute. Putain qu’est-ce que j’ai envie
d’une bonne bite! J'aperçois le chauffeur qui se penche pour me regarder. Je prends une pose lascive et j’expose mes avantages à sa vue. Le camion m’a dépassé et je suis déçu. Soudain, le bruit
du moteur s’arrête. Mon coeur fait un bon dans ma poitrine. Le routier sort de son habitacle. Il est massif et assez grand. Il porte une casquette. Il a la quarantaine, un ventre de buveur de
bière et il porte un T-shirt kaki d'où sort une masse de poils noirs... Il a une vraie gueule de vicelard. Je serais capable de jouir là sans me toucher tant je suis excité. Ce n’est pas un bel
homme mais il colle parfaitement à mon fantasme. Me vendre à un bel homme serait moins excitant...
Il s'approche et s'arrête à deux pas de moi. Ses yeux me dévisagent puis descendent
pour se fixer sur la bosse de mon short. Son regard me déshabille sans pudeur... Mon cœur s’emballe à tout rompre.
— Combien?
Ça y est! J’ai ferré mon premier client.
— 80 euros...
— T’es cher... Tu suces et tu te fais baiser pour ce prix là au
moins?
— Oui, je fais tout...
— T’es cher mais tu me bottes vraiment! J’aime les putes dans ton
genre...
Il me fout la main au paquet et me tripote les seins. Je me sens humilié face à son
attitude... Il soupèse la marchandise avant de l'acheter. C’est normal, non? Il anticipe sur le plaisir que ses 80 euros vont lui rapporter... C'est ce que je voulais après tout....
— Viens dans ma cabine...
Cette fois, c’est parti! Je ne peux plus reculer maintenant. Je vais y passer... Je
vais faire ma première passe. Il me fait passer devant lui et en profite pour me caresser les fesses. Il doit y avoir des mecs qui me regardent de leur voiture et nous jalousent et c’est hyper
bandant.
— Allez, monte là-dedans, que je m’occupe de ton petit cul...
Je suis surpris de la taille et du confort de l'habitacle où je vais subir sa loi.
Sa loi de mâle! Il ferme la portière et tire les rideaux, nous isolant de l'extérieur. Il s’installe confortablement et baisse son slip sur ses chevilles poilues. Je découvre un beau sexe bien
droit et très large.
— Qu’est ce que t'attends? Viens me sucer... pour commencer...
Je m’agenouille sur la banquette et je me penche sur le membre encore mou. Mon cul
est bien dressé et ça doit l’exciter.
— Ouais, comme ça... Cambre-toi bien, ma poupée !
Ma main saisit sa bite tandis que ma bouche l’engloutit. Très vite, je la sens
grossir entre mes lèvres. L'homme a glissé sa main entre mes cuisses écartées et caresse ma raie veloutée. Le mec gémit et sa bite est maintenant énorme. Sa main fait pression sur ma tête pour
que j’avale son sexe plus profondément encore. J’ai du mal à respirer car son gros gland bute contre mon palais... Ses doigts fébriles cherchent l’entrée de mon trou.
— Hé dis donc, ma petite pute, mais tu es toute mouillée... Déjà prête à
l’emploi!
Me voilà bien excité par sa réflexion. J’ai très envie de satisfaire mon client.
Son index s'introduit dans mon cul. Je gémis comme un chiot.
— Bonne petite pute... T'es chaude toi dis donc... Continue bien à sucer mon sucre
d’orge... Plus tu le fais gonfler plus il te donnera du plaisir!
Pour ma «première fois», je suis tombé sur un client qui sait y faire avec les
putes de mon genre. Il m’excite terriblement. Soudain, il se penche et étend le bras pour permettre à ses doigts de me fouiller plus profondément... C’est trop bon d’être rempli par les deux
bouts. Je pousse un petit cri et il me claque les fesses. Il n'est pas tendre et s'amuse sans tenir compte de mes désirs...
— Bouge ton cul, avale la bien jusqu’aux couilles.
J'obéis et mon cul vient à la rencontre de ses doigts plantés dans mon petit
trou... Je m'y empale en grimaçant.
— Bordel que tu pompes bien! Arrête de me sucer, tu vas me faire
jouir.
Je me remets à genoux, cambré et fouillé par ses gros doigts velus...
— On comme si c 'était ta première passe!
— C’est MA première passe!
— Putain, j’en étais certain. Allez. Fous-toi à poil maintenant... Je vais
m'occuper de toi... et bien, crois-moi!
Il allume une clope et me regarde en connaisseur me foutre à poil.
— J’ai senti tout de suite que t’étais une bonne. Allonge-toi sur la couchette
derrière et relève tes jambes que je vois bien ta raie... Redresse un peu ton cul... Ouais...voilà...
Je relève les genoux sur mon ventre et les maintiens avec mes mains, puis penche
mes reins en arrière afin de bien montrer mon cul, de lui offrir la vue de ma chatte ouverte et luisante de mouille (de gel en fait).
— Je vais te le bouffer, moi, ton petit cul. Tu vas voir, ça va te
plaire.
— Ouais, bouffe-moi la chatte!
— Tu aimes qu’on parle de toi comme d’une femelle, hein?
— Ouais. J’en suis une. Un vrai trou à bites.
Sa tête plonge entre mes cuisses et sa langue tourne autour de mon anus. Je ne le
vois plus mais je sens ce qu’il me fait. C’est divin. Il commence à me lécher les couilles tandis qu'il me sodomise avec son pouce. Je gémis encore. Sa bouche s’occupe de mon trou et le lubrifie
en profondeur.
Je bande à tout rompre et je suis dans un état second... sa chose quoi ! Mes yeux
tombent sur sa queue qui doit avoir triplé de volume. Elle est monstrueuse , mélange de désir et d'angoisse !
— Allez, on passe aux choses sérieuses! Fous-toi à quatre pattes.
Il s’installe derrière moi, à genoux entre mes chevilles. Je me sens mal. Il
agrippe mes hanches et je sens son énorme gland forer mon étroit orifice.
— Non, pas maintenant!
— Hein? Comment «pas maintenant»? J'ai payé non? Tu savais à quoi t'attendre...
Assume jusqu’au bout, petite salope! T’as peur d’avoir mal... Crache-toi sur la main et lubrifie encore mais maintenant je vais t'enculer. J’ai une capote... Tu risques rien! Si tu es sage et que
tu me laisses faire tout ce que je veux, je te donnerai même un supplément... Allez respire et détends-toi..
L’entrée est rapide et brutale... Je hurle et il me fout mon jockstrap en bouche.
Une douleur effroyable irradie mon cul... L'homme n'en a rien à foutre et il continue son va-et-vient de mâle en rut. Je m’agite trop à son goût et il me crie dessus.
— Assume, je t’ai dit! Une pute ça morfle sans se plaindre!
Il se retire doucement pour de nouveau me pénétrer profondément... J’essaie de
dominer mes cris. C’est épouvantable. La torture n'en finit pas car il prend son temps. Est-ce que je finis par m’habituer... Toujours est-il que la douleur devient acceptable. Les larmes
s’arrêtent et je respire mieux. Un dernier coup de reins. Les poils de son pubis collent à mes fesses. Il grogne comme un chien. Je passe dans toutes les positions et nous finissons, moi assis
sur lui, empalé sur sa tige droite. Il s’agite à son tour et son visage s’empourpre.
— Je jouiiiiiiiiis! Putain! Sale truie, sale charogne de pute...
Il est sorti de mon cul et la capote est pleine de foutre. Le calme revient. Il me
sourit.
— T’as vraiment été à la hauteur, mec!
Je me rhabille. Je suis assez content et fier.
— Tiens!
Il me tend mes 80 euros. Je les regarde, hébété.
— Tu les a bien mérités, je passe ici le jeudi et le samedi vers 20 heures... Si ça
te dit...
— Pourquoi pas! C’était très chouette...
Mon cul est moins d’accord avec le «chouette». Il a bien morflé, lui. Je rentre
chez moi, partagé entre deux sentiments: la honte et la fierté.
Une bonne douche me détend et puis je me couche pour repenser à ma première passe.
Cette fois, je suis vraiment un prostitué
A SUIVRE
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