Partager l'article ! déjà, question capotes il faut se faire confiance puisque vous ne pouvez pas voir et si, sans le dire, en pleine action quand vous avez la teub du m ...
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...eh ben en levrette on est baisé bareback sans le savoir déjà, question capotes il faut faire confiance puisque vous ne pouvez pas voir et si, sans le dire, en pleine action quand vous avez la teub du mec dans le fion, il retire la capote...
Ouf ! Je croyais que tu avais enlevé la capote sans me le dire !
...on risque d'être baisé bareback sans le savoir
là c'est moi qui lui ai demandé de finir sans capote et de me jouir dedans...je l'ai même aidé à se décapoter, regardez :
ça a dû le déculpabiliser puisque, comme vous pouvez le voir c'est moi même qui ai tiré sur le préservatif, marquant mon consentement absolu à me faire inonder-avec délices - les intérieurs avec son sperme !
NOTES :
C'est une première en Suisse. Un homme a été condamné à douze mois de prison avec sursis pour viol après avoir retiré son préservatif pendant un acte sexuel, sans prévenir sa partenaire. Pour son avocat, il s'agissait d'"un plan cul entre adultes consentants avec accident de préservatif". "Il n'y a rien de pénal", s'est ému la défense, rapporte le quotidien 20 Minutes.
En juin 2015, un Français de 47 ans, inscrit sur l'application de rencontres Tinder, "match" avec une femme. Le couple se rencontre pour un premier verre, dans un lieu public, avant de se rendre dans l'appartement de la femme. Après un premier rapport sexuel consenti, le quadragénaire tente d'obtenir une fellation sans protection. Sa partenaire refuse, s'ensuit alors un second rapport sexuel.
La partenaire se rend compte que sa rencontre d'un soir a retiré son préservatif avant la fin du rapport. La femme lui demande des comptes. Ce dernier lui rétorque de ne pas s'inquiéter, qu'il se "contrôle". Anxieuse, elle va lui demander de faire un test pour le Sida. Ce que refuse le Français. Pendant quatre mois, elle va suivre un traitement préventif anti-VIH avant d'obtenir les résultats.
Le tribunal correctionnel de Lausanne a estimé qu'imposer un rapport sexuel non protégé était assimilé à un viol. Pour la justice, la victime aurait refusé le rapport si elle avait su que l'homme ne s'était pas protégé.
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