Partager l'article ! GRECE comment on dit zob en grec ?Le mont Athos n'est pas le mont Olympe ou Ganymède fut violé par Zeus, le moine n'était pas Zeus et le touriste n ...
le moine n'était pas Zeus, il s'en faut ! il puait le chibre mal tenu et le touriste n'était pas Ganymède mais un bel étudiant PD parfumé des années 30
Dans la mythologie grecque, sur l'Olympe, Ganymède est un amant de Zeus et celui qui sert à boire aux dieux. Sa beauté est devenue proverbiale il est le successeur de la déesse Hébé dans la fonction d'amant(e)
Le moineland du mont Athos est occupé par des religieux orthodoxes depuis le IVe siècle après J.-C. bénéficie d’une autonomie à la fois administrative et judiciaire, d’une dispense d’impôts et d’une non-soumission au recensement qui fait qu’on ne sait pas exactement combien de moines y vivent. On dit 2000. Etant donné qu’ils ne se reproduisent pas, ce n’est pas très grave.
Toute présence féminine y est strictement interdite et passible d’une peine d’un an de prison. La misogynie et le sexisme de ces barbus moyenâgeux et réactionnaires ne connaissent aucune limite : même les animaux de sexe féminin sont interdits de territoire ! Enfin, pas tous. Les vertébrés sont tous proscrits, certes, sauf les poules, vu qu’on a besoin de leurs œufs frais pour les manger. Hypocrisie quand tu nous tiens. Quant aux femelles de mouches et moustiques, on se demande comment les moines réussissent à les plier à cette charia orthodoxe.
On est très loin des proxénétes, marchands de chair humaine, de Moldavie, mais on n’échappe pas pour autant aux turpitudes du sexe en cette terre sainte qui devrait être un haut lieu d’abstinence sacrée. Et puisque les pauvres moines ne peuvent pas se taper de chèvres (elles sont femelles, vertébrées et ne pondent pas d’œufs !), ils sont contraints de pratiquer une homosexualité honteuse et plus ou moins cachée. Pas tous, certes, mais à lire Lacarrière dans L'été grec, on n’est parfois pas loin d’être dans un lupanar gay. Il raconte avoir été l’objet d’avances sexuelles explicites, et parfois à la limite de la tentative de viol, de la part de moines priapiques.
Un autre voyageur, François Augiéras, raconte ses torrides liaisons homosexuelles avec ces hommes de Dieu dans son Voyage au Mont Athos :
On est très loin des marchands de chair humaine de Moldavie, mais on n’échappe pas pour autant aux turpitudes du sexe en cette terre sainte qui devrait être un haut lieu d’abstinence sacrée. Et puisque les pauvres moines ne peuvent pas se taper de chèvres (elles sont femelles, vertébrées et ne pondent pas d’œufs !), ils sont contraints de pratiquer une homosexualité honteuse et plus ou moins cachée. Pas tous, certes, mais à lire Jacques Lacarrière dans L'Eté Grec on n’est parfois pas loin d’être dans un lupanar gay. Il raconte avoir été l’objet d’avances sexuelles explicites, et parfois à la limite de la tentative de viol, de la part de moines priapiques."Un voyage à Athos c’est d’abord un voyage dans le temps. (...) Athos est une survivance, une parcelle de Byzance enclose en notre époque." Un autre voyageur, François Augiéras, raconte ses torrides liaisons homosexuelles avec ces hommes de Dieu dans son Voyage au Mont Athos :
« Une forte odeur de crasse se dégageait de sa personne. [...] Il avait cru,
en entrant dans ma chambre, qu’il allait à l’instant me traiter comme on
violente une fille. Robuste encore, mais ayant trop présumé de ses forces, il
devait se contenter de me baiser les yeux ! De mon côté, tout disposé à de
très grands outrages, il me fallait me satisfaire du délicieux contact de sa
langue sur mes paupières closes ! Le temps passait, nous en étions au
même point. Il osait enfin me caresser le dos ! Non pas tellement qu’il y
prenait du plaisir ! Mais dans l’espoir d’un possible retour de ses forces
d’antan, il laissait une main à tout hasard, se rapprocher de mes reins ;
tandis que de l’autre, par divers mouvements, il aidait la nature à retrouver
une verdeur perdue. [...] J’étais à demi nu ; ma peau, rendue très sensible en
raison de la fraîcheur de l’air, frémit de plaisir aux premières caresses un peu
vives. Il touchait maintenant mes hanches, toujours plus tendrement, d’une
manière exquisement habile. Depuis un moment il avait cessé de fourbir des
armes qui n’étaient plus de bois. D’un geste brusque, il fit glisser sur mes
chevilles les vêtements défaits qui me couvraient les cuisses, et il monta sur
mon lit. Ma longue attente, mon impatience extrême, une attaque un peu
rude me portèrent aussitôt jusqu’à des plaisirs qui, pour être grossiers, n’en
étaient pas moins délicieux. Un nocturne hululait ; un charme venait des
arbres : séduit, possédé, violenté, habité par un autre, je n’étais plus seul en
moi-même. La part féminine de mon caractère participait, dans un parfait
délire, à l’éternité de la vie ; je me sentais brutalement distrait d’une solitude
qui me pesait souvent. [...] Par des grognements et des baisers furtifs, il me
manifestait tout son contentement ; il me murmurait à l’oreille mille
remerciements d’avoir considéré plus d’une heure, sans un mouvement
d’impatience, que son grand âge ne le rendait pas des plus vifs : j’étais un
ange de douceur et de bonté pour lui ! »
Torride, ces ébats de bêtes à Dieux dos ! Andréi, un proxo, l’a donc échappé belle. Dommage, d’ailleurs : s’il était un rabatteur hétérosexuel d’un réseau de prostitution, il aurait été plaisant qu’il se fasse violer par tout un mâle dominateut dans ce troupeau de moines sodomites assoiffés de stupre !
Bon, n’exagérons rien. Comme le disait un pope à Jacques Lacarrière, “
«
L’homosexualité existe au mont Athos. Il ne sert à rien de se voiler la face. Mais il serait tout aussi faux de lui accorder trop d’importance. Elle n’est le fait que d’une minorité et de tous les péchés des moines, ce n’est pas à mon sens le plus grave. C’est un péché de chair
qui viole le vœu de chasteté - mais qui peut être aussi source d’amour. La plus dangereuse des tentations qui guettent le moine, c’est l’orgueil et le doute. Car celles-là rongent et détruisent l’âme. Et c’est l’âme, en ce lieu, que nous voulons retrouver et sauver »
Et puis ce ne sont après tout que des relations sexuelles entre adultes consentants. Rien à voir avec les marchands de chair humaine moldaves, roumains, albanais, kosovars ou ukrainiens (et autres)...
pour une fois la discrimination est en faveur des gays...hihi
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