qui ne serait pas tombé amoureux d'un si beau policier
qui n'aurait pas cherché à le séduire, surtout s'il s'est montré assez machobrutal Je rencontre Samir dans le cadre de mes fonctions policières. Il me suit et trouve mon appart. S'il est amoureux de mon cul, toutefois ça reste un peu violent...
DE MEME :
biographie authentique :
En
1943,Jean Genet rencontre, lors d’un séjour à Marseille, le policier Bernardini, dont il est peut-être l'indic,qui l
le Vieux Port en 1943
e fascine, et dont il devient bientôt l’amant. Infraction de part et d'autre au code pénal, certes, mais aussi révélation sur l'attirance des opprimés envers les personnes qui obéissent à
leurs oppresseurs. Objectivement passif, Genet s'est montré souvent content d'être incarcéré, amoureux des caïds du milieu carcéral, à commencer par le groupe (a)-social de
la maison de correction de sa jeunesse et jusqu'au criminel Arcamone qui finit guillotiné (Ecrit poético-autobiographique de "Notre-Dame -des-Fleurs". Je n'aime pas appeler les écrits
de J.Genet "romans", tant il y a de lui et de toute son âme dedans.
Jean Genet en 1948
iL ETAIT AUTODIDACTE VOUS SEREZ ETONNE DE LA BEAUTE DE LA LANGUE DE JEAN
GENET ET DE SA BIOGRAPHIE FERTILE EN DRAMES ET EVENEMENTS Lors des combats pour la Libération de Paris, le 19 août 1944, Jean Decarnin, jeune résistant communiste de 20 ans, amant de Jean Genet, est tué par un milicien
sur les barricades. Pour célébrer sa mémoire, Genet commence, dès le mois de septembre, la rédaction de Pompes funèbres, qui sera publié clandestinement en 1947. Pompes funèbres s’ouvre sur l’enterrement de Decarnin. Ce texte, écrit du point de vue de celui qui a tué son ami, est une
dénonciation de l’hypocrisie bourgeoise face à la Milice, une mise en scène du culte du corps et de la virilité développé par le nazisme, et, par-dessus tout, un travail de
deuil.
Provocateur et scandaleux, il cherche à déclencher chez le lecteur d’après la Seconde Guerre mondiale une prise de conscience extrême de l’extraordinaire séduction du
mal.
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https://journals.openedition.org/gss/1976
Jean Decarnin, jeune résistant communiste de 20 ans, amant de Jean
Genet, tué par un milicien sur les barricades
Je sais pas pkoi tous ces mecs qui se décrivent dans leurs récits se disent grands, blonds aux yeux bleus, Ici voilà encore une
chose qui rend le récit d'un policier gay moins crédible ! C'est bête de mentir-lol-
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https://cyrillo.biz/histoire/flic-caid.html
Le policier c'est le maître par définition et souvent les plus caïds recherchent leur
protection, voire leur bite dans leur bouche et dans leur trou et ça donne de l'amour, de l'amour, de l'amour, ...comme disait Johnny
Sébastien, 24 ans, 181, blond court, yeux bleu . Je suis policier. Il y a environ 7 mois, on m'a transféré en
région parisienne. Jusqu'alors, je n'avais jamais quitté ma Bourgogne natale. J'ai atterri dans le 91. C'est moins chaud que le 93 mais ça reste un sacré changement pour moi.
J'ai pas eu trop de mal à m'intégrer avec mes nouveaux collègues. La plupart sont jeunes et originaires de province comme moi. Par contre, avec les
délinquants et les habitants des quartiers c'est une toute autre histoire. Trop de violence, aucun respect pour la police et une situation qui peut dégénérer pour un oui ou pour un non. Et puis,
il y a ce petit con de Samir. Un jeune beur d'à peine 20 ans qui se fout de la gueule des flics de tout le commissariat.
Samedi dernier, Samir a été interpellé pour la troisième fois en 2 mois. Et comme à chaque fois, y a pas assez de preuves ni de témoins contre lui.
On est obligé de le relâcher. Le gars a un casier quasi vierge alors que tous les flics savent pertinemment qu'il est impliqué dans pas mal de trafics genre drogue, voitures volées,...
Depuis quelque temps, j'sais plus trop ce qui m'arrive. Je ne peux pas m'empêcher de mater Samir à chaque fois qu'on le fait venir au poste. Il
m'attire. Je n'y peux rien. Faut dire qu'il est sacrément bogoss. Il doit mesurer environ 1m80, peau mate, cheveux noirs bouclés et de très beaux yeux marrons qui m'hypnotisent pour de vrai. Il a
une gueule d'ange viril et un corps finement musclé. Il fait du sport. Du judo et du handball. Résultat : un sacré petit cul bien musclé que j'ai bien envie de tripoter. Il tourne autour de 2
tenues : un survet blanc et vert et une combinaison pull over/jean quand il fait un peu plus froid. En revanche, le mec à une sacrée collection de baskets en tout genre. Il doit avoir une
trentaine de paires sans exagérer.
Lors du dernier interrogatoire Samir m'a regardé direct dans les yeux à de nombreuses reprises. C'était étrange et assez excitant. On était pas
seuls. Y'avait une collègue dans la pièce. Pourtant, le mec n'a pas arrêté de soutenir mon regard sans rien dire. J'ai même un peu rougi à un moment donné. Ma collègue a remarqué que Samir
n'avait d'yeux que pour moi. Heureusement, sa théorie c'était que Samir est un macho sexiste qui n'aime pas les femmes flics. Ma théorie à moi c'est que ce petit con a fini par se rendre
compte de mon attirance pour lui et qu'il a décidé de se foutre de ma gueule et de me mettre mal à l'aise.
Le weekend est vite arrivé. Je suis assis torse nu et en jogging sur le canapé de mon petit appart de banlieue. Je regarde du sport à la
télé.
On sonne à la porte. J'ouvre sans prendre la peine d'enfiler un tee shirt et je me retrouve nez à nez avec Samir.
"Qu'est-ce tu fais là toi?". Je regarde autour. Il est venu seul.
"Putain pas même un bonjour!" me dit-il le sourire aux lèvres.
"Comment tu sais où j'habite?"
"Vous les flics, vous me suivez toute la journée dans la cité. Pour une fois, j'ai fait le contraire l'autre soir et j'ai vu que t'habites
ici"
"Bon d'accord mais ça me dit toujours pas ce que tu fous là devant ma porte. Un dimanche après-midi!"
"J'ai remarqué comment tu me dévores du regard à chaque fois que tu me vois. Même là t'as du mal à me regarder en face"
Putain! Les voisins risquent d'entendre. Je ne tiens surtout pas à ce qu'ils se fassent des idées. J'ai jamais été ouvert au sujet de mon
homosexualité. Par conséquent, je n'ai qu'un choix devant moi : faire rentrer Samir dans mon appart.
Le jeune rebeu prend ses marques tout de suite. Il part au salon et s'installe confortablement sur le canapé. Je reste planté là comme un con. Je
pense à lui proposer quelque chose à boire mais je me ravise aussitôt. Je suis policier merde! Et lui c'est un délinquant! Qu'est-ce que je suis en train de faire?!
"Bon écoute moi Sébastien - je peux t'appeler Sébastien n'est-ce pas?-"
Je hoche la tête pour dire oui. Il connait mon prénom. Ce qui n'est pas très surprenant puisque mes collègues m'ont appelé des dizaines de fois
devant lui. N'empêche, ça me fait un effet bizarre quand l'objet de mes fantasmes prononce mon prénom.
"Je te trouve pas mal et vu la façon que tu me mates depuis des mois, je suis presque sûr que tu bandes un max en pensant à ma bite de rebeu"
"..."
"Tu me suces. Je te baise. Et ça restera entre nous car on a tous les deux des réputations à protéger. Compris?"
Je hoche la tête. Je suis rouge de honte. Ma queue commence à gonfler.
Samir retire son survet sans enlever ses skets. Il porte un slip gris. Le paquet à l'air prometteur même si il n'est pas encore en érection. Puis,
le petit caïd se réinstalle confortablement dans le canapé dans une posture hyper virile avec les jambes bien écartées. Il se saisit de la télécommande et augmente le son. D'un signe de la main,
il m'invite à prendre place entre ses jambes. A genoux bien sûr. Je m'exécute car à ce moment précis, je pense plus avec ma bite qu'avec mon cerveau.
Je sniffe son matos à travers le fin tissu du slip. Le sous-vêtement est propre mais je peux sentir une odeur distincte de jeune mâle dominant.
J'enfonce encore plus ma tronche dans son paquet et je respire à fond son odeur virile. Samir se rend compte que les odeurs c'est mon trip. Alors, il m'arrête avant que je ne puisse dévoiler son
chibre. Il me dit que j'aurais le droit de sucer sa queue après m'être occupé de ses skets.
Aussi viril que je puisse paraître, j'ai toujours fantasmé de me retrouver aux ordres d'un mec dominateur, de préférence un rebeu ou un renoi. Mon
métier fait que je suis constamment en contact avec des lascars. Ils ne se doutent pas de l'effet qu'ils me font quand ils résistent aux arrestations ou alors m'insultent de tous les noms.
Sniffer les skets d'un jeune rebeu comme Samir est un fantasme devenu réalité. Je bande un max et sans hésiter je prends son pied gauche et commence à renifler sa basket. Je passe 10 minutes à
lécher, embrasser et sniffer les skets du p'tit caïd. Puis, Samir détache son attention de l'écran de télé et m'ordonne de retirer les baskets et de m'occuper de ses cho7. Je suis aux anges.
L'odeur est forte et virile. Je m'en fous plein la bouche et plein les narines.
Soudain, le jeune lascar se met debout. Tout s'accélère. Il m'écrase la face contre la moquette avec son pied. Il me traite de salope, de garage à
bites, de pute à rebeux. Il m'attrape par la nuque et me force à me mettre à genoux devant lui, la tête à quelques centimètres de son paquet. Il baisse son slip et un superbe zob de 17 cm large
et circoncis jaillit devant moi. Je salive comme une chienne en chaleur. Il me tape sur la joue avec sa belle bite puis il me l'enfonce direct dans la bouche.
La pipe est assez violente et Samir ne me laisse aucune liberté de mouvement. J'ai des larmes qui me montent aux yeux et j'ai même envie de gerber.
Au moment où je suis au bord de l'évanouissement, Samir stoppe tout, se rassoit sur le canapé et m'ordonne de continuer à le sucer. Cette fois, c'est moi qui contrôle le rythme de la fellation et
je m'applique à lui procurer un maximum de plaisir. Il jute dans ma bouche et j'avale sans réfléchir. Quand je lève les yeux pour le voir, Samir à un petit sourire aux lèvres. Il me dit que je
suis une bonne suceuse et qu'il fera à nouveau appel à moi. Puis, il se rhabille très vite et sort de mon appart en me disant "A la prochaine, p'tite pute!"
Comme un con, je reste à genoux au milieu du salon et je me branle en pensant aux skets de Samir et à son gros zob qui m'a défoncé la
mâchoire.
Ceci, ci-dessous, peut servir de suite car Sébastien n'a fait que sucer le gars qui lui promet de revenir
Et CECI EST UN AUTRE HISTOIRE là ça va être la totale pour Julien qui est dans le même cas de soumission :
https://cyrillo.biz/histoire-gay-2012-saute-par-un-arabe.php
Ci-desssous une histoire vraie de Akemio , pseudo de Julien, qui complète l'aventure de Sébastien vécue ci-dessus
un sourire à croquer et un regard coquin. Il rentre et aussitôt s’installe dans mon canapé comme si il était chez lui. Je suis un peu surpris mais
je vois finalement ça comme un bon signe (comme quoi il a envie de rester). Son téléphone sonne, il décroche et parle un long moment en arabe, me laissant planté assis à côté de lui. Puis il
interrompt un bref instant son appel pour me demander de lui servir un truc à boire. Je m’exécute en me rappelant de ses mises en garde sur son coté macho.
Nous n’avons donc toujours pas eu le temps de discuter mais il est pourtant vautré dans mon canapé, moi en train de lui servir un verre sur son
ordre. Je me rassoie à côté de lui et là il me colle la main sur la cuisse avec une légère pression pour m’inciter à me rapprocher de lui. Ensuite, il utilise cette même main pour se peloter le
paquet, laissant apparaitre une bonne grosse gaule sous le survêt. Mon regard se bloque direct sur son entrejambe, je le regarde ensuite et là il me fait un petit signe de tête pour me dire de
commencer à le sucer. J’hallucine ! Ce gougeât m’a à peine dit bonjour et cela lui semble déjà naturel que je lui obéisse au doigt et à l’œil, en même temps, la scène est tellement excitante que
je ne peux pas refuser. Je me penche sur sa bosse immédiatement. Il profite d’avoir ma nuque à sa hauteur pour me la mordiller et lécher un peu, ce qui finit de me mettre complètement à ses
ordres. Avec sa main il baisse son fute et sort sa bite. J’ouvre la bouche et d’un coup de reins habile, il me la rentre en entier. Sa main tient déjà ma tête fortement pour ne pas que je recule
et il se met direct à me limer la bouche jusque dans la gorge par de grands à-coups. Je m’étouffe un peu et cela le fait rire tandis qu’il parle toujours au téléphone en arabe. Je ne comprends
évidemment rien mais commence à me demander s’il n’est pas simplement en train de parler de moi. Je me redresse la bouche déjà bien baveuse, un fil de bave la relie à sa queue. Il me sourit et me
fais signe de la main d’ôter mon tee-shirt .Il caresse sa queue toute humide de ma bave pendant ce temps et raccroche enfin.
Il me dit :
« Habituellement les français ne savent pas sucer mais toi alors !... » et me tire fortement jusqu’à l’enjamber. Là il me serre d’un bras contre lui
et me fourre sa langue dans la bouche et de l’autre main il baisse mon pantalon pour enlacer et caresser mes fesses. Ses doigts se dirigent directement sur mon trou, qu’il titille rapidement
avant de me rentrer un doigt, sans ménagement. Je retire mes chaussures, il baisse mon fute complètement et me reprend dans la même position. Lui est encore assis les jambes écartées le jogging
légèrement baissé dans le fond de mon canapé et moi suis comme une grosse pute, à poil dans ses bras, un doigt qui me traverse le cul et sa langue qui me dévore la bouche et tout le cou. Je sens
sa queue qui se tend sous mes fesses. ¤
d
UNE INTRUSION MI-SAUVAGE MI DOUCE DANS MON APPART ET
DANS MON CORPS
|
« Allez, mets-toi entre mes jambes pour bien me bouffer la teub, chiennasse » me dit-il
de façon très autoritaire. « t’es trop beau gosse, je vais te niquer ma chienne ». Je le suce un peu comme ça puis il semble être vite à deux doigts de venir, je sens un léger gout de sperme
sortir de son urètre. Il se lève, se dessape me demande de me m’assoir sur le bord mon canapé. Il se plante devant moi et pose une jambe sur le canapé, pointant sa queue sous mon nez. Cette
vue est parfaite pour moi, je vois sa queue circoncise, pas énorme, de taille normale, mais avec de belles couilles pendantes et poilues. Je suis un peu déçu qu’elle ne soit pas plus gigantesque
vu la réputation des arabes mais je me dis qu’au rythme où il a l’air de vouloir me défoncer ça sera largement suffisant. Et oui, j’avais bien présagé. Il empoigne mon menton d’une main et de
l’autre il me tire par les cheveux pour m’amener sur sa queue.
« Ouvre ta bouche en grand, sale pute que je teste le fond de ta gueule » et là il
m’empale sur son membre jusqu’à la gorge. Cela me coupe la respiration mais il ne relâche pas la pression au contraire, il commence des va et viens très intenses. Je comprends vite que je n’ai
pas le choix que de me concentrer pour ne pas avoir de nausée et pour respirer. Il me ravage la bouche environ 5 bonnes minutes à ce rythme. Je commence à transpirer et à baver de la bile qui
s’écoule le long de son membre vers ses couilles puis parterre à chaque fois qu’il me la ressort rapidement avant de me la remettre. Puis une fois bien mouillé, il me ressort sa bite et m’écrase
la face dans son entre-jambe en me tartinant toute ma bile sur le visage, je vois qu’il sourit en faisant ça.
« t’as une capote là que je te baise ? » je sors des capotes et du gel. Je le vois
enfiler la capote et me dire de m allonger sur le ventre sur le canapé mais je ne le vois pas toucher au gel alors je me dépêche d’attraper la bouteille et de m’en appliquer un peu sur la
rondelle. Heureusement, car il ne lubrifie pas sa queue, me monte dessus, me dit de tendre les fesses et me l’encastre d’un coup sec dans le cul. Je suis comme foudroyé, j’ai le souffle coupé et
j’hallucine de voir comment se gougeât m’a pénétré sans précaution et le pire, c’est qu’il enchaine direct, en attrapant mes hanches, à me ramoner le cul. J’ai une douleur égale à une crampe
alors je lui dis de démarrer plus doucement ce qui a pour effet, de l’énerver. Il me met un grand coup de reins sec pour bien me la caler dans le fond et d’une main, attrapant mes cheveux, il
m’écrase la tête dans les coussins.
« Mais tais-toi connasse ! Tu voulais te faire ken non ? Alors fais-moi plaiz basta. »
Ses mots m’excitent direct et mon cul s’ouvre et se détend aussitôt laissant la douleur pour du plaisir. Il me baise dans tous les sens en me bloquant toujours fortement les bras, les jambes ou
la tête, je sens sa force tellement supérieure à moi. J’ai ses muscles écrasés sur mon visage. Sa queue me pilonne tellement le cul que je finis par mouiller comme une meuf. Il finit par me
mettre à genou, le cul très tendu en arrière et le dos redressé. Il s’encastre en moi, encercle mes hanches de ses mains qui viennent se rejoindre sur mon bas ventre, les doigts entrecroisés pour
avoir une meilleure prise. Je sens que là, ça va être le bouquet final. Il me baise comme ça de plus en plus fort en tirant mon cul en arrière.
« Cambre petite salope, allez cambre ! »
Je cambre tellement que je sens son souffle juste dans ma nuque. Je pose mes mains sur
ses cuisses en le serrant vers moi pour qu’il comprenne que je le veux toujours plus fort en moi. Il me souffle quelques mots à l’oreille. Des mots en arabe que je ne comprends pas. Et se met à
gémir puis hurler, il me tient si fort avec ses bras que je ne peux plus bouger. Je sens sa queue qui se tend en moi puis ses gémissements deviennent des râles graves, juste dans mon oreille. Je
sens 4 ou 5 à-coups de sa tige en moi. Dommage que cette putain de capote ne me permette pas de sentir son jus chaud s’écouler en moi. Il me mord la nuque et continue de me parler en arabe puis
je m’affale sur le canapé en avant. Il reste un instant droit au-dessus de moi puis me demande où il peut se laver. Je lui montre la direction, il revient, finit son verre, en se rhabillant
et me dit :
« j’te laisse ma pute, t’as vraiment un cul de ouf. Je repasserai te voir quand je viens voir mes potes dans le quartier. » puis il me laisse à poil à bout de souffle sur mon canapé en claquant
la porte.
Histoire vraie que j’ai vécu ce soir même !!! J’espère qu’il reviendra (et pourquoi pas
avec ses potes du quartier -lol-
https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-Le-Marocain-01.php
JULIEN A LA RENCONTRE D'UN
KARIM EBLOUISSANT
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J'ai chassé pas mal d'inhibitions de ma tête, en particulier sperme et salive en abondance
Je me régale à caresser ce corps sec et chaud, et j'ai l'impression que lui
aussi aime que mes mains effleurent sa peau dans les moindres
recoins.
- Tu es Marocain ?
- Oui… Pourquoi ?
- T'as un super corps ! J'adore… Et il sourit.
Et subitement, il se penche vers moi et m'embrasse !
Un baiser extraordinaire, très mouillé. Sa salive déborde des coins de ma bouche, sa langue fouille la mienne, empêche toute initiative de ma part. C'est la première fois que j'embrasse un Arabe,
la première fois qu'une bouche me dévore de la sorte… Jamais avec mes copains on s'est roulé une pelle avec une telle fougue ! Et aussi brutalement qu'il a commencé, il s'arrête, prend ma tête
entre ses mains et l'accompagne jusqu'à sa bite pour que je reprenne ma fellation. Pendant que je le suce, il m'enlève mon polo et fait glisser son jogging vers le bas, puis s'en débarrasse. Il
glisse une main le long de mes reins, sous mon jeans, puis sous mon slip et passe un doigt dans ma raie. Je me cambre… le contact de sa main entre mes fesses m'excite… Ce mouvement, que je n'ai
pas pu réprimer, lui laisse deviner que je ne suis pas trop reticent à ce qu'il s'occupe de cette partie intime de mon anatomie. Il me redresse, baisse mon jeans et mon slip. Il peut maintenant
voir que je bande à mort… autant que lui… Il m'entraîne dans la pièce à côté, où il me jette brutalement sur le lit. Je me retrouve couché sur le ventre, le cul en l'air, face à lui. Il saisit à
pleines mains mes fesses et commence à les malaxer. Et, se couchant sur moi, tend sa bouche vers la mienne pour me rouler une nouvelle pelle. Très vite, il glisse le long de mon corps et commence
à me mordiller les fesses. Il me les lèche… Je me trémousse de plaisir… Je n'en peux plus quand
je sens sa langue s'insinuer dans ma raie et s'arrêter sur ma rondelle. Comme quand il m'a roulé une pelle, il emploie une quantité incroyable de salive, que je sens couler sur mes couilles et me
pénétrer en même temps que sa langue… On ne m'a jamais fait çà ! J'en gémis de plaisir, ce qui
l'encourage à en faire encore davantage. Il a l'air déchaîné… Un doigt vient forcer mon sphincter; je le sens qui entre doucement, mais de plus en plus profondément… J'adore ! c'est bien plus
jouissif que les godes que je m'enfile tout seul. Deux doigts. Il écarte bien les parois… il met en même temps la pointe de sa langue. Que c'est bon ! Je bande comme jamais. Je n'attends plus
qu'une chose : qu'il me prenne ! Et tant pis si ça me fait mal, si sa queue est trop grosse, si j'ai mal au cul pendant une semaine !! J'ai trop envie de sentir sa chair chaude me pénétrer, sa
longue et grosse bite me fourrager le fion, ses couilles frapper contre mes fesses. Et mon souhait va se réaliser. Tout en douceur… comme un pro qu'il est. Je m'étonne que la douleur ne soit pas
plus forte… Ça me brûle… c'est vrai. Mais rien d'insupportable. Et si je ne sentais pas sa verge entrer et sortir, je pourrais croire qu'il n'a pas encore commencé à
m'enculer… "Tu aimes ? Tu la sens ?"
Je réponds ausssitôt que c'est la première fois que je me fais baiser, et que bien sûr
j'adore…. Il rigole. Content de dépuceler un jeune mec et que mon cul soit capable de recevoir son bel outil !
Comme pour me remercier, il me tend sa bouche pour qu'un nouveau baiser baveux consacre
notre union. Puis il me met sur le côté, lève une de mes jambes et me prend dans cette nouvelle position. Sa queue entre encore plus profondément en moi. Je n'ai pas du tout mal et mon amant peut
voir ma bite bien droite. Je suis super excité par ce qu'il me fait. Il faut dire qu'il baise come un chef. A se demander s'il ne fait pas çà professionnellement : n'est-il pas gigolo, ou acteur
porno ? Il va me baiser dans cette position une bonne dizaine de minutes. Il transpire et la sueur colle nos deux corps. Il est bien chaud le mec et de temps en temps donne des coups de reins qui
enfoncent encore plus sa queue en moi. Je ponctue ses coups de bite plus violents d'un "ha !" plaintif, qui ne le dissuade pas de recommencer. Je sens qu'il est heureux, qu'il apprécie de me posséder, de baiser un mec à la peau claire… encore puceau ! Il me demande
: "T'as quel âge ?" "Dix-neuf." "Dix-neuf
??" Il arrête de m'enculer et m'embrasse. Mais cette fois plus
posément, comme un amoureux, tendrement. Il retire sa queue de mon cul et me demande de me mettre à quatre pattes. Tout en introduisant de nouveau sa queue entre mes fesses, il répète
: "19 !???... et t'avais jamais fait l'amour ?" "Si… avec
un copain, mais pas comme çà…" " Comment pas comme çà ?
Tu aimes comme je te baise ?" "C'est clair… on voit que
t'as de l'expérience…"
Il s'arrête, sort sa queue, se couche sur le dos : "Allez, à toi ! Amuse-toi avec ma queue ! Assis-toi dessus et
fais-la bien rentrer !" En me disant çà, ses yeux brillent d'envie; il est heureux que je sois son jouet. Mais moi aussi je
suis comblé : en une seule fois, je goûte à tous les plaisirs qui s'offrent à un passif. Sans me faire prier, je m'empale sur son dard toujours aussi raide et dur. Mais très vite, je sens que la
brûlure est intolérable : sa bite n'est entrée qu'à moitié et j'ai l'impression qu'elle me transperce de haut en bas. J'interromps la pénétration, mais mon amant pousse sa queue vers le haut
pour, croit-il, m'aider. Pour la première fois, je gémis de douleur et le supplie d'arrêter. On se couche tous les deux sur le côté. "Tu veux pas que je te la mette bien au fond… j'ai envie de te
donner mon jus…" (oh si c'était toi, tu diais
quoi ?
HELAS JULIEN DIT NON ?! CE N'EST PAS CE QUE J'AURAIS FAIT
ONE SHOT C'EST TOUJOURS CA !
"Non, pas comme çà…ça fait trop mal…" Il paraît ne pas comprendre ce qui m'arrive : que se passé-t-il j'étais si content de ce qu'il me
faisait… Puis, résigné, il se met à se masturber, lentement, faisant tourner sa main autour de sa queue. Sa bite circoncise ne coulisse pas bien, mais elle est de plus en plus gonflée, les veines
de plus en plus apparentes; C'est beau de voir un beau mec bien membré se branler. J'approche ma bouche de son gland et lèche ce beau sexe violacé. Il est à genoux devant moi et semble prêt à
décharger son arme. J'observe avec intérêt ce beau zeb d'Arabe sur le point d'éjaculer. Mais, je me trompe, mon bel amant va encore s'astiquer le chibre pendant cinq longues minutes avant de
lâcher son premier jet de foutre. Une giclée qui va tout droit sur ma gueule, suivie de trois ou quatre autres tout aussi puissantes. Et mon amant me tend sa queue, d'où coule un filet de sperme
: "Vas-y ! nettoie-la bien… laisse rien perdre, c'est des
vitamines !" "Tu aimes ?", me demande-t-il. "J'adore…
c'est super bon… en plus ton sperme est super épais !" -"T'es un vicieux, toi
!"
On s'arrête, pourtant je n'ai pas joui… Mais je pourrai toujours me branler ce soir dans
mon lit en pensant à ce que je viens de vivre. Je me rhabille en vitesse. Lui reste à poil et me regarde. Puis il s'approche et me roule une dernière pelle. Je lui demande :
"Tu t'appelles comment ? " "Karim… et toi ?" "Julien… On pourra se revoir et faire l'amour une autre fois ?" "Imposible, ça fait deux ans que je vis en Espagne… et je rentre
chez moI demain. Ici, c'est la maison d'un cousin… Mais je n'oublierai pas ton beau cul et notre baise de cet après-midi." Et il m'embrasse une dernière fois.
[...] En Italiel’attitude du régime fasciste envers les homosexuels, les stratégies et les motivations sous-jacentes à l’action répressive contre eux, ainsi
que le modèle de masculinité et le style de vie imposés par le fascisme. L’accent mis sur la morale sexuelle et sur la virilité, ainsi que les accusations de « pédérastie », permettent
de comprendre l’usage politique de la question homosexuelle dans les rivalités politiques pour atteindre des positions de pouvoir et pour discréditer les adversaires ou éloigner des personnalités
encombrantes. Mais ces formes de répression de l’homosexualité n’étaient pas toujours mises en pratique. Les individus qui avaient une double vie et qui se conformaient au standard de
respectabilité prôné par ce régime pouvaient passer à travers ces mesures intrusives de la vie privée. Autrement dit, l’homosexualité était tolérée tant que cela restait dans la sphère privée.
L’analyse de cette relation ambivalente entre public et privé révèle l’impact de l’expérience totalitaire fasciste sur les coutumes et la vie quotidienne, ainsi que les difficultés rencontrées
par le régime dans la réalisation de la révolution anthropologique des Italiens.
NOTES SUR JEAN GENET : et le Journal du Voleur
On imagine Jean Genet et son amant, l'inspecteur Bernardini dans le Marseillle de 1943 au temps des rafles, des exécutions sommaires ou clandestines et des tortures. Cette
année-là c'est la rafle du Vieux Port, la démolition du quartier, le 1er février 1943. la déportation de ses habitants via le camp des MILLES.
Et dans tout ça on continue à draguer et à faire l'amour. C'est la vie. Ne cachons pas non plus les hésitations de Genet envers le nazisme. Mais il se
corrigera.
Âgé de trente-cinq ans, le narrateur, Jean (Genet), évoque un passé lourd : sa vie de 1932 à 1940. Il raconte son existence de misère en Espagne, dans le quartier
interlope du Barrio Chino à Barcelone, où, prostitué, il partage les mœurs de la vermine avec Salvador, son amant crasseux, qu’il délaisse pour Stilitano, le manchot magnifique, maquereau et
traître.
Abandonné par ce dernier, le narrateur raconte son dénuement sur les routes andalouses. Il fait part de ses pérégrinations en France, en Italie et en Europe
centrale, où il rencontre Michaelis, chanteur des rues, amant puis compagnon de prison. Il évoque Java, ancien Waffen SS, traître qu’il admire. En 1936, à Anvers, il retrouve Stilitano enrichi
par le trafic d’opium et la prostitution masculine. Armand, incarnation de la « brute parfaite », devient son amant, et avec Stilitano et Robert, dont il jalouse la complicité, il détrousse les
pédérastes. Stilitano le pousse à trahir Armand. Il les abandonne et revient à Paris. Il évoque aussi sa rencontre, lors d’un séjour à Marseille, avec le policier Bernardini, qui l’a fasciné et
dont il est devenu plus tard l’amant. À la Santé, il rencontre Guy avec lequel il a la révélation profonde du cambriolage. Avec Lucien, docile amant, il connaît la tranquille tendresse, mais cet
amour le rapproche de la morale et lui fait connaître le regret de sa légende. r :
« Abandonné par ma famille il me semblait déjà naturel d'aggraver cela par l'amour des garçons et cet amour par le vol, et le vol par le crime ou la complaisance du
crime. Ainsi refusai-je décidément un monde qui m'avait refusé.
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