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Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 14:35

 

Samuel demanda:

— Pourquoi vous vous êtes arrêtés tout à l’heure?

Luc me regarda et je lui fis comprendre de l’œil que c’était à lui d’annoncer la nouvelle à son pote. Il se mit à quatre pattes.

— Qu’est-ce que tu vois à gauche de ma rosette, Sam?

Samuel ne comprit pas tout de suite. Je me mis dans la même position que mon fils.

— Et à gauche de la mienne? dis-je maintenant amusé.

Sam inspecta les deux culs qui s’offraient à lui. Et il la vit.

— Ben… Vous avez tous les deux une tache de naissance. Et alors? C’est ton père, non?

— Tu te rappelles la tache sous nos glands? lui dit Luc.

— Oui. Et alors?

— Papa a exactement la même.

Je me décalottais pour lui montrer. Il resta coi.

J’attrapais un miroir et demandai à Samuel de regarder lui-même ses fesses. Il eut du mal à la voir mais constata ce que nous avions découvert. Il s’assit brutalement sur la moquette.

— Ça veut dire quoi, m’sieur?

— Je crois bien que ça veut dire que je suis ton père, Samuel.

Je lui expliquais qu’à l’époque, son «père» et moi fricotions les mêmes nanas et qu’il était très probable que c’était moi qui avais mis sa mère en cloque…

Samuel ne savait plus trop quoi dire après avoir découvert que j’étais son père biologique. Je sentais bien que son cerveau tournait à 300 à l’heure en ce moment. Luc et moi nous nous rhabillâmes (du moins, on enfila chacun nos sous-vêtements respectifs..).

— T’as l’air choqué, Sam, dit Luc.

— Ben un peu. Ça te ferait quoi d’apprendre que ton père est pas ton père?

— Ça me ferait bizarre, en effet.

J’attrapai Samuel par les épaules, assis à côté de lui.

— Tu sais, Sam, Hugues est ton père…. Même si à l’époque c’est peut-être moi qui ai déposé ma graine dans ta mère, c’est lui qui t’a élevé depuis 16 ans. Ça ne devrait rien changer.

Il sourit.

— Vous avez raison, m’sieur…. Ça ne va rien changer.

Il remit lui aussi son boxer et avant d’aller dans ma chambre, j’embrassai les deux garçons sur les joues.

Je les entendis discuter jusqu’à tard dans la nuit. J’essayais d’entendre ce qu’ils disaient, mais Morphée me rattrapa et je m’endormis.

Le matin, c’est l’odeur du café qui me réveilla. Les deux adolescents étaient déjà en tenue de sport quand je descendis.

— Dépêche-toi, papa. On a match à 11h00 ce matin, tu n’as pas oublié?

— Merde! C’est vrai! Il est quelle heure, là?

— 10 h 00, m’sieur, me répondit Samuel.

— Sam, appelle-moi Nathan, tu veux bien. On est dans la même équipe de foot, non?

Il me sourit. J’avalai mon café et allai me mettre en tenue. Heureusement, le match était chez nous. Je ne sais pas si Samuel avait retrouvé son allant, mais il nous planta trois magnifiques buts, ses premiers en équipe Sénior. Hugues, blessé, ne jouait pas. Il était en extase devant les résultats de son fils ce jour-là.

Ce fut la fête dans les vestiaires (nous avions battu ce jour-là nos irréductibles ennemis du village d’à côté) et à travers tout le brouhaha et les allers et venues des uns et des autres, je remarquai discrètement les petites caresses sur le sexe que Luc et Samuel se faisaient discrètement. Ils disparurent après que tout le monde se fut douché et Hugues vint diner chez moi, sans Nathalie, occupée par une énième loterie au profit d’œuvres charitables à l’autre bout de la France. Nous avions picolé pas mal et vers la fin du repas, il me lança:

— Alors? T’as discuté avec nos jeunes à propos de ce qu’on s’était dit l’autre jour?

Je feignais de ne pas comprendre ce qu’il voulait dire.

— Mais si, tu sais bien, leur tripotage discret sous les douches. Ils ont encore recommencé aujourd’hui…

— Ah! Ça! Oui, je l’ai vu aussi.

Je laissais passer un silence.

— Et bien?

— Et bien…et bien…. Oui, j’en ai discuté avec Luc. Et je crois bien qu’ils sont amants.

Un long silence (du moins, il me parut extrêmement long…) s’abattit dans la maison. Je voyais bien que Hugues réfléchissait à toute vitesse.

— Merde! dit-il doucement.

— T’en es sûr?

— Ben, si tu veux, l’autre week-end, ils étaient pas en train de jouer au Monopoly quand je les ai entendus….

— Merde! dit-il de nouveau.

Je lui reversai un cognac pour faire passer la nouvelle, même s’il avait déjà bien bu. Je ne lui parlai évidemment pas de la tache de naissance de Samuel, identique à la mienne et celle de Luc.

— Comment mon propre fils peut-il être gay? Ça ne manque pas de nanas, quand même!

Il montait un peu le ton.

— C’est leur vie, Hugues. Moi aussi ça m’a un peu bousculé quand Luc m’en a parlé. On en a discuté toute une nuit. À partir du moment où ils se protègent, je ne vais pas aller contre.

Il ne disait plus rien, mais me fixait dans les yeux, les larmes prêtes à couler.

— Comment je vais annoncer ça à Nathalie, moi?

— T’as vraiment besoin de lui en parler? Tu crois pas qu’elle s’en fout de savoir avec qui son fils baise?

Les larmes commencèrent à couler. Je voyais bien que l’alcool ne l’aidait pas.

— Tu veux rester dormir à la maison? Nathalie ne rentre que demain soir, non?

Il acquiesça de la tête.

— Allez, viens, on va aller se coucher.

Nous nous levâmes et grimpèrent dans ma chambre. Je commençais à me déshabiller pour aller me pieuter. Ça ne serait pas la première fois que mon pote dormirait dans le même lit que moi. J’étais en slip et torse nu, et je vis qu’il s’était seulement assis sur le lit. Je compris qu’il avait besoin d’aide pour enlever ses habits. Je m’approchai de lui et m’agenouillai pour lui déboutonner sa chemise et son jean’s. Je ne sais pas pourquoi, mais cela me fit bander. Hugues, même s’il n’était pas très costaud, était quand même finement musclé. Il portait un caleçon tout mignon, avec des Simpson’s dessus. Il me regardait fixement. Me détaillait même.

— Nathan, t’as déjà essayé de faire quelque chose avec un mec?

Je le regardais fixement à mon tour.

— Qu’est ce que tu veux dire, Hugues?

— Ben, j’suis clair, non? T’as déjà fait des trucs avec un mec?

Je commençais à m’inquiéter. La découverte de l’homosexualité de son fils le travaillait apparemment plus que moi.

— Non, mentais-je en me souvenant de ma nuit avec les deux ados. Pourquoi me dis-tu ça? T’as envie de quelque chose avec moi?

Hugues me regarda.

— Si nos fils le font, pourquoi pas nous?

Je voyais sa queue se tendre dans son caleçon. La mienne était encore plus dure. Je le poussai doucement sur le lit, ce qui fait qu’il était sur le dos, les jambes posées au sol.

— J’ai pas forcément envie de baiser avec toi, Hugues, mais on peut essayer de voir ce que ça fait de se faire caresser par un mec si tu veux….

Je posai mes mains sur sa poitrine imberbe et sentis un frisson le parcourir. Il ferma les yeux.

Je le caressai alors doucement, passant des pectoraux aux abdominaux, puis sur les biceps. J’entendais mon meilleur pote gémir doucement.

— C’est bon, Nathan, continue tes caresses.

Jusqu’où devais-je aller avec lui? Sans trop réfléchir, je posai un baiser sur ses tétons, seul endroit du haut du corps sur lequel il avait quelques poils (en dehors des aisselles). Puis un autre sur son nombril. Mes mains caressèrent alors ses cuisses et avec son caleçon assez large, j’en glissais une par la jambe jusqu’à l’aine, arrivant alors à la base de son sexe tendu. Voyant qu’il ne disait rien, j’entrepris de la masturber délicatement. Sa queue était comme du béton, pas très longue (15 centimètres). Il soupirait de plus en plus. Je me penchai pour arriver à son oreille et je chuchotais.

— Ça te va, comme ça? Ou on va plus loin, mon vieux pote?

Il entrouvrit les yeux.

— Tu irais jusqu’où, Nathan? Tu me sucerais?

Surpris par sa réponse, je lui dis:

— T’en as envie au moins?

— Oui.

J’attrapai l’élastique du calbute et le descendit jusqu’aux chevilles. Sa bite claqua contre ses abdominaux, amortie par sa touffe pubienne. Ma bouche n’eut pas de mal à l’entrer entièrement. C’était la deuxième queue en un mois que j’avais en bouche. Après celle de mon propre fils, j’avais celle de mon meilleur ami. Avec un peu plus d’expérience qu’il y a un mois, j’entrepris de lui faire un pompier dans ce que j’estimais être les règles. Ma langue passait sur le morceau de chair tandis que son gland butait au fond de ma gorge. J’attrapai ses burnes et les malaxais tendrement. Hugues ne tarda pas à soupirer et respirer ensuite de plus en plus vite.

— Oh putain! Oh putain! Que c’est bon! Oh oui…. Oh oui.. Putain! Je vais gicler! Je vais gicler, Nathan!!!!

Je sortis alors sa queue de ma bouche et terminai l’exercice en le branlant au maximum que je pouvais. Ses muscles se tendirent et je sentis son sexe vibrer. De longs jets de sperme vinrent atterrir sur son ventre et son torse.

Complètement essoufflé, mon pote gardait les yeux fermés. J’étalai son sperme sur son corps, comme j’avais vu Samuel et Luc le faire, profitant ainsi de caresser ses abdominaux. Quand il eut repris ses esprits, il ouvrit les yeux.

— C’est pas possible, Nathan. T’as déjà fait ça, hein?

— Non, jamais, c’est la première fois, mentis-je de nouveau.

— Merde! C’était trop bon. Largement mieux que Nathalie… quand elle accepte!

Je souris.

— T’as envie que je te fasse pareil, vieux pote? me dit-il.

Je réfléchis un peu puis lui dit:

— Si t’es d’accord pour faire des découvertes ce soir, j’aimerais bien que tu me bouffes le cul à la place.

Sans dire un mot, il commença à descendre mon slip le long de mes cuisses, me regardant droit dans les yeux. Ma queue se dressa bien évidemment le long de mon ventre.

— C’est dingue ce qui arrive, chuchota-t-il.

Il passa alors ses mains sur mes fesses velues, puis sur mes cuisses, et de nouveau sur mes fesses.

— J’avais jamais fait gaffe combien t’étais poilu du cul, Nathan.

Il écarta doucement les deux globes et glissa un doigt dans ma raie déjà un peu humide.

— Même là!, dit-il.

Il se mit alors à genoux derrière moi.

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 03:03

Méga coming out

 

    — C’est dingue ce qui arrive, chuchota-t-il.

Il passa alors ses mains sur mes fesses velues, puis sur mes cuisses, et de nouveau sur mes fesses.

— J’avais jamais fait gaffe combien t’étais poilu du cul, Nathan.

Il écarta doucement les deux globes et glissa un doigt dans ma raie déjà un peu humide.

— Même là!, dit-il.

Il se mit alors à genoux derrière moi.

J’étais assez excité, mais pris entre deux sentiments: celui de pouvoir de nouveau me faire bouffer la rondelle par un mec et celui d’être en train d’enfreindre un interdit avec mon meilleur ami.

 

Lorsque Hugues posa sa langue entre mes deux fesses, je fermai les yeux. J’étais sûr qu’il n’avait jamais fait ça, mais l’alcool mêlé à l’excitation lui donnait des idées. Il passa deux ou trois minutes avec le bout de sa langue à lécher mes fesses et ma raie. Puis il glissa délicatement son organe buccal dans ma rosette toute propre. Je sentais le plaisir grimper en moi. Ma queue était de plus en plus raide. Il l’attrapa d’ailleurs d’une main pour lui infliger des mouvements lents de branlette.

 

— Oui, Hugues. C’est bien! C’est bon!

 

Sa langue pénétra alors un peu plus mon anus et il trouva sans problème où agir pour m’exciter encore plus! C’est vrai que mes gémissements l’incitaient à s’intéresser à ce point sensible.

 

Nous étions alors dos à la porte. Moi penché sur le lit et lui derrière moi en train de s’appliquer à me faire jouir.

 

J’entendis alors la porte s’ouvrir, presque sans bruit. Je tournai la tête et là je vis nos fils respectifs, main dans la main, plantés à la porte de ma chambre….

FIN 

 la tache !

 

 

 

 

 

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 30 décembre 1 30 /12 /Déc 23:54

 

Les blogs...

Is Drugging a Guy Before Barebacking Him in Gay Porn Hot or Not?

This sequence was released a couple of weeks ago and after watching the trailer and learning more about the scene, I originally deleted the content and decided not to promote the scene at my blog but tell the story.. The reason for this is because the guys spike a vodka drink before giving it to Matt (Matthew Keading) and they make sure he drinks the entire contents of the cup. Once Matt has passed out, the guys pass him around and use his ass for their barebacking pleasure. I know that the guys involved in this scene consented to what went on prior to the filming taking place, but I was uncomfortable with the concept, because if this happened in reality, then there’s no consent for the guys to fuck, let alone discussing whether or not to have bareback sex.

The victim speculates that his acquaintance drugged him so that he would not resist sexual assault.

Although his memory is vague, the victim recalls startling and vivid images of the attack.

"I remember him pulling my pants down, and then he was saying how he was going to (ejaculate)," he says. "I don't know if I pushed him away or elbowed him, but I did something. I know that he left, and then he came back. I don't remember the time period, but then I remember wiping (ejaculate) off the floor."

 

 

 hobartgloryhunter: FUCK YEAH

 

" Je m’étais déjà fait prendre plusieurs fois par de gros calibres, et je m'étonne de cet enlèvement absolument pas nécessaire puisque j'aime la queue et j'aurais accepté soumission et gang bang..." 

"...J'ai entendu des récits de mecs ou de filles droguées et baisé(e)s, mais ils étaient quasi incapables  se se souvenir de ce qu'on leur a fait subir. Moi je sentais tout, je mémorisais tout  Je trouve que c'est mieux. Par contre le poison qu'on m'avait inoculé m'ôtait toute volonté et m'empêchait de parler, crier, me plaindre" 

 

J’ai rencontré Marc (on va l’appeler comme cela pour l’histoire car en fait je ne connais même pas son prénom) un matin en sortant de boîte pas très loin de la place Clichy, dans laquelle je venais de m’éclater pendant quatre heures à danser au rythme de la Techno et de la House. En sortant, alors que le jour commençait à poindre, un mec m’aborda au moment où je montais dans ma voiture. En lui jetant un coup d’œil, je me rendis compte que j’avais croisé son regard plusieurs fois dans la soirée mais sans plus. Il était quelconque, dans la quarantaine, avec un léger embonpoint, pas trop dans mon genre. Il me demanda si je pouvais le déposer à Asnières et comme c’était ma direction, je lui répondis oui. Il me guida alors pour arriver jusqu’à chez lui. Un pavillon de banlieue au fond d’une impasse. Au moment de le déposer, il me proposa de venir boire un verre chez lui pour me remercier. Moi je n’avais qu’une envie, c’était d’arriver le plus vite possible chez moi pour me pieuter, d’autant que j’avais déjà pas mal picolé. Malgré tout, et devant son insistance, j’acceptai son offre.

Il me fit entrer et m’installa dans un canapé. Le décor était sobre, sans trop de décoration. Il sortit alors une bouteille de whisky et me servit un verre. La discussion s’engagea sur des banalités et je sentais la fatigue monter de plus en plus, ainsi qu’une envie de pisser. Je lui demandais alors si je pouvais emprunter ses toilettes, ce qu’il m’autorisa. Après m’être soulagé, je revins dans le salon et nous reprîmes la discussion, jusqu’au moment où je me suis senti partir. Ma vue commença à se brouiller, mes oreilles à bourdonner et je ne sentais plus mes muscles, bien qu’entièrement conscient. Plus le temps passait et plus je me rendais compte qu’il m’était difficile de parler. Je comprenais tout ce que me disait le mec mais j’étais comme dans un état second. Je n’arrêtais pas de me dire qu’il fallait que je me lève et que je parte mais c’est comme si mon corps ne répondait plus. Enfin presque car lorsque Marc me fit remarquer qu’il faisait chaud et que je ferais mieux de retirer mon pull, je lui souris béatement et m’exécutai.

Puis il se leva et débarrassa la table basse qui se trouvait devant nous. Il me regardait en rigolant et en me disant qu’on allait bien s’amuser ensemble, tout en me resservant un verre que je pris inconsciemment. Il quitta la pièce quelques instant pour revenir avec un sac de sport qu’il déposa à côté de la table maintenant vide. Puis il s’approcha de moi et d’une voix basse, m’ordonna de retirer mon t-shirt, ce que je fis. Il se mit alors à me caresser les seins en malaxant mes tétons entre ses doigts. Je le laissais faire, incapable de réagir. Au fur et à mesure, ses caresses se firent de plus en plus brusques et son souffle devenait de plus en plus rauque. Son sourire s’était transformé en un espèce de rictus et ses ordres retentissaient dans ma tête.

— Lève et toi et allonge toi sur la table!

Docile, je m’allongeai le dos sur la table, comme un pantin. Celle-ci était assez grande pour que je puisse m’y installer de la tête aux reins. Il s’empara alors du sac et l’ouvrit pour en sortir des cordelettes, à l’aide desquelles il m’attacha les mains et les chevilles aux pieds de la table. Dès lors, j’étais vraiment devenu son prisonnier. Il allait pouvoir faire ce qu’il voulait de moi et aucune résistance n’était possible. Il se recula et sortit un appareil photo de son sac. Il prit quelques clichés tout en se caressant la bite au travers de son pantalon.

Puis il attrapa ma ceinture qu’il défit prestement ainsi que les boutons de ma braguette. Il fit glisser mon pantalon jusqu’à mes chevilles, puis mon slip. Au fur et à mesure qu’il me déshabillait, il prenait des photos. Dans le silence de la pièce, on n'entendait plus que son souffle qui s’accélérait et le crépitement de l’appareil. Une bosse s’était formée au niveau de son entrejambe. Nu, attaché sur la table, je le regardais alors se mettre à poil doucement, le sourire aux lèvres. Lorsqu’il baissa son pantalon, une grosse queue jaillit. Elle est bien droite et bien grosse, couverte de veines, le gland bien décalotté. Il se masturba quelques instants puis s’approcha de moi et se positionnant au dessus de ma tête me présenta son cul.

— Lèche moi la rondelle! Enfonce ta langue dans mon trou!

Je fis ce qu’il me demandait sans réfléchir et lui nettoyai sa rondelle avec ma langue. Pendant ce temps, il attrapa ma bite et mes couilles et commença à jouer avec. Puis il se releva et disparut un moment pour revenir avec une bombe de mousse et un rasoir.

— Je vais te faire une beauté. Tu vas te retrouver avec des couilles de nouveau né!

A ces mots il répandit de la mousse sur mes poils pubiens et ceux de mes couilles et me rasa. Puis je sentis le rasoir remonter sur mon torse et sous mes aisselles, puis descendre sur mes cuisses. Il était en train de me raser entièrement et moi je ne disais rien, plongé dans cette espèce de léthargie consciente : objet indispensable à ce qui se passait et allait se passer j'étais cependant témoin et non acteur. Lorsqu’il eut terminé, il me détacha, finit de me déshabiller et m’ordonna de m’allonger sur le ventre. Aussitôt dit, aussitôt fait, et je me retrouvais de nouveau ligoté mais cette fois dans l’autre sens, ne pouvant lui refuser mon cul. Je sentis de nouveau le rasoir me parcourir pour éliminer tous mes poils. Alors qu’il me rasait la rondelle, je sentis un doigt s’enfoncer en moi.

— Putain, tu vas avoir un cul d’enfer!  Le  menthol de la mousse à raser me faisait un effet douloureux et excitant*à la fois sur la muqueuse rectale.

Lorsqu’il eut terminé, je l’entendis fouiller dans son sac. Il s’approcha de moi et me mit un bandeau sur les yeux. Puis il me fit ouvrir la bouche et y enfonça sa bite.

— Vas-y, pompe moi la queue! Vide-moi les couilles!

Sa bite était énorme et j’avais bien du mal à écarter les lèvres pour la faire entrer. Il m’attrapa alors par la nuque et me baisa la bouche. Son gland venait buter au fond de ma gorge à chaque assaut. Après quelques va-et-vient, il se retira et je sentis son sperme s’écraser sur ma figure en de grands jets. Alors que je sentais le sperme couler le long de mes joues et sur ma bouche, il introduisit un objet entre mes lèvres. Au début je pensait que c’était de nouveau sa bite, mais bien vite je compris qu’il s’agissait d’autre chose quand je le sentis me fixer une lanière derrière la tête. J’étais complètement à sa merci, attaché sur la table, les yeux bandés et la bouche pleine, le cul bien offert.

Je sentis alors qu’il me passait une crème sur le cul, jouant avec ma rondelle. C’était froid mais à priori, cela facilitait la pénétration car je sentais ses doigts me pénétrer un à un. Il était en train de me travailler le cul et devait sûrement utiliser un gel. Lorsqu’il décida que j’étais prêt, il retira ses doigts et je sentis s’enfoncer un objet. Le truc devait être énorme car malgré mon état de coma, je ressentais la douleur. Après quelques minutes, je sentis le gode (ou autre) glisser dans mes entrailles.

— Et voilà petite pute tu es prête!  Ça va vraiment être ta fête et mes potes vont se régaler! Tu vas rester comme ça bien sagement le temps que je revienne avec eux. Et après tu auras intérêt à obéir. Tu feras tout ce qu’ils voudront!

Je l’entendis se rhabiller et partir. Il me laissa seul et, très fatigué, je finis par m’endormir sans m’en rendre compte.

Lorsque je me suis réveillé, j’avais complètement perdu la notion du temps et la première chose que je ressentis fut une sensation bizarre. J’avais beau essayer d’ouvrir les yeux mais je n’y voyais rien. Une douleur me lançait en provenance de mes fesses et je ne pouvais plus bouger les lèvres. Un moment de panique s’empara de moi et je me demandais alors si je ne dormais pas encore. Une douleur vive aux poignets et aux bras me fit comprendre que non. Je ne compris pas de suite la position dans laquelle je me trouvais mais je finis par comprendre que j’étais allongé sur une table, les poignets et les jambes attachés. Ma panique augmenta encore plus lorsque je voulus crier et que je n’entendis aucun son de ma bouche. On m’avait aussi rempli la bouche pour me bâillonner. Plus j’essayais de me débattre et plus la douleur était vive aux poignets. Je tentai alors de me calmer et de réfléchir. Où étais-je? Quelle avait été ma dernière destination? Et comment j’avais fait pour me retrouver dans cette situation. Petit à petit, les souvenirs mes revinrent en mémoire. Ce type que j’avais ramené et qui m’avais offert un verre.

Tout à coup, j’entendis une porte qui s’ouvre et des pas. Le bruit d’un interrupteur que l’on actionne mais toujours le noir complet pour moi. Et puis sa voix:

— Regardez les gars ce que je vous ai préparé! Vous allez pouvoir vous éclater.

Je l’entendis se rapprocher de moi et je sentis une main se plaquer sur mon cul et commencer à me malaxer les fesses.

— Putain de cul qu’il a. De le voir se trémousser hier soir en boîte, j’en ai eu la gaule toute la nuit.

En guise de réponse je tentais de bouger pour lui faire lâcher prise mais le salaud savait que je pouvais rien faire et se mit a rire.

— Bouge tant que tu veux, ça nous excite. Faut que je te dise que t’es bien accroché et que tu risques pas de te sauver. On a envie de ton cul et rien ne peut nous empêcher de jouer avec.

Sa main était toujours sur mon cul et ses attouchements se faisaient de plus en plus précis. Elle glissait le long de ma raie occupée par un gode pour passer entre mes jambes et venir me saisir mes couilles pour les malaxer. La douleur qu’il m’infligeait me forçait à resserrer les jambes, mais cela m’était impossible. J’étais impuissant et il en profitait. Son manège dura un moment. Son souffle s’accélérait à mesure que ses mains me pétrissaient. Mes couilles me faisaient mal d’être serrées de la sorte et plus je tentais de me dégager, plus il me pétrissait.

Je pensais qu’il allait alors ce calmer mais je fus surpris lorsque je reçus une claque sur les côtes. La douleur fut vive et vint se rajouter aux autres. Mais je n’étais pas à la fin de mon supplice et d’autres suivirent un peu partout. Je crois bien qu’aucune partie de mon corps ne fut épargnée. J’avais les fesses qui brûlaient à mesure que les claques pleuvaient. Je n’en pouvais plus, il dut le ressentir car tout s’arrêta aussi vite que cela avait commencé.

— Alors les gars, qu’est-ce que vous en pensez? Et en plus, il est entièrement rasé! Et le plug qu’il a dans le cul doit lui avoir ouvert la rondelle un max.

— Putain, le pied. Moi qui n’a pas eu de plan depuis une semaine, je vais lui faire sa fête. La salope, regarde moi ça. J’ai déjà la queue qui gonfle.

Je sentis alors des mains sur mes fesses qui se dirigèrent ensuite vers mes couilles et autres parties de mon corps.

— Retire lui son plug que je vois sa rondelle bien écartelée, et que j’admire son cul.

— Ouais et moi je lui vire son baîllon. J’ai trop envie d’y enfoncer ma bite.

— Allez-y les gars il est à vous. Moi je vais prendre quelques photos.

— T’inquiète, on va lui faire sa fête.

Je sentis alors que l’on me retirait ce que j’avais dans la bouche et pus alors respirer un grand coup. Le répit fut de courte durée car très vite, j’entendis descendre une braguette et un gland se positionner et forcer mes lèvres pour pénétrer ma bouche.

Je crus hurler de douleur lorsque l’on me retira d’un coup sec le plug que j’avais dans le cul, tellement la douleur fut vive. Mais de ce côté-là aussi le repos fut bref. Des doigts se mirent à me fouiller le cul et je les sentais glisser facilement. Je devais avoir le cul béant.

— Putain c’est plus un cul qu’il a c’est un hall de gare. Je viens de lui enfoncer quatre doigts sans problème et il y a encore de la place. Il va me bouffer la main cet enculé.

— Ouais et moi il est en train de me bouffer la queue entièrement cette salope. Un vrai trou à bite. Vas-y, fiste-lui le cul, j’suis sûr qu’il n’attend que ça.

— Tu m’étonnes, il me l’avale entièrement. Je suis en train de le défoncer avec le poignet et ça glisse comme dans du beurre. Putain Marc, tu nous l’as super bien préparé.

Je savais alors maintenant que j’avais entièrement la main de celui qui était derrière moi dans mon cul et qu’il m’enculait avec son avant bras. La douleur était forte mais je ne pouvais rien faire ou dire, toujours attaché et une bite me pilonnant la gorge, à la limite de l’étouffement.

— Marc, passe-moi la bouteille de whisky que je lui enfonce dans l’cul.

L’autre retira alors sa main de mes entrailles et je sentis alors le goulot se présenter sur ma rondelle et coulisser en moi. À mesure que la bouteille me pénétrait sans trop de problème, je sentais mes sphincters s’écarter pour laisser le passage à ce gode improvisé. Je m’étais déjà fait prendre plusieurs fois par de gros calibres, mais là c’était autre chose et je ne pensais pas qu’un jour cela m’arriverait. Et pourtant, après quelques minutes, je sus que la bouteille était bien en moi car celui qui me l’avait introduite était en train de m’enculer avec.

Je sentis celui que je suçais accélérer le mouvement et il ne tarda pas à avoir la bouche remplie de sperme. Après m’avoir forcé à nettoyer sa bite, il se retira et laissa la place qui fut de nouveau prise d’assaut. Mais cette fois, la bite qui se présenta était molle. On me força à ouvrir la bouche et je fus surpris lorsqu’un jet chaud se mit à couler. On était en train de me pisser dans la bouche et sur la gueule. Au milieu des rires, j’entendais le crépitement de l’appareil photo.

Ils jouèrent avec moi pendant un temps que je suis incapable de définir et je ne sais pas combien de mecs me sont passés dessus. Lorsqu’ils en eurent assez, ils me firent boire quelque chose et je retombai de nouveau dans les vappes. Lorsque je me suis réveillé, j’étais dans ma voiture. Mon corps n’était que douleur et j’avais bien du mal à remettre les choses en place. Petit à petit, j’essayais de reconstruire les dernières heures de ma vie. Après avoir récupéré un minimum de mes capacités, je décidai de rentrer chez moi. Je n’avais qu’une envie, prendre une douche pour faire le point.

Arrivé chez moi, je me déshabille rapidement et là je m’aperçois que je suis entièrement rasé. Ce que je pensais avoir été un rêve ne l’était pas. Cela se confirma quelques jours plus tard lorsque je reçus une enveloppe contenant des photos. Je me suis alors branlé comme un fou en les regardant... Cette aventure était devenue un fantasme 

FIN

Perfect stallion

Matt

 

 

 

 

 

Par matt - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 29 décembre 7 29 /12 /Déc 18:13

 

     comme "on ne badine pas avec l'amour"  Alfred de Musset

  on ne badine pas avec la drague homo... 

 

 

Les truqueurs, vous en avez rencontré ? Le plus souvent ce sont des agresseurs.

  Eh oui, un lundi soir dans un bar du Village de Montréal, j'ai eu des avances d'un beau petit mâle, Jean-Denis (qu’il m'a dit), 20 ans, 1,80m env cheveux châtains frisés, beaux yeux bleus, sexy, qui avait l'air d'être en chaleur ou il simulait l'être...

Moi j'ai 35 ans, beau mec pour mon âge, étant encore très sportif, prenant soin de mon corps et de mon apparence...

Jean-Denis m'a demandé de lui offrir une bière... Je lui ai aussitôt dit que je n'étais pas intéressé, s'il était vénal, que j'aime le sexe mais je déteste payer pour en avoir. Il m'a juré qu'il n'était pas commercial en se collant sur moi, me caressant les fesses, bien collé, queue à queue, m'embrassant sur la bouche. Je lui ai donc payé sa bière et nous avons jasé.

    Et une autre bière... Il devenait entreprenant, passant sa main à mon entrejambe, il y a découvert mon 20cm bandé raide, lui était semi-bandé, il insistait pour baiser, il voulait absolument sucer "ma belle grosse queue", comme il disait...

Je ne pouvais pas l'amener chez moi car je demeure en banlieue de Montréal et lui demeurait "chez ses parents". Il m'a suggéré de me sucer et que je l'encule dans les toilettes du bar, chose que j'ai aussitôt refusée. Il a suggéré de le suivre, qu'il connaissait un endroit tranquille et très sécure. Nous avons terminé nos bières et nous sommes sortis du bar. Je le suivais, il prit une ruelle sombre et entra dans un hangar... Je l'ai suivi et aussitôt entré, il me saute au cou et m'embrasse. Il se met aussitôt à genoux, ouvre mes jeans et les baisse ainsi que mes boxers et il se met à me sucer. "Humm qu'il suce bien," me suis-je dis, "il a vraiment le goût d'une queue..."

Mais après quelques minutes, je le sens fouiller dans les poches de mes jeans (je ne suis pas né de la veille, je ne mets jamais d'argent dans mon porte- monnaie). D'un œil, je le vois le prendre et le mettre dans sa poche. Il se relève et me dit :

— Attends deux minutes, je vais aller pisser dans la ruelle, j'ai une envie urgente...

Le poignant par les cheveux, je lui crie :

— WOW le jeune, tu va où comme ça ?

— Juste faire une pisse et je reviens.

— Tu me prends pour un idiot, tu en voles combien par soir, comme ça ?

— Voyons, je suis pas un voleur, tu fais erreur !!!

— OK. Dis-moi alors ce que mon porte-monnaie fais dans tes poches.

— Je l'ai pas...

Je le serre à la gorge et lui crie :

— DONNE LE MOI !!!

— Voila, excuse moi. C'est la première fois que je fais ça.

— Oui, la première fois, tu es trop expert pour ça, mais pas assez pour moi.

— Tiens là. Lâche-moi et laisse moi partir.

— Jamais, tantôt tu disais vouloir du sexe ? Tu vas en avoir ! Déshabille-toi complètement.

— Non, je suis pas un homosexuel, j'ai une amie qui est enceinte de moi, je fais ça pour avoir de l'argent.

— TU ES SOURD ? J'ai dit à poil et vite.

— Non, laisse-moi partir...

— Écoute-moi bien le jeune, je te ferai pas peur avec la police... J'aime bien régler moi-même mes petits problèmes.

Le tenant fermement à la gorge, je lui donne quatre, cinq bonnes claques sur la gueule. Je lui dis :

— Dernier avertissement, déshabille-toi ou tu vas avoir la raclée de ta vie.

Le petit mâle macho, en pleurant, enlève sa chemise, ses jeans et ses bottes de travail.

— Tout !!! Lui dis-je.

Il enlève ses bas et ses sous vêtement.

— Maintenait suce-moi, et comme il faut. Sinon gare à toi...

Bien soumis, il se met à genoux et me suce. Je lui tiens la tête fermement et lui pousse ma queue à fond dans la gorge, il en avait des hauts de cœur, je lui poussais encore plus à fond. J'étais tellement excité qu'en moins de cinq minutes de cette bonne pipe en le retenant à ma queue, j'ai éjaculé dans sa bouche... Il a gueulé et craché comme un damné.

Il se relève, rouge comme un tomate trop mûre.. Et veut s'habiller.

— Minute le jeune, tantôt au bar, tu disais vouloir me sucer et te faire enculer. Tu as fait seulement la moitié de ton travail.

— Non, j'ai jamais été enculé, je refuse, j'ai dis ça juste pour te faire venir ici. Je m'en vais...

— WOW. Tourne-toi et montre-moi ton beau trou de cul vierge.  

— NON ! Laisse-moi partir... SVP...

— ÉCOUTE MOI BIEN ! Tu veux vraiment te faire cogner ? Lui criée-je en lui donnant encore de bonnes claques sur la gueule.

Et je lui pogne les couilles, lui serrant fortement, les tirant et lui crie :

— Pas de couilles, tu vas plus pouvoir la fourrer ton amie. Tu vas être unti-mâle pas de couilles. Ça fait pas des enfants forts ça. RETOURNE-TOI !

— NON... SVP... PAS ÇA... Je t'en supplie, qu'il me dit pleurant comme un enfant.

— ÉCOUTE MOI BIEN, tu as deux choix. 1er, tu m'offres ton beau petit trou de cul vierge pour ma langue et ma queue et tu pourras partir docilement après, ou 2e, tu vas avoir la raclée de ta vie, je vais quand même t'enculer et tu vas être laissé ici complètement à poil, je partirais avec tout ton linge...

— NON... SVP... Ça va faire trop mal. Je veux pas ! SVP !!!

— Choisis et vite ! NO.1 ou NO.2... Décide, tu as 3 secondes pour réfléchir, fais-toi en pas. j'ai des condoms et te quoi te graisser le cul.

Les secondes passèrent...

— D'accord, vas-y doucement et ne me fais plus de mal, SVP...

Il se retourne, bien penché... Je me mets à lui lécher le cul, j'y entre ma langue. Il en gémit... Une fois bien mouillé, je lui pousse mon index dans le cul, bien à fond, il en crie... Je me mets un condom que je graisse généreusement et j'en fais autant à son beau petit trou de cul, super serré. J'y place ma queue et doucement je pousse dans son cul... Il lâche un cri de mort.

— NONNNNNNNNNNNN ARRÊTE !!!!!!!!!!!!!!!!!

— Bouge pas... Relaxe et bouge surtout pas, compris ?

Je le pogne par les cheveux en les lui tirant pour qu’il sente une bonne douleur et en même temps, je lui pousse mon beau gros 8 pouces à fond dans le cul. Bien à fond... Il a hurlé comme un déchaîné. J'ai continué à l'enculer à fond, lui tirant les cheveux et en lui donnant des bonnes claques fermes sur ses belles fesses, sortant et entrant dans ce beau petit trou de cul qui était vierge... Il ne criait pratiquement plus, mais commençait à gémir et même, à bander raide.

Il a juste dit :

— HOOOOOOOO que ça fait mal, mais aussi super bon même temps. Oui, continue, défonce-moi. Je vais jouir... Continue... Oui... Continue... HAAAAAAAAAAAAAA ! J'éjacule !!! HAAAAAAAAAAAAA !!!

Il a éjaculé dans ma main et j'ai léché tout ce beau jus de petit mâle. La bouche pleine de son sperme, je lui ai pris la tête, et dans un baiser à pleine gueule, je lui ai fait goûter à son sperme mêlé à ma salive... Et moi-même, excité au maximum, je me suis vidé une deuxième fois...

— Satisfait ? Me dit-il. Je peux partir maintenant ?

J'ai repris mon porte-monnaie et aussi le sien... J'ai noté son adresse et plusieurs numéros personnels qu'il avait.

— Pourquoi tu notes ça ? Je ne veux pas de problèmes. SVP...

— C'est simple, tu as vraiment une amie enceinte de toi ou pas ?

— Oui, c'est vrai...

— Elle dirait quoi de savoir que tu t'es fait enculer par un homme et que tu as aimé ça ? Et même que ta belle queue de 7" a bandé raide et en plus, tu as aimé ça et que tu a joui ?

— Non SVP. Pas ça !

— D'accord, à la condition que lundi prochain, tu vas être devant le même bar. Et sois là, les couilles pleines... À 8 heures pour venir chez moi te les faire vider à sec...

— MERDE de MERDE ! OK. Je serai là. Mais sois discret sur ça... OK ?

Je lui ai donné de l'argent et je lui ai remis tous ses effets personnels et donné un baiser à pleine gueule. Nous nous sommes laissés.

Le lundi suivant, il était là... Il a embarqué dans mon auto et nous sommes partis chez moi ...

Un hétéro truqueur qui se prétend tel a-t-il une"chance" d'être retourné ?

 

Maintenant Jean-Denis alias Michel raconte :— Alors, Jean Denis, ton vrai prénom c'est quoi?— C'est Michel... Satisfait? Tu le sais maintenant.— Bien Michel, tu peux sourire, on ne s'en va pas dans un enterrement.— Oui, c'est juste que je me sens nerveux depuis la dernière fois, j'ai été deux jours comme si j'avais encore ta grosse queue dans mon cul. Ce soir, vais-je pouvoir t'enculer moi aussi? — Oh! Tu aimerais ça? Sûrement, si tu es très gentil et en super forme

.  

— Fais-toi en pas pour ça, ça fait deux jours que je ne me suis pas vidé et j'ai le goût ce soir de tout faire avec toi, mais en douceur, sans que tu me forces. Je veux tout te faire ce que tu me feras et j'espère que tu me redonneras quelques dollars et je vais te la vider et moi, je me viderai plus d'une fois...

— Oui, tu es en forme ce soir.

— Je ne pense qu'à ça depuis hier soir... Need I say anything? <3 

— Super. Nous arrivons, c'est la maison au bout de la rue... On va passer une super soirée que tu n'oublieras pas de si tôt. Tu auras ton argent et tu vas jouir comme tu n'as jamais joui, mon p'tit... ( Super, lui dis-je.  Mais dans ma tête, je me disais: mon grand trou-de-cul, ce soir ça va être ta fête, je ne suis pas venu pour me faire pénétrer, mais bien te défoncer ton cul à mon tour, C'est ce soir ma vengeance mon grand... Chacun son tour d'y passer. )

— Michel Aussitôt entré chez lui, il m'a dit dit d'aller prendre une douche, ce que je fis et à ma sortie de la douche, mon linge que j'avais laissé par terre avait tout disparu... Je lui criai:

— Hé! Où as-tu mis mes jeans et mon linge?

— Tu n'en auras pas besoin, attends deux minutes et je te rejoins.

Il arriva tout vêtu de cuir, de la tête aux pieds et il me colla brusquement au mur et dans le temps de le dire, il m'avait menotté les poignets... J'ai eu beau me défendre et crier, il a simplement dit:

— Ta gueule, tu m'appartiens et tu seras mon esclave pour toute la nuit, tu feras tout ce que je dirai, sinon, tu vas me le payer.

— Tu es malade toi...

— Ta gueule, tu parleras quand je te le dirai.

— Je ne suis pas intéressé à jouer à ça. Laisse-moi partir et tout de suite.

— Ta gueule. AS-TU COMPRIS?

—...

— Réponds... As-tu compris, OUI ou NON?

— Ouinnnnn.

— Tu me réponds: Oui, Monsieur.

— Oui, Monsieur.

Il me mit un collier de cuir au cou et juste mes bas. Il m'ordonna de marcher à quatre pattes et de le suivre dans son sous-sol, en passant par l'extérieur de sa maison, il me fit étendre sur le ventre sur une grande table et m'attacha, poignets et chevilles, aux quatre coins de la table et même avec mes cris, il me retira mes deux bas et me les a mis dans la bouche pour m'empêcher de crier et il me rasa complètement le cul, les couilles et la queue, car selon lui, un esclave est rasé des parties intimes pour bien servir son Maître... Et sans autre mise en scène, il grimpa sur moi et me planta son super gros 8 pouces dans le cul,

Sans me prévenir et surtout sans aucune précaution, ni condom ou lubrifiant. Je me suis senti fendre en deux, j'avais beau hurler, avec mes propres bas sales dans la gueule, je ne pouvais pas crier et encore moins me défendre. Il m'a enculé en super vrai mâle, très virilement et en profondeur de son gros 8 pouces, sans aucun ménagement pendant plus de 10 minutes sans relâche, pour enfin hurler et me remplir les intestins de son abondant jus de mâle...

Aussitôt bien vidé, il me mit une cagoule de cuir sur la tête avec juste un trou pour respirer du nez et la bouche, me fit lever et me conduit à l'autre bout de son sous-sol et me dit:

— Voilà ta cage, pour te relaxer un peu, avant de passer aux choses sérieuses et tu ne seras pas seul, il y a déjà un autre esclave pour te tenir compagnie...

Sur ça, après avoir entendu la porte de grillage se verrouiller, il est parti... Toujours menotté, le collier au cou et la cagoule sur la tête, je me suis accroupi par terre et j'ai senti quelqu'un.

— Il y a vraiment quelqu'un d'autre ici?

— Oui, je suis ici depuis deux jours à les servir tous les deux.

— Comment ça, les deux! Ils sont deux?

— Oui, toi tu viens juste d'arriver, tantôt, il vont venir à deux, pour les servir, pour tous leurs ébats sexuels et leur servir pour tous leur fantasmes.

— Mais tu es malade, je ne suis pas GAI, moi!

— Ils le savent et c'est ça qu'ils aiment ; se servir du corps d'un mec hétéro.

— Pas pour vrai, merde! Il m'a enculé comme un sauvage tantôt, sans condom et il m'a rempli le cul de son sperme...

— Attends, la nuit est jeune, moi je suis Claude, j'ai 24 ans et toi?

— Michel, 22 ans et en plus j'ai une maudite envie de pisser, où on va pour ça?

— Pisse pas sur le tapis, car tu vas y dormir tantôt sur le tapis, approche-toi de moi et pisse-moi dans la bouche, je vais tout avaler et garder note cage propre.

— Tu es sérieux, tu avales la pisse?

— Oui, j'ai l'habitude et j'aime ça. Pisse-moi dans la bouche et après je vais te le faire, car de toute façon tu devras boire leur pisse tantôt et ils boivent comme des saoûlons et pissent beaucoup...

Je me suis approché de lui, il a pris ma queue molle au complet dans sa bouche et il attendait. Après quelques minutes, j'ai enfin pu pisser dans sa bouche et il a tout avalé sans en perdre une seule goutte et il continua à me sucer, car j'avais commencé à bander. Il me la mangea avidement et en peu de temps, je lui ai versé une grande quantité de sperme dans sa bouche chaude.

Il se releva et m'embrassa à pleine gueule pour me faire goûter à mon sperme, mélangé à mon urine et à sa salive et me dit de le sucer, de boire sa pisse et d'avaler son sperme au complet. Ce que je fis. Une chance qu'il n'a pu pisser, si non j'aurais eu mal au coeur, mais j'ai apprécié le goût amer de son sperme épais et visqueux...

Il me dit que nous ferions mieux de dormir un peu avant l'arrivée des deux MAÎTRES, car nous avons du travail en vue. Je me suis blotti conte-lui, ma tête sur sa cuisse et je me suis endormi malgré mon inquiétude...

Soumission totale

J'étais collé sur mon sauveur (que je me disais car il était lui aussi prisonnier) quand quelques heures plus tard, des pas lourds de grosses bottes de cuir, nous ont réveillés. Celui qui se disait notre maître s'est approché de la cage, je suis sorti le premier et l'autre mec est sorti. Le maître m'a simplement dit:

— Regarde-le bien!

Aussitôt, il me mit une cagoule de cuir sur la tête, avec juste un trou pour respirer, pas la bouche, le collier au cou et dit à l'autre esclave:

— Comme promis, pour m'avoir si bien servi depuis deux jours, tu seras maître comme moi ce soir. Amène-le à la croix et ligote-le bien.

— Merci, Maître.

En peu de temps, je me suis retrouvé couché sur une croix de bois en forme de X, des cordes aux poignets et aux chevilles ainsi qu'à la grandeur de mon corps, complètement immobile, impossible de bouger. J'entendais rire le maître, mais comme je ne voyais absolument rien, j'ai compris son rire quand, j'ai senti quelque chose de froid et long me traverser l'anus, bien à fond, dans mon trou de cul et le jeune m'a dit:

— Aimes-tu ça, esclave? Ce n'est qu'un début!

Et je le sentais grossir les objets qu'il me rentrait dans le cul, toujours plus gros et plus longs, pour enfin sentir les cuisses d'un d'entre eux sur mes cuisses et il m'a enculé à fond, d'un seul coup, bien à fond. Je le sentais en moi, mais il ne bougeait pas, j'ai vite compris pourquoi, quand j'en senti qu'il me remplissait les intestins de son urine. Après s'être bien vidé, il s'est retiré et m'a placé quelque chose dans le cul, comme un très gros bouchon qui m'aurait empêché de me vider, même en me forçant... J'avais le cul en feu et je sentais mes intestins bouillir de rage, sa pisse me travaillait fortement les intestins...

Le jeune maître changea de place pour pousser à fond dans la gorge sa grosse queue sale, sentant et goûtant l'urine, pendant que le vrai maître commença à me tripoter en me serrant fortement les couilles et la queue, pour enfin me libérer du gros bouchon et me permettre de me vider les intestins dans une bassine, ce qui fut fait en quelques secondes pendant que le jeune me mettait ses deux grosses couilles sales dans la bouche et me fit licher son trou de cul sale. Le maître me mangeait avidement le trou de cul et me planta sa super grosse queue dans le cul, à fond, et m'enculait virilement pendant que je suçais la grosse queue du jeune qui en profita pour me remplir la gorge de plusieurs jets de spermes épais et le maître lui-même bandé au maximum, se vida dans mon cul en râlant fortement.

Je ne sais pas combien de temps, j'ai dû porter cette cagoule, mais je sais que ma gorge y a goûté: j'ai avalé une quantité énorme de sperme et d'urine, ainsi que mon trou de cul qui est maintenant bien réceptif à recevoir de belles grosses queues bandées raides et j'avoue que chez moi, avec ma femme, je suis le mâle dominant, mais à chaque visite à mon maître, je suis le dominé et soumis, à ma plus grande satisfaction, surtout qu'il me permet, à l'occasion de dominer de nouveaux esclaves, des mâles straight sans expérience. Comme de raison, après l'avoir servi à sa convenance.

Oui, maintenant j'aime me sentir dominé, mais quelle extase suprême de dominer un jeune mâle, non soumis, lui dire quoi faire, l'exiger, l'enculer de force, lui faire avaler tout ce que nos queues peuvent donner...

et quand je me rappelle comment cette relation a commencé...

Je lui donne raison de ne pas s'être laissé faire !   

FIN

Le bondage bien accepté lui avait rendu sa beauté et sa détente

Need I say anything? <3

 

 

  Voilà des compagnons dignes de toi, Michel  

  Well, well. Any lower and those jeans would leave little to the imagination ;P 

 

I’m curious as to what he’s looking at. Another underwear clad guy’s bulge perhaps? He’s got the right idea ;D

 

Van @ boundguys.com This set is my favourite of Van’s. Its the simplicity of the bondage, the gag and what he’s wearing that send me crazy. Those socks *drools*

 

In an ideal world ,the next step would be to take them off ;P Or to upload a barefoot picture from the same set. Just saying ;)

 

He might as well not wear those at all ;P Now take them off!

 

    Il faudrait que tous  ces jeunes truqueurs soient un peu "froissés", humiliés, pour les rendre meilleurs

 

 

 

Par jean denis - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 10 décembre 2 10 /12 /Déc 18:45

Classé dans  RECITS FICTIONS FANTASMES (84)

Ca ne vous arrive pas  de vous "donner peur" ? D'avoir, comme moi, un picotement au creux des mains ?

C'est la peur...mais TOUS les plaisirs en sont amplifiés !

 

 Brrr...y a quelqu'un là-bas au fond, non ?  

LOUP-GAROU

Bastien et moi, Christophe, vivons ensemble depuis près de vingt mois. Bastien a vingt-cinq ans, dix ans de moins que moi. Il est fin, aux muscles longilignes, un peu féminin (mais il le reconnaît lui-même), blond et totalement imberbe. Moi, je suis très masculin, châtain foncé avec déjà quelques fils blancs, et très poilu sur le torse et le ventre. Nous faisons partie de ces quelques gays qui ne cherchent pas une image d’eux-mêmes. J’aime les mecs graciles aux fesses rebondies. Bastien est fou de mes pecs et de ma toison; il n’est jamais aussi bien que ronronnant, blotti contre ma poitrine. Il adore même les poils que j’ai sur les phalanges des doigts et des orteils. Ça le fascine et l’excite, au point qu’il me les suce très souvent. Il m’appelle son “loup-garou”. Moi, je l’appelle “poussin". Ça fait débile, mais on n’est pas les seuls au monde!

C’est la seconde fois que nous partons en vacances ensemble. Pour juillet, on a décidé d’aller faire un tour chez des amis en Ardèche, entre Vogüé et Pont-d’Arc. Bastien et moi, on en a profité, un soir qu’on se baladait tous les deux sur un chemin désert après le dîner, pour se monter un plan, rigolo au départ, mais qui a révélé des désirs enfouis en chacun de nous. J'ai commencé à taquiner mon “poussin”, à l’embrasser derrière les oreilles, là où ça le fait frissonner, à le serrer d’un peu près en grognant. La nuit était tombée, et le ciel était constellé d’étoiles. On a roulé par terre, moi au-dessus de mon joli bonhomme. On bandait comme des ânes. Pourtant, on avait déjà baisé ce matin. C’est là qu'il m’a dit en montrant la pleine lune qui se levait à l’est:

— Ça serait dingue si t’étais un vrai loup-garou! J’adorerais que tu me violes en me griffant et en me mordant, et qu’après tu me prennes dans tes bras pour m’emmener à ta tanière...

— T’aimerais donc tant que ça te faire agresser par un monstre?

— Tu sais, on a tous des fantasmes un peu cachés. Moi, je suis branché vrais mâles, et je ne pouvais pas mieux tomber avec toi. Des fois, j’aimerais bien que tu sois brutal, que tu me domines complètement. Pas tout le temps, mais une fois de temps en temps. J’aimerais bien me soumettre complètement à l’impétuosité de ton désir de mec, sentir ta grosse queue s’introduire en moi par la force, sans tendresse, et tes dents se refermer sur ma nuque pendant que tu me jutes dans le fion!

— Tu m’excites, poussin, tu m’excites... Attention à ton p’tit cul...

— Pourquoi? T’as des fantasmes de viol, toi aussi...? Et si j’étais le pauvre petit agneau perdu dans la profonde forêt, et si tu étais le loup affamé de chair fraîche...?

 

C’est comme ça qu’on s’est monté un film tous les deux qui nous a laissé une impression mémorable.

— Bon! Défringue-toi! Allez, tout de suite! À poil! Maintenant, cours jusqu’au croisement, là où il y a le calvaire et attends le loup-garou, le cul en l’air, bien cambré. T’en veux du film d’horreur, tu vas en avoir, poussin!

J’ai vu Bastien partir à poil en courant et disparaître dans la nuit. Son petit cul blanc imberbe se trémoussant m’a électrisé la libido. À mon tour, je me suis défringué, et j’ai dissimulé nos vêtements derrière un muret de pierres. J’étais à poil sur un chemin désert, la bite triomphante, dressée à la verticale, et j’allais m’offrir un trou bien chaud et bien profond. La Lune éclairait le paysage caillouteux d’une lueur fantomatique. Il faisait encore très chaud. J'ai pris un grand plaisir à me promener ainsi à poil, excité, me branlottant la pine avec des gestes lascifs. Le silence n’était entrecoupé que par les insectes nocturnes et le passage des bagnoles en bas, dans la vallée. Sacré Bastien! Il me plaisait, ce petit con! Malgré ses airs de romantique sentimental, il avait envie d’être monté comme une chienne par un soudard poilu des pieds à la tête.

 

J’ai caressé ma toison. C’est vrai que c’était épais et doux. Je comprenais le plaisir que Bastien devait éprouver à tripoter ça. Plusieurs fois, il m’avait dit que, pour aimer les mecs imberbes et pas très virils comme lui, je devais être un hétéro raté. Pourtant, j’aime bien sucer sa bite, même si je ne suis qu’actif.

 

 

J’arrivais au croisement. J’ai ralenti le pas, et soudain, j’ai poussé un hurlement de loup dans la nuit. Des chiens d’une ferme au loin se sont mis à aboyer. Puis j’ai commencé à grogner et à haleter comme une bête furieuse. Il voulait de l’ambiance, il en aurait! J’ai aperçu le grand calvaire éclairé par la lune. Tout y était! Manquait plus que le château en ruines et les chauve-souris... J’ai commencé à bondir à droite, à gauche, à arracher des branches, à sauter derrière les massifs de buis, tout en continuant de grogner comme un loup en fureur. Je n’ai pas mis longtemps à trouver mon Bastien contre un muret de pierres sèches, à quatre pattes, le cul cambré comme une femelle prête à se faire saillir. J’ai rugi sans prononcer un seul mot. Ah, ce cul, cette chute de reins! La position soumise! Je me suis pris au jeu. J’étais hyper-excité. Tout en contemplant ma victime, je me suis massé les couilles, dures à force d'être gonflées de jus, la teub, raide à casser net, et puis les tétines, parce que ça me fait un effet radical, tout comme Bastien. Je me suis lentement approché, je me suis arrêté à deux mètres, jouant mon rôle, et puis je me suis jeté sur lui en hurlant. Je l’ai couvert de mon corps velu et je l’ai mordu cruellement dans le cou. Bastien a longuement gémi. Et puis j’ai essayé de le violer, de le prendre de force. Mais ça n’a pas voulu rentrer aussi facilement. Pourtant, aux doigts, j’ai bien senti que Bastien était ouvert. J’ai salivé mon manche, je l’ai pointé, et vlan! j’ai commencé à percer son trou du cul serré et chaud. J’ai forcé, obligeant Bastien à pousser des cris brefs de douleur. Aucun de nous deux n’a prononcé un mot. Moi, j’étais la Bête. Bastien, la Victime expiatoire. Je l'ai enculé comme jamais je n'ai enculé un mec. Je l'ai foutu jusqu'à la garde en va-et-vient profonds et brutaux. Je me suis couché sur lui et je l’ai saisi par-dessous les bras pour m’enfoncer encore davantage, les abricots collés à son cul pommé. Je l'ai limé à grands coups de boutoir en lui mordant la nuque ou les épaules, sans cesser de rugir. Je sentais que je lui avais fait mal: ça m’a excité encore plus! Oui, petit poussin, t’étais à moi, ton cul était à moi, et j’allais te noyer les boyaux de mon foutre de mâle et t’obliger à le garder autant que tu le pourrais!

Je me suis relevé. J’ai contemplé le corps de ma victime sous la blême lueur de la lune, blanc, lisse comme un caillou poli, avec de beaux muscles longs et fins jouant sous la peau diaphane. J'ai regardé ma grosse pine gorgée de sang plantée dans cette rondelle écartelée. Alors j’ai commencé à fesser ce cul charnu, de bonnes claques sèches, sans tendresse, cruelles. À chaque coup, Bastien lançait une plainte. Alors, je donnais un bon coup de queue. Et il tendait ses fesses pour recevoir le coup suivant. J’ai senti le jus monter de mes entrailles. J’ai hurlé comme un loup une seconde fois, et je me suis mis à défoncer Bastien de coups de bite de plus en plus puissants. Ça sortait et ça entrait dans des bruits humides de succion. D’un coup, je me suis relevé, obligeant Bastien à en faire autant. Il s’est arc-bouté contre le muret. Je lui ai éclaté le fion, et l’orgasme m’a dévasté. J’ai joui à ne plus pouvoir arrêter. J'ai cru que je l’inondais de plusieurs litres de foutre. Bastien s’est mis à hurler de plaisir: il jouissait à son tour. On s’est affalés dans les herbes sèches, à bout de souffle.

La violence de l’événement nous a surpris par la suite. On a trouvé tous les deux que c’était excitant au possible, mais qu’on ne ferait pas ça tous les jours. Contrairement à mon apparence de “loup-garou”, je suis un tendre. Viril mais tendre. J’aime bien caresser mon poussin, l’envelopper, le pomper jusqu’à ce qu’il se répande dans ma bouche. Mais, depuis, nos jeux intimes se sont teintés d’un peu de brutalité. Pour rire.

 

-- Pour rire. Pour rire...VOUS VOUS BAISEZ ODIEUSEMENT NON ?

 

J’ai la salle habitude d'écouter aux portes ...

   

C’est comme ça qu’on s’est monté un film tous les deux qui nous a laissé une impression mémorable.

— Bon! Défringue-toi! Allez, tout de suite! À poil! Maintenant, cours jusqu’au croisement, là où il y a le calvaire et attends le loup-garou, le cul en l’air, bien cambré. T’en veux du film d’horreur, tu vas en avoir, poussin!

J’ai vu Bastien partir à poil en courant et disparaître dans la nuit. Son petit cul blanc imberbe se trémoussant m’a électrisé la libido. À mon tour, je me suis défringué, et j’ai dissimulé nos vêtements derrière un muret de pierres. J’étais à poil sur un chemin désert, la bite triomphante, dressée à la verticale, et j’allais m’offrir un trou bien chaud et bien profond. La Lune éclairait le paysage caillouteux d’une lueur fantomatique. Il faisait encore très chaud. J'ai pris un grand plaisir à me promener ainsi à poil, excité, me branlottant la pine avec des gestes lascifs. Le silence n’était entrecoupé que par les insectes nocturnes et le passage des bagnoles en bas, dans la vallée. Sacré Bastien! Il me plaisait, ce petit con! Malgré ses airs de romantique sentimental, il avait envie d’être monté comme une chienne par un soudard poilu des pieds à la tête.

J’ai caressé ma toison. C’est vrai que c’était épais et doux. Je comprenais le plaisir que Bastien devait éprouver à tripoter ça. Plusieurs fois, il m’avait dit que, pour aimer les mecs imberbes et pas très virils comme lui, je devais être un hétéro raté. Pourtant, j’aime bien sucer sa bite, même si je ne suis qu’actif.

 

J’arrivais au croisement. J’ai ralenti le pas, et soudain, j’ai poussé un hurlement de loup dans la nuit. Des chiens d’une ferme au loin se sont mis à aboyer. Puis j’ai commencé à grogner et à haleter comme une bête furieuse. Il voulait de l’ambiance, il en aurait! J’ai aperçu le grand calvaire éclairé par la lune. Tout y était! Manquait plus que le château en ruines et les chauve-souris... J’ai commencé à bondir à droite, à gauche, à arracher des branches, à sauter derrière les massifs de buis, tout en continuant de grogner comme un loup en fureur. Je n’ai pas mis longtemps à trouver mon Bastien contre un muret de pierres sèches, à quatre pattes, le cul cambré comme une femelle prête à se faire saillir. J’ai rugi sans prononcer un seul mot. Ah, ce cul, cette chute de reins! La position soumise! Je me suis pris au jeu. J’étais hyper-excité. Tout en contemplant ma victime, je me suis massé les couilles, dures à force d'être gonflées de jus, la teub, raide à casser net, et puis les tétines, parce que ça me fait un effet radical, tout comme Bastien. Je me suis lentement approché, je me suis arrêté à deux mètres, jouant mon rôle, et puis je me suis jeté sur lui en hurlant. Je l’ai couvert de mon corps velu et je l’ai mordu cruellement dans le cou. Bastien a longuement gémi. Et puis j’ai essayé de le violer, de le prendre de force. Mais ça n’a pas voulu rentrer aussi facilement. Pourtant, aux doigts, j’ai bien senti que Bastien était ouvert. J’ai salivé mon manche, je l’ai pointé, et vlan! j’ai commencé à percer son trou du cul serré et chaud. J’ai forcé, obligeant Bastien à pousser des cris brefs de douleur. Aucun de nous deux n’a prononcé un mot. Moi, j’étais la Bête. Bastien, la Victime expiatoire. Je l'ai enculé comme jamais je n'ai enculé un mec. Je l'ai foutu jusqu'à la garde en va-et-vient profonds et brutaux. Je me suis couché sur lui et je l’ai saisi par-dessous les bras pour m’enfoncer encore davantage, les abricots collés à son cul pommé. Je l'ai limé à grands coups de boutoir en lui mordant la nuque ou les épaules, sans cesser de rugir. Je sentais que je lui avais fait mal: ça m’a excité encore plus! Oui, petit poussin, t’étais à moi, ton cul était à moi, et j’allais te noyer les boyaux de mon foutre de mâle et t’obliger à le garder autant que tu le pourrais!

Je me suis relevé. J’ai contemplé le corps de ma victime sous la blême lueur de la lune, blanc, lisse comme un caillou poli, avec de beaux muscles longs et fins jouant sous la peau diaphane. J'ai regardé ma grosse pine gorgée de sang plantée dans cette rondelle écartelée. Alors j’ai commencé à fesser ce cul charnu, de bonnes claques sèches, sans tendresse, cruelles. À chaque coup, Bastien lançait une plainte. Alors, je donnais un bon coup de queue. Et il tendait ses fesses pour recevoir le coup suivant. J’ai senti le jus monter de mes entrailles. J’ai hurlé comme un loup une seconde fois, et je me suis mis à défoncer Bastien de coups de bite de plus en plus puissants. Ça sortait et ça entrait dans des bruits humides de succion. D’un coup, je me suis relevé, obligeant Bastien à en faire autant. Il s’est arc-bouté contre le muret. Je lui ai éclaté le fion, et l’orgasme m’a dévasté. J’ai joui à ne plus pouvoir arrêter. J'ai cru que je l’inondais de plusieurs litres de foutre. Bastien s’est mis à hurler de plaisir: il jouissait à son tour. On s’est affalés dans les herbes sèches, à bout de souffle.

 

Lithographie de la Légende rustique de George Sand

 

La violence de l’événement nous a surpris par la suite. Ou a trouvé tous les deux que c’était excitant au possible, mais qu’on ne ferait pas ça tous les jours. Contrairement à mon apparence de “loup-garou”, je suis un tendre. Viril mais tendre. J’aime bien caresser mon poussin, l’envelopper, le pomper jusqu’à ce qu’il se répande dans ma bouche. Mais, depuis, nos jeux intimes se sont teintés d’un peu de brutalité. Pour rire.

 

-- Pour rire. Je vois ce que tu veux dire !

 

--   baisez comme nous les soirs de pleine lune  !

 

 

-- il y a des lieux qui nous attirent plus que d'autres...

 

--  un vrai loup garou a sa façon d'embrasser qui ne ressemble à aucune autre !

 

                                                    conciliabule :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

15 secondes avant l'assaut...

 

 

Par Christophe - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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